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C'est un Chapitre de 2967 Mots !

Bonne lecture à toutes ! 😊

- -

Slygry Ravhuff, Chapitre 42-7.

«

-Une fille va venir habiter dans mon manoir, Scarlett. Et... je ne l'a connais que trop bien, elle ne sait rien faire à part commettre des ennuis. J.

-Serait-ce cette fille que tu as giflé Ja' ? J'en ai entendu parler. S.

-Elle m'a provoqué Scar... J.

-Qu'est-ce qu'elle a bien pu te dire ? S.

-Tu vas rire. Elle m'a comparé à Lucius Malfoy... J.

-Hahaha, non ! Elle a osé ! J'adore cette fille ! S.

-Et... Elle a dit que... qu'elle était sûre que je frappais Tom et Helen. J.

-Oh... Jason... n'y pense pas. Elle voulait simplement te blesser. Je ne pense pas que grand monde t'apprécie dans cette école. S.

-Elle m'insupporte mais... elle a l'air... différente, Scarlett. J.

-Jason, ce n'était pas une raison pour la gifler !Pourquoi veux-tu lui faire du mal à cette pauvre enfant ?! Imagine ce qu'elle a dû ressentir... S.

-Je sais que je n'aurais pas dû. Mais je ne m'excuserais pas, tu me connais. J.

-Je le sais bien... Bonne soirée, Jason. S.

-Bonne soirée, Scarlett. J.

C'était la veille que j'aille chez eux...
Je continuais de regarder au jour suivant.

-Jason ! Tu as encore giflé cette petite ! Bordel, qu'est-ce qui ne va pas chez toi ?

-Je ne me contrôlais pas... Je m'en veux tellement Scarlett. J.

-Ce n'est pas dans tes principes de regretter un acte. S.

-Il n'y a qu'avec toi que je peux être moi-même. Tu connais tout de ma vie, Scar. J.

-Je le sais bien Ja', je le sais bien. S.

-Je lui ai dit qu'elle n'était personne... et que ce serait un plaisir pour moi qu'elle ne se réveille pas de son sommeil. Je ne voulais pas la blesser... Elle m'a l'air si fragile. Elle a aussi dit que je ne connaîtrais jamais l'amour... J.

-Jason... arrêtes de te comporter comme ton père. Tu vas détruite cette fille. Tu ne veux pas la détruire, quand même ? S.

-Je veux tout sauf cela. Elle ne mérite pas ça. Je reconnais les personnes qui ont souffert dans le passé. J.

-Ne pense plus au passé, Ja'. C'est fini. S.

-J'espère qu'elle ne se réveillera pas tout de même cette sotte. J.

-Jason... Arrête de vouloir ressembler à ton père... S. »

C'était le soir, où je suis arrivée...
Il n'a jamais voulu me faire souffrir, comme il l'a fait, mais...
Comment peut-il être si horrible, en même temps... ?
Je passais au jour suivant.

«

-J'ai entendu qu'elle avait offert le petit-déjeuner à beaucoup de monde. Pourquoi elle fait ça ?! J.

-Parce que c'est une bonne personne. S.

Quelques heures plus tard.

-Elle a touchée à mon piano, Scarlett... Elle m'a fait souffrir. J.

-Tu sais ce que cela fait maintenant, quand tu le fais à elle. S.

-Je l'ai frappée et je l'ai poussé par terre... Je suis un monstre. J.

-C'est trop tard Jason, tu l'as déjà détruite.

-Elle a eu raison, quand elle a dit que je n'avais pas de cœur. Je n'aime personne. J.

-Jason... arrête de te renfermer. S.

Quelques heures plus tard.

-Je les ai entendus parler, elle et mon fils.
Elle lui parlait de roses.
J'ai aussi appris qu'elle a souffert par le passé... Tom lui a parlé de ma collection d'Harry Potter... sacré fils. J.

-Vous pourriez bien vous entendre en plus, vous aimez Harry Potter tous les deux. S.

-Je ne m'entendrais jamais avec cette fille et... je ne veux pas. J.

Une heure plus tard.

