Chapitre 42-18.
Bonjour ou Bonsoir tout le monde !
Comment allez-vous ?
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Suis-je vraiment obligée de demander cela, pour que vous commentiez ?
Surtout aujourd'hui, qui sont les deux ans de Messages Of Twitter !
Alors, commentez toutes !
Les deux Chapitres d'aujourd'hui sur Wanda et Jason, sont les plus importants de la deuxième année !
NE REGARDEZ PAS À LA FIN DU CHAPITRE, POUR VOTER, PARCE QUE C'EST LE PREMIER CHAPITRE LE PLUS IMPORTANT DE LA DEUXIÈME ANNÉE DANS L'HISTOIRE DE JASON ET WANDA, PARCE QUE J'AI MIS ONZE HEURES À ÉCRIRE CE CHAPITRE, S'IL VOUS PLAÎT, MERCI BEAUCOUP À TOUTES !
Ce Chapitre fait 19 020 Mots !
Bonne chance, et bonne lecture, à toutes !
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Slygry Ravhuff, Chapitre 42-18.
Lundi 8 Mai.
7 heures du matin.
Mon alarme sonnait.
Whoops !
-Baisse cette maudite alarme ! Râlait Iris, à moitié endormie.
-Je suis désolée ! M'exclamais-je, en me précipitant sur mon portable, et enéteignant l'alarme.
Iris s'était déjà rendormie.
Mes yeux me brûlèrent, dû aux larmes que j'avais versé, hier.
Je soufflais tristement.
Le sommeil m'apaise, m'empêchant de toujours penser à cette même personne.
La nuit étoilée me fait oublier mes journées désastreuses.
Le réveil... me rappelle la vie de merde que j'ai.
Vraiment... qui voudrait ma vie ?
Je me dépêchais de me laver, et de me préparer, avant que Rupert ne parte de Slygry Ravhuff.
Je pris la chemise de... Monsieur Malton, en passant.
Même si il ne veut plus jamais me voir, je l'a donnerais à Monsieur Gamb.
Je sortais du dortoir, et marchais jusqu'à la buanderie, et mettais la chemise dans une machine à laver.
Mes pensées étaient brouillées...
Je me dépêcha de rejoindre la cour, il ne faut absolument pas que je loupe Rupert !
Un sourire se dessina sur mes lèvres, quand je vis des cheveux roux, un peu plus loin.
-Rupert ! Appelais-je.
Il se retourna, et je m'avança vers lui, en le prenant dans mes bras.
-Bonjour Wanda ! Souriait-il.
-Bonjour ! Comment te sens-tu ?
-Nostalgique. Répondait-il, en regardant la voiture qui l'attendait. Et... toi ?S'inquiétait-il, en me regardant.
-Je vais bien. Grâce à toi ! M'exclamais-je.
-Je suis rassuré, je n'aurais pas pu te laisser, si tu aurais été triste.
-Merci de ton attention, Rupert. Souriais-je.
-Je crois qu'il est temps que j'y aille. Annonçait-il, en regardant le chauffeur, qui lui faisait des signes.
-Tu ne peux pas supplier ton père ?
-Mon père est vraiment très cool, mais... je ne pense pas qu'il veuille. Riait-il, doucement.
-J'aurais essayé. Riais-je.
-Tu vas me manquer, adoratrice d'Harry Potter ! S'exclamait-il, en me prenant dans ses bras.
-Toi aussi, tu vas me manquer, le garçon roux qui mange deux fois plus qu'un ogre !
-Haha. Riait-il. Sois forte, Wanda, promis ? Demandait-il, en me regardant.
-Promis. Souriais-je.
-Tiens. Disait-il, en me donnant un bout de papier, que je pris. C'est mon numéro de téléphone. Expliquait-il, en me souriant, embarrassé.
-Pourquoi rougis-tu ?
-Je ne veux pas que tu penses que...
-Que tu veux me draguer ? Oh non, ne t'inquiètes pas pour cela, j'ai vue comment tu regardais cette Emma. Souriais-je, amusée.
-Chut ! S'exclamait-il, en regardant autour de nous, si personne n'avait entendu, en rougissant.
-Haha, je suis désolée ! Tu étais souvent avec elle, et Daniel, non ?
-Oui, mais... Tu ne savais même pas qu'il était mon meilleur ami, hier ?
-Je vous avais vu, l'année dernière. Expliquais-je.
-Mais... tu n'es là, que depuis cette année ?
-Je... Réfléchissais-je. Quand je suis allée donner mon formulaire d'inscription ! Rattrapais-je, en souriant, gentiment.
-Oh, tout s'explique ! Riait Rupert.
-Ton chauffeur va faire une attaque, si tu n'y va pas maintenant, j'ai l'impression. Riais-je, en regardant la voiture de Rupert, au loin.
-Laisse-le faire une attaque. Riait-il, gentiment.
Je le regardais, et je sentais que j'allais craquer.
Les larmes me montèrent aux yeux.
-Oh...Wanda. Disait Rupert, doucement, en me prenant dans ses bras.
-Je suis pathétique. Riais-je, malgré les larmes qui coulèrent sur mes joues.
-Non, tu ne l'es pas. Tu es adorable. Souriait-il, en me serrant plus fort dans ses bras.
Et je le serra aussi.
-Ont se reverras, Miss.
-Je l'espère. Disais-je, en me retirant de l'étreinte.
Il prit ses bagages en main.
-C'est peut-être ridicule... Commençait-il. Mais je t'aime vraiment bien, Wanda. Riait-il.
-Je t'aime vraiment bien aussi, Rupert. Riais-je.
-À bientôt. Souriait-il, gentiment.
-Promis ?
-Promis.
-Alors, à bientôt. Souriais-je, tendrement.
Il commençait à marcher, et à s'éloigner.
Rupert se retournait, et s'exclama.
-À bientôt, fan d'Harry Potter ! Riait-il.
-À bientôt, glouton roux ! M'exclamais-je, en riant.
-Haha ! Riait-il, en montant dans la voiture.
La voiture démarra, et il baissa sa vitre, en me saluant, avec un adorable sourire.
Je le saluais aussi, une larme coulant sur ma joue.
Et la voiture, s'en alla, mais je ne quittais pas Rupert des yeux, et lui non plus, ne me quittait pas des yeux.
Puis, il était partit.
Je marchais jusqu'à ce banc, et m'écroula dessus, en pleurs.
Pourquoi est-ce que je m'attache si facilement ?
-Je savais que je te trouverais ici.
-Tom...
-Ton ami est partit ?
-Que... Commençais-je.
-Je vous ai vu ensembles, hier. Expliquait-il, en s'asseyant.
Je le regardais dans les yeux.
Ses yeux si bleus.
-Je suis tellement désolée, Tom.
-Pour... pourquoi ? Demandait-il, en me regardant.
-Pour tout. Pour avoir en quelques sortes, briser ta famille. Briser ton adolescence. J'aurais dû mourir dans cet hôpital, quand je me suis... moi-même poignardé.
-Non, Wanda. Ne dis plus jamais cela... Même... même si je te l'ai dit. Je n'étais plus moi-même... à ce moment-là. Disait-il, la gorge nouée.
-Tom... regarde ma vie, maintenant. Je ne fais que pleurer, depuis que je suis arrivée à cette école.
-Tu veux dire... depuis que tuas rencontré mon père. Corrigeait-il, froidement.
Je me mettais à pleurer, encore.
-Tom... je...
-Je ne suis qu'un con. Soufflait Tom.
-Non, j'ai aimé la personne, que je ne devais pas aimer, Tom.
-Est-ce que... tu le regrettes... de nous avoir rencontré ?
-Je...
Flashback !
Je rangeais tous mes livres de cours, qui étaient restés au fond de mes bagages, depuis que j'étais arrivée.
J'entendais des personnes arrivés vers moi, avec des rires arrogants, et un garçon me poussa violemment contre le sol.
La seule chose qu'il ne savait pas à mon propos, est qu'il, ne faut, surtout pas, m'énerver.
-Alors, on ne tient pas sur ses jambes la nouvelle ? Plaisantait ce dernier, arrogamment.
Je lui lançais le livre que j'avais dans les mains en plein dans la tête, et répartis-je, sur le même ton :
-Alors, on pratique la lévitation des objets ?
-Tu-! S'énerva-t-il.
-TOM ! Criait quelqu'un,d'une voix extrêmement énervante, et aigu.
--
-Ne serait-ce pas notre chère et tendre, Blodwyn ? Demanda Monsieur Malton, arrivant de nulle part, et ne devant certainement pas être là.
Mes muscles se tendirent, et j'eus des frissons.
Je hais la présence de cet homme plus que tout au monde.
-Qu'est-ce que vous me voulez, Monsieur Malton ? Demandais-je, en appuyant sur son nom pour l'énerver.
-C'est... juste, une petite visite de courtoisie. Disait-il, arrogamment.
-Ah oui ? Une visite ? Et en quel honneur ? Vous n'êtes personne ici, Monsieur. Répondais-je, méchamment.
--
Fin du Flashback !
-Je ne le regretterais jamais... Commençais-je.
Flashback !
Une femme arrivait vers moi à l'allure chaleureuse, et froide en même temps.
Elle s'avançait vers moi, et demandait :
-Êtes-vous Blodwyn ? Je suis désolée mon mari a eu un empêchement de dernière minute avec son travail, alors il a dû rentrer avec Tom, et repartir aussi vite. Mais il m'a dit qu'une élève vivrait avec nous pour les vacances. Me souriait-elle, doucement.
-Oh d'accord. Vous devez être, Madame Malton ?
Elle est si douce et gentille, tout le contraire de son mari, et de son fils.
-Oui. Venez avec moi. Me souriait-elle, en acquiesçant.
Je l'a suivi, en faisant connaissance avec elle.
-Je ne pense pas que mon mari trouverait cela correct, mais vous pouvez m'appelez Helen, quand nous ne sommes que toutes les deux.
-Êtes-vous sûre ? Et vous, vous pouvez me tutoyez, si vous le voulez. Je suis beaucoup plus jeune que vous.
-Oui, il n'y a aucun problèmes à cela. Je le ferais. Quand je ne serais quand vot... ta compagnie. Tu pourras me tutoyer aussi, si tu le souhaites. Se reprenait-elle, ensouriant.
-Merci. Je vous tutoierais petit petit... si j'y arrive. Disais-je, tout en marchant.
--
Une femme de ménage arriva et débarrassa Helen de son manteau, et voulu prendre le mien, mais je l'arrêta :
-Je peux mettre moi-même mon propre manteau sur un porte-manteau. Merci beaucoup. Souriais-je.
-Oh, excusez-moi... mais êtes-vous sûre ? Demandait-elle, inquiète.
-Oui, bien sûr, où est-ce que je dois le mettre ?
-Venez. Suivez moi.
--
Fin du Flashback !
-Je ne sais pas, comment serait ma vie, sans vous... Continuais-je, nostalgique.
Flashback !
-Entrez, entrez. Disais-je, chaleureusement.
-J'ai pensé qu'une petite aide ne vous serait pas inutile... Proposait Berty en se reculant, laissant voir deux autres femmes de ménages beaucoup plus jeunes que celles que j'avais croisé, l'air sympathique.
-Oh... merci beaucoup ! M'exclamais-je, heureuse.
-Je m'appelle Lily, enchantée Madame.
-Et moi, je m'appelle Rose. Ravie de faire votre connaissance.
-Oh non,pas autant de politesse. Appelez-moi Blodwyn. Et vous devez avoir six ans de plus que moi... tutoyez-moi. Et comme nous vivons dans ce même calvaire ! Soufflais-je, tristement.
--
-Arrêtes de crier sur Berty, et par pitié, lâche ce croissant... je meurs de faim.
-C'est une femme de ménage ! Et si, je fais... ça ? Demandait-il, en croquant dans le croissant.
Tuez-le !
-Non ! M'exclamais-je.
Il continua de manger le croissant, sous mes yeux, malicieusement.
-Ce croissant aura au moins fait un heureux... Soufflais-je.
-Ont est censés être ennemis. S'étonna Tom.
--
-Je ne sais même pas... je ne sais même pas, si je pourrais vivre, sans vous, tous. Pleurais-je.
Flashback !
-Qui vous a donné la permission de toucher à mon piano ?! Criait Monsieur Malton, en s'énervant.
Je pris une respiration, et me retourna, énervée en séchant mes quelques larmes, puis répondis doucement, ne voulant pas créer de conflit, comme hier :
-On ne vous a jamais dit qu'il ne fallait surtout pas couper quelqu'un dans son morceau ?
-Partez. Partez d'ici, et vous aussi. Dit-il, plus calmement, avec toujours une pointe d'énervement, en me regardant, et en regardant Berty.
Berty s'exécuta le plus rapidement possible, de peur de se faire virer.
-Je comptais partir d'ici, en finissant ce morceau. Disais-je, toujours assise.
Malicieusement, je finis les deux dernières notes, et me leva.
-Vous torturerez quelqu'un en jouant comme cela. Vous n'avez aucune émotions en jouant. Vous n'êtes qu'un... robot.
-Alors nous devrions jouer pareillement. Si je n'ai aucune émotions, alors vous, comment pouvez-vous jouer en étant autre chose, qu'un robot ?
--
Quelqu'un me prit dans ses bras, et je fus surprise que ce soit des bras masculins, à la force.
-Mon père n'est définitivement qu'un con.
-On fait la Paix ? Proposais-je, toujours en pleurant, embrouillée.
-J'attendais que tu me le demandes... Disait-il, doucement.
-Tu n'es pas comme ton père, Tom. Tu as un cœur.
--
-Cette maison manque vraiment de fleurs.
-Ah oui ?
-Il n'y en a aucune, c'est assez triste.
-Lesquelles sont tes préférées ? Demandait Tom.
-Les roses qu'elles soient rouges, blanches, jaunes, oranges-corail, roses, bleues ou noires.
-C'est tellement gnan-gnan. Disait Tom, en se moquant de moi, gentiment.
-Peut-être, mais ce sont les plus belles fleurs.
--
-J'en oublierais jamais cette date. Imagine que, quelqu'un t'offre un bouquet, avec toutes les sortes de roses ?
-Je dois t'offrir un cadeau, ton anniversaire est déjà passé... Je pleurerais, incorrigiblement fan de roses. Riais-je. Ce doit être tellement... éblouissant. Magnifique.
--
-Tom ?
-Non, non... rien.
-Tu n'as réellement jamais eu quelqu'un, à part tes bourreaux de services à l'école, qui te servent d'amis ?
-Aussi bizarre, que cela puisse paraître, j'ai beaucoup d'amis... pour la fortune de mon père. Mais Louis, est vraiment un bon ami, et fiable de plus. Mais je suis fils unique, alors...
-Je veux bien être ta sœur. Riais-je, en plaisantant, gentiment.
Tom me regarda,touché.
Il caressait ma joue, et une larme tomba de son œil droit.
-Ce serait le plus beau cadeau que je n'aurais jamais eu.
--
-Je ne vous remercierais... jamais assez. Même, dans les plus mauvais moments. Souriais-je, en pleurant.
Flashback !
J'enlevais mon bandeau et... une larme roula sur ma joue.
Je m'approchais un peu plus du miroir pour me détailler, et quand Lily me vit, elle restait éblouie.
-Vous êtes magnifiques. Complimentais-je.
-C'est vous qui êtes magnifique, oui ! S'exclamait Berty, en plaisantant.
-Berty a raison. Souriait Rose.
-Plus que raison. Sourit Lily, tendrement.
--
Il me prit dans ses bras tendrement, et me dit à l'oreille, de sa voix normal :
-De la haine à l'amour, il n'y a qu'un pas, c'est cela ?
-Oui... ?
-Je pense ne jamais avoir dit ça dans toute ma vie, et je le réservais pour... tu sais qui. Mais... Je t'aime, ma sœur.
-Jet'aime aussi, Tom. Souriais-je, une larme coulant sur ma joue.
--
Monsieur Malton, ainsi que Tom, arrivèrent.
Oh non...
Ils continuaient à s'engueuler.
Je me levais, et pris silencieusement, le couteau.
-Vous... personne ne me tuera, à part, moi-même ! Criais-je, complètement perdue et détruite, à Jason Malton.
Ils s'arrêtent de s'engueuler, et me fixaient.
Puis Tom vit le couteau, entre ma main droite.
Il se mit à pleurer.
-S'il te plaît Blodwyn. Pose ce couteau... ne... m'abandonne pas... pense à ta famille... à Evanna, Matthew... Lionne. Dit-il, doucement, en s'approchant.
