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Chapitre 21 : Douleur.

Tw : Certaines scènes à caractère sexuel ou violentes peuvent heurter la sensibilité de certains. Je demande donc à ceux qui sont sensibles à différents type de violence de prendre en considération.
(Scarification, Torture, meurtre, violence, viol)

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Mia Regina



















Depuis notre baiser et notre danse sous la pluie avec Arès, nous ne nous sommes plus adressé la parole. Chaque fois que nos regards se croisent, une tension palpable s'installe entre nous, remplissant l'air de non-dits et de sentiments refoulés.

Je me réfugie dans mon entraînement, essayant de chasser ces pensées qui me tourmentent. Les jours passent, mais l'écho de ses paroles et la chaleur de ses lèvres sur les miennes restent gravés dans ma mémoire. Je me sens perdue, tiraillée entre le désir et la peur.

Et il faut savoir que t'es toujours amnésique sale conne, tu ne sais pas réellement qui sait.

Un matin alors que j'étais allongé dans mon lit a observer mon plafond, Anita rentra dans ma chambre un sourire rayonnant sur les lèvres.

— Cinaphée dépêche toi ! Arya va bientôt arriver ! s'enthousiasma-t-elle.

Qui est Arya ?

Mes pensées furent coupées lorsque le groupe entier rentra dans ma chambre.

— Qu'est-ce qu'elle fout encore au lit ! Oh Arya, Prisca et Alessio vont arriver bouge ton petit cul de princesse de se lit. s'excita Ivan, d'une voix aïgue qui le ridiculise.

— Mais qui est Arya ? Rigolais-je face a leur excitation.

— Ma grande cousine, répondit mon petit ange.

Je me leva enfin de mon lit puis partie me préparer. Quelque minutes plus tard je me retrouve dans le salon à attendre une femme que je ne connaissais pas.

Quelques heures passent avant qu'Angelica n'entende la voiture d'Arès dans l'allée. Nous la suivons à l'extérieur, je me tiens en retrait, ne me sentant pas du tout à l'aise. Angelica se précipite pour accueillir une très belle femme, son sourire éclatant contrastant avec mon malaise intérieur.

— Arya ! cria-t-elle d'une voix joyeuse.

Je la vie courire vers elle, Anita sur ses talons. Angelica la pris dans ses bras, d'une étreinte qui me semble chaleureuse et réconfortante.

Elle se parlèrent mais je ne pus entendre ce qu'elle se disait. Anita se jeta dans ses bras a son tours un sourire éclatant sur son visage. Son sourire pouvait réchauffer même un cœur gelé.

La femme, dite Arya, jeta un coup d'œil dans notre direction. Lorsque son regard se posa sur moi, je me sentis comme juger son regard insistant pénétrant les miens.

Tu aurais du te crever les yeux.

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Alors qu'Arès, Elio, Ivan, Lev, et les autres personnes récemment arrivées se regroupaient dans le bureau qu'Arès avait complètement détruit deux semaine auparavant, je profitai de ce moment de calme pour aller m'entraîner.

La salle de sport était vide, un silence presque apaisant régnant entre ses murs. J'avais besoin de ce moment pour moi, pour canaliser l'énergie et les émotions qui tourbillonnaient en moi.

Je commençai par quelques étirements, sentant mes muscles se relâcher progressivement. Puis je me dirigeai vers le sac de frappe, les souvenirs de ces derniers jours refaisant surface.

Chaque coup que je portais au sac semblait chasser un peu de la tension accumulée. Les bruits sourds des impacts résonnaient dans la pièce, me ramenant à une forme de tranquillité.

Après avoir passé un bon moment à frapper le sac de boxe, je décidai de m'entraîner au tire.

J'avais besoin de cette concentration, de cette discipline pour canaliser toutes les émotions contradictoires qui me traversaient.

Je me dirigeai vers la salle de tir, vérifiant que l'endroit était vide avant de m'installer.

Je pris une arme, sentant le poids familier dans ma main, et me préparai à tirer. La cible était à une bonne distance, et je pris une grande inspiration avant de presser la détente.

Le bruit sec de la détonation résonna dans la salle, et je vis avec satisfaction que ma balle avait touché le centre de la cible.