-Je comptais lui offrir un bouquet de roses jaunes mais... je les ai piétinées...

-Pourquoi ? S.

-Parce qu'elle a avoué à Tom qu'elle aimait Matthew. J.

-Et qu'est-ce que cela peut te faire Jason... ? S.

-Je... Tu as raison. Cela ne me fait rien. J.

Dans la soirée.

-Elle était si... belle dans sa robe rouge. Je ne sais pas si elle se rend compte d'à quel point, elle était magnifique. J.

-Qu'est-ce qu'il y a Jason ? Tu n'aurais jamais dit cela. Tu as changé depuis qu'elle est arrivée. S.

-Elle me rend... fou. Je me sens... bizarre quand je la regarde. J.

-Mais je crois qu'elle aime aussi Tom, en même temps qu'elle aime Matthew... et cela me dégoûte. Elle est infâme. J.

-Pourquoi es-tu vraiment énervé Jason ? S.

-Ce qui m'énerve... c'est la relation qu'elle entretient avec Tom. Je ne peux approcher mon fils... et elle, cela devient sa sœur au bout d'une journée. J.

-Et... ? S.

-Et ce qui m'énerve aussi... c'est... que je ne pourrais jamais avoir la même relation que Tom a, avec elle. J.

-C'était à cause de cela tout le bureau dérangé... ? S.

-Ils se sont serrés dans les bras, Scarlett... Il l'a prise dans ses bras. Tu ne peux pas savoir à quel point j'ai souffert, Scarlett... J.

-Jason... c'est ridicule de penser cela mais... je crois que... tu as rouvert ton cœur. S.

-Je ne peux pas Scarlett. J.

-Mais tu l'aimes profondément, Jason. S.

-Comment est-ce possible... ? J.

-Je pense que... ce sont des sentiments que tu essayes d'oublier depuis qu'elle est arrivée dans cette école. Elle est différente, c'est toi qui me l'a dit. S.

-Je l'aime... tellement... J. »

Je me mis à pleurer en regardant ce message...
Je t'aimais tellement aussi.

-Silly... tu as trouvé les projets de Monsieur Malton ? Demandait Suzy.

-Je... sortez deux minutes, s'il vous plaît... Sanglotais-je.

«

-Jason, ne lui dis pas. Garde cela pour toi.
Ne va pas ruiner sa vie. Ta vie est déjà toute faite.
Tu as une femme et un fils. Et... vous avez quatorze années de différences. S.

-Alors, je reste dans l'ombre prétendant que je n'existe pas, et je continue de souffrir... ? Je n'en peux plus de cette vie Scarlett, je n'ai pas eu le choix, c'est... c'est cette fille, qui rend ma vie un peu plus... vivable. J.

-Si... il n'y a que cela pour te rendre heureux Jason. Si tu penses faire le bon choix, fais-le. S.

-Je... j'essayerais de lui dire ce soir, si j'y arrive. J. »

Il comptait me le dire le soir de mon... agression... ?
Oh mon dieu... je n'imagine pas à quel point il a pu souffrir.

Quelques heures plus tard.

«

-Il est 3h du matin, et ils ne sont toujours pas rentrés... Je m'inquiète. J.

-Ne t'inquiète pas, je suis sûre qu'ils ne font que s'amuser. S.

Une heure plus tard.

-J'entends des personnes revenir, ce doit être eux. Cela va barder. J.

-Ne les engueule pas trop non plus, Ja'. S.

Quelques heures plus tard.

-Au lieu d'aller à l'hôpital, je t'envoie un foutu message parce qu'il n'y a qu'avec toi que je peux être moi-même. Je n'arrive plus à respirer, Scarlett.
Elle était détruite quand elle est rentrée au manoir, elle n'avait plus cette lumière en elle. Elle s'est suicidée devant moi, et tout est à cause de moi.
C'est à cause de moi !
Je l'ai rattrapé mais... je rêvais de ce moment où je pourrais la prendre dans mes bras, mais je ne voulais pas que... cela se passe dans ces conditions.
Je l'ai vu s'arrêter de vivre... elle était dans mes bras !
C'est la première fois depuis des années que je pleure réellement... Mon fils ne me déteste que plus... Il veut me tuer.
Je veux la rejoindre.
Je ne veux pas perdre celle qui illumine ma vie. J'ai moi-même pousser à mourir celle qui me maintenait en vie.
Je l'aime... je ne pourrais jamais ne plus l'aimer.
Je vais à la police pour les payer, pour qu'ils buttent ce salopard ! J.

