Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 18

Alors qu'ils étaient tous les deux devant le journal télévisé, Derek apparut dans le jardin et entra après avoir questionné silencieusement le Shérif.

— Qu'est-ce qui vous amène, Derek ? demanda celui-ci.
— Je viens chercher Stiles, on doit aller chez Scott, il a des trucs à nous dire.
— Maintenant ? s'étonna le concerné. Scott avait dit trois heures...
— Il a changé d'avis, je viens de recevoir un message, apparemment, Anise est en chemin.
— Pardon ?
— Allez-y, dit Noah. Ne le faites pas attendre.

Stiles observa son père puis hocha la tête et remonta rapidement dans sa chambre pour récupérer ses affaires après quoi il quitta la maison, Derek sur les talons.

.

Les deux garçons furent à l'ancienne savonnerie dix minutes plus tard et en effet, une petite voiture inconnue était garée près du SUV de Scott. En sortant de la voiture de Stiles, Derek huma l'air et opina.

— Elle est bien là, dit-il. Minute, elle n'est pas toute seule...

Stiles porta sa main à son arme et Derek le tempéra d'une main en passant devant. Ils se rendirent jusqu'aux portes de l'usine, entrouvertes, mais le silence qui régnait n'était pas très normal.

— D'habitude, il y a toujours des gardiens, souffla Stiles à voix très basse.

Les capacités de Derek lui permettaient de l'entendre sans aucun problème et il opina. Ses yeux rougirent soudain et il dégaina ses griffes. La seconde suivante, une ombre lui tombait dessus depuis une pile de conteneurs et il se retourna en rugissant. Le coup de griffes qui partit envoya l'agresseur contre le mur et il retomba sur le sol, assommé. Stiles pointa son pistolet sur lui comme il se redressait en secouant la tête.

— Agent Fédéral, les mains en l'air ! annonça-il.

L'homme obéit. Il était vêtu d'une tenue de combat similaire à celles des agents du SWAT et Derek donna un coup de pied dans son fusil pour l'éloigner.

— Qui êtes-vous ? demanda alors Stiles en jetant un bref regard à son compagnon qui s'était redressé.
— Capitaine Martin Boyd, répondit l'homme, tête baissée.
— Qui vous envoie ?
— Le Colonel James.

Derek grogna et montra les dents. Il se retourna alors comme un lent battement de mains résonnait. Stiles contourna le soldat et le fit lever non sans continuer à le tenir en joue.

— Vous n'avez vraiment aucun respect, siffla Derek.
— Respect de quoi ? De sales bêtes qui détruisent tout et dévorent les gens ?
— On ne parle pas des mêmes bêtes, là, répondit Stiles.
— Ah non ? Alors expliquez-moi comment un « puma » ou un « lynx » peut-il attaquer des campeurs et laisser leurs corps à la nature, à moitié déchiquetés ?

Derek regarda le militaire. Il était accompagné de deux autres soldats derrière lui, armés.

— Ce n'est pas nous, répondit-il en se redressant. Les loups de Scott protègent la ville, jamais ils ne tueraient, ils n'en ont pas le droit.
— Pourtant, nous avons suivi une trace sanglante depuis Oshawa...

Stiles sentit le sang se retirer de son visage.

— Jared... dit-il.
— Impossible, répondit Derek. Jared est mon meilleur ami, il...

Le loup se tut et regarda le Colonel, puis Stiles.

— Jared a débarqué ici totalement amnésique... souffla celui-ci. Est-ce que ce serait possible que...

Un silence pesant plomba le petit espace entre les caisses de marchandises et Stiles baissa alors son pistolet et remit la sécurité en retirant le chien.

— Colonel James, dit-il ensuite. J'ignore pourquoi vous êtes encore dans l'armée après ce que vous avez fait subir à Derek, mais si vous êtes ici, avec si peu d'hommes, pour attraper une panthère-garou, je vous souhaite bon courage. Jared est encore plus vif et mauvais que Derek et vous vous souvenez de ce qu'il a fait à vos hommes, n'est-ce pas ?

