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Chapitre 9 - Katsuki

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C'est un tournage assez épuisant... Alors que toute cette promo se termine, c'est un autre tournage qui commence. C'est un rôle mineur dans une série à succès et j'en sors laminé.Et ça risque de ne pas s'arranger avec la suite du planning encore bien chargé et rien qu'en y pensant, j'ai surtout envie de me payer une sacrée cure de sommeil. C'est ce que je préfère faire quand le temps se rafraîchit de toute façon, et à présent que l'automne est franchement installé, j'en rêverais presque ! Pourtant je garde la mesure, soupirant pour la forme alors que j'accepte les dernières recommandations barbantes de Cravate. Ce gars ne vit que pour son taf, c'est-à-dire mon image. À partir du moment où t'es plus chiant que ma propre mère, j'estime que les limites sont largement bouffées... Pourtant je le laisse dans son discours, sans la moindre volonté de le contredire, ce qui ne me ressemble pas du tout ! Et pour le coup, je me suis souvent demandé la tête que ferait Eijiro s'il me voyait me la fermer alors qu'on me fait ouvertement la morale. Oh bordel, faut que j'envoie une merde pour l'annif de ce crétin pendant que j'y pense. Bon il est passé, mais j'étais pas là, j'ai une bonne excuse. De toute façon, Eiji ne m'en veut jamais !

Et pendant que je pense à mes petites affaires, l'autre s'échine parce que j'ai été vu en train de me balader dans le centre de la ville à une heure tardive ! Il dirait quoi s'il savait que je couchais avec un streap-teaser ?

— Ouais ouais, ça va j'ai pigé ! Je mettrai un masque la prochaine fois ! Je me barre là ! Cause tout seul.

Après je n'ai pas dit non plus que je n'avais pas de limite !

Et pour le coup je sors du bureau, alors qu'il grogne après moi derrière. Mais je l'ignore complet, avisant juste mon téléphone en regardant l'heure. Il est déjà tard, et j'ai hâte de rentrer chez moi ! Je sais que Eijiro est rentré depuis presque une semaine, et surtout je sais qu'il a passé pas mal de temps avec Izuku ! Et quelque part au fond, j'espère juste qu'il soit lui aussi à la maison.

J'ai envie de sentir ses phéromones, juste un peu...

Quand j'arrive devant mon immeuble, je passe par le garage exprès, voulant voir si la voiture d'Izu est à notre emplacement, grognant ma satisfaction de la voir justement. Alors je suis ravi de rentrer, traînant ma valise en insultant mentalement ce maudit ascenseur qui ne va décidément pas assez vite pour moi. Puis enfin les portes s'ouvrent à mon étage, je vais directement vers ma porte, soulagé de pouvoir me retrouver un peu dans mon espace personnel.

Putain, que je suis content d'être de retour... Je ne pense qu'à les retrouver, même si c'est de cette façon. Peut-être même que c'est foutrement mieux comme ça ! Je passe à peine la porte d'entrée, laissant mon immonde bagage juste là, que tout me claque à la gueule !

Des glapissements euphoriques qu'Izuku échappe à chaque fois qu'il pousse sur ses jambes, de leurs phéromones bien plus édulcorées qu'une barbe à papa. Jusqu'à les voir en plein ébat sur notre canapé.

Aucunement dérangée par cet accueil que je sais calculé, mes glandes répondent férocement à cette invitation et mon odeur se mêle très vite à la leur.

Sans un mot, ma bouche trouve celle de Izuku, étouffant ses plaisantes complaintes, et il ralentit sa cadence sans s'en rendre compte, faisant grogner Eijiro. Les choses s'engagent alors de façon à me faire une place dans cette étreinte passionnée. Le baiser qu'on échange toujours se fait avide, laissant Izuku pantois. Sa bouche dévore la mienne, ses yeux pourtant ouverts semblant complètement perdus. Je croise le regard de l'autre Alpha qui semble reprendre le fil de ses idées, ses mains parcourant férocement la peau de son amant. Il s'adore de son pectoral, maquillant son téton rougi de sa dure attention, mais il m'approuve d'un seul coup d'œil.

