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Chapitre 42-6.

Bonjour ou bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

Je veux trente commentaires sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂

C'est un Chapitre de 5310 mots !

Bonne chance, et bonne lecture ! 😂😊

- -

Slygry Ravhuff, Chapitre 42-6.

Dimanche 5 Février.

Je me levais doucement, puis souffla.

Encore une journée de merde qui s'annonce.

Evanna passa devant moi pour récupérer quelque chose, et elle se stoppa en me regardant.

-Cela fait longtemps que je ne t'ai pas parlé. Dit-elle, froidement.

-Je t'assure que c'est mieux pour tout le monde. Soufflais-je.

-Tu... ! S'énervait-elle.

-Viens Evanna, cela ne sert à rien. Disait Lionne encore plus froidement qu'Evanna, en attrapant Evanna par le bras.

-Non, Lionne ! Se stoppa Evanna. Wanda, arrête de broyer du noir pour quelqu'un qui n'en à rien à foutre de toi, et qui te penses dans l'au-delà. Puis... tes nouveaux amis sont...

-Ils me font me sentir vivante et ils m'aident ! Ils ne m'harcèlent pas avec des milliers de questions, eux ! Je suis libre avec eux, il n'y a aucune limites !

-Ce n'est pas parce qu'il t'as fait du mal, que tu dois devenir le mal en question, Wanda. Souffla Lionne, en partant avec Evanna.




Les larmes se mirent doucement à couler.
Je mis mon visage entre mes mains, et laissa couler.
D'une pulsion, j'alla dans le salle de bain et frappa le miroir, puis me laissa glisser contre le mur.

-Bordel, tu me manques... Chuchotais-je, avec souffrance.




On me dit souvent que les morts sont dans les étoiles...
Est-ce que si j'aurais été morte, serais-je devenue une étoile dans le ciel... ?
Aurais-je pu veiller sur les personnes que j'aime ?
J'explosa en larmes encore une fois, et pensa que j'aurais préférée être une étoile plutôt qu'être ici.

- -




Je passa vers le groupe pour les rappeler la réunion de ce soir à 19h00, comme toujours.

J'étais restée toute la journée, sous ma couette à penser.

Abattue par la fatigue, je marchais lentement dans les couloirs.

-Quand arrêteras-tu de te balader dans les couloirs, Witch ? Riait Tom, arrogamment.

-Quand tu arrêteras d'être un con. C'est-à-dire, jamais, Malton. Soufflais-je.

Puis je repartis marcher dans les couloirs.
Quelqu'un me bouscula rapidement, ce qui me fit chuter par terre.


Je poussa un léger cri de surprise, et la personne me rattrapa pendant ma chute.

C'était lui.

Flashback !

Je tomba lentement, mais quelqu'un courra et me rattrapa.
Je ne pus ouvrir qu'une fois les yeux pour me rendre compte que c'était des yeux bleus.
Différents de ceux de Tom.
Et des cheveux marrons.

-Mon... sieur... Mal... ton... ?

-Ne ferme pas les yeux. Réveille toi. Ordonnait-il, blessé.

-Ja... son...

-Petite sotte... Réveille toi...

Et plus rien.
Le noir complet.
Et je vue ma vie défiler.
Et je sentis ma respiration se couper.
Mais avant cela... quelqu'un avait touché ma joue, et quelque chose de mouillé... telle une larme tomba sur celle-ci.
Et je quitta ce monde.

Fin du Flashback !

Une larme avait coulé, sans qu'il ne l'a voit.
Il me releva gentiment.
Putain, pourquoi est-il si différent... ?

Je garda la tête baissée pendant qu'il prit la parole, n'ayant pas la force de le regarder dans les yeux :

-Je m'excuse. J'étais pressé. Dit-il poliment.

Je souffla un bon coup, et le regarda.


-Ce...ce n'est pas grave. Vous vous êtes excusé, c'est déjà cela. Disais-je, doucement, la gorge me brûlant dû aux larmes qui me menaçaient.

-Que... vous pleurez... ? Je suis désolé si je vous ai fait mal.

Je toucha mes joues, et en effet, elles étaient trempées.
Dû à la fatigue, je n'ai pas dû y faire attention.

-Je... ce n'est rien. Je... je suis pressée moi aussi, au revoir ! Disais-je, en explosant en larmes, et en courant jusqu'au jardin, laissant l'homme planté au milieu du couloir, abasourdi.

J'arriva au banc, et il n'y avait que Louis pour le moment.