-Ne t'approche pas, Tom. C'est déjà assez dur. Pleurais-je. Ma famille n'existe plus ! Criais-je, en pleurs.
-Posez-cela. Ordonnait Monsieur Malton, en me regardant.
-Vous en serez tellement triste, si je le pose...
-Pose ce couteau... Pleurait Tom.
-Vous n'oseriez même pas. Dit Jason, froidement.
-Dis à Evanna, Matthew et Lionne, que je les aimes...
-Non... S'il te plaît... non... ! Je t'aime ! Criait Tom, en pleurant.
-Je t'aime Tom ! Criais-je, avant d'enfoncer le couteau aussi près de mon cœur, que je le pus.
Un cri de rage, se fit entendre, quelqu'un qui souffrait le martyr, comme si, il ressentait exactement la même douleur, que je m'étais infligée.
Tom.
Legarçon tomba sur ses genoux, détruit.
Je tomba lentement, mais quelqu'un courra, et me rattrapa.
Je ne pus ouvrir qu'une fois les yeux, pour me rendre compte, que c'était des yeux bleus.
Différents de ceux de Tom.
Et des cheveux marrons.
-Blodwyn !
-Mon...sieur... Mal... ton... ?
-Ne ferme pas les yeux. Réveille toi. Ordonnait-il, blessé.
-Ja...son...
-Petite sotte... Réveille toi...
--
-Ma...Malton...
Tom se retourna brusquement, les larmes de joies à ses yeux, il avança rapidement vers le lit :
-Tu es... tu es là ? Reparle moi, je t'en supplie. Prouve-moi que je ne suis pas fou... s'il te plaît.
-Quelle... belle façon... de fêter ses... quinze années... dans un hôpital... avec toutes ses perfusions... et ses bruits de machines... insupportables. Souriais-je, arrogamment, mais fatiguée.
-Oh bordel, c'est bien toi... tu viens de dormir un mois, et c'est tout ce que tu trouves, à dire ? Rit-il, plus qu'heureux, les larmes de joies coulant sur ses joues.
-J'avais promis... de dire deux choses... si je me réveillais.
-Dis-les alors.
-Merci... et... je t'aime Tom.
Puis les machines se mirent à clignoter produisant un énorme vacarme dans toute la chambre, et je perdis conscience.
-NON ! NON ! S'il te plaît... ! Pleurait-il, en s'arrachant les cordes vocales.
--
-J'aimerais être au manoir, pour dire tout cela, mais... il faut que ça sorte... Pleurais-je.
Flashback !
Tom courra, littéralement, jusqu'à la chambre, de la jeune fille.
Il n'attendit pas deux minutes, qu'il l'a prit dans ses bras, pour sentir sa présence.
-Tu es là... tu es là...
Je caressa les cheveux de Tom, doucement, et murmura :
-Et je resterais toujours à tes côtés, Tom.
-Et... je t'aime aussi. Tu ne peux pas savoir à quel point, je t'aime.
--
-Ils ont... dû... l'a débranché. Murmura Tom, peiné.
-Tom ! Je croyais que vous vouliez vous battre pour elle ! S'exclamait Berty.
-Je... je n'avais pas le choix. Pleurait-il, faussement.
Tom ne m'a jamais fait part, de ses talents de comédien !
-Elle avait confiance en vous.
-Je ne pouvais pas l'a laisser souffrir !
-Elle n'aimerait certainement pas vous voir vous engueulez. Disait Helen.
-C'est vrai que j'ai un peu mal à la tête. Disais-je, en faisant mon entrée.
--
-Pouvez-vous m'aidez à planter quelques roses dans le jardin, et à en mettre quelques unes dans le manoir, s'il vous plaît ?
-Avec plaisir ! Souriait Lily.
J'alla me changer pour planter les roses, je mis une salopette avec une chemise blanche, et des bottes.
Sans oublier les gants.
Comme à la campagne !
Elles m'aidèrent à transporter certaines roses, et j'allais chercher une pelle et un arrosoir.
Cela partit vite en carnage, Lily jetait de la terre sur moi avec la pelle, et je décida de l'arroser d'eau, en rigolant.
-Tu as osé ! S'exclama Lily, outrée, et riant aux larmes.
Et innocemment, Rose nous propulsa par terre, parce qu'elle était aller chercher le tuyau d'arrosage qui avait une bonne pression.
Je regardais Lily malicieusement, et elle me fit un clin d'oeil.
Puis Rose, fière d'elle, ne vit pas quand Lily et moi tombèrent sur elle, la plaquant au sol.
Et pour se défaire de notre emprise, elle nous jeta de la terre en plein visage, puis courra en riant.
-Hey ! M'exclamais-je, m'étant fait avoir.
-Il faut l'a rattraper !
--
-Merci Monsieur Malton ! Disais-je, en relevant la tête vers lui.
-Mais...?! S'exclamait Jason Malton, ayant une lueur de surprise, s'emparant de son regard. Vous...Qu'est-ce que... Tom m'a dit que... Murmurait-il, et il ne dit plus rien pendant quelques secondes, comme paralysé.
-Votre pire cauchemar est revenue hanter votre manoir. Dis-je, en serrant les dents.
-Commentcela se fait-il... ?
--
Fin du Flashback !
-Je suis tellement désolée... d'être tombée amoureuse de ton père... Tom. Pleurais-je, doucement, en le regardant.
Flashback !
-Pourquoi n'arrêtez-vous pas, de me provoquer ?
-C'est la meilleure façon pour moi, de vous montrer que vous ne me rabaisserez plus jamais, Monsieur Malton.
-Je les ferais virer.
-S'il vous plaît non, tout est de ma faute. Pensez-vous vraiment, que je ne les ai pas provoqués ? C'est moi qui leur ai demandé de jouer le jeu. Non mais, vraiment ! Qui voudrait d'une fille, comme moi ? Moche et grosse, en plus de cela ! Riais-je, me rabaissant toute seule.
-Ne dites plus jamais cela devant moi, petite sotte... Ordonnait-il,froidement, en partant.
Et je me laissa glisser contre la haie, pour pleurer, encore...
Puis je tomba dans les bras de Morphée.
--
Fin du Flashback !
-Je dois sûrement, te blesser, énormément, quand je te dis cela... Soufflais-je, les larmes ne s'arrêtant pas.
Flashback !
Monsieur Malton me regarda une dernière fois, et s'en alla.
Tom me prit sur ses épaules.
-Non, Tom, lâche-moi ! M'exclamais-je, en tapant, son torse, avec mes pieds.
-Ah oui, tu es sûre ?
-Oui !
Puis il sauta dans la piscine, avec moi, dans ses bras.
Nous remontâmes à la surface.
Il me prit dans ses bras, et je nageais avec lui en même temps.
Des perles d'eau coulaient de ses cheveux, et je souris doucement.
-Pourquoi souris-tu ? Demandait Tom, en me souriant, gentiment.
-Je me rends compte que j'ai de la chance de t'avoir... Confiais-je, en souriant, gentiment, aussi.
Il resserra l'étreinte, et me chuchota.
-Je t'aime, Blodwyn.
-Je t'aime aussi, Tom.
Lily et Rose firent une bombe ensembles, et nous éclaboussèrent.
Elles revinrent à la surface, et rigolèrent.
-Hey ! M'exclamais-je, avec Tom, en rigolant, avec Lily, et, Rose.
--
-Merci beaucoup pour tout. Souriais-je.
-Je t'en prie ! Prête ?
-Prête! M'exclamais-je.
Elle prit ma main, et je me laissa guider.
Je l'arrêta deux minutes dans ma chambre, et lui demanda :
-Tu peux nourrir Malfoy, mon poisson, s'il te plaît ? Demandais-je, gentiment. Je ne veux pas m'inquiéter, dans la soirée. Expliquais-je, gentiment.
-Pas de soucis ! Dit-elle, et j'entendis le bruit de ses pas, et d'une boîte se faisant secouer.
-Merci beaucoup !
-De rien !
Puis Scarlett reprit ma main et me guida jusqu'aux escaliers, mais je lui demanda, en marchant.
-Mais, au faite... tu fais quoi comme travail, dans le manoir ?
-Tu ne me croirais, certainement pas.
-Dis-le moi !
-Je suis garde du corps.
-Sérieusement ? Je t'admire pour rester la moitié de ton temps avec Monsieur Malton. Tu es courageuse. Riais-je, doucement.
-Ce n'est pas si terrible.
-Ah oui... ?
-Àvrai dire... c'est comme un membre de la famille et c'est pareil pour lui, envers moi. Rit-elle. Ont se connait depuis, qu'ont est enfants.
-Wow. Et tu n'as jamais été...
-Intéressée par lui ? Non, à vrai dire, il est plus comme un frère pour moi. Dès son plus jeune âge, il a eu une vie compliquée. Et puis, il est bien trop intéressé, par... Se stoppait-elle. Helen.
--
Fin du Flashback !
-Je réalise tellement de choses, maintenant. Disais-je, à Tom, en le regardant.
Flashback !
Je fis un tour dans la cuisine pour trouver Berty, Lily et Rose, et elles me complimentèrent toutes, et me firent la bise.
Et nous partions tous en direction de la limousine, Scarlett qui devait nous protéger y compris.
-Vous êtes très élégante, Mademoiselle. Complimentait Alfred.
-Merci beaucoup Alfred !
Et nous arrivions vers 20h.
Tout le monde sortit de la limousine, Alfred y comprit.
Mais Scarlett me retint par le bras, et je me rassis.
-Oui ?
-J'ai trouvé cela dans ta chambre, vers ton poisson, et j'ai pensé que cela aurait pu être magnifique avec ta tenue. Suggérait-elle, en sortant une boîte en cuir verte, de taille moyenne.
Je pris la boîte, et fronçais les sourcils.
Je l'ouvrais.
Oh putain.
C'était un collier avec... de l'émeraude, de l'or blanc... et des diamants incrustés... ?
Le pendentif était un serpent.
-Ce n'est pas à moi ! Je ne peux pas ! Ce collier doit coûter une fortune, Scarlett !
-On a qu'une vie.
-Mais...
-Mets-le. Tu feras des heureux.
-Comment le sais-tu ?
-Je sais, tout, sur tout... ! S'exclamait-elle. dans la famille Malton. Chuchotait-elle, très silencieusement et doucement, mais, je l'entendue quand même.
Qu'est-ce que Scarlett a voulu dire...?
-D'accord... aide-moi, s'il te plaît.
Scarlett me sourit, et mit mon collier.
-Merci beaucoup, Scarlett !
-De rien, Blodwyn !
--
-Ne me lâche pas, je t'en supplie Tom.
-Ne stresse pas. Tu es avec moi. À part, si les amis de mon père m'accostent, et m'expliquent la vie. Là, par contre, tu peux prendre tes jambes à ton cou, et t'enfuir. Me taquinait-il.
-Je vais faire mon entrée, seule ?
-Non, tu seras avec Scarlett. Je suis obligé de faire la mienne avec... ma mère. Soufflait-il, agacé.
-Et si je te perd dans la foule ? Stressais-je.
-Je ne peux rien te promettre, appelle-moi, si tu es perdue, d'accord ?
-D'accord.
-Je sais, que tu fais des crises de panique, assez vite. Mais, si tu en fais une, cours aux toilettes, et rafraîchis un peu, ton visage. Et surtout, concentre toi sur ta respiration. C'est le plus important. Tu me le promets ?
-Je te le promets.
--
Fin du Flashback !
-Je dois être ridicule, mais...
-Non, continue... Disait Tom, ému.
Flashback !
Comment a-t-il pu toucher l'État ENTIER, de la Silicon Valley, à lui tout seul ?!
Cette blague est clichée, mais je m'en fous !
Monsieur Malton arriva rapidement dans les toilettes, et dès que je le vis, j'eu un élan de courage, je courra vers lui, et le prit dans mes bras.
-Père !
-Comment osez-!
-Jouez le jeu, jouez le jeu, s'il vous plaît ! Chuchotais-je.
-Alors Jasou, c'est vraiment ta fille ? Non, hein. Regarde là, c'est une gamine sans cerveau, sans goût vestimentaire, grosse, et laide. Et ce collier, est hyper horrible !
-Tu dis cela parce que le collier a coûté 220 000 livres sterling ? Ou parce que tu m'harcèles tous les jours, parce que cela fait deux ans que tu veux m'épouser, alors que je ne t'ai jamais parlé...? Ah si, excuse-moi, je t'ai juste dis « Bonjour » un matin, dans un café. Dit-il, froidement, mais je reconnus une pointe d'arrogance, et de malice.
--
-Mesdemoiselles, si cela ne vous dérange pas, j'ai mieux à faire que de discuter avec vous. Et arrêtez de vous attaquer à plus important ou plus jeune que vous, la jalousie tue. Ma fille, je t'en prie. Dit-il, en me faisant passer.
Et à peine sortis des toilettes, il reprit son vrai visage.
-Je ne sais pas ce qui m'a empêché de vous gifler. Comment avez-vous osez, sauter dans mes bras... ?
-Je ne contrôle pas mon cerveau, et mes gestes en même temps.
-Ne recommencez plus.
-Même si votre manoir brûle, et que je n'ai pas d'autres choix ?
-Je vous laisserai dans les flammes. Dit-il, malicieusement.
-Ce n'est pas putement correct...
-Votre langage. Mon manoir ne brûlera pas.
--
Fin du Flashback !
-Cela me fait tellement de mal, Tom. Je suis... perdue. Disais-je, la gorge nouée, les larmes transformées, en fontaine.
Flashback !
-Tom... ? Demandais-je.
-Oui ?
-Peux-tu dormir avec moi, s'il te plaît ?
-Je serais toujours là pour toi, alors je suis d'accord.
-Merci beaucoup. Souriais-je, tendrement.
--
-J'ai froid. Fis-je, fatiguée.
Tom vint se glisser sous la couette avec moi, et je me blottis contre lui, pendant qu'il caressait mes cheveux.
-Bonne nuit Tom... Je t'aime. Disais-je , endrement, en lui faisant un bisous sur la joue.
-Bonne nuit Blodwyn, Je t'aime aussi. Disait-il, aussi tendrement que moi, puis il me fit un bisous sur le front.
Et nous nous endormions, dans les bras, l'un de l'autre...
--
Minuit !
Je me réveilla dans le début de la nuit, n'arrivant plus à dormir.
Tom ronfla doucement.
Je souris tendrement, en le regardant dormir.
Je sortis de ma chambre, doucement, sans le réveiller.
Je descendais les escaliers, tranquillement, et alla me faire un thé à la cuisine.
J'entendis une mélodie venant du salon, ce qui m'intrigua, alors, mon thé dans la main, je marchais jusqu'au salon.
Monsieur Malton était en train de jouer au piano.
Iljouait une mélodie que je connaissais très bien.
Berty ne mentait pas, quand elle disait que, c'était un très bon pianiste.
Je le regardais jouer pendant tout ce temps, et il finissait son morceau.
J'applaudissais doucement, et il releva la tête, surpris.
-Que faites-vous là ? Demandait-il.
-Je n'arrive pas à trouver le sommeil. Expliquais-je, en m'avançant.
Il me regarda de haut en bas, avant de secouer la tête.
-C'est une habitude chez vous, de vous promenez en petite tenue, chez des inconnus ?
-Tom est comme mon frère. Je m'entends bien avec Helen, votre femme. Alors, je ne suis pas chez des inconnus.
-Ce qui veut dire que je suis un inconnu... Dit-il, en baissant la tête.
-C'est vrai que c'est mon genre de sauter dans les bras d'un inconnu, et de le faire passer pour mon père. Plaisantais-je.
Monsieur Malton me regarda, et alluma la télé, pour me montrer les nouvelles.
L'homme louche était mort.
Tant mieux !
-Il ne méritait que cela. Disais-je.
Puis il coupa la télé.
-Merci beaucoup, Monsieur Malton. Ajoutais-je, en le regardant.
-Pourquoi... ?
-C'était vous pour la mort mon ancien agresseur, non ? Et là, vous m'avez sauvé d'un autre sombre moment, auquel je n'aurais pu survivre. Alors merci beaucoup.
-Comment le savez-vous ?
-Cela me semble logique... Répondais-je, en m'asseyant, à ses côtés, au piano. C'était une très bonne idée de cadeau d'anniversaire.
Un silence se fit...
-Pourquoi ? Demandais-je.
-Il n'avait pas à vous faire cela.
-Le vrai Monsieur Malton, n'aurait pas payé pour tuer mon agresseur, ne m'aurait pas rattrapé, quand je me suis plantée ce couteau, n'aurait même pas versé une larme, à ce moment.
