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Chapitre 42-19.

Bonjour ou Bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

NE REGARDEZ PAS À LA FIN DU CHAPITRE, POUR VOTER, PARCE QUE C'EST LE DEUXIÈME CHAPITRE LE PLUS IMPORTANT DE LA DEUXIÈME ANNÉE DANS L'HISTOIRE DE JASON ET WANDA, PARCE QUE J'AI MIS TREIZE HEURES À ÉCRIRE CE CHAPITRE, S'IL VOUS PLAÎT, MERCI BEAUCOUP À TOUTES !

Si vous voulez voulez, j'ai mis une musique avec laquelle, j'ai écris la fin du Chapitre Firestone de Conrad Sewell !

Et j'ai aussi écrit ce Chapitre avec High By The Beach de Lana Del Rey !

Ainsi que d'autres chansons, alors commentez pour me demander, si vous voulez connaître les autres titres des chansons, que j'ai écouté pour écrire ce Chapitre !

Je voudrais 100 commentaires, sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂

Ce Chapitre fait 16 825 Mots !

Bonne chance et bonne lecture à toutes !

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Slygry Ravhuff, Chapitre 42-19.

5 Juin.
9h.

Je me réveillais, comme chaque matins...
Ce qui est logique !

Aujourd'hui, c'était les seize ans de Tom !

J'étais plus qu'heureuse à cette idée.

Je me précipitais pour me laver, m'habiller, et me maquiller.

Je mettais... ma bague.

Je ne savais même pas ce que j'allais lui offrir !

Ou alors... si.

Mais, il me faut la permission de Monsieur Gamb.

Je courrais enjouée, dans les couloirs, et toqua à la porte.

-Entrez ! S'exclamait Monsieur Gamb.

-Bonjour, Monsieur Gamb !

-Quelle charmante visite neuf heures du matin, haha ! S'exclamait-il, bienveillamment.

-Comment allez-vous ?

-Très bien, merci Wanda, et toi ?

-Très bien, merci beaucoup, Michael !

-Que me vaut l'honneur de ta visite ?

-Est-ce que Tom et Louis pourraient louper les cours, aujourd'hui ? Et est-ce que je pourrais avoir une voiture avec un chauffeur ? Et aussi, est-ce que vous pouvez retarder le repas du soir pour 20h, à la place de 19h00 ? Je veux faire une surprise à Tom, il fête ses seize ans !

-Oui, avec plaisir ! S'exclamait-il, gentiment.

-Merci beaucoup !

-Je t'en prie.

-Au revoir, Michael ! M'exclamais-je.

-Au revoir, Wanda ! Riait-il, devant l'énergie de la jeune fille.

Je sortais rapidement de son bureau, et courrais vers le dortoir des garçons.

Je toquais.

Par chance, c'était Louis qui ouvra.

En caleçon, hm hm !

-Louis... est-ce que tu peux... enfiler des vêtements ? Demandais-je, embarrassée.

-Wanda ? Demandait-il, fatigué.

-Oui, va te préparer, et dis à Tom, de se préparer, aussi ! Annonçais-je.

-D'accord... Répondait-il, à moitié endormi, et confus.

J'attendais tranquillement.

Trente minutes plus tard, ils n'étaient toujours pas là.

Alors, je m'asseyais sur le sol, et souffla.

J'entendis une porte s'ouvrir, et deux débiles sortant du dortoir.

-Enfin ! M'exclamais-je.

-Bonjour. Souriait Tom, en me tendant sa main.

-Bonjour, Tom. Souriais-je, en l'a prenant, et en me levant.

-Que nous vaut ce réveil ?

-Je vous emmène quelque part !

-Et, pourquoi est-ce que je viens ? Demandait Louis, surpris.

-Parce que tu es le meilleur ami de Tom, je me trompe ? Questionnais-je, en faisant un clin d'oeil discret à Louis.

Louis me souriait, gentiment.

Comme je sais, que Louis culpabilisait, à propos de ce qu'il faisait à Tom, avec le groupe.

Je veux qu'ils se rapprochent.

Ils sont meilleurs amis, c'est normal, non ?

Alors, je le fais venir avec nous.

C'est beaucoup plus amusant à trois, en plus !

-D'accord, mais où vas-t-on ? Demandait Tom, en fronçant des sourcils.

-C'est une surprise ! M'exclamais-je, en souriant, excitée.

Les deux garçons se regardèrent, ne comprenant pas.

Je les traînais en les prenant par la main.

Jason Malton était dans le couloir, mais je l'ignorais.

Pendant que lui, il regardait la jeune fille, confus, en voyant son propre fils, et le meilleure ami de son fils, Louis, avec elle.

Et, il se rappela que c'était l'anniversaire de son fils...

Qu'est-ce que pourrait acheter un père pour son fils... ?
Il avait déjà tout !

L'homme ne savait juste pas, que, tout ce que voulait Tom, c'était la reconnaissance de son père.

-Tom ? Appelait une voix, derrière nous.

-Oui... Père ? Demandait Tom, surpris.

-Est-ce que... tu peux venir, deux minutes ? J'ai à te parler. Disait-il, maladroitement.

-D'accord, Père.

Je lâchais la main, de Tom, et il commençait à marcher.

--

PDV de Tom Malton !

Qu'est-ce qu'il veut ?

Je regardais Blodwyn, qui était aussi confuse que moi, mais elle évitait de regarder mon père.

Il va encore me parler des cours...

Je soufflais tristement, et m'avançais vers lui.

-Marchons quelques minutes. Disait-il, droitement.

-Je... Si c'est pour me demander mes notes, je suis presque le premier de la classe.

-Ce n'est pas assez. Disait-il, froidement, en fronçant les sourcils. J'étais le premier de la classe, moi.

-Je... Je suis désolé, Père.

Il s'arrêta, et se retourna vers moi.

-Je plaisante, les notes ne sont pas importantes. Souriait-il, doucement, devant mon air, stressé.

-Je... Quoi ?

-Est-ce que... est-ce que... je t'effraie à ce point... Tom ? S'inquiétait-il, en me regardant. Je suis ton père.

-C'est seulement maintenant, que vous le remarquez ? Demandais-je, blessé.

-Arrête toutes ces conneries de vouvoiement... S'énervait-il, en soufflant.

-Mais...

-Continuons de marcher.

Nous marchâmes jusqu'à la cour.

Je regardais mon père, admiratif.

Il avait toujours une allure classe, et soignée.

Depuis tout petit, je l'admirais.

Je voulais devenir comme lui.

Il s'asseyait, et me faisait signe de m'asseoir.

-Tu ne peux pas savoir à quel point, je suis désolé, Tom. Je n'aurais jamais dû t'élever comme cela...

-Je...

-Mes parents m'ont toujours horriblement traités, je travaillais jours et nuits, pour eux.
Pour les rendre fiers.
Sans avoir aucune reconnaissances de leur part.
Je suis tellement fier de toi, mon fils.
Je n'ai jamais pu avoir ma première cuite, ni même, ma première fois, ou mon premier baiser, quand j'étais adolescent. À notre époque, cela était à douze ans ! S'exclamait-il, en riant, de bon cœur.

Où est donc passé mon père froid, et cruel ?

-Vraiment ? Demandais-je.

-Vraiment. Souriait-il, en me regardant, amusé.

-Continuez.

-Mon père me frappait, et m'insultait.
Et ma mère, elle, n'en avait rien à faire de moi.
Elle ne m'a même jamais défendu.
Puis, j'ai eu mon diplôme, et surprise...
Ils n'étaient même pas venus, alors que je m'étais donné jours et nuits, pour réussir, et les rendre plus que fiers.
Puis, entre temps, j'ai rencontré ta mère, qui avait quinze ans, à ce moment-là.
Je l'ai rencontré dans un café, que je fréquentais souvent, en m'échappant de la fenêtre de ma chambre pour respirer un peu, pour m'éloigner de mes parents.
Elle était sublime et elle l'est toujours, mais...
Je n'ai jamais été sûr à propos de mes sentiments pour ta mère...
Et puis, elle est tombée enceinte de toi, dans la même année où je l'ai rencontré.
Très jeune, certes, mais je ne regretterais jamais de t'avoir eu.
Tu es si différent, et meilleur que moi...
Tu l'as toujours été. Disait-il, fièrement, les larmes aux yeux.

Les larmes me montèrent aux yeux, aussi.

Avais-je peut-être retrouver mon vrai père, qui me lisait Harry Potter, le soir, pour m'endormir ?

-Je ne suis pas meilleur que toi...

Il me regardait, tendrement, et continua.

-Je suis resté avec ta mère pour ne pas que tu te retrouves seul.
Puis ses parents, donc, tes grands-parents, nous ont vraiment beaucoup aidés...
Parce que nous n'étions pas riches, comme aujourd'hui, à cette époque. Expliquait-il.
Puis, j'ai appris que mes parents étaient mes parents adoptifs, donc, que j'étais adopté.
Je voulais rencontrer mes vrais parents, mais, c'était trop tard, au moment où je l'ai appris, parce qu'ils sont décédés deux avant, ma découverte.
Tout ce que j'ai réussis à avoir, était mon certificat de naissance.
J'avais appris que j'étais née à Liverpool, et non pas à Notting Hill, comme mes faux-parents.
Et que j'ai de lointaines origines juives.
Mon prénom en entier, est Jason Lukaas Daniel Harry Malton.

-Quel était ancien nom de famille ? Demandais-je, curieusement.

-Un nom peu commun, un nom, que je ne veux même pas dire...

-Dis-le moi.

-Humpfrey. Ce nom me dégoute tellement.

-Continue ton récit. Disais-je, en l'encourageant.

-Et, puis, c'est pour cela, que j'ai changé.
Que je suis devenu aussi froid avec toi.
Je me disais que... je devais te traiter comme mon père m'avait traité.
Je n'oserais jamais porter la main sur toi, Tom.

-Tu m'as toujours accordé plus d'attention et d'importance quand j'étais jeune, que maman... Disais-je, doucement.

-Ta mère t'aime Tom. Tellement.

-Je... Je le sais. Moi aussi, je l'aime tellement. Confiais-je, en hochant tête. Mais, elle m'ignore ! M'exclamais-je, blessé.

-C'est à cause de moi, Tom, si elle t'ignore... enfin, je suppose.
Et puis, après, je suis devenu à moitié alcoolique, et je m'absentais souvent, pour boire, et pour ne pas que tu me vois comme cela,
Je ne voulais pas du tout, te donner un mauvais exemple, du père que tu avais connu, quand tu étais plus jeune.

-J'ai toujours pensé, que...

-Que j'avais trompé ta mère ?
Je ne l'ai jamais trompé, Tom.
Puis je me suis réveillé, Scarlett, ma garde du corps, qui est comme ma meilleure amie, depuis qu'on est adolescents, elle et moi, ma beaucoup soutenue dans cette mauvaise passe.
Et... c'est comme cela, que je me suis éloigné de ta mère, très vite.
Et à ce jour, elle m'en veut encore, je pense.

-Vous n'êtes jamais sortis ensembles ? Demandais-je, amusé. Tu n'es pas tendre avec maman, en même temps. Disais-je, en souriant, tendrement. Lui as-tu déjà demandé, si elle t'en voulait encore ? Questionnais-je, intéressé.

-Haha, non pas du tout, elle était garçon manqué, à cette époque puis, elle est vite tombée amoureuse d'un garçon appelé Mark, qui est son mari, que tu avais déjà rencontré. Riait-il, doucement. C'est vrai, et je le regrette... mais ma fierté ne veut pas s'excuser... Et non, je ne lui ai jamais demandé.

-Oh d'accord. Souriais-je, gentiment. C'est parce qu'elle t'as volée ta liberté ?
En venant au monde moi aussi, je t'ai volé ta liberté, hein ?
Puis si cela se trouve, elle ne t'en veut plus.

-Ne pense jamais cela, Tom.
Tu ne m'as jamais prit ma liberté.
Je n'en avais même pas, à cette époque.
Tu as embelli nos vies. Disait-il, gentiment.
J'espère, qu'elle ne m'en veut plus. Soufflait-il, en me regardant.

-Et Maman, elle te l'a prise ? Ta liberté ?

-Je... Non. Pas vraiment. Soufflait-il, en me souriant, doucement.

-À propos de ne jamais, avoir trompé maman, en es-tu sûr ? Demandais-je, amusé.

-Je... Commençait-il, en me regardant.

Il semblait réfléchir, puis les larmes lui vinrent aux yeux.

-Est-ce que tu te rappelles, quand tu me lisais les livres d'Harry Potter ? Riais-je, tendrement.

-Comment l'oublier ? C'était magique. Riait-il, nostalgique. Ta mère ne voulait jamais, mais...

-Mais toi, tu te glissais dans mon lit, un livre à la main, une lampe à huile de l'autre, et tu me faisais découvrir un monde merveilleux. Souriais-je, une larme coulant sur ma joue.

-Oui... ce qui ne plaisait pas toujours à ta mère. Riait-il, les larmes aux yeux.

-C'est vrai qu'elle t'engueulais le matin, quand je m'endormais dans tes bras et que toi aussi, tu t'endormais, dans mon lit. Riais-je, de bon cœur.

-Je suis tellement désolé pour tout, Tom. Confiait-il, sincèrement, en me regardant.

-Tu m'as dit, un jour, que les Malton's ne s'excusaient jamais...

-J'étais con, ce jour-là ! S'exclamait-il, en riant, gentiment. Il ne suffit pas de roses jaunes, pour s'excuser. Il manque la sincérité, et le cœur.

Des roses jaunes...
Alors, il a vraiment offert des roses jaunes à Blodwyn...

Non pas que, je ne la croyais pas.
Mais je le réalise vraiment, maintenant.

-Tu es beaucoup plus meilleur que moi, Père. Je t'admire, depuis que je suis tout petit.
Tu as toujours une allure soignée et classe.
Tu es poli, et tu as de bonnes manières.
Tu es intelligent. Et tu es attentif.

-Je... merci, mais tu es aussi, comme cela. Et... tu as un cœur, tu es humain, Tom.

-Tu m'as élevé plus que maman ne m'a élevé, alors tu as aussi un cœur, et... je le sais vraiment, que tu en as un. Je te remercie beaucoup, pour m'avoir élevé comme cela.

-Je... Je t'ai rendu désagréable, et froid envers les autres.

-Je ne suis plus comme cela, désormais.

-Je t'admire, mon fils. Et sinon, tu aimes cette jeune fille... Lionne ? Demandait-il, amusé.

-Je... euh... Toussais-je. Oui. Rougissais-je, embarrassé.

-Alors je te souhaite de tout cœur, de trouver le bonheur avec elle.

-Merci, Père.

-Moi et ta mère ne voulons que ton bonheur, et que tu sois épanouis dans ta vie. Et je ne veux aussi, que le bonheur de ta mère.

-Moi aussi, je ne veux que votre bonheur, à toi et Maman.
Tu me manques. Confiais-je.
Mon vrai père, me manque.

-J'ai toujours été là, Tom.
Malgré mon apparence froide.
J'ai toujours été là, près de toi.
Tu m'as tellement manqué, aussi.

