Chapitre 42-32.
Re Bonjour ou Re Bonsoir tout le monde !
Vous allez toujours bien ?
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N'ALLEZ PAS LIRE LA FIN, SINON VOUS NE POURREZ PLUS MANGER PENDANT TOUTE VOTRE VIE !
Ce Chapitre fait 2980 Mots !
Bonne lecture à toutes !
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Slygry Ravhuff, Chapitre 42-32.
-Mais comment... tu... ? Demandait Berty, en touchant mon visage.
-C'est... Hésitais-je, en regardant furtivement Jason. ...Une très longue histoire. Expliquais-je, en les regardant.
J'ai l'impression de revenir en arrière, où personne n'est au courant pour lui et moi.
J'ai tellement peur de leurs réactions, même si je ne compte pas leur dire, pour le moment.
-Je vais prendre du thé. Assis-toi. Annonçait Berty, bienveillamment.
Elle essuya ses larmes discrètement, et partit en cuisine.
Je m'assis avec Lily et Rose.
Jason et Tom firent de même.
Je venais de réaliser que personne dans ce manoir, ne savait à quel point Jason avait changé.
Et à quel point notre relation a changé.
Tout le monde pense encore qu'on se déteste... ?
-Berty ?! S'exclamait Jason.
-Oui, Monsieur Malton ? Demandait-elle, en revenant avec une théière.
-Amenez-nous d'autres tasses, s'il vous plaît. Tom et moi prendront aussi un peu de thé.
Il a dit « s'il vous plaît »...
Je souriais légèrement, et commençais à boire mon thé noir...
Qui me rappela énormément de souvenirs.
Betty revint avec un plateau de biscuits, et des tasses.
Lily et Rose servaient tout le monde.
-Merci, Lily. Disait Jason, en prenant sa tasse.
-Je... je vous en prie, Monsieur Malton.
Il regarda la main de Lily, en fronçant les sourcils.
-Félicitations pour vos fiançailles. Disait-il, en la regardant.
-Je... Commençait-elle, en regardant sa bague. C'est mon petit-copain qui a demandé ma main, il y a quelques jours. Expliquait-elle, heureuse.
-Tes parents ont acceptés ?! M'exclamais-je, heureuse pour elle.
-À vrai dire... ils ne voulaient pas au début, parce qu'Alan n'avait pas de boulot... Répondait-elle.
Mais du jour au lendemain, il a reçu un mail avec une offre de poste en tant que Superviseur des projets, dans une boîte très connue, à Londres.
Je me leva pour la prendre dans mes bras.
-Félicitations. C'est génial, Lily !
-Merci, Blodwyn. C'est vrai que je ne peux pas être plus comblée.
-Il y a d'autres bonnes nouvelles ? Questionnais-je, en fronçant les sourcils.
-La boîte nous a même fait une offre d'appartement. À un très bon prix.
Maintenant, nous pouvons nous poser dès Septembre, et penser à nos projets futurs.
Nous sommes assurés pendant plusieurs années. Disait-elle, en souriant, les larmes aux yeux.
-C'est incroyable. Comment est-ce possible ? Demandais-je.
-Je ne sais pas. Ils m'ont juste dit que quelqu'un avait proposé Alan pour ce poste.
C'est cette même personne qui nous as réservés l'appartement.
Je regardais Jason.
Il ne disait rien.
-Comme quoi il y a toujours une part de lumière dans l'ombre. Concluais-je, en le regardant.
-On aurait tellement voulu remercier cette personne. Elle nous as sauvés.
-C'est vrai que ce doit être une personne incroyablement gentille. Affirmais-je, en buvant une gorgée de mon thé.
Jason me regarda rapidement, et reportait son regard sur la table.
-Peu importe, pour l'instant, le plus important c'est toi. Qu'est-ce qu'il s'est passé... ? Disait Lily.
-Tu étais... Commençait Berty.
-J'étais morte. En effet. Soufflais-je, doucement, en commençant à presque tout expliquer.
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-Et donc, tu as un frère jumeau qui s'appelle Daniel ? Concluait Berry.
-Comment faut-il t'appeler maintenant ? Blodwyn, Wanda, ou Elizabeth ? Questionnait Rose, confuse.
