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Chapitre 42-15.

Bonjour ou bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

Je veux 50 commentaires sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂

C'est un Chapitre de 9576 Mots !

ATTENTION ! : N'allez pas à la fin du Chapitre, avant d'avoir tout lu, si vous ne voulez pas vous spoilez, et parce que j'ai fais exprès d'écrire un Chapitre aussi long pour garder le suspense, s'il vous plaît !
Merci beaucoup, si vous le faites !

Bonne chance et bonne lecture à toutes ! 😊

- -

Slygry Ravhuff, Chapitre 42-15.

Vendredi 5 Mai.

Réveil banal, une fois de plus.

J'en ai pris l'habitude.

Dans presque deux mois, je vais quitter l'école.

Mais pour partir où... ?

Et je ne sais même pas quoi faire pour la mission du mois...

-Vous allez y aller vous ? Demandait une fille de mon dortoir, à deux autres filles.

-Bien sûr ! Je ne raterais pas une chance d'y aller, surtout si je peux danser avec Phil !

-Oui, j'y vais ! Je mettrais ma plus belle robe ! S'excita la troisième fille, rêveuse.

De quoi parlent-elles ?

-Hey, Iris. Chuchotais-je, en secouant son lit.

-Oui... ? Disait-elle, en baillant.

-De quoi parlent-elles... ? Demandais-je, curieuse.

-Tu rates vraiment toutes les informations, toi. Cela fait depuis Lundi que tout le monde en parle. Riait-elle.

-Arrêtes de te moquer et dis-moi ! M'exclamais-je.

-Du bal de demain.

-Encore ?! En quel honneur ?

-Le directeur, Monsieur Gambon, a voulu organiser ce Bal, pour faire venir d'autres écoles en lien avec Slygry Ravhuff, et aussi pour nous faire décompresser, parce que les deux mois de cours vont être assez tendus avec les examens. Expliquait-elle.

-D'où viennent les écoles ?

-Je crois qu'il y'en a sept, en comptant la nôtre. Une en Irlande, la seconde en France, la troisième d'Amérique, la quatrième, je crois que c'est d'Australie, la cinquième d'Inde, et la sixième de Bulgarie, puis il y a la nôtre. Souriait-elle.

-Wow, c'est vraiment une bonne idée de mélanger les cultures. Souriais-je, intéressée.

-Cela veut dire que tu vas venir ? S'excitait-elle.

-Je ne raterais pas cela. Disais-je, en faisant un clin d'oeil.

-Et... est-ce que tu vas venir en cours, aujourd'hui... ? Demandait-elle, gênée. Tu as dû porter ton uniforme deux fois, depuis que tu es mon amie.


-Pourquoi pas... ? Souriais-je, calmement.

Je partis me laver, et mettre... mon uniforme.
L' uniforme était noir, les filles avaient une cravate rouge avec une jupe, des collants, un pull, et une chemise blanche.
Puis les garçons avaient une cravate verte, avec un pull, une chemise blanche, et un pantalon.
La couleur verte et le rouge était réservée aux cinquièmes, sixièmes, et septièmes années.
Pour les premières, deuxièmes, troisièmes et quatrièmes années, la couleur était jaune pour les filles, et bleu pour les garçons.

Je me maquillais, et compta mettre ma bague, mais...
J'avais oublier que je l'avais rendu à Monsieur Malton.

Fais chier !

Je souffla, et sortis de la salle de bain, assez énervée.

Je pris mon sac de cours, et partis en direction de la classe de... Sciences.

Pourquoi ai-je voulu aller en cours, déjà ?!

Je rentra dans la classe.

-Bonjour Mademoiselle, qui êtes-vous ? Demandait l'enseignante.

Je vis Iris du coin de l'oeil qui pouffa de rire, et je ne pu m'en empêcher aussi.

-Une de vos élèves. Répondais-je.

-Pourtant, je ne vous ai jamais vu. Disait-elle, ne comprenant pas.

-Vous avez dû me voir à la rentrée, c'est tout. Je suis une élève fantôme, qui s'en fout des cours. Souriais-je, arrogamment, mais en restant polie.

-Hm... euh... d'accord. Répondait-elle, maladroitement. Allez donc vous asseoir à côté de Monsieur Malton, qui a l'air aussi intéressé que vous, par les sciences.

Et merde.
En faite, je peux très bien retourner me coucher, moi, hein...

Je souffla, et partis m'asseoir à côté de lui.
Il m'adressa un vague coup d'oeil, et je sortis mes affaires.
Enfin, ma trousse plutôt.
Je ne compte pas vraiment travailler...
La présence de Tom me stressa, je ne lui ai pas adressé la parole depuis le dernier Bal, où je l'avais consolé.

-Witch. Saluait-il, sans me regarder, toujours concentré sur le tableau vierge, derrière la prof.

-Malton. Souriais-je.

J'aimerais tellement plaisanter avec lui comme avant...

-Pourquoi cette mine si heureuse, Witch ? Remarquait-il, en me regardant.

-Je pensais à quelque chose, je n'ai pas le droit ?

-Tu penses à quel point tu es chanceuse d'être à côté du célèbre Malton ? Plaisantait-il, arrogamment.

-Tu n'es plus si célèbre... Fis-je remarquer. Aucune fille ne s'est battue pour se mettre à côté de toi.

Il ne répondit rien, se contentant de regarder la feuille blanche vide, sur son bureau.

-Et toi, tu n'es qu'une fille qui n'a pas de vie. Répondait-il, vraisemblablement blessé, par mes propos.

-Ce n'est pas parce que j'ai touché ton égo, que tu dois me dire cela, Malton.Pour l'instant, il n'y a que moi, qui essaye de communiquer avec toi. M'énervais-je, en rangeant ma trousse dans mon sac, en me levant.

-Où vas-tu ? Le cours finit dans deux heures. Demandait-il.

-Loin de toi, et de ton égo.

-Mademoiselle Witch, où allez-vous ?

Ne m'appelez pas Witch, bordel !

-Loin de tout ça.

J'ouvris la porte et tomba sur Monsieur Malton, qui comptait sûrement rentrer dans la classe pour voir Tom, ou je ne sais quoi.

Ont se regardas.
Il comptait dire quelque chose, mais je partis.

-Mademoiselle Witch ! J'appelle le Directeur, si vous ne revenez pas ! S'exclamait la prof.

Je continuais de marcher, et j'entendis des pas précipités vers moi.

-Witch ! Criait cette personne.

Monsieur Malton ne comprit pas pourquoi Tom courait après Wanda.
Non, Tom...

Je me mis à courir, et lui aussi.

-Reviens ! S'exclamait-il.

Je me mis à courir plus vite, mais il me plaqua contre un mur.


-Ne t'éloigne pas de moi. Suppliait-il. Je ne suis qu'un con.

-Je suis la seule à parler avec toi, ce n'est pas très juste.

-Ah oui ? Et pourquoi ?

-Parce que je suis humaine ?

-Je ne t'ai rien demandé. Il n'y a qu'une personne capable de me comprendre.

Et c'est bien moi, Tom !

Il me regarda de ses yeux bleus.

Bordel, rappelez-moi pourquoi il a les yeux de son père ?

Il me prit une mèche de cheveux qu'il replaça derrière mon oreille, et chuchota :

-Tu m'as man-

-Tom ! S'exclamait son père, qui arriva, et Tom se retourna directement.

Il nous dévisagea...
En même temps, dans cette position, il y a de quoi s'imaginer des choses.

-Au lieu de flirter avec tes groupies, viens ici. J'ai à te parler.

Aïe.

-Moi, une groupie ?! M'énervais-je.

-Tout à fait.

Il n'y a que toi, que j'aimais.

-Connard. Lâchais-je, le regardant, une larme coulant sur ma joue, puis je partis dans une autre direction.

Une deuxième larme roula sur ma joue, mais je l'essuya directement.
Je partis dans le jardin, sur un banc.
La pluie commença à tomber.

Je me mis à sangloter doucement.
Faites que ce cauchemar s'arrête.
Je resta toute l'après-midi ici, jusqu'à que je vis une des personnes que j'avais besoin de voir pour ne plus penser aux tristes pensées.

Il me prit dans ses bras.

-Ça va aller, princesse ? Chuchotait Ben.

-Oui... mais c'est Suzy, ta princesse. Plaisantais-je.

-Grâce à toi. Souriait-il. Merci beaucoup.

-Je t'en prie. Souriais-je, en arrêtant de pleurer.