Le rugbyman chaine le danseur, quittant sa chaleur en se redressant pour le replacer à quatre pattes sur le divan tandis que je retire mon pantalon, découvrant mon sexe à peine dressé. Mais pas pour longtemps, Izuku plonge sur moi comprenant parfaitement ce que je souhaite, et m'avale. Eijiro replonge dans ses chairs, le faisant gémir fortement, sa langue vibrant sur ma queue à présent pleinement éveillée.

– Katsuki...

Le streap-teaseur se cambre, pilonné vigoureusement, et me lèche de son air insatiable. Il me sourit, particulièrement fier, puis me reprends de nouveau au fond de sa gorge avec toute cette impatience gourmande qui le caractérise tant. Ses reins s'accommodent parfaitement du rythme infernal du sportif et je le vois peu à peu perdre pied.

Et il n'y a pas de meilleure façon de souffler après une longue période de boulot...

– Quel accueil !

Eijiro rit un peu, son souffle toujours irrégulier après l'orgasme qu'il vient de vivre. Il me lance un regard complice et on éclate de rire. Difficile d'expliquer pourquoi, juste on se marre comme des ânes. Izuku redresse alors la tête, son petit sourire satisfait sur les lèvres, mais ne nous pose aucune question sur notre soudaine hilarité. Il s'est installé entre nous deux après s'être rafraîchi, bien qu'il n'ait pas pris la peine de se rhabiller !

Le salon est saturé de phéromones, pouvant certainement en dégouter certains. Mais c'est chez nous et ça n'appartient qu'à nous... J'ai l'impression de m'arracher un masque horrible du visage pour enfin me sentir libre et cette sensation m'apaise terriblement.

– Je suis vanné !

– Si rapidement ?

Izuku se colle à moi, son bras enroulé autour du mien. Il me fixe en silence en se triturant les lèvres, me faisant hésiter sur ses intentions. Pourtant je le sais, ce gars est insatiable ! Même s'il ne dit rien, se couchant finalement sur mon ventre, me donnant l'impression qu'il est tout aussi fatigué que moi.

– Les gars vous avez faim ?

– Ouais, mais je ne prépare rien ! Démerde-toi ! ... T'es fatigué le nerd ?

– Si je m'en occupe, je commande, vous plaignez pas ! hurle Eijiro en fuyant dans la cuisine sans attendre de réponse de peur de ne pas pouvoir commander ses précieuses pizza...

– Mmmmh... Je profite de mon jour de congé pour me reposer !

– Ça veut dire que vous vous êtes envoyé en l'air combien de fois ?

– Que trois fois...

– Putain de nympho !

– J'ai dit que je profitais de mon jour de congé !

Je ris doucement, le secouant alors que je finis par passer mon bras autour de ses épaules, dessinant distraitement sur sa peau.

– Ça a été sinon ton tournage ?

– Ouais, j'ai enchainé ! Je suis crevé au possible !

– Ca parle de quoi ce coup-ci ?

– Tu as déjà vu ?

– J'ai regardé ta série l'autre fois. Je n'ai pas retenu le titre... Tu joues un gars tout doux et amoureux, c'était trop bizarre de te voir comme ça. Mais j'ai été très surpris, tu étais si convaincant ! On dirait que tu es vraiment amoureux.

Je ricane un instant, prenant le compliment. Je sais qu'il n'y a aucune jalousie derrière sa remarque, ce n'est pas du tout le genre de Izuku, je continue de le penser même après ce qu'il s'est passé avec son autre pote là. Tout comme il protège sa propre liberté, il ne se permettrait pas de nous priver de la nôtre.

– Ah ça doit être la série "If you want", c'est mon tout premier rôle, mais t'as vu ? Je suis déjà un Dieu de la caméra ! Par contre, je supporte pas Sun ! Ce gars est un total connard.

– Oooh, il a été méchant avec mon Katchan ?

– Pas méchant, dis pas de connerie. Juste... Tiens je me suis déjà fait la réflexion que tu détesterais ce gars ! Il est du genre "je suis un Oméga alors tous les Alphas sont à mes pieds" ! Sur le plateau, il a exigé d'être le seul Oméga... Enfin bref, cet abruti ne se définit que par ça, c'est putain de con.

– Oh oui d'accord, je vois ! Mouais, je crois qu'on s'aimerait pas lui et moi ! S'il n'a que son second genre pour se sentir exister, c'est plutôt pathétique...