-Ne serait pas aller en Turquie, pour vous cherchez une rose noire... Continuait-il, le regard dans le vide.
-Oh, je ne savais pas pour cela... Merci beaucoup... Le vrai Monsieur Malton ne me poserait pas dix milles questions par jour, ne me dirait pas de me changer, non, au contraire, il critiquerait mon corps, et mon visage. Et il ne m'aurait pas sauvé, d'un deuxième agresseur. Pourquoi... ?
-Cela a commencé quand j'étais petit.
Mon père m'a toujours rejeté, toujours battu.
Il m'a élevé à la dur.
Comme un militaire.
Ma mère, elle, ne faisait rien, elle ne me prêtait guère attention.
Alors, j'ai voulu rendre fiers mes parents en réussissant à devenir ce qui je suis aujourd'hui.
Une riche ordure...
Mais dès que je suis né, j'ai appris à n'avoir aucune émotions, aucune pitié.
J'ai perdu toute mon enfance, et mon adolescence à cause d'eux.
Je ne pouvais pas avoir ma première cuite, mon premier baiser comme tous les autres garçons, c'était à douze ans, à mon époque.
Je ne pouvais même pas sortir de chez moi quand je n'avais pas classe.
Je ne pouvais pas avoir d'amis non plus.
Je devais apprendre à vivre seul.
J'ai étudié tous les soirs, toutes les nuits pour eux.
J'ai pu sauter plusieurs classes grâce ou à cause de cela.
Et quand j'ai eu mon diplôme à quinze ans, du coup, ils ne sont même pas venus, et ont coupés les ponts avec moi sans aucunes raisons...
Alors j'ai commencé à travailler très jeune.
J'ai rencontré Helen, et... elle est tombée enceinte.
Elle m'aimait à la folie, mais moi j'étais un peu réservé quant à mes sentiments pour elle.
Je ne pouvais pas l'abandonner, je ne pouvais pas reculer.
J'avais des principes.
À cet époque c'était un malheur d'être enceinte à 15 ans, et ça l'est toujours !
Mais j'en suis content après tout.
C'est surtout grâce à ses parents qui nous ont pas mal aidés.
Et dix ans après,vers mes 25 ans, j'apprenais qu'ils étaient morts.
Je m'en fichais un peu...
Quand Tom est né...
Ah...Tom. Sourit-il.
Ce garçon est un génie.
Je lui lisais souvent des histoires, quand il était un enfant.
-Comme Harry Potter ? Souriais-je, malicieusement.
-Comme Harry Potter. Soufflait-il, en me regardant, gentiment.
-Je me suis toujours plus occupé de lui, qu'Helen l'a fait.
Mais, un jour tout a disjoncté dans ma tête.
J'ai perdu toute une moitié de vie à cause de mes parents.
J'ai appris que mes parents n'étaient en faite, pas mes vrais parents.
Mais c'était trop tard,pour rencontrer les vrais, parce qu'ils étaient morts deux ans avant que je l'apprenne.
Alors, je me suis renfermé.
Ce que je ne voulais pas qui arrive, arriva.
J'ai traité mon fils, comme mon faux père m'a traité.
Non, je ne l'ai jamais frappé comme mon père le faisait pour moi... Et je ne voulais pas non plus te frapper.
Mais... je le traitais d'incapable.
Je lui ai appris qu'il ne fallait se fier à personne, et qu'il fallait rabaisser les gens.
Il était devenu comme moi...
Une horrible personne.
Et je m'en veux toujours autant à vrai dire...
Je n'ai jamais trompé Helen, même avec ce que vous avez pu apprendre.
Et... je... je suis tellement désolé pour tout ce que j'ai pu vous faire... depuis le début. Dit-il, doucement, une larme coulant sur sa joue, en me regardant.
J'ai su que vous alliez habitez, dans mon manoir...
Il n'a jamais eu de vie depuis qu'il est né, il n'a jamais profiter de la vie, il n'a jamais été libre de choisir pour lui.
Il a dû se forcer de rester pour aider Helen dans sa grossesse et pour ne pas que Tom naisse sans père.
Je pense qu'après tout ce temps, lâcher tout cela à quelqu'un doit être dur mentalement.
Et je disais, qu'il n'avait pas de cœur... ?
Je le regardais, attristée, sans aucunes pointe de haine.
-Et...
Vous étiez agaçante, arrogante, de fort caractère...
Mais aussi...
Fragile, détruite, et...forte.
Cela m'a rendu fou de vous voir rire avec Tom...
Je n'avais pas ris avec lui depuis si longtemps, et vous, vous parveniez à le prendre dans vos bras, à rire avec lui,
À faire de lui, quelqu'un d'extraordinaire.
Vous avez fait toutes ces choses que je n'ai pas pu faire.
Mais... mais maintenant je vous remercie pour tout.
Je sais que vous me haïssez.
C'est à cause de moi que vous vous êtes planté ce couteau en plein cœur... Dit-il, en relevant la tête vers moi, les yeux remplis de larmes, et de remords.
Inconsciemment, je pris sa main.
Je m'en fous complètement de mes actes, à ce moment-là.
-Mais...
Je ne savais pas que je vous faisais du mal pour repousser quelque chose depuis le début.
J'espérais que vous partiez de ce manoir, en me comportant comme d'habitude.
Parce que je voulais repousser tout cela.
J'étais énervé parce que...
J'avais réussis à fermer tout ce qu'il y'avait de bien en moi, j'avais réussis à ne plus avoir de cœur, à ne plus aimer.
Mais il a fallut que vous arriviez dans ce collège, et qu'en plus je vous héberge.
J'ai payé la police, parce que votre agresseur n'avait pas à vous toucher,
Personne n'avait à vous touchez et à vous faire du mal.
Je vous ai rattrapé, parce que je ne voulais pas vous partiez.
J'ai versé une larme parce que tout était de ma faute, et parce que je ne voulais pas vous... te perdre.
Quoi... ?
Je...
-Je te posais des questions sur qui j'étais à tes yeux, parce que cela m'importait.
Le premier soir où tu es venue,et que tu as sortis ton discours, je me suis énervé, parce que tu avais raison du début à la fin.
Il y'avait le piano aussi...
Je n'avais plus entendu cette mélodie jusqu'à ce jour dernier.
Tu joues tellement... bien.
J'avais arrêté d'en jouer quand j'ai disjoncté.
J'ai entendu ta conversation avec Tom sur les roses, à vrai dire, j'ai tout entendu...
J'ai même entendu quand tu as dis que tu aimais Matthew...
C'était moi les roses jaunes, pour m'excuser de t'avoir fait du mal deux fois avant ce moment... Soufflait-il, une larme coulant sur sa joue.
J'ai même entendu quand tu as dis à Tom que tu l'aimais le soir, avant ton agression, et j'ai tout renversé dans mon bureau.
Je t'ai pris pour une fille sans cœur, à aimer deux garçons.
Mais, j'ai réalisé que Tom n'était qu'un frère, pour toi.
Et Matthew, un meilleur ami.
Je suis même content de savoir que Tom aime quelqu'un à son âge, il n'a pas eu la chance que j'ai eu.
Tu... étais magnifique dans ta robe rouge.
Tu l'étais aussi ce soir.
Même plus.
Tu ne peux pas savoir à quel point j'étais heureux de revoir ton visage hier,
Je me suis retenu de te prendre dans mes bras.
Je te disais de te changer parce que je ne voulais pas que quelqu'un d'autre te voit.
Je ne voulais pas que quelqu'un voit la perle rare que tu es.
Et parce que, j'aurais sûrement viré la personne qui t'aurais trop regardé de près. Rit-il, doucement, en regardant le sol, et en rougissant, adorablement.
C'est la première fois que je le vois rire...
Qu'il est aussi paisible avec lui-même.
Et qu'il me parle si calmement.
Je... Non...
Je viens de comprendre pourquoi je suis comme cela.
Mon cœur ne doit pas.
Il faut que je continue à me retenir d'ouvrir mon cœur.
-Et quand tu as voulu me provoquer, hier soir...
Quand tu as dit au serveur que tu trouvais cela ridicule une relation avecune différence d'âge...
Je n'arrivais plus à respirer normalement.
C'est moi qui t'ai porté jusqu'à ta chambre hier soir...
Et qui t'ai défais de ta robe.
Je promets que je n'ai rien vu.
Enfin... je n'ai plutôt rien regardé par respect.
Je ne me permettrais jamais, d'ailleurs.
C'est moi qui t'ai acheté ce collier, et il a vraiment coûter 220 000 livres sterling, mais je m'en fous, ce n'est qu'un détail.
Quand tu m'as demandé, si tu pouvais sauter dans mes bras, si un jour mon manoir est en feu.
Je ne te laisserais jamais, dans les flammes.
Et s'il te plaît, si tu as l'occasion de sauter dans mes bras...
Fais-le.
Je suis désolé de ne pas t'avoir défendu ce soir...
Et je t'ai défendu devant l'homme dans les toilettes, parce qu'à partir de ce soir, je me suis fais la promesse que personne ne te toucherait.
Et que je ne voulais pas que tu partes une deuxième fois. Dit-il, en pleurant doucement.
Par réflexe, je me mis à essuyer ses larmes.
Bordel...
-Je pensais que c'était juste à cause du fait que je n'arrivais pas à parler à mon fils, que j'étais énervé quand je te voyais rire avec lui, lui dire que tu l'aimais, et le prendre dans tes bras.
Et qu'il soit toujours là pour toi.
Alors que moi je ne pouvais pas.
Mais non...
C'était aussi à cause du fait que je soit jaloux.
Même quand je t'ai vu partir le soir de ton agression, de la fenêtre de mon bureau, juste après que j'ai tout détruis, je t'ai vu prendre Tom dans tes bras, et je sais que tu as vu que j'étais énervé, vu que je suis partis en remettant mon rideau.
Je suis jaloux.
Et je ne t'insulte pas de grosse ou de laide, parce que tu es tout simplement aussi magnifique que ton corps l'est.
Je le sais parce que je t'ai vu en maillot de bain, si tu te le demandes.
Il y eut un silence et je pris la parole, pensant que c'était lui, la personne sur un million qui pouvait découvrir mon passé.
-Dès que j'ai commencée à aller à l'école, mes professeurs m'insultaient d'incapable, les élèves me frappaient et m'insultaient de toutes les insultes de la sorte.
Et mes parents n'ont jamais fait quelque chose pour cela.
Des personnes m'envoyaient des roses noires pour me souhaiter une bonne mort parce que j'avais blessée quelqu'un.
Et ce quelqu'un était mon grand-frère, James.
Je lui ai ruiné la vie.
J... j'étais dans la voiture avec sa copine... le soir où il voulait l'a demandé en mariage... et... il y a eu un accident.
Elle n'est pas morte mais... à cause de moi ! Explosais-je, en larmes, et Jason mit sa main sur mon dos, pour me réconforter.
À cause de moi, elle est dans un fauteuil roulant, et elle a quitté James parce que... qu'elle m'a dit qu'elle ne voulait pas sortir avec lui parce qu'il a une sœur complètement folle... elle a dit que j'avais fait... exprès parce que j'étais jalouse qu'elle m'ai volé mon grand-frère.
Alors que non !
Elle a fait courir la rumeur dans toute la ville, je suis même allée au poste de police, heureusement que j'avais un bon avocat ! M'énervais-je.
Mais maintenant, j'espère qu'il va mieux. Soufflais-je.
Cela a duré jusqu'à ce que je rentre à Slygry Ravhuff, et puis après, plus rien.
Et j'ai dû quitter l'Irlande et ma famille pour aller ici.
Et malgré tout, je ne regrette rien.
Jason me regarda tendrement, et je demandais, inquiète de la réponse :
-Et pour les roses... ?
-La rose blanche, comme tu l'as expliqué à Tom, signifie le premier amour, l'amour secret depuis longtemps... Tu... Dit-il, en soufflant pour reprendre du courage. Tu es la première personne dont je suis réellement tombé follement amoureux. Et c'était aussi pour ma reconnaissance envers toi pour Tom, et pour te souhaiter un bon rétablissement. Et la rose noire, c'est complètement ridicule de dire ça...
est parce que... je t'aimerais jusqu'à après la mort.
Je ne pus rien dire, abasourdie, peut-être contente...ou... perdue ? Qu'il se leva, et me posa sur le piano.
Il me regardait, et prit doucement mon visage avec ses mains, tout en caressant mes joues.
Et ses lèvres rencontrèrent tendrement les miennes.
-Monsieur Malton... ce n'est pas correct.
-C'est putement correct.
Je pris peur et courra jusque dehors, Monsieur Malton me courra après et prit mon bras pour me faire retourner vers lui, et il me rapprocha vers lui avec son autre bras sur mon dos.
-Je ne contrôle pas mon cerveau et mes gestes en même temps. Répliquait-il, tendrement.
Il m'embrassa amoureusement, tout en resserrant la pression qu'il exerçait sur mon dos avec son bras gauche.
J'ouvris la bouche pour reprendre mon souffle, et il en profita pour nouer sa langue à la mienne.
Le baiser devenait de plus en plus fort et intense en émotions.
Nos larmes se mêlaient au baiser.
Nous nous arrêtions, sans qu'il ne me lâche.
L'homme ne dit rien, ayant peur que la jeune fille ne ressente rien pour lui.
Je compris pourquoi Jason ne dit rien.
Bordel !
J'ouvre mon cœur !
-Je vous aime Jason Malton. Soufflais-je.
-Je vous aime Blodwyn Heitsburg. Soufflait-il, son front contre le mien.
--
Fin du Flashback !
-Je... j'aime ton père, Tom. Et... cela me fait tellement de mal.
Flashback !
Mon cœur se brisa petit à petit, chaque secondes, où il m'ignorait royalement.
Et j'explosa en sanglots, à cause de la fatigue et de l'ignorance qu'il m'apportait.
Je n'avais pas dormis ou que très peu depuis six jours, pareil pour les repas, je les loupais souvent.
Cela me torturait l'esprit.
Quelques minutes après, j'étais en train de marcher jusqu'au jardin, pour m'asseoir sur mon banc préféré, dans le labyrinthe d'haies, pour être tranquille.
Et je me remis à pleurer, encore.
J'étais à bout de force.
Quelqu'un me prit dans ses bras, et sachant très bien qui c'était, je me blottis contre lui.
-Qu'est-ce qu'il se passe, à la fin ? Cela fait six jours, que je te vois pleurer ! Je me sens, impuissant... Chuchotait Tom, tendrement, en me serrant plus fortement, dans ses bras.
-Je ne peux rien te dire Tom...
-J'ai compris... Soufflait-il.
Et il resta avec moi, jusqu'au dîner.
Tom et Helen étaient déjà arrivés à la salle à manger, et moi, j'étais en chemin.
Mais quelqu'un me plaqua, contre le mur.
-Je suis désolé. S'il te plaît... pardonne-moi. J'étais, confus, à propos de tout cela...
-Arrêtes me prendre pour une conne, Jason... Je... je ne veux pas, en parler.
Il m'embrassa pendant plusieurs secondes, et il me regarda.
Et je lui rendis son baiser, tendrement.
-Je t'aime... d'accord ? Dans deux jours, ont pourras parler de tout cela, je te le promets.
-Tu ne peux pas te pointer six jours, après... non, c'est impossible.
Il baissa les yeux, et me regarda encore.
Jason ne dit rien, et partit, jusqu'à la salle à manger, mais, je l'interpella :
-Jason ?
-Oui... ?
-Je... je t'aime aussi...
Il me regarda, tendrement.
Il se retourna, et partit s'asseoir.
Je souffla, putain qu'est-ce que je suis conne !
J'évitais à mes yeux de pleurer, souffla un bon coup, une dernière fois, et alla m'asseoir, tout sourire, heureuse.
--
Minuit !
J'entendis des pas, mais je m'en foutais.
-Je ne vais rien te demander. M'avertit Tom.
Il s'assit à côté de moi.
-Tes parents sont des connards. Lâchais-je.
-Je ne sais pas pourquoi tu les insultes, mais tu n'as pas le droit d'insulter, mes parents. Tu ne sais pas, par quoi ils sont passés. Mes parents d'avant me manquent, à vrai dire. C'est vrai qu'ils ne sont pas très corrects, mais ne les insulte pas ! S'énervait-il. Ils restent ma seule famille.
-Je comprends... je suis désolée.
-Non, tu ne comprends pas. Tu n'as pas de famille ! Tu les as barrés de ta vie, et ils ne te demandent même pas de tes nouvelles ! Ta famille est morte !
Qu'est-ce qu'il lui arrive ?
-Tom... ?