Suzy, Louis et Des', arrivèrent quelques minutes après.
Ben embrassa Suzy, ce qui me fit sourire.

-Bonjour. Souriais-je.

-Bonjour ! S'exclamait Des', qui s'assit.

-Quelqu'un a une idée ? Demandais-je.

-Il y a le Bal demain... Annonçait Ben.

-Il faut faire quelque chose de petit, parce que la prochaine mission sera... compliquée. Expliquais-je.

-Il faudrait convaincre toutes les filles de l'école, de ne pas aller au Bal avec lui, et il se retrouve seul. Proposait Ben.

-C'est une très bonne idée, Ben. C'est petit, mais énorme pour sa popularité, et son égo. Souriais-je, en faisant un clin d'oeil.

-Je m'en charge. Souriait Des', en se levant.

-Et il n'y a plus qu'a ce que je fasse la lettre. C'est aussi simple que cela.

-Je coupe les caméras. Annonçait Ben, en souriant.

-Merci, Ben. Souriais-je.

-Ont t'accompagnent avec Ben. Souriait Suzy.

-Je vais aller aider Des'. Annonçait Louis, en partant avec Des'.

-D'accord. Répondis-je.

Ont partis vers la salle d'informatique, et je commença la lettre.

J'écris :

« Bonjour Tom. Alors, pas trop seul à cette soirée ? Bonne journée à toi ! x.

-C'est finis. Soufflais-je, en fermant la lettre.

-Je me demande quel est ton plan pour le mois prochain... Souriait Ben, curieux.

-Vous verrez bien ! Souriais-je, gentiment.

Ont sortis de la salle d'informatique.

-Je suppose que tu ne viens pas manger avec nous. Sourit Suzy.

-C'est exacte. Je n'ai pas faim. Souriais-je, en faisant un clin d'oeil.

-Alors bonne nuit, Wanda. Souriait Suzy.

-Bonne nuit, princesse ! S'exclamait Ben, en riant.

-Bon appétit, et bonne nuit les amoureux. Souriais-je, en partant vers le dortoir.

Je me dirigea vers le bureau de Monsieur Gamb, sans trop savoir pourquoi.

Je toqua.

-Entrez ! S'exclamait-il, poliment.

J'ouvris la porte et entra.

-Oh, bonsoir Wanda. Saluait-il gentiment, mais surpris.

-Bonsoir Michael... Je ne sais pas trop pourquoi je viens ici...

-Je suppose que ton subconscient t'a amené ici, pour une bonne raison. Sourit-il.

-Je suppose...

-Tu tombes bien. J'avais à te parler...

-Pas de mauvaises nouvelles, par pitié. Me plaignais-je.

-Je suis désolé de te parler de cela... Mais tes notes m'inquiètent.

-Pourquoi ?

-Parce que tu n'en a eu que deux, en une année.

Oh merde.

-Vraiment ? Demandais-je, surprise.

-Vraiment. Répondait-il, inquiet. C'est mon travail de Directeur de vérifier cela.

-Vous vérifiez vraiment toutes les notes de vos élèves ?

-Non, en faite... juste les tiennes et celles de Tom. Sourit-il, gentiment.

Ce serait déplacé de dire que je trouve cela particulièrement très gentil et adorable ?

-Merci d'y prendre un intérêt.

-C'est mon rôle de veiller sur toi et ta scolarité.

-Je...

-Je ne vais pas te demander pourquoi tu ne vas pas en cours, je pense en connaître la raison... Ta peur de voir Tom, ou de croiser Jason, mais je te demande juste de réussir les examens de fin d'année... sinon tu ne pourras pas accéder à la sixième année.

-Non... Vous savez que j'ai besoin d'y aller... Ce sera trop long sinon...

-Je sais que ta famille te manque. Alors prends cela pour une motivation. D'accord ? Souriait-il, malicieusement.

-D'accord. Merci, Michael. Souriais-je, touchée que quelqu'un veille sur moi.

-Bonne nuit, Wanda.

-Bonne nuit à vous, Michael.

Je me leva de la chaise, et ouvris la porte.

Quelqu'un me fonça dessus.
Pour une fois, que ce n'est pas de ma faute !

Malheureusement, je ne connais que trop bien ce parfum.

-Décidément, où que j'aille, vous y êtes. Se plaignait Monsieur Malton.

-Vous pourriez vous excusez !

-Qui m'a insulté ? Fit-il remarquer, en arquant un sourcil.




-Que je m'excuse de vous avoir traité de connard ?! Qui ferait ça ? M'excuser d'avoir dire quelque chose de vraie sur vous ?

-Allez vous-en, petite sotte. Disait-il, par inadvertance.

Il...
Je n'ai pas rêvé ?
Il l'a dit.
Je regarda Michael, qui était au courant de ce surnom.
Il me regarda aussi confus que je l'étais.
Mon regard se retournait vers Monsieur Malton.
Il semblait aussi surpris que moi et Michael.
Il semblait blessé...
Des larmes coulèrent sur mes joues.

-Wanda. Fit Michael.

Je regarda Michael, en secouant négativement de la tête, signe que je ne pouvais pas être forte.
Et je partis en courant.

-Wanda ! S'exclamait Michael Gamb.

Je partis dehors, m'assis sur un banc, pour calmer ma crise de panique qui m'empêchait de respirer.
Je me coucha sur le banc, en regardant les étoiles, qui ne me firent que plus pleurer.

Flashback.

-Pourquoi n'aimes-tu pas les étoiles ? Me plaignais-je à Jason, en me relevant, vu que j'étais couchée sur l'herbe. Elles sont magnifiques.

-Je ne leur ai jamais trouvé grand intérêt. Expliquait Jason, qui était assis sur un banc.

-Viens. Disais-je, en tapotant l'herbe à côté de moi.

-Je ne vais pas m'asseoir dans l'herbe ! Se plaignait Jason.

-Quelle virilité. Roulais-je des yeux.

Il souffla, et vint se coucher dans l'herbe, à côté de moi.

-Etje suis censé faire quoi, maintenant ? S'impatientait-il.

-Regarder les étoiles.

-C'est tout ?

-C'est tout.

Ils regardèrent les étoiles dans le silence.

-Qu'est-ce que tu leur trouves ? Demandait Jason, en se relevant avec son coude.

-Les étoiles sont magiques. Petite, mon père me disait, que chaque personnes décédées régnaient dans une étoile. Elles semblent vivantes... Leur brillance est merveilleuse. Je me sens heureuse quand je les regarde. Expliquait la jeune fille, sous le regard de l'homme qui admirait la jeune fille.

-Tu es mon étoile... Confiait Jason, en l'a regardant. Je me sens tellement heureux quand je te regarde. Disait Jason, en se baissant pour m'embrasser.

-Et tu es le seul qui me rende heureuse. Confiais-je.

Il me prit dans ses bras, et m'embrassa plus profondément... plus amoureusement, et je lui rendis.
Je donnerais tout pour que ce moment reste gravé dans mes pensées.

-Je t'aime, Jason.

-Je t'aime, Blodwyn.

Fin du Flashback.

Les larmes coulèrent toutes seules...

C'était la nuit, où ont s'étaient confiés notre amour...
Je sanglotais, blessée.
Je souffrais tellement de ses moments qui me manquaient...




Je souffla, et me leva pour aller au dortoir.
Je me changea, me coucha, et alluma mon portable.
Il y avait des nouveaux messages.

«

-Je crois que Tom a embrassé Wanda. J.

-Tu les a vus ? S.

-Non, mais Tom l'a serrait dans ses bras. J.

-Alors, arrêtes de te faire des films. S.

-Elle m'a traité de connard, et j'aurais cru voir une larme couler de sa joue... J.

-Pourquoi ? S.

-Parce que je l'ai traité de groupie vis-à-vis de Tom... J.

-Jason... S.

-Je sais. J. »

Je souffla, et continua de lire :

«

-Wanda était dans le bureau de Michael... À neuf heures du soir. J.

-Comment le sais-tu ? S.

-Quand elle a ouvert la porte pour partir, je lui ai malencontreusement foncé dessus... J.

-Comme d'habitude, ha ha ! S.

-Elle est toujours là où je vais. J.

-C'est amusant ! S.

-Elle m'a demandé de m'excuser, et je lui ai dis qu'elle ne s'était pas excusé pour m'avoir traité de connard, et elle m'a dit qu'elle ne voulait pas s'excuser pour avoir dit quelque chose de vraie sur moi... J.

-Elle n'a pas tord... des fois, tu peux être... un peu brusque. S.

