Chapter 41-7.
Bonjour ou Bonsoir tout le monde !
Comment allez-vous ?
Commentez autant que vous le voulez, cela me ferait très plaisir, même si ce chapitre n'a rien de spécial. 😉
Je suis désolée si, des fois, il y a des mots accrochés ensembles, Wattpad n'aime pas trop OpenOffice, alors je suis obligée de TOUT corriger ! 😂
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Slygry Ravhuff, Chapitre 41-7.
26 Juin.
Quelqu'un frappa à ma porte, et c'est à ce moment, que je me rendis compte que j'étais toujours là.
-Qui que ce soit, je n'ouvrirais pas.
À part si cette personne vient me faire des excuses, ce qui m'étonnerait fortement. Ou que cette personne a un petit-déjeuner pour moi, parce que mon estomac va me lâcher. Disais-je, d'un ton lent, assez fatiguée, et parce que j'étais courbaturée, à cause du parquet.
-Mhh... j'ai... de la salade de fruits, des tartines de confitures, un croissant, et un bon chocolat chaud qui va refroidir, si vous n'ouvrez pas, Mademoiselle.
J'ouvris rapidement, en sentant l'odeur d'ici, et souris :
-Vous savez comment m'amadouer, Berty.
Elle me sourit, gentiment, et s'avança pour poser mon plateau sur le lit, et fit une mine choquée, en voyant le carnage sur le sol, de ma chambre.
C'est vrai que j'ai été un peu excessive, en jetant tout par terre, hier...
-Ce n'est rien, je vais ranger.
-Quelqu'un est venu dans votre chambre ?
-Non, c'est... Moi. Les paroles blessent... fortement, alors...
-Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
-Je... je vais prendre ma douche, pouvez-vous surveiller mon petit-déjeuner, et ma porte, s'il vous plaît ? Demandais-je, en changeant de sujet.
Je vous fais confiance.
Personne ne doit rentrer sauf si c'est Lily, Rose ou Alfred, et vous, mais vous êtes déjà là.
-Vous pouvez compter sur moi, Mademoiselle. Souriait-elle.
-Quel est la température de dehors, Berty ?
-Mais vous n'avez pas le droit de sortir, dans la ville...
-Je vais juste me balader dans les jardins.
J'ai besoin d'une bouffée d'air, après ce petit-déjeuner qui m'a l'air délicieux, et que j'ai très envie de dévorer.
Sur mes dernières paroles, je pris mes vêtements, et entra dans la salle de bain.
Dix minutes après, en finissant de me sécher les cheveux, et d'enfiler mes vêtements, ainsi que mon pull... vert.
Je sortis, en entendant des voix, qui provenaient de ma chambre.
-Ce n'est pas fini, ces cris ?! Demandais-je, en m'exclamant, en sortant de la salle de bain.
Je fus surprise de voir que c'était Tom, qui s'énervait, après Berty.
-Tom ! Sors d'ici, et lâche tout de suite,ce croissant, bordel !
-Pourquoi n'ai-je pas ceci au petit-déjeuner, moi ?! S'exclamait-il, sur Berty.
-Arrêtes de crier sur Berty, et par pitié, lâche ce croissant... je meurs de faim.
-C'est une femme de ménage ! Et si, je fais... cela ? Demandait-il, en croquant dans le croissant.
Tuez-le !
-Non ! M'exclamais-je.
Il continua de le manger sous mes yeux, malicieusement.
-Ce croissant aura, au moins, fait un heureux... Soufflais-je.
-On est censés être ennemis. S'étonna Tom.
-Il se passe quelque chose entre Toi, et Lionne ?
-Quoi ?! Mais n'importe quoi ! S'exclamait-il, en s'énervant, et en partant furieusement.
Je souriais malicieusement, et m'assis à côté de Berty.
-Lui, il connaît l'amour, pas comme son père, au moins.
-Qui vous dit que, Monsieur Malton n'aime pas sa femme ?
-Pour faire de sa femme, son esclave, il ne peut que ne pas l'aimer.
-Ce sont des gens bien compliqués, vous savez...
-Je suis une personne compliquée, aussi.
Moi, je ne détruis pas tout sur mon passage, et je ne rabaisse pas les gens.
Berty riait, gentiment.
-Mademoiselle... Riait-elle, de bon cœur.
-Qu'est-ce qu'il y a ?
-Vous avez complètement saccagée cette chambre, et vous rabaissez les Malton... Alors vous et Monsieur Malton, avez quelques points en communs... je dis cela gentiment, évidemment !
Je ris, et hochais la tête :
-C'est vrai que sur ces points, je ne peux rien dire.
Un silence se fit.
-Est-ce que les Malton ont un salon ouvert, avec piano intégré, si possible ?
Je trouve cela plus apaisant, quand le salon est ouvert.
Et, est-ce que je peux déjeuner dans la salle à manger ?
Ce serait dommage de manger un si beau petit-déjeuner, dans une chambre.
-Ils ont cela, étonnement. Répondait-elle, surprise. Oui, bien sûr, suivez-moi.
Je descendis en portant mon plateau jusqu'à la salle à manger, et le posa.
