29; Clifford
EN ESPÉRANT QUE VOUS VOYEZ LE CHAPITRE SINON BAH EUH....... DNZIDOZAKSOAKSA JE ME TIRE UNE BALLE DANS LA TÊTE XD
Sérieusement, n'hésitez pas à vous manifester celle qui voit uniquement une page blanche, d'acc ? Parce que j'ai LA solution miracle *sors*
Solution 1 : Supprimer mon histoire de votre bibliothèque, puis la rajouter.
Solution 2 : Si la première marche pas, allez sur Safari ou Google Chrome, voiloooou !
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Elle va te taper ! Elle va te taper !
Me hurla ma conscience, lorsque Schtroumpfette et moi, nous ne bougeons pas de notre position.
La ferme !
Le réprimandai-je immédiatement pour le chasser et c'est ce qui arriva. Je me retrouvai donc 'seul' face à mon assistante, qui gardait cette même position ébahie, qu'elle avait quelques secondes plus tôt.
"Un.." Commença-t-elle en battant des cils. "Un vrai baiser?" Répéta-t-elle doucement et j'acquiesce d'un mouvement de la tête.
"C'est ça, oui." Je ne pus m'empêcher de sourire bêtement. "Un vrai baiser, tu sais?" Je laissai ma main regagner le long de mon corps. "Sans que tu ne m'infliges de coup-de-tête.." Dis-je en désignant son front. "De coup-de-poing.." Poursuivis-je en pointant sa main. "Ou bien encore.." Je vins tapoter doucement sa bouche de mon index. "Que tu me mordes comme la sauvage que tu es!" Et je dois dire que j'étais assez fier de ma réponse. "Un baiser réciproque, quo.."
"Est-ce que tu essayerais d'insinuer que JE suis une sauvage?" Me coupa-t-elle brusquement, outrée.
"Une vampire, pour être exacte. Mais 'sauvage' marche aussi." Confirmai-je en hochant de haut en bas la tête. "En tout cas, c'est ce que tous le monde en conclut quand ils voient mon hématome!" Je pointai mon cou qui était couvert par du maquillage.
"Et qu'est-ce que je dois dire de TOI moi, hein?!" S'écria-t-elle en pointant à son tour son cou.
"Que c'est un beau suçon porte bonheur." Rétorquai-je au tac-au-tac, comme si ce fut la chose la plus évidente au monde.
C'est vrai, non ?
Elle devrait être ravie que Michael Clifford lui ait fait un suç..
Bon, d'accord.
L'hématome qu'elle avait dans son cou ressemblait plus à la morsure d'un chien enragé, plutôt qu'un suçon, mais c'était tout de même un suçon porte bonheur !
"Oh, toi.." Grogna-t-elle entre ces dents et je reculai discrètement de quelques pas, lorsque je vis ces doigts formaient un poing.
"Hum, hum." Schtroumpfette et moi pivotons instantanément nos têtes face à la vieille dame. "Et mon jeu, vous l'oubliez?"
Que dieu la bénisse !
Cette vieille dame venait de me sauver la vie !
Un sourire malicieux se forme au coin de mes lèvres, quand Schtroumpfette s'empourpra de gêne. Ses doigts se dénouèrent rapidement et son regard tomba au sol. C'est dingue, comme elle semblait avoir complètement oubliée qu'on avait là une spectatrice.
"C'est vrai ça, tu l'as oubliée, Schtroumpfette?" M'écriai-je en la gratifiant d'un petit coup de coude.
"J'acc.. J'accepte..." L'entendis-je faiblement marmonner dans ces cheveux.
"Excuse-moi?" Bien que j'ai parfaitement entendu ce qu'elle venait de me dire, je voulais qu'elle me le confirme à voix haute et fort. "Qu'est-ce que tu viens de dire là?" Chantonnai-je innocemment, en penchant mon oreille à ces lèvres.
"QUE J'ACCEPTE TON PARI" Me hurla-t-elle aux oreilles.
J'émis un sursaut de surprise, en effectuant un bond en arrière, manquant presque de flancher. Mais pour être honnête, ça ne m'a pas empêcher de rire comme un imbécile heureux. Schtroumpfette roula des yeux et me tapa à plusieurs reprises le bras, amplifiant mes éclats de rire.
"Arrête de.." Elle me tape. "Rire.." Encore. "Comme.." Encore. "Un imbécile.." Encore. "Heureux!" Et encore.
"Ow, trop de haine en toi, ma Schtroumpfette."