-Oui, un frère s'appelant Daniel. Et je voudrais que tout le monde m'appelle Elizabeth. Répondais-je, en prenant des biscuits et en me resservant du thé.
-C'est un très joli prénom. Complimentait Lily.
-Je confirme. Disait une voix en arrivant.
J'ai faillis m'étouffer avec mon thé et mes biscuits.
Helen.
-Helen. Disais-je, calmement.
-Tout le monde pensait que tu n'étais plus là... Confiait-elle.
-Vous avez tout entendu ? Demandais-je.
-Oui. Répondait-elle, gentiment.
J'hochais la tête, doucement.
-Je pense que tu aimerais aller te reposer. Disait Tom, en me pressant du regard.
-Oui, tu as raison. Tu montes avec moi ? Demandais-je.
-Avec plaisir ! S'exclamait-il.
Je me levais avec Tom, sous le regard de Jason.
Je prenais ma valise.
Tom disait bonjour à sa mère, et Berty nous rejoignait.
Je lançais un dernier regard à Jason.
Il était si proche, mais si loin en même temps.
On monta, et j'entrais dans ma chambre.
Rien n'avait changé.
-Il n'y a même pas de poussières... Remarquais-je, à voix haute.
-Je lavais tous les jours... Expliquait Berty, tristement.
J'eus un point au cœur de leur avoir fait cela.
Je pris Berty dans mes bras.
-Je suis là, maintenant. Et je ne pars pas.
-Tu ne peux pas savoir, à quel point on était triste. Tu es ma protégée. Confiait-elle.
Je soufflais, tristement.
-Je suis désolée.
-Oh non, tu n'as pas à t'excuser... Assurait-elle. Mais... pourquoi ?
Je regardais Tom.
-J'ai eu quelques problèmes personnels.
-Tu aurais dû nous en parler, Elizabeth...
-Crois-moi, Berty. Je ne pouvais pas, et je ne peux toujours pas.
-D'accord.
-Est-ce que tu peux nous laisser seuls, s'il te plaît Bert' ? J'aimerais parler avec Tom. Demandais-je, gentiment.
-Pas de problème. Souriait-il, doucement.
Elle partit, en prenant soin de fermer la porte.
Je m'écroulais sur mon lit.
-Je me sens mal par rapport à ta mère... Expliquais-je, en le regardant.
-Tout va bien se passer.
-Non, Tom ! M'énervais-je, en me relevant.
J'ai cette marque que son propre mari m'a faite, pas plus tard que ce matin ! M'exclamais-je, plus doucement.
-El'...
-J'ai... j'ai peur, Tom. Disais-je, les larmes aux yeux.
Il me prit dans ses bras, pour me réconforter.
J'évacuais toute la pression, en pleurant.
-Je le sais, Elizabeth. Je le sais.
Quelqu'un toquait à la porte.
-Qui est-ce ? Demandais-je, en essuyant mes larmes.
-C'est de nouveau Berty. Répondait-elle, en ouvrant. On mange bientôt, les enfants.
Nous descendions les escaliers.
-Je ne suis pas un enfant ! Râlait Tom, gentiment.
-Comparé à moi, si, tu en es un. Riait Berty, gentiment.
Je m'installais en bout de table, en face de Jason.
Les serveuses nous apportèrent nos repas.
Helen et Tom parlaient de tout et de rien.
Je pris une gorgée d'eau, quand Helen me posa une question.
-As-tu un petit-ami, Elizabeth ? Questionnait-elle.
Je m'étrangla, et toussais.
-Pardon ? Répondais-je, embarrassée.
-Excuse-moi, je ne voulais pas te mettre dans l'embarras. Mais... j'ai remarquée cette marque sur ton cou...
Jason se retint de rire, et toussa.
-Ce n'est rien d'important. Assurais-je, en souriant.
-Je ne t'embête pas plus.
Je ne dis rien, et finissais rapidement de manger.
-Bonne nuit. Disais-je, rapidement.
Je montais.
Je pense qu'il est mieux que je dorme directement, ce soir.
Je veux que ces vacances passent vite.
J'entrais dans ma chambre, me changea, et me coucha.
Je soufflais un bon coup.
Pas de bruit, pas de respiration, pas de présence.
Ce qui me fit réaliser à quel point j'étais seule.
Je ne sais pas à quoi je m'attendais, après tout...