-Je viens avec toi. Jason... ne craque pas sous la pression, tu as tenu toute ta vie. S.

-Je l'aime tellement... tellement. J.

Les larmes ne cessèrent de couler, pendant que je lisais ce message.
Je sauvegardais tous les messages dans ma clé USB personnelle, pour continuer à les lire et l'ai mis dans ma poche.
J'allais dans les e-mails.
Je ne veux pas prendre ses projets...
Je souffla et les pris quand même, dans l'autre clé USB.
Louis rentra, dans le bureau de Monsieur Malton, et vint me serrer dans ses bras.

-Je ne sais pas ce qu'ils t'ont fait, mais on se vengera Wanda. Promettait Louis.

J'hochais la tête en souriant, et on se dirigea vers la sortie, puis je ferma la porte.

-Merde, j'ai oublié l'autre clé USB sur l'ordinateur ! M'exclamais-je.

-J'y vais. Ne t'inquiète pas. Rassurait Louis.

Le jeune homme rentra dans le bureau, et prit la clé USB, mais s'arrêta sur les fameux e-mails.
Il en lit plusieurs, essayant de comprendre.
Et il comprit.
Il comprit qui cela était vraiment.
Mais il n'allait rien dire.
Il se l'était promit.
Il quittait les e-mails et les verrouillas.

Louis revint et me passa la clé USB, avec tous les projets dessus que je rangea aussitôt, dans mon autre poche.

-Merci ! Souriais-je, reconnaissante.

-De rien... Répondit-il, en souriant.

Nous prenions l'ascenseur pour descendre à l'étage zéro.

-J'ai réactivé toutes les caméras d'en haut et les pièges. Prévenait Ben.

-Il y a deux gardes du corps en bas, il va falloir courir. Informait Louis.

On arriva bientôt.

-Deux... un... zéro ! Courez ! Criait Ben.

Nous nous mettions à courir pendant que les gardes nous poursuivîmes.
Je repensais aux messages de Jason avec Scarlett, et je m'arrêta deux minutes de courir.
Louis se retourna et vit la jeune fille, en train de rêvasser.

-Bordel Silly, cours ! Disait Louis, en me prenant la main.

Un coup de feu se fit entendre.
Et une douleur me parvient à mon bras droit.
Bordel de merde !
Nous sortions et courions le plus vite possible.
Arrivés au portail de l'école, Ben coupa les caméras, et Des' fit exploser la serrure du portail.
Puis nous courûmes dans le jardin.

-Putain de merde Wanda, tu saignes beaucoup ! S'exclama Ben.

-Laisse-moi voir... Fit Louis, en prenant doucement mon bras droit. Ils t'ont juste effleuré.
Mais, il faut quand même soigner cela. Si l'on ne veut pas que cela s'infecte. Expliquait-il.

-Putain... J'ai tout fait foirer. Disais-je, en soufflant.

-Tout le monde peut avoir un moment d'égarement, Wanda. Souriait Ben, en me regardant.

Je souris gentiment à Ben.

-Bon les enfants, il faut soigner cela. Ben, coupe les caméras s'il te plaît, il faut aller à l'infirmerie. Demandait Suzy.

-Pas de problème, Madame ! S'exclamait Ben, en taquinant Suzy.

Elle riait, et nous partions en directement de l'infirmerie.

-Aïe ! S'exclamait Suzy.

-Qu'est-ce qu'il y a ? Demandait Ben.

-Tu m'as marché sur le pied, pour la seconde fois !

-Tu n'as qu'à pas me coller !

-Je... ne te colle pas ! C'est toi, qui me colle ! Riait-elle.

