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Chapitre 42-22.

Bonjour ou Bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

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Ce Chapitre fait 9 376 Mots !

AVERTISSEMENT : N'ALLEZ PAS À LA FIN, MÊME SI VOTRE CURIOSITÉ VOUS OBLIGE À Y ALLER, S'IL VOUS PLAÎT !
Cela fait depuis huit heures du matin que je corrige sans manger, ni boire, ni aller aux toilettes, ni parler, ni me laver ( la parfaite élégance ! ), respectez-moi, un peu, s'il vous plaît ! 😅

Bonne chance, et bonne lecture à toutes !

--

Slygry Ravhuff, Chapitre 42-22.

PDV d'Elizabeth Williams.

Mercredi 10 Juin.

-Bonjour, Mademoiselle muette, comment vont ces poings ? Demandait le même garde, qui m'apporte à manger, chaque jours.

Je ne répondis pas, fixant le plafond de ma cellule, couchée sur mon lit.

-Bien, à ce que je vois. Continuait-il, à parler.

Il m'énerve.

-Comptes-tu manger aujourd'hui ?

Je le regardais, sans répondre.

-Je prends cela pour un non... Tu pourrais au moins manger un bout de pain, ou boire de l'eau. Tu ne tiendras pas sinon.

Je le regardais, stressée.

-Ou alors... c'est ce que tu veux, hein ? Demandait-il, en venant de le réaliser.
Ne pas tenir ? Soufflait-il, doucement.
Les jeunes sont incorrigibles.

-Qu'est-ce que tu veux ? Demandais-je, soudainement.

Il me regarda, surpris, et prit la parole.

-J'ai connu un garçon, dans cette même cellule. Commençait-il, en me regardant.
Ce garçon n'était pas un génie, il avait arrêté l'école à dix-sept ans, à cause d'un braquage dans une banque. Disait-il, en soufflant, amusé.
Sa mère était à l'hôpital, et son père, à l'armée.
Il avait une grande-sœur, une petite-soeur, et deux petits-frères jumeaux.
Ils étaient pas pauvres, mais ils n'avaient pas le budget pour soigner leur mère.
Le garçon voulait de l'argent pour soigner sa mère, alors il a fait le pire des choix qui s'étaient présentés à lui.
Il s'était fait arrêté, et il avait passé deux ans dans cette cellule.
Entre temps, son père était revenu à la maison, gradé en tant que Colonel, pour avoir contribué à faire gagner une guerre.
Il avait eut les sous pour soigner sa femme.
Et sa femme est guérie maintenant, et en pleine forme.
Le gamin, était perdu, et sans espoir, il pensait ne jamais ressortir d'ici.
Mais un garde, est venu, et l'avait aidé à ne pas manquer son programme scolaire.
Le garde avait été un professeur avant.
Il motiva le garçon, à améliorer sa vie.
Le garçon, qui était arrogant, se laissant mourir dans cette cellule, et ne savant que frapper les murs, ne mangeant pas, ne bougeant pas de son lit, était sortit en nouvel homme.
Il était devenu sage, mature, bienveillant, poli, gentil.
Il s'était trouvé une passion pour la protection, et pour la justice.
Il s'était entrainé, et mangeait sainement.
Il était revenu voir sa famille.
Et, il s'était inscrit à l'armée, ainsi que sa grande-sœur de vingt-cinq ans, en tant qu'infirmière dans la même base.
Il avait gravit les échelons, mais voulant finalement, avoir une petite vie tranquille, avec une fille qui était aussi infirmière, dont il était tombé amoureux.
Ils quittèrent tous les deux leur boulot, et revinrent en Angleterre, comme leur base était en Amérique.
Ils se marièrent, et sa femme ouvrit une boulangerie.
Ils eurent deux enfants, qui ont aujourd'hui, deux ans et cinq ans.
La petite fille de deux ans s'appelle Martha, et le petit garçon decinq ans, s'appelle Logan.
Le garçon, qui était maintenant un homme de trente ans, décida de revenir dans cette prison, en tant que garde, pour aider les jeunes, comme ce garde qui l'avait aidé.

Woah.

-Qu'est-ce que vous essayez de me dire ?

-Que tu as toutes tes chances, et que la vie est longue, alors ne la gâche pas.

-Ce garçon, c'est vous ?

-Oui, je m'appelle James. Je suis enchanté de te rencontrer.

-Je suis enchantée de vous rencontrer, aussi. Décidément...

-Tu connais quelqu'un qui s'appelle James ? Questionnait-il, en riant, gentiment.

-Mon... mon grand-frère, qui n'est pas mon frère.

-Comment cela ?

-J'ai appris que j'avais été adopté. Expliquais-je, mon cœur me faisant mal.

-Oh... je suis désolé. Disait-il, tristement. Elizabeth, c'est cela ? Demandait-il, en me regardant.

-C'est cela ! M'exclamais-je, en souriant, gentiment. Qui est ce garde ?

-Le père du Directeur de la prison.

-Le père de Monsieur Hawx ?! M'exclamais-je, surprise.

-C'est cela. Je l'ai vu, il y a un mois...

-Quel âge a-t-il, aujourd'hui ? Questionnais-je, en fronçant les sourcils.

-Quatre-vingt-dix ans... Répondait-il, en souriant, tristement.

Vu la façon dont le garde me regardait, l'homme ne devait pas être en bonne santé.

-Oh... Je suis désolée, James. Répondais-je, tristement. Que sont devenus vos frères et sœurs ?

-Ce n'est rien, j'espère juste qu'il va se remettre. Souriait-il, bienveillamment.
Ma sœur est toujours infirmière à l'Armée, et s'est marié avec un brave soldat.
Ma petite-soeur fait des études pour devenir styliste des costumes, pour le cinéma, et mes deux petits-frères jumeaux ont créés une bande-dessinée tous les deux ! S'exclamait-il, gentiment.

-La boulangerie de votre femme marche bien ?

-Très bien, merci beaucoup. Peut-ont se tutoyer ? Riait-il, amusé.

-Je t'en prie. Disais-je, en le regardant. Oui !Riais-je, gentiment.

-C'est beaucoup mieux ! S'exclamait-il, en riant, doucement.

-Comment s'appelle le garde qui t'a aidé ? Demandais-je, en le regardant.

-Charles Hawx. Répondait-il, en souriant, tendrement.

-D'accord... merci beaucoup.

-Je t'en prie.

-Au faite, merci beaucoup, encore, pour... la nuit où tu m'as aidé à me soigner.

-C'est normal, je n'allais pas te laisser dans tout ce sang.

Flashback du Dimanche 7 Juin à deux heures du matin !

Je sentais quelqu'un me porter, et me poser quelque part.

-Lâchez-moi ! M'exclamais-je, à moitié endormie.

-Je pourrais si tu ne t'accrocherais pas à moi.

J'ouvris les yeux, et vis le garde qui m'avait apporté à manger plus tôt dans la soirée.

Il m'avait emmené dans une pièce, avec une douche.

-Prends une bonne douche, pour nettoyer tout ce sang, et je vais laver ta combinaison, et tes bottes, d'accord ?

-D'accord.

Il partit, puis j'alluma l'eau.
Je poussa un cri de douleur, quand l'eau chaude arriva sur mes mains.
Je me reposa, me savonna, et je lava mes cheveux aussi, qui avaient trempés dans le sang.
J'avais au moins mis trente minutes, et je sortis, puis me sécha.
Je me regarda dans le miroir.

J'avais un visage affreusement triste.

J'enroula la serviette autour de mon corps, et m'asseyais sur une chaise, pour attendre le garde.

Il revint, avec toutes mes affaires propres.

-J'ai... lavé tes sous-vêtements aussi, tu avais oublié de fermer la porte à clés.

-Je... Rougissais-je, embarrassée. Merci beaucoup.

-Je t'en prie.

Il se retourna, et je me changea.

Il ferma ma combinaison comme il le fallait, et faisait mes lacets.

Il désinfecta mes plaies aux mains, et enroula mes deux mains chacune, avec un bout de bandage autour, soigneusement.