Je continuai à tirer, chaque coup de feu me procurant une étrange sensation de contrôle et de libération. Alors que je me concentrais sur ma respiration et mes mouvements, je ne remarquai pas tout de suite la silhouette qui se dessinait à l'entrée de la salle. Ce n'est qu'après plusieurs détonations que je sentis une présence derrière moi.

Je me retourna doucement pour faire a la personne.

— Oh, je ne t'ai pas entendu entrer... Dis-je en abaissant mon arme.

— Tu es douée, répondit-elle en s'approchant, je ne savais pas qu'il avait pris une nouvelle recru.

Je lui souris légèrement, essuyant la sueur de mon front.

— Une nouvelle recrue ouais... murmurais-je.

— Tu n'as rien demandé hein ? demanda-t-elle plus sérieusement.

— C'est une longue histoire... D'ailleurs personne ne nous a présenter, en même temps sa ne m'étonne pas de l'autre gorille psychopathe, chuchotais-je, je m'appelle Cinaphée et toi ?

— Je m'appelle Arya. Dit-elle, un sourire au lèvre. Le gorille ?

Je vis ses sourcils formé un V, ses yeux se plisse également. Elle a un visage angélique, j'ai l'impression que c'est un trait de famille de ressembler à des anges.

— Arès, lâchais-je simplement.

Elle rigola, son rire est une mélodie douce et agréable pour mes oreilles.

— Le gorille, hein ? C'est un surnom plutôt approprié pour lui.

Je lui souris en retour.

— Il m'a beaucoup aidée à m'entraîner. Il peut être... intense, mais il est efficace.

— Oh, je n'en doute pas. Arès est toujours à fond dans tout ce qu'il fait, dit-elle en secouant la tête avec amusement, parfois je me demande s'il ne dort jamais ?

J'éclata de rire, il est vrai que Arès ne dort pas souvent.

— C'est vrai ! Il semble toujours en action, comme s'il avait une batterie infinie.

Je souris, appréciant ce moment de légèreté. Avant que je ne parte elle me posa une question :

— Tu as déjà vu Massimo ?

Je hocha la tête.

— Oui, il est venu il y a deux semaine... répondis-je.

— Et que c'est il passé ? demanda-t-elle.

Je soupirai, cherchant les mots que je pourrais utiliser.

— Et bien Arès a eu une conversation avec, et par la suite il a défoncé son bureau littéralement... expliquais-je.

Elle haussa les sourcils, un mélange d'incrédulité et d'amusement.

Elle est si expressive.

— Arès a défoncé son propre bureau ? Ça devait être une sacrée conversation.

Je hocha une nouvelle fois, un sourire amusé aux lèvres.

— Oui, c'était assez intense. Si il perd son calme, c'est qu'il y a vraiment de quoi s'inquiéter.

Elle soupira, prenant sans doute conscience de mes mots.

— Je vais prendre une douche, dis-je avant de disparaître.

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L'atmosphère était détendue dans le salon, chacun discutant à voix basse ou se perdant dans ses propres pensées. Anita, quant à elle, était absorbée par ses jouets, insouciante du tumulte des adultes autour d'elle.

Cependant, cette tranquillité fut soudainement interrompue par l'arrivée de Massimo.

Il fit irruption dans la pièce, sa présence imposante et son arrogance palpable. Ses yeux balayèrent la salle avec mépris avant de se poser sur Anita. Son sourire cruel me fit bouillir de rage.

— Eh bien, on ne m'a pas invité à la petite fête de famille ? lança-t-il d'une voix mielleuse mais menaçante.

Tous les regards se tournèrent vers lui. Anita, sentant le danger, recula instinctivement, son petit corps se recroquevillant derrière ses poupées.

Je me levai immédiatement, déterminée à la protéger.

— Massimo, qu'est-ce que tu veux ? demandai-je, ma voix ferme malgré la colère qui grondait en moi.

— Oh, je viens juste dire bonjour à ma chère famille, répondit-il avec un sourire narquois. Et voir comment Arès gère ses affaires... et ses protégés.

Il jeta un coup d'œil dédaigneux vers Anita, et je sentis la fureur monter en moi. Je me plaçai entre eux, mon regard fixé sur Massimo.