-Je ne te laisserais pas tout gâcher.
-De quoi tu parles... ?
-Depuis que tu es là, ils se parlent de moins en moins.
-Tom...?
Rendez-moi, mon Tom !
Putain !
Je me leva, surprise, et blessée.
-Va te faire foutre. Répliquais-je.
-Non, c'est toi, qui devrait aller te faire foutre ! Tu pleures comme une débile depuis six jours, et tu ne damnes même pas, à me dire, ce qu'il y a !
-Que...
-J'aurais dû te débrancher ! Criait-il.
-Je...
Aucun sons ne sortit de ma bouche, les larmes de peur, et de trahison se mêlèrent.
-Tu mérites une rose noire ! Meurs ! C'est si compliqué pour toi ?! Tu t'es bien planté un couteau dans le cœur,tu peux bien le refaire une deuxième fois, non ?!
Putain, je n'y crois pas !
Je sentais ma respiration se ralentir, de plus en plus.
-Tom... tu... mon frère...
-Tu n'es pas ma sœur ! Tu n'es personne !
-Je t'aime...
-Arrêtes. Je ne t'ai jamais aimé ! Tu ne peux pas juste être heureuse pour mes parents, non ?! Non, il faut que tu gâches tout en renversant la moitié de la table !
--
-Mademoiselle, ce n'était pas prévu !
-Je ne contrôle pas mon cerveau, et mes gestes, en même temps ! C'était un plaisir ! Disais-je, en sautant de la voiture, en appuyant sur « Appeler ».
Et je m'écroula sur le sol, cinq mètres plus bas.
Le corps en sang et inanimé, je me sentais perdre de plus en pieds.
--
-Vous êtes complètement changée ! S'exclama Monsieur Gamb.
-Je suis censée être morte, Michael. Comment pourrais-je m'appeler ?
-J'ai déjà tout fait. Vous vous appellerez, Wanda Witch.
-J'aime bien ! C'est plutôt pas mal !
Et Michael Gamb prit la route, jusqu'à Slygry Ravhuff.
--
Deux heures plus tard !
Je rejoignais la grande salle, où je devais être présentée, devant tous les élèves.
-Nous avons une nouvelle élève, au sein de notre établissement ! S'exclamait Michael Gamb, d'une voix haute, et forte.
De loin, je voyais Evanna, Matthew, et, Lionne, qui me souriaient.
J'aperçus Tom, dans la foule, mais je n'y prêta pas attention.
Mais un homme ayant la trentaine d'années, attira mon attention.
C'était lui.
Je le regardais, mais détournais le regard.
Je m'en fous complètement !
Mon autre Moi est morte, désormais !
-Wanda, si tu veux bien te rapprocher. Demandait Michael Gamb, en me souriant, gentiment.
-Bien sûr. Répondais-je, en marchant, vers lui.
Cela paye d'avoir appris à marcher différemment d'avant ma nouvelle vie, et d'avoir pris des cours pour changer de voix de manière permanente.
Tout avait été réglé sur mon physique pour que tout dur un an, ma couleur et mes extensions devaient restées, jusqu'à la fin de l'année.
Le changement de voix aussi.
Bon après, pour la manière de marcher, les lentilles de contacts, et les habits, j'en change, quand je le souhaite.
Je m'étais maquillée différemment, pour que personne, ne me reconnaisse.
-Je vous présente Wanda Witch. Souriait Michael Gamb.
Je m'avança vers le micro, qui était posé sur une table mince et haute, comme pour une conférence, et mis mes mains de chaque côtés de la table, en m'appuyant.
J'approchais mes lèvres, au rouge à lèvres rouge, du micro, et parla :
-Bonjour tout le monde, je m'appelle Wanda Witch. Je suis très heureuse d'être ici. C'est génial ! Je sais me défendre, si vous osez m'humiliez. Disais-je, en fixant Tom. Et j'ai du répondant, si vous osez me frapper. Reprenais-je, en fixant Jason.
Un silence se fit, et je riais aux larmes :
-I'm kidding ! Nice to meet you, all ! Disais-je, en faisant un clin d'oeil.
J'ai été Blodwyn Heitsburg !
Mais maintenant, tout est finit !
J'emmerde, le monde !
Il était temps, que le monde change.
Je m'appelle Wanda Witch !
Fin de la première année !
--
Fin du Flashback !
-Tom, tu ne peux pas savoir, à quel point, je ne regrette absolument rien.
Flashback !
-Que me vaut l'honneur d'avoir la visite surprise de la nouvelle célébrité de l'école, Mademoiselle Wanda Witch ?
-Tu connais le mot « Vengeance » ?
-Qui ? Questionnait-il, directement, en ayant compris, rien qu'au mot.
-Tom Malton.
-Euh...
-Tu te dégonfles ?
-Je ne veux pas de problèmes.
--
J'entendis plusieurs personnes en parler derrière mon dos, et je vis Louis passer devant moi.
Il me fit un clin d'oeil en souriant, ce que je lui rendis.
J'avais l'impression qu'il essayait de me dire quelque chose.
Après quelques minutes, je compris ce qu'il avait voulu me dire.
« 19h, jardin. »
J'hocha la tête.
La journée se passa vite, et vint 19h.
Je vis quatre personnes assises en comptant Louis, sur le banc quand j'arriva.
-Bonsoir ? Demandais-je.
-Wanda, je t'ai ramené du renfort. Dit Louis, en se levant.
-Oh ?
-Je te présente Ben. Notre petit génie en informatique.
Je fis face à un garçon plutôt charmant, chemise blanche, lunettes de geek. Un petit peu cliché, mais ce n'est jamais dérangeant.
-Enchanté ! S'exclamait-il, gentiment, mais un peu, maladroitement.
-Enchanté Sam ! M'exclamais-je, en souriant.
-En suite, il y a la génie en montage. Suzy.
Je lui serra la main, amicalement.
Elle avait les cheveux noirs, et quelques formes, qui lui allaient à merveille.
-Puis, il y a Destinée. Mais tout le monde l'appelle Des'. C'est la fille qui a colporté la rumeur.
Une assez grande fille, de taille, aux yeux, bleus océans, et aux cheveux bleus nuit, me salua.
-C'est une belle équipe. Souriais-je, motivée. Suzy, c'est bien cela ? Demandais-je, gentiment, en me retournant vers la fille, aux cheveux noirs.
-C'est bien moi. Souriait-elle, gentiment.
--
Fin du Flashback !
-Tom... Je suis tellement désolée. Disais-je, vu qu'il n'était pas au courant, que c'était moi, et ma bande, qui avions fait tout ça, à lui, et à sa famille.
Flashback !
Je partis en courant, et allumais mon portable.
Je dois juste finir de lire ses messages avant.
«
-Mon fils doit tellement me haïr de ne pas être venu à l'hôpital pour son anniversaire. J.
-Tu l'as déçu tellement de fois, Jason... S.
-Je n'ai pas la force d'y aller, et de l'a voir, Scar. J.
-Je ne te jugerais jamais, Ja'. S.
-Tout le monde, penserait que j'ai un cœur, si j'y vais... J.
-Mais tu en as un, Jason. Tu as un cœur, Ja'. S.
-Non, Scarlett. C'est elle qui m'en a donné un. J.
-Ont as définitivement quinze ans d'écart, elle et moi... J.
-Ça se fête ! S.
-N'importe quoi. J.
-Pour une fois que je trouve quelque à fêter. S.
-Sors-les verres, si cela peut te faire plaisir... J.
-C'est à toi que je veux faire plaisir, vieux débris ! S.
-Oh non... Tu remets ça, après tout ce temps ? J.
-Et à jamais. S.
-Tu as réussis à caler une citation connue d'Harry Potter. C'est cela qu'il faudrait fêter. J.
-Alors je sors deux autres verres. S.
-Vendu. J'arrive. J.
- -
-Je lui ai apporté le bouquet, après être parti de chez toi... J.
-Alors... ? S.
-Elle... Pourquoi Scarlett... ? Pourquoi elle ? Je l'ai senti partie. Elle n'est plus là. J.
-Je suis désolée, Jason... S.
-Elle semblait tellement paisible... Je crois que c'est la première fois, que je l'a voyais aussi sereine, depuis qu'elle est arrivée dans le manoir... J.
-Dis-toi, qu'elle est plus heureuse, là où elle est... S.
-Je ne pensais pas ce que je disais... Ce n'est pas mieux si elle ne se réveille pas. J.
-Mais... S.
-C'est trop tard... J.
-Je suis tellement désolée, Jason... S.
-Je n'arrive pas à y croire... Je me sens... seul. J.
-Tu ne seras jamais seul, Jason. Je te le promets. Je m'assurerais à ce que tu ne te brises pas... S.
-C'est trop tard, Scarlett. J.
-Qu'est-ce qui est trop tard...? S.
-Je suis déjà brisé, détruit. J.
Les larmes coulèrent sur mes joues.
Pourquoi ais-je été si aveugle... ?
Je m'en voulais tellement de l'avoir fait souffrir.
Quand j'allais continuer de lire les messages, quelqu'un me percuta ou je le percuta, je ne sais pas vraiment.
Je tomba, et ne dis rien, trop perdue dans mes pensées.
-Cela devient votre activité préférée, de me foncer dessus, comme cela ?
Sa voix.
Je souffla paisiblement, et releva la tête.
Je n'avais pas remarqué à quel point il est grand d'en bas.
Je riais mentalement, et répondis :
-Je pourrais dire pareil pour vous.
-Vous comptez rester dans l'herbe comme les vaches ?
-Je ne sais pas, l'herbe est assez confortable.
Il souffla, et répondit froidement :
-Je ne compte pas vous tendre la main.
-J'aurais été trop lourde pour vos os si royales ? Ou bien pour votre égo surdimensionné ?
Son regard s'était arrêté sur quelque chose à côté de moi.
En fronçant les sourcils, il attrapa mon portable sans que je ne puisse l'arrêter.
Ses yeux examinaient l'écran, et une lueur noire apparaissait lentement.
Je me releva rapidement, et les messages se bloquèrent, je ne sais comment...
-Qu'est-ce que... Murmurait-il.
-Oui ?
-Ces messages...
-Celane vous arrive jamais d'envoyer un message à vos amis, en disant que vous êtes brisé ?! Fis-je, semblant de m'énerver, comme si j'étais contrariée qu'il ait lu cela.
Faites qu'il n'ait lu que cette ligne.
-Je... Disait-il, doucement. Je... Ne faites pas quelque chose de stupide. Je pense que tout le monde à le droit de vivre.
Depuis la mort de cette jeune fille, Monsieur Malton se sentait obligé d'essayer d'empêcher des personnes, de partir.
Il ne pouvait pas ne rien faire, l'a laissant se détruire dans son coin, la pauvre élève.
Une larme coula sur ma joue, et je le regarda droit dans les yeux.
-Merci beaucoup.
Et je partis en courant, jusqu'à la salle de bain de mon dortoir, les larmes dévalant.
Je ferma la porte à clé, et me laissa glisser contre la porte.
On entendit seulement les sanglots de la jeune fille qui se faisaient nombreux.
Je comptait partir, mais il m'a sortit cette phrase, à laquelle je ne m'attendais pas.
Merci beaucoup, de m'avoir sauvé, Jason.
--
Pour une fois qu'il était agréable.
Passons aux choses sérieuses, maintenant.
Je pressa le pas, mais quelqu'un m'interpella.
Je me retourna en soufflant.
Et cela me surpris de voir que cela était Monsieur Malton.
-Je vois que vous m'avez écouter. Sage décision.
-Cela n'est pas grâce à vous.
L'homme se sentit un peu blessé, mais il pensa que la jeune fille avait juste beaucoup de fierté.
Comme lui.
-Je vous en prie, quand même.
-Bon, d'accord, vous étiez, peut-être, dans les cinq pour cents, sur cents pour cents.
-Alors, cela me va.
Un silence se fit.
-Excusez-moi, je suis pressée, vouliez-vous, quelque chose, Monsieur Malton ? Demandais-je, confuse.
Je crois que même en changeant ma voix, je ne pourrais jamais changer la manière dont je l'appelais.
-Qu'est-ce que vous faisiez, vers le dortoir, de mon fils ?
-Il n'est pas qu'à votre fils... Mon ami, Louis Cordice, avait oublié un bouquin pour les cours, et je lui ai proposé mon aide, d'aller le chercher dans son dortoir. Et il a accepté.
-Vous êtes amie avec Louis Cordice... ? Réfléchissait-il.
Merde, je crois que j'ai trop parlé.
-Disons... que je m'entends bien, avec lui.
-Oh... je vois.
Je m'inquiéta, alors mon esprit ne pu s'empêcher, de poser une question :
-Est-ce que vous allez bien, Monsieur Malton ?
-Et vous, Mademoiselle Witch ? Demandait-il, en ne me répondant pas.
-Très bien, merci. Mais vous ?
-Très bien, merci.
-Parfait. Souriais-je, rassurée.
-Parfait. Répondit-il.
Je lui souris, et m'en alla, jusqu'au bureau de Monsieur Gamb.
Je toqua.
-Entrez ! S'exclamait-il, chaleureusement.
--
Moi et Louis avions aperçus Tom, se rendre dans la salle, du micro.
Je regarda Louis, et il appuya sur le bouton, qui permettait de bloquer la porte.
-Bloque-le deux minutes, le temps que j'aille chercher le mot dans mon dortoir, pour le mettre sur son lit. Prévenais-je.
Je courrais pour aller chercher le mot, et poussa quelques personnes dans les couloirs, pressée.
Mais il a fallut que je fonce dans quelqu'un.
-Vous ne pouvez pas faire atten-M'énervais-je, en remontant la tête.
Je me stoppa, directement, en voyant qui cela était.
Jason.
Malton.
J'aurais voulus le prendre dans mes bras, lui parler, l'embrasser.
Mais cela m'en était impossible.
Je me retenais de pleurer.
-Vous allez rester plantée, encore longtemps, devant moi ? S'énervait-il.
-Pourquoi ne changez-vous pas de côté ? Souriais-je, arrogamment.
-Petite... Commençait-il, mais il, s'arrêta directement. Petite immature.
-J'aurais pensé que vous auriez plus de répondant Monsieur. Disais-je, en mettant mes mains, sur mes hanches.
-Pardon ?! S'énervait-il.
-Bon, ce n'est pas que je ne vous aimes pas, mais je suis pressée ! Au revoir le papi ! M'exclamais-je, en courant.
Je souris, j'ai pu plaisanter, sans qu'il ne sache que cela soit moi.
--
Je passa vers le groupe pour leur rappeler la réunion de ce soir, à 19h00, comme toujours.
J'étais restée toute la journée, sous ma couette, à penser.
Abattue par la fatigue, je marchais lentement dans les couloirs.
-Quand arrêteras-tu, de te promener dans les couloirs ? Plaisantait Tom, arrogamment.
-Quand tu ne seras plus con. Ce qui-est-à-dire... jamais. Au revoir, Malton.
Et je continua ma marche.
Quelqu'un me bouscula rapidement, ce qui me fit chuter, par terre.
Je poussa un léger cri de surprise, et la personne me rattrapa pendant ma chute.
C'était lui.
Flashback !
Je tomba lentement, mais quelqu'un courra et me rattrapa.
Jene pus ouvrir qu'une fois les yeux pour me rendre compte que c'était des yeux bleus.
Différents de ceux de Tom.
Et des cheveux marrons.
-Blodwyn !
-Mon...sieur... Mal... ton... ?
-Ne ferme pas les yeux. Réveille toi. Ordonnait-il, blessé.
-Ja...son...
-Petite sotte... Réveille toi...
Et plus rien.
Le noir complet.
Et je vue ma vie défiler.
Et je sentis ma respiration se couper.
Mais avant cela... quelqu'un avait touché ma joue, et quelque chose de mouillé... telle une larme tomba sur celle-ci.
Et je quitta ce monde.
Fin du Flashback !
Une larme avait coulé sans qu'il ne l'a voit.
Il me releva gentiment,
Putain, pourquoi est-il si, différent... ?
Je garda la tête baissée pendant qu'il prit la parole, n'ayant pas la force, de le regarder dans les yeux :
-Je m'excuse. J'étais pressé. Disait-il, poliment.
Je souffla un bon coup, et le regarda.
-Ce... ce n'est pas grave. Vous vous êtes excusé, c'est déjà cela. Disais-je, doucement, la gorge me brûlant, dû aux larmes qui me menaçaient.
-Que... est-ce que vous êtes en train, de pleurer... ? Je suis désolé, si je vous ai fait mal.
Je toucha mes joues, et en effet, elles étaient trempées.