-Prête ?

-Prête.

Il me ramenait à ma chambre.

-J'ai aussi lavé tes draps, et ta couette, et j'ai aussi volé deux coussins, puis j'ai lavé le sol...

-N'es-tu pas censé être un garde ?

-Je suis un garde gentil. Souriait-il, tendrement.

-Tu as fait vite... Constatais-je, surprise.

-Je suis aussi un mari qui aide sa femme à faire les machines et à laver la maison. Riait-il, amusé. Et nous avons plusieurs sèches-linges et machines à laver. Expliquait-il, en me regardant.

Je le serra dans mes bras, ce qui le surprit.
Mais il me serra dans ses bras à son tour, doucement.

-Merci beaucoup.

-Je t'en prie. Bonne nuit à toi.

-Merci. Bonne garde à toi.

-Merci, et de rien. Riait-il, amusé.

Il partit, en me souriant, gentiment.
Je me couchais, beaucoup mieux, grâce au garde, et me rendormis, plus confortablement, avec les deux coussins.

Fin du Flashback du Dimanche 7 Juin, à deux heures du matin !

-J'ai deux coussins, maintenant. Plaisantais-je, en regardant mes deux coussins.

-Et oui, tu peux te sentir unique, ici, maintenant ! S'exclamait-il, en riant, fortement.

Nous rîmes fortement ensembles.

-J'ai une question, un peu soudaine, mais... j'aurais besoin d'écrire une lettre, James.
Et j'aurais besoin de ma bague que j'ai mis dans un bac, et de mon parfum, que j'avais laissé dans un sac à main, quand les policiers m'ont embarqués. Demandais-je, en fronçant les sourcils.

-Je... je n'ai pas le droit... Répondait-il, embarrassé.

-Disait-il, en m'ayant donné deux coussins, et en m'ayant fait sortir de ma cellule, l'autre nuit ? Demandais-je, en souriant, gentiment.

-Je te donnerais tout ce soir, pour l'écrire, tu auras deux heures pour l'écrire, et je la récupérerais, après, d'accord ?

-D'accord, James. Tu me sauves la vie. Disais-je, reconnaissante.

-Haha, vraiment ? Riait-il, gêné.

-Vraiment. Remerciais-je, sincèrement.

-Bien, je viendrais vers 20h00, pour te donner ton plateau, je glisserais du papier et une enveloppe sous l'assiette, ainsi qu'un un stylo, tabague, et ton parfum dans la serviette en papier.

Je le regardais, gentiment, et il me regardait aussi.

-Merci beaucoup, James.

-Je t'en prie, Elizabeth.

Il ne peut pas savoir à quel point il me fait me sentir bien, ici.
Comme quand je suis arrivée au manoir, et que... Suzy, Lily, Rose, Alfred étaient là.
Je n'en parle jamais, mais... il me manquent.
La vie au manoir me manque.
C'était devenu un peu ma maison.

Les larmes coulèrent en me remémorant mes bons souvenirs de ma vie au manoir.

--

20h00 !

James arrivait comme prévu.

-Tu n'as pas mangé ton repas de ce midi ? Demandait-il, inquiet.

-Je gardais de la place, pour celui de ce soir. Répondais-je, en le regardant.

-Disait-elle, en n'ayant rien mangé depuis qu'elle était ici. Plaisantait-il, en riant, gentiment.

Je prenais un bout de pain, et l'engloutissais.

-Content ?

-Très content ! S'exclamait-il, tendrement. Tu as deux heures. Disait-il, gentiment.

-D'accord ! M'exclamais-je, énergiquement.

-À toute à l'heure, El'. Souriait-il, tendrement, en partant.

-À toute à l'heure, James. Souriais-je, doucement.

J'aurais pu le surnommer Ja', mais je ne préfère pas.
Je me mettais à écrire ma lettre, tout en mangeant.
La nourriture était très bonne, pour une prison de luxe.
Tout en finissant ma lettre, les larmes coulèrent, doucement.

--

Deux heures après !

-Je suis là. Disait James, doucement, en entrant dans ma cellule.

-Je viens de finir. Combien de temps cela va prendre pour envoyer la lettre ? Demandais-je, en fronçant les sourcils, et en le regardant.

-Ta lettre arrivera le Vendredi 12 Juin. Répondait-il, en me souriant, tendrement. Woah, tu as tout finis ! S'exclamait-il, en regardant mon plateau du dîner, en riant, soulagé.

-Merci beaucoup. Souriais-je, gentiment. Oui, c'était très bon ! M'exclamais-je, surprise. Au faite, j'avais une question ?

-Je t'en prie. Nous avons des bons chefs de cuisine. Souriait-il, gentiment, aussi. Oui ?Demandait-il, en me regardant.

-Mes amis n'entendent pas ce que l'ont se dit ?

-Je coupe les micros de ta cellule, quand je viens. Expliquait-il, embarrassé.

-Tu enfreins beaucoup de règles pour moi, alors que tu viens de commencer de travailler ici. Disais-je, confuse.

-J'ai trente-deux ans, et, si je peux faire ce qu'avait fait Charles Hawx pour moi, pour toi, je le ferais.

-Il avait enfreint des règles, aussi ?

-Beaucoup. Son père était le Directeur de la prison Sunseeker.

-Oh.

-J'ai défendu Charles contre son père, quand j'étais jeune, il m'en doit une, alors, si j'ai des problèmes avec la prison. Expliquait-il, en riant, gentiment.

Je parfuma la lettre, la plia, et la mettait dans l'enveloppe.
J'y mettais ainsi la bague, et je ferma l'enveloppe.
Et je donna la lettre à James, puis il la prenait.

-Merci beaucoup, vraiment, James.

-Je t'en prie, je ferais tout pour t'aider, Elizabeth.

Jason.

--

PDV de Jason Malton.

Vendredi 12 Juin.

L'homme était à son bureau, réglant des affaires habituelles, quand il reçut de la visite.

-Entrez. Disais-je, froidement.

C'était Tom.

-Bonjour... Disait-il, en souriant, faiblement.

-Tom... est-ce que tu vas bien ? Demandais-je, perplexe, à la vue de sa mine pâle.

Bien sûr, qu'il n'allait pas bien.
Il ne cachait pas ses pleurs.
Il ne mangeait pas, et ne buvait pas.
Nous nous ressemblions.
Sauf que... que moi, je me perdais dans le travail, et lui, dans les cours.
Et que moi, je ne pleurais pas.

-Non. Répondait-il, en me regardant.

Il se remettait à pleurer, ce qui me blessa.
Je déteste le voir pleurer.

Je me lava, et m'avança vers lui.
Jason le prenait dans ses bras, et Tom serra son père, dans ses bras.

-Papa, dis-moi...

-Oui, Tom ?

-Est-ce que nous avons juste eu ce que l'ont méritaient ?

-Je... Tom... Commençais-je, en le regardant.

Scarlett entra dans mon bureau, rapidement.

-Bonjour, vous deux. Disait Scarlett, énergiquement. Jason, j'ai une lettre pour toi.

-Me déranges-tu pour une simple lettre, comme j'en reçois tous les jours, par milliers, Scarlett ? Demandais-je, en riant, amusé.

-Ce n'est pas une lettre comme les autres. C'est très important. Expliquait-elle, en devenant plus sérieuse.

-Comment cela ? D'où vient-elle ? Demandais-je, en fronçant les sourcils.

-Tu vas le comprendre par toi-même. Disait-elle, en me donnant la lettre.

Je prenais la lettre, doucement.

-D'accord. Merci Scarlett.

-Je t'en prie, Jason. Viens Tom, ton père doit être seul, c'est une lettre confidentielle.

-Scarlett, il peut rester. Disais-je, en m'asseyant.

-Non, il ne peut pas. Assurait Scarlett, en me regardant.

Tom les regardait s'engueuler.

-C'est bon, Papa, je vais avec Scarlett. Ont reparleras ensembles après.

-Es-tu sûr ? Demandais-je, en fronçant les sourcils.

-Oui, à toute à l'heure, Papa.