Le soldat désarmé frémit et Derek croisa alors son regard.

— J'y étais, dit le soldat. J'ai vu cet homme déchirer mes camarades...
— Balivernes ! coupa James. Une balle dans le cœur et on n'en parle plus !

Stiles renifla et se retint de rire. Il rangea son arme puis s'éloigna en secouant la tête. Surpris, Derek le suivit, plantant là les trois soldats et leur chef.

— Hé, Stiles, tu fais quoi ? dit-il en l'arrêtant.
— Ces quatre abrutis ne savent même pas ce qu'ils cherchent, répondit le plus jeune. James veut se faire mousser, il a très certainement pris très cher pour t'avoir torturé, il veut se faire bien voir auprès du Pentagone.
— Stiles, ce mec est dangereux !
— Lui oui, mais les trois gus avec lui étaient dans le labo quand je suis venu te chercher. Je ne pense pas qu'ils se mettrons entre toi et leur chef, si tu vois ce que je veux dire...

Derek jeta un regard en arrière et serra les mâchoires. Stiles tira alors son portable et appela Scott qui lui confirma qu'ils étaient à l'intérieur du bâtiment avec Anise.

— Allez, on y va, dit alors le jeune homme en raccrochant. Vous allez faire connaissance avec le patron, alors je vous conseille de fermer votre claque-merde, surtout vous Colonel.
— Stiles... soupira Derek.

Le plus jeune traversa le groupe de soldats puis s'éloigna et les trois hommes le suivirent alors. James demeura sur place et Derek lui fit face.

— Vous avez de la chance d'être humain, lui dit-il. Sans ça, je vous aurais défié et aurais pris un grand plaisir à vous tuer. Vous m'avez torturé pour votre propre intérêt parce que je suis différent, mais je vous assure que je ne l'oublierai pas et si vous êtes encore vivant là maintenant, c'est parce que je n'ai pas reçu d'ordre contraire.

James esquissa un sourire effronté et les yeux rouges de Derek le lui firent aussitôt ravaler. Il tourna ensuite les talons et le loup le poussa en avant jusqu'au bâtiment de la savonnerie.

— Alpha, je t'apporte le goûter ! s'exclama Stiles en entrant dans la zone où les loups se retrouvaient.
— Des soldats de l'armée de l'air américaine ? répondit Scott, surpris. Vous avez un sacré bol d'être arrivé là sans tomber sur mes loups.

Les trois hommes n'en menaient pas large et se laissèrent désarmer. Quand le Colonel James apparut, Scott grogna et se leva.

— Ça va, dit alors Stiles. Tu l'arrangeras plus tard, laisse-le expliquer sa présence d'abord...

Tournant la tête, Scott renifla et observa le soldat que Derek avait expédié contre le mur du bâtiment.

— Agnès, tu t'occupes de lui, il est blessé.
— Oui, Alpha. Venez avec moi, je vais regarder vos blessures, je ne vous mangerai pas, promis.

Le soldat, qui se tenait le bras, eut un violent frisson et Agnès l'emmena avec lui. Scott se tourna ensuite vers James.

— Je vous écoute ? Vous avez intérêt à avoir une très bonne raison pour entrer sur mon territoire sans autorisation.
— Cette ville est encore la propriété de son maire, objecta le Colonel.
— Certes, mais pas la savonnerie.

Le militaire plissa le nez puis Scott l'invita à s'asseoir et Isaac proposa du café. Derek sentit soudain une odeur familière et pivota pour tomber face à face avec Anise. En le voyant, celle-ci porta ses mains à sa bouche et fondit aussitôt en larmes en se précipitant sur lui.

— Dieu soit loué, vous avez survécu ! s'exclama-t-elle en se jetant à son cou sans vergogne.
— Oui, et c'est grâce à vous, répondit Derek quand elle recula. Venez, allons ailleurs, ici ça pue un peu trop...