-Wanda...?! S'exclamait-il surpris, accourant vers moi.

Je le regarda, les larmes n'arrêtant pas de couler.
Il me prit dans ses bras, me caressant le dos pour me réconforter.

-Louis, pourquoi m'aides-tu en réalité ? Demandais-je.

-Parce que tu me l'as demandé, et que ce que nous faisons, marche très bien.

-Louis... tu m'aides à me venger de ton meilleur ami.

-Je... ce n'est rien Wanda... Dit-il, en me serrant dans ses bras.

-Non, ce n'est pas rien, parce que, quand je les aurais vraiment détruit, tu regretteras. Et je ne veux pas t'y obliger !

-Jene sais pas ce qu'il s'est passé avec cette famille et toi, mais...

-Ont est là pour toi. Promit une voix derrière moi, qui me fit me retourner.

C'était Des, qui me souriait, les bras croisés.

Je lui souris en hochant la tête, pour l'a remercier.
Je me retourna et vis Suzy, Ben et Des en tenue... de... combat ?




-Efface moi ses larmes poulette, et relève la tête. Sourit Ben, en s'approchant de moi.

-Vous risquez tous tellement gros pour moi. Disais-je, apeurée.

-Ont tombent ensembles, et ont se relèvent ensembles. Un tombe, les autres le rattrape. Disait Ben.

-C'est quoi ces tenues de combat ? Questionnais-je.

-Ce soir, ont s'échappent de l'école. Sourit Des.

-Tu en as une. Sourit Suzy, en me tendant un sac. Louis aussi.

Je regardais bizarrement Louis et il se défendit :

-Je ne suis au courant de rien, ne me regarde pas comme cela !

Je me changea.
Je portais des espèces de Rangers, avec un jean en cuir, un pull à longue manches... La matière était comme une seconde peau.
J'avais mis un gilet rembourré dans manches, et encore un autre mais en cuir par-dessus.
Dans le lot, il y avait un tour de cou et un masque pour la moitié de mon visage.
Pour le côté fun, je m'étais rajouté du fard à paupières noir.

NDA : Je me fous de savoir si mon Polyvore est bien etc, je voulais juste vous montrez, et en plus vous avez un aperçu de Wanda ! 😂😊

-Oh, j'allais oublier ! Dit Suzy, en sortant quelque chose de sa poche.

Elle distribua des oreillettes à tout le monde.

Suzy avait une combinaison militaire vert clair et vert kaki, avec des Rangers noires,et des lunettes noires.

Ce qui me fit rire, c'était que Ben était habillé pareil, et il avait un casque de musique à son cou.

Destinée ou Des portait une combinaison en cuir noire, avec des talons.

Et Louis portait une combinaison militaire noire et grise avec un gilet pare-balle noir.

Qu'est-ce que... ? Pourquoi il a un gilet pare-balles ?!

-Pourquoi Louis porte cela ?! M'emportais-je.

-Ouais,j'aimerais bien savoir aussi ! Expliquez votre foutu plan, vous trois ! S'énervait Louis.

-Asseyez-vous. Demandait Ben, gentiment.

Ben s'ouvrit une canette de soda,l'a bu et commença à parler :

-Parce que je crois, que c'est la chose la plus folle qu'ont vas faire. Ont vas rentrer dans un des buildings de Malton's Company.

-Quoi ?! S'exclama Louis.

-Deux minutes. Fit Ben, en reprenant une gorgée de sa canette.

-Ce que veut dire Ben, c'est que Ben pirate les caméras de surveillance, ont rentrent, à chaque fois qu'ont monteras un étage, il coupera les caméras de surveillance, au fur et à mesure.
Des' force le bureau de Monsieur Malton.
Ont volent ses dossiers, et ont les remplacent par d'autres.
Avec Ben, je pirate l'ordinateur de Monsieur Malton pour annuler plusieurs projets avec des personnes riches.
Ce qui fera perdre une tonne d'argent aux Malton.
Et vous avez tous une protection pare-balles dans votre tenue.

-Et comment on sort de l'école ? Puis, comment être sûr que Malton n'y est pas, à son bureau ? Et puis qui vole les dossiers ?

-Tu voleras les dossiers pour les remplacer, tu annuleras aussi les projets quand nous aurons finit de pirater l'ordinateur. Ben a piraté le téléphone d'un de ses collègues pour lancer un appel urgent. Il doit être à trois heures d'ici.

C'est pour cela qu'il était pressé...