-À toute à l'heure, Jason. Disait Scarlett, en ouvrant la porte, pour sortir.

-À toute à l'heure, vous deux. Soufflais-je.

--

PDV de Tom Malton !

Nous venions de sortir du bureau de mon père, en riant, fortement, à cause de l'embrouille entre mon père et Scarlett.

-Allez, dis-moi de quoi parle la lettre ! M'exclamais-je, en parlant à Scarlett.

-Tu le sauras bien assez tôt, Tom. Disait Scarlett, en devenant plus sérieuse.

-Vraiment ?

-Vraiment, Tom.

-Merci beaucoup, Scarlett. D'être comme tu es. Disais-je, soudainement, gentiment.

-Je t'en prie, Tom. Riait-elle, de bon cœur, en me regardant, gentiment.

-Cela fait longtemps que je voulais te le dire. Confiais-je, en la regardant. Maintenant, allons manger ! M'exclamais-je, énergiquement, en courant.

-La nourriture avant tout, c'est cela ?! S'exclamait Scarlett, en courant avec moi.

-Presque ! M'exclamais-je, en hochant la tête, gentiment.

-Toi et ton père, vous êtes vraiment pareils, Tom ! S'exclamait-elle, en riant, amusée.

-Je le sais, Scarlett ! M'exclamais-je, en riant, énergiquement.

--

( Note de l'Auteur : Je précise que pour ma cause, j'ai écouté « When It's All Over » de RAIGN, et « Lost It All » de Jill Andrews, pour tout le moment de la lettre ! )

PDV de Jason Malton !

Ils partirent tous les deux, en riant, ce qui me fit rire.
Je regardais cette enveloppe.
Elle avait une odeur... presque trop... familière pour moi.
Il n'y avait rien écrit dessus.
J'ouvris l'enveloppe.
Je prenais rapidement la lettre, et la déplia.
L'homme ne fit pas attention au contenu de cette enveloppe.

«

-From Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams

-To Jason Lukaas Daniel Harry Malton

Je...

-Je ne sais pas trop par où commencer,

Alors, je vais juste me contenter de te dire toutes les choses que je souhaite te dire depuis ces cinq jours, même si, quand tu recevras la lettre, cela fera sept jours.
Je n'ai que deux heures pour écrire cette lettre, alors je vais faire vite.

La vie est parfois brisée de mensonges, de trahisons, d'amour, de larmes, et de disputes.
La vie est parfois enjolivée de rires, et de sourires.
La vie est parfois compliquée.
La vie est parfois injuste.
La vie est parfois putement pas correct.

Mais, nous ne contrôlons pas tout le temps notre cerveau, et nos gestes en même temps, n'est-ce pas ?

J'ai moi-même fais d'énormes erreurs, de douloureuses erreurs.
Que je paie amèrement, en ce moment.
J'ai eu le temps de réfléchir, entre ces quatre murs.
À réaliser à quel point j'avais fais du mal aux gens que j'aime.

Parce que ma vie, est un sacré bordel.
Un bordel plein de bonnes choses, comme de mauvaises.

D'un côté, il y a toi, mes amis, ma nouvelle famille, et de l'autre, il y a mon passé.

Je n'ai jamais su vraiment comprendre la chance que j'avais.

J'ai envie de tout abandonner.

Je ne sais pas comment tout cela va se finir.

Parce que, maintenant, je n'ai plus rien.
Je ne sais même pas si tu vas recevoir cette lettre, malgré que je fasse confiance à mon garde protecteur.

Un garde protecteur ?

Il m'aide beaucoup à continuer d'avancer.
Il me parle de sa femme, de ses enfants.
Son histoire est merveilleuse.
Je ne t'envoie pas cette lettre pour te parler de lui.

Mais pour tout te dire, de moi.
Commençons depuis le tout début, en version rapide.

Je m'appelle Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams.
J'ai cru être née à Mullingar, en Irlande.
Mais là, n'était que mensonges.
Ma mère, Marcia, est tombée enceinte de moi et de mon frère jumeau, le Jeudi 23 Avril 1996.
Je suis née en Angleterre, tout comme Daniel, le Mardi 23 Juillet 1996.
J'ai beaucoup d'origines : irlandaises, écossaises, françaises, et pour finir, j'ai aussi des origines juives très lointaines.
J'ai les yeux verts parce que notre père à moi et à Daniel, avait les yeux verts.
Et Daniel, mon frère, a les yeux bleus, parce que notre mère avait les yeux bleus.
J'ai vécue tranquillement dans ma famille adoptive, sans le savoir.
Wihem et James étaient tout pour moi.
Mes parents ont commencés à donner plus d'importance à Wihem et à James.
Ils me délaissaient.
Mon père était le seul qui me disait bonjour, chaque matins, mais ma... mère, adoptive, ne m'adressait plus la parole.
J'ai eu une enfance vraiment tranquille, je ne manquais presque de rien.
La seule chose qui me manquait, était l'amour.
J'étais asociale quand j'étais jeune.
Je me faisais insulter et frapper, par les élèves, tous les jours,sans répits.
Les professeurs m'insultaient.
Mes parents ne faisaient rien pour cela.
Cela m'épuisait.
Puis... j'ai commencé à me défouler en frappant les murs.
James m'avait vu un soir, et il m'a proposé de m'entrainer.
J'ai commencé la boxe... le karaté... le tir, le tir à l'arc, et l'escalade.
J'ai appris à me défendre.
À douze ans, j'ai gagné le premier prix de la médaille d'or, de la meilleure tireuse de la ville de Mullingar, en Irlande.
J'ai gagné le troisième prix de la médaille de bronze, le deuxième prix de la médaille d'argent, et le premier prix de la médaille d'or de la meilleure boxeuse d'Irlande à treize ans, en neuf mois.
Je suis vraiment fière de moi, et de tout ce que j'ai accomplie, mais tout le monde riait, quand je parlais de moi, ou de mes médailles.
J'avais eu une dispute avec ma grande-soeur, Wihem, un mois avant le tournoi de la médaille d'or de boxe.
C'est elle qui m'a motivé à me relever.
Parce que, malgré tout ce que je lui avais dis, elle était venue me soutenir.
Ne voulant plus continuer, j'avais été embauchée pour quelques missions pas très importantes, je devais me charger de faire la sécurité dans certaines missions.
J'en ai fais environ vint-cinq, en un an.
On m'avait envoyé des roses noires, pour me souhaiter une bonne mort, comme tu le sais, c'était parce que j'avais blessée mon frère.
J'avais ruiné sa vie.
J'étais dans la voiture de sa copine, le soir où il voulait la demander en mariage.
Je te l'avais déjà dis, il y a eu un accident, elle est dans un fauteuil roulant, maintenant, et je m'en veux encore.
Même si cela n'est pas de ma faute, du tout.
Elle avait quitté James, prétextant qu'elle ne voulait pas sortir avec un garçon, qui a une petite-soeur complètement folle.
Elle avait dit à James que j'étais jalouse qu'elle m'ait volé mon grand-frère.
Et elle avait fait courir la rumeur sur toute la ville, et j'étais même allée au poste de police.
Mes parents adoptifs avaient de bons avocats, puis, je n'avais que treize ans.
Il ne pouvait rien m'arriver.
Puis, j'ai arrêtée, et je suis entrée à Slygry Ravhuff, où j'avais postulée plus tôt.
Je suis sûre que James avait vu la lettre d'acceptation pour la postulation que j'avais envoyé à Monsieur Gamb, mais, je ne lui en avais jamais parlé.
Je n'avais jamais eu l'occasion de lui parler de tout ce que j'avais sur le cœur.

Et... je me suis dirigée vers le bureau de Monsieur Gamb.
Et qui j'ai vu, ouvrir la porte, d'un air froid, me regardant de haut en bas, et qui m'effrayait à l'époque ?

Moi.

Toi.


Tu me faisais tellement peur à l'époque, et je vous haïssais, vous Les Malton's.
Tu étais si arrogant, et méchant.
Tu l'es toujours, mais moins, haha.
Ne sois pas vexé, je plaisante.