– J'ai déjà imaginé à quel point il péterait un câble si tu venais me voir en tournage... T'es bien plus sexy que lui !

– Si c'est toi qui le dis, je ne peux que te croire... Donc tu m'emmènerais sur un plateau ?

– Pourquoi pas ? Puis ce serait franchement marrant de le faire chier.

– Compte sur moi alors. J'aime bien aller jouer avec les nerfs des gens...

– J'aime beaucoup quand c'est avec ceux des autres...

– T'es pourtant une de mes victimes préférées...

– Ah oui ?

Il bouge soudainement, redressant la tête alors qu'il me lance un sourire rempli de sous-entendu malgré le sommeil évident qui se lit dans son regard. Ses mains se font complètement aventureuses, se permettant de se glisser sous ma chemise déjà bien débraillée, retraçant mon corps pour suivre un fil invisible, mais bourré de vice qu'il semble deviner. Je sens d'un coup sa virilité se gonfler contre ma cuisse, me montrant à quel point il est excité et il minaude un peu, jouant clairement celui qui en veut plus encore...

– Mais putain, il n'y a pas un moment ou tu t'arrêtes ?

– Tu as dit que tu étais un Dieu non ?

– Devant une caméra, j'ai précisé...

– Oh, ça ne me dérange pas non plus...

– Dans tes rêves !

Son sourire fabuleux jaillit et il appose sa bouche sur ma mâchoire, sa main arrivant près de mon aine, la gratifiant d'une douce attention sans descendre plus bas.

– Mais comme tu es fatigué, je peux prendre soin de toi... Tu veux pas que je le fasse mon Katchan ?

Il est à présent complètement fiévreux et ses glandes chantent une lyre similaire, m'emmenant si facilement avec lui dans ses pensées lubriques dont il me bourre le crâne.

– Laisse-moi faire.

– Le jour où je dirais non, putain

Il ricane doucement, amusé, et ne parle pas de nos nombreuses fois où je lui ai pourtant dit "stop" ! C'est qu'il est du genre vorace...

Sa bouche embrasse d'abord la peau de mon ventre pendant que ses mains s'assurent de délivrer de nouveau mon sexe. Son corps s'allonge doucement tandis qu'il se met à quatre pattes juste à côté de moi, cambré au maximum pour que je puisse l'observer. Il sait que j'aime le voir me sucer...

Mais il ne fait que s'assurer de me trouver parfaitement prêt, me faisant durcir entre ses lèvres, et m'enfile rapidement un préservatif avant de me grimper sur les cuisses.

– Tu m'as trop manqué, tu sais !

C'est la seule explication qu'il me fournit avant de glisser ma queue dans ses chaires, le laissant souffler son bien-être. Il enroule très vite ses bras autour de ma nuque, échappant un "Katchan" terriblement brumeux au moment où il amorce un premier mouvement. Le paradis est merveilleux entre ses cuisses, mais le baiser qu'il me donne maintenant l'est encore plus ! Grondant son impatience, sa langue s'amuse de la mienne aussi bien qu'elle le faisait sur ma queue à peine quelques secondes avant.

Le plaisir grimpe autant que l'air entre nous semble complètement vicié de nos hormones de nouveau en ébullition et je goute une fois de plus à cette osmose incroyable qui nous lie à présent. À travers mon propre plaisir, je devine parfaitement celui de Izuku. Je sais alors qu'il se frustre un peu de ne pas trouver le bon rythme et je sens aussi ce pic de félicité qui lui ébouillante les reins quand sa prostate est visée.

Je prends le relais quand sa contrariété le fait gémir d'apitoiement. Et puis, poussant sur mes jambes, je ceinture mon amant, l'emportant alors que je le couche sous moi, le faisant papillonner doucement avant de le voir exploser son plaisir. Y a pas moyen qu'il puisse reprendre son souffle, ne serait-ce qu'un peu, au contraire ! Je veux qu'il grimpe haut avec moi...

– Ah... Je confirme, c'est un accueil agréable !

