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Chapitre 42-14.

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C'est un Chapitre de 2309 Mots !

Bonne lecture à toutes !

- -

Slygry Ravhuff, Chapitre 42-14.

-Je suis tellement content de te revoir. Soufflait-il.

Il s'avança vers moi, ce que je fis aussi, et il me prit dans ses bras.

-Tu m'as manqué, Matt... Chuchotais-je.

-Tu m'as manquée aussi...

-Tu ne m'en veux pas... ? Demandais-je, en le regardant.

-Je sais que tu as tes raisons, de ne pas nous parler à moi et à Evanna et Lionne. Mais je ne peux pas... tu es ma meilleure amie.

-Je suis désolée.

-Tu es pardonné, B... Wanda. Sourit-il. Au fait, tu es magnifique.

-Tu l'es aussi.

-Je t'aime, alors ne me refais plus cela, promis ? Plaisantait-il.

-Je t'aime aussi. Promis.

-Il n'y a vraiment aucun endroit où il n'y a pas d'élèves avouant leur amour pour chacun ? Vous me feriez presque vomir. Se plaignait une voix froide.

Pourquoi est-il là, quand il ne faut pas ?

-J'y vais. Je ne veux pas avoir à faire affaire avec un homme pareil. Chuchotait Matthew.

-D'accord, à bientôt. Chuchotais-je.

-À bientôt. Dit-il en partant, en lâchant ma main.

Le vide.

-Vous n'aviez pas qu'à venir. Répondais-je, à Monsieur Malton.

-J'en suis malheureusement obligé.

-Et bien, trouvez-vous un autre endroit, parce que je compte rester sur cette terrasse.

-Tant que personne ne vous embrasse.

-Pardon ?

-J'ai mal formulé ma phrase. Toussait-il. Je ne suis pas venu ici, pour voir des élèves stupides s'embrasser.

-Merci du compliment. Disais-je, arrogamment.

Il s'approchait vers moi.

-Et au fait, je n'avouais pas mon amour à ce garçon, alors au lieu de dire n'importe quoi, réfléchissez.

-Qu'est-ce que cela peut me faire ?

-Je n'aime pas que les gens me jugent sur des informations fausses. Expliquais-je.

-Je ne vous jugeais pas.

Je ne su quoi répondre, alors je regardais l'horizon.
Sa présence me stressait plus que tout.

-Êtes-vous venue, seule ? Questionnait-il.

-Je suppose que oui.

-C'est du gâchis.

-Excusez-moi ?

-Je suis sûr que vous avez mit cinq heures à vous préparez.

-Et ? En quoi cela est du gâchis ?

-Vous vous préparez pour personne.

-Je ne comprends pas.

Il soufflait, et reprit :

-Les filles de votre âge se sont préparées, toutes excitées, d'aller au Bal avec un garçon, de danser avec lui, et de peut-être l'embrasser.
Et vous vous préparez, pour personne, et en plus vous restez dans un coin à boire... un verre d'eau, en plus.

-Vous analysez très bien les choses. Seriez-vous en train de sous-entendre, que je suis pathétique ?

-Un peu.

-Vous êtes aussi pathétique que moi, alors.

-Mais moi je suis marié, et j'ai un fils.

-Vous auriez pu emmener votre femme avec vous. Suggérais-je.

-Certainement pas.

-Et pourquoi ?

Il ne répondit pas.

-Vous n'aimez pas votre femme ?

-Peu importe. Disait-il froidement, pour changer de sujet.

-Vous êtes donc pathétique. Confirmais-je.

-Vous l'êtes plus. Provoquait-il.

-En quoi ?

-Vous êtes jeune, avec la vie devant vous. Et au lieu de rester avec vos amis, ou d'être avec un de ces garçons dans la salle, vous restez seule. Vous restez souvent seule, d'ailleurs.

-La vie n'est pas rose. Répondis-je. Et aucun garçons ne m'intéressent.

-Quoi ? Vraiment ? S'étonnait-il.

Putain, je parle de garçons avec l'homme que j'aime.
Pincez-moi, je rêve.

-Oui, vraiment.

-Pourtant, ce n'est pas les garçons qui manque.

-Essayez-vous de me caser avec un garçon ? Riais-je.

-Si vous ne voulez pas vous retrouver comme...

-Vous ? Avec un mari que je n'aime pas ? Demandais-je.

-Cessez cela.

-D'accord... Soufflais-je.

-Quel est votre type de garçon ?

Cheveux châtains, yeux bleus, grand, la trentaine, poli quand il le veut, sarcastique, arrogant, intelligent, adorable qu'en messages ?

-Intelligent. Répondis-je.

-Ça enlève cinquante pour cents de la communauté.

-Vous êtes cruel ! Riais-je.

-En suite ?

-Grand ?

-Enlevons cinq pour cents. Et ?

-Arrogant.

-Vraiment ? Questionnait-il, en fronçant ses sourcils.

-Je suis arrogante, alors il vaudrait mieux qu'il le soit ! Me défendais-je.

-Cela enlève dix pour cents. Il reste trente-cinq pour cents. Et physiquement ?