James marmonna et Scott esquissa un sourire. Derek conduisit ensuite la jeune laborantine dans une cuisine attenante et la jeune femme, avisant une bouilloire, proposa aussitôt quelque chose de chaud.

— Allez-vous me dire la raison de votre présence dans la tanière de Scott ou vais-je devoir deviner ? demanda Derek en réponse, suivit d'un signe de tête.
— L'Agent Kennan m'a contactée... Elle m'a demandé si je n'étais pas trop traumatisée pour changer de travail. Au début, je n'ai pas compris puis je me suis souvenue l'avoir vue dans le labo, quand l'Alpha et l'Agent Stilinski sont venus vous délivrer.
— Elle vous a proposé de travailler pour Scott ? s'étonna Derek.
— Oui, à sa demande. Je suis arrivée il y a une heure environ, j'étais à Las Vegas quand elle m'a contactée et après avoir réfléchi un moment, j'ai fait mes bagages et je suis partie pour Fresno.
— Vous vous sentez capable de supporter les humeurs changeantes d'une trentaine de loups ?
— Je vous ai supporté pendant deux mois, Monsieur Hale, à côté de vous, ces Bêtas sont des enfants capricieux, sourit Anise.

Derek sourit en retour puis secoua la tête. La jeune femme déposa alors devant lui une tasse et s'assit de l'autre côté de la table en soupirant, les mains autour de sa propre tasse.

— Je sais que c'est dangereux, dit-elle. Mais le monde a le droit de savoir, pas maintenant, dans quelques temps, et si je peux aider à confectionner n'importe quelle substance qui permettrait à des loups de se fondre dans le paysage, alors je serais ravie d'aider.

Elle marqua une pause pour retirer le sachet de sa tasse et Derek l'imita, silencieux.

— Monsieur McCall m'a expliqué que j'aurais à travailler sur quelque chose pouvant aider son fils à supporter la pleine lune. Il me paraît jeune pour avoir un fils adulte...
— Liam n'est pas son fils de sang, c'est son Bêta, son premier Lieutenant. Tout le monde les considère comme apparentés, car leur relation est très fusionnelle et du fait de notre nature, il y a peu de chance que nous ayons des enfants à nous, alors nous compensons comme nous pouvons.

Anise opina lentement en buvant son thé et reposa ensuite la tasse.

— Qui est l'Agent Stilinski pour vous, Monsieur Hale ?
— Mon compagnon.

La réponse avait été du tac au tac, Derek n'avait même pas réfléchi une seconde avant de parler et Anise haussa les sourcils.

— Je... À vous voir, on ne pense pas...

Derek secoua la tête.

— Entre Stiles et moi, ce n'est pas comme vous vous imaginez, nous nous connaissons depuis dix ans et j'ai été absent pendant près de sept ans, mais ça a été compliqué pendant les trois ans que j'ai passés à Beacon Hills.

Il se tut et Anise serra ses doigts autour de sa tasse.

— Je n'insisterai pas, dit-elle avec un mince sourire. Apparemment, c'est encore compliqué aujourd'hui.
— De moins en moins, mais... Oui, c'est encore compliqué.

Un silence s'installa alors et Anise avala un peu de thé.

— À présent, dites-moi ce que fait ce traître de Colonel ici, dit-elle.
— Aucune idée, du moins si, il est sur la trace d'une panthère.
— Laissez-moi deviner, une panthère-garou ?
— Mon meilleur ami, Jared, en est une, il est arrivé ici il y a une dizaine de jours, incapable de nous dire comment il avait fait pour quitter la morgue et...
— Minute. La morgue ? coupa Anise.

Derek soupira et entreprit ensuite de lui raconter son histoire. Il l'acheva par sa capture et Anise l'empêcha de continuer en levant les mains.

