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Chapitre 42-25.

Bonjour ou Bonsoir tout le monde, je suis revenue !

Comment allez-vous ?

Je voudrais 20 commentaires sur ce Chapitre, sil vous plaît ! 😂

J'explique que cela n'est pas un ordre pour les commentaires, c'est un challenge !

Ce Chapitre fait 1705 Mots !

Je précise que quand je dis que tel chapitre fait tel nombre de mots, je compte aussi mes notes, alors le Chapitre est forcément un petit plus court !

Bonne lecture à toutes !

--

Slygry Ravhuff, Chapitre 42-25.

Ne craque pas, Elizabeth.

Tu n'as pas le droit.

Pas devant lui.

-D'accord, Monsieur. Répondis-je, en le regardant vaguement.

Une affreuse envie de sauter par la fenêtre me prit.

-Bien. Disait-il, froidement.

Est-ce que tout cela, est en train de recommencer ?

Parce que je ne pourrais pas survivre longtemps, à ce surpoids de larmes.

-Alors vous êtes dans la branche des « Internationaux » ? Demandait-il, en regardant ma fiche de cours.

-Oui. Confirmais-je, sans émotions.

-Avez-vous une idée de travail pour le futur ? Questionnait-il, en fronçantles sourcils, me regardant.

-Je... Réfléchissais-je. J'aimerais devenir écrivaine, ou bien professeur.

Il me regardait.
Son regard était indéchiffrable.

-Professeur dans quelles branches ?

-Professeur d'Anglais.

-C'est bien d'avoir des objectifs pour le futur... Disait-il, en cherchant ses mots.
Peu importe, j'ai vu que vous aviez de la Littérature, ainsi que de la Littérature en deux langues étrangères différentes, deux langues étrangères, Anglais, deux activités en Arts, et de la Philosophie ?

-Madame Rowena était censée m'aider, pour cela... Expliquais-je.

-Je vous rappelle qu'elle est en congé de maternité.

Malheureusement pour moi.

-Vous êtes bon, dans ces matières-là ?

-Oui, sinon je n'aurais pas accepté.

-Commençons, alors. Soufflais-je.

-Commençons. Disait-il, neutre.

--

17h00.

Je sortais de la bibliothèque, des livres de cours à la main.

Comment est-ce que cela s'était passé ?
Cela s'était passé.

Je marchais jusqu'au dortoir, tranquillement.

Après tout, je n'ai plus personne à voir à part mes amis, maintenant.

J'entrais, et quelques filles étaient présentes.

-Oh mon dieu, Wanda a des livres de cours. Remarquait une fille, en plaisantant.

-Elle a dû se réveiller, je suppose. Riait une autre.

Je ne dis rien.
Je ne dis rien, de peur de gravement, les érafler contre le mur.

Je m'assis sur mon lit et ouvris le livre de cours, de Littérature.

Ja... Monsieur Malton m'avait demandé d'apprendre « Le roman et lanouvelle aux 18ème siècle :  réalisme et naturalisme. »

C'est parti.

--

20h00.

Iris revint du dîner, avec des trucs à grignoter.

-Hey, El'. Je t'ai ramenée du pain, des chips, et des fraises. Riait-elle, gentiment. Ce n'est pas très nourrissant je sais, mais je n'ai pas pu prendre autre chose.

-C'est déjà très bien, Iris. Merci beaucoup. Souriais-je doucement, en prenant la nourriture.

Elle s'assit sur son lit, en mangeant son bout de pain.

-Tu es toujours sur ton cours de Littérature ?

-Je regrette de ne pas être aller en cours.

-Madame Rowena n'est pas gentille ? Demandait-elle, en fronçant les sourcils.

-Rappelle-toi qu'elle est en congé de maternité.

Iris me regardait, ne comprenant pas.

-Alors, qui te donne des cours ?

-Un homme. Soufflais-je, en la regardant.

-Comment est-ce qu'il s'appelle ?

Je regarda Iris, n'arrivant pas à prononcer son nom.

-Elizabeth... quel est son nom ? Répétait-elle, inquiète.

-Monsieur Gamb... a proposé... à... Monsieur Malton. Répondais-je, retenant mes larmes. Et il a accepté.