-Oui, mais, comment aurais-je pu le savoir ? Demandais-je, en commençant à pleurer.
C'est toi, qui t'ai éloigné de moi... pour que je ne te manque pas, tu n'avais qu'à briser cette glace autour de ton cœur.

-Ton cœur le savait. Je n'étais pas assez fort, pour faire cela.

Non, mais c'est grâce à une personne, que tu as eu ce courage, aujourd'hui.

Et que je suis le fils, le plus heureux du monde.

-Je suis tellement désolé.

-Pourquoi, Tom ?

-Je n'ai jamais été là pour toi, Père.

-Moi non plus, je n'ai jamais été là pour toi.
Et je suis tellement désolé, aussi, Tom.

-Non je... Nous avons vécus cette même chose, ensembles.
Mais je ne savais pas que tu souffrais, bien plus pire que moi. Pleurais-je.
Je ne le réalisais pas.
Je ne voulais pas perdre mes parents.
Alors, j'ai joué le garçon dur. Confiais-je, une larme perlant sur ma joue.

-De quoi parles-tu, Tom ? Demandait-il, confus.

-De... Blodwyn. Pleurais-je.

Je pleurais, parce que je devais cacher la vérité à mon père, et cela me faisait tellement de mal.

Mais je repensais à tout ces moments avec elle, aussi.

Malgré qu'elle ne soit pas morte, du tout.

-De... Pourquoi me parles-tu, de Blodwyn ? Demandait-il, l'émotion se lisant dans ses yeux.

-Parce que tu l'aimais.

-Je... Disait-il, en respirant, pour ne pas craquer. Je ne sais pas qui t'a dit cela, mais... c'est complètement faux.

-Regarde-moi dans les yeux, et dis-moi que c'est complètement faux.

Il me regarda, et il se mettait à craquer, devant moi.

C'était la première fois que je voyais mon père pleurer.

-Comment le sais-tu ? Demandait-il, les larmes coulant, sur ses joues.

-Je vous ai vus, vous embrasser.
La nuit du gala, où nous étions allés.
Et je vous ai entendus, quand vous vous êtes dit que vous vous aimiez.

Il pleurait, de plus en plus.

L'homme était blessé.

-Je n'aurais jamais pensé que...

-Que tu serais tombé amoureux de cette fille géniale, malgré son âge ? Demandais-je, en arrêtant de pleurer et en essuyant mes larmes,.

Je lui souriais, gentiment.

-Oui. Acquiesçait-il. Je dois tellement te dégoûter. Disait-il, en me regardant.

-Je sais que tu n'aimes pas, Maman.
J'espérais tellement que tu l'aimes, et qu'on soit une famille heureuse.
Mais je ne peux contrôler ton cœur, c'est la première fois que tu es tombé amoureux de quelqu'un, et je ne peux vouloir que ton bonheur.
Je sais que tu l'aimais, de tout ton être.

-Mais... elle est décédée. Disait-il, les larmes ravageant ses yeux. J'ai... perdu... mon étoile. Confiait-il, en me regardant.

-Elle veille sur nous, d'en haut. Tu viens de me prouver que tu as un cœur.

-Tu sais ce que c'est la pire chose, dans toute l'histoire ? Demandait-il, en me regardant dans les yeux.

-Non ? Questionnais-je, confus.

-C'est que j'en aime une autre, maintenant.

-Wanda ? Demandais-je, surpris.

Je ne savais pas pour cela.

Alors malgré tout, il l'aimera toujours, même si c'est une personne différente.

Ce sera toujours elle.

-Comment le sais-tu ?

-Elle me la rappelle tellement. Disais-je, en souriant, gentiment.

-Je n'ai été qu'un con avec elle.
Mais elle m'avait blessé...
Le Dimanche, du lendemain du Bal de Pâques, elle est venue dans le bureau de Monsieur Gamb pendant que j'étais en train de lui parler de la pluie et du beau temps.
Elle était venue pour me parler...
Elle m'avait dit qu'elle m'aimait... et... je lui avais demandé si c'était vrai.
Wanda m'a répondu non, comme quoi cela n'était qu'un gage qu'un ami à elle lui avait lancé.
Et depuis ce jour, tout est finit.
Nos bousculades dans les couloirs, et nos amusantes conversations.
Ce qui est bizarre chez cette jeune fille, c'est qu'elle a la même bague serpent que Blodwyn, que je lui avais offerte.
Et elle a ton ancien sweat-shirt vert, que tu prêtais à Blodwyn.

-Je... Père... Je suis tellement désolé. Souriais-je, tristement.
Wanda est comme ma meilleure amie, elle m'avait dit que quelqu'un lui avait offert la bague quand elle était à Brooklyn, et pour le sweat-shirt vert, je lui prête de temps en temps. Expliquais-je.

-Oh. Tout est clair, alors. Disait-il, en s'arrêtant de pleurer, et en essuyant ses larmes.

-Tu ne m'aurais jamais dit tout cela, si tu ne serait jamais tombé amoureux de Blodwyn, ou bien, de Wanda. Disais-je, en souriant, gentiment.

-Je leur dois tant. Disait-il, en souriant, gentiment, aussi.

Il me regarda, et des larmes revinrent dans ses yeux.

Et... il me disait la phrase, la plus belle que j'entendais, dans toute ma vie.

Celle qui ne m'avait jamais dite.

-Je t'aime tellement, Tom. Confiait-il, en me regardant, les larmes aux yeux.

Et il me prenait dans ses bras, en me serrant, tendrement.

-Je t'aime tellement aussi, Papa. Confiais-je, en me remettant à pleurer et en le serrant dans mes bras, aussi.

-J'ai attendu tellement longtemps, pour que tu m'appelles comme cela.

-Et j'ai attendu, tellement longtemps, pour que tu me dises que tu m'aimes.

-C'est la première fois que tu m'appelles comme cela, Tom... Réalisait-il, en pleurant.

-Et c'est la première fois, que tu me dis que tu m'aimes, Papa. Riais-je en pleurant, ému.

-C'est nouveau pour nous deux ! S'exclamait mon père en plaisantant, et en pleurant, ému.

Je n'arrivais pas à y croire.

-Je suis désolé... je ne savais pas quoi t'offrir... pour tes seize ans. Mais joyeux anniversaire, Tom. Confiait-il, en me souriant, embêté.

-Tu viens juste de m'offrir le cadeau le plus précieux auquel je n'aurais jamais pu imaginer, Papa.

-Que... Commençait-il, confus.

-Ton amour. Disais-je, en le regardant, et en me retirant de l'étreinte.

Il me reprit dans ses bras une dernière fois, et se releva.

On se souriait mutuellement.
Nous nous levâmes.

-Je... Je dois te laisser, Tom.
J'ai quelque chose à régler, au travail. Annonçait-il, en me souriant, doucement.

-Pas de problème, Wanda et Louis m'attendent de toute façon.

-D'accord. Alors... à plus tard. Disait-il, gêné.

-À plus tard.

Je ne savais pas me comporter avec lui.

Cela faisait si... longtemps.

Il commençait à marcher, mais je le stoppa.

-Papa ?

-Oui, Tom ? Disait-il, en s'arrêtant, puis il se retourna vers moi, confus.

Je m'avançais, et le prit dans mes bras.

-Blodwyn reviendra. Je te le promets. Disais-je.

-Que... Comment cela, Tom ?

-Fais-moi confiance, tu ne le vois peut-être pas, mais elle ne t'a jamais vraiment quitté.

-Je... Merci beaucoup, Tom. Soufflait-il, en se retirant de l'étreinte.

-Je t'en prie, Papa. À plus tard.

-À plus tard, Tom. Disait-il, en partant.

Je le regardais partir.

Si tu savais à quel point je t'admire...

Je soufflais un bon coup, et revenais vers Wanda et Louis.

--

PDV de Wanda Witch !

11h00 !

Cela faisait presque une heure, que nous attendions Tom, quand on le vit arriver.

Je me relevais avec Louis, comme, ont s'étaient assis, pour l'attendre.

Je ne compris pas, mais il nous fonça dessus, et nous enlaça fortement.

-Vous ne pouvez pas savoir à quel point, je suis heureux. Disait-il, en versant une larme.

Ont se retiras, confus.

-Que nous vaut cette joie, si ensoleillée ? Demandait Louis, gentiment.

Tom me regarda, et me serra de toutes ses forces.

-Je ne te remercierais jamais assez, Wanda. Pour tout. Tout est pardonné, bordel de merde.

-Tom... ? Demandais-je, confuse.

-Il m'a expliqué son passé, et m'a dit qu'il m'aimait. Disait-il, les larmes aux yeux. C'est grâce à toi, Blodwyn.

-Je... t'en prie Commençais-je, la gorge nouée.

-Oh, merde, Louis. Disait Tom, en réalisant, qu'il m'avait appelé Blodwyn, devant lui.

-Il est au courant. Expliquais-je.

-Oh, vraiment ? Questionnait-il, en regardant Louis.

-Vraiment. Souriait Louis.

Tom se retira, et il souriait.

Un réel sourire.

Ses yeux bleus pétillaient, pendant que des larmes de joie, coulèrent.

Louis lui fit une accolade.

-Ont y vas ? Proposais-je. Ma surprise n'est pas très loin, en voiture. Expliquais-je, en les regardant rire ensembles.

-Ont te suit. Acquiesçait Louis.

Nous marchâmes jusqu'à la cour, et il y'avait une voiture, avec un chauffeur, qui nous attendais.

Ont montaient, et je chuchotais l'adresse au chauffeur.

--

12h00 !

-Ont est bientôt arrivés ? Demandait Tom, impatient.

-Oui. Souriais-je, en voyant le panneau, de l'entrée.

-Heureusement que cela ne devait pas être loin. Plaisantait Louis.

Je riais.

Le chauffeur se gara.

-Louis, bande les yeux de Tom. Demandais-je, gentiment, en lui tendant un bandeau.

-D'accord. Acquiesçait-il, en prenant le bandeau que je lui tendais, et il banda les yeux de Tom.

-Si je me casse la gueule, je vous tue. Riait Tom, amusé.

Louis sortait de la voiture.

-Tu ne me fais pas confiance ? Demandais-je.

-Bien sûr que si, j'ai toujours eu confiance en toi, Blodwyn.

-Je m'appelle Wanda... Soufflais-je.

-Laisse-moi t'appeler, Blodwyn, juste pour aujourd'hui.

-D'accord. C'est ta journée, après tout.

Et après tout, cela me faisait du bien.

Qu'on m'appelle par mon vrai prénom.

Et là, où ont est, je peux être moi-même.

-Serre ma main. Souriais-je, en prenant sa main.

-Je te suis. Souriait-il, en serrant ma main.

Je sortais de la voiture, avec lui.

-Louis, reste avec Tom, s'il te plaît, je dois parler au chauffeur. Demandais-je, en lâchant la main de Tom.

-D'accord. Disait-il, en prenant la main de Tom, et en le guidant.

-Je me demande où ont est. Riait Tom.

Nous rîmes, et je m'avança vers le chauffeur.

-Que comptez-vous, faire ? Demandais-je, au chauffeur.

-Si vous le voulez bien, Mademoiselle Witch, j'aimerais essayer d'aller attraper une peluche. Pour ma fille et mon fils. Disait-il, embarrassé. C'est leur anniversaire dans deux jours, et ils seraient contents d'avoir une peluche.

-Comment s'appellent-t-ils ? Questionnais-je, gentiment. Et, oui, vous pouvez faire, tout, ce que vous voulez !

-Tina et Tony. Ils vont avoir cinq ans. Répondait-il, en souriant.

-Quels jolis prénoms ! Complimentais-je. Ce sont des jumeaux ? Demandais-je. Nous allons finir vers 18h00, au faite ! M'exclamais-je, en souriant.

-Oui, ce sont des jumeaux aux cheveux roux et aux yeux bleus, comme moi et ma femme, haha, et merci beaucoup, Mademoiselle Witch. Riait-il.

-Je vous en prie, je ne suis pas votre patronne ! Riais-je, gentiment. Avez-vous une photo ? Demandais-je, intéressée.

-Oh oui, bien sûr ! S'exclamait-il, en sortant son portable de sa poche.

Il me montra ces deux adorables enfants.

Ils sont vraiment mignons.

-Aw. Disais-je, en regardant les photos d'eux, qu'il me montrait. Ils sont adorables !

-Merci. Souriait-il.

-Je vous en prie, c'est la vérité !

-Blodwyn, ont y vas ? S'exclamait Louis.

-Oui, oui ! M'exclamais-je, en me retournant, vers Louis et Tom. Alors, à ce soir, Monsieur... ? Demandais-je, poliment.

-Monsieur Scott. Répondait-il, poliment.

-À ce soir, Monsieur Scott. Passez une bonne journée !

-Merci beaucoup. Souriait-il. À ce soir, Mademoiselle Witch. Passez une bonne journée, aussi !

-Je vous en prie, et merci beaucoup.

-Je vous en prie.

Nous nous sourîmes, et je partais vers les garçons.

-C'est partis ! M'exclamais-je, en reprenant la main de Tom, et il l'a serra.

Nous marchâmes, et arrivés à l'entrée, je montra nos tickets.

-Bienvenue, et passez une bonne journée ! S'exclamait la dame, à l'accueil.

-Merci, bonne chance à vous !

-Merci beaucoup, Mademoiselle.

-Je vous en prie.

-Bonne journée à vous, aussi ! S'exclamaient Louis et Tom, gentiment.

Nous entrâmes.

-Prêt ? Demandais-je, à Tom.

-Prêt. Soufflait-il, stressé.

J'enlevais son bandeau, et le rangea dans mon sac.

-Un parc d'attractions ?! S'exclamait-il, heureux.

-Je suppose... que... comme... tu étais souvent seul, et enfermé dans ton manoir. Tu n'as jamais dû y aller ? Demandais-je, gentiment.

-C'est vrai. Merci beaucoup, Blodwyn ! S'exclamait-il, en me serrant dans ses bras.

-Je t'en prie, Tom ! M'exclamais-je, en souriant, tendrement. Je suis soulagée. Riais-je.

-C'est fantastique ! S'exclamait-il, émerveillé, devant le grand huit,et les loopings.

Il courra vers les attractions, en s'exclamant.

-Venez ! Je veux faire cette attraction ! S'exclamait-il, comme un enfant, en pointant du doit les montagne russes.

-Ont arrivent ! S'exclamait Louis.

-Haha, regarde-le. C'est un enfant.

-Ton cadeau est l'idée sur siècle. Souriait Louis.

-Tu trouves ?

-Tu n'as qu'à en juger par toi-même. Disait-il, en regardant Tom.

-Venez ! S'exclamait Tom, au loin.

Je souriais, heureuse.

Et nous courûmes vers lui.

Nous entrions dans l'attraction, et Tom était comme un fou.

J'étais à côté de lui, et Louis était devant nous, seul.

-Je suis désolée Louis, il n'y a pas trois places. Disais-je, embêtée.

-Ce n'est pas grave. Je n'ai pas d'enfant, agité à côté de, moi, au moins. Riait-il, gentiment, en parlant de Tom.

-Hey ! S'exclamait Tom.

Je sentais les wagons qui démarraient.

Oh putain, j'ai toujours eu une peur bleue, des montagnes russes !