— Donc, ce Jared est mort depuis six mois et brusquement, il reparaît, bien vivant, mais transformé en panthère-garou ? dit-elle. Comment c'est seulement possible ? Il était mort et... Comment ?
— Aucune idée. Tout ce que je sais c'est que je l'ai tué, Anise, j'ai senti sa nuque se briser sous mes doigts, il n'y avait aucun moyen qu'il survive.
— J'ai déjà vu des nuques brisées et je suis d'accord, néanmoins, il se passe beaucoup de choses bizarres dans ce monde, des choses que la majorité des gens ignorent et je serais à peine surprise si vous me disiez qu'un esprit ou quoi que ce soit, ait pris possession du corps de Jared alors qu'il était encore chaud, agonisant peut-être, et l'ait ressuscité.
— Mais encore ?
— Les légistes récupèrent le corps après sa découverte, les feds trouvent vos papiers, ils vous associent à sa mort, c'est fini. De son côté, Jared est encore « chaud » si je puis dire, il est mort depuis huit, dix heures, il est mis dans un tiroir, on procède à son autopsie, nuque brisé, meurtre, mandat d'arrêt international, terminé.
— Mais Jared se réveille dans le tiroir, il s'en extrait Dieu sait comment et il se barre, continua Derek, intrigué. Quelque chose le possède, quelque chose qui me cherche ?
— Pourquoi pensez-vous cela ?
— Je l'ignore, mais je ne suis pas un loup ordinaire...

Anise pinça les lèvres.

— Admettons. Cette chose vous cherche, pourquoi ? Parce que vous êtes un Alpha Supérieur, un être unique au monde, apparemment. Elle vous cherche, mais encore une fois, pour quoi faire ?
— Aucune idée. Me voler mon pouvoir, sans doute. Pour cela, il suffirait de me tuer, comme Peter l'a fait avec sa sœur, ma tante.

Anise leva l'index.

— Votre mère était un Alpha Supérieur quand elle est morte dans l'incendie et le gène s'est réveillé chez sa sœur, la famille est partie et votre oncle est resté à Beacon Hills, considéré mort. Votre retour ici l'a fait revenir à la vie, si j'ose dire, il s'est enfui de l'hôpital, il a retrouvé sa sœur et il l'a tuée.
— Bon résumé. J'ai obtenu le gène en le volant à mon oncle, il est redevenu un Bêta après cela. Ma mère étant une Alpha Supérieure, j'avais ce gène évolué en moi, en devenant un Alpha, je l'ai réactivé. Peu importe qui me tue, il ne deviendra qu'un Alpha normal s'il n'a pas le gène de ma famille.
— Y a-t-il d'autres membres de votre famille encore en vie ?
— Pas que je sache. Du moins, les enfants de mes tantes vivent sur ce territoire, mais nous nous sommes perdus de vue il y a bien longtemps, je n'ai ni frères ni sœurs, et mon oncle et sa fille ne sont pas dans ce pays.

Anise pinça les lèvres et but un peu de thé, pensive.

— Tout ça pour en arriver au meurtre de sympathie d'un garçon mordu par une panthère-garou qui a débarqué ici alors qu'il était censé être mort, souffla-t-elle. Où est-il ?
— Chez moi, il ne sort pas beaucoup, il a peur des loups de Scott, certains ne l'aiment pas et je ne peux pas rester à ses côtés tout le temps.
— Oui, bien sûr. Je vais rester quelques temps dans cette ville, je vais tâcher d'aider Monsieur McCall avec son fils et peut-être que je pourrais ensuite aider votre ami ?
— En quoi ?
— Je l'ignore, avoir confiance en lui ? Après tout, il est comme un nouveau-né, même s'il a été mordu il y a six mois.
— C'est vrai... admit Derek.

On toqua soudain contre la porte entrouverte de la cuisine et Stiles passa la tête. Il sourit à Anise puis les deux se levèrent et le suivirent.

— Mademoiselle Lambert, quel déplaisir de vous revoir...

Anise frissonna et croisa le regard du Colonel James. Il affichait un sale sourire en coin et Derek grogna à son encontre. L'homme releva le menton.

— Alors, qu'est-ce qu'il fou ici ? demanda ensuite le loup à Scott.
— Il cherche Jared.