-Des' force le portail pendant que Ben coupera les caméras qu'il y a dessus. Et ont se dirigent vers l'arrière du building des Malton avant d'y entrer, une connaissance a dû nous laisser quelques affaires qui nous seront indispensables. Continuait Suzy.

-Vous êtes complètement fous. Riais-je.

-Louis,Wanda ? Partants ? Demandait Ben.

-Je suis. Fit Louis en levant la main, perturbé.

Louis regrette d'avance... je le vois dans son regard.
Je le regarda une dernière fois, et me retourna vers Ben :

-Ont y vas ? Souriais-je, malicieusement.

Ils me firent tous un sourire de victoire.
C'est parti.
Que la fête commence.

Nous attendions derrière une haie pendant que Ben fit les codes pour les caméras de surveillance.

-C'est bon, vas-y Des'. Chuchotait-il, en lui faisant un clin d'oeil.

Elle fit une roue, pour aller plus discrètement vers le portail.

-Elle a fait de la gymnastique avant ? Demandais-je en me retournant vers Suzy, Louis et Ben. Elle est souple.

-Elle en fait depuis ses six ans. Informait Suzy.

Ont entendis un cliquetis de porte, qui nous fit sursauter.

-Vous venez ou vous comptez siroter un cocktail dans les haies ? Narguait Des', qui était déjà sortie.

Je souris en levant les yeux aux ciel, et me leva.
Des' referma le portail, et nous sortîmes.

Après une heure de marche dans la ville, nous étions arrivés.
Suzy nous fit signe de l'a suivre, et nous l'a suivions.
Elle grimpa à un bord de fenêtre, et redescendit avec un sac.

-Qu'est-ce que c'est que cela ? Demandait Louis.


-Juste des... jouets.


Suzy tendit un lecteur de musique à Ben.

-À quoi cela me servir ? Demandait ce dernier.

-Il y a un mini-ordinateur caché dedans avec les commandes de toutes les caméras de surveillance. Et il y a des musiques d'actions, si tu veux.

-De la bombe !

Elle tendit un couteau à Des'.

-C'est un couteau-suisse ? Sourit-elle.

-Avec un programme de petite explosion
sourde, pour forcer les serrures.

-Wow !

Elle tendit des lunettes de soleil, à Louis.

-Qu'est-ce que... ? Louis ne comprenait pas.

-Lunettes pour voir dans la nuit pour que tu nous guides. Tu peux normalement voir à travers les murs avec cela, pour voir si il y a quelqu'un.

-Génial !

Elle me tendit des gants noirs, et des semelles noires en cuirs à mettre sous les chaussures.
Bizarre...
Avec une espèce de petite boîte.


-Je... -


-Attention cela va faire mal !

Elle m'injecta un truc, dans les yeux, par surprise.

-Bordel Suzy !

-Gants qui sont en faite, la clé USB pour stocker les projets de Malton et qui possèdent toutes les empreintes des employés si ont en as besoin pour déverrouiller une entrée. Les semelles noires possèdent des lames quand tu les activent en tapant du pied, et effacent tous les pas autour de toi jusqu'à cinq mètres. Cela pourra effacer nos empreintes de chaussures, automatiquement.
Dans la petite boîte, il y a les fichiers qui sont conçus exprès pour que tu puisses les déplier au plus grand ou les plier au plus petit, mets-le dans ta poche. Ce que je t'ai mis dans les yeux sont pour détecter les pièges si il y'en a, et pour prévoir les balles si ont as des ennuis, pour les utiliser, tu dois juste cligner des yeux pour les activer et pareil pour les désactiver, alors fais-attention.

-Oh bordel de merde ! Merci beaucoup !

-De rien ! Souriait Suzy, en souriant gentiment.

-Tes yeux font flipper quand t'actives le spray ! Rit Ben.

-Oh ? Demandais-je, curieusement.

-On dirait que tu as des serpents fluorescents dans les yeux.

-Ah, oui, c'est le côté original du truc. Riait Suzy.

Évidemment, je ne venais le chasser de mes pensées, et faut que le truc soient des serpents.
Elle sortit deux derniers trucs pour elle, qu'elle mit à en dessous de ses chaussures et un autre qu'elle colla à ses empreintes de doigt.
Ont l'as fixa, et elle expliqua :


-Pour aller plus vite. Et à mes doigts se sont des détecteurs d'empreintes pour le clavier d'ordinateur, pour faire apparaître les empreintes de Monsieur Malton, et pour pouvoir enfin récupérer le mot de passe. Et... j'ai deux autres choses pour nous tous. Dit-elle en sortant des talkies-walkies et des... flingues ?!