— Laisse-la tranquille, crachai-je.

Massimo éclata de rire, un son glacial qui fit frissonner tout le monde dans la pièce.

— Oh, vraiment ? Et qui va m'arrêter ? Toi ?

Sans hésiter, je sortis mon arme et la pointai directement sur lui. Massimo haussa un sourcil, visiblement surpris, mais pas intimidé. Il sortit à son tour une arme, la pointant sur moi. La pièce devint silencieuse, l'air chargé de tension.

— Tu ne sais pas dans quoi tu t'embarques, dit-il froidement.

— Je sais exactement ce que je fais, répliquai-je, mes mains ne tremblant pas. Et je ne laisserai personne, surtout pas toi, faire du mal à cette enfant.

Nos regards se croisèrent, une lutte de pouvoir silencieuse. Ivan fit un pas en avant, essayant de calmer la situation.

— Massimo, ça suffit. Ce n'est ni le lieu ni le moment, dit-il fermement.

Anita finis par partir en courant hurlant le prénom de Arès. Quelque seconde après Arya arriva dans le salon talonné par Arès et Anita leurs visages peint d'une inquiétude.

— Massimo, baisse ton arme ! Ordonna Arès, sa voix résonnant dans la pièce comme un coup de tonnerre.

— Pas avant qu'elle ne le fasse, répliqua Massimo, un sourire cruel aux lèvres. Elle a osé me défier.

Je ne bougeais pas d'un pouce.

— Cinaphée, murmura Arya, essayant de capter mon attention. Tout va bien. Tu n'as pas besoin de faire ça.

Je ne détourna pas les yeux de Massimo, une étincelle de peur dans mon regard. Arès fit un pas en avant, son visage tordu par l'inquiétude.

Tu t'inquiètes maintenant connard alors que sa fait deux semaine que tu m'esquive.

— Massimo, qu'est-ce que tu espères accomplir avec ça? Tu sais que tu es en tort, cracha Arès, d'une voix énervé.

Massimo éclata de rire, un son froid et dénué de joie.

— Ce que j'espère accomplir ? Montrer à tout le monde que personne ne me défie sans en payer le prix.

On souffle mon reuf.

— Il est putain de taré c'est lui qui est entré et qui a commencé à menacer tout le monde. Je ne fais que protéger la petite. Crachais-je hargneusement.

— Pourquoi tu fais ça ? Massimo, elle ne faisait que défendre Anita, protesta Arya.

— Défendre ? ricana Massimo. Elle n'avait aucune chance contre moi.

— Et pourtant, tu sembles bien préoccupé, rétorquais-je, ses mots perçant comme des aiguilles.

Arès se tourna vers Arya.

— Nous devons faire quelque chose, murmura-t-il, désespéré.

Elle hocha la tête, cherchant surement une solution. Rien ne m'empêche de lui en coller une mise a part les yeux effrayé de Anita.

— Anita va te cacher. Maintenant ! formulais-je, sur un ton plus dure que ce que je ne l'aurais voulus.

Mon petit ange blond hocha la tête, ses yeux pleins de larmes, et ce précipita hors de la pièce. Ce qui énerva Massimo encore plus.

— C'est fini, Cinaphée. Baisse ton arme, et peut-être que je serai clément, dit-il avec une froideur déconcertante.

Mes mains tremblant légèrement. Je pesais le pour et le contre, cherchant une issue.

— Arès, murmurais-je, sans quitter
Massimo des yeux. Je ne le laisserai pas faire de mal à qui que ce soit d'autre.

Arès fis un pas en m'a direction.

— Cinaphée, s'il te plaît, baisse ton arme. On trouvera une solution ensemble.

Mes yeux rencontrèrent ses iris grise, avant même que je ne puisse lui répondre Massimo fit un mouvement brusque, et en seulement une fraction, un coup de feu retentit. La détonation résonna dans la pièce, et le silence qui suivis était assourdissant.

Je m'effondrais, une main pressée contre mon côtés ensanglanté, le visage tordu de douleur. Chaque respiration était un calvaire, une brûlure intense irradiant de la plaie. La pièce semblait tourner autour de moi, les visages des autres devenant flous.

Arès se précipita vers moi, ses yeux remplis de terreur et de colère.