Il est avec Helen, dans le même lit.
Et cela ne fit qu'empirer les choses.
Je me relevais, stressée.
J'ouvrais la fenêtre, et respira.
Cela ne fait même pas un jour, il faut que je me calme.
Je referma ma fenêtre, les larmes aux yeux.
Et je retournais me coucher, pour dormir.
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Vers sept heures du matin, je me réveillais.
Quelqu'un toqua.
Je m'étirais lentement, et allais ouvrir.
Berty.
-Le petit-déjeuner est prêt. Annonçait-elle, joyeusement.
-Je mets quelque chose de plus habillé, et j'arrive. Souriais-je, gentiment.
Je déballais toutes mes affaires, rapidement.
Je regardais le cadre avec ma famille adoptive...
Les mots de Jason surgirent dans ma tête.
Je décidais de le poser sur ma table de nuit.
Je regardais la bague à ma main, et soufflais.
Je n'avais dormis qu'en débardeur et en short.
J'enfilais un soutien-gorge, parce que je n'allais pas sortir sans, sachant que le débardeur était blanc...
J'arrivais à la cuisine, et presque tout le monde était là.
À vrai dire, il n'y avait pas Helen, qui devait encore dormir.
Je saluais tout le monde.
J'allais serrer Tom dans mes bras.
Je baillais accidentellement, ce qui fit sourire Jason.
-Il fait beau. Remarquais-je.
-Tu comptes aller dehors ? Demandait Berty.
-Non. Je pense rester dans ma chambre. Réfléchissais-je. Je me baignerais demain ou après-demain. Disais-je, en m'asseyant.
-Je te tiendrais compagnie. Si Monsieur Malton est d'accord. Assurait Berry, en regardant Jason.
-Oui bien sûr, vous pouvez toutes y aller. Acceptait-il.
-Merci. Souriait Lily.
-Je vous en prie. Disait-il, en finissant son croissant.
Je le regardais manger.
Cet homme est un phénomène quand il mange.
On dirait un enfant de sept ans émerveillé.
Tom me fit signe de ne pas m'attarder trop sur lui, à cause de Berty, Lily et Rose.
-Je me demandais... Commençais-je.
-Oui ? Demandait Lily.
-J'ai vue que vous aviez remis des roses, dans le jardin...
-Nous avons même remis un nouveau banc. Le même qu'avant. Disait Berty, en comprenant.
Ce n'est pas comme si j'avais tout détruis en partant, la dernière fois...
Je souriais, doucement.
-Je vais régler quelque chose au boulot. Annonçait Jason, en se levant. À toute à l'heure. Souriait-il, poliment.
Les filles partirent dans la cuisine.
Jason passait à côté de moi, et j'attrapa sa main.
Il se retourna, doucement.
Je le regardais, sans rien dire.
On se comprenait.
Il me regardait tendrement, et partit.
-On peut jouer aux jeux vidéos, après ? Proposait Tom, amusé.
-Call Of Duty ? Défiais-je.
-Call Of Duty ! Défiait-il.
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-Nous sommes a égalités depuis deux heures. Riais-je, désespérée.
-Actuellement, on est trop fort tous les deux. Plaisantait Tom.
-Ma... ma grande-soeur rêve de créer des jeux vidéos. Confiais-je, d'un coup.
-C'est la première fois que tu me parles d'elle... S'étonnait Tom, touché.
-Je... Je ne sais pas pourquoi je te parle d'elle. Cela m'a fait juste penser à elle.
Tom mit son bras dans mon dos, pour me réconforter.
-Ton frère et ta sœur doivent être géniaux. Tout comme toi.
-Ils... ils le sont. James, mon grand-frère... veut travailler dans le cinéma. Souriais-je, les larmes aux yeux.
-Ils ont de jolies ambitions.
-Je... C'est lui qui m'a tout appris en défense.
Il m'encourageait pourtous les tournois, avec Wihem.
-Il s'y connait bien. Remarquait-il, intéressé.
-Très bien, même. Soufflais-je. Recommençons une partie !
-C'est parti ! S'exclamait Tom, gentiment.
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Nous avions joués aux jeux vidéos, toute la journée, au salon.
J'allais dans ma chambre, et pris une douche.
Je mis un jean noir, avec une chemise blanche.
L'heure du dîner arrivait rapidement.