Derek haussa un sourcil et croisa les bras.

— Et vous pensez que nous allons vous le remettre gentiment ? grinça-t-il.
— Écoutez, Monsieur Hale, j'ai peut-être été renvoyé de l'armée américaine, mais je travaille toujours pour le gouvernement et j'ai des ordres, répondit le Colonel. Votre ami s'est réveillé après avoir été mort pendant près de vingt-quatre heures, autopsié, ses organes ont été retirés, analysés, pesés et replacés dans son corps... Même en étant une bête surnaturelle, c'est impossible !
— Nous ne sommes pas des bêtes, grinça Isaac, près de Scott.

Celui-ci posa une main sur son bras et le Colonel déglutit.

— Je veux juste le voir, dit-il. Il ne lui sera fait aucun mal, vous avez ma parole.
— Vous auriez dû me contacter d'abord, répondit Scott en croisant les bras.
— Oui, j'aurais dû, mais est-ce que je savais qu'il y avait une meute de loups-garous qui régnait sur cette ville ? Non.
— Menteur. Vous êtes venus cueillir Monsieur Hale chez lui, répondit Anise, amère. Vous saviez parfaitement à qui vous aviez affaire.

James ne daigna même pas la regarder et la jeune femme serra les mâchoires. Scott fit alors un signe de tête à Isaac qui pria Anise de le suivre en dehors du bâtiment.

— Rentrez à votre hôtel, lui conseilla-t-il en la raccompagnant à sa voiture de location.
— Cet homme est un démon, dit-elle. Prenez garde avec lui, il est capable de tout...
— Scott le tuera avant qu'un des soldats ne puisse réagir, assura Isaac.
— Ces trois hommes ne protégeront pas James, je les connais, ils étaient dans la Zone 51 avec moi et ils ne cautionnaient pas ce que James faisait.
— Avons-nous une chance de les enrôler ?
— Si vous leur dites les bonnes choses, je pense.
— Scott saura leur parler, j'en suis certain. Rentrez, reposez-vous, nous réglons le problème avec le Colonel puis nous nous concentrerons sur la véritable raison de votre venue dans la tanière.

Anise serra les lèvres dans un sourire un peu forcé, monta dans sa voiture et disparut ensuite au loin. Isaac soupira, les mains sur les hanches avant de secouer la tête. Il se retourna en entendant du bruit et avisa les autres qui sortaient de la savonnerie.

— Jared refusera de vous rencontrer, dit Derek.
— Je vous promets qu'il ne lui sera fait aucun mal.
— Je ne peux prendre aucune promesse venant de votre part, répondit Scott. Vous avez osé charcuter l'un des miens, celui auquel il ne fallait pas toucher, et ça, je ne vous le pardonnerai jamais. Demeurez à Beacon Hills si ça vous chante, mais sachez que mes loups surveillent la ville toutes les nuits et que vous ne saurez jamais qui ils sont.

James serra les mâchoires. Il se détourna alors et les trois soldats hésitèrent.

— Allez-y, dit simplement Stiles. Nous savons que vous avez des questions, vous aurez vos réponses en temps en heures.
— Agent Stilinski, nous ne sommes ici que parce que nous avons des familles à nourrir, répondit l'un des hommes.
— Je sais. Allez-y.

Les trois soldats échangèrent un regard puis rejoignirent le Colonel James. Ils montèrent tous à bord d'un gros SUV noir qui partit en faisant crisser les graviers. Stiles croisa alors les bras soupira longuement. Derek passa un bras autour de ses épaules.

— Rentrons chez nous, dit alors Scott. Isaac, tu renvoies tout le monde pour la journée ?
— Oui, Alpha.

Scott opina puis tourna les talons et retourna dans le bâtiment. Derek posa alors son front contre la tempe de Stiles qui ferma les yeux en passant son bras dans son dos.

— Rentrons, dit-il. On doit parler à Jared.

Derek opina et ils quittèrent la savonnerie à leur tour.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro