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Chapitre 42-16.

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C'est un Chapitre de 2078 Mots !

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Slygry Ravhuff, Chapitre 42-16.

Je n'arrivais pas à y croire.
Tom le savait.

-Qu'est-ce que... pour... comment... tu... Balbutiais-je, perdue, les larmes dévalant mes joues.

-Je te le dirais après. Là, je veux juste te serrer dans mes bras, bordel... Soufflait-il.

Je nicha ma tête dans le creux de son cou, et ferma les yeux.
Je me croirais rêvée...
Depuis tout ce temps, j'ai espérée lui reparler, le prendre dans mes bras, et qu'il sache qui je suis.

-Je t'ai vue sur une cassette de la police... Expliquait-il, d'un coup.

Je me retira de ses bras.
Non, il ne faut pas qu'il sache que c'est moi et mes amis qui avons fait tout cela...

-Comment cela... ? Demandais-je, anxieuse.



-Tu étais sur un enregistrement, tu étais dans le bureau de mon père. Et je t'ai reconnu, je ne sais comment. Cela m'a paru tellement évident.

-Tom... je...

-Je sais que tu t'en veux pour avoir fait perdre de l'argent à mon père, mais ne t'inquiètes pas. Je ne dirais rien.

Oh bordel, alors il ne pense pas que...

-Je savais que ce n'était pas ces cons d'élèves qui harcèlent la famille, qui avaient réussis à entrer dans le bâtiment de mon père. Je comprends que tu aies voulu te venger, après tout.

Vais-je être obligée de mentir toute ma vie ?
Je me mis à sangloter.

-Tom... la... la dernière fois qu'ont s'est vus... tu...

-Je... je n'étais pas moi, Blodwyn. C'est... c'est trop compliqué. Je n'arrive même pas à placer ce que j'ai eu sur des mots...

-Bordel, mais Tom... tu te rends compte de ce que tu m'as dit... ? Peux-tu imaginer à quel point je me suis sentie trahie par toi... à quel point tu m'as blessé... à quel point tu m'as fait souffrir avec tes paroles... ? Demandais-je, en pleurant.

Il souffla tristement, et regarda le sol.

-Je vous ai vus... Confiait Tom, en commençant à pleurer.

Non.
Non, non.... non.
Il n'a pas...
Non.
Bordel, s'il vous plaît...

-Mon... père... et... toi... Précisait-il, en se retournant vers la jeune fille, voyant qu'elle ne disait rien.

-Je... Tom...

-J'ai... du mal... tu sais... à penser... à tout... cela...

-Je ne l'aime pas, Tom. Articulais-je, difficilement.

-Ne te sens pas obligée de me mentir, Blodwyn... Soufflait-il. J'ai vu comment tu le regardais, et... à quel point il t'as fait souffrir... Disait-il. Mais tu continues à l'aimer...

-S'il te plaît Tom... ne lui dis rien. Jamais. Fis-je, les larmes ne s'arrêtant pas, subjuguée par la joie de retrouver Tom, et la tristesse que j'ai, en regardant Tom souffrir. Promis ?

-Promis, Blodwyn. Disait-il, en me reprenant dans ses bras.

Un silence triste se fit.

-Si un jour... tu... ne... ne le fais pas souffrir. Même si je n'accepte rien de votre relation... Je t'en supplie. Sanglotait Tom. Promis ?

-Promis, Tom.

-Tu ne sais pas à quel point je suis heureux... de t'avoir dans mes bras... Je regrette tellement, Blodwyn...

-Tu m'as tellement manqué... Confiais-je.

-Je m'excuse. Je m'excuse pour tout, Blodwyn...




Il s'excuse...
Tom s'excuse...
Tom Malton s'excuse... ?

-Je te pardonne. Mais c'est moi, qui devrais m'excuser pour tout.

-Tu n'as rien à te faire pardonner... mais s'il te plaît, ne refais plus jamais cela... tu ne sais pas à quel point j'ai eu peur... de te perdre. Et... on m'annonce que les médecins t'ont retrouvés... morte. Pleurait-il.

-Je ne referais plus jamais cela... Tom... ne pleure pas. Je suis là, maintenant. Et je resterais toujours là.

-Promis ?

-Promis.

-Ont as beaucoup de promesses à respecter... Riait-il, pour détendre l'atmosphère.

-Après tout ce temps, tu arriveras toujours à me faire rigoler dans des moments forts enémotions... Riais-je, doucement.

-Toujours. Au faite, où as-tu appris à parler Français ?

-Sérieusement ? Tu ne m'as pas vu depuis des mois, et c'est la seule question que tu arrives à trouver ? Riais-je.

-Techniquement, je t'ai vu. Mais sous un autre nom. Souriait-il, fier de sa réponse.

