"au début de notre scolarité, on apprend à nager la où on a pied, la mer est calme. Puis en grandissant, on commence a nager bien plus loin, on a plus vraiment pied mais on sait nager alors il ne peut rien nous arriver non ? Détrompez vous, la tempête arrive bien plus vite que l'on ne le pense...L'océan se dechaine, les vagues sont énormes ! Alors que l'on lutte pour rester à la surface, voilà que quelque chose nous attrape la cheville pour nous tirer vers le fond...On a beau lutter cette chose est bien plus forte que nous, elle nous attire dans l'océan. On retiens notre respiration et on se laisse emporter vers cette endroit inconnu, au plus on s'enfonce, au moins l'on voit les rayons du soleil, jusqu'à être plongé dans l'obscurité total...Là, on commence à ne plus avoir de soufle mais cette chose ne veut toujours pas lâcher prise, alors on s'enfonce encore plus ! La pression devient plus forte, on risque d'exploser, on a peur, très peur. Il n'y a rien pour nous aider, on est seul face au silence de la mer...la pression devient tellement forte, on est a bout de souffle, nos yeux commence à se fermer lentement, on lutte sans vraiment lutter, on n'a plus de force de toute façon...alors on laisse cette horreur nous attirer encore plus profondément, jusqu'à atteindre le fond...on est sur le point de fermer nos yeux à tout jamais sur ce monde, la pression trop forte et l'air qui manque n'aide pas, de toute manière personne ne va nous donner un coup de main, venir nous chercher, alors on se résigne à ce triste sors, la noirceur de l'océan envahissant petit à petit nos pensées et notre coeur. Tout s'arrête, saillez, on a fermé les yeux à tout jamais sur ce monde, la chose nous lâche enfin, surprise. Elle nous regarde, nous tapote le visage, mais aucune réaction de notre part...soudainement elle nous remonte à la surfacex se rendant compte de son erreur, elle le fait le plus vite possible, le coeur battant à toute vitesse, chaque minutes compte ! une fois remonter à la surface, elle attend, inquiète. On ouvre les yeux puis on les referme un peut, faute à la lumière aveuglante. La chose est soulagé, elle pense que tout est réparé, qu'on est comme neuf, si seulement elle savait...

cette "chose", ce sont les notes, les profs, les devoirs. Ils se rendent compte trop tard de ce que ça nous fait et quand on remonte un peut la pente il pense que l'on est déjà au sommet sans aucune égratignure...L'école, source de mon stress et de ma souffrance, elle nuie à ma bonne humeur, jusqu'à m'arracher le sourire des lèvres..."

Je sais pas quoi en pensez...vous aimez bien ?