Mais aujourd'hui, c'est la journée de Tom !

Cela démarra, et je poussa un cri de surprise.

Tom était trop heureux, comparé à moi, qui m'accrochait à la barre.

Oh non... une montée.

Ce qui veut dire, qu'il y a une descente.

Les wagons montèrent doucement, et arrivaient presque à la descente.

Je m'accrocha au bras de Tom, apeuré.

Et il me regarda, bienveillamment.

La descente me rappela la fois, où j'avais sauté de la voiture.

Mes jambes tremblaient fortement.

Je visualisais la scène de la voiture, et essaya de l'oublier, mais je paniquais, en serrant fortement Tom.

-Il ne va rien t'arriver, princesse. Tu es avec moi. Rassurait Tom, en me prenant la main.

Je serrais sa main, fortement, et les wagons descendaient à toute allure.

La scène se passa au ralenti dans ma tête, et je n'entendis plus rien, sauf le bruit de ma respiration, sur laquelle je me concentrais.

Je me mettais à crier avec Tom, et Louis.

Et je riais, rassurée, de voir la ligne d'arrivée de l'attraction.

Les wagons ralentissaient, et s'arrêtaient, signalant la fin.

Je sortais, soulagée, en soufflant un grand coup.

Nous sortîmes, et Tom s'exclama, heureux.

-C'était génial ! Ont recommencent ?

-Je... Refais-le avec Louis. Riais-je.

Ma tête tournait.

-Blodwyn ? Ça va ? Demandait-il, en me voyant me tenir, à une barrière.

-Oui, oui, Tom. Souriais-je, gentiment. Les montagnes russes m'ont juste secouées. Mais vas-y, allez vous amuser, je vais chercher quelques trucs à manger.

-Es-tu sûre ? Demandait Louis, inquiet.

-Oui, oui ! M'exclamais-je, en riant.

-Blodwyn... Disait Tom, en prenant ma main, doucement.

-Allez vous amuser ! M'exclamais-je, en souriant, gentiment.

-D'accord. Souriait Tom.

-Allez viens, Tom ! S'exclamait Louis. Le wagon ne va pas nous attendre ! Disait Louis, en prenant le bras de Tom.

Tom me regarda, en partant, et je lui souriais, et, il me le rendait, soulagé.

Je les regardais monter, et ils me saluèrent.

Je les saluais aussi, en riant.

L'attraction démarra, et je souffla.

Je repensais à ce moment, où j'avais essayé de mourir.

Rien n'était calculé.

Et si, je ne me serais pas... réveillé ?

Jen'étais sûre de rien, à ce moment-là.

Aurais-je vraiment laissé tous ces gens, que j'aimais ?

Une larme coula, sur ma joue, et une autre, mais, je respirais, et les essuyais.

Je m'avançais vers un stand, et demanda des sandwichs, des churros au sucre, du popcorn, ainsi que des barba-papas, et des sodas.

Je paya, posa tout à une table, et m'asseyais.

Il était treize heures !

Je buvais un peu d'eau, pour me rafraîchir.

Il ne faisait pas trop chaud pour un mois de Juin, mais le soleil était bien présent.

Je vis que les garçons étaient en train de me chercher, et je leur fis des grands signes, en les appelant.

Ils courraient vers moi, et s'assirent.

-J'espère que vous avez faim. Riais-je.

-Tu es la meilleure. Disait Louis, en me faisant un clin d'oeil, et en prenant son sandwich.

-Elle l'a toujours été. Disait Tom, en prenant aussi, son sandwich, et en me regardant, tendrement.

-Merci les garçons, mais je vous ai juste offert de la nourriture. Riais-je, amusée.

-C'est précieux, la nourriture ! S'exclamait Louis, en riant, et en mangeant.

-Tu m'as offert bien plus. Souriait Tom, doucement.

Je lui souriais, aussi, et mangea mon sandwich, en regardant Tom.

Ont se chamaillaient, pour partager, les churros.

--

14h00 !

Ont avaient tout engloutis.

-Je vais exploser ! S'exclamait Tom, en touchant son ventre.

-Moi aussi ! Riait Louis.

-Vous n'êtes pas les seuls. Riais-je, en finissant mon verre d'eau.

Ont débarrassais tout, et se levèrent.

Et nous disions au revoir, à la personne qui s'occupait du stand.

-Et si ont faisaient, de l'auto-tamponneuse ? Proposait Louis, en souriant.

-Yeah ! S'exclamait Tom, énergiquement.

-Je vais vous foncez dedans, vous allez regretter. Riais-je, motivée.

-C'est ce qu'ont verras, Miss ! S'exclamait Louis, en me souriant, et en me défiant.

Nous marchâmes vers l'attraction, et ont s'installaient chacun, dans une auto-tamponneuse.

Je précise que nous ne payons pas les attractions, parce que c'est les tickets d'entrée qui payent tout, pendant une journée entière, jusqu'à ce qu'ont partent.

Je défiais les deux garçons du regard, en mettant mon jeton dans l'auto-tamponneuse, pour l'activer.

Une voix retentit dans les haut-parleurs.

« 1, 2, 3. C'est partis ! »

Je démarrais au quart de tour, et fonça sur Louis.

L'impact me fit mal aux jambes, mais rien de bien grave.

-Ah ouais ? Défiait Louis, en repartant dans l'autre sens, en lançant un regard à Tom.

Oh, oh !

J'esquivais les deux, qui voulaient me foncer dessus.

-Deux contre un, ce n'est pas juste, les garçons ! Riais-je, gentiment.

Je fonça dans une autre personne, et une autre auto fonça sur cette même-personne, aussi.

Cela me provoqua un choc au dos.

Et, deux autres personnes, me foncèrent dessus.

Aïe !

Putain !

Je contourna, et repartis dans l'autre sens, en fonçant sur Tom.

Il me regarda, surpris, et l'impact se causa.

Je riais.

-Mademoiselle sort, les crocs ! Plaisantait Tom, en partant vers Louis.

-Vous allez le regretter, mon cher Monsieur Malton ! Riais-je, en repartant vers eux.

Ils ne m'avaient pas vus, et je leur fonça dedans.

-Aïe, mon dos ! S'exclamait Louis, en se plaignant.

-Je crois que je n'ai plus de... Se plaignait Tom, en regardant son pantalon.

-Non, je ne veux pas savoir, Tom ! Riais-je.

Il riait, avec un sourire malicieux, sur le visage.

Je repartis, dans l'autre sens, et fonça sur une fille, qui riait, et je riais aussi, avec elle.

-Bien jouée ! S'exclamait-elle, en riant, impressionnée.

-Merci, toi aussi ! M'exclamais-je, en riant, doucement.

Elle repartait dans l'autre sens, et fonça sur quelqu'un.

Je fus bloquée, et je vis Tom arriver par derrière, et Louis arrivait devant moi.

Merde !

C'était trop tard !

Ils me fonçaient dessus, et cela me ruina le postérieur.

Nous rîmes ensembles.

--

16h00 !

Nous avions passés, deux heures, dans les auto-tamponneuses.

Et après, quelques bleus, nous décidâmes de sortir des auto-tamponneuses.

-Je ne sens plus mes jambes ! Riait Tom, fortement.

-Moi, c'est plutôt mes fesses ! Riais-je, gentiment.

-Je suis sûr que j'ai un énorme bleu au dos ! Riait Louis, amusé.

Nous rîmes ensembles.

La température commençait à baisser.

-Çela vous dit de boire un chocolat chaud brûlant ? Proposait Tom, en regardant le stand, un peu plus loin.

-Avec plaisir. Souriais-je, gentiment.

-J'en aurais bien besoin, oui ! S'exclamait Louis, amusé.

Nous marchions jusqu'à un stand, et je m'asseyais avec Louis, pendant que Tom partait commander les boissons.

-C'est ce soir, la mission, Blodwyn... Disait Louis, en regardant Tom.

-Laisse-le être heureux.

-Comment peux-tu... être si... impassible ? Il vient de réellement retrouver son père, Wanda.

-Tu ne m'appelles plus Blodwyn, d'un coup ? Demandais-je, sarcastiquement.

-Je te donne mon numéro de portable, au cas où, tu annulerais. Tu as jusqu'à minuit. Disait-il, en me tendant un bout de papier.

-Louis... Soufflais-je, en prenant le bout de papier, et en le rangeant dans mon sac.

-S'il te plaît, Wanda. Demandait-il, attristé.

-Je suis désolée, Louis. Tellement désolée.

J'espère que tout ira bien.

Parce que... c'est tellement dur.

C'est tellement dur de porter toute cette pression, et ses mensonges sur ses épaules.

Et c'est tellement dur, de devoir ignorer, Jason Malton.

C'est tellement dur, de ne pas pouvoir lui parler, l'embrasser, ou quoi que ce soit.

-Tu aimes Monsieur Malton. Mais tu veux l'éloigner encore plus de toi. Disait Louis, confus.

-Je... Je sais, Louis.

Tom revenait, tout sourire.

Et cela me brisa encore plus le cœur.

-Deux chocolats chauds brûlants, pour mes deux meilleurs amis ! Disait Tom, en nous tendant nos boissons.

-Merci beaucoup, Tom ! Souriais-je, en prenant ma tasse, et en me réchauffantes mains avec la tasse de chocolat chaud

-Merci, le blond ! Disait Louis, en riant, gentiment, et en prenant sa tasse de chocolat chaud.

-Je vous en prie, les amis ! S'exclamait-il, gentiment.

Tom s'asseyait tranquillement, et commençait à boire son chocolatchaud.

Louis et moi rîmes.

-Haha ! Riais-je, tendrement.

-Hahahahaha ! Riait Louis, amusé.

-Qu'est-ce qu'il y a ?

-Tu as une moustache, désormais. Riais-je, amusée.

-Tom est devenu un homme. Riait Louis, fortement.

-Arrêtez de rire ! Souriait Tom, gentiment, en s'essuyant la bouche, avec une serviette en papier.

-Alors, comme te sens-tu ? Demandait Louis, en souriant, bienveillamment.

-Comme un garçon comblé. Déjà, avec mon père, ce matin, j'étais plus qu'heureux, je ne serais plus jamais loin de lui, désormais. Souriait-il, en regardant Louis.

Louis m'adressa un regard, que j'évitais.

Je buvais mon chocolat chaud.

-Et après ? Riait Louis.

-Et après, la merveilleuse surprise de Blodwyn, sans oublier, qu'elle ta emmené aussi, Louis. Riait-il, gentiment. Je n'oublierais jamais cette journée. Merci beaucoup, à vous deux, Blodwyn et Louis !

-Je t'en prie, mon pote. Disait Louis, en buvant son chocolat chaud.

-Je t'en prie aussi, Tom. Disais-je, en finissant mon chocolat chaud.

--

17h00 !

Ont se levas, et ont débarrassas nos tasses.

Nous disions au revoir, à la personne du stand, et nous marchâmes.

-Venez. Je sais quoi faire, durant cette dernière heure. Riait Tom, en se dirigeant vers une machine à peluches.

-Vraiment, Tom ? Riais-je, amusée.

-Je vais essayer d'en gagner trois, une pour chacun, ainsi que deux peluches pour les faux-jumeaux du chauffeur !

-J'ai une tête à avoir une peluche, Tom ? Demandait Louis, sarcastiquement, mais en riant tout de même, amusé.

-Louis n'a pas tord ! M'exclamais-je, en riant, amusée.

-Ne faites pas vos rabat-joies, Cordice et Heitsburg ! Venez m'aider ! S'exclamait Tom, en mettant une pièce dans le machine à peluches.

C'est partis !

--

17h30 !

Tom avait gagné cinq peluches, qui était une chouette blanche, une autre, grise, et une autre, marron.

Et ils avaient aussi gagnés un éléphant rose, et un bleu, pour les faux-jumeaux du chauffeur.

-Tiens, Blodwyn. Souriait Tom, en me tendant la chouette blanche.

-Oh, merci. Souriais-je, en serrant Tom dans mes bras.

Oui, j'avoue, j'adore cette peluche !

-Tiens Cordice, pour aller avec ton si beau teint. Disait Louis, en explosant de rire, et en lui tendant la chouette marron.

-Hey ! S'exclamait-il, en riant fortement, et en lui donnant une tape sur l'épaule.

Louis prenait la chouette, amusé.

Et Tom gardait la chouette grise.

-Il faut y aller, les garçons ! J'avais prévenue le chauffeur que nous partions à 18h00 ! M'exclamais-je, en souriant, gentiment.

-D'accord ! S'exclamaient Tom et Louis, en souriant, gentiment, aussi.

Nous marchâmes jusqu'à la voiture.

-Tom a gagné deux peluches pour vos enfants ! Disais-je, à Monsieur Scott, en lui donnant les deux peluches éléphant, rose et bleu.

-Oh, merci beaucoup, ils vont les adorer ! S'exclamait-il, heureux, en les prenant, et en les posant sur le siège passager, à côté de lui.

-Je vous en prie, Monsieur Scott ! S'exclamait Tom, en souriant, gentiment.

-Il y a deux ans de cela, il ne vous aurait jamais dit cela, et il vous aurait encore moins gagner des peluches, pour vos enfants ! Plaisantait Louis, en parlant à Monsieur Scott, amusé.

-Hey ! S'exclamait Tom, en riant, gentiment.

Nous montèrent dans la voiture.

-Vos enfants vont êtres heureux, Monsieur Scott ! M'exclamais-je, en regardant les énormes peluches, qui étaient un lion et une girafe, ainsi que les deux peluches éléphants rose et bleu, que Tom lui avait offert.

-Oui, haha ! S'exclamait le chauffeur, en riant, gentiment.

--

18h00 !

La voiture démarrait, et je mettais ma tête sur l'épaule de Tom, fatiguée.

Louis regardait la paysage, le coude, sur l'accoudoir de la portière.

-Qu'as-tu pensé de, cette journée ? Demandais-je, en le regardant.

-C'était merveilleux. Merci beaucoup, Blodwyn. Souriait-il, gentiment.

-Je t'en prie. Souriais-je, tendrement.

Il me regarda tendrement.

-Je t'aime, Blodwyn. Souriait-il, gentiment.

-Je t'aime aussi, Tom. Souriais-je, gentiment, aussi.

Etpuis, je m'endormis.

--

19h00 !

-Blodwyn ? Demandait Tom. Nous sommes arrivés ! S'exclamait-il, en me souriant, tendrement.

J'ouvrais les yeux, et bailla légèrement, ce qui faisait rire Louis et Tom.

-Ne riez pas ! M'exclamais-je, en riant,, gentiment, tout de même.

-Mademoiselle est grognon, au réveil ! S'exclamait Louis, en plaisantant.

-Exactement ! S'exclamait Tom, en riant, avec Louis.

-Oh mon dieu. Vous m'énervez ! M'exclamais-je, en les tapant, gentiment.

Nous descendîmes de la voiture.

-Au revoir, Monsieur Scott ! M'exclamais-je, gentiment.

-Au revoir, vous trois ! Souriait-il. Et encore merci beaucoup, pour les peluches éléphants ! S'exclamait-il, gentiment.

-Je vous en prie, c'était un plaisir ! S'exclamait Tom, gentiment, aussi.