-Je touche pas à cela moi ! S'exclama Des'.


-Des balles à blanc fortes. Cela ne fera que propulser les ennemis si il y'en a. Et les talkies-walkies.

-On peut se trouver des noms comme dans les films ? Sourit Ben à Suzy, en faisant sa mine de chien battu.

-Choisissez alors. Rit-elle. Moi ce sera, Quinzel, le vrai nom de Harley Quinn.

-Moi, Lawton. Comme Floyd Lawton aka Deadshot. Fit Louis en souriant pendant qu'il mettait ses lunettes, et qu'il prit son arme.

-Je veux m'appeler Boom ! S'exclama Ben.

-Je veux bien m'appeler Widow.Comme Black Widow. Disait Des', en faisant un clin d'oeil.

Je ne sais pas du tout personnellement.
Un truc qui m'a marqué... mais quoi ?

Je sais :

-Silly.

-Silly ? Riait Ben.

-Cela me fait penser à «petite sotte ». Souriais-je, en riant.

Bon, là, c'est de ma faute, je me fais automatiquement du mal...
Louis me sourit, et tout le monde s'équipa avec des ceintures pour l'arme et le talkie-walkie de chacun, puis Ben, coupa les caméras.

-Lawton, tu vois un truc àtravers les murs ? Demandait Suzy.

-Y'a deux agents de sécurité. Faut passer par autre part. Répondit Louis.

-Allons-y.

-Au faite, Quinzel, où as-tu eu tout cela ? Demandais-je.

-Mon frère est dans... l'armée. Sourit Suzy.

-Il y'en a deux autres à la porte arrière.

-Boom, tu l'as prit le grappin ?

-Exact, Quinzel. Dit Ben, en lui donnant.


-Lawton, tu vas monter avec le grappin, et voir si on peut passer, par quelque part.

Je m'éloigna, pendant qu'ils restaient à attendre Louis.
Alors comme ça, il y a deux gars à l'arrière ?


Flashback.


-Je n'y arriverais jamais, James! Me lamentais-je après quelques ratés.


-Si Blodwyn, prends l'arme comme cela. Regarde bien dans le viseur, et tire. Dit-il en m'aidant.


Je me concentra, et tira dans la tête de la cible.


-James, je l'ai eu ! Souriais-je en, lui sautant dans les bras.


-Je te félicite, maintenant, continues. Le stand de tir, ne ferme pas avant minuit.

Je souffla un grand coup, et me re concentra.
Je tira plusieurs fois, et enleva mon casque, heureuse et fière de moi.


-Bordel, Blodwyn tu as eu toutes les cibles en plein dans la tête ! S'exclama James, surpris.

- -


-Et la médaille d'or de tir revient à Blodwyn Heitsburg ! Fit l'homme au micro, qui s'occupait concours de tir, le plus connu du pays.

Des cris et des applaudissements fusèrent.
James prit la médaille et me l'a mit autour du cou.

-James, j'ai eu le titre de la meilleure dans toute la ville !

-Et à seulement douze ans ! Rit-il, en me serrant dans ses bras.

- -


-Frappe ! Allez, un peu de motivation Blodwyn !

Je contourna le coup de mon frère, et lui mit un coup de poing dans le ventre plusieurs fois, et il me bloqua.
Je lui tordis les bras pour pouvoir me sortir de son emprise, et re évita son coup, puis le plaqua.

-Du calme, soldat. Riait-il. Tu as très bien combattu aujourd'hui, je suis fier de toi, petite sœur. Dit-il, en me faisant un bisous sur le front.

- -


-Frappe dans ce sac Blodwyn, pense à toutes ces personnes que tu veux exploser ! M'encouragea, mon grand-frère.

Je frappa plus fort.

-Ce n'est pas assez ! Tu es une lâche ?! Criait-il.

-Non !

-Pense à toutes ces personnesqui te disent que tu devrais mourir ! Est-ce que tu mérites de vivre, Blodwyn ?!

-Oui !

-Je n'entends pas, soldat ! Est-ce que tu mérites de vivre, Blodwyn ?! Criait-il encore plus fort.

-Oui ! M'époumonais-je.

-Vous ne serez jamais assez forte, soldat ! Abandonnez ! Vous ne servirez à rien dans nos troupes !

-Non ! Je n'abandonnerais jamais ! Je les exploserais tous un par un !

-Non, vous n'en serez pas capable !