Ben regarda Suzy et lui souriait tendrement, en roulant des yeux.
Serait-ce... de l'amour ?
Je ferma les yeux, et souffla.

Puis les rouvris.
Je vais commencer à avoir la même habitude que...
Que... personne.
Nous arrivions à l'infirmerie, et Suzy s'empara vite fait de désinfectant et de bandage, puis je m'installa sur un lit.

Suzy arriva vers moi.

-Attention, cela va piquer ! Dit-elle, en passant le coton avec du désinfectant, sur la plaie.

-Bordel de merde ! Tuez-là ! Criais-je.

-Tu n'est pas censé être une Warrior, Wanda ? Plaisantait Louis.

-Je...

Flashback !

Je donnais à manger à Malfoy, Lily avait pensé à tout.
Quelqu'un toqua à ma porte.

-Si cette personne se prénomme Malton, autre que Tom, qu'il n'entre pas !M'exclamais-je.

-C'est Berty.

-Entrez !

Berty entra, et ne comprit pas en voyant Tom, et un poisson.

-J'ai fais la paix avec Tom, je suis son amie maintenant. Et le poisson, c'est Lily qui me l'a offert, c'est un combattant s'appelant Malfoy. Expliquais-je rapidement, en souriant.

Tom parut vexé de ma réponse.

-Oh,d'accord. Sourit-elle. Mademoiselle ! Dit-elle horrifiée en voyant mon visage. Qui a pu... ?

-Je vous laisse deviner.

-Il faut vite soigner cela !

-Mais non Berty... Soufflais-je.

Elle me traîna jusqu'à mon lit, et m'ordonna de m'asseoir comme une mère poule, puis alla chercher quelque chose.
Tom demanda, tristement :

-Pourquoi tu lui a dit que tu étais mon amie et pas-

-Et pas ta "sœur" ?

-Oui... ?

-Parce que... Soufflais-je. C'est complètement ridicule de dire cela sachant que ce matin tu étais encore mon ennemi. Les gens jugeront cela trop rapide, ou qu'ont préparent quelque chose.

-Nous avons fait la Paix que ce matin... ?

-Oui...

-Wow. Comment avons-nous pu devenir aussi proche en quelques heures ?

-Je te sortirais bien l'expression " Les contraires s'attirent ", mais nous avons quelques points en communs. Riais-je, doucement.

-Tu habites dans une petite maison. J'habite dans un énorme manoir. Tu viens d'Irlande, je viens d'Angleterre... Sourit-il. Je crois que tu peux sortir l'expression. Plaisantait-il, en me faisant un clin d'oeil.

-Alors nous sommes devenus si proches en quelques heures, parce que les contraires, s'attirent. Riais-je.

Tom me souriait et vint me prendre dans ses bras, puis Berty revint.

-Cela risque de piquer un peu, Mademoiselle.

-J'ai eu l'habitude.

Elle me désinfecta.

-Bordel, ça pique !

Tom rit, et me sourit.

-Tu es une battante, ce n'est pas de l'alcool qui va te mettre K.O, si ?Questionnait Tom.

Je lui répondis par un petit sourire, et Berty m'étala de la pommade sur tout mon visage.

-Berty... Râlais-je. Il ne m'a pas frappé de l'autre côté.

-Non, mais, il vous a mis une claque hier soir. Et c'était encore un peu rouge.

-Je...je ne vous l'avait pas dit ! Comment l'avez-vous su ?

-Cela se voit Mademoiselle... et vous ne vous êtes pas infligée cette claque toute seule.

-Pourquoi il t'as mit une claque ?

-Tu te poses réellement la question ? C'est parce que je l'ai contrarié dans la salle à manger.

-Ce n'est pas une raison, pour te mettre une claque !

-Ne t'en fais pas, Tom. Je vais bien.

Berty finissait de me soigner.

- -

Fin du Flashback !

-Wanda... ? S'inquiétait Louis.

-Je vais bien. Rassurais-je, perdue dans mes pensées.

-Es-tu sûre ?

-Oui...