— Non ! Мой милый ! hurla-t-il, sa voix tremblant d'émotion.

Je tentais de rester consciente, de me concentrer sur le regard perçant que le gorille me donnait, pour ne pas sombrer. Mais la douleur était écrassante, me tirant vers les ténébres.

Je vis Arès se redresser et fixer son frère.

— Tu ne t'en tireras pas comme ça, grogna-t-il, sa voix tremblant de colère.

— C'est vous qui ne vous en tirerez pas comme ça de m'avoir bani, cracha Massimo avant de disparaître.

Il se précipita une nouvelle fois dans ma direction.

— Reste avec moi, ordonna-t-il, sa voix une ancre à laquelle je m'accrochais désespérément.

Il appuya sur la plaie, essayant de stopper l'hémorragie. Chaque pression était une torture, mais je savais qu'il n'avait pas le choix. Je pouvais voir ses yeux briller, me fendant le cœur.

— Merde... Merde... chuchota Arès, sa voix tremblante, ses yeux étaient rouge.
Appeler Anton !

Je souris faiblement en entendant le nom. Anton... je commence à le connaître, ce médecin toujours là quand les choses tournent mal.

Ses compétences et son calme rassurant étaient devenus familiers, presque réconfortants dans ce monde de chaos.

— Tiens bon, Cinaphée, murmura Arès, sa voix tremblant légèrement. Anton va te soigner.

Je voulais lui répondre, lui dire que j'allais bien, que je pouvais tenir, mais les mots me manquaient. La douleur devenait insupportable, chaque respiration me déchirant de l'intérieur. Finalement, l'épuisement et la douleur prirent le dessus, et je sombrai dans l'inconscience.

Arès Kyle Vitale.

La voir comme ça, s'effondrer devant nous, m'avait plongé dans une rage et une terreur que je n'avais jamais ressenties auparavant.

La vision de son corps gisant au sol, sa main pressant la blessure ensanglantée, était gravée dans mon esprit.

Chaque instant, chaque seconde que j'avais passé à la maintenir consciente, à supplier Anton d'arriver plus vite, avait été une torture.

Anton nous a dit qu'elle avait besoin de repos. J'ai l'impression que cette gamine passe plus de temps inconsciente qu'éveillée.

Cette pensée me fait grincer des dents. La voir ainsi, si vulnérable, me rappelle à quel point notre monde est dangereux, à quel point je dois redoubler de vigilance.

Je reste un moment à la regarder, chaque respiration lente et régulière de Cinaphée apaisant ma propre agitation. La douceur de son visage endormi contraste brutalement avec la violence qui l'entoure, avec la violence que j'incarne moi-même.

Je me lève finalement, laissant un baiser léger sur son front avant de quitter la chambre. La maison est plongée dans un silence tendu, comme si tout le monde retenait son souffle en attendant de voir comment les choses allaient évoluer.

En passant par le salon, je vois Anita, qui joue à nouveau avec ses poupées. Je m'arrête un instant pour l'observer, cette petite créature innocente au milieu de tout ce chaos.

Elle lève les yeux vers moi et me sourit de toute ses dents. Je lui rends son sourire, essayant de masquer la tempête qui gronde en moi. Cette enfant mérite une vie meilleure, loin de la violence et des querelles familiales. Et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour la protéger.

Je rejoins Lev, Elio, Ivan et les autres dans le bureau. L'atmosphère est tendue, chacun conscient de la gravité de la situation.

— Massimo ne reculera devant rien, dis-je en entrant. Nous devons être prêts à tout.

— Nous avons déjà commencé à renforcer la sécurité, répond Lev. Des gardes supplémentaires sont en place, et nous avons intensifié la surveillance.

Je hoche la tête, satisfait de ces mesures. Mais je sais que cela ne suffira pas. Massimo est imprévisible, et il ne se contentera pas de simples menaces. Il faut aller plus loin, frapper avant d'être frappé.

— Nous devons passer à l'offensive, annonce Ivan. Utilisons les informations que nous avons sur ses contacts extérieurs.

Je réfléchis un instant, pesant les options.

— D'accord, dis-je enfin. Utilisons tout ce que nous avons contre lui. Il doit comprendre qu'il n'est pas invincible, qu'il ne peut pas agir sans conséquences.