-Si ! Je serais capable chef ! Disais-je en frappant plus fort dans le sac, et en faisant un kick avec ma jambe.

-Vous n'êtes personne !

-Je suis quelqu'un ! Je suis Blodwyn Heitsburg ! JE SUIS QUELQU'UN ! Criais-je de rage, et de toutes mes forces, je frappa dans le sac.

Je fis tomber le sac de boxe, à un mètre plus loin, et m'écroula, crevée.

Les larmes coulèrent dû aux nerfs qui lâchèrent.

James me prit dans ses bras.


-Ne les écoutes jamais, tu es quelqu'un Blodwyn. Tu es ma petite sœur, et je te protègerais toute ma vie. Je t'aime.

-Je t'aime aussi, James.

- -


-Bienvenue à tous au tournoi de boxe du meilleur boxeur du pays ! J'appelle Blodwyn Heitsburg sur le ring !

Je m'avançais sur le ring, et beaucoup de personnes se moquèrent.


-Hey petite, tu sais que le tournoi est réservé aux adultes ? Quel âge as-tu ? Demandait l'animateur.

-J'ai treize ans. Disais-je, fermement.

-Et tu penses être capable de vaincre quelqu'un ?

Je chercha James dans la foule, et il hocha la tête.


-Oui ! Tous ! M'exclamais-je, confiante, en regardant James.


-Qu'elle est mignonne, non ? Rit l'homme.


La foule ria.
C'est toi que je vais exploser si tu continus à rire comme un âne.
Et tu ne sais veux très certainement pas savoir où je te le mettrais ton micro.

L'homme appela un homme assez fort, mais pas assez pour moi.

Il essaya de me bloquer mais je l'évita, et le contourna pour le frapper en bas du dos, il se retourna, et je le re contourna pour le frapper au visage plusieurs fois.
J'évitais de justesse un de ses coups de poings et je lui en mis un dans le ventre, ce qui le fit tomber, et je le plaqua à terre.
1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 !

Il ne se releva pas, signe, que j'avais gagné ce combat contre lui.

Trois heures après.

Je revins vers James, en pleurant un peu.


-Hey, pourquoi pleures-tu, princesse ?


-Je n'ai que la médaille de bronze, James. Je ne serais jamais forte. Je suis nulle.


-Blodwyn ! Ne dis pas cela de toi ! Tu feras mieux dans trois mois, d'accord ? Ont vas s'entraîner plus durement, et tu l'auras ta médaille d'or, petite sœur. Tu peux être fière de toi, tu étais parfaite sur le ring ! Tu les as tousmis K.O ! Me dit-il en me mettant le médaille de bronze, au cou.




- -


-J'appelle Blodwyn Heitsburg sur le ring !


Je m'avança pour la deuxième fois dans ma vie sur ce ring.


-Encore toi ! Tu es têtue ! Riait l'animateur.

Et toi, t'es ridicule.
Une femme arriva sur le ring.

Montre ce que tu vaux au monde, Blodwyn.


Explose-les tous !

Je regarda James et ont se souriaient mutuellement, sachant exactement ce que j'allais faire à la femme.
Ce que James m'a apprit !

Je fonça sur elle, pour l'a prendre au dépourvu, et lui mit un kick au ventre, elle mit ses mains à son ventre, alors j'en profita pour lui mettre des coup de poings au visage, j'alla derrière elle, et la plaqua violemment au sol.

La foule acclamait, et applaudissait.


1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 !
Je l'ai mise K.O !


Quatre heures après.

James vint vers moi, et me prit dans ses bras.


-James, j'ai finis deuxième... Disais-je, déçue.


-Tu es sur le chemin de la victoire, princesse. La foule t'adore. Je suis tellement fier de toi... Dit-il ému.


-C'est grâce à toi. Souriais-je.


Il me serra encore plus fort dans ses bras.

-Je t'aime, Blodwyn.

-Je t'aime aussi, James.

- -


-Accueillons notre très chère Blodwyn Heitsburg !


Je m'avançais sur le ring.


-Alors, tu as pris trente centimètres en trois mois ou quoi ?


-C'est un peu ça. Souriais-je, en voulant casser la gueule à l'animateur depuis neuf mois.

-Pourquoi tu es là, maintenant? Tu as déjà la médaille de bronze, d'argent ? Aurais-tu la motivation, aujourd'hui, d'avoir la médaille d'or ?


-C'est pour cela que je suis venue il y a neuf mois. C'était mon but. Et cela le reste. Souriais-je.