-Au revoir ! S'exclamait Louis, en souriant, gentiment et poliment.

Monsieur Scott remonta dans sa voiture, et nous marchâmes jusqu'au dortoir des garçons.

-Les garçons, allez ranger vos peluches de chouettes, et rejoignez-moi dans la Grande Salle ! M'exclamais-je, en souriant, gentiment.

-D'accord ! Disaient-ils, confus. À toute à l'heure ! S'exclamaient-ils, en rentrant dans leur dortoir.

-À toute à l'heure ! M'exclamais-je.

Je marchais jusqu'à mon dortoir, et ouvra la porte.

Il n'y avait qu'Iris, qui était couchée sur son lit, en faisant ses devoirs.

-Bonjour ! M'exclamais-je, énergique.

-Bonjour ! S'exclamait-elle, heureuse. Alors, Tom a aimé sa surprise ?

-Oui, et il a même retrouvé son père.

-Comment cela ? Demandait-elle, en fronçant les sourcils.

-Alors, je vais tout te raconter ! M'exclamais-je, en riant, gentiment.

Elle riait, et je lui expliqua tout.

-Il doit être tellement heureux. Mais es-tu sûre de vouloir faire cela à Jason Malton ?

Elle était au courant pour le groupe, je lui avais dit la dernière fois, que je lui avais raconté toute ma vie.

-Je... Oui, Iris.

-D'accord... Va ranger ta peluche, ils doivent sûrement t'attendre ! S'exclamait-elle.

-Oui, oui ! Riais-je, gentiment.

Je posa la chouette blanche sur mon lit, et ouvra la porte, pour sortir.

-À toute à l'heure, Blodwyn ! Tu souhaiteras un joyeux anniversaire à Tom, de ma part ! S'exclamait-elle, en me souriant, gentiment.

-À toute à l'heure, Iris ! Et, oui, pas de problème ! M'exclamais-je, en souriant, gentiment, aussi.

Je sortais, et ferma la porte.

Je courra jusqu'à la Grande Salle, et entra.

Ouf, ils ne sont pas encore là !

La cuisinière m'aida à décorer le gâteau d'anniversaire, que j'avais préparer hier soir, avec elle.

J'avais écris « Joyeux Anniversaire Tom ! », et j'avais mis seize bougies.

Je remercia la cuisinière, et l'a saluait, parce qu'elle devait rentrer chez elle.

Quelqu'un venait l'a remplacer pour le service du soir.

Toutes les personnes qui travaillent ici, n'habitaient qu'à trente minutes de Slygry Ravhuff.

Sauf Jason.

Je plaçais le gâteau sur une table, et vérifia toutes les décorations.

Les deux garçons entrèrent, et Tom me souriait, en regardant les décorations.

-Joyeux Anniversaire ! M'exclamais-je, heureuse.

Tom courra vers moi, et me prit dans ses bras, tendrement.

-Joyeux Anniversaire ! S'exclamait Louis, en souriant, gentiment.

-Tu étais au courant ? Demandait Tom, en se retirant de l'étreinte.

-Oui, je lui ai demandé hier, quel était ton gâteau préféré et la cuisinière m'avait aidé à le faire, et à le décorer.

-Puis-je aller l'a remercier ? Demandait Tom. Elle n'étais pas obligée ! S'exclamait-il, heureux.

-Vas-y vite, elle est dans la cuisine, elle va partir ! M'exclamais-je.

-D'accord, j'arrive ! S'exclamait-il, en riant.

Nous rîmes tous ensembles, et Tom courra jusqu'à la cuisine.

-Tu l'as fait changé, en meilleur. Souriait Louis. Il n'aurait jamais offert quelque chose, ou même remercier quelqu'un avant... Souriait Louis, gentiment.

-Avant que je n'arrive ici ? Demandais-je, en souriant, doucement.

-Oui.

-Haha. Disais-je, en souriant, doucement.

-Wanda...

-Je ne veux pas parler de cela, Louis.

-Tu ne peux pas lui faire cela, bordel ! S'exclamait-il, en s'énervant.

-Tu ne comprends pas !

-Non, c'est vrai, je ne comprends pas pourquoi tu fais cela ! Criait-il, énervé.

-Hey, arrêtez de vous engueuler comme un couple ! S'exclamait Tom, en plaisantant, et en riant, gentiment. J'ai remercié la cuisinière, elle était surprise, et je lui ai dis au revoir, aussi ! Riait-il, fortement.

-J'aurais bien voulu, voir sa tête ! S'exclamait Louis, en explosant de rire.

-Ce n'est pas surprenant, Tom ! M'exclamais-je, en riant, fortement, aussi.

Nous rîmes ensembles.

-Ont le mangent ce gâteau ? Proposait Louis, en souriant.

-Oui ! M'exclamais-je, en souriant.

Nous nous avançâmes vers le gâteau.

-Est-ce un gâteau aux carottes ? Demandait Tom, les yeux brillants.

-Oui ! C'est bien ton préféré, n'est-ce pas ? Demandais-je, stressée.

-Oui ! J'en avais un à chaque anniversaires, quand j'étais petit. Cela doit faire une éternité, que personne ne me l'a souhaité, ou même, fêter. Souriait-il, ému.

-Fais un vœux. Disait Louis, en regardant les bougies.

Tom pencha sa tête au dessus du gâteau, et souffla les bougies.

-Voilà !

-Qu'est-ce que tu as souhaité ? Demandais-je, curieusement.

-Je ne peux pas le dire, sinon, mon voeux ne va pas, se réaliser ! S'exclamait Tom, en riant, amusé.

-Haha ! Riait Louis, amusé, aussi.

Nous nous assirent, et j'enleva les bougies.

Je coupa le gâteau.

Je servais Tom, Louis, puis en suite, moi.

-Merci ! S'exclamait Louis, en me souriant, doucement.

-Merci, Blodwyn ! S'exclamait Tom, en me souriant, gentiment.

-Je vous en prie ! Bon appétit, les garçons ! M'exclamais-je, en souriant, tendrement.

-Bon appétit ! S'exclamait Louis.

-Bon appétit, et merci beaucoup, à vous deux, pour cette fantastique journée ! S'exclamait Tom, les larmes aux yeux.

-Je t'en prie, Tom. Tu le mérites. Disais-je, heureuse.

-Je t'en prie, mon pote. Blodwyn a raison. Tu le mérites amplement ! S'exclamait Louis, gentiment.

Tom nous souriait, ému.

Et ont lui souriaient, gentiment, en retour.

--

20h00 !

Nous avions finis tout le gâteau, et nous avions débarrasser.

Les garçons m'avaient aidés à enlever les décorations d'anniversaire.

Nous marchâmes jusqu'à leur dortoir.

Nous nous stoppèrent.

Tom se retournait vers nous, et nous serrèrent dans ses bras.

-Je vous aimes, Blodwyn et Louis. Souriait-il, toujours aussi ému.

-Ont t'aiment aussi, Tom. Disaient-ont, en lui souriant, ému, nousaussi.

Tom était tellement ému...

Et cela me faisait tellement mal.

-Bonne nuit les garçons ! M'exclamais-je.

-Bonne nuit, Wanda ! S'exclamait Louis, en me lançant un regard.

-Bonne nuit, Blodwyn ! S'exclamait Tom, en me souriant, tendrement.

Ils rentrèrent dans leur dortoir, en me saluant.

Et je les saluais aussi.

Et n'en pouvant plus, je courus jusqu'au banc.

Toujours ce même banc.

Je m'écroulais dessus, et pleurais.

Je suis tellement désolée, Tom.

Tellement.

Parceque je ne vais pas annuler.

Ses yeux bleus me manqueront tellement.

Jason Malton.

Jepromets de ne jamais t'oublier.

Et...je promets de toujours t'aimer.

Les larmes me ravagèrent, doucement.

Quelqu'un s'approcha de moi.

Il y a quelques minutes !

PDV de ?

-Es-tu sûr de vouloir faire cela, Daniel ? Demandait Monsieur Gamb.

-Oui, Michael. C'est ce soir... Il faut que je lui dise. Je veux tellement apprendre à l'a connaître.

-Elle va être tellement brisée. Elle a déjà assez souffert.

-Je le sais déjà... Vous m'avez tout raconter. Disais-je, tristement.

-Elle aura gagné deux personnes, mais sans le savoir, elle en a perdue deux. Disait Michael, attristé.

-Je dois y aller.

-Alors, vas-y, et bonne chance, Daniel.

-Merci beaucoup ,Monsieur. Au revoir.

-Au revoir, Daniel.

--

PDV de Wanda !

-J'aurais dû choisir un meilleur moment... Disait une voix, que j'avais déjà entendue, au début de l'année.

-Qui... qui est-ce... ? Demandais-je, en pleurs.

-Daniel.

-Le garçon, avec qui j'ai parlé, au début de l'année ? Et le meilleur ami de Rupert, et d'Emma. Demandais-je, en arrêtant de pleurer, et en essuyant mes larmes.

-Oui... Soufflait-il.

-Qu'est-ce que tu veux ?

-Ne te demandes-tu pas pourquoi, tu ne m'as vu qu'une seule fois ?

-Je... pourquoi ? Demandais-je, curieusement.

-Je t'évitais. Parce que... j'avais peur... de te regarder dans les yeux. Confiait-il, en s'asseyant. Je ne devais pas craquer, mais, c'est trop tard. Il faut que je te le dise. Je veux tellement apprendre a te connaître. Expliquait-il, en me regardant, stressé, et tremblant.

-Pour... pourquoi ? Questionnais-je, inquiète.

-Je suis désolé, Wanda. Je suis tellement désolé... Disait-il, tendrement.

-Qu'est-ce qu'il y a, Daniel ?

Mon cœur palpita.

J'étais tellement stressée.

-Je... je ne sais pas, par où commencer.

-Commence par le commencement ? Proposais-je, stressée.

-Ton père est Irlandais, mais il a vécu presque toute sa vie, en Angleterre, avec ta mère, qui est Américaine.
Ton père avait une meilleure amie anglaise. Commençait-il, en me regardant, les larmes aux yeux.
Elle s'appelait Marcia Allen.
Ils étaient meilleurs amis, depuis leurs cinq ans.
Marcia Allen, s'était ensuite mariée avec un homme, qui s'appelait... Alan Williams, qui était lui aussi, anglais.
Ton père était toujours meilleur ami avec elle, et...
Ta mère était jalouse, de l'importance que ton père donnait à Marcia.
Malgré qu'ils étaient à une heure d'avion chacun, sachant que tes parents étaient partis vivre dans la ville natale de ton père, Mullingar, et ont eus ton grand-frère, James, et ta grande-soeur, Wihem.
Ta mère est devenue jalouse surtout... quand Maria Allen est tombé enceinte.
Ton père, et son mari, Alan , s'occupaient très souvent d'elle.
Et ta mère se sentait mise de côté...
Alors... Elle a fait croire à ton père, qu'elle était enceinte, pour avoir, elle aussi, de l'importance.
Et... elle reçue de l'attention.

-Mais... Je... Mon père a dû l'apprendre, qu'elle n'était pas enceinte ? Demandais-je, confuse. Qu'est-ce que tu veux me faire comprendre, Daniel ?

-Il ne l'a jamais apprit.
Marcia était l'ennemie de ta mère.
Alors, un jour, ta mère est venue chez eux.
Elle a menacé Marcia.
Elle a dit que, si... si, Marcia ne voulait pas lui donner l'enfant qu'elle attendait, elle briserait son amitié avec Steve, ton père.
Et l'amitié, valait de l'or, dans les traditions de Marcia.
Samantha, ta mère, est repartie chez elle, tout sourire, parce que Marcia avait accepté, seulement si elle pouvait garder son enfant pendant neuf mois, les larmes aux yeux.
Samantha avait accepté le contrat, évidemment ! S'exclamait-il, énervé.
Marcia l'a dit à Alan, et il était détruit, ayant les larmes aux yeux, en apprenant cette nouvelle.
Marcia accoucha, de, deux faux-jumeaux.
Alors, Marcia, jouait la comédie devant ton père, disant qu'en faite, ses bébés furent décédés à l'accouchement.
Samantha prit un jumeau sur les deux, neuf mois après l'accouchement de Marcia, lui ayant laissé son enfant neuf mois, avant de lui donner, pour tenir le contrat que Marcia avait posée.
Une petite fille, du nom d'Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams.
Le jour, où, ta mère, Samantha, devait accoucher, elle partit neuf mois, en France, comme quoi, Elizabeth avait des problèmes de santé.
Et ton père, débordé avec le travail, ne pouvait l'accompagner, et n'était pas là, à l'accouchement.
Ce qui arrangeait très bien ta mère, du coup.

-Daniel, où veux-tu en venir ? Demandais-je, choquée par ses paroles.

-Laisse-moi continuer, Wanda. S'il te plaît. Disait-il, tristement, ayant toujours les larmes aux yeux.

-D'accord. Soufflais-je, stressée.

-Ta mère, est revenue comme une fleur à Mullingar, avec Elizabeth.
Et les médecins ne disaient rien à propos de tout cela, parce qu'ils étaient tenus au secret médical.
Foutaises ! S'exclamait-il, en s'énervant, en ayant des larmes de rage.
Puis, Marcia cachait son autre enfant, à ton père, ce qui n'était pas difficile, sachant que Marcia et Alan vivaient en Angleterre, pas loin de Londres, et que tes parents vivaient en Irlande, à Mullingar.
Vu que les faux-jumeaux de Marcia, étaient normalement décédés.
Un Dimanche, ton père et ta mère, ont décidés de partir en Angleterre, pour prendre des vacances, dans une petite maison.
Et ils avaient fait gardés James et Wihem, en Irlande, à Mullingar, par une nounou.
Et ils avaient invités Marcia et Alan, vu que eux, étaient à une heure, de la maison de vacances de tes parents.
Ils étaient venus en voiture.
Marcia et Alan, ne trouvant pas de nounou, pour garder l'autre enfant, qui était un garçon, du coup, sinon cela n'aurait pas été des faux-jumeaux.
Ils l'avaient laissés dans la voiture, avec la fenêtre ouverte, caché dans un couffin.
Steve, ton père, n'était au courant de rien.
Quand ils comptaient partir, la voiture eut un problème, et Steve, comptait réparer la voiture de Marcia et Alan.
Mais, Samantha, ta mère, pour rendre fier ton père, elle se proposa pour réparer la voiture.
Et cette... Se retenait-il, enragé.
Ta mère était une quiche, en mécanique.
Elle avait fait n'importe quoi... aux freins.

-Daniel, continue. Disais-je, en prenant sa main, doucement, en ayant les larmes aux yeux.

Il me regarda, en pleurant.

Il souffla un bon coup, et serra ma main.

Il continua.

-La voiture avait, certes redémarrée.
Ton père félicita, ta mère.
Marcia et Alan avaient dit au revoir à tes parents, et tes parents leur avait dit au revoir, aussi.
Et Marcia et Alan Williams, avaient prit la route.
Et... Marcia et Alan Williams, moururent, ce Dimanche 20 Avril 1997, en Angleterre. Pleurait Daniel.

-Et... le bébé ? Demandais-je, quelques larmes coulant sur mes joues.