-Merci de la compassion, Scarlett. J'apprécie. J.

-Ha ha, je suis désolée, mais c'est la vérité ! S.

-Je lui ai dis de partir, mais... bordel de merde, Scarlett... J.

-Qu'est-ce qu'il y a, Jason ? S.

-Je l'ai traité de petite sotte ! J.

-Oh non... tu n'as pas fait cela... S.

-Si ! J.

-Est-ce que tu t'en veux... ? S.

-Tu ne peux pas savoir à quel point... surtout quand j'ai vu sa réaction. J.

-Qu'est-ce qu'elle a fait ? S.

-Elle a pleuré, et elle est partit en courant... Michael l'a appelé, mais rien... elle était déjà partit. J.


-Elle ne dois sûrement pas apprécier les insultes, c'est pour cela qu'elle est partie. Tu as fait quoi après ? S.

-Je suis partis du bureau de Michael... mais j'y retourne là. J.

-D'accord, à demain, Jason. S.

-À demain, Scarlett. J. »

Il n'y a plus de messages, ils datent d'il n'y a même pas dix minutes.

- -

L'homme toqua à la porte de Michael Gamb.

-Entrez ! S'exclamait-il, poliment, comme toujours.

Monsieur Malton entra.

-Oh... Jason. Que me voulez-vous? Demandait Michael.

Il s'assit sur une chaise, et souffla.

-Interdisez Wanda Witch de Bal, demain. S'il vous plaît.

-Je ne peux pas l'a privé de Bal, Jason. Elle ne sort déjà pas beaucoup... Soufflait-il.

-Elle me perturbe tellement, Michael... Confiait l'homme.

-Vous l'avez appelé... Commençait Michael.

-Je ne veux pas en parler. Faites tout pour qu'elle n'y aille pas... Suppliait-il.

-Je ne peux faire cela, Jason. Expliquait Michael.

-D'accord... Soufflait Monsieur Malton, en se levant.

-Je suis désolé, Jason. Souriait Michael, gentiment.

-Ce n'est rien... Disait Monsieur Malton, en ouvrant la porte.

Mais l'homme se retourna vers Michael.

-Offrez-lui une robe jaune pour le Bal, et rendez-lui cela. Disait l'homme, en lui tendant une petite boîte.

-Je le ferais. Souriait Michael.

-Merci beaucoup. Souriait Jason, gentiment.

-Bonne nuit, Jason.

-Bonne nuit, Michael.

Et l'homme partit jusqu'au jardin, monta dans sa limousine, et rentra à son manoir.

- -

Je pensais à Jason.

J'en suis sûre maintenant.

Je l'aime.

Je l'aime vraiment.

Puis je m'endormis.


- -

-Wanda, réveille toi ! Tu as un paquet cadeau ! S'exclamait Iris, excitée.

-Calme toi... Baillais-je.

-Je suis désolée. Riait-elle, légèrement embarrassée de son enthousiasme.

Je m'étirais et, en effet, un paquet était sur mon lit.
J'ouvris la lettre.

« Bonjour Wanda, j'espère que tu as bien dormi. Une personne m'a conseillé pour la couleur, j'espère que tu aimeras. P.S. : Il y a une petite boîte dans le paquet, elle ne vient pas de moi, mais je pense que tu sais de qui elle vient. Bonne préparation, et à ce soir. Avant de te préparer, viens me voir, j'ai une tâche à te proposer. M.G »

-Alors ?! S'excitait Iris.

-Je dois aller voir le directeur, attends deux petites minutes, ici. Souriais-je.

-D'accord ! Je vais me laver, cela me fera patienter ! S'exclamait-elle, en souriant.

-Euh...

-Oh oui, mince, tu veux peut-être te laver avant d'aller voir le directeur ? Riait-elle.

-Si cela ne te dérange pas ! Riais-je.

-Vite, vite ! S'exclamait-elle.

Je courra littéralement jusqu'à la salle de bain, et en ressortit au bout de cinq minutes.
Je mis un jean blanc déchiré, un sweat-shirt vert, et me coiffa rapidement, puis me maquilla.

-Ne fais pas attendre le Directeur ! S'exclamait Iris, en me poussant du dortoir, pendant que j'étais en train de mettre mes chaussures.

-Iris ! M'exclamais-je, en tombant. Tu me le paieras ! Riais-je.

Je me releva, et partis en direction du bureau de Michael.
Je toqua.

-Entre, Wanda !

J'entra, curieusement.

-Comment avez-vous su que cela était moi ? Souriais-je.

-Je n'attends que toi, j'ai déjà parler aux élèves pour qu'ils m'aident, et comme tu es souvent en retard. Souriait-il, bienveillant.

-Pardonnez-moi. M'excusais-je, embarrassée.

-Tu es pardonnée.

-Alors ? De quoi vouliez-vous me parler ? Demandais-je, en m'asseyant.

-J'ai demandé à quelques élèves de m'aider pour accueillir les écoles, et de leur faire visiter. Et je me demandais... si tu pouvais m'aider. Vous serez par groupe.

-Avec plaisir ! Qui y a-t-il dans mon groupe ?

-Justement... en parlant de cela...

-Pas Tom ?!

-En faite, c'est plus compliqué que cela. Disait-il, embêté.

-Expliquez-moi ?

-Il doit y avoir un adulte qui doit rester avec ce groupe et... -

-Tant qu'il n'y a pas Tom, cela me va ! Souriais-je. Je dois aller où et, quand ?Demandais-je, excitée.

-Au portail de l'école, dans une heure. Soufflait-il.

La jeune fille n'avait pas laissé le vieil homme parler, ce qui l'embêtait fortement, parce qu'elle pourrait très vite prendre peur.

-D'accord Michael, à ce soir, au Bal ! Souriais-je, gentiment.

-Merci Wanda. À ce soir. Souriait-il, poliment.

-Je vous en prie ! M'exclamais-je, en ouvrant la porte, et en partant.

Pour une fois dans ma vie, je me sens heureuse, aujourd'hui !
Je me conduis au dortoir, et ouvra la porte.

-Iris, sors de la douche ! Je suis là !

-J'arrive !

Iris sortit en serviette de bain, et me demanda :

-Alors, qu'est-ce que Monsieur Gamb voulait ?

-Il fait des groupes pour faire visiter les lieux aux écoles qui arrivent, et il m'a demandé si je voulais bien l'aider, et j'ai répondue, oui. Souriais-je.

-C'est où et, quand ?

-Au portail, dans une heure. Répondais-je.

-Ah oui, j'en ai entendu parler, mais tu es au courant que-

-Il m'a tout expliqué !

Iris n'était pas sûre que la jeune fille soit vraiment au courant de tout.

-D'accord. Souriait Iris. Ouvrons ce paquet cadeau.

Je m'avança vers le paquet cadeau, et l'ouvris.
Wow.

-Oh mon dieu, cette robe est magnifique. Complimentait Iris.

-Je suis d'accord... Confirmais-je, en admirant la robe.

C'était une robe blanche et jaune...
Le bustier était en dentelle, et la jupe était bouffie et tombait par terre, il y'avait des roses jaunes dessus.
Des talons en dentelles, et jaunes allaient avec.

-Wanda, regarde. Il y a même des gants. Riait Iris.

-Oh oui. Souriais-je.

-Allez, je te laisse admirer ta tenue, je vais finir de me préparer. Tu vas être magnifique ce soir. Souriait-elle.


Je lui souris, et chercha la boîte dont Michael avait parlé dans la lettre.

Je l'a trouva.
C'était une petite boîte en cuir, et verte.
Il y'avait même un mot, dessus.

Je déplia le mot, et lu :

« Elle est à vous. Mes plus sincères excuses. »

Quoi ?
Je pense reconnaître cette écriture, mais je ne suis pas sûre.
J'ouvris la boîte et...
D'accord, je suis complètement sûre de qui il s'agit...
Une larme roula sur ma joue, en prenant la bague.
Elle m'avait manquée.
Cette bague n'a pas aucunes valeurs.
Elle garde tous les souvenirs que j'ai eu avec Jason...

Je souffla, et l'a mis.

Je devrais d'ailleurs me changer, je ne vais pas rester comme cela en attendant, je vais avoir trop chaud.
Je rangea la boîte dans ma table de nuit, avec le mot, et la lettre de Michael, et chercha d'autres vêtements.

J'enfila mon jogging blanc, un débardeur léger blanc, et mis des baskets noires.

Je traîna un peu, et ne vis pas l'heure filer.

-Iris, ouvre, je dois bientôt partir !

-Deux minutes !

Elle sortit, et je pu me coiffer et me laver les dents.
Iris, étant de nature blagueuse, vit la tenue de Wanda, et eut une idée.
Wanda avait un jogging moulant, et un débardeur décolleté, qu'on met généralement en-dessous d'un t-shirt court, ou bien pour dormir.
Iris savait ce qu'attendait Wanda, au portail.

-Il me reste deux minutes, il faut que je trouve une autre tenue ! M'exclamais-je.

-Plus le temps ! Les écoles vont bientôt arriver ! Riait Iris, en me poussant du dortoir, et en fermant la porte.

-Bordel, Iris ! À quoi tu joues ? Stressais-je.

-Tu me remercieras plus tard ! Explosait-elle de rire, derrière la porte.

Putain, qu'est-ce qu'elle a préparé encore... ?
Je souffla.
On voit presque tout avec ces vêtements !
Et je ne veux même pas parler de mon débardeur, rappelez-moi pourquoi j'ai hérité de bouées, pour parler poliment ?
Si il y a un garçon qui me siffle, je l'encastre dans le mur.

Je marcha, embarrassée, dans les couloirs.

Je le sens mal d'un coup...

Je souffla stressée, et marcha jusqu'au portail.

En arrivant au portail, je ne compris pas trop.

Dans mon groupe, il y avait Louis, Des', Suzy, Ben.

-Pourquoi ont est réunis ? C'est une coïncidence ? Demandais-je.

-Comment tu es habillée ? Plaisantait Suzy.

-Iris, qui m'a joué un tour. Je ne sais pas pourquoi !

-Ont devraient être six élèves par groupe, normalement. Fit remarquer, Ben.

-Et un adulte, non ? Demandais-je.

-Oui, mais personne ne sait qui c'est. Répondait Louis.

-Bordel, il faut se casser, je le sens mal, les gars. Paniquait Ben.

-Ne t'inquiètes pas, ça va aller. Riait Suzy.


-Wanda. Ne. Te. Retourne. Pas. Et. Cours. Articulait Louis, paniqué.

-Quoi ? Demandais-je, en me retournant.

C'est une mauvaise blague ?
Tom Malton.
Jason Malton.
Qui arrivaient dans notre direction.

-Putain, à quoi joue Monsieur Gamb ? Stressait Des'.

-Ce doit être une mauvaise blague. Disais-je, pour me rassurer.

-Pourtant, ils s'approchent vraiment dans notre direction. Paniquait Suzy.

-Moi, je propose de courir et de ne plus jamais sortir des dortoirs ? Demandait Ben, stressé.

Alors c'était cela que Michael et Iris voulaient me dire.
Mais j'étais tellement excitée à l'idée de pouvoir rencontrer les nouvelles écoles !

Plus ils s'approchaient, plus je sentais mon cœur exploser.

Tom et Jason Malton, en même temps.

Non, non...

Le groupe qui essayent de faire tomber une famille depuis des mois, et la famille qui doit tomber.
Les criminels et les victimes.
Les sangs purs et les enfants de non-sorciers.
Ombrage et l'Armée de Dumbledore.
Les Détraqueurs et les prisonniers d'Azkaban.
Bon, je vais peut-être trop loin dans mes comparaisons, là, ha ha !

Ils furent surpris à leur tour de nous voir, merci mon dieu, les Malton ne m'ont pas vus pour le moment.
Et il a fallut que j'éternue.
Bordel, Iris, la prochaine fois que tu me fais sortir comme cela, dehors !

-Qu'est-ce que... Commençait Monsieur Malton, en me regardant. Vous.

-Vous. Répondis-je.

-Hey, Wanda. Me saluait Tom.

-Hey. Répondis-je.

Monsieur Malton lança un regard noir à Tom.
Oh, tu vas te calmer, oui ?!

-Non, mais comment êtes-vous habillée... ? Demandait-il, en me regardant de la tête aux pieds.

Je me contentais de lui sourire, maladroitement.

-Peu importe, j'espère que vous ferez tous bonne figure, et qu'il n'y aura aucun écarts de conduite. Ordonnait-il, froidement.


-Putain, il fait froid dans le dos... Chuchotait Ben, en se penchant vers moi.

-Il ne doit pas être si horrible. Chuchotait Louis, en me regardant.

-Vous êtes vraiment sûrs qu'on ne peut pas avoir un empêchement de dernière minute ? Parce que je crois que je vais avoir une attaque. Chuchotait Suzy, en paniquant.

-Reste cool, rien ne se passera. Chuchotait Des', à Suzy.

Et moi, je fais quoi... ?

-Allons vers le trottoir, prêts à les accueillir. Ordonnait-il, toujours aussi froidement. Je reste derrière pour vous surveiller.

-Tu parles de quelqu'un de motivé. Plaisanta Ben, en se penchant vers moi.

Je souris, en m'empêchant de rire, et commença à marcher.

-Je parie que j'arrive première de l'autre côté de la route. Défiais-je.

-Ont paris ? Souriait Tom, arrogamment.

-J'en suis. Souriait Louis.

-Pour finir écrasée ? Non, merci. Plaisantait Suzy.

-Très peu, pour moi. Répondit Des'.

-Je ne m'y risque pas. Refusait Ben.

Monsieur Malton roula des yeux en les entendant parler.

-C'est partis ! M'exclamais-je.

-Ont te laissent de l'élan, ont est des gentlemans voyons. Souriait Tom, toujours aussi arrogamment.

-Vousavez peur de perdre ! Riais-je.

Je me mis à courir, et me retourna vers eux.

-Venez !

Je me remis à courir, et entendis un cri.

-Wanda ! Criait Tom.

Et deux fards me foncèrent dessus.
Et en deux secondes, je ne compris rien.
J'étais encore vivante.
Je pouvais encore bouger.
Par réflex, je toucha ce qui m'entourait.

-Si vous pouviez arrêter de me toucher, ce serait bien.

Cette voix.
Je rouvris les yeux, instinctivement.
Monsieur Malton était entrain de me serrer dans ses bras, et je regardais où j'avais mes deux mains.
Ma main gauche était sur son torse, et ma main droite était sur sa jambe.
D'accord, comment ais-je pu faire ça ?
Oh mon dieu, si ma main droite aurait avancé vers la gauche...
Je ne veux même pas y penser !
Je retira vite mes mains, en rougissant.

-Vous comptez rester sur moi, longtemps ?

-Je...

-Vous allez bien ? Demandait-il, plus doucement.

-Très bien, je crois, merci. Et vous ?

-Un peu mal, au dos.

-Comment avez-vous réussi à me rattraper ? Enfin, je veux dire... la voiture roulait vraiment vite...

-Je ne sais pas moi-même...

La position dans laquelle nous étions, était assez perturbante.
Monsieur Malton était sur le dos, et moi... j'étais sur lui.

Je glissa à côté de lui, sur l'herbe, pour le laisser se relever.

-Merci. Disais-je, sincère, en le regardant.

-Je vous en prie.

-Vous n'êtes plus très accueillant pour les écoles, maintenant... Disais-je embarrassée, en regardant sa chemise blanche, salie par l'herbe.

-Ce n'est rien. Votre vie est plus importante qu'une chemise. Je n'ai qu'à mettre ma veste de costume par-dessus.

J'hocha la tête, il se releva et l'a mit.

Les autres arrivèrent vers moi, rapidement.

-Wanda, ça va ?! S'exclamait Tom.

-Oui, ton père, m'a quelque peu, rattrapé. C'est lui qui est amoché, pas moi.

Tom regarda son père, comme je n'avais jamais vu.
Pour une fois, il n'avait aucune pointe de dégoût, ou de colère.
Il avait de la reconnaissance.
Ils se regardaient, sans haine.

-Oh mon dieu, Wanda ! Tu n'as rien ?! S'inquiéta Suzy.

-Je n'ai rien, je n'ai rien, Suzy. Souriais-je.

-Tu es sûre ? Demandait Ben.

-Oui, Ben, je suis sûre ! Riais-je.


-Ne parie plus jamais sur une course. Disait Louis.

-Tu nous as fait peur. Avertissait Des'.

-Stop, stop, je n'ai rien.

-Putain, si je retrouve ce connard qui a faillit t'écraser. S'énervait Ben.

-Je l'ai retenue. Fit Suzy.

-Suzy, c'est cela ? Demandait Monsieur Malton.

-O...oui, Monsieur Malton ? Demandait-elle, intimidée.

-Vous noterez le numéro de la plaque sur un papier.

-D'accord.

Je me releva, et tapota mes vêtements, pour faire partir la poussière.

-Les écoles arrivent. Informait Monsieur Malton, froidement.

Tout le monde se prépara à accueillir les écoles, et d'autres groupes arrivèrent accompagné de professeurs.

-De quelle école, se chargent-ont ? Demandais-je.

-De l'école Française, et en suite de l'école Irlandaise. Soufflait Monsieur Malton.

-Quelle partie de plaisir, pour celle de France. Plaisantait Louis.

-Tant qu'ils ne ramènent par leurs bouteilles de vins et leurs fromages. Riait Ben.

-Arrêtez avec les clichés. Riais-je.

-Je l'ai déjà fait, l'année dernière, et chaque école ramène quelque chose de typique. Expliquait Suzy.

Les limousines arrivèrent, et bizarrement, ont remarquas très rapidement les Français.

Monsieur Malton s'avança vers eux, et nous fîmes de même.
Ils étaient accompagnés par un professeur français.

-Bonjour, je suis le directeur de l'école Française. Saluait-il, à Monsieur Malton.

Il est poli.



-Quelqu'un a compris un traître mot de ce qu'il disait, excepté qu'il disait bonjour ? Demandait Ben.

-Sors de tes jeux vidéos. Riais-je. J'ai tout compris, personnellement.

-Il a dit que c'était le directeur de l'école Française. Expliquait Tom.

Jason a dû harceler Tom pour qu'il apprenne certaines langues.
Merci, je comprends ce qu'ils disent.
Le meilleur ami de mon père est français, alors ça va.


-Bonjour, et enchanté. Jason Malton. Répondit Jason en français, en lui serrant la main.

Retenez-moi, je vais mourir.
Pour cause d'accent sexy.

Monsieur Malton nous regarda, signe que nous devions lui dire bonjour.

-Bonjour. Fit Ben, gêné de ne connaître que ce mot.

-Bonjour Monsieur. Fit Suzy, toute aussi gênée.

-Bonjour, et enchantée. Saluait Des'.

-Bonjour, j'espère que l'établissement vous plaira. Souriait Louis.

-Bonjour, je suis Tom Malton, j'espère que vous apprécierez ce week-end qui rapprochera nos écoles. Saluait Tom, poliment.

Monsieur Malton ria mentalement, en pensant que Wanda ne savait pas parler français, alors il alla parler, mais la jeune fille lui coupa la parole.

-Bonjour Monsieur, enchantée, Wanda Witch, comment allez-vous ? Demandais-je, poliment.

-Bonjour Mademoiselle, enchanté, de même. Je vais très bien merci, et vous ? Souriait-il.




-Je vous en prie, et très bien, merci. J'espère que ce mélange de culture vous plaira, et que l'ont pourras rapprocher nos écoles, pour que nos établissements se fassent mieux connaître, et que vous aimerez la visite des lieux de Slygry Ravhuff. Puis, bien sûr, que vous apprécierez tout ce qui constitue notre école, comme par exemple, le fonctionnement et les règles. Et j'espère fortement que vous prendrez goût à apprendre l'histoire de cette école, et de connaître les différences scolaires entre votre pays et le nôtre. Souriais-je.

-Merci beaucoup pour ce discours, j'ai hâte de voir ce que cette visite nous réserve. Vous parlez très bien français.

-Je vous en prie, et merci.

-Oh, l'intello ! Plaisantait Ben.

-Je ne sais pas ce que tu lui as dit, mais tu l'as épaté, chapeau ! Complimentait Suzy.

-Merci. Rougissais-je.

Je regarda Jason, et il ne su quoi dire, il semblait surpris.
Monsieur Malton trouva Wanda, très professionnelle, polie et intelligente, ce qui l'épata, et lui plut. Cette jeune fille le surprend de jours en jours... Il se sentit assez fier d'un côté.

Je lui souriais timidement, et dévia mon regard sur mes amis.

Les élèves français sortirent de la limousine, et il y'en a environ vingt.

Dix filles, et dix garçons.

-L'entrée est par là. Informait Monsieur Malton.

Tout le monde le suivaient, nous devant, les français derrière.

Jason marcha en direction de la grande salle, et tout le monde rentra.

-Bienvenue dans la Grande Salle de l'école. Fit Jason, poliment.

-La Grande Salle, est la plus grande des pièces de Slygry Ravhuff, normalement, c'est une salle qui sert de réfectoire aux élèves et aux enseignants, mais pour les Bals, comme pour celui de ce soir, on change complètement la salle, et on l'a décore. Expliquais-je.

Deux garçons français attiraient mon attention avec leurs paroles.

-Elle est plutôt bonne, la guide.

-Haha, matte-moi ce décolleté.

Cela me blessa, et Tom qui avait comprit ce qu'ils avaient dit, l'avait vu, alors il continua :

-La Grande Salle est ouverte le matin à partir de sept heures jusqu'à neuf heures. Elle rouvre à midi jusqu'à quatorze heures, mais les cours reprennent en général à une heure de l'après-midi. Elle est aussi ouverte le soir, du coup, de sept heures à neuf heures du soir.

-Et pour les Bals, elle est ouverte à sept heures, pour ceux qui aident à tout finir de préparer, mais les Bals commencent toujours à huit heures, et finissent en général, vers minuit, mais elle reste ouverte jusqu'à deux heures du matin. Continuait Louis, en souriant.

-Et pendant les vacances, les horaires d'ouvertures sont les mêmes ? Demandait le directeur, français.

-Oui, ce sont les mêmes. Nous veillons à ce que chaque élèves ne pouvant rentrer chez eux, aient les mêmes possibilités d'horaires. Répondit Jason, sérieusement.

-Les salaires des cuisiniers sont alors doublés ? Demandait un élève dans la foulée.

Et la politesse, cela t'arracherait une dent ?!
Monsieur Malton roula des yeux, commençant déjà à être exaspéré, répondit :

-Nous pourrions les doubler, mais les cuisiniers n'en veulent pas, parce qu'ils disent que, peu importe pour eux, ils ne trouvent pas cela normal d'être payer plu cher, sachant qu'ils ont exactement les mêmes horaires, avec moins d'élèves à nourrir, qu'ils mettront moins de temps à tout préparer, et qu'ils s'en fichent, vacances ou non. Expliquait Jason.

-C'est plutôt l'ancêtre à la chemise tâchée qui ne veut pas sortir la monnaie de sa poche. Chuchotait un élève, à son ami, en riant méchamment.

Pardon ?!
Je ne sais pas si je dois le haïr pour avoir traité Jason, d'ancêtre ou parce qu'il est tout simplement stupide ?!
Retenez-moi, je vais les encastrer dans un mur !
Pendant que je fulminais intérieurement, nous marchions dans le couloir en direction des dortoirs des filles.

-Les garçons sont priez de rester ici. Aucun garçon n'a le droit d'entrer dans les dortoirs des filles, par respect et par politesse. Expliquait Monsieur Malton. Tom, Ben, Louis, restez avec eux. Ordonnait-il.

Nous entrions dans les dortoirs, qui était d'ailleurs le mien.
Iris, j'espère pour toi, que tu n'es pas là.

-Voici l'un des nombreux dortoirs pour les filles dans cette école, chaque dortoirs est constitué d'onze élèves, et chaque dortoirs est constitué d'une seule salle de bain, alors chaque élèves font en sortes de se doucher soit le matin, soit le soir, pour ne pas faire d'embouteillages. Le réveil est habituellement à six heures du matin, et le coucher est à dix heures du soir, mais après c'est aux élèves de gérer leurs horaires. Les élèves ont le droit de garder leur portable avec eux, et tout autre chose. Rien n'est confisqué, sauf les choses dangereuses. Et si vous sortez votre portable en cours. C'est direction le bureau du Directeur. Expliquais-je, concentrée, comme Suzy et Des' ne parlaient pas français.

Je vis Iris du coin de l'oeil qui se cachait.
Je lui lança un regard noir, et elle se retint de rire.

-C'est laid ici... On est plus dans les années médiévales... Ils ne connaissaient par les draps de luxe ? Pestait une fille, en chuchotant.

Dans les années médiévales ?
Je me retins d'exploser de rire.
Tu n'as qu'à partir, connasse !

-Excusez-moi, j'ai une question. Fit une élève, poliment.

-Oui ? Demandais-je, gentiment.