-Bon courage à toi, et que le match commence !

Une femme musclée, arriva.


Elle me mit directement un coup de poing, et je lui bloqua les bras pour lui mettre un kick aux jambes.

Elle tomba, et j'en profita pour lui mettre des coup de poings au visage.

Elle se releva et me mit un coup de poing au ventre.

Ah bordel, tu t'en fous Blodwyn, continue !

Je regarda James, et il me fit un pouce en l'air, en signe d'encouragement.

Je lui souris, plus que motivée, et bloqua le coup de la femme pour lui tordre le bras et je lui fit un énorme coup de poing.

Elle tombait au sol.


1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 !

-Blodwyn Heitsburg a gagné ce combat !

Un homme baraqué, et plus grand que moi arriva.

Je t'aurais toi, mon gros !

Il attaqua directement mais je me poussa pour me cacher derrière son dos, et lui fit un kick au dos pour le pousser.

Il se retourna, énervé, et me mit plusieurs coup de poings au ventre.

Bordel de merde...

Je me re concentra deux minutes, et bloqua le kick qu'il allait me mettre, et je tordis son poignet pour mieux l'avoir.

Je sauta sur son cou et le retourna en le plaquant.


1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 !

-Blodwyn Heitsburg gagne ce combat !

Ma tête tourna, dû aux coups de poings dans le ventre, et à la douleur que cela m'infligeait.

Plus qu'un Blodwyn, et tu gagnes tout.

Tes efforts paieront.

Je souffla un bon coup, et un homme de deux mètres apparaissait devant moi, dix kilos de muscle.
Je n'y arriverais jamais.
Il va me liquider.
Non, Blodwyn !
Pense à James !

Je m'étira.

-1, 2, 3 ! Commencez ! Criait l'animateur.


Il a gagné dix fois, la médaille d'or, du meilleur boxeur du pays.

Je suis, dans la merde.

Je lui mit un coup de poing dans le ventre, et il me le rendit.
Il me plaqua à terre, mais je me releva.

Il me frappa au visage plusieurs fois, et je le bloqua pour le frapper au visage.

Je ne vais jamais y arriver.

J'ai tellement mal...

James, aide-moi !

Donne-moi ta force !

Je le frappa au dos, et il me mit un kick au ventre de toute sa force.

Je me releva.
Il me mit un énorme coup de poing, au visage.
Tout tournait autour de moi.
Je n'entendis que des bruits sourds, et tomba sur le ring, une larme s'échappant de mon œil.

-1, 2, 3, 4, 5...


J'entendis James crier de la foule :

-Fais-le Blodwyn ! Pour toi et pour moi ! Montre à tout le monde ce que tu vaux vraiment ! Relève toi, princesse ! Ta couronne va tomber !


-Blodwyn ! Blodwyn ! Blodwyn ! Criait toute la foule, plusieurs fois.


-Blodwyn, fais-le ! Tu peux le faire ! Criait une autre voix que James.


-6 ! Criait l'animateur.


Je releva la tête vers cette voix.
Oh mon dieu... Wihem, tu es là.
Une larme roula sur ma joue, malgré notre dispute d'il y a un mois, elle est là.
Elle est venue me voir.
Mon grand-frère et ma grande-soeur sont là pour moi.
Ce n'est pas le moment de les décevoir.
Il faut y aller.
Allez,relève toi, Blodwyn !
J'essaya de me relever, mais la douleur me prit ce qui me fit retomber.

-8 !


Allez, relève toi.
Je me relevais, et la foule cria.

Je m'étirais.

C'est parti !

Que la fête commence !

J'attaquais par en bas en lui mettant plusieurs coups de poings, et un kick assez fort dans le ventre.

J'évita son coup, et je re attaqua avec des coups de poings dans le ventre, et un kick dans les jambes.

J'en profita qu'il soit abasourdi, pour lui foutre une raclée dans la gueule.

Il me plaqua au sol, mais je me releva, en pleine forme et plus que motivée.

Je re attaqua exactement pareil, et alla derrière lui, pour attaquer son dos.


Ilse retourna, et j'eus le temps de repartir derrière son dos.

-Excusez moi, monsieur ? Demandais-je, en lui tapotant l'épaule.

-Hm ? Il se retourna.

Et je lui mis, un uppercut.

L'homme tomba, et la pression commençait à se faire sentir.

1, 2, 3, 4, 5...

Il essaya de relever.


6, 7, 8, 9, ...