Dû à la fatigue, je n'ai pas dû y faire attention.
-Je... ce n'est rien. Je... je suis pressée, moi aussi, au revoir ! Disais-je, en explosant en larmes, et en courant jusqu'au jardin, laissant l'homme planté au milieu, du couloir, abasourdi.
J'arriva au banc, et il n'y avait que Louis, pour le moment.
-Wanda... ?! S'exclamait-il surpris, accourant vers moi.
Je le regarda, les larmes n'arrêtant pas de couler.
Il me prit dans ses bras, me caressant le dos, pour me réconforter.
-Louis, pourquoi m'aides-tu, en réalité ? Demandais-je.
-Parce que tu me l'as demandé, et que ce que nous faisons, marche très bien.
-Louis... tu m'aides à me venger, de ton meilleur ami.
-Je... ce n'est rien, Wanda... Disait-il, en me serrant dans ses bras.
-Non, ce n'est pas rien, parce que, quand je les aurais vraiment, détruit, tu regretteras. Et je ne veux pas, t'y obliger !
-Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, avec cette famille et toi, mais...
-Ont est là pour toi. Promit une voix derrière moi qui me fit me retourner. C'était Des, qui me souriait, les bras croisés.
Je lui souris, en hochant la tête, pour l'a remercier, puis me retourna vers Louis.
Je me retourna, encore une fois, et vis Suzy, Ben et Des' en tenue... de... combat ?
-Efface-moi ses larmes, poulette, et relève, la tête. Sourit Sam, en s'approchant, de moi.
--
-Ils sont meilleurs amis de base ? Mais comment Louis peut faire ce que l'ont fais à Tom... ? S'étonna Ben.
-Qui le sait. Soufflait Suzy.
-Ont vas parler de la mission. Annonçais-je.
-Il faut aller chercher Louis. Riait Des'.
-J'y vais. Souriais-je, en me levant du banc.
Je souffla, et rentra dans l'école.
Il doit sûrement être en train de manger, avec Tom.
Mon regard parcourut la Grande Salle, et je le vis au fond, riant avec Tom.
Je regardais Tom rire...
Je me sentais mal vis-à-vis de lui, mais...
Non, Wanda.
Je souffla, ferma les yeux, les rouvrit, puis sourit.
C'est parti pour confronter Tom Malton.
Je m'avança vers les garçons, et me pencha vers Louis.
-Ont as besoin de toi. Chuchotais-je.
-J'arrive.
-Tu viens draguer mon meilleur ami, Witch ? Plaisantait Tom, arrogamment.
-Non, pourquoi ? As-tu prévu de lui demander sa main, Malton ? Rétorquais-je.
Quelques personnes de la table riaient, et Tom me lança un regard noir.
Je lui fis un clin d'oeil, et partit.
-Ont en as pas finis, Witch.
-Qu'est-ce que je fais, là ? Demandais-je, en me retournant vers lui. Je m'en vais vers la sortie. Cela veut dire que la conversation est finie, Malton. Disais-je, arrogamment.
-Quelle perspicacité.
-Il faut bien tout vous expliquez, à vous les Malton. Ton arrogance, vient sûrement de ton père. Elle est tout aussi nulle.
-Je ne te permets pas de dire quoi que ce soit sur mon père.
-Pourtant, il en dit des choses sur tout le monde, lui. Tu savais, qu'il pouvait briser, les gens, Malton ?
-Je ne vois pas de quoi tu parles. Mentait-il.
-Je te croyais meilleur menteur, Malton.
Louis me faisait signe de courir, pendant que Tom souriait arrogamment, en me faisant un clin d'oeil.
Je me retourna, et vis Jason.
Oh bordel de merde !
Je me mis à courir, mais il m'attrapa le poignet.
Ah putain, il a de la force, il va me le briser !
-Vous, vous allez venir avec moi. Dit-il, en me regardant droit dans les yeux, d'un ton glacial.
Il me traîna rapidement en dehors, de la Grande Salle, remonté.
Il ne dit rien, et continua de marcher.
J'en profitais pour le regarder, du coin du l'oeil.
-Arrêtez de me regarder. S'énervait-il.
-Qui vous a dit que je vous regardais ?
-Personne, mais je le sens.
-Et qu'est-ce que cela vous fait, que je vous regarde ?
-A... Absolument rien.
Je riais silencieusement, et nous nous dirigeâmes vers le bureau de Monsieur Gamb.
Jason ne prit pas la peine de toquer, et entra.
Michael ne comprit pas trop, mais Jason, prit la parole :
-Comment pouvez-vous osez garder des élèves aussi mal élevés ?! Je ne me laisserais pas me faire insulter dans mon dos. Virez-la. Disait-il, froidement.
Quoi ?!
Je ne veux pas partir, moi !
Michael Gamb me regarda, amusé, ayant comprit la situation.
C'est assez comique, c'est vrai.
L'homme que je rêve tant de prendre dans mes bras, et que j'aime, veut me faire virer, et il n'a aucune idées de qui je suis, réellement.
-Na, na, Jason. Ne pensez-vous pas, aller un peu trop loin ? Qu'est-ce que cette jeune fille a bien pu faire, à votre fierté ?
Jason me regarda, et regarda Michael, d'un regard noir.
-Des insultes.
-Vous n'êtes pas courageux dutout. Soufflais-je, désespérée. J'ai dis que l'arrogance de Tom, était tout aussi nulle, que celle de son père.
-Et c'est moi, qui ne suis pas, courageux ? Vous n'avez pas dit que cela. Disait Monsieur Malton, en s'énervant.
-Et j'ai peut-être demandé à Tom, si il savait que son père, pouvait briser, les gens... Soufflais-je, honteuse, de mes propos.
Michael Gamb me lança un regard pleins de sous-entendus et de morales.
Je le regardais, embarrassée.
-La vraie question, c'est, pourquoi, avez-vous, dit cela, Mademoiselle ? Demandait le directeur.
-J'ai entendue des rumeurs. Et comme je voulais énerver Tom, pour me venger, j'ai dis cela.
Jason tourna sa tête directement, vers moi, à l'entente de ma phrase.
-Quelles rumeurs ? Demandait Jason, une pointe d'inquiétude, dans son regard.
-Certains élèves se demandent où est passée une élève, en particulier. Et ont m'as dit que cette élève avait un lien, avec votre manoir. Disais-je, en regardant Michael, ne voulant pas affronter le sien, de regard.
Du coin de l'oeil, je vis Jason reprendre ses esprits.
Il ferma les yeux, et souffla, pour se calmer.
Jason, si, seulement, tu savais, que je suis juste devant toi, bordel.
-Mais je ne voulais blesser personne, en disant cela. Reprenais-je.
-Croyez-vous vraiment, que vous m'avez blessé ? Je ne le suis point. Mentait Monsieur Malton.
-Cela pouvait très bien vous blesser. Tout le monde a un cœur, non ?
J'entendis Jason chuchoter, en regardant le sol...
-Vous me connaissez mal...
Sa phrase me fit le regarder, et il releva la tête, vers moi, et, me regarda, lentement.
Ses yeux bleus perçants regardaient les miens, intensément.
Michael Gamb sourit, en voyant la confrontation des deux.
Il sentit enfin la flamme que les deux jeunes gens possédaient, et il comprit pourquoi chacun des deux, étaient tombés amoureux de l'autre.
Les deux semblaient perdus dans le regard de l'autre, et Monsieur Malton, était troublé.
Mon regard ne pouvait quitter le sien.
La tentation de l'embrasser était omniprésente.
-Quoi qu'il en soit, je ne virerais pas, Mademoiselle, Wanda Witch ! S'exclama Monsieur Gamb, en faisant exprès, pour réveiller les deux.
Nous quittions le regard de l'autre en même temps, faisant comme si rien de cela, ne s'était passé.
Mais moi, je l'ai senti.
J'ai sentie cette... flamme.
Quand nous nous sommes regardés, il s'est passé quelque chose, bordel.
Et c'est cela, qui me fait le plus souffrir.
-Bien, mais collez-là, au moins. Disait Monsieur Malton.
-Je ferais ce qui est, nécessaire. Mais, lâchez cette jeune fille, elle voudrait peut-être partir, maintenant ! S'exclamait Michael, en plaisantant.
Jason ne comprit pas, et il regarda sa main qui tenait toujours mon poignet, il remonta son regard, vers moi, et me lâcha rapidement, l'air gêné.
Je lui souriait, légèrement gênée.
-Certes. Disait Jason, en toussant. Vous pouvez partir, Mademoiselle.
-Merci, et je suis désolée pour tout cela, Monsieur Malton.
Il hocha la tête, en me regardant.
Et je partis.
J'ouvris la porte, et me retourna, en tenant la poignée.
-Bonne journée, Monsieur Gamb. Souriais-je, en le regardant.
-Bonne journée, Mademoiselle Witch. Souriait-il, en me regardant aussi.
Et je croisa une dernière fois, les yeux de Jason, qui ne me quittèrent pas du regard.
Je n'arrêtais pas de le regarder, et notre confrontation s'arrêta, quand je ferma la porte derrière moi.
--
Lundi 6 Mars.
Un bruit de sonnerie se fit entendre, et cela me surpris en plein sommeil, je me débattais dans ma couette, encore sonnée.
Et je tomba de mon lit, sur les fesses.
-Bordel, c'est quoi ça ?! M'énervais-je.
-Je ne sais pas, mais cela t'as surprise, on dirait. Deux fois dans la même nuit, c'est un record. Riait une fille de mon dortoir, en me voyant, par terre.
Deux fois... ?
Je riais et me présenta.
-Je ne t'ai jamais parlé... Enchantée. Wanda.
-Iris. Enchantée de même. Tu n'es pas un peu la célébrité, de cette école, depuis ton arrivée ?
-Si... Merci que cela s'est dissipé un mois après... Je crois que j'aurais explosé. Souriais-je, arrogamment.
-Haha, oui. Je pense comprendre... Mais dis-moi... j'ai une question un peu indiscrète... ?
-Oui, vas-y... ?
-Tu te souviens avoir tombé cette nuit... ? C'est moi, qui t'ai aidé à te remettre dans ton lit.
-Oh... non, je ne me rappelle de rien. Merci beaucoup... mais... pourquoi, suis-je tombée... ?
Elle regarda aux alentours, et s'assit sur mon lit.
-Les filles, ont eu le sommeil tellement lourd, qu'elle ne t'ont pas entendus... Mais on aurait dit que... tu criais à la mort...
-Oh... ? Mais pourtant... je ne me souviens de rien-
Oh.
Flashback !
-NON ! Criais-je, horrifiée, en me réveillant, et tomba du lit.
Mon corps était en sueur, et les larmes avaient ravagées mon visage.
La peur me noua l'estomac, j'étais comme paralysée.
Je n'arrivais plus à bouger, mais je sentis des bras m'aidaient à me relever.
La personne me prit dans sesbras.
-C'est fini... c'est fini. Chuchotait-elle.
-Jason... Jason... Jason... Répétais-je, apeurée.
-Shh... C'est fini. Dit-elle, en me serrant dans ses bras, me caressant le dos pour m'apaiser. Rendors-toi... Ce n'était qu'un horrible cauchemar.
-Reste avec moi, le temps que je m'endorme... s'il te plaît. Disais-je, les sanglots torturant ma gorge.
-Je resterais avec toi. Je te le promets.
-Merci... Promis ?
-Promis.
Fin du Flashback !
Ma gorge se noua, et les larmes menacèrent.
-Je ne te force pas à en parler. Je sais que cela a dû être très dur.
-Tu... n'as pas idée à quel point... Et je pense devoir aller vérifier que...
-Que ce « Jason » va bien... ?
-Ne répète pas que je t'ai parlé de ce prénom... s'il te plaît. Soufflais-je, en la regardant.
-Je ne suis pas comme cela. Et même, cela ne me regarde pas. C'est juste que cela m'a inquiété de te voir comme cela cette nuit... Je ne pouvais pas te laisser dans cet état.
-Merci beaucoup...
-Quoi qu'il en soit, j'espère que ton Jason, va bien.
Cela me provoqua une sensation de bonheur, quand elle me disa « ton ».
Parce qu'au fond... c'est tout ce que je souhaite, bordel...
-Et ce Jason... est-ce que c'est... Commençait-elle.
-C'est plus compliqué, que tu ne le penses. Soufflais-je.
-Je ne m'en mêlerais pas. Promis. Puis... tu as un peu de chance.
-En quoi, j'ai de la chance... ?
-Il est plutôt pas mal ! S'exclamait-elle, en levant les bras en l'air.
J'explosa de rire avec elle.
-Tu es complètement barge, toi. Souriais-je. Je t'aime bien !
-C'est réciproque ! Bon, je ne vais pas t'embêter avec mes histoires de garçons, file te doucher !
--
-Mademoiselle Witch ! J'appelle le Directeur, si vous ne revenez pas ! S'exclamait la prof.
Je continuais de marcher, et j'entendis des pas précipités vers moi.
-Witch ! Criait cette personne.
Monsieur Malton ne comprit pas pourquoi Tom courait après Wanda.
Non, Tom...
Je me mis à courir, et lui aussi.
-Reviens ! S'exclamait-il.
Je me mis à courir plus vite, mais il me plaqua contre un mur.
-Ne t'éloigne pas de moi. Suppliait-il. Je ne suis qu'un con.
-Je suis la seule à parler avec toi, ce n'est pas très juste.
-Ah oui ? Et pourquoi ?
-Parce que je suis humaine ?
-Je ne t'ai rien demandé. Il n'y a qu'une personne capable de me comprendre.
Et c'est bien moi, Tom !
Il me regarda de ses yeux bleus.
Bordel, rappelez-moi pourquoi, il a les yeux de son père ?
Il me prit une mèche de cheveux, qu'il replaça derrière mon oreille, et chuchota.
-Tu m'as man-
-Tom ! S'exclamait son père, qui arriva, et Tom se retourna directement.
Il nous dévisagea...
En même temps, dans cette position, il y a de quoi s'imaginer des choses.
-Au lieu de flirter avec tes groupies, viens ici. J'ai à te parler.
Aïe.
-Moi, une groupie ?! M'énervais-je.
-Tout à fait.
Il n'y a que toi, que j'aimais.
-Connard. Lâchais-je, le regardant, une larme coulant sur ma joue, puis je partis dans une autre direction.
--
Deux heures après.
-C'est vraiment cool d'avoir faire ta connaissance, Wanda.
-Oui, j'ai trouvé aussi, Brent.
Il s'approcha de plus en plus de moi.
J'étais perdue, mais je me rapprochais aussi.
Mais je sentis une main me tirer en arrière.
-Vous, allez-vous-en. S'énervait Jason.
Brent ne dit rien de plus, et partit en courant.
-Qu'est-ce que vous faites ?
-Je vous empêche de regrettez vos actes.
-Cela fait deux fois que vous me sauvez la vie, merci beaucoup.
-Je vous en prie.
Un silence agréable se fit.
-Vous avez mis la bague. Remarquait Jason, en regardant ma main.
-Oui.
-Et... au faite, vous êtes magnifique.
-Merci... vous... aussi. Disais-je, en détournant le regard.
J'aimerais tellement l'embrasser.
Le serrer dans mes bras.
Et lui dire à quel point je l'aime.
-Merci. Répondait-il.
Il me regarda de ses yeux bleus, et je me sentis fondre, encore une fois.
-C'est vous, qui avez conseillé Michael Gamb, pour la couleur de ma robe ?
-Je...euh... oui... p... pourquoi ? Demandait-il, embarrassé.
-Pourquoi le jaune ?
-Promettez-moi, de ne pas rire.
-Promis.
-C'est... parce que... j'ai connu une fille qui avait porté une robe rouge, et robe verte. Et vous, vous avez porter une robe bleue... Et j'ai donc pensé que... le jaune finirait les quatre couleurs des maisons d'Harry Potter.
Je riais.
-Vous aviez promis !
-Je trouve cela adorable !
-Vraiment ?
-Vraiment.
Ont s'arrêtas de parler, et mon cœur battait de plus en plus vite, il se rapprocha de moi, et me regarda de ses yeux bleus.
Mon stresse me fit prendre un coup de chaleur.
Je pouvais de nouveau sentir cette flamme.
Ses yeux bleus brillaient.
Il regarda mes lèvres, et je regarda les siennes, puis regarda ses magnifiques yeux bleus.
Il allait m'embrasser, mais je recula, paniquée.
-Non... s'il vous plaît... Paniquais-je, en commençant à pleurer, de plus en plus.
-Ne me traitez pas de monstre, s'il vous plaît. Suppliait-il, blessé.