-Comment faites-vous pour reconnaître chacune votre lit ?

-Tu le mémorises facilement. Mais tu peux toujours mettre tes affaires dessus pour t'en rappeler. Répondis-je.

-Vous, par exemple, c'est lequel ? Questionnait-elle, poliment.

-Celui-là. Disais-je, en m'avançant vers ce dernier.

-D'accord, merci. Souriait-elle.

-Je vous en prie. Souriais-je, en retour.

Nous sortîmes, et partirent en direction d'un des dortoirs des garçons.

Ont restas avec le groupe de filles, avec Suzy et Des', pendant que les garçons allaient dans le dortoir.

Moi, Suzy et Des' restèrent dans notre coin, toutes les trois.
Mais j'entendis des élèves parler.

-Vous diriez que Monsieur Malton a quel âge ?

-Il doit avoir la trentaine, il est vieux !

Qu'est-ce qui ne va pas chez elles ?




-Je le trouve plutôt séduisant, moi.

-C'est vrai qu'il n'est pas si mal.

-Je suis sûre que c'est un homme qui trompe sa femme tous les soirs.

Qu'est-ce que... ?!

-Je le trouve grave sexy, le garçon avec les lunettes.

-C'est vrai que, je n'ai jamais eu de nerd dans mon lit.

-Oh putain, retenez-moi, je vais commettre un meurtre. Râlait Suzy, en commençant à s'énerver.

-Et le blond et lui à la peau bronzé ne sont pas plus mal.

Je. vais. les. tuer.
Les garçons sortirent des dortoirs, et nous partîmes en direction du bureau de Michael Gambon.
Monsieur Malton toqua.

-Entrez ! S'exclamait-il, poliment.

Jason ouvra la porte.

-Oh, vous devez être la classe française, bienvenue à Slygry Ravhuff. Souriait Michael.

-Oh mon dieu, l'ancêtre... Chuchotait un garçon, à son ami.

-Comme vous pouvez le voir, c'est mon bureau, je suis toujours là, en cas de problèmes, il ne suffit que de toquer par politesse. Souriait-il.

-Enchanté, je suis le directeur de l'école française. Saluait-il, en lui serrant la main.

-Enchanté, je suis le directeur de Slygry Ravhuff. Souriait Michael.

-Voilà, les présentations sont faites. Souriais-je. Bonne journée, Monsieur Gamb.

-Bonne journée à toi et à vous tous ! Souriait-il, gentiment.

Jason referma la porte du bureau en me regardant, et nous nous dirigions vers la bibliothèque de l'école.

-Bienvenue dans la Bibliothèque de Slygry Ravhuff. Fit Monsieur Malton. Ici, vous pourrez trouver tous les livres de cours que vous cherchez. Même toutes sortes de romans, dans plusieurs langues pour ceux qui veulent apprendre de nouvelles langues. Les élèves peuvent accéder à la bibliothèque quand ils ont des heures de pauses, pendant qu'ils sont en vacances et qu'ils restent à l'école, ou pendant les week-ends. Et si les élèves ne désirent pas manger dans la Grande Salle, ils peuvent très bien venir manger ici, dans le silence, en lisant un livre, ou en étudiant en même temps.

-Et si il y a des fans de livres de types fantastiques. Il y'en a un rayon. Surtout si vous aimez Harry Potter... Souriais-je.

-Harry Potter, non mais c'est pour les gamins... il vaut mieux lire ELLE...

Comment cela ?!
Et quelqu'un s'est donné la peine de leur expliquer que c'est un magazine ?
Monsieur Malton me lança un drôle de regard.
Nous continuâmes jusqu'à la tour de la Sciences.

-Je vous présente la tour de la Sciences. Fit Tom. C'est ici que les élèves travaillent leurs connaissances en Sciences avec leur enseignant. Cette salle est assez spéciale, car elle est ouverte, pour pouvoir étudier toutes sortes de choses dans le ciel. Vous pouvez venir ici, pour prendre l'air, et admirer la vue quand il n'y a pas cours. Souriait Tom.

-Tu veux voir quoi ? De la verdure ? Chuchotait une élève, en riant comme une bécasse avec ses amies.

Ferme-là.

Nous partîmes en direction du terrain de football, et les filles restèrent ici, parce que Monsieur Malton avait prévu que Moi, Suzy et Des' fassent visiter le gymnase aux filles, pour que ce soit équitable.
Pas qu'une fille ne puisse pas faire de football, et qu'un garçon ne puisse pas faire de gymnastique, mais il ne voulait pas de remarques à ce sujet, aujourd'hui.




Ils revinrent, et nous allions au gymnase.
Tom, Louis et Ben attendirent avec le groupe de garçons.

-Voici le gymnase, il est accessible à tout moment, si vous avez un cours de sport, si vous voulez vous dépenser, ou si vous faites partir d'un club de sport, et que vous avez des activités le matin, le midi ou le soir. Souriais-je.

-On peut même faire l'amour dans un gymnase ici. Riait une élève, avec ses amies.

Qu'est-ce qu'elle est stupide !
Ont sortîmes, et allèrent tous dans le jardin.

-Là où nous sommes actuellement, est le jardin de Slygry Ravhuff. Il est vraiment grand. Vous pouvez y aller quand vous voulez, sauf après huit heures du soir. Alors, si vous voulez prendre l'air, c'est l'endroit rêvé. Et il y a aussi le club de jardinage qui vient. Souriait Louis.

Nous nous dirigeâmes vers la salle de classe d'Anglais.

-Ici, c'est une salle de classe. Toutes les salles de classes ne sont disponibles que quand les élèves ont des cours, sinon, elles sont fermées à clés. Les horaires de cours sont souvent de neuf heures du matin à cinq heures du soir. Après, les cours peuvent commencer plus tard, ou finir plus tôt, si il y a des contre-temps avec des enseignants, ou si il y a des événements qui se préparent à Slygry Ravhuff. Expliquait Louis.

Nous sortîmes, et nous marchâmes dans les couloirs pour se diriger aux toilettes.

-Il n'a pas honte d'avoir une chemise comme cela... Riait un élève avec son ami.

-La fille avec le débardeur blanc aussi, son débardeur est taché, j'en ferais bien mon affaire de cette fille.

Blessée, je m'avança plus vers Jason, ne voulant pas entendre ce que disait les élèves à l'arrière.

-Vous n'auriez jamais dû venir habillée comme cela... Chuchotait Jason.

-Je suis désolée, mais c'est mon amie qui m'a poussée du dortoir comme cela, et après elle a fermé la porte... Soufflais-je.

-Insultez-moi. Ordonnait-il, en chuchotant.

-Quoi ? Demandais-je, surprise.

-Faites-moi confiance.

-Connard ! Criais-je, en jouant la comédie.

-Excusez-moi ?! S'exclamait-il, fendant qu'il était outré.

-Un problème Monsieur Malton ?Demandait le directeur, de l'école française.

-Excusez mon élève, elle est... dérangée. Je l'emmène dans le bureau du directeur. Tom, Louis,Ben, Suzy et Destinée, occupez-vous de l'école française. Ordonnait-il.


Monsieur Malton me prit par le bras, sévèrement.
Il me conduisit dans un dortoir de garçons, et par chance, il était totalement vide.
Monsieur Malton ferma avec une clé qu'il possédait dans sa poche, et je ne compris pas trop.

-On peut savoir pourquoi vous m'enfermez dans un dortoir de garçons avec vous ?!

Il ne me répondit pas, fouilla dans sa mallette, et me tendit un vêtement.

-Qu'est-ce que...

-C'est assez énervant d'entendre les élèves français parler de vous vulgairement... mettez-cela.

C'est moi ou il me demande s'enfiler une de ses chemises ?
Je devais être en train derêver.

-Dépêchez-vous.

-Mais c'est à vous ! Je ne mettrais pas cette chemise !

-Mettez-là, ou je serais obligé de vous la mettre moi-même.

-D'accord, d'accord. Soufflais-je. Retournez-vous. Ordonnais-je.

-Mais vous n'avez qu'à enfiler la chemise ! S'exclamait-il.

-Je ne veux pas garder mon débardeur, il est taché.

-Je...

-Retournez-vous ! Répétais-je.

-D'accord. Soufflait-il, en se retournant.

J'enleva mon débardeur rapidement.
J'enfila la chemise, et...
Et merde.
Je n'arrive pas à la fermer.
Il me manquait plus que cela.

-Vous avez fini ? Demandait Jason, impatient.