Eijiro éclate de rire en voyant alors que je lui montre amicalement mon doigt. Je l'ai complètement zappé ! Pire, je ne l'ai même pas entendu sortir ! Pourtant l'odeur des pizzas emplit très vite la pièce et je l'entends préparer le tout, grognant de constater qu'elles ne sont pas coupées. C'est presque amusant de savoir qu'il vaque à ses occupations alors qu'on est clairement occupé juste là. Mais il sort très vite de mon attention quand je sens Izuku se contracter autour de moi.

Izuku se mure dans son extase sans faire attention aux restes. Il suit ma cadence, le plaisir lui brûlant la gorge et je ralentis un peu le rythme.

– Non... Katchan non ! Aaah...

– Est-ce que tu sais à quel point tu es sexy quand tu supplies ?

– Va plus fort Katchan, j'y suis presque ! S'il te plait !

– Putain ouais, t'es vraiment trop sexy...

Alors je frappe comme un dératé, le grondement rauque sifflant de mes lèvres, sentant ma propre extase à son apogée. Je me crame la cervelle, incapable de regarder ailleurs que ce visage aux joues étoilées, totalement purpurines de délices. Eijiro surgit à côté de moi, conscient, lui aussi, que Izuku est sur le point d'être emporté par ce chant de sirènes des plus alléchant, et il semble bien décidé à l'y précipiter...

– Vraiment trop sexy... approuve-t-il à son tour avant lui lécher la nuque

L'autre Alpha cale la glande de l'Oméga entre ses crocs tandis que sa main vient soudainement le branler. Et il n'en faut pas plus pour que Izuku jubile un orgasme démentiel. Et c'est justement quand il se crispe brutalement, échappant ses jappements complètement arrachés qu'il chante en bruissant mon prénom, que tout se contracte pour moi aussi...

La descente est douce et légèrement douloureuse, mon corps me faisant comprendre qu'il n'est pas forcément en accord avec mon pénis. Je ne sens plus mes abdos ! Ou plutôt si, je les sens bien trop... Mais bordel que je suis bien !

– Rhabille-toi Kats', sinon il va encore te sauter dessus !

– Non merci, je suis vanné ! J'arriverais même plus à bander !

– C'est un défi ?

– Stop le nympho !

Alors que je récupère encore mon souffle, j'éclate de rire. Paradoxalement, avec la fatigue dégueulasse que je me traine clairement, je me sens requinqué tout de même ! Et je ne retiens pas de le montrer, me retirant doucement tout en me penchant pour mordre légèrement le putain d'excité de service.

– Ah, tu me cherches aussi !

Il gémit, les joues encore rouges, en sentant mes dents et tire une moue adorable et aguichante. Et ouais, j'avoue que j'ai vraiment envie de l'embrasser !

Mais les règles sont claires, on évite les papouilles en dehors du pieu, alors je grogne juste, mais me relève doucement, m'éloignant finalement de lui. J'ai toujours la capote et y a rien d'agréable à ça !

– J'ai deux Alphas pour deux fois plus de sexe normalement ! Et finalement je finis sur le carreau...

– Tu plaisantes j'espère ?

Il est évident que oui, mais ça ne nous empêche pas de grogner, légèrement vexé, même si on en dira rien. Je fais un nœud au préservatif et l'emballe vite avec un mouchoir, et tente de préparer mentalement mes jambes à la future balade jusqu'à la poubelle.

– Donne Bro, je vais le jeter !

Surpris, je le regarde avec mon mouchoir plein de vice en main alors que Eijiro me fixe avec son habituel sourire sur la tronche. Il ne voit jamais rien de suspect t'façon, mais je ris tout de même en lui tendant mon paquet qu'il prend sans réfléchir. Ça peut lui sembler stupide, mais moi je n'aurais jamais pensé que mon putain de meilleur pote se proposerait pour jeter ma capote ! Et au vu de l'expression amusée de Izuku, il pense pareil, mais tout comme moi il connait suffisamment la grande asperge pour faire un quelconque commentaire...

J'avise mon pantalon et caleçon jeté à la va-vite ainsi que ma chemise clairement salie et je me décide à juste remettre au moins mon caleçon. De toute façon, la douche ne sera pas une option, mais d'abord la bouffe ! Je vais rapidement me laver les mains, Izuku à mes talons qui en profite pour se rafraîchir aussi et puis on s'installe enfin à table.