-Il a survécu.
Les secours l'ont retrouvés dans son couffin, il n'avait pas bougé, il dormait paisiblement.
Le juge pour enfant, avait donné la garder de ce bébé, au frère d'Alan Williams.
Et Samantha, ta mère, ne le sait toujours pas.

-Quel... quel... est le prénom de cet enfant ?

-Daniel Jacob Christopher Jonathan Williams. Pleurait-il, en me regardant.

-C'est... c'est toi ?

-Oui. Soufflait-il, les larmes ravageant ses si jolis yeux, bleus clairs.

-Mais... Et Elizabeth ? Je ne l'ai jamais connue ! M'exclamais-je, confuse.

Il me regarda, et caressa ma joue.

-Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams... se fit renommer... Blodwyn Heitsburg, ou bien... Wanda Witch.

-NON ! M'exclamais-je, en me levant.

-Je...

-NON, DANIEL ! Pourquoi, moi ? Ne pouvais-tu pas faire ta blague à quelqu'un d'autre ?! Criais-je, le cœur me serrant, et mes poumons n'arrivant plus à fonctionner correctement.

-Marcia est tombée enceinte le Lundi 23 Octobre 1996, de jumeaux, une fille et un garçon ! Tu es née le Mardi 23 Juillet 1996, ainsi que moi ! S'exclamait-il, en pleurant. Tu es Anglaise. Tu as des origines juives lointaines, ainsi que des origines irlandaises , écossaises, américaines, et pour finir, françaises ! Et j'ai les yeux bleus, moi, et que, toi, tu as les yeux verts, parce que papa avait des yeux verts, mais que maman avait des yeux bleus ! Et je sais que tu as des yeux verts, parce que tu portes des lentilles marrons, c'est Monsieur Gamb qui me l'avait dit !S'exclamait-il, en pleurant, et à bout de souffle.

Je me mettais, à pleurer, toutes les larmes, que je pouvais.

-Qui peut me le prouver... ?! M'exclamais-je, en demandant, ravagée par les larmes.

-Michael Gamb.

-Emmène-moi, à lui.

Nous nous levâmes, et marchèrent jusqu'à son bureau, et Daniel toqua.

-Entrez ! S'exclamait-il.

Nous entrâmes.

-Est-ce que... c'est vrai, Michael ?Demandais-je, en espérant qu'il me rassure.

-Je suis... désolé, Blodwyn.

-Ne m'appelez plus, comme cela ! Vous m'avez mentis ! Vous le saviez, Michael ! Pleurais-je, brisée, et dégoûtée par ma fausse mère.

MES VRAIS PARENTS ÉTAIT MORTS, ET JE N'AI MÊME PAS EU LA CHANCE DE LES CONNAÎTRE ?!

Je partis en courant, et en pleurs, sous les appels de Daniel et de Michael.

Je n'arrivais plus à respirer.

Je ne savais même pas à qui parler.

Je voulais tellement voir Jason, et le serrer dans mes bras.

Les larmes ne faisaient que redoubler, et je commençais à paniquer.

Ont m'as menti toute ma vie.

James et Wihem... ne sont pas du tout mes frères et sœurs.

Que je ne suis même pas Irlandaise...

Que je n'ai plus de parents... mais que j'ai un oncle.

Que ma mère n'est qu'une salope.

Que... que j'ai un frère jumeau.

Je continuais de marcher, doucement, mais le cœur me serrant, je m'appuya contre un mur.

Je me laissa glisser contre lui, et m'écroula sur le sol, n'ayant plus la force physique, et morale.

J'aurais pu avoir une belle vie.

Vivre en Angleterre, avec mes parents.

Et j'aurais sûrement connue Wihem et James, vu que c'est les enfants du meilleur ami de... ma vraie mère.

À aucun moments, je ne l'ai vue venir.

Mais, je n'aurais... peut-être jamais connue les Malton's.

À quoi bon, maintenant ?

Je ne sais même plus comment dois-je m'appeler.

Blodwyn,Wanda, Elizabeth...

Sûrement pas Blodwyn.

Pas après... tout cela.

Je me leva.

Je ne sais pas où je me dirigeais, mes pas me guidèrent...

--

22h00 !

Je toquais à un dortoir mixte.

Lionne, Evanna, et Matthew...

Lionne et Evanna avaient demandés à changer de dortoir, après notre dispute.

Et leur demande avait été accepté.

Lionne ouvrit la porte, et je tomba en pleurs, dans ses bras.

Elle me prit dans ses bras, confuse.

-Je suis tellement désolée... Pleurais-je.

-De... Oh... Blodwyn. Disait Lionne, doucement.

-Je m'appelle Elizabeth...

-Comment cela ? Demandait Evanna, confuse, et triste, de me voir comme cela.

-J'ai besoin de vous parler. Disais-je, abattue.

J'expliquais tout ce qu'il s'était passé depuis le début.

Matthew me prit dans ses bras, les larmes aux yeux.

-Je ne veux que mourir. Pleurais-je.

-Non, E... Elizabeth. Disait Evanna, les larmes aux yeux.

-Vous devez tellement m'en vouloir... Pleurais-je, le cœur serré.

-Ont ne t'en a jamais voulu. Confiait Lionne.

-Vous m'avez tellement manqué. Pleurais-je, les yeux remplis de larmes.

-Tu nous as aussi manqué. Confiait Matthew.

Ils vinrent me serrer dans leurs bras.

Un câlin de groupe avec eux... cela faisait tellement... longtemps.

-El'... Tu as perdue deux personnes, aujourd'hui... Mais tu en as gagné deux... Tu as gagné un frère jumeau, et un oncle. Disait Evanna, tristement.

-J'aurais tellement voulue... vivre une autre vie.

-Une autre vie, où, peut-être nous ne serions pas là... Soufflait Lionne, les larmes aux yeux.

-Oui... et... il n'y aurait pas les Malton's... aussi. Rajoutais-je, les larmes aux yeux.

-El', tu ne peux pas faire cela, à Jason... Soufflait Matthew, tristement.

-Je... Je suis obligée. Pleurais-je, le cœur brisé.

-Pourquoi ? Parce qu'il était si amoureux de toi, que... qu'il se perdait lui-même ? Demandait Evanna.

-Que c'était la première fois, qu'il tombait amoureux, alors... il n'était pas très habile avec tout cela, et qu'il avait déjà une famille, à protéger ? Continuait Lionne.

-Il t'aime, El'... Disait Matthew, en me regardant, tristement.

Je ne sentais même plus mon cœur.

J'étais embrouillée.

Je ne savais même plus quoi penser...

Le faire...

Ou ne pas le faire... ?

-Si... si, ce que je vais te dire, peut te faire changer d'avis, Elizabeth... Disait Lionne.

-Rien ne pourra me faire changer d'avis. Disais-je, en pleurant, dans les bras de Matthew.

-Ce soir, j'ai entendue Tom et Louis parler ensembles. Tom parlait de la conversation qu'il avait eut avec son père... Commençait-elle.

-Il disait... qu'il avait perdu son étoile, ce soir-là. Où tu es décédée. Continuait Evanna.

-Il a dit que... qu'il était amoureux de Wanda... parce qu'elle lui rappelait tellement Blodwyn. Et que... maintenant... que tu l'avais blessé à cause du défi, que t'avais lancé Rupert, il ne pouvait plus. Confiait Matthew, en regardant ma bague.

-Si tu savais à quel point, Jason Malton t'aime. Disait Evanna.

-Je... Je dois vous laisser. Disais-je, en me levant.

-À plus tard, Elizabeth. Disait Matthew, en souriant, tendrement.

-Prends-la bonne décision. S'il te plaît, Elizabeth. Disait Evanna, en se levant, et en me serrant dans ses bras.

-Va demander à Tom, tu pourras le vérifier par toi-même. Disait Lionne, en me souriant, gentiment.

Ont se faisaient un dernier câlin de groupe, et je commençais àpartir.

-Je vous aimes. Confiais-je.

-Ont t'aiment aussi, Elizabeth. Disait Evanna, en hochant la tête, tendrement.

-Merci beaucoup. Pleurais-je.Pour continuer d'être amis avec moi. Après tout ce temps ?

-Et à jamais. Disait Matthew, en me souriant, tendrement.

Harry Potter !

Je riais, doucement, malgré mes larmes.

-À plus tard ! M'exclamais-je, en souriant, émue.

--

23h00 !

J'allais jusqu'à mon dortoir, et ouvrit la porte.

-Je dois te parler Iris.

-Je t'écoute, Wanda... ? Disait-elle, confuse.

Et je lui raconta tout, sans aucune larmes.

-Alors... tu t'appelles Elizabeth ? Demandait-elle, en me prenant dans ses bras. Tu n'as même pas pleuré...

-J'ai déjà dû l'a raconté, ce soir. Et... je me sens... plus forte.

-Je trouve ce prénom très joli.

-Oui... merci beaucoup, Iris. Je vais voir Tom, je suis pressée !

-Je t'en prie. Bonne chance, et bonne nuit, Elizabeth ! S'exclamait-elle, gentiment.

-Merci beaucoup, et bonne nuit, Iris ! M'exclamais-je, motivée.

-Je t'en prie, et merci beaucoup !

-Je t'en prie ! M'exclamais-je, tendrement.

Je courrais jusqu'au dortoir des garçons, et toqua.

Louis ouvrait la porte.

-Wanda ? Demandait-il, surpris.

-Je veux voir, Tom. S'il te plaît.

-Wanda...

-Laisse-moi, lui parler, Louis !

-D'accord. Soufflait-il, énervé.

-Tom ? Demandait Louis.

-Oui ? Répondait Tom.

-Wanda veut te parler. Expliquait Louis.

-Oh, d'accord ! S'exclamait-il, enjouée.

Tom arrivait vers moi, et sortait du dortoir.

-Tom, qu'est-ce que t'as dit ton père, sur moi, ce matin ?

-Je... euh... Il m'avait dit qu'il t'aimait... ce qui est... vrai, Wanda. Disait-il, en me regardant, et en fermant la porte de son dortoir.

-Je... d'accord, et ensuite ? Demandais-je, pressée, les larmes aux yeux.

-Il m'avait aussi dit... qu'il avait perdu son étoile, le jour où tu es décédé... Confiait Tom, les larmes aux yeux.

-Je...

-Wanda. Pour la première fois, j'ai vu mon père pleurer. Je l'ai vu pleurer... et je l'ai pris dans mes bras.

Les larmes coulèrent sur mes joues.

J'avais tellement mal.

-Il m'avait aussi dit qu'il aime Wanda, parce qu'elle lui rappelle Blodwyn... Tu... es la même personne. Pleurait Tom. Mais qu'il était tellement blessé... à cause du défi. Que c'était finis... Soufflait-il, tristement.

-Alors... c'est vrai, ce que m'avaient dit Matthew, Lionne, et Evanna ? Ils m'avaient dit qu'ils t'avaient entendu parler avec Louis, ce soir, au sujet dela conversation entre Toi, et ton père, de ce matin.

-C'est vrai, si, ils t'ont dit, exactement, tout, ce que je viens de te dire. Tu peux les croire.

-Tom, je... j'ai quelque chose à te dire...

-Q... quoi ?

-Je viens d'apprendre que m'appelais Elizabeth. Disais-je, en m'asseyant sur le sol.

-Quoi ? Demandait-il, surpris, en s'asseyant sur le sol, à côté de moi.

Je lui expliqua tout, sans rien oublier.

Et cette fois, je finissais en pleurs.

Parce que... plus je l'a racontais... plus je réalisais.

-Wanda... Disait Tom, en pleurs, et en me serrant dans ses bras.

-Tu vas devoir t'habituer à m'appeler Elizabeth. Riais-je, en pleurs, dans ses bras.

-Je venais à peine de m'habituer à Wanda, tu es dur avec moi. Plaisantait-il, en essuyant ses larmes, et en essuyant aussi, les miennes.

-Est-ce que tu peux me dire, tout ce que vous vous êtes dit, ce matin, entre Toi et ton père, s'il te plaît, Tom ? Demandais-je, en souriant, tendrement.

-Avec plaisir ! S'exclamait-il, en souriant, tendrement.

Et il me raconta tout.

--

23h30 !

Voir Tom pleurer, me faisait tellement de la peine.

Je le pris dans mes bras.

-Je suis tellement heureux, Elizabeth. Confiait Tom, en pleurant, doucement.

-Ne pleure pas, Tom... Tu as de si beaux yeux. Ne les gâches pas avec des larmes...

-Ce sont des larmes de joie. Disait-il, en me souriant, tendrement.

-Est-ce que... ton père m'aime... vraiment ?

-Pourquoi est-ce que tu poses encore la question, Elizabeth ?

-Je dois y allez, Tom ! M'exclamais-je, en me levant.

-Elizabeth, te rappelles-tu du moment, où je t'ai dis, que je comprenais pourquoi vous vous haïssiez tellement, avec mon père ?

Flashback !

-C'est assez drôle parce que, Lucius Malfoy déteste le rouge, parce que c'est la couleur des Gryffondors. Mais en vrai, mon père, c'est sa deuxième couleur préférée, le rouge, après le vert.

-Ah oui ? Moi, c'est d'abord le rouge, et après, le vert.

-Je comprends pourquoi vous vous haïssez tellement, en fin de compte.

-Pourquoi ?

-C'est mon secret.

-Me le diras-tu, un jour, Tom ?

-Bien sûr, Blodwyn.

-Promis ? Demandais-je, en riant, tendrement.

-Promis ! S'exclamait-il, en riant, tendrement, aussi.

--

Fin du Flashback !

-Oui, et tu n'avais pas voulu me répondre, disant que c'était ton secret. Je t'avais demandé, si tu allais me le dire, un jour.

-Et je t'avais promit de te le dire.

-Oui, c'est ça. Disais-je, tendrement.

-C'est parce que vous vous ressemblez tellement. Parce que l'expression est, les contraires s'attirent, et non pas, les personnes pareilles s'attirent. Confiait-il, en me souriant, tendrement. Vous avez réussis à fausser l'expression.

-Je... Merci beaucoup, de me le dire, Tom.

-Mon vœux d'anniversaire va se réaliser.

-Qu'est-ce que tu as souhaité ?

-Mon bonheur, et le bonheur de mes proches. Disait-il, en souriant, tendrement.

-Tom. Disais-je, en souriant, tendrement, aussi.

-Bonne nuit. Je t'aime tellement, Elizabeth. Disait-il, en se levant, vu qu'il était resté assis sur le sol, en me serrant dans ses bras, et en me faisant un bisou sur le front.

-Bonne nuit à toi aussi, et merci beaucoup. Moi aussi, je t'aime tellement, Tom. Disais-je, en le serrant dans mes bras, et en lui faisant un bisou, sur la joue.

-Je t'en prie, et merci beaucoup ! S'exclamait-il, en riant, tendrement.

-Je t'en prie ! M'exclamais-je, en riant, tendrement, aussi, et en courant jusqu'au bureau de Monsieur Gamb, en touchant ma bague.

Tom rentra dans son dortoir, et je courra plus vite.

--

23h50 !

Je toqua, très vite.

-Entrez ! S'exclamait Michael Gamb, toujours aussi, chaleureusement.