-Est-ce que le cuisinier peut préparer trois autres petits-déjeuners ? Demandais-je.
-Euh... oui... oui.
Quelques minutes après, des serveuses arrivèrent chargées de gourmandises, de thés, cafés, et de chocolats chauds !
Un vrai buffet !
-Le cuisinier avait cru que c'était pour les Malton, que je demandais cela ?
-Hm... ce n'était pas pour eux ? S'étonna Berty.
-Non Berty, appelez Lily et Rose, s'il vous plaît. Souriais-je.
Berty arrivait avec Lily et Rose, derrière elle.
-Bon appétit ! M'exclamais-je.
Aucune des trois ne bougèrent, et je réagis :
-Qu'attendez-vous pour vous asseoir, et de partagez un petit-déjeuner avec moi ?
-Vraiment ? Demandait Lily, les yeux émerveillés.
-Oui, c'est tout pour vous trois, et d'autres serveuses, et même le cuisinier, si il veut. Il en fait bien assez, comme cela.
Et quinze minutes plus tard, plusieurs serveuses, et le cuisinier s'étaient joins à nous quatre, discutant de tout et de rien, dans la bonne humeur.
Tout le monde m'avait remercié, dix milles fois, avant de retourner à leurs services.
Berty restait avec moi, pour me tenir compagnie.
-Vous êtes une extraordinaire, jeune fille. Souriait Berty.
-N'exagérez pas, mais merci beaucoup. Pouvons-nous aller au salon ?
Mes doigts s'impatientent, à l'idée de jouer du piano.
-Je ne sais pas si vous pouvez en jouer... le piano appartient, à Monsieur Malton.
-Ah oui ? Demandais-je, curieusement.
-D'après ce que je sais, il en joue depuis son plus jeune âge.
-Oh.
Sur ce, nous rejoignîmes le salon, et je m'émerveillais devant la beauté de ce piano.
Il était noir, avec des bordures dorées.
-C'est une merveille, pour toutes personnes aimant le piano. Admirais-je, en m'approchant un peu plus.
-Je ne joue pas de piano, mais je le trouve réellement magnifique. Souriait Berty.
-N'est-ce pas ? Souriais-je, les yeux émerveillés par ce spectacle.
Je comprends mieux pourquoi personne n'a le droit d'y toucher.
L'admirer me suffit, après tout.
Je ne suis pas digne de jouer avec ce piano. Concluais-je, en me retournant vers Berty.
-Oh... j'espérais tant entendre de nouveau le son du piano.
-De nouveau... ?
-Monsieur Malton n'a pas joué, depuis longtemps.
Il a sûrement arrêté... c'est dommage, c'était un très bon pianiste.
-Monsieur Malton rentre vers quelle heure ?
-Dans deux heures. Répondait Berty, en souriant.
-Alors, je peux jouer, pendant deux heures... ?
Je m'avançais lentement vers le piano, et hésitais.
Je ne joue pas à ce point bien pour pouvoir jouer sur un piano, comme celui-ci... mais comment résister, à la tentation... ?
-Soyez indulgente. Riais-je.
Je me mis à jouer cette si douce musique que j'aimais tant jouer : Für Elise.
Je fermais les yeux, et mes doigts glissèrent automatiquement sur les touches du piano, ralentissant aux graves, s'accélérant, aux aigus.
Tout un éclat de créativité explosait dans ma tête, cela faisait si longtemps que je n'avais pas jouée.
Mais le morceau finissait, et je me retournais vers Berty, en m'exclamant :
-Cela fait du bien !
-Vous me disiez, d'être indulgente ? Quelle genre de modeste personne, êtes-vous ? Riait-elle.
-Ne me charriez pas ! Mais, merci beaucoup ! M'exclamais-je, en souriant.
Combien de morceaux, puis-je encore jouer ?
-Je ne vous charrie guère.
Vous êtes une très bonne pianiste.
Même... excellente.
Je vous en prie.
Je pense d'ici, que Monsieur Malton revienne, vous pouvez en jouer... cinq autres.
-Parfait !
Je savais exactement quels morceaux, j'allais prendre, pour ces cinq derniers.
Je souffla calmement, et mes doigts se préparèrent à jouer.
Il y'avait là, une musique connue, que j'appréciais beaucoup : River Flows In You de Yiruma.
Je souris.
Je connaissais plusieurs morceaux par cœur, alors je n'avais en aucun cas besoin de partitions.
Cela finit au bout de trois minutes, mais mon cœur avait encore chaud, dû à cette mélodie.
Je soufflais, les yeux toujours fermés, et quelqu'un d'autre que Berty applaudissait, ironiquement.
-Mon père serait furieux de te voir, surtout Toi, jouer avec son piano.
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Bonjour ou Bonsoir à toutes !
Comment allez-vous ?
Vos réactions ?
Je ne pouvais pas vous laisser sur un fin pareille, alors voilà !
Je remercie spécialement trois filles pour avoir commenté !
Surtout 1Ditail pour m'avoir fait rire ! 😅
Bonne journée ou bonne soirée à toutes !
Je veux 5 commentaires sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂
x.
LeaDream
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