– Merci au cuistot d'avoir pris la peine de descendre chercher nos victuailles ! salue l'Oméga avec ironie

– un plaisir que de vous inviter à ma table, festoyons les amis !

Et toujours en se chamaillant comme des gosses, je les regarde se chercher presque ouvertement.

– Nan, mais attends Kats', quand tu n'étais pas là, il a eu ses chaleurs, on a baisé comme des lapins je te dis pas ! Et il ose se plaindre !

– Oh ouais... Ça s'est bien passé alors ?

Je soupire de ne pas trouver la pizza végétarienne que je prends toujours pour tenter d'amortir le gras. Tout le monde n'est pas comme cet abruti à pouvoir engloutir un cachalot sans prendre l'ombre d'un bourrelet ! Mais évidemment il n'a pas pensé à ça, alors tant pis, faudra faire avec le gras et une heure de sport de plus au moins...

– Ouais il n'y a pas eu de soucis ! Même s'il m'a abandonné parfois car il préférait aller taper dans sa baballe...

– J'ai des entraînements ! C'est mon boulot !

– Chut ! On ne se trouve pas d'excuses... C'est pareil, tu n'étais pas là... Toi non plus mon Katchan !

– Ouais, j'espère être là aux prochaines.

– Moi je me demandais aussi si vous alliez essayer à trois pendant vos ruts !

Il est vrai qu'on ne sait pas encore... Je connais Eijiro et ses phéromones et inversement, mais clairement, c'est une tout autre situation. Quand bien même en temps normal, pendant cette période, on ne prête pas attention à l'autre ni n'y voit un rival potentiel, là il s'agit justement d'être légèrement plus à l'assaut de ses instincts. Ce n'est pas impossible que je ne supporte pas sa présence, ou inversement d'ailleurs.

C'est qu'il est bien plus territorial qu'il n'y paraît...

– Faudra voir, c'est tout ! Si ça ne va pas, on fera en duo que veux-tu.

Izuku sourit d'un air bienheureux, enchanté par l'une ou l'autre perspective, dans tous les cas, lui aura son lot de sexe !

– En tout cas, pour ses chaleurs, ça posera pas de problème ! Il n'est jamais fatigué... On a passé trois jours au pieu ou presque !

– À dire vrai, je suis complètement vidé ! Lever un bras relève du miracle !

– Bien joué tête de ballon, t'es venu à bout du Nympho !

– Oh tu as participé aussi !

– Izu, tu ne veux pas rester dormir ? T'es fatigué, et en plus ce sera plus simple pour m'emmener demain...

Je mords dans une part grouillante de graisse qui me fuit sur les doigts, chaque bouchée m'inspirant une série de pompes supplémentaires, et je lui lance un regard plein de questions.

Depuis peu, c'est Izu qui m'emmène aux entrainements, c'est sur le chemin de sa salle de sport. On passe prendre Hanta sur le chemin et pfiou, on file !

J'acquiesce sans plus, souriant à la perspective de le voir dormir chez nous.

– C'est l'après-midi Eijiro ! Il n'y a rien de logique...

– Si ! Je te promets de me laisser laminer à ton jeu toute la matinée, doooonc ?

– Oh oh ! Tu en veux encore ?

– Si ça te fait rester, je suis prêt à sacrifier ma fierté ?

Je m'étrangle presque, le regardant d'un presque trop sérieux.

– Ah, tu l'as retrouvé ?

– Mais ferme là...

Mais Izuku lève un pouce, ricanant totalement lui aussi, mordant dans sa part de lipide dégoulinant.

– Ah, mais arrêtez ! Vous êtes absolument trop méchant en fait...

– Oh mon petit coup de cœur ! Tu as le droit à un Joker, demandes ce que tu veux...

– Bah reste cette nuit alors !

– D'accord ! D'hab les gens me demandent un truc plus chaud et intéressant...

– Laisse le temps à mes couilles de se remplir à nouveau !

– Tch, il va te laisser deux heures de repos, pas plus !

Une fois de plus, on rit tous ensemble alors qu'on termine de manger. Et les choses continuent de la sorte, me laissant une réelle impression de pur bien-être s'incruster tout au fond de mon crâne. On s'est juste douché, et on est tous partis dormir...

Ensemble... 

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