Je descendais, et m'installais à table.
Helen parlait beaucoup.
-On pourrait sortir tous les trois, cette semaine ? Proposait-elle, en regardant Jason.
-Euh... Si tu veux. Confirmait-il, confus. Pourquoi cette soudaine envie ?
-Parce que cela fait longtemps. Et que nous sommes une famille. Répondit-elle, gentiment.
Je fixais mon dîner, en ne disant rien.
-Oui... Répondit Jason, sans plus.
-Cela fait même bientôt plus de dix ans, que nous sommes mariés. Réalisait-elle.
-Maman... Arrête de parler de cela. Prévenait Tom, en regardant Elizabeth.
-Pourquoi ? Demandait-elle, confuse, et elle comprit. Je suis désolée, je t'ai exclue, Elizabeth.
-Oh ? Ce n'est rien. Assurais-je, en sortant de mes pensées.
Vous me détruisez de secondes en secondes.
-Tu voudrais venir avec nous ?
Mes pensées se bloquèrent pendant quelques secondes.
-Non, mais merci quand même de me proposer.
Je ne fais pas partie de la famille, après tout. Répondais-je, sans émotions.
-Tu fais partie de la famille, depuis que tu es là. Confiait-elle, gentiment.
Quoi ?!
Je me levais, brusquement.
Je ne pouvais pas me retenir.
-Je... Je vais aller me coucher. Bonne nuit. Disais-je, froidement.
Les larmes aux yeux, je regardais Lily et Rose qui étaient à l'entrée.
Berry venait d'arriver, et je passais devant elle, les larmes roulant doucement, sur mes joues.
-Elizab- Commençait Berty, surprise.
Je lui fis signe de ne pas montrer aux autres, que je pleurais.
Je marchais doucement, comme si tout allait bien, telle une guerrière.
Les larmes coulant lentement.
Je montais, et entrais dans ma chambre.
Je fermais la porte, et mes pleurs se firent plus bruyants.
Pendant quelques heures, j'étais par terre, à pleurer.
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L'homme pensait qu'Elizabeth s'était endormie, à 23h.
Il savait qu'elle n'allait pas bien, mais il avait été coincé avec Helen.
Il hésitait à toquer à sa porte, et c'est là qu'il entendit des pleurs.
Quelqu'un entra, ferma la porte, et se précipita rapidement vers moi.
Abasourdie, et les larmes ne s'arrêtant pas, je ne fis pas attention.
Mais je le reconnue directement.
Il se baissa, et me prit dans ses bras.
-Elizabeth... Disait-il, doucement et tristement.
Je le serra encore plus.
J'avais besoin de lui.
-Je... je ne peux pas, Jason...
-Je ne peux pas non plus, El'... Répondait-il, en caressant mes cheveux.
-Alors, comment va-t-on faire ?
-On va se battre. Comme on le fait depuis le début. Disait-il, tendrement.
Je relevais la tête vers lui, et il sécha mes larmes.
-Je vais juste... devoir t'attendre, pendant que tu seras avec Helen et Tom, je ne sais où ?
-Est-ce que tu penses vraiment, que cela me fasse plaisir ? Demandait-il, en fronçant les sourcils.
-J'ai l'impression d'être une chose fragile, qui ne fait que de pleurer.
-Non, El'. Tu es forte. Tellement plus forte que nous tous. Assurait-il, honnêtement.
Je nichais ma tête au creux de son cou, laissant les larmes couler.
-Quelqu'un... pourrait arriver... Remarquais-je.
-Si tu savais à quel point, je n'en ai rien à foutre. Souriait-il, tristement, en me regardant.
Je me mis à rire, doucement.
Il se levait et me tendit sa main, pour m'aider à me relever.
Il m'embrassa soudainement, et je prolongeais le baiser.
Jason me bascula sur le lit, en se mettant au dessus de moi.
-Qu'est-ce que tu as dit à Helen ? Questionnais-je, inquiète.
-Que j'allais prendre une tassé de thé.
-Tu ne devrais pas être déjà avec elle ?
-Mh... Réfléchissait-il. La machine à thé est en panne. Riait-il, amusé.
-Jason... Soufflais-je, désespérée.
On riait tous les deux.
Je caressais sa joue, en le regardant dans les yeux.