Tu sais ce qui m'avait fait tomber amoureuse de toi ?

Ta personnalité.
Ton arrogance, ton air froid et hautain.

Imagines-tu la tête de mes amis, si j'avais dis que je t'aime ?

Un homme de quinze ans de plus que moi, qui plus est, est Jason Malton, l'homme qui avait fait construire Slygry Ravhuff !

Je riais doucement, les larmes aux yeux, qui n'allaient pas tarder à couler.

Je ne l'ai jamais dis mais... le soir, où on m'avait agressé, je ne réalisais pas, que tu m'avais déjà fais tombé amoureuse de toi, ce n'était qu'après, quand nous étions allés au Gala, ensembles, que mon cœur se l'est confirmé.

Je suis tombée amoureuse de toi.

De ton passé compliqué, de ton répondant, de ton arrogance, de ton assurance, de ta classe, de ta gentillesse, de ta tendresse, de ta bienveillance.
Des traits de ton visage, de tes yeux bleus, de ta bouche.
Tout en toi m'a fait tomber amoureuse.
Follement amoureuse.

C'est si incroyable, de se dire que je suis amoureuse de l'homme qui me faisait peur auparavant.

Ont en as vécus des choses, pas vrai ?

Oui, nous avons vécus beaucoup trop de choses, haha !

Tu ne sais pas à quel point j'étais détruite, quand tu ne m'as plus parler après notre premier baiser.

Je pensais que tu m'avais prise pour une conne.
J'avais tellement peur que tout cela ne soit qu'un mensonge.

J'avais enfin aimé quelqu'un pour de vrai.
Je ne savais pas dans quoi je m'étais embarquée avec toi.

Mais tu étais aussi perdu, et confus que moi.
Nous avions tous les deux, besoins de temps.

Je m'inquiétais, et je m'inquiète toujours pour les mêmes choses.

Il se lassera de moi, et reviendra vers sa femme.
Il sera heureux avec sa famille.
Nous vivrions chacun de notre côté.
Sans plus jamais se parler.
Sans plus jamais se voir.

Alors, j'ai paniqué.

Et je suis partie, avec l'aide d'Alfred, et avec la limousine.

Et j'ai fais ton malheur en faisant cela.

Parce que... je croyais que tout cela n'était rien pour toi.

Cette partie est humide de larmes...
Des miennes, mais des siennes aussi.

Et Tom m'avait insulté avant la limousine, la veille, vers Minuit.

Je le pardonne mille fois pour tout.

Je me suis réveillée vers Mi-Septembre, et je suis devenue Wanda Witch.

Je m'étais dis que j'allais commencer une nouvelle vie loin des Malton's.
Mais, le problème, c'est que je ne pourrais jamais.

Parce que vous êtes comme ma deuxième famille.
Et peut-être, aussi, parce que je suis tombée amoureuse de l'homme qui avait fait construire Slygry Ravhuff.

Je ne veux pas dire quelque chose de ridicule, parce que je ne sais pas jusqu'où ont iras ensembles.
Je ne sais même pas si je sortirais de cette prison.
Mais, si un jour, je peux revoir ton visage, rien qu'une dernière fois, je serais comblée.

Je ne sais pas ce que tu penses de moi, en ce moment.
Mais, moi, je vais te dire, ce que je pense de toi.

Jason,

Tu es l'homme le plus merveilleux que j'ai connue.
Tu es courageux, tu n'abandonnes jamais.
Tu dis que je suis ton étoile, mais toi... tu es vraiment la Pleine Lune.
Tu as deux faces cachées.
Tu as ton côté froid, et méchant.
Et tu as ton côté gentil, et tendre.
La Pleine Lune, parce que tu as un cœur rempli d'amour.
Ne doute jamais que tu ne peux pas aimer.
Tu es la rose noire, parce que tu me fais t'aimer jusqu'haut-delà, de la mort.
J'ai tellement de choses à dire sur toi.
D'à quel point tu es adorable quand tu rougis.
À quel point tu es incroyable et concentré, quand tu parles du boulot, de tes yeux bleus et vifs, à d'autres gens.
À quel point tu es innocent, comme tu te comportes avec moi.
Comme un premier amour.
À vrai dire, nous sommes tous les deux, des personnes qui apprennent à s'aimer ensembles, chaque jours, et c'est ce que j'aime dans notre relation.
Àquel point tu es sexy en caleçon.
À quel point c'est magique, quand je suis avec toi.
Et d'à quel point tu embrasses bien, et que tu fais les meilleurs câlins au monde.
J'ai beaucoup de choses à dire sur toi, et j'espère un jour, te les dire, en face.

J'espère que tu ne t'en veux plus pour ce que tu m'avais fait subir, au début de notre rencontre.

Parce que moi, je ne t'en veux plus.
Je ne t'en veux plus depuis si longtemps.

Il y'a une autre lettre pour Tom, j'espère que tu lui donneras, s'il te plaît.

Merci beaucoup si tu le fais.
Je ne sais pas si tu as la force de faire cela.

Peut-être, est-ce trop tard ?

Je ne sais pas dans quel état, tu es en ce moment.
Peut-être que tu as enfin parlé avec Helen, et que tu es de nouveau heureux, avec ton fils, et ta femme.

Mais, j'ai peut-être quelque chose qui te fera regagner tes deux millions de livres sterling, que je t'ai fais perdre.

J'avais tout mis sur une clé USB.
J'ai dû la mettre dans un des tiroirs de ma table de nuit, à Slygry Ravhuff.

Je ne sais pas comment tu l'utiliseras.
Peut-être que tu ne voudras même pas la chercher.

Mais peu importe, ce que tu choisis de faire.
Je n'ai peut-être plus personne, mais les amis que j'ai, qui sont dans une prison avec moi, ont besoin de leurs familles.

Vous ne méritiez pas tout ce que je vous ai fais, les Malton's.

Je ne sais pas si je mérite ton amour, comme tu me l'as dit, alors je te renvoie la bague que tu m'as offerte.

Je t'aimerais toujours et à jamais, Jason.

»

Elizabeth.

Je poussa un peu la lettre, et laissa les larmes que je retenais, couler.

Elle me manque.
Tout d'elle me manque.

Je prenais l'enveloppe, et regardais à l'intérieur.
Je prenais la bague, et la regarda.

-Tom ! Criais-je, fortement.

Il arrivait quelques minutes plus tard, et ouvrit la porte de mon bureau.

-Oui ? Demandait-il, confus. Papa, est-ce que tu vas bien ? Questionnait-il, en me voyant, pleurer.

-Très bien. J'ai une lettre à te donner. Répondais-je, en lui tendant les deux lettres.

-Oh ? Demandait-il, en prenant les deux lettres. Merci beaucoup.

-Je t'en prie, la première est pour toi. La deuxième est pour moi, mais je veux que tu la lises. Je veux que tu comprennes certaines choses. Expliquais-je, en le regardant, gentiment.

Puis il n'y a rien de confidentiel dans cette lettre, pas pour Tom, mon fils.

-Je vais les lire de ce pas. Disait-il, en sortant de mon bureau.

--

PDV de Tom Malton.

Je m'inquiétais assez d'avoir vu mon père pleurer.
Qu'est-ce que ces lettres contiennent ?

Je suis assez stressé.
Scarlett n'avait rien voulu me dire, quand je lui avais demandé, en sortant du bureau de mon père, avec elle.

J'allais dans la cuisine, m'asseyais, et commença à lire.

«

From Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams

To Tom Jason Christopher Robert Malton

Oh non.

Bonjour, Tom.

J'espère que tu vas bien.

S'il te plaît, continue de lire cette lettre.

Tu peux me traiter de tous les noms, si tu le souhaites.

Je sais ce que je t'ai fais.

Tu ne méritais tellement pas cela.

J'ai fais beaucoup d'erreurs.
Mais j'ai beaucoup appris en prison, même si cela ne fait que sept jours, quand tu recevras ma lettre.

J'aimerais te raconter ma vie, en version rapide.