-Comment a-t-il osé accepter ?! S'exclamait-elle, énervée.

-Calme-toi, Iris. J'ai besoin de son aide.

-Tu aurais pu me demander, je suis dans les « Internationaux » aussi !

-Oui, et tu réussiras à devenir une merveilleuse journaliste. C'est pour cela que je ne dois pas te déranger pendant les examens.

-El'... Soufflait-elle, tristement. Tu tiens le coup, au moins ?

-Oui, vraiment. Riais-je, amusée. Il enseigne très bien.

-Vraiment ?

-Oui, il est assez patient, et il réexplique, quand je ne comprends pas.

-Je te fais confiance, Elizabeth. Prévenait-elle. Si tu ne vas pas bien, je serais toujours là pour toi.

-Je vais bien, vraiment, Iris.

-Bien. Disait-elle, inquiète.


Iris allait se doucher, pendant que je révisais toujours.
Elle sortit, et se coucha.

J'allais me laver, me remettais dans mon lit, et rouvris mon livre.

-Bonne nuit, Elizabeth. Disait Iris, en baillant.

-Bonne nuit, Iris. Disais-je, gentiment.


Je continuais de réviser jusqu'à minuit, tout en mangeant.

Je finissais de me brosser les dents, et revenais me coucher, pour reprendre mes révisions.

Je ne savais pas quoi penser, de tout cela.

Cela ne fait que depuis ce matin...
Je commence déjà à haïr ma vie, qui était si banale aujourd'hui.

Je finis par m'endormir, mon livre de cours à la main.

--

Mardi 16 Juin.

Je me leva, m'habilla, et pris mes affaires de cours.

Je croisais Louis avec Tom, dans le couloir.

-Hey, les garçons ! M'exclamais-je, gentiment.

Louis me fit un câlin.

-Mon père ne me parle plus de toi ? Demandait Tom, confus.

-Ton père n'est plus que Monsieur Malton. Expliquais-je, en les regardant, tous les deux.

-Qu...Quoi ? Scarlett et moi l'avons aidé, et c'est comme cela qu'il... S'arrêtait Tom, en s'énervant. Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

-Je vous le dirais plus tard... Je dois rejoindre mon professeur, qui m'aide pour les cours. Répondais-je.

-D'accord, à toute à l'heure, et bonne chance ! S'exclamait Tom, gentiment.

-À toute à l'heure ! M'exclamais-je, en partant.

-Bonne chance ! À toute, Wanda ! S'exclamait Louis.

À la rentrée prochaine, il faudrait vraiment que j'annonce ma vraie identité.
J'en ai marre, de ne pas être moi-même.

J'entrais dans la bibliothèque.

Il n'y avait personne, sachant que tout le monde était en train de passer leurs examens.

Il m'attendait, assis.

-Bonjour, Monsieur Malton.

-Bonjour, Mademoiselle... Williams.

Je m'asseyais, et posa mes affaires sur la table.

-Est-ce que vous avez lu le livre sur Madame Bovary ?

-Oui, je l'ai trouvée très intéressant.
Pas que la tromperie soit ma tasse thé.
Mais bizarrement, j'aime le fait qu'elle fasse laconnaissance de tous ses hommes, pour trouver son bonheur. Le fait est qu'elle ne le trouvera jamais, si l'on pense à la fin.

Notez la pointe d'ironie dans ma voix.

-Est-ce que vous pensez que Charles Bovary l'aimait vraiment ?

-Je pense, mais elle n'a juste pas su ouvrir les yeux. Au lieu de ne penser qu'à son propre ennui, et de vouloir trouver un homme qui pourrait la conquérir.
Je ne pense pas que ce soit une perte de temps, mais elle a eut une fille, et elle n'était toujours pas heureuse !
Qui neserait pas heureux d'avoir un enfant, vraiment ? Demandais-je, contrariée.
Madame se plaint de ne pas avoir eut un garçon à la place et trouve même, sa fille laide, et la confie à une certaine Madame Rollet. Soufflais-je.

-Qu'est-ce que vous insinuez ?