-Tu as raison. J'ai appris le Français grâce au meilleur ami de mon père, qui est français. Répondais-je.

-Intéressant. Merci. Souriait
Tom, adorablement.

-Je t'en prie. Souriais-je.

Il me regarda en souriant.

-Je ferais mieux d'aller dormir. Annonçait-il, doucement, en se levant.

-Je vais y aller aussi... Disais-je, en me levant.

Il me serra dans ses bras, par surprise.
Je ne tarda pas à le serrer dans mes bras, aussi.

-Je t'aime, Tom.

-Je t'aime, Blodwyn.

Ont se lâchas après quelques minutes, et il me fit un bisous sur le front.

-Bonne nuit. Souriais-je, gentiment.

-Bonne nuit, princesse. Souriait-il, tendrement.

Ont partis chacun de notre côté.
Je ne saurais expliquer à quel point, je suis heureuse.
C'est le plus beau jour de ma vie.
Ont as encore beaucoup de questions à se poser, je pense, mais il faut y aller pas à pas.

Je rejoignais mon dortoir, alluma mon portable.
Il y a des messages...
Je me mis à lire :

«

-Wanda a faillit se faire écraser ce matin... mais je l'ai rattrapé... ce qui m'a coûté un hématome, et des égratignures... J.

-Tu devrais être fier de toi. S.

-Je le suis. Je suis surtout soulagé. Mais il y'avait quelque chose qui me dérangeait. J.

-Comme d'habitude, ha ha ! S.

-Quand je suis arrivé vers le groupe, avec Tom. Elle était en débardeur blanc un peu trop décolleté, et en jogging blanc. J.

-Oh. S.

-Nous avions à nous occuper de l'école française, et ils n'ont pas arrêtés de faire des remarques assez... vulgaires, sur elle. J'ai cru que j'allais les encastrer dans un mur. Puis, ils ont fait des remarques sur moi, et ma chemise qui s'était salie quand j'avais rattrapé Wanda. J.

-Ils sont stupides. S.

-Oui... Cela m'avait énervé, mais Wanda n'y était pour rien, elle s'était excusé et m'avait dit que c'était son amie qui lui avait fait une blague, alors j'ai demandé à Wanda de m'insulter pour que je fasse semblant de l'emmener au bureau de Michael. J.

-Et puis ? S.

-Je l'ai enfermé dans un dortoir de garçons, complètement vide, heureusement, avec moi. J.

-Quoi ?! S.

-Et je lui ai donné une chemise que je gardais dans ma mallette de travail, puis elle a eu l'air embêtée que je n'a la garde pas pour moi, sur le coup, je n'avais pas compris, mais elle m'a dit qu'elle avait entendu les élèves français me critiquer. Et... du coup, je me suis changé. J.

-Devant elle ?! S.

-Elle était censée fermer les yeux. J.

-Elle était censée ? S.

-Elle a vu mon hématome et mes égratignures, et elle m'a engueulé... Alors, elle m'a soigné. J.

-C'est-à-dire ? S.

-Du désinfectant, de la pommade, et des mouchoirs. J.

-Non, mais, je ne te parle pas de cela, vieux débris. Elle t'a touché ? S.

-Oh non, tu recommences avec ce surnom. J.

-Réponds-moi ! S.

-Oui... elle m'a touché. J.

-Et qu'as-tu ressenti à ce moment-là ? S.

-Tu n'es pas une psy, Scarlett ! J.

-Alors ? S.

-Personne ne m'avait touché aussi tendrement, comme, elle l'avait fait. J.

-Alors, tu étais heureux. S.

-Je ne saurais l'expliquer. J.

-Quoi ? Tu as eu de l'envie ? S.

-Quoi ? Non ! C'était juste agréable. J.

-Tu mens mal. S.

-N'importe quoi ! J.

-Il y a quelque chose d'autre que tu me caches ? S.

-Pour mettre la chemise que je lui ai donné, elle a enlevé son débardeur. J.

-Quoi ?! Devant toi ? S.

-Enfin, non, Scarlett, ne sois pas naïve. Je me suis retourné. J.

-C'est tout ? S.

-Quoi, c'est tout ? J'en ai déjà trop dis. J.

-Parce que tu as d'autres choses à me dire... ? S.

-Elle n'arrivait pas à boutonner sa chemise. J.

-Tu n'as pas fait ce que je pense ? S.

-Je l'ai fait à sa place... J.

-Ha ha ha ! S.

-Elle m'a promit qu'elle oublierait ce que j'avais fait, et qu'elle n'en parlerai à personne. J'espère qu'elle ne riait pas. J.

-Je pense qu'il n'y a pas de quoi, s'inquiéter. S.