Je m'appelle Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams.
J'ai cru être née à Mullingar, en Irlande.
Mais là, n'était que mensonges.
Ma mère, Marcia, est tombée enceinte de moi et de mon frère jumeau, le Jeudi 23 Avril 1996.
Je suis née en Angleterre, tout comme Daniel, le Mardi 23 Juillet 1996.
J'ai beaucoup d'origines : irlandaises, écossaises, françaises, et pour finir, j'ai aussi des origines juives très lointaines.
J'ai les yeux verts parce que notre père à moi et à Daniel, avait les yeux verts.
Et Daniel, mon frère, a les yeux bleus, parce que notre mère avait les yeux bleus.
J'ai vécue tranquillement dans ma famille adoptive, sans le savoir.
Wihem et James étaient tout pour moi.
Mes parents ont commencés à donner plus d'importance à Wihem et à James.
Ils me délaissaient.
Mon père était le seul qui me disait bonjour, chaque matins, mais ma... mère, adoptive, ne m'adressait plus la parole.
J'ai eu une enfance vraiment tranquille, je ne manquais presque de rien.
La seule chose qui me manquait, était l'amour.
J'étais asociale quand j'étais jeune.
Je me faisais insulter et frapper, par les élèves, tous les jours, sans répits.
Les professeurs m'insultaient.
Mes parents ne faisaient rien pour cela.
Cela m'épuisait.
Puis... j'ai commencé à me défouler en frappant les murs.
James m'avait vu un soir, et il m'a proposé de m'entrainer.
J'ai commencé la boxe... le karaté... le tir, le tir à l'arc, et l'escalade.
J'ai appris à me défendre.
À douze ans, j'ai gagné le premier prix de la médaille d'or, de la meilleure tireuse de la ville de Mullingar, en Irlande.
J'ai gagné le troisième prix de la médaille de bronze, le deuxièmeprix de la médaille d'argent, et le premier prix de la médaille d'or de la meilleure boxeuse d'Irlande à treize ans, en neuf mois.
Je suis vraiment fière de moi, et de tout ce que j'ai accomplie, mais tout le monde riait, quand je parlais de moi, ou de mes médailles.
J'avais eu une dispute avec ma grande-soeur, Wihem, un mois avant le tournoi de la médaille d'or de boxe.
C'est elle qui m'a motivé à me relever.
Parce que, malgré tout ce que je lui avais dis, elle était venue me soutenir.
Ne voulant plus continuer, j'avais été embauchée pour quelques missions pas très importantes, je devais me charger de faire la sécurité dans certaines missions.
J'en ai fais environ vint-cinq, en un an.
On m'avait envoyé des roses noires, pour me souhaiter une bonne mort, comme tu le sais, c'était parce que j'avais blessée mon frère.
J'avais ruiné sa vie.
J'étais dans la voiture de sa copine, le soir où il voulait la demander en mariage.
Je te l'avais déjà dis, il y a eu un accident, elle est dans un fauteuil roulant, maintenant, et je m'en veux encore.
Même si cela n'est pas de ma faute, du tout.
Elle avait quitté James, prétextant qu'elle ne voulait pas sortir avec un garçon, qui a une petite-soeur complètement folle.
Elle avait dit à James que j'étais jalouse qu'elle m'ait volé mon grand-frère.
Et elle avait fait courir la rumeur sur toute la ville, et j'étais même allée au poste de police.
Mes parents adoptifs avaient de bons avocats, puis, je n'avais que treize ans.
Il ne pouvait rien m'arriver.
Puis, j'ai arrêté, et je suis entrée à Slygry Ravhuff, où j'avais postulé plus tôt.
Je suis sûre que James avait vu la lettre d'acceptation pour la postulation que j'avais envoyé à Monsieur Gamb, mais, je ne lui en avais jamais parlé.
Je n'avais jamais eu l'occasion de lui parler de tout ce que j'avais sur le cœur.

En sortant du bureau de Monsieur Gamb, devinez qui j'ai vu, me faisant tomber, moi, et mes cahiers ?

Ce très cher Tom Malton !

Mon ennemi juré.
Mon meilleur ennemi.
Mon confident.
Lui qui est devenu comme mon frère.
Et qui... j'espère, l'est encore.

Je n'aurais jamais dû te faire tout cela.
Je n'ai été qu'une conne.
Je n'ai pas su réaliser à quel point, je t'aimais.
J'avais peur de m'attacher aux gens.
Parce que quand je réalise, que je m'y attache, je les perds, ou je ne les vois plus.

Je t'aime, Tom.

Toi et ta gentillesse.
Toi et ton arrogance.
Toi et tes blagues pourries.
Toi et tes cheveux blonds clairs.
Toi et tes yeux bleus.

Tu as toujours été là pour moi, comme un grand-frère.

Tu m'as protégé quand j'en avais besoin.
Tu m'as réconforté quand j'étais triste.
Tu m'as fait rire, quand j'en avais besoin.
Tu m'as fait pleurer, quand tu pleurais, et que tu m'as considéré comme ta sœur.

Et tu continues de faire tout cela, pour moi.

Tu n'es pas quelqu'un de méchant.
Tu n'es pas du tout ce que les élèves pensent de toi.

Tu es merveilleux, incroyable, fantastique, gentil, bienveillant.

Tu mérites tellement de bonheur dans ta vie, Tom.
Tu mérites d'être avec Lionne, et d'être heureux avec elle.

Je ne sais pas combien de fois, il faudra que je m'excuse, pour que tu me pardonnes, mais je le ferais autant de fois qu'il faudra.

Je ne m'autorise pas à perdre mon grand-frère.

J'ai déjà perdue mon premier grand-frère, James.
Je ne veux pas en perdre un deuxième.

Je sais qu'il te faudra du temps.
Même des jours, des semaines, des mois, ou des années, ou des siècles.

Je veux juste pouvoir te parler normalement.
Je veux rire avec toi.

J'ai tellement envie de te serrer dans mes bras, et de te dire que je t'aime.

Les larmes coulèrent sur mes joues, doucement.

Je n'ai presque plus de temps pour finir cette lettre.

Mais, je finirais, en personne, un jour.

N'en veux pas à Louis, s'il te plaît.
Merci beaucoup si tu le pardonnes.

Parce qu'il mérite un meilleur ami comme toi.
Et parce que tu le mérites aussi.

Il voulait me stopper, Vendredi, quand j'ai voulu envoyer ton père enprison.
Et il a réussit à me raisonner.

Mais c'est aussi l'amour que j'ai pour ton père, qui m'a raisonné.

Il a essayé de me réconforter pour que je ne fasse pas cela, quand ont étaient au parc d'attractions, tous les trois, et que tu étais aller chercher des chocolats chauds.

Je me rappelle quand tu étais venu me voir sur le banc, et que tu m'avais reconnu.

Je n'ai pas osé te dire ce que je faisais, quand tu m'avais vu sur la caméra du bureau de ton père, dans le Building de Malton's Industries.

Tu es le meilleur, Tom.

Je voulais te protéger.
Je voulais essayer de te ménager, mais je réalise que c'est moi, que j'essayais de ménager.

Mais, si tu as besoin de moi, ou de nous, c'est-à-dire, moi et mes amis, un jour, nous serons là, je serais toujours là pour toi.

Je t'aimerais toujours, et à jamais, Tom.

»

Je séchais mes larmes, et lisais la deuxième lettre qui m'émeut autant que la première lettre, qui m'était adressé.

Cela prendra du temps pour la pardonner.

Mais je ne veux pas qu'elle reste dans cette prison.

Je veux la voir.

Et je veux que mon père soit heureux, et je veux qu'elle soit heureuse.

Je veux qu'ils soient heureux.

Je prenais les lettres, et me leva.
Je courrais jusqu'au bureau de mon père.

-Papa ? Demandais-je, les larmes coulant sur mes joues, en entrant dans son bureau.

-Oui, Tom ? Demandait-il, en me regardant.

-Cherchons cette foutue clé USB. Disais-je, en m'avançant vers lui, et en posant les deux lettres sur son bureau.

-Je... Tom... Commençait-il, doucement.