-Deux minutes ! Me plaignais-je, en essayant de la fermer.

-Mais qu'est-ce qui vous prend autant de temps ?! S'impatientait-il, en se retournant.

Je poussa un cri de surprise.

-Oh mon dieu, excusez-moi. Disait-il, en se retournant.

-Ce n'est rien. Soufflais-je, embarrassée.

-Pourquoi mettez-vous autant de temps à mettre cette chemise ? Demandait-il.

-Je n'arrive pas à la fermer... Avouais-je, honteuse.

-Non, je n'y arrive pas ! M'exclamais-je, en commençant à m'énerver.

-Ont oublieras ce que j'e m'apprête à faire dans une seconde, et vous ne vous vanterez pas au près de vos amis, vous me le promettez ?

-Je vous le promets ? Disais-je, n'étant pas rassurée.

Il se retourna, et me regarda.
Non, mais...
Il s'approcha de moi, embarrassé.
Qu'est-ce que...
Il commença à boutonner ma chemise doucement, et... timidement.
Non mais, sérieusement, je n'arrivais pas à fermer des boutons !
Ou alors, c'est que sa présence me perturbe...
J'avais l'impression que cela durait des heures.
Je regardais son regard concentré à fermer cette chemise, une fois pour toutes.
Il est fascinant.

-Pourquoi me regardez-vous toujours comme cela ? C'est déconcentrant. Se plaignait-il.

Peut-être parce que tu es fascinant, et merveilleusement beau ?

-Vous êtes... fascinant.

Il releva son regard vers moi, en me regardant droit dans les yeux.
Il ne disait rien, et finissait de boutonner la chemise.

-Merci beaucoup. Souriais-je, embarrassée.

-Je vous en prie. Répondait-il, embarrassé aussi.

Je laissa mon débardeur sur un des lits.

-Vous n'allez pas laisser votre débardeur ici, quand même ? Demandait-il, en soufflant, énervé.

-Je n'ai pas de sac où pouvoir la mettre, et je m'en fiche.

-Si un des garçons reconnait que c'est le vôtre, il va vous suivre partout, en pensant que c'était un signe. Soufflait-il, inquiet.

-Je ne l'avais pas vu sous cet angle. Disais-je, embêtée.

-Voulez-vous que je range votre débardeur dans ma mallette ? Demandait-il, nerveusement. Je vous le rendrais, quand je pourrais, bien sûr. Informait-il.

Il est adorable quand il est embarrassé.

-Si cela ne vous dérange pas. Répondais-je, en souriant. Tenez.

Il prit mon débardeur, et le rangea dans sa mallette.

-Merci encore. Riais-je.

-Je vous en prie... Disait-il, en fermant sa mallette. Encore. Précisait-il, relevant ses yeux vers moi, avec un sourire en coin.

Cet homme est si adorable.
Et la chemise est littéralement grande.
Je rentra la chemise dans mon jogging, pour être habillée correctement, et parce que, si je ne la rentrais pas, cela allait me faire une robe courte.
Merci, c'était une chemise bleue foncée.

Je repensais à ce que disait les élèves sur la chemise de Jason, et me sentis embarrassée...

-Qu'est-ce qu'il y a ? Demandait-il.

-Vous êtes sûr que vous ne voulez pas gardez votre chemise ?

-Pourquoi donc ?

-Parce que... ce n'est pas pour vous offensez. Mais j'ai entendu certains élèves rirent de vous à cause de votre chemise qui a été salie à cause de ce matin.

-Ils sont incorrigibles. Soufflait-il. Je comptais garder celle qui me reste dans ma mallette pour ce soir, mais puisqu'on ne peut même pas s'habiller comme on le veut dans son propre établissement.

Quoi ?!

-Fermez les yeux.

-Quoi ?!

-Je change de chemise, fermez les yeux.

-Mais ce n'est pas correct !

-Ce n'est pas votre rang social qui est en jeu. Roulait-il des yeux. Fermez les yeux. Ordonnait-il, en se tournant.

Je soufflais, et ferma les yeux.
J'étais trop perturbée pour fermer les yeux, bordel.
Malencontreusement, je les ouvris.
Il était de dos, alors il ne me vit pas, et il enleva sa chemise.
Arrêt cardiaque.
Q... Je... Que... Je... Il... Oh...
Pourquoi personne ne m'a prévenu qu'il était aussi musclé... ?
Je vis qu'il avait un énorme bleu sur le dos, et des égratignures qui saignaient.
Oh putain, c'est à cause de ce matin ?

-Ne mettez pas votre chemise propre ! Vous avez des égratignures, cela pourrait la salir.

-Quoi ? Je ne vous avais pas ordonné de fermez les yeux ? Soufflait-il, énervé.

-Ne bougez pas ! M'exclamais-je, en partant dans la salle de bain.

Je chercha du désinfectant et de la pomma, et par miracle, j'avais des mouchoirs dans ma poche.
Je revins vers Jason, qui me fit face cette fois.
Ne. pas. regarder. son. torse.

-Qu'est-ce que vous comptez faire ? Demandait-il.

-Ne bougez pas. Me plaignais-je. Cela va piquer.

Je versa du désinfectant sur un mouchoir, et tapota sur ses égratignures.
Je l'entendis souffler bruyamment, signe qu'il avait mal.

-Excusez-moi. Soufflais-je.

Suis-je vraiment en train de faire ce que je suis en train de faire ?!
Je désinfecta toutes les plaies dans la plus grande des délicatesses.

-Vous aviez juste un peu mal au dos ?! L'engueulais-je. Vous avez un énorme bleu, et des égratignures un peu profondes. Vous n'auriez pas dû me rattraper.

-Qu'aurais-je dû faire alors ? Vous laissez mourir ? S'énervait-il.

-Vous n'étiez pas obligé.

-Je ne laisse pas les gens mourir.

-Ne bougez pas.

Je toucha délicatement et doucement son bleu.
Monsieur Malton ne s'y attendant pas, frissonna, au contact de la jeune fille.

-Vous avez mal ? Demandais-je.

-Non.

-Vous mentez très mal, Monsieur Malton.

Il souffla, et je pris le tube de pommade.

-J'espère que vous ne craignez pas le froid. Prévenais-je.

Je me mis à étaler de la pommade sur son bleu, aussi doucement et soigneusement que possible.

Monsieur Malton ferma les yeux, à courts de mots et de souffle.
Il ne savait pas quoi ressentir à ce moment-là.
Personne ne l'avait touché aussi tendrement dans sa vie, même pour un simple bleu.

J'inspecta son torse, pour vérifier qu'il n'avait rien, et je regarda encore son dos.
Plus rien.

-Vous pouvez mettre votre chemise.

Il boutonna sa chemise blanche délicatement, et regarda la jeune fille.

-Votre différence me surprend.

-On me le dit souvent. Plaisantais-je.

Jason rangea sa veste de costume dans sa mallette, ainsi que sa chemise sale.

-Merci.

-Je vous en prie. Et merci pour la chemise... Souriais-je.

Jason ne dit rien, mais il hocha la tête, et ouvrit la porte.
Puis nous rejoignîmes le groupe.

-C'est bon. Cela est réglé. Assurait Jason.

Nous nous conduisîmes tous jusqu'au toilettes des filles.
Il n'y avait personne, comme d'habitude.

-Ici, ce sont les toilettes des filles, mais un peu plus loin, il y a les toilettes des garçons. Les toilettes sont à disposition toutes les journées, il y a juste une règle à respecter. Les garçons vont dans les toilettes des garçons. Les filles vont dans les toilettes des filles. Expliquais-je, en souriant.

Nous sortîmes et rejoignîmes la Grande Salle.

-La visite est terminée. Annonçait Jason.

-C'était très intéressant.

-Alors, à ce soir. Fit Jason.

-À ce soir.

Et nous partions pour accueillir l'école Irlandaise.

C'est parti.

- -

La visite pour l'école Irlandaise s'était très bien passé, et ils avaient très bien participé.

Nous nous arrêtions dans la Grande Salle.

-Je vous remercie d'avoir participé pour la visite. Mais maintenant, allez vous préparez.

Moi, Tom, Louis, Ben, Suzy et Des' hochèrent la tête, puis partir jusqu'à nos dortoirs.

Enfin !

J'entra dans le dortoir, et Iris me bondit dessus.

-Alors ? Comment cela s'est passé ?

-Très bien, à part que, la plupart des élèves français, sont horribles. Et l'idée de me pousser du dortoir dans cette tenue, n'était pas vraiment une bonne blague.