Elle s'arrêta brusquement de me taper.
Est-ce que je venais réellement d'admettre devant elle que je la considérai comme MA Schtroumpfette ?
Hummrf.
**
J'inspirai profondément, puis expirai doucement, valsant mes bras de haut en bas, avant de remuer mon cou dans le sens des aiguilles d'une montre. Ayant déjà saisit une fléchette quelques minutes plus tôt, je me positionnai face à la cible, calculant mentalement, quelle serait la position idéale, qui me permettrait d'atteindre le centre d'un seul coup.
Et lorsque je m'apprêtais à tirer, je sentis de fins doigts tapoter mes côtes, me faisant à chaque fois sursauter et pousser un petit rire, étant de nature - très - chatouilleux.
"Mais.." Je me tournais pour voir Schtroumpfette me sourire innocemment. "On peut savoir ce que tu fous?" Elle ignora ma question, un gigantesque sourire étira ces lèvres.
"Je ne savais pas que tu étais chatouilleux."
Arrgh, c'est pas vrai !
Elle est encore pire que Calum, Luke et Ashton réunis celle-là !
"Je ne le suis pas." Mentis-je et me remis aussitôt en position. "Maintenant laisse-m.. Hahahahaha" Je me tortillai dans tous les sens, quand je sentis ces mains se balader le long de mes côtes. "Mais.. Hahaha.. Mais arr.. Hahaha.. Arrête ça... Hahaha"
"J'y crois pas!" S'écria-t-elle avec amusement en continuant de voyager ces doigts à travers mes côtes. "Le grand, fort, arrogant et beau Michael Clifford est chatou..."
"Hum, hum."
Nos regards se levèrent vers la vieille dame qui semblait devenir impatiente.
Elle nous gratifia d'un sourire hypocrite, désignant son stupide jeu de fléchettes de son index, avant de croiser fermement ces bras contre sa poitrine. Je repris doucement mon souffle, puis ma position de 'tireur'. C'est lorsque mon bras s'élança dans le vide et relâcha la pression que j'avais sur la fléchette, que je sentis Schtroumpfette de nouveau me chatouiller discrètement les côtes, me faisant sursauter.
Un gémissement plaintif s'extirpa d'entre mes lèvres, quand la fléchette atteint la zone verte, qui était celui qui entourer le centre de la cible.
"Tu l'as fait exprès!" Pointai-je en la désignant de mon index.
"Pas du to.." Je la coupai, plaquant fermement mes mains contre ces joues, avant de presser brutalement mes lèvres contre les siennes.
Delilah m'avait promis un véritable baiser et c'était ce qu'elle allait me donner là, qu'elle le veuille ou non.
Sachant elle-même qu'elle était en tort et qu'à cause d'elle, ma fléchette aurait très bien pu atteindre le centre de la cible, elle ne se défendit pas. Elle plaqua ces petites mains contre mon torse, empoignant progressivement l'étoffe de mon haut entre ces doigts, afin de m'attirer un peu plus contre elle. Nos visages s'inclinent instinctivement sur le côté, emboîtant ainsi à la perfection nos lèvres, qui étaient en train de batailler sur lequel de nous deux aura le dessus sur l'autre.
Au fur et à mesure, mes mains relâchèrent la pression sur ces joues, glissant l'une contre sa hanche, tandis que la seconde vint s'enfouir dans sa chevelure noir de jais, au délicieux parfum de cerise. Le bout de nos nez se touche, nos bouches savourent le contact de l'autre et nos langues se caressent timidement. Nous nous retrouvons finalement à bout de souffle, ce qui nous contraignit à séparer lentement nos lèvres.
Cependant, nous restons proches, les yeux dans les yeux. Nos souffles qui furent tous les deux haletants ne firent plus qu'un, s'abattant chaudement sur la partie inférieure de nos visages. Je sentis Schtroumpfette relâcher la pression qu'elle avait exercée sur mon haut, laissant ces mains retombaient d'une part et d'autre le long de son corps.
"Qu'est-ce.. Qu'est-ce que je t'avais dis.... ?" Susurra-t-elle à bout de souffle.
"Huh?" Je la regardai, incrédule, les sourcils froncés.
"Tu n'as pas besoin de mon autorisation pour gagner un baiser."
Oh.
Il est vrai que lorsque je souhaite quelque chose, je me fiche éperdument du consentement de l'autre et prends.
Vivre constamment avec des sauvages a parfois ces inconvénients.
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