-Ne... ne vous approchez pas de moi. Pleurais-je, en souffrant.
Je n'arrivais plus à respirer.
Alors je partis en courant.
-Wanda ! S'exclamait-il.
Je courra en l'ignorant.
Je pleurais sans m'arrêter, et courra jusqu'au seul endroit, qui me réconfortait.
Le banc du jardin.
Je m'assis, cacha mon visage avec mes mains, et sanglota.
Quelqu'un me prit dans ses bras.
Je releva la tête pour voir qui c'était.
-Tom... qu'est-ce que tu... voulais me dire la dernière fois, quand ton père nous as interrompus, dans le couloir de l'école ?
-Tu m'as tellement manqué, Blodwyn. Disait-il, en pleurant.
Jeme mis à exploser en larmes, et je le serra encore plus fort, et il me serra encore plus fort dans ses bras.
--
Fin du Flashback !
-Je... Cette année a été dure, Tom.
-Je sais, Wanda... Elle l'a été pour tout le monde. Disait Tom, tendrement, en me prenant dans ses bras.
Flashback !
--
-Parfait. Disais-je. Vous êtes géniaux.
-Ont ne peut que l'être avec un capitaine comme toi ! S'exclamait Ben, en riant, et en me faisant un clin d'oeil.
-Merci ! M'exclamais-je, enriant.
-Je t'en prie. Sourit-il, gentiment.
-Ce n'est pas tout, mais je retourne à mon dortoir, à demain tout le monde, une longue semaine nous attends ! M'exclamais-je.
-À demain, Wanda ! Sourit Louis.
-C'est vrai, allons manger, Wanda n'a pas l'air d'avoir faim ! Riait Suzy.
-Merci beaucoup pour l'invitation Suzy, mais c'est vrai, je n'ai pas faim. Riais-je.
Ont rentras ensembles dans l'école, et je partis dans le chemin opposé en les saluant, et en m'exclamant.
-Bon Appétit à tous !
-Merci ! S'exclamaient-ils.
-De rien ! M'exclamais-je, enriant.
Je me retourna, et marcha jusqu'à mon dortoir.
Pourquoi il est toujours présent dans mes pensées, quand je suis toute seule ?
J'arrivais au dortoir, pris une douche, me changea, et m'écroula sur mon lit.
Quelques minutes plus tard, Iris arriva.
-Quelle épuisante journée de cours ! Se plaignait-elle.
-Je confirme. Riais-je.
-Tais-toi, toi ! Riait-elle, en me tirant la langue.
Je lui souris, et me mis sur le dos, en regardant le baldaquin de mon lit.
Iris alla prendre sa doucheet se changer.
Elle sauta sur mon lit et ouvris un paquet de Chips.
-Je t'adore toi. Riais-je.
-Moi aussi, je t'adore. Quand on est triste, on mange. Sourit-elle.
-Je ne suis pas triste. Souriais-je.
-Alors, je reprends le paquet. Plaisantait-elle.
-Comment tu le sais ? Soufflais-je, tristement.
-Parce que, J... J, et encore, J S'exclamait-elle, en souriant, gentiment.
-C'est toujours lui.
-Je me demande ce que cela faitquand on est aussi amoureux que tu l'es.
-C'est très dur. Certaines personnes pleurent, d'autres souffrent. Mais... quand tu es avec lui que tu aimes, je pense qu'il n'y a aucunes limites. Si un jour, j'arrête de souffrir, et que je le retrouve. Je pense que ce sera tellement le plus beau jour de ma vie. Ce serait un rêve. Disais-je, les larmes aux yeux.
-Un peu comme quand on perd sa virginité. Riait Iris.
J'explosa de rire malgré mes larmes.
-N'importe quoi, perverse va !
-Autant pour moi. Riait-elle.
-Tu es embarrassante comme fille. Soufflais-je, en souriant.
-C'est pour cela, que tu m'aimes !
-Exactement !
Un silence agréable se fit.
-Il me manque tellement. Disais-je, doucement, les larmes aux yeux.
Iris me prit dans ses bras, et je me mis à pleurer.
-Je te jalouse encore plus, je suis sûre que c'est une panthère au lit.
Je me mis à exploser de rire, encore une fois.
-Tu es vraiment embarrassante, Iris.
-Tant que j'arrive à te faire rire, dans des moments durs, comme ceux-là. Riait-elle.
-Merci. Souriais-je, gentiment.
-Je t'en prie ! Riait-elle, en me faisant un clin d'oeil.
Je soufflais en riant, et Iris prit la parole.
-Est-ce que tu l'aimes tant au point de... Commençait-elle.
-De ? Demandais-je, curieuse.
-De perdre ta virginité avec lui... ? Dit-elle, en me regardant, pleines de sous-entendus pervers.
-Arrête ! Rougissais-je.
-Ce n'est qu'une question, je ne contrôle pas ton imagination. Plaisantait Iris, devant mon air embarrassé.
-Je te hais ! M'exclamais-je, en riant, gentiment.
-Moi aussi je te hais ! S'exclamait-elle, en riant, gentiment, aussi.
-Bon, allez, file de mon lit, je voudrais dormir ! M'exclamais-je.
Elle descendait de mon lit en riant, et se coucha dans son lit.
-Fais de beaux rêves avec J ! Dit Iris, en explosant de rire.
-Tais-toi ! Riais-je, embarrassée.
-Bonne nuit, Wanda ! Riait-elle, gentiment.
-Bonne nuit Iris ! Riais-je, gentiment aussi.
--
Dimanche 7 Mai.
Le lendemain.
Je me levais aux alentours de cinq heures du matin.
Oui, un dimanche.
Je m'étirais, et partis me préparer, mis ma bague, puis sortis dans les couloirs.
J'avais décidé de mettre la chemise de Jason, pensant qu'il n'y aurait personne de réveillé, de toute façon.
Chemise, jean noir déchiré, et mes van's.
La tenue la plus simple pour ne pas réveiller les autres filles, en fouillant dans ma valise.
Enfin de la Paix.
J'alla à la Grande Salle, prit mon plateau, et alla à la bibliothèque.
Enfin une journée normale, pour l'instant.
Je choisis Harry Potter et la Chambre des Secrets, et m'installa à une table, tout en mangeant.
Le silence est tellement reposant.
Qui va à la bibliothèque, un Dimanche matin, à cinq heures du matin ?
Et bien... moi.
J'entendis des pas, mais ne fis pas attention, pensant que ce serait la dame de la bibliothèque, Madame Rowena.
Mais bizarrement, je n'en étais plus si sûre, quand je vis un homme aux yeux bleus, la trentaine, plutôt magnifique, cherchant un livre dans la bibliothèque.
Pourquoi il faut qu'il vienne, où que je sois ?!
Merde, je porte sa chemise.
Bon, merci, il ne m'a pas encore vu, alors peut-être, que je pourrais me glisser, sous cette table...
Oui, c'est ce que je vais faire !
Je fis de mon mieux, pour me glisser sous cette maudite table en bois, et ne bougea plus.
Je crois qu'il arrive par là.
Whoops !
Je n'entendis plus rien.
Je vis ses pas se diriger vers la sortie, mais il s'arrêta, et se retourna.
-Est-ce qu'il y a quelqu'un ? Demandait-il, froidement, sur ses gardes.
Je voulu bouger, mais mon coude se cogna contre un des pieds de la table.
Oh, bordel !
Je me retenais de crier de douleur.
-Je ne vais rien vous faire. S'impatientait-il. Je sais que ce plateau sur la table, n'est pas venu tout seul.
-Dans Harry Potter, cela pourrait se faire, alors pourquoi pas, là ? Demandais-je, en me relevant.
-Mais... qu'est-ce que vous faites, ici, toute seule, aussi tôt ?
-Je pourrais vous demander la même chose.
-Je me lève généralement tôt.
-Mais vous ne dormez pas, ici, alors pourquoi êtes-vous là ?
-Je peux tout à fait dormir ici, mais, ce ne serait pas du luxe.
-Votre propre école n'est pas assez bien pour vous ? Demandais-je, en roulant des yeux.
-Je plaisantais. J'ai une pièce aménagée. Mais, personne ne sait, où elle est. Et cela, me va très bien, comme cela. Expliquait-il, en me regardant.
-Oh.
-Ne le dites à personne.
-Ce serait assez drôle, de voir tous un tas de filles se démener pour trouver cette pièce, à vrai dire.
-N'importe quoi. Quelles filles ? Disait-il, en roulant des yeux, ne me croyant pas.
Okay, alors il ne sait pas que la moitié des filles fantasment, sur lui et sur son fils.
Bien, c'est noté !
-Ce n'est pas comme si le quart des filles de cette école, vous regardent particulièrement, vous, et votre fils. Plaisantais-je, en m'asseyant.
-Je vous demande pardon ? Fit-il, surprit.
-Je vous dirais les fantasmes qu'ont certaines, vous n'en croirez pas vos oreilles.
-Cessez de me parler de cela ! S'énervait-il, plus qu'agacé.
Whoops !
Il a l'air vraiment contrarié.
-D'accord, d'accord.
-Est-ce... est-ce ma chemise...? Demandait-il, plus doucement, une pointe d'amusement dans ses yeux.
-Non. Mentais-je.
-Vous mentez très mal. Me fit-il remarquer, en croisant les bras, sa main droite tenant un livre.
-Je n'avais rien à porter, ce matin, et je ne voulais pas réveiller les filles, avec lesquelles, je dors. Et puis, j'ai dormis avec. Alors, c'était l'habit, le plus près, de moi. Expliquais-je, vaguement, sans faire attention, à mes propos.
Merde !
Je crois que j'en ai trop dis !
Jason fut soudainement intéressé par ce que je venais de dire, et je balbutiais.
-E... enfin... je... je n'ai pas dormis avec... je... l'avais p... posé sur... mon... mon lit !Rougissais-je.
-Je n'ai rien dis. Vous vous êtes sentie obligée de préciser... Disait-il, amusé de la situation.
-Vous êtes intimidant aussi, je me sentais obligée de préciser !
Pourquoi est-ce que je m'enfonce ?
-Intimidant... moi ?
-Vous n'avez pas idées.
-J'en suis désolé.
-Vous n'en avez pas l'air. Doutais-je, en penchant ma tête.
-C'est vrai que, si j'arrive à rire, en arrivant à rendre un élève, embarrassé et à le faire balbutier. Je ne le suis pas. C'est amusant. Disait-il, un sourire, au coin des lèvres.
Crise cardiaque.
Il est tellement adorable... cruel, mais adorable.
-Il n'empêche que, je n'ai pas dormis avec votre chemise. Répétais-je.
-Cela ne m'embêterait pas, de toute façon... Confiait-il, en fronçant les sourcils.
-Vraiment ?
-Vraiment.
-Je... je vous rendrais votre chemise, la prochaine fois, que je vous croise.
-Gardez-là dans votre sac de cours, vu le nombre de fois où l'ont se croisent. Souriait-il. Jevous rendrais votre débardeur, à ce moment.
Je pense qu'il ne s'était même pas rendu compte, qu'il m'avait sourit.
Je le regardais tendrement.
Cet homme est à croquer.
Sans mauvais jeux de mots.
Enfin...
-C'est vrai. Confirmais-je, en riant légèrement.
-Pourquoi me regardez-vous, toujours comme cela ? Demandait-il.
-Parce que-
-Parce que je suis fascinant ? Demandait-il, en arquant un sourcil.
-J'allais plutôt dire que vous êtes... adorable. Toussais-je, en rougissant.
-Que je suis quoi ? Demandait-il, ne comprenant pas.
-Que vous êtes amusant.
-Ce n'est pas ce que vous avez dit, pas vrai ?
-Alors pourquoi me demandez-vous, ce que j'ai dis ?
-J'aime bien vous embarrassez. Riait-il, légèrement.
-Vous êtes adorable. Fin. Vous êtes content ?
-Je suis satisfait, oui.
Il me regardait, et mon cœur fonda pour la millième fois, depuis que je connais cet homme.
-Qu'est-ce que vous comptez lire ? Disais-je, en changeant de sujet.
-Oh. Disait-il, en regardant son livre. Rien d'important. Répondait-il, embarrassé.
Je me levais, et m'approche pour essayer de voir.
-Faites-moi voir ! M'exclamais-je, en riant.
-Non. Répondait-il, froidement, en cachant le livre dans son dos.
-Allez ! M'exclamais-je, en le suppliant, en essayant de prendre le livre dans son dos.
-Non. Souriait-il, arrogamment.
Et cela pendant plus de cinq minutes, jusqu'à qu'il me fasse malencontreusement tomber.
-Oh mon dieu, vous allez bien ?S'inquiétait-il, rapidement, en me tendant sa main.
Flashback !
Puis, toutes les trois, nous marchèrent vers la piscine.
Et pendant que je discutais avec les filles, je poussa Rose et Lily à la flotte, en explosant de rire.
-Non, mais ! S'exclama Lily. Ma petite dame, comment pouvez-vous, vous permettre cela ? C'est une mutinerie !
Je riais aux larmes, et proposais ma main à Rose, pour l'aider à remonter.
Mais elle exerça une pression sur mon bras, et me tira à l'avant, ce qui me fit tomber.
-Vendetta ! S'exclamait Rose.
Fin du Flashback !
-Oui, oui. Souriais-je, en prenant sa main.
Et pendant qu'il ne s'y attendait pas, je le fis tomber.
Merde, ses blessures.
-Comment osez-vous ? S'énervait-il.
Je me mis à exploser de rire, en voyant son expression.
Et il se mit à rire avec moi.
Ont se calmas, mais je me mis à m'inquiéter.
-Est-ce que votre dos va bien ? Demandais-je, tendrement.
-Je suis tombé sur les côtes, ne vous inquiétez pas.
Il n'avait pas vu que je cachais son livre derrière moi.
Je me retenais de rire.
-Qu'est-ce qui vous fait rire... ? Où est mon livre ? Paniquait-il.
-Je ne sais pas... Riais-je, malicieusement, en levant le livre dans les airs.
-Hey, donnez-moi ce livre !
-Non !
Il se mit à califourchon sur moi, pour me bloquer.
-Rendez-le moi.
-Non. Riais-je.
-Et moi, je vous dis, que vous allez, me le rendre. Plaisantait-il, en commençant, à me chatouiller.
Oh non, pas ça.
Je me mis à rire, sans pouvoir m'arrêter.
-Arrêtez, par pitié. Riais-je.
-Alors, donnez-moi ce livre !
-Harry Potter et Le Prince de Sang-Mêlé ! M'exclamais-je, le narguant, en mettant le livre devant ses yeux.
-Mais qu'est-ce que c'est que ce boucan ?! S'exclamait une voix, arrivant vers nous.
Ont se retournas directement vers la voix de Michael.
Oh merde !
À vrai dire, moi et Jason étions tous les décoiffés, par inadvertance, deux boutons de sa chemise s'étaient défaits, et Jason était actuellement sur moi, en essayant de prendre le livre, que j'avais dans ma main droite.
Maintenant, imaginons la scène et rions d'embarras, ensembles !
Michael ne comprit pas, et il se mit à sourire, malicieusement.
Jason se racla la gorge, embarrassé, et me lança un regard énervé, puis il se releva, et je me releva à mon tour.
On aurait dix deux adolescents pris en flagrant délit.
Nous étions tous les deux, embarrassés.
-Bonne journée à vous, deux. Souriait Michael, ne voulant rien dire.
-Bonne journée. Rougissais-je.
-Bonne journée. Toussait Jason.
Michael sourit, et partit.
Je regardais Jason du coin de l'oeil, vu qu'il ne disait rien, et il semblait vraiment embarrassé.
Et je me mis à rire doucement, puis il se mettait à rire doucement, avec moi, aussi.
Je l'aime tellement...
-Je ne vous aurais pas jugé. Je suis une grande fan d'Harry Potter, j'étais justement en train de lire Harry Potter et la Chambre des Secrets. Souriais-je, tendrement, en lui donnant.
-On ne sait jamais. Disait-il, en me regardant, puis il prenait le livre.
-Je ferais mieux de retourner à ma lecture. Informais-je.
-Et moi, je ferais mieux de retourner, à mon travail... Soufflait-il.
-Attendez.
-Oui ?
Je reboutonna ses deux boutons de chemise, et essaya d'arranger sa coupe.
-C'est bon. Riais-je.
Il souriait, et me regarda.
Puis, il plaça une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille, tendrement.
Il voulu rapprocher sonvisage du mien, ce qui me fit peur.
Il s'arrêta lui-même, et se recula, ce que je fis aussi, et je partis m'asseoir.