-Vous vous aimez.

-Mais... Tom...

-Jusqu'où t'imagines-tu, avec elle ?

-Je... Rougissait-il, en me regardant.

-Dis-le moi.

-Je veux que ce soit ma femme, et je veux avoir des enfants avec elle, plus tard. Confiait-il, des larmes coulant sur ses joues.

-Alors bouge-toi le cul, et allons chercher cette clé USB ! M'exclamais-je, en riant, gentiment.

--

PDV de Jason Malton !

-Cela veut dire que tu es d'accord ? Demandais-je, gentiment.

-Oui, alors, maintenant, ont y vas ! S'exclamait-il, motivé.

Je riais gentiment, et me leva.

Je mettais la bague dans ma poche de pantalon, et nous courrions jusqu'à la limousine.

-Je vois que vous avez fait le bon choix. Souriait Scarlett, gentiment, attendant devant la limousine.

Je lui souriais gentiment.

-Alfred, allons à Slygry Ravhuff, s'il vous plaît. C'est très important. Disais-je, en montant dans la limousine.

Tom et Scarlett montèrent aussi.

--

Une heure plus tard !

-Merci beaucoup, Alfred.

-Je vous en prie, Monsieur.

Nous sortions de la limousine.

-Scarlett, va regarder dans le bureau de Michael Gamb, Tom va regarder dans ton dortoir, s'il vous plaît, peut-être que c'est Louis, qui l'avait, après tout.
Je vais voir dans le dortoir d'Elizabeth. Annonçais-je, en marchant devant eux.

-Okay, patron ! Plaisantait Scarlett, en courant.

-J'y vais ! S'exclamait Tom, gentiment, en courant, aussi.

Je marchais rapidement jusqu'au dortoir.

Faites qu'il n'y ait personne.

J'ouvris la porte du dortoir.
Ouf, personne !

Je m'avançais vers le lit d'Elizabeth.
Heureusement qu'elle avait dit dans quel lit elle dormait, quand plusieurs écoles, nous avaient rendues visites.

Je fouilla dans ses tiroirs.

Bordel, où te caches-tu ?

Je sentis une présence derrière moi.
Et merde.

-Ne bougez pas, où je... Commençait la jeune fille, et je me retournais.

-Où vous allez me frapper avec votre brosse à dents ? Plaisantais-je, arrogamment, en haussant des sourcils.

-Mais... vous êtes...

-Je suis ton père, maintenant laissez-moi chercher quelque chose, s'il vous plaît.

-Cela m'étonnerait, mon père a une peau de couleur noire.

-Et bien, à croire que je suis devenu blanc.

-Oh mon dieu, quand je pense que j'ai dis que vous étiez sexy. C'était avant de parler avec vous.

-Je suis flatté, maintenant, laissez-moi.

-Et c'est de vous qu'Elizabeth est tombée amoureuse ?

-Pardon ?! M'exclamais-je, surpris.

-Je m'appelle Iris Patton. Je suis une de ses meilleures amies... celle qui l'a réconforté quand elle a fait un rêve avec vous, mais vous devez déjà le savoir.

-Je... quoi... ? Demandais-je, confus.

-Oops. Je n'ai rien dis, oubliez ! S'exclamait-elle, embarrassée.

-Dites-moi.

-Elle avait crié votre prénom plusieurs fois, une nuit. Elle faisait une grosse crise de panique. Et, plusieurs mois, plus tard, elle m'avait dit qu'elle vous avait vu mourir dans son rêve, écrasé par une voiture, et que tout le monde l'avait accusé, et insulté. Et qu'elle s'était tué, et que vous étiez morts côtes à côtes.

-Dites-m'en plus, s'il vous plaît ! M'exclamais-je, les larmes aux yeux, en regardant Iris.

Flashback !

PDV d'Elizabeth Williams !

Je rentrais dans le dortoir des filles, et Iris était là !

Comme toujours !

Je m'avançais vers elle, doucement.

-Est-ce que tu vas bien, Wanda ? Questionnait-elle, inquiète.

-Je... Oui. Mentais-je, en la regardant droit dans les yeux.

Je m'asseyais tranquillement sur mon lit, mes pensées remplies de tristesse.

-Tu arrives à mentir aux autres. Mais cela ne marche pas trop avec moi. Confiait Iris, en se levant de son lit, s'avançant vers moi, et en s'asseyant à côté de moi, à ma droite.

-Je... Commençais-je, en la regardant, les larmes aux yeux.

-Je ne t'ai jamais vraiment vue heureuse, depuis qu'ont se connais. Constatait Iris, gentiment. À quand remonte la dernière fois, où tu l'étais ? Demandait-elle, inquiète, tendrement.

-Cela remonte au... 5 Août. Répondais-je, en souriant, doucement, nostalgique, les larmes coulant sur mes joues.

-Alors que nous sommes en Mai ?! S'exclamait-elle, surprise, doucement.

Elle prenait ma main droite, pour me réconforter.

-La matinée était très ensoleillée dans le manoir où je vivais, alors, je suis allée me baigner, avec des amis. Racontais-je, en regardant dans le vide, les images de cette journée, défilant dans ma tête.

-Oh... Disait Iris, en me regardant.

-Et le soir, je suis allée à un Gala. Je portais une longue robe verte émeraude, avec un sublime collier en forme de serpent, ainsi qu'une bague en serpent... Continuais-je, en fronçant les sourcils.

-Cette bague. Disait Iris, en regardant ma main gauche.

-Oui... Acquiesçais-je, en regardant la bague. Et puis, le soir, j'ai faillis me faire agresser, mais un homme est venu me secourir, et mon agresseur a été tué, pas par le même homme, mais par les hommes de mains de l'homme qui avait organisé ce Gala. Continuais-je, concentrée.
Et ce soir-là... quand je suis rentrée, avait été magique.
L'homme dont j'étais tombée amoureuse, m'avait confié son amour, et m'avait embrassé.
Nous nous étions embrassés. Corrigeais-je, une larme roulant sur majoue.

-Jason... Réalisait Iris, peu à peu.

-Jason. Confirmais-je, en hochant la tête.

Iris me serrait dans ses bras, pour me réconforter, et je la serra dans mes bras, aussi.

-Quand ont s'est connus, toi et moi... Commençait Iris. Tu avais fait un rêve avec Jason...

-Tu veux que je te le raconte ? Demandais-je, en fronçant les sourcils.

-Je... Répondait-elle, embarrassée.

J'essuyais mes larmes, ferma les yeux.
Je respira un grand coup avant de rouvrir les yeux, doucement.

-Je me rappelle d'une ombre... qui me regardait. Commençais-je, en regardant Iris. Cette ombre marchait en plein milieu de l'autoroute. Disais-je, mon cœur me serrant. J'ai couru de toutes mes forces, pour la rattraper, j'ai même crié.
Cette ombre s'était retourné vers mon cri, et elle se fit... percuter... par un camion. Confiais-je, les larmes aux yeux.
Et puis, je me suis évanouis, tremblante.
Je... je me suis réveillée auprès de l'ombre... que... je... cette ombre, était... Jason. Disais-je, en tremblant, et Iris passa son bras autour de moi, tendrement.
J'ai pleuré, et je l'avais prit dans mes bras.
Quelqu'un très proche de moi m'avait dit que cela était de ma faute, que je l'avais tué.
Je me suis retournée vers cette voix, et il y avait toutes les personnes chères à mon cœur.
Sa femme, Helen, m'avait dit que j'avais tué son mari.
Louis m'avait dit que je le dégoûtais, et que Jason ne m'avait jamais aimé, en plus, que tous les messages que j'ai lu avec Jason et Scarlett, la meilleure amie de Jason, étaient faux.
Louis avait aussi dit qu'Helen était enceinte, et qu'elle allait garder le manoir, et toute la richesse de Jason.
Lily, une amie à moi, s'était moquée de moi, en disant, que de toute façon, j'étais censée être morte. Disais-je, en essayant de ne rien dire à Iris.
Berty, une femme, qui est comme un membre de ma famille, pour moi, m'avait demandé comment se sentait-on, après avoir le sang d'une personne sur ses mains...
Je... j'avais regardé mes mains, et elles étaient biens en sang.
Je... je... croyais que j'avais tué la personne que j'aime le plus au monde.
Rose, une autre amie à moi, m'avait dit que je l'avais tué, et que je n'étais qu'une assassin.
Un ami à moi, aux cheveux blonds, m'avait tendu un couteau, disant que je l'avais déjà fait une première fois, que je pouvais très bien le faire une deuxième fois.
Je ne me contrôlais plus, Iris, mes mains avaient prit le couteau, et l'avaient enfoncés profondément dans mon cœur.
Mes pleurs s'étaient arrêtés, ainsi que ma respiration.
Et... je suis tombée sur le sol, à côté de Jason.
J'avais pris sa main, et je suis partie le rejoindre. Disais-je, en finissant, les larmes coulant, de plus en plus, sur mes joues.