-Qu'est-ce que tu regardes comme cela ? Questionnait-il, curieux.
-J'admire la beauté de tes yeux. Puis-je ?
-Je vous en prie, mademoiselle. Mais laissez-moi donc admirer les vôtres.
Nous ne parlions pas pendant quelques secondes.
-C'est toi qui a fait tout cela, pour Lily ? Demandais-je, soudainement.
-Que... Oui, c'est moi.
-Je ne pensais pas que tu allais t'en rappeler.
-Je me rappelle de tout. Confiait-il.
Je me rappelle aussi de ton expression angoissée, la première fois que tu es entrée dans ce bureau. Commençait-il.
De tes grands yeux verts, qui se sont posés sur moi.
-À ce moment-là, je souhaitais si fortement que tu ne sois pas le directeur. Riais-je, tendrement.
-Tiens, encore une nouvelle élève maladroite, qui va trouver un petit-ami, tomber réellement amoureuse, et en parler à toutes ses copines, puis pleurnicher.
-C'est ce que tu pensais de moi ? Demandais-je, vexée.
-C'était avant que je ne découvre ton caractère de femme des cavernes, que j'aime beaucoup. Riait-il, en me faisant un clin d'oeil. Et à quel point, tu es intelligente.
-Et toi, avec ton intelligence et ton caractère d'homme têtu. Tu me fais penser à la Bête, parfois.
Il explosait de rire.
-Donc, tu es la Belle ? Proposait-il, en fronçant les sourcils.
-Vu le nombre de livres que je lis... je pense que cela collerait.
-Ta beauté collerait aussi.
Je me mis à rougir, embarrassée.
-Tu dis n'importe quoi... Soufflais-je, contrariée.
-Penses-tu vraiment une seconde, que tu ne l'es pas ? S'étonnait-il, en fronçant les sourcils.
-Je...
-Outre le fait que toutes les pestes t'insultaient, dans le passé ?
-Ces filles-là... m'ont rabaissées pendant des années, et des années... Racontais-je, les larmes aux yeux.
-Tu es magnifique. Disait-il, en détaillant mon visage.
Oublie-les.
Tu es avec moi, maintenant.
Et je ne te lâcherais jamais. Promettait-il.
Jason était toujours au dessus de moi.
Je le pris dans mes bras, et il me serrait, pendant de longues secondes.
-Merci. Tu as bien dit que j'avais, un caractère de femme des cavernes... ? Réfléchissais-je, en fronçant les sourcils.
-Oui... ? Répondait-il, confus.
-Tu me considères comme une femme... ?
-À la minute où je suis tombé amoureux de toi, tu n'étais plus une fille, tu es devenue une femme à mes yeux.
Cette phrase me fit un électrochoc.
Il m'embrassait, amoureusement.
-La machine à thé est plus qu'en panne, là. Réalisais-je.
-J'ai appelé quelqu'un pour la réparer. Il arrive dans trente minutes. Riait-il, en inventant.
J'enlevais sa chemise.
J'avais besoin de sa chaleur, et de voir qu'il était vraiment là.
-Je t'aime. Disais-je, en le regardant.
-Je t'aime aussi. Répondait-il, en m'embrassant, plus fortement.
Il déboutonna ma chemise, tout en m'embrassant.
Et la lançait, par terre.
Il embrassa mon cou, mon ventre, tendrement et lentement.
Jason remontait jusqu'à moi, et je l'embrassais, en caressant ses cheveux.
-Mais qu'est-ce que... ?!
Putain de merde.
On arrêta tout nos mouvements.
Elle entrait et fermait la porte, soudainement.
-Enlevez vos sales pattes d'Elizabeth ! S'exclamait Berty, choquée.
Jason me regardait, tout aussi déconcerté, que moi.
Il se levait.
-Je... Berty... Balbutiais-je, en essayant de parler.
-Pourquoi il n'y a que moi qui suis choquée ?! Criait-elle, paniquée.
Je regardais Jason, mal à l'aise.
J'avais l'impression de le perdre, quand je le vis tomber sur le sol.
-Jason ?!
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Re Bonjour ou Re Bonsoir tout le monde !
Vous allez toujours bien ?
Vos réactions ?
Que pensez-vous de ce Chapitre ?
Bonne journée ou bonne soirée à toutes !
x.
LeaDream
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