J'ouvrais la porte.

Daniel était avec lui.

Il se leva, surpris. en me voyant.

Je ne sais pas ce qu'il me prit, mais je serra mon frère dans mes bras.

-Je suis enchantée de faire ta connaissance, Daniel, mon frère. Souriais-je, en pleurant, embrouillée.

-Je suis enchanté de faire ta connaissance, aussi, Elizabeth, ma sœur. Souriait-il, les larmes aux yeux, heureux.

Il me serra dans ses bras, aussi, et je me retira de l'étreinte.

-Michael ! M'exclamais-je, en me rappelant de pourquoi j'étais venue dans son bureau.

-Oui, Elizabeth ? Demandait-il, confus.

-Où est Jason ?

-Il vient de sortir de mon bureau. Il compte partir au manoir, il est dans sa chambre, qu'il a fait construire pour lui.

-Je suis au courant pour sa chambre ! M'exclamais-je, pressée. Où est-elle ?Demandais-je, en souriant, gentiment.

-La première porte, au fond, dans la Grande Salle. Il y a un couloir, où plusieurs professeurs dorment. Sa chambre est la grande porte. Il n'y en a qu'une, de grande porte. Alors, tu trouveras.

-Merci beaucoup ! M'exclamais-je, en commençant à partir.

-Elizabeth ? Demandait Michael.

-Oui ?

-Tu as laissé ton cœur faire ce choix, et non pas ta conscience. Je te suis redevable.

-Je... Quoi ?

-Merci beaucoup, pour ne pas l'envoyer en prison. Disait Michael, en souriant, gentiment.

-Vous le saviez...

-Tu t'es réveillée, maintenant. C'est tout ce qui compte. Dépêche-toi, il est bientôt Minuit.

-Michael, je suis tellement désolée, d'avoir faire toutes ces choses dans votre lycée...

-Na, na ! Dépêche-toi, Elizabeth ! Ont discuteras de tout cela, plus tard !

-Merci beaucoup, Michael ! M'exclamais-je, en souriant, doucement.

-Je t'en prie, Elizabeth ! S'exclamait-il, en souriant, gentiment.

-À plus tard ! M'exclamais-je, en commençant à courir.

-À plus tard, et cours vite ! S'exclamait Michael Gamb.

Je me mettais à courir, de toutes mes forces.

Flashback !

Il m'embrassa amoureusement, tout en resserrant la pression qu'il exerçait sur mon dos, avec son bras gauche.
J'ouvris la bouche pour reprendre mon souffle, et il en profita pour nouer sa langue à la mienne.
Le baiser devenait de plus en plus fort et intense en émotions.
Nos larmes se mêlaient au baiser.
Nous nous arrêtions, sans qu'il ne me lâche.
L'homme ne dit rien, ayant peur que la jeune fille ne ressente rien pour lui.
Je compris pourquoi Jason ne dit rien.
Bordel !
J'ouvre mon cœur !

-Je vous aime Jason Malton. Soufflais-je.

-Je vous aime Blodwyn Heitsburg. Soufflait-il, son front contre le mien.

--

Fin du Flashback !

Sauf que, maintenant, je m'appelle Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams !

Je mettais à courir, comme à un triathlon.

Merci, j'avais gardé mon sac !

Je sortis le petit bout de papier que m'avait donné Louis, et j'enregistre le numéro de téléphone dans mes contacts, puis appela Louis.

-Wanda ?

-Dis-moi, que tu es avec tout le groupe.

-Oui, pourquoi ?

-Met sur haut-parleur.

-D'accord.

J'expliquais tout à propos de mon adoption.

-Donc, maintenant, il faut qu'ont t'appellent Elizabeth ? Demandait Ben. Décidément ! S'exclamait-il, en riant, gentiment.

-Il est 23h59, Elizabeth... Soufflait Louis.

Je courrais encore plus vite, et entra dans la Grande Salle, puis, courra encore, jusqu'à la porte du fond, et l'ouvra.

Je soufflais deux secondes.

Putain, je n'ai pas le temps pour respirer !

Je le ferais après !

Je riais doucement, et courra jusqu'à la grande porte.

Merci mon dieu, je voyais de la lumière qui passait en dessous de la porte, signe que Jason était bien là.

-Stoppez tout ! M'exclamais-je, à Louis.

-Yeah ! S'exclamaient la bande.

Ils poussaient des cris de joies, et applaudissaient.

-Je suis presque devant sa porte, merci beaucoup, pour tout, je vous aimes.

-Hey, Elizabeth, peux-tu me dire où est sa chambre ? J'avais parié avec Louis ! S'exclamait Ben.

-Au fond de la Grande Salle, il y a une porte, c'est un couloir, et il y a plusieurs chambres, où dorment les professeurs, et aussi, il y a la chambre de Jason Malton, et la porte est beaucoup plus grande. Expliquais-je, en riant, doucement.

-Yeah! Louis, tu me dois vingt livres sterling ! Riait Ben, heureux.

-Je vais raccrocher. Annonçais-je, stressée.

-Hey, Elizabeth ? DemandaitLouis.

-Oui ?

-Courage, capitaine ! Ont t'aiment aussi, et merci beaucoup à toi, de nous avoir fait vivre des moments géniaux ! Criait Louis, avec Ben, Suzy et Des'.

Je pleurais, et mettais ma main sur ma bouche, émue.

Et je pleurais aussi, parce que Jason, était de l'autre côté de la porte.

-Je vous aimes, sans vous, ces moments n'auraient pas étés aussi géniaux qu'ils l'étaient ! Merci beaucoup à vous, tous!M'exclamais-je, enpleurant.

-Ont t'aiment aussi ! Criaient-ils.

Nous raccrochâmes, et j'espérais, au fond de moi, que la porte était ouverte.

Je courra, et merci mon dieu, elle l'était.

Jason était là, avec sa mallette à la main, et son manteau de l'autre, en regardant le sol, et il se stoppa en me voyant.

Je fonçais sur lui, et le serra dans mes bras.

-Je... Wanda ? Disait-il, en se retirant de l'étreinte, choqué.

-Non, Jason. Je ne me suis jamais appelée Wanda.

-Excuse-moi ?

-Est-ce que tu as une douche ?

-Je...Oui. Juste là. Répondait-il, perdu.

Je fonça vers la douche, et enleva mon maquillage, ainsi que mes lentilles marrons.

Ma couleur de cheveux marrons n'était que superficielle.

J'arrachais mes extensions, je ne savais même pas que je le pouvais, je m'en foutais.

Et je me rinça les cheveux, aussi vite que je le pus.

Et je sortis de sa salle de bain, en pleurs.

-Non... Commençait Jason. Non...Vous n'êtes pas... Je...

-Je suis tellement désolée, Jason. Pleurais-je, en reprenant ma vraie voix.

-Blodwyn.

-À vrai dire... pas vraiment, je m'appelle Elizabeth.

-Qu'est-ce que cette histoire, encore... ?

-Je...

-Oh puis, bordel de merde, je m'en fous totalement. Disait-il, en lâchant sa mallette, et son manteau, en se précipitant vers moi. Tu seras à jamais la même, pour moi. Disait-il, en prenant mon visage, et en m'embrassant passionnément.

Il me plaqua contre le mur, et continua de m'embrasser.

Je caressais ses cheveux, et l'embrassa aussi.

Sa langue se noua à la mienne, et il me serra dans ses bras, tout en m'embrassant.

Il me porta, et me mettait sur le lit.

Il continuait de m'embrasser, passionnément, et amoureusement.

-Je suis tellement con... Pourquoi ne l'ai-je pas vu plus tôt ? Demandait-il, à califourchon sur moi.

-Arrête de me parler, et embrasse-moi.

-Il ne faut pas me le demander deux fois, jeune fille. Riait-il, les larmes coulant sur ses joues.

Il m'embrassa sauvagement presque, et je le serra dans mes bras.

Il me fit un bisous dans le cou.

-Je t'aime tellement... Elizabeth, c'est ça ? Riait-il, les larmes coulant toujours sur ses joues.

-Oui... Je t'aime tellement aussi, Jason. Disais-je, en l'embrassant, avec passion.

Nos larmes se mêlèrent au baiser, doucement.

-Tu as gardé la bague...

-Bien sûr, que je l'ai gardé.

-Te rappelles-tu, de quand je te l'ai offert ?

-Quand tu m'as confié ton amour.

-Je t'aime... si tu savais à quel point...

-Je le sais. Je sais à quel point tu m'aimes. Mais... toi, est-ce que tu sais, à quel point je t'aime ?

-Je... Non... ?

-Je pourrais me sacrifier pour toi. Disais-je, une larme coulant sur ma joue.

Il me regarda tendrement, et essuya ma larme avec son pouce.

Il me ré embrassa, plus tendrement cette fois-ci, et il caressa ma joue, en même temps.

Il se retira, et caressa ma lèvre, amoureusement.

Je le regardais dans les yeux.

-Arrête de pleurer, n'abîmes pas tes yeux, si magnifiques.

-J'arrêterais de pleurer, quand arrêteras de pleurer. Riait-il, tendrement.

-Je n'y arrive pas. Disais-je, en riant.

-Moi non plus. Soufflait-il.

-Je dois y aller. Disais-je, en me levant.

-Quoi, pourquoi ?

-Tu dois rentrer au manoir...

-Je devrais. Mais, je ne le veux pas.

-Mais, et... Helen ?

-Je n'aurais jamais pensé dire cela, un jour, mais tu es beaucoup plus importante qu'elle, à mes yeux.

-Je dois quand même y aller, je dois aller dormir. Disais-je, en marchant.

-Epepepepep, Mademoiselle. Où croyez-vous aller, comme cela, vous venez d'arriver, et vous voulez déjà partir, mon amour ? Riait Jason, amusé, en me prenant par la taille, et en me portant, comme si j'étais une plume.

Mon cœur palpitait quand il m'avait appelé « mon amour ».

Il se posa sur le lit, avec moi dans ses bras.

-À mon dortoir ? Répondais-je, en fronçant les sourcils.

-J'ai un lit, tu sais.

Je me mis à rougir.

-Je dormirais sur le canapé.

-Non.

-Non... ?

-Peux-tu dormir, avec moi ?

-Oh... euh... Toussait-il. Oui, bien sûr. Rougissait-il.

-Oh mon dieu, Jason Malton rougit.

-Hey ! Tu viens de rougir, toi aussi !

-Je sais ! M'exclamais-je, en riant. Puis-je aller me laver ? Demandais-je.

-Oui. Acquiesçait-il.

-Merci, Monsieur. Disais-je, en l'embrassant, et en me levant.

-Je vous en prie, Mademoiselle. Souriait-il, amusé.

-Au faite, j'aime bien le surnom que tu m'as donné...

-Lequel ? Demandait-il, embarrassé.

-Mon amour.

-Je croyais que tu n'avais pas entendue.

-J'entends toujours tout, quand cela vient de toi.

-Je...

-Je t'accorde plus d'importance qu'à moi-même.

-Je vois que nous sommes pareil... Riait-il.

-Je vais me doucher, Ja !

-Ja ? J'aime bien !

NDA : Cela se prononce Jay !

Je le regardais une dernière fois, et riais.

Je ferma la porte, et me lava.

Je regardais la pièce, pendant que je me douchais.

Tout était soigné, et rangé.

Jason, quoi !

Je riais tendrement, et pris la première serviette que je vis.

Je m'arrêta et réfléchissais.

Et si c'était la serviette de Jason ?

Je toussais, embarrassée, et ouvra la porte, et passa ma tête à travers le cadre de la porte.

-Ja ?

-Oui ? Demandait-il, les yeux baissés, en ramant sa mallette, et en posant son manteau sur sa chaise de bureau.

Il releva les yeux vers moi.

-Est-ce que je peux prendre la serviette, qui est dans la salle de bain ?

-Oui, oui, je t'en prie. Disait-il, en me souriant.

-Merci !

-Je... je t'en prie.

Jason venait de fermer la porte de chambre, à clés.

Ont se parlaient si... normalement, que cela en était troublant.

Je crois que nous ne réalisions pas encore ce qu'il se passait.

Mais... cela faisait tellement du bien, en même temps.

Je me sentais tellement heureuse !

Je pris la serviette, et l'enroula autour de mon corps.

Mes cheveux étaient trempés, mais je m'en foutais.

Je pris ma bague, mais... je la laissa là, en fin de compte.

Je sortis, tranquillement.

-J'aurais dû retourner à mon dortoir, pour prendre un pyjama. Soufflais-je.

Jason qui était couché sur son lit, en lisant un livre, me regarda de haut en bas, en rougissant.

Il se leva, et regarda dans son armoire.

Il sortit une chemise blanche, et me la tendit.

-Jason... Riais-je, désespérée. Elle est blanche.

-Ah... oui. Effectivement. Riait-il.

-Laisse-tomber, je vais la mettre. Donne-la moi.

-Non ! S'exclamait-il.

-Mais...

-Tu ne veux pas savoir ce que je te ferais, si cette chemise, est blanche.

-Je... Toussais-je. Je n'ai que quinze ans, Jason.

-Je sais. Pardonne-moi, j'aurais dû garder cela, pour moi.

-Non, cela ne me déplaît pas. Au moins, je sais que...

-Que tu me rends fou ? Alors, oui, tu me rends fou. Rougissait-il.

-Alors, cette chemise blanche ? Tu me la donne ? Demandais-je, en changeant de sujet, et en mettant mes mains sur mes hanches.

-J'en ai une, noire... Essayait-il.

-Je vais avoir trop chaud, si je la porte.

-D'accord, d'accord, tiens. Riait-il, en me l'a tendant.

-Merci, Monsieur Malton ! Riais-je, en l'a prenant.

-Je vous en prie, Mademoiselle. Souriait-il, en me faisant un clin d'oeil.

J'alla dans la salle de bain, et enfila mes sous-vêtements, puis mettais la chemise.

Je laissa deux boutons ouverts, pour pouvoir respirer.

Je pris ma bague, et l'a metta.

Je sortis, les cheveux toujours mouillés, mais moins, par chance.

-Tu es belle. Complimentait Jason, avec un léger sourire.

Les papillons volèrent dans mon ventre.

-Je... Merci.

-Est-ce si, surprenant, ce que je viens de dire ?

-C'est rare, qu'on me le dise.

-Alors, je te le dirais, tout le temps. Parce que, c'est vrai, tu es belle, tu es même magnifique. Disait-il, dos à moi, en me regardant, tout de même, puis il se retourna, et regarda des papiers.

Je m'avança vers lui, et enroula mes bras autour de sa taille.

Ilse retourna, et enroula ses bras autour de ma taille, aussi.

-Bonsoir. Plaisantait-il.

-Bonsoir .Riais-je, amusée, et je passa mes bras autour de son cou.

Je me mis sur la pointe des pieds, et l'embrassa tendrement.

-Je ne vais jamais aller me laver, si tu commences à m'embrasser.

-Hey !

-Je disais cela gentiment, parce que je ne pourrais m'arrêter de t'embrasser, après.

-Alors, va te laver. Souriais-je, en me retirant de l'étreinte, et en me retournant pour marcher jusqu'au lit.

Il colla son torse à mon dos, en ré enroulant ses bras autour de ma taille.