-Wanda... Disait Iris, en pleurant, elle, aussi.

Iris me serra fortement dans ses bras, et je lui rendis son câlin.

-Tu comprends mieux maintenant. Soufflais-je, tristement.

-Tu es la plus forte des filles que j'ai connue dans toute ma vie. Confiait Iris, en se retirant, et en me regardant, gentiment.

-Merci beaucoup d'être là pour moi, Iris.

-Je serais toujours là pour toi, Elizabeth, je t'aime, et tu es mon amie. Disait Iris, en me souriant, tendrement.

-Je serais toujours là pour toi aussi, Iris. Je t'aime aussi, et tu es mon amie, aussi. Disais-je, en souriant, gentiment.

Fin du Flashback !

-Je... Il ne se passera rien de tel. Disais-je, les larmes coulant sur mes joues.

-Elle vous aime. Je pense que j'en ai plus eu la preuve que n'importe qui, ici. Confiait-elle, les larmes aux yeux.

-Moi aussi, je l'aime ! M'exclamais-je, doucement, en souriant, tendrement, et en séchant mes larmes.

-Vous remontez dans mon estime, père ! S'exclamait-elle, en riant, gentiment, et en séchant ses larmes.

Je fermais les tiroirs de la table de nuit.
Je me retournais vers elle, amusé.

-Je m'appelle Jason Malton, au faite. Disais-je, en lui tendant ma main.

-Je le sais déjà. Je suis enchantée de vous rencontrez. Disait-elle, en me serrant la main.

-Je suis enchanté de vous rencontrez aussi.

-Qu'est-ce que vous cherchez ?

-Une clé USB, qui me rendrait mes deux millions de livres sterling, et qui ferait libérer Elizabeth et ses amis. Et peut-ont se tutoyer, s'il vous plaît ?

-D'accord ! S'exclamait-elle, en souriant, gentiment. As-tu regardé dans sa coque de portable ? Proposait-elle, en fronçant les sourcils.

Je prenais le portable d'Elizabeth, sur la table de nuit.
J'enleva la coque de téléphone.

-Oh bordel de merde ! M'exclamais-je, soulagé. Merci beaucoup, Iris.

-Je t'en prie, Jason.

-Excuse-moi, mais j'ai une magnifique petite-amie à aller chercher. Expliquais-je, en me levant.

-Merci d'aider Elizabeth et ses amis, Jason. Disait-elle, reconnaissante.

-Je t'en prie, Iris.

-À bientôt ! S'exclamait-elle, en souriant, gentiment.

-À bientôt ! M'exclamais-je, énergiquement, en sortant.

Je trouvais Scarlett et Tom, ensembles.

-Alors, Jason ? Demandait Scarlett, en fronçant les sourcils.

-J'ai trouvé la clé USB, ont foncent ! Répondais-je, en courant.

-Super ! S'exclamait Tom, rassuré.

Scarlett souriait, heureuse.

Nous montions dans la limousine.

-Alfred, nous allons à l'aéroport, s'il vous plaît.

-Très bien, Monsieur Malton.
-Appelez-moi Jason, et tutoyez-moi , vous me connaissez depuis que je suis un enfant.

-D'accord, Jason. Disait-il, en me souriant, gentiment.

-C'est parti ! M'exclamais-je, heureux.

--

Une heure plus tard !

-Merci beaucoup, Alfred !

-Je t'en prie, Jason !

Nous courrions jusqu'à l'hélicoptère.

-Où voulez-vous aller, Monsieur Malton ?

-À la prison Sunseeker, s'il vous plaît ! M'exclamais-je, en serrant la clé USB, dans ma main droite.

-Montez ! S'exclamait le pilote, motivé.

Nous montâmes.
L'hélicoptère décollait.

Je regardais la clé USB, et sortais la bague que j'avais mis dans ma poche, et je la mettais dans mes mains.

Elle n'était qu'à quelques kilomètres de moi.

Mon amour, me voilà !

--

( Note de l'Auteur : La musique qui résume tout le Chapitre, et ce qui va suivre juste après que vous aurez finis de lire cette note, est « Fragile » de Kygo ! )

[Un GIF ou vidéo devrait être inséré ici. Veuillez mettre à jour l'application pour le voir.]


25 minutes plus tard !

-Merci beaucoup. Disais-je, en descendant.

-Je vous en prie, Monsieur Malton. Disait le pilote, en me regardant.

Scarlett et Tom descendaient aussi.

J'entrais, et je me faisais accueillir par Monsieur Hawx.

Je n'allais pas mettre Elizabeth et ses amis, dans une prison à laquelle je ne faisais pas confiance.

-Monsieur Malton, quel plaisir, de vous voir ici !

-Comment allez-vous ? Demandais-je,poliment.

-Très bien, merci, et vous ?

-Très bien, aussi, merci, et je vous en prie.

-Je vous en prie. Pourquoi êtes-vous là ? Demandait-il, en me regardant.

-Je viens voir, Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams.

-Vous ne pouvez pas, Monsieur Malton. Disait-il, embarrassé.

-Vous ne m'avez pas laisser finir. Je viens l'innocenter, elle, et ses amis. Disais-je, en lui donnant la clé USB.

Je me mettais à courir.

--

PDV de Tom Malton !

-Qu'est-ce que c'est que cette clé USB ? Demandait Monsieur Hawx, en regardant Scarlett et Tom.

-Les deux millions de livres sterling que Jason Malton a perdu. Répondait Scarlett, en souriant, amusée.

-Oh. Disait-il, en regardant la clé USB.

-Vous pouvez les libérer, maintenant. Disait Scarlett, en regardant Monsieur Hawx.

-C'est des badass, mon père et ma marraine ! M'exclamais-je, en riant, amusé, en parlant de Jason et de Scarlett, en regardant Scarlett.

--

PDV de Jason Malton !

Je courrais de plus en plus vite.

Je veux tellement l'embrasser, et la serrer dans mes bras.

-Elizabeth ! Criais-je, de toutes mes forces.

-Calmez-vous ! S'exclamait un garde, en s'avançant vers moi.

-Je viens récupérer Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams, et ses amis, Louis, Ben, Suzy et Destinée. Je viens de les innocenter avec la clé USB qui contenait mes deux millions de livres sterling, qu'ils m'avaient fait perdre.

-Que voulez-vous lui faire ?

-Je viens lui dire à quel point je l'aime.

-Je... D'accord, elle m'avait caché ce détail. Confiait le garde, surpris.

-Vous êtes son garde protecteur, dont elle m'avait parlé dans la lettre, qu'elle m'avait envoyé ? Demandais-je, confus.

-Oui. Je m'appelle James. Répondait-il, gentiment.

-James ? Demandais-je, confus.

-Comme son grand-frère, oui. Riait-il, gentiment.

-Je voudrais la voir, s'il vous plaît. Disais-je, en le regardant.

-Je vais la chercher, avec ses amis. Expliquait-il, en partant.

--

PDV d'Elizabeth Williams

Les larmes coulèrent sur mes joues.
Je le sais maintenant, qu'il est heureux avec Tom et Helen.

Moncœur s'était brisé.
James m'avait dit qu'il avait reçu la lettre.