-Elle avait un homme qui ne lui voulait que du bien et une fille, mais elle est quand même partie chercher ailleurs.
Malgré avoir beaucoup aimée lire ce livre, elle n'a gagnée que des aventures par-ci, par-là.
Et au final, elle a tout perdue, en allant jusqu'à perdre sa vie pour une histoire de dettes, ses amants ne voulaient pas payer.
Elle aurait mieux fait de rester avec son mari, au lieu de le blesser comme cela, en se suicidant.
Charles Bovary a juste finit par mourir, de chagrin. Répondais-je.
Elle aurait dû rester avec son mari, et sa fille.
C'était cela son vrai bonheur, à mes yeux.

Tiens, cela me fait vaguement penser à quelque chose, cette histoire.

-Je vois que vous avez bien compris l'histoire. Après, tout le monde a une opinion différente, mais j'aime bien votre façon de penser. Confiait-il, en me regardant.

Je ne dis rien.

-Bien, nous reverrons cela plus tard, passons à l'Anglais. Disait-il, en ouvrant un livre de cours.

Le vrai bonheur est là, sous mes yeux.

Je le réalisais encore une fois.

--

Après mes cours, j'allais m'asseoir sur le banc.

Tout le monde arrivait, même Tom.

-Alors, les examens ? Demandais-je, gentiment.

-Rappelle-moi, de ne pas vouloir devenir ingénieure, la prochaine fois. Riait Suzy, en s'asseyant.

-Ce n'est pas si horrible que cela d'être dans les « Mathématiciens », Suzy ! S'exclamait Louis, en riant.

-Excusez-moi, monsieur le BusinessMan, qui est plus intelligent que les autres ! Plaisantait Suzy, en regardant Louis.

-Les « Internationaux » sont meilleurs. Disait Ben, amusé.

-Cours toujours, le réalisateur. Les meilleurs, c'est les « Artistes » ! S'exclamait Tom.

-Je préfère les « Historiens », désolée. Disait Destinée. Guide touristique, pour la vie.

Je souriais, en les regardant débattre.

-Tom, qu'est-ce que tu veux faire, déjà ? Questionnait Ben.

-Je... Architecte. Répondait-il, confiant.

Tom...

-Et tu comptes le dire quand à ton père, que tu t'es inscrit dans les «Artistes », pour devenir acteur ? Soufflait Louis, gentiment.

-Est-ce que tu m'imagines être acteur, avec un père BusinessMan ? Souriait Tom, tristement.

-Elizabeth pourra toujours le convaincre. Disait Suzy.

Je regardais le sol, essayant de ne pas craquer.

-El'... Commençait Tom.

-Je vais bien. Répondais-je, en le regardant.

-Est-ce que j'ai dis quelque chose, qu'il ne fallait pas ? Demandait Suzy, embarrassée.

-Tu n'as plus ta bague. Remarquait Ben.

-On s'est disputé. Et... on a réalisé que cela ne pouvait pas marcher. Expliquais-je, en souriant, doucement.

Tom vint me prendre dans ses bras.

-Je suis désolée, Elizabeth. Disait Suzy, tristement.

-On est tous désolé. Confiait Ben, sincèrement.

-Merci, mais ne vous inquiétez pas. Je me sens vraiment heureuse.

Je suis tellement heureuse, que j'ai envie de me foutre en l'air.

-On est là pour toi, El'. Assurait Destinée.

-Je le sais. Répondais-je, en me levant.
Je dois y aller, on se revoit bientôt, bonne chance pour vos examens de demain !M'exclamais-je, énergiquement.

-Merci ! À demain, El'. Disait Tom.

Ils me saluèrent tous.
Je partis, pressée.

Je ne voulais juste pas affronter cette conversation.

Je marchais dans les couloirs, perdue dans mes pensées.

Au loin, je vis Monsieur Malton, parler avec des professeurs.

La jeune fille passait à côté de lui, pour aller au dortoir.

L'homme se retournait, et la regarda marcher au loin, tristement.

Elle lui manque aussi.

Elle lui manque tellement.

--

Bonjour ou Bonsoir tout le monde, je suis revenue !

Comment allez-vous ?

Vos réactions ?

Que pensez-vous de ce Chapitre ?

Bonne journée ou bonne soirée à vous !

x.

LeaDream

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