-Bien joué, petite ! Dit-il, avant de s'écrouler au sol pour de bon.

-10 ! Blodwyn Heitsburg devient la meilleure boxeuse du pays !


Des banderoles volèrent, la foule acclamait fortement, et il y eut des feux d'artifices comme à chaque victoire de ce championnat.

Les larmes de joie coulèrent sur mes joues.

J'ai prouvé à tout le monde ce que je valais.

Et j'ai réussis.

James et Wihem courraient vers moi, et James me prit dans ses bras et me dit voler en l'air avec ses bras pour me reposer au sol après.

-Tu l'as fait ! Tu l'as fait Blodwyn !

Wihem me prit dans ses bras.


-Je te pardonne, petite sœur. Tu m'avais manqué. Souriait Wihem, tendrement.

-Je ne t'abandonnerais jamais,Wihem. Tout est de ma faute.

-Non, c'est de la mienne.

Elle me serra dans ses bras, et James vint se mêler à l'étreinte.

-Ne nous abandonne jamais, Blodwyn. Tu nous est trop précieuse. Disait James, tendrement en m'embrassant, sur le front.

-J'ai la médaille d'or... J'ai la médaille d'or ! M'époumonais-je en criant et en sautant, puis en levant les bras dans les airs, signe de victoire.

James mit ma médaille autour de mon cou.

-Blodwyn,maintenant, tu es définitivement quelqu'un. Tu es cette fille courageuse et forte que tout le monde a besoin d'avoir dans sa vie. Tu es une étoile, tu es un ange. Que personne n'ose mettre la main sur toi, sinon je m'y prendrais. Tu ne mérites pas tout ce mal qui s'envenime sur toi. Tu mérites le bonheur. Tu mérites l'amour. Tu ne mérites en aucun cas de mourir. Tu ne mérites pas de pleurer de tristesse. Les larmes ne te méritent pas. Tu ne sais pas à quel point, je suis heureux d'avoir une sœur comme cela. Je suis désolé, si pendant toutes ces années, j'ai été dur avec toi. Je voulais que, au cas où, si, un jour, je ne te vois plus. Si... je ne fais plus partit de ta vie, j'aimerais que tu te souviennes tous ces mois durs qu'ont as vécus ensembles, et que tu utilises tes capacités. Ne fais pas la faible. Tu es tout sauf faible. Tu es mon miracle. Tu es un miracle. S'il te plaît, ne te laisse pas démonter. Ne te laisse pas te démonter par quelqu'un, tu me le promets ?


Le garçon sentait que dans pas longtemps, sa sœur allait quitter la famille, il avait vu la postulation pour cette école à Londres.
Il avait lui-même reçu la lettre pour son acceptation pour dans un an.
Mais, elle, n'en savait rien.

-Je te le promets, James. Disais-je, les larmes ne voulant s'arrêter.

-Je t'aime, Blodwyn.

-Je t'aime, James.

- -

Fin du Flashback.

Quelques larmes coulèrent sur mes joues.
Ils me manquent.
James et Wihem, si vous pouvez m'entendre, vous me manquez.

J'utiliserais tout ce dont tu m'as appris James.
Parce que j'ai les capacités.
J'entra directement par-derrière et les gardes du corps, me foncèrent dessus.
Je tapa du pied, et ma lame sortit de ma semelle.
J'en poussa un et enfonça l'alarme dans les deux jambes de l'autre.
Je pris mon flingue et lui tira dans le ventre.
Ce qui, logiquement, ne pouvait rien lui faire.
Il était assommé.
Je m'occupais de l'autre et ce fut rapide.
J'ouvris le placard à balais et les mirent dedans, en fermant la porte à clé.

Je souffla, re tapa du pied pour ranger ma lame,et remettant mes cheveux correctement, puis partis chercher les autres.

-Bon,ont y vas ? Demandais-je. Il n'y a personne à l'arrière.

Je ne veux que personne sache quel titre j'ai gagné dans mon pays.
Et c'est à ce moment que je pensais, putain pourquoi je me suis pas défendue au moment de mes agressions ?!
Ce n'est pas comme si j'étais une championne, mais je connais quelques trucs.
Mais, je crois savoir la vraie raison...
Je voulais tout oublier de mafamille.
Je n'étais personne, et je ne reste personne.
J'étais faible, et je le reste.
Je ne dois pas revenir en arrière, parce que Blodwyn est morte.
Mais...
Non, je ne peux juste pas.

-Quoi ? Mais comment tu as fait ? S'étonna Ben.