Je mettais ma main sur son bras, tendrement.

Il nicha sa tête au creux de mon cou.

Je suis définitivement amoureuse de Jason Malton.

Il me fit un bisous dans mon cou.

-Je vais me laver, je reviens. Disait-il, en retirant ses bras, en prenant une serviette de bain, et en marchant jusqu'à la salle de bain

-Je ne vais nulle part. Souriais-je, tendrement.

-C'est bon à savoir. Disait-il, en me regardant, tendrement.

Il entra, et ferma la porte.

Je vis un pantalon de pyjama.

Je vais le cacher, haha !

Je m'installais tranquillement sur le lit, et enlevais ma bague, puis l'a posa sur la table de nuit.

Ce lit est tellement confortable.

Je cachais le pantalon sous mon oreiller.

Quelques minutes après, Jason sortit de la salle de bain, avec juste une serviette de bain, autour de ses hanches, et des gouttes qui perlaient sur son corps.

Et il avait les cheveux mouillés.

Non, mais, c'est injuste !

-Tu n'aurais pas vu, un pantalon, à carreaux noirs et verts ?

-Je... Commençais-je, en rougissant.

-Oui ? Demandait-il, confus.

Je me mordais la lèvre, en le regardant.

Cet homme est tellement magnifique.

-Regarde sur ton bureau ? Proposais-je.

-Il n'y est pas. Disait-il, en fronçant les sourcils, et en regardant son bureau.


Je me retenais de rire, et il se retourna, en fronçant les sourcils.

J'explosa de rire, malgré moi.

-J'en étais sûr. Souriait-il, malicieusement.

Il s'avança sur le lit, et se mettait sur moi.

-Jason ! Criais-je, embarrassée.

-Oui ? Demandait-il, avec un sourire coquin.

-Tu es en serviette de bain, sur moi !

-Et ? Questionnait-il, en penchant sa tête, faisait mine de ne pas comprendre.

-Et c'est embarrassant.

-Je ne partirais pas, tant que tu ne m'auras pas donné mon pantalon.

-Imagine que ta serviette tombe ! M'exclamais-je, en rougissant.

-Cela ne me dérangerait pas.

-Mais moi, si, alors, va mettre un caleçon !

-Donne-moi ce pantalon.

-Tu es en train de mouiller ma chemise, avec tes cheveux.

-C'est ma chemise. Disait-il, arrogamment.

-Alors, tu n'as qu'à la reprendre.

-Je... Est-ce un défi ? Riait-il.

-Non. Rougissais-je.

-Ne me tente pas. Disait-il, en rougissant.

Je riais tendrement.

Je prenais le pantalon, et lui tendais.

-Va t'habiller, espèce de pervers !

-C'est toi, qui me rend comme cela !

Il m'embrassa doucement, et se leva, en riant, tendrement.

Ilallait à la salle de bain, et revenait en caleçon, puis fermait la porte de la salle de bain.

-Petit cul. Riais-je, en regardant Jason.

-Et c'est toi, qui me traite de pervers ?

-Tu es l'homme le plus sexy de la Planète, Jason. Ce n'est pas de ma faute.

-C'est nouveau, alors. Helen ne me l'a jamais dit. Confiait-il, en me regardant.

-Elle ne t'a jamais fait de compliment ? Demandais-je, étonnée.

-Pas un seul.

-Alors, je te le dis, tu es magnifique, Jason Malton.

Il me regarda tendrement, et me souriait.

Il enfilait son pantalon, et éteignait la lumière au plafond.

Il ne laissait que les deux lampes sur les tables de nuit, de chaque côtés du lit, allumées.

Il se plaça dans le lit, et mettait la couette sur nous, deux.

-Et maintenant, est-ce que je peux savoir pourquoi tu t'appelles Elizabeth ? Je suis un peu confus, à propos de tout cela... Demandait-il, gentiment.

-Ce doit être la troisième fois, que je raconte cette histoire. Riais-je.

-Je t'écoute, mon amour.

Je lui souriais tendrement, et me retourna vers lui, puis le regarda.

Je lui expliqua tout, sous ses yeux attentifs.

-Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams... Disait-il, en souriant, tendrement.

-Comme tu le dis.

-Alors, tu as un frère jumeau, et un oncle ?

-Oui...

Il me prit dans ses bras, tendrement.

-Je... je suis tellement désolé, Elizabeth...

-Je vais bien.

-Je te connais, je sais que tu ne vas pas bien.

-Tant que je suis avec toi, dans n'importe quels moments, n'importe où, je vais bien.

-Je t'aime. Disait-il, sincèrement.

-Je t'aime, aussi. Souriais-je, en le regardant.

-Tu as beaucoup d'origines. Réalisait-il, en riant, gentiment.

-Je sais que tu as des origines juives, aussi, Jason. Riais-je. Tom me l'a dit. Il m'a tout ce que vous vous êtes dit.

-Je... Tout... ?

-Je suis là, Jason. Et tu ne me perdras jamais.

Il me regarda, les larmes lui montant aux yeux.

-Jason...

-Tu es la plus belle et précieuse personne, que j'ai connu, dans toute ma vie.

-Je...

Il se mettait à califourchon sur moi, et m'embrassa tendrement.

Je nouais ma langue à la sienne, et accentuais le baiser, plus fortement.

Il m'embrassa, avec plus de passion cette fois-ci.

Je caressais son dos, tendrement.

Il m'embrassa dans le cou, plusieurs fois, et me fit un suçon.

Je riais.

-Tout le monde saura que tu appartiens à quelqu'un, maintenant. Souriait-il, adorablement.

Je l'embrassais tendrement, et je lui en fit un sur l'épaule.

-Le mien est discret. Riais-je, doucement.

Il m'embrassa sauvagement, et caressais ma joue.

La tension entre nos deux corps, se sentait à des kilomètres.

J'embrassais son cou, et caressais son torse.

Et je lui fit un suçon sur le cou.

-Je vais finir par te l'enlever cette chemise.

-Je t'en prie, j'ai beaucoup trop chaud. Riais-je, les joues en feu.

Il n'hésitait pas deux fois, et arracha ma chemise, et l'a balança dans la pièce.

Il descendait plus bas, et me fit des bisous sur le ventre.

-Tu es tellement belle, Elizabeth. Disait-il, en me regardant, et en caressant mon ventre.

Je le fis remonter vers moi, et l'embrassa sauvagement.

-Tu l'es aussi. Disais-je, en prenant son visage, entre mes mains.

-Je ne pensais pas que cette soirée allait se passer comme cela... Disait-il, en me faisant un sourire coquin. Je pensais juste rentrer au manoir, revenir ici, manger, et dormir.

-Tu préférerais rentrer ? Demandais-je, inquiète.

-Sûrement pas ! S'exclamait-il, gentiment, en descendant, et en me faisant un suçon sur le ventre.

Il me fit un autre suçon vers l'omoplate.

Je frissonnais au contact de ses lèvres, sur ma peau.

Jason sourit, en le remarquant.

-Te ferais-je de l'effet, Elizabeth ? Riait-il, surpris.

-Tu n'as pas idées d'à quel point, Jason. Confiais-je, en souriant, tendrement. Jene pense pas, que je devrais te poser la question... Disais-je, en regardant son pantalon.

-Je... Commençait-il, en regardant son pantalon.

Il toussa, embarrassé, et rougissait.

-Je... je suis tellement désolée... Disais-je, embêtée.

-De quoi, mon amour ?

-De ne pas pouvoir.

-Hey... Riait-il, tendrement. Je m'en fous totalement, j'attendrais, le temps qu'il faudra. Même si, cela peut-être dans quatre, ou cinq ans.

-Tu nous imagines déjà, dans le futur ?

-Je ne te laisserais jamais, je te le promets.

-Moi non plus, Jason. Jamais. Je te le promets aussi.

Il enroula ses bras autour de moi, et en profita pour me faire un autre suçon dans le cou, et un autre sur l'épaule, et m'embrassa, amoureusement, et je lui rendis son baiser, aussi amoureusement, que lui.

-Jason Lukaas Daniel Harry Malton, je suis amoureuse de vous.

-Il t'a même dit pour mes autres prénoms ? Riait-il, amusé. Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams, je suis amoureux de vous.

-À vrai dire... je les savais déjà, sauf pour Harry.

-Comment cela ? Demandait-il, en fronçant les sourcils.

-Tu ne t'énerveras pas, promis ?

-Promis.

-J'ai peut-être piraté ton portable, au début de l'année, pour voir tous tes messages.

Je mentais à moitié, mais il ne devait pas savoir.

-Tu es curieuse, dis-donc. Riait-il, tendrement.

-Tu ne m'en veux pas ?

-Non, pas le moindre du monde.

-Mais... j'ai lu tous tes messages avec Scarlett... Disais-je, tendrement.

-Je m'en fous, Elizabeth. Cela ne change rien.

-Pour moi, ça a changé beaucoup de choses dans ma vie, Jason.

Il m'embrassa tendrement.

-Et pour moi, c'est toi qui a changé beaucoup de choses, dans ma vie.

J'avais les larmes aux yeux.

-Ja... Jason...

-Tu m'as changé... en homme meilleur, Elizabeth. Tu m'as fait découvrir l'amour. Et sans toi, je n'aurais jamais eu le courage de parler à Tom, ce matin.

-Je suis fière de toi, pour être aller parler à Tom. Ton fils est le garçon le plus heureux du monde. Tu m'as fait découvrir l'amour, aussi, Jason.

-Et moi, je suis l'homme le plus heureux du monde ! S'exclamait-il, en me faisant basculer sur lui.

Je riais fortement.

-Nos prénoms sont un peu drôles, sachant qu'ont est tous les deux fans d'Harry Potter, non ?

-Tu veux dire... pour Harry, pour moi, et pour toi, Joanne, et Lily ? Demandait-il, en riant, amusé.

-Oui ! M'exclamais-je.

-La vie fait bien les choses.

-Je t'assure que oui. Disais-je, en le regardant, et en caressant sa joue.

-Il est deux heures du matin, il faudrait dormir, non ?

-Tu as raison. Disais-je, en m'enlevant de sur lui.

-J'aimerais tellement t'embrasser toute la nuit... Confiait Jason, en me regardant, amoureusement.

-Moi aussi... Disais-je, en souriant, amoureusement.

Il éteignait les lampes sur les tables de nuit.

-Me permets-tu d'enlever mon pantalon ? J'ai beaucoup trop chaud. Demandait-il, gentiment.

-Fais-donc ! M'exclamais-je, en riant, doucement.

-Peux-tu m'aider ? Je ne vois rien.

-D'accord. Souriais-je, gentiment.

Je lui enleva, et le balança sur le sol.

-Merci.

-Je t'en prie.

-Je voyais très bien, c'est juste que, c'était mieux que cela soit toi qui le fasse.

-Jason ! M'exclamais-je, en rougissant, et en lui donnant une tape sur l'épaule.

-Même dans le noir, je vois tes joues rougies. Plaisantait-il, en riant, gentiment.

-Même dans le noir, je vois tes magnifiques yeux bleus. Complimentais-je, en riant, tendrement.

-C'est définitivement le plus beau jour de ma vie. Confiait-il, tendrement.

-C'est définitivement le plus beau jour de ma vie, à moi aussi. Souriais-je, gentiment.

Je me blottis contre son torse.

Il me serra dans ses bras.

-Bonne nuit, Elizabeth. Je t'aime. Disait Jason, en m'embrassant, tendrement.

-Bonne nuit, Jason. Je t'aime, aussi. Disais-je, en l'embrassant, tendrement, aussi.

Et nous nous endormîmes.

J'étais heureuse.

Nous étions heureux.

--

Mardi 6 Juin !

Je me réveillais tranquillement.

Et je me rappela que j'étais à côté de l'homme que j'aimais le plus au monde.

Je le regardais dormir, paisiblement.

Je caressais sa joue, et me défaisais, de ses bras, doucement.

Je me levais, mais Jason prenait ma main, et me tira en arrière, ce qui me fit tomber sur le lit.

Je riais tendrement.

Il se mettait à califourchon sur moi, et me fit un bisous dans le cou, et m'embrassa amoureusement.

Il caressa ma joue, tendrement.

Je lui fit un bisous dans le cou, aussi, et l'embrassa, aussi amoureusement que lui.

-Bonjour, Elizabeth. Souriait-il, tendrement.

-Bonjour, Jason. Souriais-je, tendrement, aussi.

-Allais-tu te laver, sans me dire bonjour ? Plaisantait-il, en me regardant.

-Je ne voulais pas te réveiller. Expliquais-je, gentiment.

-Va te laver, alors. Je suis réveillé, comme tu peux le voir. Riait-il, tendrement.

-Tu y vas, après ? Demandais-je, en me levant.

-Oui. Répondait-il, en se levant, et en rangeant son pantalon de pyjama, qui était par terre, et il mettait sa chemise blanche à la poubelle.

Je marchais jusqu'à la salle de bain, en sentant le regard de Jason sur moi.

Je me retournais.

-Oui ? Demandais-je, en riant, tendrement.

-J'admire ta beauté, et les suçons que je t'ai fait.

-Les miens ne sont pas mal, non plus. Pour une première fois. Riais-je, gentiment.

-Je ne vais pas pouvoir rentrer au manoir pendant quelques jours. Riait-il, tendrement.

-Je suis désolée. Disais-je, sincèrement, en rougissant.

-C'est moi, qui devrait être désolé. Je t'en ai fait cinq. Riait-il, embarrassé.

-Je suis marquée, au moins.

-C'est vrai. Riait-il, fier delui. Va te laver !S'exclamait-il, gentiment.

-J'y vais ! M'exclamais-je, en allant dans la salle de bain, et en fermant la porte.

Je me dépêcha de me laver, et de me laver les cheveux, puis de me sécher les cheveux.

Je mettais les mêmes sous-vêtements.

Argh !

Je déteste mettre des habits sales !

J'enfilais mon jean.

Je ne peux pas remettre le même t-shirt, cela me dégoûte.

Je sortis de la salle de bain, et mettais mes chaussures.

Sans mes chaussettes, c'est logique.

Je ne suis pas folle, non plus !

-Tu n'aurais pas ta chemise noire, s'il te plaît ? Cela me dégoûte, de remettre le même t-shirt.

-Jecomptais l'a mettre. Expliquait-il, embarrassé. Mais j'ai un sweat-shirt blanc, si tu le veux. Proposait-il.

-Tu portes des sweat-shirts ?! M'exclamais-je, surprise.

-Je ne fais pas du sport, en chemise, Elizabeth ! S'exclamait-il, en riant, fortement.

Je riais avec lui.

-C'est vrai. Disais-je, en riant, fortement. Je le veux bien, alors ! M'exclamais-je, en acquiesçant.

-Tiens. Disait-il, en me le tendant.

-Merci beaucoup. Disais-je, en le prenant, et en le mettant.

-Je t'en prie, je vais me laver. Je reviens. Disait-il, en m'embrassant, amoureusement.

-Vas-y, je vais me reposer sur le lit ! Disais-je, tendrement.

Il alla dans la salle de bain, et ferma la porte.

Je mettais ma bague serpent, et me coucha sur le lit.