Je le regardais partir, mais il se retourna.
-Merci beaucoup pour ce moment, Mademoiselle Witch. Souriait-il, tendrement.
-De rien, mais merci beaucoup à vous pour ce moment, Monsieur Malton. Souriais-je, tendrement, aussi.
-Je vous en prie. Souriait-il, puis il partit, avec le livre Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé, dans sa main droite.
Je le regardais partir, pensive.
Puis, je repris ma lecture, faisant comme si rien, ne s'était passé.
--
Fin du Flashback !
-Tom, je m'en veux tellement. Disais-je, en essuyant mes larmes.
-Non, B... Wanda. Tu aimes mon père... et... je suis tellement heureux, d'un côté. Parce que, je sais, que, il ne sera jamais autant aimé par quelqu'un, que par toi.
Et... cela me fait tellement du bien, de savoir, que mon père est aimé.
Même si, il a toujours été dur avec moi, je l'aime, c'est mon père.
Et j'aime ma mère.
Ma mère aime peut-être mon père, mais toi, Wanda, toi, tu l'aimes plus que n'importe qui.
Et... stupide, comme je suis, je ne m'en rends compte, qu'aujourd'hui.
-Jene veux plus aimer ton père, Tom... Pleurais-je. Il ne doit pas savoir qui je suis...
-Wanda... Soufflait Tom, tendrement. Je vais te dire, quelque chose,
Même si, cela, me fait du mal...
Mon père t'aime,
Il t'aime de tout son être,
Rien que de le voir détruit, comme cela,
Je le sais.
Cela se voit, tellement.
Il pourrait même se sacrifier pour toi. Confiait Tom, en me regardant, et en essuyant mes larmes.
-Vraiment ?
-Vraiment, Wanda. Il t'aime. Jason Malton, mon père, t'aime. Souriait-il, doucement. Malgré qu'il soit un connard parfait.
Je le serrais dans mes bras, fortement.
-Tu ne peux pas savoir, à quel point, cela me fait du bien, d'entendre cela, Tom. Et le pire... c'est que, je sais, que cela te fait du mal. Mais tu me le dis, quand même.
-Tout ce que je souhaite, c'est de voir, les deux personnes qui me sont le plus chères, au monde, heureuses. Sans oublier, ma mère, évidemment.
-Je t'aime tellement, Tom. Souriais-je, tendrement. Tu m'as manqué, blondinet.
-Je t'aime tellement aussi, Wanda. Souriait-il, doucement. Tu m'as énormément manqué, aussi, brunette.
Nous rîmes.
-Il va falloir que j'y aille, Tom. Annonçais-je. J'ai quelque chose, à faire. Expliquais-je, en me retirant de l'étreinte. Au faite, j'ai quelque chose à te dire !
-Oui ? Demandait Tom.
-La deuxième fois, où tu es venu dans ma chambre, quand j'avais entendue des pas... c'était ton père. Il m'avait déposé des roses jaunes, pour s'excuser de ses actes, envers moi. Alors, ne le considère pas comme un connard parfait, même si il t'as traité, comme un moins que rien.
-Oh d'accord. Disait Tom, surpris. À plus tard, Wanda.
-À plus tard, Tom.
Ont se levas, et partirent chacun de notre côtés.
Je marcha jusqu'à la buanderie, et pris la chemise, qui était toute propre, puis j'en profita pour l'a repasser, rapidement.
Direction le bureau de Monsieur Gamb !
Je toqua.
-Entrez ! S'exclamait Monsieur Gamb, chaleureusement, comme toujours.
-Bonjour, Michael. Souriais-je.
-Bonjour, Wanda. Soufflait-il, en souriant.
-Je... Je suis désolée, de vous avoir déçue, hier.
-Ce n'est rien, mon enfant. Cependant... ce n'est pas à moi, de réellement présenter tes excuses. C'est à Jason... Disait-il, tristement.
-Il ne veut plus me voir...
-Il était énervé. Et... tu sais... tu es la seule personne, à pouvoir l'apaiser.
-Je...
-C'est amusant d'ailleurs, il n'y a que toi, qui peut l'énerver aussi vite, et l'apaiser, aussi vite. Riait Michael.
-C'est vrai. Souriais-je.
-D'ailleurs, pourquoi me rends-tu visite ? Demandait-il, curieusement. Cela m'étonnerait que tu viennes, juste pour parler, avec un vieux sage. Riait-il, amusé.
-Heu ! M'exclamais-je, en riant, gentiment. Je serais ravie de parler avec vous, mais je suis pressée. Je voulais vous donner la chemise de Jason. C'est une longue histoire.
-Je suis ravi de l'apprendre, haha ! S'exclamait-il, en criant, gentiment, aussi. Une longue et amusante histoire, que Jason s'est fait un plaisir à me raconter. Souriait-il, tendrement.
-Oh... Rougissais-je, en regardant mes mains, repensant à la fois où je l'avais soigné. Certes, mais, je voulais l'a donner à vous, pour que... vous lui donniez.
-Je refuse.
-Quoi?! M'exclamais-je.
-Tu lui rendras sa chemise, en mains propres, et tu lui feras, à ce moment-là, tes excuses.
-Je... Soufflais-je, désespérée. D'accord. Souriais-je, doucement.
-Au faite, as-tu trouvé une idée, pour réviser ?
-Madame Rowena, est d'accord pour m'aider, sauf dans les matières scientifiques, parce qu'elle n'est pas très bonne, dans cet univers. Répondais-je, motivée.
-On ma dit que... Commençait-il. Monsieur Malton, était très bon, en mathématiques, et en sciences. C'était même le premier de la classe. Confiait-il, amusé.
-Merci. Riais-je, en souriant.
-Alors, bonne chance, et au revoir, Wanda ! S'exclamait-il.
-Merci beaucoup, Michael. Au revoir ! M'exclamais-je, en sortant, et en rangeant la chemise dans mon sac.
Il n'y avait plus qu'à trouver Jason !
Il était sûrement dans les couloirs.
--
9h00 du matin !
Cela faisait plus d'une heure, que je le cherchais, sans succès.
-Wanda ! S'exclamait une voix, derrière moi.
-Oui, Iris ? Demandais-je, en me retournant, et en souriant, amusée.
-Bonjour, Wanda ! Disait-elle, en se rapprochant de moi.
-Bonjour !
-Tu voulais me demander quelque chose ?
-Ta panthère, est dans le couloir, un peu plus loin.
-Ma... quoi ?
-Ta panthère ! Riait-elle, amusée.
-Ma panthère... ? Oh ! Rougissais-je. Iris ! M'exclamais-je, en lui donnant une tape, sur l'épaule.
-C'était trop tentant, je suis désolée ! Riait-elle, fortement.
-Tu n'en à pas l'air ! Riais-je, aussi.
-C'est vrai, je ne le suis pas !
Nous rîmes toutes les deux.
-Merci beaucoup, Iris.
-Je t'en prie, Wanda.
-On se voit plus tard ! M'exclamais-je, en partant.
-On se voit plus tard ! S'exclamait-elle, en partant dans le chemin opposé.
Je marchais, et regardais si, Jason était là.
Il parlait avec des professeurs.
Ses yeux bleus étaient vifs, et concentrés.
L'expression tout beau, tout propre, allait très bien avec son allure.
En même temps... il a toujours été, très classe.
Je m'avançais pas loin de lui.
Je l'admirais, et pendant qu'il parlait, ses yeux me virent.
Je me redressais, en toussant, embarrassée.
Il m'ignora, et continua de parler.
Je m'en veux tellement.
Il a l'air de m'en vouloir, aussi.
Et putain, je le comprends tellement bien.
Il continuait de parler.
Quelques minute après, il arrêta de parler avec eux, et partit...
Non.
Non !
Je me mettais à courir de toutes mes forces, et le rattrapa par la main.
-Lâchez-moi. Tout de suite. Ordonnait-il, froidement.
-Non.
-Non ?! Demandait-il, outré. Quel genre de personne, pensez-vous être ? S'exclamait-il, en se retournant vers moi.
Le genre de personne qui vous aime ?
-Je... Je suis désolée, pour hier.
-Je ne veux pas en parler. Disait-il, sans émotions.
-D'accord, mais je voulais simplement m'excuser. Et... Commençais-je, en cherchant sa chemise, dans mon sac. Vous donnez, ceci. Disais-je, en lui tendant sa chemise.
Merci mon dieu, le couloir était vide !
-Merci. Disait-il, en l'a prenant, et en l'a rangeant dans sa mallette.
-Je vous en prie.
-Tenez. Disait-il, en sortant mon débardeur, de sa mallette.
-Merci. Souriais-je, en le prenant, et en le rangeant dans mon sac.
-Nous avons plus aucunes raisons de se reparler, maintenant. Disait-il, froidement. Au revoir, Mademoiselle Witch.
-Au revoir, Monsieur Malton. Disais-je, prise au dépourvue.
Il me regarda de ses yeux bleus, et froids, puis se retourna, et partit.
Me laissant plantée là, dans ce couloir.
C'est trop tard... n'est-ce pas ?
J'ai tout foutue en l'air...
Quelle conne !
--
11h00 du matin !
Je retournais à mon dortoir, pour voir Iris.
Je m'asseyais sur mon lit, le moral à zéro.
Je regardais mon portable, n'ayant même plus l'envie de voir si il y avait des nouveaux messages.
Je ne veux plus rentrer dans sa vie privée.
Plus jamais.
-Wanda... ça va ?
-J'ai besoin de parler, Iris. Soufflais-je, tristement.
Elle ferma le dortoir à clé.
Nous étions que toutes les deux, de toute façon !
Bordel !
Elle s'asseyait à côté de moi.
-Jecrois que c'est trop tard. Pour Jason.
-Comment cela ?
-J'ai tout foutue en l'air.
-Je suis sûre que non, Wanda.
-J'ai brisée le peu de confiance, qu'il avait en moi... Disais-je, en commençant à pleurer.
-Je te promets, que rien n'est foutu en l'air.
-Promis ?
-Promis. Il reviendra vers toi. Disait-elle, en prenant ma main, pour me réconforter.
Je l'a serrais dans mes bras.
-Tu es la meilleure, Iris. Souriais-je, tendrement.
J'essayais mes larmes, et je l'a regarda.
-Tu es la meilleure aussi, Wanda. Souriait-elle, gentiment.
-Je t'aime vraiment, Iris. Tu es une des meilleurs amies, que j'ai pu avoir. Riais-je.
Ma gorge se noua en pensant à Lionne, Evanna et Matthew.
-Je t'aime aussi, Wanda. Pour ma part, tu es la seule meilleure amie que j'ai pu avoir. Riait-elle.
Nous rîmes ensembles, et je passa ma journée avec Iris.
La journée passa plus que vite.
La soirée se passa aussi normalement.
J'allais me coucher.
-C'était vraiment drôle, aujourd'hui ! M'exclamais-je, en riant, amusée. Bonne nuit, Iris ! M'exclamais-je, gentiment.
-Oui, vraiment ! S'exclamait-elle, en riant, amusée, aussi. Bonne nuit, à toi aussi, Wanda ! S'exclamait Iris, gentiment, aussi.
Et nous nous endormîmes.
--
Mardi 23 Mai.
11h00 du matin !
Je me réveilla discrètement, et motivée.
Depuis l'autre fois, j'avais commencée les cours avec Madame Rowena, et cela se passait très bien, nous avions presque finit le programme.
Pour être honnête, des fois, ont y passaient la nuit !
Elle était vraiment attentive, drôle et gentille avec moi.
Elle expliquait aussi très bien, sachant qu'elle est très intelligente !
Je me lava, et m'habilla, direction la bibliothèque.
Oh, c'est vrai...
Elle n'est pas là, aujourd'hui.
Hier, elle était partit du lycée, parce qu'elle avait commencée à perdre les eaux.
Oui, parce que, je ne l'ai jamais dit, mais Madame Rowena, est enceinte d'une petite fille !
Elle m'a dit, qu'elle et son mari, allaient l'appeler Rosalya.
Je trouve ce prénom très joli.
Je sortais donc de la bibliothèque, pour trouver Louis.
Cela faisait très longtemps... !
J'arrivais à la Grande Salle, pour manger, et je le trouvais là, assit avec d'autres élèves, en riant avec eux.
Son regard se retourna, vers moi, mais il m'ignora.
Je m'avançais vers lui, mais il se leva, et s'en alla.
Je courrais après lui.
-Louis ! M'exclamais-je.
-Pars, Wanda !
-Non. Pourquoi tu te comportes comme cela, avec moi ?
-C'est toi qui a commencé, Wanda.
-S'il te plaît. Peux-tu, juste, deux minutes, être gentil, et venir manger avec moi, et les autres ?
-Pourquoi ? Demandait-il, en se retournant, et en croisant les bras.
-Parce que... vous me manquez.
-C'est cela. Tu n'avais besoin que de nous, pour finir ta vengeance.
-De quoi parles-tu ? Demandais-je, stressée.
-Ta vengeance. C'est ce que tu nous a dit, non ?
-Oui... que c'était pour une vengeance. Mais... vous êtes mes amis, bordel. Je ne vous ai jamais utilisé, surtout pas toi, Louis.
-Vraiment ?
-Vraiment.
Il vint me prendre dans ses bras, et ont se serras.
Ontse retiras, en se souriant.
-Il faut trouver les autres. Disait-il.
-Oui. Acquiesçais-je.
Cela n'était pas difficile, parce qu'ils venaient d'arriver dans la salle, tous ensembles.
Nous arrivâmes vers eux.
-Attendez... pas d'insultes ? S'inquiétait Ben.
-Pas unes. Riais-je.
-Alors cela va mieux, entre vous deux ? Demandait Suzy, rassurée.
-Oui. Répondait Louis, en me regardant.
-Tant mieux ! S'exclamait Des'.
Nous rîmes, et je regardais Louis.
-Ont vas s'asseoir à une table, pour manger, tous ensembles ? Proposait Louis.
-Oui! S'exclamait Ben.
Et c'est ce que nous fîmes.
Nous nous installions à une table.
La nourriture était déjà servie sur toutes les tables.
-Alors Miss... Commençait Ben, en mâchant son poulet. Pour Juin, as-tu une idée ?
Cela faisait douze jours, que je n'avais pas parlé avec Jason Malton...
Il ne me manquait pas.
Du moins, c'est ce que j'essayais de me dire.
Douze jours.
C'est long, très long.
-Oui. Ont vas prendre d'énormes risques.
-Ont tomberas toujours ensembles, et ont se relèveras toujours ensembles. Souriait Ben, pour m'encourager.
-Après manger, je vous le dirais.
-D'accord ! S'exclamait Suzy.
-Et sinon, vous deux ? Demandais-je, à Ben et Suzy. Comment, ça va ?
-Comme sur des roulettes ! Répondait Ben, en regardant, tendrement Suzy.
Il l'embrassa, et elle lui rendit son baiser.
-Comme tu peux le voir, très bien. Riait Suzy, en rougissant.
-Je suis vraiment contente, pour vous deux. Souriais-je, gentiment.
-C'est un peu grâce à toi, Wanda. Souriait Ben.
-C'est vrai que ce garçon stupide n'aurait jamais eu le courage, si tu ne nous aurait pas fait ce coup-là ! Riait Suzy, en donnant une tape sur l'épaule de Ben.
-C'est qui, le garçon stupide ? Demandait Ben, en faisant mine d'être vexé.
-Toi ! Riait Suzy.
-Hey ! S'exclamait Ben, en lui faisant des chatouilles.
Nous rîmes tous ensembles.
Je regardais Tom, qui me souriait, et je lui rendis.
Mes yeux se dirigèrent vers le directeur, qui me lança un clin d'oeil bienveillant, et je lui souriais gentiment.
Puis... je regardais Matthew, Lionne et Evanna.
Matthew me souriait, et Lionne et Evanna m'ignoraient.
Je soufflais, en souriant à Matthew, et continua de rire avec ma bande d'amis.
--
14h00 !
Nous sortions de table, l'estomac bien rempli.
Nous nous dirigeâmes vers le banc, et nous nous écroulâmes dessus.
-Ont as vraiment trop mangés ! S'exclamait Ben, en riant.
-Je confirme ! Riait Louis, en se tenant le ventre.
-Mais maintenant, ont écoutent le capitaine ! Annonçait Suzy, en me regardant, gentiment.
-Je... voilà. Commençais-je.
-Mais encore ? Riait Ben, gentiment.
-Roh, tais-toi, et écoute ! Riait Suzy, gentiment, aussi.