-Je suis désolée. Disait-elle, embarrassée. C'est à qui cette chemise ? Demandait-elle.

-À... Commençais-je, en relevant la tête, rougissant. J.

-Et tu me dis que ma blague n'a pas marché ? S'exclamait-elle.

-Mais...

-Je t'écoute.

-Je te raconte.

- -

-Remercie moi ! S'exclamait Iris, en riant.

-Bon, d'accord, merci Iris. Souriais-je.

-Je vais t'aider à te préparer, maintenant ! S'exclamait-elle. Va te laver !

-Mais je me suis lavée ce matin !

-Et bien, retournes-y ! Riait-elle.

Je rentra dans la salle de bain, me doucha une deuxième fois, et ressortit de la salle de bain, en sous-vêtements.
Iris m'installa, me maquilla, et m'aida à m'habilla.


NDA : J'avais oublié de mettre le Polyvore, alors voilà ! 😂😊

-Tu ressembles à une princesse... Complimentait Iris, émerveillée.

-Merci. Souriais-je, en me regardant dans le miroir de la salle de bain.

-Je t'en prie ! S'exclamait-elle, en souriant.

-Mais vas te préparer, toi ! Et je t'aide cette fois-ci !

-Si tu le veux ! S'exclamait-elle, en riant.

-Bien sûr, que je veux t'aider ! M'exclamais-je, en riant.

- -

-Tu as vraiment bien réussi le maquillage ! Complimentait Iris, en se regardant.

-Merci beaucoup ! Souriais-je.

-De rien ! Souriait-elle.

Iris était habillée d'une robe longue de couleur corail.
Avec un maquillage de la même couleur, en un peu plus clair.
Elle était magnifique.

-Tu es magnifique. Complimentais-je.

-Merci, mais c'est grâce à toi, alors merci beaucoup.

-Je n'ai pas fais grand chose, tu étais déjà comme cela avant même que je ne commence ! Complimentais-je, en souriant.

Nous rîmes.

-Merci beaucoup ! Souriait-elle. C'est bientôt l'heure, il faut y aller. Annonçait-elle.

-De rien et d'accord ! Disais-je, en souriant, et en me levant.

Nous partîmes jusqu'à la Grande Salle.

-Attends, je reviens ! M'exclamais-je.

Je courra jusqu'au dortoir pour prendre la lettre, et je partis en courant jusqu'au dortoir de Tom pour la mettre sur sa table de nuit, puis revins vers Iris.

-Tu ne devrais pas courir avec cette robe. Riait Iris.

Je riais, et nous entrâmes dans la Grande Salle.
Il y'avait énormément de monde.
J'avais vaguement vu Jason.
Il avait un costume noir, avec une cravate verte.
Il était toujours aussi élégant.
Je descendis les escaliers avec Iris.

-Bonne soirée, Wanda. Souriait Iris.

-Bonne soirée, Iris. Souriais-je, gentiment.

Je rejoignais mon groupe.

-Tu es aussi magnifique qu'une princesse. Complimentait Suzy.

-Je pensais à la même chose. Riait Ben.

-Hey ! S'exclamait Suzy.

-Jalouse ? Souriait Ben, en embrassant Suzy.

Je souris en les regardant.
Suzy portait une robe bleue claire, et Des', portait une robe bleue nuit.
Puis les deux garçons portaient un smoking noir, Ben avait une cravate bleue, et Louis avait une cravate rouge.

-Merci, Suzy. Souriais-je.

-Je t'en prie, Wanda. Souriait-elle, gentiment.

-Vous êtes toujours aussi beaux et belles, en tout cas ! Riais-je.

-Merci ! S'exclamait Louis, en souriant.

-Merci. Souriait Des'.

-Je vous en prie ! Bon, allez, je vais prendre un peu l'air. Je n'aime pas être autour de tout ce monde ! M'exclamais-je, en riant.

-À toute à l'heure. Souriait Ben.

-À toute à l'heure, vous tous ! Souriais-je.

Je me dirigea vers la terrasse de la dernière fois, et il y avait un élève que je ne connaissais pas.

-Que fais une si jolie toute seule ? Demandait un garçon.

-Qui es-tu ? Demandais-je.

-Je suis dans l'école Américaine. Répondait-il, en me faisant un clin d'oeil.

-Oh.

-Alors ? Qu'est-ce que tu fais toute seule ?

-Je n'ai pas de cavaliers. Confiais-je.

-Je peux être le tien, si tu le veux.

Iris m'avait toujours dit de profiter et de ne pas penser à Jason.

-Avec plaisir ! M'exclamais-je, en souriant.

-Enchanté alors, je m'appelle Brent, et toi ? Demandait-il.

-Enchantée, je m'appelle Wanda. Répondis-je, en souriant.

-Alors, Wanda, d'où viens-tu ?

-Je suis née à Brooklyn, et toi ?

J'espère juste qu'il ne va pas faire de remarques sur mon accent Irlandais, si je dérape, ha ha !

-Je suis né dans le Kentucky. Répondait-il, gentiment.

- -

Deux heures après.

-C'est vraiment cool d'avoir faire ta connaissance, Wanda.

-Oui, j'ai trouvé aussi, Brent.

Il s'approcha de plus en plus de moi.
J'étais perdue, mais je me rapprochais aussi.
Mais je sentis une main me tirer en arrière.

-Vous, allez-vous-en. S'énervait Jason.

Brent ne dit rien de plus, et partit en courant, apeuré.

-Qu'est-ce que vous faites ?

-Je vous empêche de regrettez vos actes.

-Cela fait deux fois que vous me sauvez la vie, merci !

-Je vous en prie.

Un silence agréable se fit.

-Vous avez mis la bague. Remarquait Jason, en regardant ma main.

-Oui.

-Et... au faite, vous êtes magnifique.

-Merci... vous... aussi. Disais-je, en détournant le regard.

J'aimerais tellement l'embrasser.
Le serrer dans mes bras.
Et lui dire à quel point je l'aime.

-Merci. Répondait-il.

Il me regarda de ses yeux bleus, et je me sentis fondre encore une fois.

-C'est vous qui avez conseillé Michael Gamb pour la couleur de ma robe ?

-Je... euh... oui... p... pourquoi ? Demandait-il, embarrassé.

-Pourquoi le jaune ?

-Promettez-moi de ne pas rire.

-Promis.

-C'est... parce que... j'ai connue une fille qui avait porté une robe rouge, et une robe verte. Et vous, vous avez porté une robe bleue... Et j'ai donc pensé que... le jaune finirait les quatre couleurs des maisons d'Harry Potter.

Je riais.

-Vous aviez promis.

-Je trouve cela adorable.

-Vraiment ?

-Vraiment.

Ont s'arrêtas de parler, et mon cœur battait de plus en plus vite, il se rapprocha de moi, et me regarda de ses yeux bleus.
Mon stresse me fit prendre un coup de chaleur.
Je pouvais de nouveau sentir cette flamme.
Ses yeux bleus brillaient.
Il regarda mes lèvres, et je regarda les siennes, puis regarda ses magnifiques yeux bleus.
Il allait m'embrasser, mais je recula, paniquée.

-Non... s'il vous plaît... Paniquais-je, en commençant à pleurer, de plus en plus.

-Ne me traitez pas de monstre, s'il vous plaît. Suppliait-il, blessé.

-Ne... ne vous approchez pas de moi. Pleurais-je, en souffrant.

Je n'arrivais plus à respirer.
Alors je partis en courant.

-Wanda ! S'exclamait-il.

Je courra en l'ignorant.

Je pleurais sans m'arrêter, et courra jusqu'au seul endroit, qui me réconfortait.

Le banc du jardin.

Je m'assis, cacha mon visage avec mes mains, et sanglota.

Quelqu'un me prit dans ses bras.

Je releva la tête pour voir qui c'était.

-Tom... qu'est-ce que tu... voulais me dire la dernière fois, quand ton père nous as interrompus, dans le couloir de l'école ?

-Tu m'as tellement manqué, Blodwyn. Disait-il, en pleurant.

       

Je me mis à exploser en larmes, et je le serra encore plus fort, et il me serra encore plus fort dans ses bras.

- - - - - - - - - - -

Bonjour ou bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

Excusez-moi, si il y a des fautes de correction, je me suis endormie en corrigeant ce Chapitre, la nuit dernière ! 😂😅

Vos réactions ?

Je veux 50 commentaires sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂

Bonne journée ou bonne soirée à toutes !

x.

LeaDream

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