Je rougissais, en repensant à hier soir.

Dix minutes plus tard, Jason sortait de la salle de bain, tout beau, tout propre, torse-nu, mais avec un pantalon.

Il mettait ses chaussures.

Je le regardais mettre son parfum, et enfiler sa chemise.

Je me levais.

-Me permets-tu ? Demandais-je, gentiment.

-Je... je t'en prie. Souriait-il, tendrement, en m'embrassant, doucement.

Je boutonna sa chemise, et arrangea le col de sa chemise.

-Merci, mon amour. Disait-il, amoureusement, en caressant ma joue.

-Je t'en prie, Ja'. Disais-je, amoureusement, aussi.

-Tu le fais mieux que moi. Confiait Jason, en souriant, tendrement.

-Haha, merci beaucoup ! M'exclamais-je, en riant, tendrement. Comment cela se fait-il, que tu n'est que deux chemises dans ton armoire ? Demandais-je, confuse.

-Moins une. La blanche. Riait-il, arrogamment. Et moins une autre, la noire, celle que je porte. Expliquait-il. Je devais aller au manoir, hier, soir, pour récupérer des habits, et revenir à Slygry Ravhuff. Mais... bizarrement, je ne suis pas allé au manoir. Plaisantait-il, en me regardant.

-Est-ce que tu regrettes... ? Demandais-je, tristement, et embarrassé.

-Je ne regretterais jamais cette nuit, de toute ma vie.

-Vraiment, Jason ?

-Vraiment, Elizabeth.

Je l'embrassais tendrement, et il me serra dans ses bras.

-Au faite, je n'ai pas de cadeau. Mais joyeux anniversaire ! M'exclamais-je,en souriant, tendrement.

-Tu t'en ai rappelé ? Demandait-il, surpris.

-Jason Lukaas Daniel Harry Malton, né le 6 Juin 1986.

-Tu es la meilleure. Disait-il, en me prenant dans ses bras. Je n'ai pas besoî de cadeau, c'est toi, mon cadeau. Confiait-il, en me souriant, tendrement.

-Jason... Même si cela n'est pas mon anniversaire, tu es aussi mon cadeau.

-Wow, j'ai trente-et-un ans. Riait-il, tendrement.

-Nous avons de nouveau seize ans d'écart. Riais-je, gentiment.

-Tu auras seize ans, le 23 Juillet, mon amour.

-Et nous aurons de nouveau quinze ans d'écart, Ja'.

-Exactement ! S'exclamait-il, en riant, gentiment.

-Joyeux anniversaire, Jason. Je t'aime ! Disais-je, en souriant, tendrement.

Nous nous embrassâmes, amoureusement.

Et nous nous retirâmes.

-Merci beaucoup, Elizabeth. Je t'aime aussi ! Disait-il, en souriant, doucement.

-Tu sens bon. Complimentais-je, en sentant son parfum.

-J'allais te dire la même chose. Riait Jason, amusé.

Ont toquas à la porte de Jason, et il me regarda, confus.

-Qui cela peut-être ? Demandais-je, en fronçant les sourcils.

-Je n'en ai aucune idées. Répondait-il, confus. Deux minutes. Disait-il, en s'avant vers la porte de sa chambre. Qui est-ce ? Demandait-il, froidement.

Je frissonnais au son de sa voix.

J'avais oublié à quel point, il pouvait être froid.

-Bonjour, c'est la Police, Monsieur Jason Malton !

Oh merde !

Ne me dites pas que Louis, Ben, Suzy et Des', ont oubliés d'annuler la mission ?!

Il ouvra la porte, en me regardant, stressé.

-Bonjour. Qu'est-ce qu'il y a, Monsieur l'agent ? Demandait Jason, confus.

-Nous avons trouvé ceux qui vous faisait des coups tordus, à vous, et à votre fils, tout au long de l'année.

Quoi ?!

-Oh. Puis-je les voir ?

-Oui, bien sûr. Suivez-moi, ils sont menottés, dans le couloir, avant la Grande Salle. Nous n'en avons retrouvé que quatre sur les cinq, le cinquième est le cerveau de tout cela.

Je paniquais.

Peut-être, est-ce, d'autres élèves ?

-D'accord. J'arrive. Disait-il, en fermant la porte, de sa chambre.

-Tu vas y aller ? Demandais-je, inquiète.

-Oui, bien sûr. Il faut qu'ils payent, pour avoir fait cela, à mon fils, et à moi. Tu restes là, s'il te plaît. Promis ?

Ma gorge se serrait.

Il s'avança vers moi, et m'embrassa, amoureusement.

-D'accord. Promis. Je t'aime, Jason. Disais-je, en souriant, tendrement.

-Je t'aime aussi, Elizabeth. Souriait-il, tendrement, aussi.

Il me regarda, et sortait de la chambre.

J'attendais cinq minutes, qu'il arrive dans le couloir, puis je sortais de la chambre, aussi.

J'avais les mains moites, et j'étais en stresse total.

Toutes les bonnes choses ont une fin.

Je marchais jusqu'au couloir, et voyait, Louis protester, ce qui me fit frissonner, et m'arracha le cœur.

J'étais terrifiée.

-Comment osez-vous, nous menotter ?! S'exclamait Louis, énervé.

-Vous n'avez aucune preuves ! Criait Ben, en essayant de se débattre.

-Alors, ce sont eux ? Demandait Jason, à l'agent. Louis, comment as-tu osé faire cela, à ton propre meilleur ami ?! Criait Jason, en s'énervant.

Tom arrivait, et me regardait, en fronçant les sourcils, et regarda, devant lui.

-Louis... Non... Ce n'est pas possible... Chuchotait-il.

-Tom, je peux tout t'expliquer ! S'exclamait Louis, en voyant Tom, qui s'était mit à côté de Jason.

-Enflure ! S'énervait Tom, les larmes aux yeux. Tu m'as menti, et trahi !

-Nous n'avons pas encore trouver la cinquième personne.

-Avez-vous une photo ?

-Oui.

-Ce ne sera pas la peine de leur montrer, Monsieur L'agent. Disais-je, en avançant, vers mes amis.

Jason me prit la main, confus.

-Qu'est-ce que tu fais, Elizabeth ?

-Jesuis tellement désolée, Jason... Disais-je,les larmes aux yeux, en lâchant sa main.

-Qu'est-ce que... Commençait Tom, en fronçant les sourcils.

Plusieurs élèves s'amenaient vers le couloir, chuchotant entre eux, curieux.

Je me mettais devant mes meilleurs amis, pour les protéger desMalton's.

Je Lionne, Evanna et Matthew, plus loin, inquiets.

-Montrez-moi la photo. Demandait Jason, froidement, en me regardant.

-La voilà. Disait l'agent de police, en donnant la photo à Jason.

Il regarda la photo, avec Tom.

Et ils me regardèrent.

Jason fit tomber la photo, sous le choc.

Et des larmes coulèrent sur les joues de Tom.

-Il doit y avoir une erreur. Disait Jason Malton, froidement, et confiant.

-Elizabeth, dis-leur. Dis-leur, que ce n'est pas toi, et que c'est une erreur. Disait Tom, ne croyant pas l'agent de police.

-C'est vrai, que sur cette photo, la jeune fille, avait du maquillage foncé, des cheveux marrons, ainsi que des yeux marrons. Disait l'agent de police, en constatant la photo, qu'il venait de ramasser.

Je pouvais mentir.

Et m'échapper des mains de la police.

Mais je n'abandonnerais jamais ma bande.

Nous tomberons ensembles, et nous nous relèverons ensembles.

Mon cœur se serra de plus en plus, fort.

Je regardais, en pleurs, les deux personnes les plus importantes dans ma vie.

-Moi, Elizabeth Duerre Lily Joanne Williams, aka, Wanda Witch, née le 23 Juillet 1996, confirme avoir commis tous ces délits.
Et de les avoir diriger.
Je confirme, avoir demandé l'aide de Louis Cordice, ici, présent.
Et que Louis Cordice, avait demandé à Ben Wayne, Suzy Rickards, et Destinée Gadot de nous rejoindre, pour nous aider.
Nous avons piratés les caméras, utiliser des objets informations de haut-de-gamme.
Nous sommes aussi entré dans le building de Jason Malton, pour lui faire perdre deux millions de livres sterling.
Nous avons fais des montages photos, ainsi que des montages vidéos. Disais-je, en regardant les Malton's.

-Vous n'avez pas fait que cela... Disait l'agent de police.

-Excusez-moi ?

-Nous avons retrouver des plans, et quelques feuilles. Hier, vous comptiez envoyer Jason Malton, ici présent, en prison.

-Je... Commençais-je.

Les secondes passèrent comme des années, dans ma tête.

Jason me regarda, comme si il venait recevoir plusieurs balles en plein cœur.

Je ne savais quoi répondre, sous le regard perçant de Monsieur Malton.

-Elle l'avait annulée ! S'exclamait Louis, énervée.

-Si, je regarde les horaires auxquelles vous vous êtes appelés, Monsieur Cordice, elle ne l'a annulée qu'à 23h59, soit une minute avant, que vous activiez le plan.

-Et alors ?! S'exclamait Destinée, en rage.

-Alors, elle ne s'est décidée qu'à une minute près. La minute passée, vous auriez activé le plan.

-Est-ce qu'ils auraient réussis ? Demandait Jason, en me regardant.

-Malgré l'argent que vous avez, ils avaient des fausses preuves très convaincantes.

-Répondez-moi ! S'empressa Monsieur Malton, en s'exclamant.

-Ils auraient réussis. Vous auriez pu passé cinq ans de prison.

Oh bordel de merde.

-D'accord.

-Je t'ai fais confiance, Elizabeth ! S'exclamait Tom, en s'époumonant. Et toi, tu voulais me trahir dans mon dos ? Demandait-il, dégoûté. Tu n'as fait que me mentir ! Criait-il, les larmes de colère, coulant sur ses joues.

Je ne disais rien, en évitant le regard qu'il me lançait.

Je ne savais même pas quoi dire.

-Expliquez-moi votre changement physique, Mademoiselle Williams. Disait l'agent de police, sérieux.

-Je me suis fait passée pour morte... Je n'ai entraîné personne dans cette histoire.

-Elle m'a entraîné moi. Je l'ai aidé à changer de vie. Disait Michael Gamb, en arrivant.

-Vous. Disait Jason, froidement,et méprisant. Vous le saviez.

-Je le savais, oui, et j'en assume les conséquences.

-Michael Gamb n'y est pour rien.
J'ai changé de couleur de cheveux, j'ai mis des lentilles, et j'ai adopté un nouveau style de voix, ainsi que de marche. Répondais-je, froidement.

-Dans quel but, avez-vous fait cela, Mademoiselle Williams ?

-Par l'envie la plus horrible de toutes, l'envie de vengeance. Répondais-je, en regardant Jason.

Jason Malton sentait son cœur exploser à ce moment-là.

Il s'était fait trahir, par celle qu'il aimait le plus au monde.

Hier, elle n'avait fait que l'utiliser.

-Pourquoi ? Demandait l'agent depolice.

-Oui, pourquoi ?! Criait Tom, blessé. J'aimerais bien savoir, moi ! S'exclamait-il, une larme coulant sur sa joue.

-Parce qu'ils avaient ruinés ma vie, malgré que je les aimes. Répondais-je, en ignorant Tom.

-C'est facile, de dire cela, maintenant ! S'exclamait Tom.

Des agents de police s'avancèrent vers moi.

-Est-ce que cela est vraiment nécessaire, monsieur l'agent ? Demandait Michael Gamb.

-Je le crains, oui, Monsieur Gamb.

Ils me menottèrent, pendant que je regardais dans le vide, en pleurant.

Le temps s'était figé.

Je n'entendais plus rien.

Je regardais Jason, qui évita mon regard, froidement.

-Embarquez-les. Disait Jason, n'arrivant plus à me regarder.

-J'aimerais dire quelque chose à Monsieur Malton. Annonçais-je, en arrivant à parler.

-Êtes-vous d'accord, Monsieur Malton ? Demandait l'agent de police.

-Oui. Disait-il.

-Jason, je sais que tu ne veut plus me voir, et que... tout est finit, désormais. Mais j'ai toujours été moi-même, avec toi. Je ne t'ai jamais mentis, et je ne t'ai jamais trahi. Je t'aime vraiment. Pleurais-je, en le regardant, et en chuchotant.

Il me regarda, les larmes aux yeux.

-Comment te faire confiance, Elizabeth ?

-Tu as toujours eu confiance en moi, Jason. Je t'aimerais toujours.

Jason ne me disait rien.

Les agents de police nous embarquèrent, sous mes cris, et mes pleurs.

-Je t'aimerais toujours aussi, Elizabeth. Chuchotait Jason, en l'a regardant partir.

Je regarda Daniel, gentiment.

Je voyais Iris, qui avait les larmes aux yeux, et je lui souriais, doucement.

Nous nous faisions escorter jusqu'à la voiture de police.

Ils séparèrent les filles, et les garçons.

Les Malton's arrivaient dehors, et nous regardèrent.

Michael Gamb ferma les portes de Slygry Ravhuff, pour qu'aucun élèves ne sortent, dans la cour.

-Ben ! Criait Suzy, en pleurs.

-Suzy ! Criait Ben, aussi, en pleurs, et en se débattant.

Nous embarquions tous, dans les deux voitures.

Je ne quittais pas Jason, et Tom, du regard.

Je pleurais, et je vis Jason les larmes aux yeux, mais il resta fort.

Et Tom, pleurait..

Je les regardais par la fenêtre, et ne les lâchas pas du regard.

-S'il vous plaît ! Criait Jason, en faisant un signe de la main, au chauffeur.

Il courra vers moi, et j'ouvrais ma vitre.

-Oui, Monsieur Malton ? Demandait le chauffeur.

-Deux minutes. Disait-il, au chauffeur.

Il se retourna vers moi, et se pencha.

Il m'embrassa amoureusement, une dernière fois.

Et je l'embrassa, aussi amoureusement, que je le pus.

Il me regardait, blessé.

Et je le regardais, en pleurs.

J'enlevais ma bague, et la mettait dans sa main.

-Prend cette bague. Je ne la mérite plus.

-Ce qui veut dire... que... tu ne mérites plus, mon amour, pour toi ? Demandait-il, perdu.

-Je...

-Garde-la. Disait-il, en la renfilant à mon doigt, tendrement.

-Je t'aime, Jason Malton. Disais-je, tendrement, en pleurant.

-Je t'aime aussi, Elizabeth Williams. Disait-il, tendrement, les larmes aux yeux.

- -

Bonjour ou Bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

J'aimerais connaître vos avis sur ce Chapitre ?

Je voudrais 100 commentaires, sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂

Je m'excuse vraiment, si ce Chapitre n'est pas bien écrit !

Je rappelle que c'est l'anniversaire de ma FanFiction, Messages Of Twitter, qui fête ses deux ans, aujourd'hui !

Et ce Chapitre, était le chapitre le plus important dans la deuxième année d'Elizabeth et de Jason !

J'espère que ce Chapitre vous a quand même plu !

Parce que moi, j'ai beaucoup aimé l'écrire !

Bonne journée ou Bonne soirée à toutes !

x.

LeaDream

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