-Vous le savez peut-être, mais... Il y a une fille prénommée Blodwyn Heitsburg, qui est morte, fin Août.
-Ont est au courant... Soufflait Suzy, tristement.
-Je ne veux pas être mêlé, à cela... Disait Louis.
-Louis, laissez-moi, vous expliquer.
-Ont te laissent parler. Souriait Des', gentiment.
-Elle était assignée à une maison, pour les vacances, jusqu'à ses dix-sept ans, parce qu'elle n'avait pas de famille, en Angleterre.
-La maison des Malton. Disait Ben, en hochant la tête, et en me regardant.
-Oui... Et... elle était comme... ma meilleure amie. Expliquais-je.
-Donc ? Demandait Suzy, confuse.
-C'est Jason Malton, qui l'a tué. Il l'a tué mentalement, et elle s'est suicidée. C'est à cause de lui, si elle est morte. Disais-je, froidement, cachant mes émotions. Je veux ma revenge.
Je ne sais pas ce que j'ai.
Mais c'est finit.
Arrêtez de jouer avec mon cœur.
Je ne veux plus voir ses yeux bleus se poser sur moi.
Putain, mais je l'aime tellement !
-Tu veux... le tuer ? S'inquiétait Suzy, en regardant les autres.
-Non ! M'exclamais-je, en m'énervant, le cœur déchiré.
-Alors, quoi, Wanda ?
-Je... Je veux qu'il aille en prison. Disais-je, en craquant, et en pleurant.
-Tu me demandes... de mettre le père de mon meilleur ami... en prison ?Demandait Louis, confus.
-Oui. Disais-je, froidement, les larmes coulant sur mes joues.
-Wanda ! S'exclamait-il, en s'énervant, et en partant.
-J'en suis. Disait Ben.
-Mais... Ben. Commençait Suzy, en le regardant. Je suis désolée, Wanda, je ne peux pas. Disait-elle, en me regardant.
-Moi non plus. Disait Des', en se levant, et en partant.
-Si Suzy, ne veut pas, je ne peux pas, Wanda. Disait Ben, attristé, en partant.
-Je comprends. Répondais-je, sans émotions.
-Bonne chance, Wanda. Disait Suzy, en partant.
Je suis seule.
Et je veux mourir.
Jason me manque plus que tout.
Et mes anciens meilleurs amis, aussi !
Parfait !
Je me rendais au dortoir, brisée.
-Wanda... ? Commençait Iris, inquiète.
-Lâchez-moi ! Lâchez-moi ! TOUS ! Criais-je, ravagée par les larmes, et en m'enfermant dans la salle de bain.
Je frappais de toutes mes forces dans le miroir, plusieurs fois.
Je suis désolée, le miroir, cela fait la deuxième fois.
Et m'écroulais sur le sol, n'ayant plus de force.
--
19h00 !
-Wanda... Cela fait depuis trois heures, de l'après-midi, que tu es, là-dedans... Ouvre-moi. Disait Iris, tendrement, et doucement.
Ma main atteignait la serrure, et l'ouvris.
-Oh mon dieu, Wanda ! S'exclamait-elle, surprise, en voyant tous les débris de verre, et mes poings qui saignaient.
-S'il vous plaît... je ne veux plus vivre. Disais-je, les larmes coulant.
Iris pleurait en me voyant, et elle me prit dans ses bras, doucement, et me rassurait.
-Wanda. Disait-elle, doucement.
-Je ne veux plus vivre, Iris. Disais-je, en pleurant.
-Je t'interdis de dire ça, Wanda... Disait Iris, calmement.
Je me blottissais contre elle.
Nous restâmes dix minutes, comme cela.
Nous nous retirâmes.
Iris se leva, et nettoya le sol, et jeta les débris de verre.
Elle partait deux minutes, puis revenait avec un nouveau miroir, similaire à celui d'avant.
-La femme de ménage n'était pas très contente. Riait Iris. C'est la deuxième fois ! Plaisantait-elle, en imitant la femme de ménage.
Je riais doucement.
-J'irais m'excuser. Souriais-je, gentiment.
-Cela fait du bien, de te voir rire, et sourire. Disait Iris, en souriant, gentiment.
-Tu n'aurais pas quelque chose, pour soigner mes poings ? Demandais-je.
-Si, j'ai quelque chose ! Prends ma main, je vais t'aider à te relever ! S'exclamait-elle, en me souriant, énergiquement.
Je pris sa main, et elle m'aida à me lever, puis, elle m'aida aussi, à m'asseoir sur mon lit.
Elle allait à la salle de bain, et revint vers moi, avec du désinfectant, de la pommade, et des bandages.
-Merci. Souriais-je.
-Je ne suis peut-être pas infirmière, mais j'ai un petit-frère casse-cou. Alors, je sais faire des bandages. Riait-elle.
-Ta famille ne te manque-t-elle pas ?
-Quelle question, bien sûr que si ! S'exclamait-elle, gentiment.
-Quel âge a ton petit frère ?
-Il a douze ans. Il s'appelle Wally. Souriait-elle, nostalgique.
-Ah... la famille. C'est quelque chose de précieux, hein ? Soufflais-je, en regardant Iris.
-Oui, à mes yeux, c'est tout ce qu'ont as. Même si, des fois, elle peut-être contre toi, elle sera toujours là pour toi, si tu es seule. Une famille, quoi. Souriait-elle, doucement.
-Je ne sais même pas les origines de mes parents... Soufflais-je.
-Tu as sûrement déjà vu ton certificat de naissance, alors, tu n'as pas à t'inquiéter. Souriait-elle.
-Non, Iris. Le problème, c'est qu'ils ont, toujours, évités la question, quand je demandais à le voir.
-Oh.
-Comme tu dis.
-Attention, cela va piquer.
-J'ai eu l'habitude. Riais-je.
Elle me désinfecta.
-Cela pique ! Criais-je.
-Je pensais que tu étais courageuse !
-Non ! Riais-je, gentiment.
Elle m'étala la pommade, doucement, puis me mettait des bandages.
-Voilà ! S'exclamait-elle.
-Merci beaucoup, Iris ! M'exclamais-je.
-Je t'en prie, Wanda ! Souriait-elle.
-J'ai besoin de sortir, m'excuses-tu ?
-Va prendre l'air, tu en as besoin. Mais, mets un pull.
-Merci, c'est ce que je vais faire.
J'enfilais le pull vert de Tom, que j'avais toujours.
-À toute à l'heure, Iris !
-À toute à l'heure, Wanda !
Puis, je sortais.
Je croisa la femme de ménage.
-Bonjour, Madame !
-Bonjour, la jeune fille qui casse des miroirs ! Riait-elle, gentiment.
-Je suis vraiment désolée. Disais-je, sincèrement, en souriant, gentiment. Comment allez-vous ?
-Je vais très bien, merci beaucoup, Wanda, et toi ? Demandait-elle, gentiment. C'est vrai que je râle souvent, mais je ne t'en veut pas du tout ! S'exclamait-elle, doucement.
-Très bien, merci beaucoup, à vous aussi Madame Noël. Disais-je, en l'a regardant. Tant mieux, alors ! Riais-je, gentiment. Bonne soirée à vous, et bonne chance ! M'exclamais-je, poliment.
-Je t'en prie. Répondait-elle, poliment. Merci beaucoup, bonne soirée à toi aussi ! S'exclamait-elle, gentiment.
-Merci beaucoup ! M'exclamais-je, en partant.
-Je t'en prie ! S'exclamait-elle, en partant vers un autre couloir.
Je marchais tranquillement.
Je croisa Jason, plus loin, mais nous nous ignorions.
C'est mieux comme cela, finalement.
Vivre chacun de son côté.
Je veux lui laisser la pensée de Blodwyn, dans sa tête.
Et juste... le laisser vivre.
Après tout, c'est finit, n'est-ce pas ?
Je soufflais, et le regardais marcher.
Je passais devant lui, sans rien dire.
-Passez une bonne soirée, Mademoiselle Witch. Disait-il, ni gentiment, et ni froidement.
Il m'avait juste dit cela... comme si j'étais une simple élève.
Mais Wanda... tu es une simple élève, à ses yeux !
-Merci beaucoup. Passez une bonne soirée, vous aussi, Monsieur Malton. Disais-je, simplement, en me retournant vers lui.
-Merci. Disait-il, en me regardant.
-Je vous en prie.
-Très bien. Disait-il, bienveillamment.
Cela fait tellement mal !
Il évita mon regard, et je me retournais, en continuant mon chemin.
L'homme regarda le sweat-shirt de la jeune fille, confus.
Ne serait-ce pas un des sweat-shirts de son fils, qu'il avait, il y a longtemps ?
Je continuais mon chemin, et alla m'asseoir jusqu'au banc.
Mes larmes se mirent à couler, doucement.
Et des bras vinrent m'entourer, tendrement.
-Je doute de la confiance que tu as en nous, tous. Disait cette personne.
-Louis ? Demandais-je, en me retournant vers lui.
-Le seul, et l'unique.
-Je... je tellement suis désolée, de vous avoir demandé ça, surtout à toi, Louis. Et... je ne sais pas, ce qui t'a blessé, ces derniers mois, pour que tu ais pu me parler comme cela, mais, je m'en excuse aussi.
-Tu n'as rien fait, Wanda.
-Est-ce que tu m'aimes, Louis ?
-Oui, bien sûr.
-Non mais moi aussi, mais, en amour ?
-Quoi ? Demandait-il, surpris. Non, j'aime déjà quelqu'un. Rougissait-il.
-Attends... alors, ce que tu as voulu me dire, il y a deux mois, à la buanderie, ce n'était pas cela ?
-Haha, non, je pense qu'il y ait une grosse méprise, Mademoiselle Wanda. Riait-il, amusé.
-Alors... Oh merde, je suis tellement désolée, j'avais crue que... Riais-je, doucement.
-Ce n'est rien. C'est pardonné. J'aurais sûrement réagis pareil, après tout. Riait-il.
-Alors... Louis, qu'est-ce que tu voulais me dire, à ce moment-là ?
-Je voulais te confier des doutes que j'avais, sur toi.
-Q... Quoi... ? Paniquais-je.
-Ont as été aveugles, avec l'équipe. Soufflait-il. Mentalement, tu te battais seule, avec personne à qui te confier, de ton secret.
-Oh bordel de merde, de quoi parles-tu, Louis ? Demandais-je, les mains moites, stressée.
-Tu es, Blodwyn Heitsburg. C'était tellement logique... Mais tu n'as fait que confirmer nos doutes, après cet après-midi. Souriait-il, gentiment.
-Nos ? Demandais-je.
-Nos. Répondait une voix, derrière nous.
Je me retournais, et je vis Suzy qui croisait les bras, avec Ben et Des'.
-Je... Paniquais-je.
-Hey, ne panique pas, poulette. Riait Suzy.
-Ne le dite pas à personne, s'il vous plaît.
-Hey ! Ont est un groupe ! S'exclamait Ben.
-Mais... vous... vous m'aviez tous lâchés cet après-midi.
-Ont voulaient confirmer nos doutes, en faite. Et tu l'a fait. Expliquait Des'.
-Mais... alors, la mission ?
-Ont est tous avec toi. Souriait Louis, et je me retournais vers lui.
-Vraiment ? Demandais-je.
-Vraiment. Répondait-il, en me souriant, tendrement.
Je me retira de l'étreinte de Louis, et me leva, pour prendre Suzy, dans mes bras.
Ben s'y ajouta, avec Louis qui s'était levé, en même temps, que moi.
Et enfin, Des'.
-J'adore les câlins de groupe ! S'exclamait Ben, en souriant tendrement.
-Moi aussi ! M'exclamais-je, en riant, doucement.
Nous nous retirâmes, et j'essuyais mes quelques larmes.
-Alors, Mademoiselle Heitsburg, ou bien Witch, cela va mieux ?
-J'en ai plus à être stressée, pour cacher mon identité, alors oui.
-Mais... est-ce que tu peux... nous raconter la vraie histoire ? Demandait Louis.
-Je... Oui.
Ont s'asseyaient, et je soufflais, doucement.
-Vas-y, doucement. Souriait Ben.
-Tout à commencé... Commençais-je.
Je n'ai pas besoin de vous racontez la suite de ma phrase, vous la connaissez, par cœur.
Je racontais tout du début, jusqu'à aujourd'hui.
21h00 !
-Wow. Putain, tu es tellement courageuse, Blodwyn. Soufflait Louis, en me prenant dans ses bras, et en essuyant les quelques larmes qui avaient coulées sur mes joues.
-Tu l'auras ta vengeance. Disait Ben.
-Ont te le promets. Souriait Suzy.
-Et tu n'auras rien à préparer comme plan, ont se chargent de tout. Disait Des'.
-Oui, et tout sera prêt pour le 5 Juin ! S'exclamait Louis, en annonçant, et en souriant, tendrement.
-Merci beaucoup. M'exclamais-je, en souriant, tendrement.
Attendez, le 5 Juin ?
Ont se levaient.
-Il est temps d'aller dormir ! S'exclamait Ben.
-Oui, tu as raison. Souriait Suzy.
-Totalement ! Riait Des'.
-Je confirme. Souriait Louis, en baillant.
-Bonne nuit tout le monde ! M'exclamais-je, en partant.
-Bonne nuit ! Disaient-ils, en partant aussi, de leurs côtés.
Je marchais jusqu'au dortoir, fatiguée.
J'ouvrais la porte, et m'asseyais sur mon lit.
Il n'y a jamais personne dans ce dortoir, sauf Iris, qui m'attendait, avec un grand sourire.
-Ferme la porte à clé, Iris, s'il te plaît. Souriais-je, doucement.
-D'accord... ? Disait-elle, confuse, en se levant de son lit, et en fermant la serrure.
Elle venait se mettre à côté de moi.
-J'ai quelque chose à te dire.
-Tu me fais peur, Wanda... Disait-elle, stressée.
-Je ne m'appelle pas vraiment, Wanda Witch. Confiais-je, en prenant sa main, pour l'a rassurer.
-Comment cela ?
-Mon vrai nom, est Blodwyn Heitsburg.
-Que... Quoi ?! S'exclamait-elle, surprise. Tu es... mais...
-Je me suis déclarée morte...
-Est-ce que ta famille le sait ?
-Non, bien sûr que non, ils pensent que je vais bien, et que je ne me suis pas tuée volontairement.
-Tu es cette élève ! S'exclamait Iris, surprise.
-Je suis cette élève, comme tu dis ! M'exclamais-je, en riant, gentiment.
-Raconte-moi !
-Avec plaisir ! Commençais-je.
Et je raconta, pour la deuxième fois de la soirée, ma vraie vie.
Iris avait les larmes aux yeux, pendant que moi, je pleurais.
-Tu es si forte. Putain, je comprends tellement mieux maintenant, ta relation avec Jason.
Je la serra dans mes bras, et elle me serra.
-Il faut dormir maintenant. Annonçais-je, en souriant, et en essuyant mes larmes. Je suis complètement fatiguée.
-Je vais me laver, tu y vas après ? Demandait-elle, en se levant.
-Oui. Souriais-je, doucement.
J'avais les yeux complètement fatigués.
Iris marcha jusqu'à la serrure du dortoir, qu'elle avait fermée plus tôt, pour que je lui raconte ma vraie vie, et elle le ré ouvra.
Iris alla se laver, et se mettre en pyjama.
Elle sortait de la salle de bain, et je pouvais y aller.
Je marchais jusqu'à la salle de bain, et allais me doucher.
Je finissais rapidement, et me mettais en pyjama.
Je posa le sweat-shirt vert de Tom, à côté de mon lit, et me coucha.
Iris vint me faire un câlin, et alla se coucher, aussi.
-Bonne nuit, Iris ! M'exclamais-je, en souriant, tendrement.
-Bonne nuit, Wand... Blodwyn ! S'exclamait-elle, en souriant, tendrement.
Nous rîmes ensembles.
Et nous nous endormîmes.
- -
Bonjour ou Bonsoir tout le monde !
Comment allez-vous ?
J'aimerais connaître vos avis sur ce Chapitre ?
Je voudrais 100 commentaires sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂
Je suis vraiment désolée, si il y'en a beaucoup d'entre vous, qui se sont perdues à cause des Flashbacks !
J'étais vraiment obligée de les mettre, et dans le prochain, il n'y en aura que deux, qui seront très courts, haha !
Joyeux Anniversaire à Messages Of Twitter, ma FanFiction, que j'ai débutée le 26 Décembre 2014, qui fête ses deux !
Yeah !
C'est la fête, yeah !
Merci beaucoup !
Bonne journée ou bonne soirée à toutes !
x.
LeaDream
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