-Bon, je pense qu'une bonne nuit de sommeil nous ferait le plus grand bien, non ? Sourit Ben, pour laisser la jeune fille, reprendre ses esprits.

-Tu as raison, allons dormir ! S'exclamait Suzy, qui avait compris le sous-entendu de Ben.

-Bonne nuit tout le monde ! S'exclamait Suzy, Ben et Des', en partant vers leurs dortoirs.

-Bonne nuit ! M'exclamais-je avec Louis, en souriant.

J'allais me lever mais Louis me stoppa en m'attrapant le bras pour me retourner vers lui, et me prit dans ses bras.

Flashback !

Jason me regarda tendrement, et je demandais, inquiète de la réponse :

-Et pour les roses... ?

-La rose blanche, comme tu l'as expliqué à Tom, signifie le premier amour, l'amour secret depuis longtemps... Tu... Dit-il en soufflant pour reprendre du courage. Tu es la première personne dont je suis réellement tombé follement amoureux. Et c'était aussi pour ma reconnaissance envers toi pour Tom, et pour te souhaiter un bon rétablissement. Et la rose noire, c'est complètement ridicule de dire ça...
est parce que... je t'aimerais jusqu'à après la mort.

Je ne pus rien dire, abasourdie, peut-être contente...ou... perdue ? Qu'il se leva, et me posa sur le piano.
Il me regardait, et prit doucement mon visage avec ses mains, tout en caressant mes joues.
Et ses lèvres rencontrèrent tendrement les miennes.

-Monsieur Malton... ce n'est pas correct.

-C'est putement correct.

Je pris peur et courais jusque dehors, Monsieur Malton me courra après et prit mon bras pour me faire retourner vers lui, et il me rapprocha vers lui avec son autre bras sur mon dos.

-Je ne contrôle pas mon cerveau et mes gestes en même temps. Répliquait-il tendrement.

Il m'embrassa amoureusement, tout en resserrant la pression qu'il exerçait sur mon dos avec son bras gauche.
J'ouvris la bouche pour reprendre mon souffle, et il en profita pour nouer salangue à la mienne.
Le baiser devenait de plus en plus fort et intense en émotions.
Nos larmes se mêlaient au baiser.
Nous nous arrêtions, sans qu'il ne me lâche.
L'homme ne dit rien, ayant peur que la jeune fille ne ressente rien pour lui.
Je compris pourquoi Jason ne dit rien.
Bordel !
J'ouvre mon cœur !

-Je vous aime Jason Malton. Soufflais-je.

-Je vous aime Blodwyn Heitsburg. Soufflait-il, son front contre le mien.

--

Fin du Flashback !

La façon dont Louis m'avait rattrapé m'avait pensé à ce moment et à lui.
J'empêcha les larmes de couler et repris mes esprits.

-Tu vas bien ?

-Je... oui, Louis. Je vais bien, merci. Souriais-je.

-Je suis là pour toi, Wanda.

-Et je suis là pour toi, aussi, Louis.

Louis ne dit plus rien, comprenant le message.
Louis avait comprit que Wanda savait qu'il regrettait tout ses actes envers les Malton.
Mais ce que Wanda ne comprit pas, c'est que Louis savait presque tout.
Louis l'a serra dans ses bras.

-Bonne nuit, Wanda.

-Bonne nuit, Louis.

Je marchais jusqu'à mon dortoir, me changea, en cachant les clés USB qui étaient cachées dans les gants, sous mon coussin, et plongea dans mon lit, sans trop appuyer sur mon bandage.

Et je m'endormis, sans pouvoir le chasser de mes pensées.

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Bonjour ou bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

Je m'excuse de ne pas avoir posté plus tôt, je voulais profiter un peu de ma dernière semaine de vacances ! 😊

Vos réactions ?

J'ai décidé il n'y a même pas onze minutes,  de mettre le Flashback du baiser, ai-je été trop cruelle en vous rappelant cette scène ? 🤔😂

Je veux 20 commentaires sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂

Je poste un nouveau Chapitre ce soir ou demain matin ! 😊

Bonne journée ou bonne soirée à toutes !

x.

LeaDream