-Elle n'arrêtait pas de me regarder, c'était énervant et déconcentrant. J.

-Laisse-la, te regarder. Pauvre petite. Qui ne voudrait pas te regarder ? Tu es tellement bizarre ou bien, mystérieux, si tu préfères. S.

-Je préférerais mystérieux. J.

-C'est noté. Vous êtes mystérieux Jason L. D. Malton. S.

-Oh non, n'utilise pas mes deux autres prénoms. J.

-Je trouve cela bien moi, Lukaas et Daniel. S.

-N'en parlons pas. J.

-Encore heureux que ce soit tes vrais parents qui ont choisis tes prénoms. S.

-J'aurais de suite changé de prénom, penses-tu ! J.

-Tu en est tout à fait capable. S.

-Certes... Wanda ne m'a pas dit que j'étais bizarre... Elle m'a dit que j'étais fascinant ! Le suis-je ? J.

-Tu l'es même parfaitement, Lulu' ! S.

-Argh, non ! S'il te plaît ! J.

-Promis... Lulu' ! S.

-Tu es incorrigible. J.

-C'est pour cela que tu m'aimes. S.

-Qui a dit que je t'aimais ? J.

-Dommage que tes prénom ne riment avec rien, comme insulte ! S.

-J'en suis fort heureux ! J. »

Je riais, et pensa à sa chemise quelques secondes, et à ce moment embarrassant.
Je n'avais pas parlé du débardeur à Iris.
Une promesse est une promesse !

«

-Ces stupides élèves qui nous veulent du mal, ont tellement pourris la popularité de Tom, qu'il était venu seul, ce soir. J.

-C'était cela, leur plan de Mai. S.

-Le mois dernier, ils avaient installés un écran, et avaient interrogés plusieurs élèves à quoi ils pensaient en entendant le nom de Tom Malton... il n'y avait que des insultes... et... je l'ai vu partir discrètement, en pleurant... Si seulement je pourrais être là pour lui. J.

-Oh... tu ne m'en avais pas parlé. Mais Jason, tu peux être là pour lui. S.

-J'ai dû être trop perturbé pour te parler de quoi que ce soit. Et non, je ne peux pas... J.

-Jason... S.

-J'ai empêché Wanda d'embrasser un élève américain, et elle m'a remercié. J.

-Tu es comique. S.

-Wanda était... radieuse, ce soir au Bal. J.

-Cela ne m'étonne pas. S.

-Je lui ai même dit juste qu'elle l'était, après l'avoir empêché d'embrasser un garçon... et elle m'a retourné le compliment. J.

-Et après ? S.

-Elle m'a demandé si c'était moi qui avait conseillé Michael pour la couleur de sa robe, et je lui ai dis oui. Elle m'avait demandé pourquoi j'avais choisis la couleur jaune, et je lui ai fait promettre de ne pas rire, et je lui ai dis que c'était à cause d'une fille... J.

-Blodwyn. Ne transforme pas Wanda ! S.

-Ce n'est pas du tout mes intentions, Scarlett ! J.

-Je te crois. S.

-Merci. Je lui ai que cette fille avait déjà porter une robe rouge, et une robe verte. Et qu'elle, Wanda, avait déjà porté une robe bleue, alors si elle portait une robe jaune, cela aurait les couleurs principales des quatre maisons de Poudlard ! J.

-Haha, tu es unique, Jason ! S.

-Elle a trouvé cela adorable. J.

-Cela ne m'étonne pas. S.

-Je me suis perdu dans ses yeux. J'ai... voulu l'embrasser. Mais elle a reculé. Et je l'ai supplié de ne pas me traiter de monstre. Elle m'a dit de ne pas l'approcher. Et elle est partie en courant, et en pleurant. Je l'ai appelé mais... elle n'est pas revenue ! J.

-Oh... Jason. S.

-Les filles me feront perdre la tête ! J. »


Je souriais tristement.
J'éteignais mon portable, parce qu'il n'y avait plus de messages.
Je décida d'aller me laver, et de me changer.
Je sortis de la salle de bain en sous-vêtements.
Je regarda quelque chose dans ma valise...
Le sweat-shirt que Tom m'avait prêté, la nuit où Jason m'a embrassé, en tant que Blodwyn...
Je le mis, une larme coulant sur ma joue.

Je ne voulais pas dormir, sans sa chemise.

Alors, je l'a mis sous mon oreiller, et souris.

Je me coucha, et rangea ma bague dans mon tiroir de table de nuit, et ferma les yeux.

Et je m'endormis, sans arrêter de penser à tout ce qui s'était passé aujourd'hui.


       
Et surtout, je n'arrêtais pas de penser à Jason.

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LeaDream

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