J'ai dis que je l'aimerais toujours.

Et c'est vrai, je l'aimerais toujours.
Et à jamais.

James arriva, et ouvrit ma cellule.

Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?!

-Tu peux sortir, tu es libre, Elizabeth ! S'exclamait-il, gentiment.

-Quoi ? Demandais-je, pleine d'espoir, et de joie.

-Une femme avec des cheveux marrons, est venue, et elle t'as innocenté, toi et tes amis. Expliquait-il, en riant, tendrement.

-Oh.

Évidemment !
Ce n'est pas Jason !

Je sortais, et je vis James qui ouvrait à Louis, Ben, Suzy, et Destinée.

-Je suis tellement désolée. Confiais-je, en pleurant.

-Nous sommes tombés ensembles, nous nous relevons ensembles, n'est-ce pas ? Demandait Suzy, tendrement.

Flashback d'hier !

Je pleurais doucement dans ma cellule.

-Ne pleure pas, Elizabeth. Nous avons toute la vie, devant nous. Disait Suzy, gentiment.

-C'est de ma faute, si vous êtes dans la prison de Sunseeker.

-Nous t'avons suivis dans cette aventure. Disait Louis, tendrement.

-La plus merveilleuse des aventures ! S'exclamait Ben, énergiquement.

-La meilleure de toutes ! S'exclamait Destinée, gentiment.

-Alors, vous me pardonnez ?

-Nous n'avions rien à te pardonnez depuis le début. Ont est désolés de s'être comportés comme des cons, avec toi, quand nous sommes arrivés. Expliquait Louis, gentiment.

-Je comprends, je n'ai rien à vous pardonnez alors, aussi ! M'exclamais-je, en riant, fortement, soulagée.

-Yeah ! S'exclamaient Suzy et Destinée, amusées.

-Enfin ! S'exclamait Ben, en sautant.

-L'équipe est de nouveau réunie ! M'exclamais-je, gentiment.

Fin du Flashback d'hier !

Nous firent un câlin de groupe, et nous nous retirâmes.

Je séchais mes larmes, en leur souriant, gentiment.

-Qui nous as innocentés ? Demandait Louis, confus.

-James m'a dit que c'était une femme aux cheveux marrons. Répondais-je, en regardant Louis.

Nous marchions vers la sortie des cellules, qui menaient au centre de la prison, là où tous les gardes surveillaient.

Mais, là, c'était vide, cela s'entendait.

Je parlais avec l'équipe, et je me retournais.
Nous étions enfin arrivés à l'entrée du centre.

-Jason. Disais-je, en ne le quittant pas des yeux, mon cœur se serrant, de plus en plus. Une femme aux cheveux marrons, hein ? Demandais-je, en me retournant vers James, en pleurant, heureuse.

-C'était pour l'effet de surprise, je suis désolé ! S'exclamait-il, en riant, fortement.

Je m'avança vers lui, et lui aussi, puis je me mettais à courir.
Et il se mettait à courir aussi.
Il me prenait fortement dans ses bras, et j'enroula mes bras autour deson cou.

Il m'embrassa fortement et amoureusement, tout en me serrant encore plus.
Et c'est ce que je faisais, aussi.

--

PDV de Scarlett Romanoff !

-Et bien, cela est une première ! S'exclamait Monsieur Hawx.

-Vous le dites à Helen Malton, et je vous retrouverais. Disais-je, froidement.

-Pas... pas de problème, Mademoiselle Romanoff.

-Bien. Disais-je, en souriant, gentiment.

-Une badass ! S'exclamait Tom, en riant, amusé, en me regardant, et il regarda son père, et sa meilleure amie s'embrasser.

--

PDV de Jason Malton !

-Alors, ce petit séjour à la prison ? Demandais-je, en plaisantant.

-J'ai bien aimé, le moment, où je suis sortie. Mais comment m'as-tu innocenté, moi et mes amis ?

-La clé USB. J'ai fais la merveilleuse connaissance de ton amie, Iris. Riais-je, fortement.

-Oh. Rougissait-elle, en me regardant.

-J'ai lu ta lettre, et il y a quelque chose qui m'a dérangé, à vrai dire.

-Oh... quoi ? Demandait-elle, embarrassée.

-Le « À vrai dire, nous sommes tous les deux, des personnes qui apprennent à s'aimer ensembles, et c'est ce que j'aime dans notre relation. » Expliquais-je, en fronçant les sourcils.

-Qu'est-ce qui t'as dérangé dans ma phrase ? Demandait-elle, stressée.

-Et bien, j'aurais changé un mot. Riais-je, gentiment.

-Ah oui, et tu aurais dit quoi ? Riait-elle, gentiment, en me regardant, tendrement.

-J'aurais dis, « À vrai dire, nous sommes tous les deux, des personnes qui apprennent à s'aimer ensembles, chaque jours, et c'est ce que j'aime dans notre couple

-Dans notre couple ? Demandait-elle, les larmes aux yeux.

-Je voulais t'écrire une lettre, mais je préfère te le dire, en face.
Tu es mon étoile, parce que tu fais briller mon cœur, et mes nuits...
Tu es ma rose blanche, parce que tu m'as découvrir cet amour si pur, et merveilleux.
Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams... Commençais-je, en mettant un genou à terre, et en riant, nerveusement, sous le regard surpris d'Elizabeth.
Voulez-vous être ma petite-amie... secrète ? Demandais-je, les larmes aux yeux, en lui montrant la bague serpent.

-Oui, je le veux ! S'exclamait-elle, en riant, les larmes aux yeux. Il m'a demandé d'être sa petite-amie secrète ! S'exclamait-elle,en précisant, et en regardant ses amis, et Tom et Scarlett, ainsi que James, son garde protecteur.

Je me releva, et l'a prit dans mes bras, et lui mettais la bague.

-Une relation secrète, hein ? Réfléchissait-elle, en riant, amusée.

-C'est toi qui as dit oui, mon amour. M'exclamais-je, gentiment, en la regardant.

-C'est tentant ! S'exclamait-elle, en riant, gentiment.

-Es-tu prête à me supporter pendant les années à venir ? Demandais-je, en souriant, arrogamment.

-Oh, seulement si tu me supportes. Répondait-elle, en souriant, aussi arrogamment que moi.

-C'est trop tard pour tout annuler ? Plaisantais-je, en faisant mine d'être embêté.

-Je le crains fort. Répondait-elle, en me regardant.

-Tu as dis oui. Rappelais-je, en lui faisant un clin d'oeil.

-Oh, alors, je dois m'être trompée. Disait-elle, en riant, amusée.

-Non, non. Ce qui est dit est dit. Riais-je, amusé. Merci, c'est sans précédent.

-D'accord, Ja' ! S'exclamait-elle, en enroulant ses bras autour de mon cou.

-Bon, alors, c'est réglé ! J'ai gagné ! Disais-je, en m'exclamant, amusé.

Je l'embrassais fortement, en la serrant dans mes bras.
Et Elizabeth fit de même.

-Je t'aime, Jason Lukaas Daniel Harry Malton. Disait-elle, en souriant, amoureusement, et en me regardant.

-Je t'aime aussi, Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams. Disais-je, en souriant de même, tout en la regardant.

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Bonjour ou Bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

Je voudrais 100 commentaires, s'il vous plaît ! 😂

Que pensez-vous de ce Chapitre ?

J'ai pris énormément de plaisir à l'écrire !

J'ai plutôt été secouée en écrivant ce Chapitre, en jouant avec beaucoup trop d'émotions !

À propos de la photo en multimédias, soyez indulgentes vu que c'est moi qui ait écrit et fait le montage photo, j'ai voulue faire ça en guide d'indice ! 😂

J'ai hâte que vous lisiez le prochain Chapitre !

J'aimerais préciser que certaines phrases ne viennent pas de moi, mais de Captain America : Civil War, au cas où, histoire de ne pas copier la personne qui a écrit le scénario de ce film !

Je poste le prochain Chapitre, demain !

Bonne journée ou bonne soirée à toutes !

x.

LeaDream

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