-Je les ai assommés avec une bouteille de verre que j'ai trouvé par là, et je les ai enfermés dans le placard à balais. Expliquais-je.

Louis redescendit, et ont partit.


-Il va falloir courir, il y'en a deux à l'entrée. Prévenait Louis.

-Eh, vous !

-Boom, coupe les caméras ! Criait Suzy.

-C'est comme si c'était fait !

Louis tira sur les deux, et ont arrêtas de courir, essoufflés.

-Prenons l'ascenseur. Riais-je, en appuyant sur le bouton pour appeler un ascenseur.

Ont montas dedans, il fallait une empreinte.
Je pris celle d'un certain Allan Williams, mais celle-ci ne marcha pas.

-Celle-là ne marche pas ? Questionnais-je.


-Le gant a répertorié toutes les personnes virées, encore ici, et mortes. Alors, je crois que c'est normal. Expliquait Suzy, en souriant, gentiment. Prends-en une autre.

Je pris celle de Jason... Malton.
Et logiquement, cela marcha.
Nous montions à l'étage 200, le dernier.
Oui, en faite, c'est plus un gratte-ciel qu'un building, autant pour moi.

-Il y a deux agents à gauche quand ont arrivent. Et trois devant la porte du bureau de Monsieur Malton. Prévint Louis.

-Bordel ! Je me charge de ceux devant le bureau ! M'exclamais-je.

-Moi, et Quinzel, ont se chargent des deux à gauches. Informait Louis.

-198... 199.. 200, que la fête commence et Boom éteins les caméras de surveillance ! S'exclamait Suzy.

-C'est bon ! S'exclamait Ben.

Je tapa du pied pour sortir mes lames et fis un kick à deux agents en même temps.
Je cligna des yeux, et repéra que le troisième allait me tirer dessus, alors je sortais mon pistolet et lui tira dessus.
Je tira sur les deux autres, et ils tombèrent.
Cela n'était pas si compliqué.
Je plaça les trois bourreaux, dans une pièce, que je ferma à clé.

-J'ai désactivé les caméras du bureau de Monsieur Malton.

Louis et Suzy s'étaient chargés des deux premiers, et tout le monde accouraient vers moi.

-STOP ! Criais-je. Il y a des pièges. Putain, mais qui est assez con pour mettre des lasers cachés ?

-Monsieur Malton ? Suggérait Louis.

-Oui ! M'exclamais-je.

-Je désactive les pièges, cela va prendre deux minutes.

Je regardais si il n'y avait pas autre chose, et non, il n'y avait plus rien d'autres.

-Voilà ! S'exclamait Ben.

Des' enfonça son couteau dans la serrure et tourna deux fois dans le sens des aiguilles, pour faire exploser la serrure.

-Poussez-vous ! Criait Des'.

La porte explosa, et nous entrions.
Je pris les fichiers dans ma poche, et les déplias.

-Ben, viens enlever la puce s'il te plaît ! Demandais-je, gentiment.

-J'arrive ! S'exclamait Ben.

Il enleva la puce dedans qui permettait ce pouvoir, de les rendre plus petit ou plus grands.

-Merci !

-De rien ! Sourit-il.


Je chercha tous les fichiers intéressants et récents, et les pris pour les remplacer.

-Ben, viens mettre la puce sur ces fichiers, s'il te plaît ! Riais-je.

-Je suis trop indispensable, moi ! Riait-il.

Il le fit, et je pus ranger les fichiers dans ma poche.

-Merci beaucoup !

-De rien beaucoup ! Plaisantait-il.


Quelques minutes plus tard, Ben et Suzy avaient réussis à pirater l'ordinateur de Jason Malton.

Je m'assis et commença à chercher les projets de Jason... de... Monsieur Malton.

Je regardais dans ces messages.

Ils y'en avaient qui étaient verrouillés.

-Quelqu'un peut m'ouvrir ces messages, s'il vous plaît ? Ils viennent de son portable, cela peut être intéressant.


Suzy et Ben avaient ouvert cela en deux minutes !

-Merci beaucoup !

-De rien ! Disaient-ils, en même temps, et je ria.

Je cliqua sur messages venant de son portable, et vis qu'ils avaient été envoyés à une certaine Scarlett...
Scarlett, la garde du corps ?

       
C'est tout à fait possible.

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Bonjour ou bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

Vos réactions ?

Je veux trente commentaires pour ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂

Bonne journée ou bonne soirée à toutes !

x.

LeaDream

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