Les discussions se poursuivent, chacun apportant ses idées et ses stratégies. L'unité et la détermination dans cette pièce sont notre plus grande force. Nous savons que le combat sera dur, mais nous sommes prêts.

Après la réunion, je retourne auprès de Cinaphée. La voir allongée là, si paisible, renforce ma résolution. Je prends à nouveau sa main, sentant sa chaleur contre ma peau.

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Durant une semaine, Cinaphée est restée inconsciente. Une semaine où je n'ai fait que des allers-retours entre la chambre blanche et mon foutu bureau. Chaque jour semblait se fondre dans le suivant, le temps se dilatant sous le poids de mon inquiétude.

La voir allongée là, immobile, me rappelait constamment la fragilité de notre situation. Mes nuits étaient hantées par l'image de son corps inerte, son sang coulant sur le sol.

Et chaque matin, je retournais dans cette chambre avec l'espoir futile de la voir ouvrir les yeux.

Mes hommes savaient qu'il ne fallait pas m'approcher pendant cette période. Lev, Elio, Ivan, tous faisaient de leur mieux pour maintenir l'ordre et la sécurité, mais ils savaient aussi que ma priorité était ailleurs.

Anita venait parfois s'asseoir à côté de Cinaphée, ses petites mains serrant l'ours en peluche qu'elle ne quittait jamais.

Elle murmurait des histoires à voix basse, espérant peut-être que sa présence innocente ferait revenir Cinaphée à la conscience.

Avec ma petite cousine, Arya, nous faisions tout pour regrouper le plus d'informations que possible sur mon frère. Me laissant aucun repos.

Le septième jour, alors que je m'apprêtais à retourner dans cette chambre blanche, Anton m'a arrêté dans le couloir.

— Arès, j'ai besoin de te parler.

Il avait cet air sérieux, plus grave que d'habitude, qui me fit immédiatement craindre le pire.

— Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? Demandais-je, d'une voix inquiet.

— Calme toi bonhomme. Elle a montré des signes de réveil ce matin. Son état s'améliore. Répondit-il comme si ce n'était qu'une banalité.

Un poids colossal se souleva de ma poitrine. Je me précipitai vers la chambre, mon cœur battant à tout rompre. En entrant, je vis Cinaphée remuer légèrement, ses yeux papillonnant.

Je m'assis à ses côtés, prenant doucement sa main dans la mienne.

— Cinaphée, murmurai-je, mon pouce caressant le dos de sa main.

Ses yeux s'ouvrirent lentement, la lumière crue de la pièce la faisant cligner des paupières. Elle tourna la tête vers moi.

— Arès... dit-elle d'une voix rauque.

Je hochais la tête, heureux d'entendre sa voix et de la voir réveiller.

— De l'eau, demanda-t-elle.

Sa demande me fit sourire, me ramenant à la première fois qu'elle a atterri dans cette chambre.

— La belle au bois dormant se réveille enfin, prononçai-je avec un sourire aux lèvres.

Elle roula des yeux mais ne put s'empêcher de sourire en retour.

S'en souvenait-elle ?

Je  pris le verre d'eau sur la table de chevet, l'aidant doucement à se redresser pour qu'elle puisse boire, comme elle m'avait demandé de l'eau.

Elle but lentement, chaque gorgée semblant la revitaliser un peu plus. Une fois le verre vide, elle s'appuya contre les oreillers.

— Tu t'inquiètes pour moi maintenant ? Demanda-t-elle, son regard s'attardant sur moi.

À peine réveillé qu'elle me prends déjà la tête.

— Anita sera contente de te voir réveillée. Prononçais-je sèchement, avant de sortir de la pièce la laissant seule.

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Bonjour bonsoir mes lunas.

Comment allez-vous ? Personnellement j'essaye d'aller au mieux que je peux.

Je vous poste se chapitre car même si je vais mal, j'aime toujours autant écrire et vous lire me fait toujours autant plaisir.

Parce que même si je ne me sens pas au top de ma forme mon histoire continue...

Alors n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.

Suis-je trop sadique avec vous ? Où suis-je encore trop gentille ?

Allez moi je file écrire le chapitre 31.

Loove mes petites lunes.

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