Donnez-moi une copie de vous, et cela ira !

-Yeux bleus !

-Cela ne m'aurait pas étonné. Cela fait moins cinq pour cents.

-Protecteur. Riais-je.

-Nous ne sommes pas dans un conte de fées. Roulait-il des yeux, sarcastiquement.

-Cheveux châtains. Soufflais-je.

Faites qu'il ne comprenne pas.

-Cela enlève dix pour cents. Il en reste vingt pour cents.

-Merci de l'aide, Monsieur Malton, mais je ne pense pas que je trouverais quelqu'un ici.

-Oh ?

-Je préfère les hommes mûrs.

Mon level d'embarras, est plus haut que celui de Ben, quand je lui ai dis que je savais qu'il aimait Suzy.
Qu'est-ce qui m'avait prit de dire cela ?!
Excusez-moi, Monsieur Malton, mais vous êtes plus mon type, en fait !
Quelle conne !

Monsieur Malton qui regardait en direction de la salle, tourna sa tête vers moi.

Son regard bleu me scrutait, et à ce moment-là, j'aurais tout donné pour l'embrasser.
J'avais l'impression qu'il s'approchait de moi.
Je pris panique, et fis tomber mon verre.

-Je... ! Paniquais-je.

Je me mis à courir, mais il attrapa ma main.

-Attendez. J'ai une dernière question. Disait-il, en me regardant.

-O... Oui... ?

-Où avez-vous eu cette bague ? Demandait-il, en montrant la bague, toujours en serrant la main avec laquelle il m'avait rattrapé. Et sur cette main... il y'avait la bague, bien sûr.

Il aurait attrapé l'autre main, il ne m'aurait sûrement pas posé la question.

-Lâchez ma main, s'il vous plaît.

-Vous ai-je fait mal ? Questionnait-il, en la lâchant.

Pas physiquement, mais plutôt mentalement.
Bordel, il avait prit ma main.
Il ne sait pas à quel point, il me fait souffrir.

-Non, non.

-Alors ?

-On me l'a offerte.

-Vous mentez. Cette bague vaut des milliers.

-Pensez-vous que je suis pauvre ?

-Je...

-Alors, je pars. Je suis en retard.

-En retard ?

-Oui.

Je partie, mais il me rattrapa encore.
Bordel !

-Si vous m'avez menti, je le découvrirais.

J'essayais de me calmer, mais je n'y parvenue pas.

-Prenez-la cette fichue bague, si vous ne me croyez pas ! Disais-je, en l'enlevant, et en la posant, sur la barrière en pierre.

-Vous... Chuchotait-il, en s'approchant de moi.

-Ne vous approchez pas ! Plus jamais ! M'exclamais-je, les larmes de rage qui coulaient sur mes joues.

L'homme se sentit mal,
quand il vit la jeune fille dans cet état.
Elle lui avait ordonné de ne plus s'approcher d'elle.

-Je sais ce que vous avez fait. Et si vous m'approchez, je ne m'empêcherais pas de le répéter. Menaçais-je.

-Je vous demande pardon ?

-Blodwyn Heitsburg, vous connaissez ?! M'exclamais-je, en ne me contrôlant plus.

L'homme fut blessé par ses propos.
Il évitait de s'effondrer, mais de colère, il gifla la jeune fille.

-Alors vous n'avez pas changer. Disais-je, horrifiée, touchant ma joue, en reculant.

J'étais apeurée.
Rendez-moi le vrai Jason.
Je...
Pour la première fois de ma vie, je le craignais.
Il me faisait peur.
Je croyais que je l'aimais.

-Vous êtes un monstre. Disais-je, en partant pour de bon.

Je partis vers la salle, et activa mon oreillette.

-Allez mettre la cassette.

-Je vais la chercher. Fit Louis, dans l'oreillette.

-On vas se charger de surveiller les parages, avec Suzy. Informait Ben.

-C'est bon, je l'ai. Je la mets.

-Les gars, c'est peut-être la dernière fois, que nous faisons cela. Informais-je.

-Je t'aime. Fit Ben.

-Je t'aime aussi. Fit Suzy.

-Et la prochaine fois, éteignez vos oreillettes, Ben et Suzy. Riais-je, en applaudissant.

Je les vis s'embrasser.

-Cette phrase, c'était juste pour faire bouger les choses, ce n'est pas la dernière fois. Explosais-je, de rire.

-Garce ! Riait Ben.

-Applaudissons-les ! S'exclamait Louis.

-Yeah ! Fit Des'.

-Louis, actionne la cassette, et courez tous dans la grande salle, il ne faut pas qu'on se cache. Informais-je.

Je marcha, et me mis dans la foule, puis les quatre me rejoignirent.

«

-Tom Malton ?

-Laid.

-

-Tom Malton ?

-Peureux.

-

-Tom Malton ?

-Nul.

-

-Tom Malton ?

-Connard.

-

-Tom Malton ?

-Gay.

-

-Tom Malton ?

-Monstre.

-

-Tom Malton ?

-Salaud.

-

-Tom Malton ?

-Lâche.

-

-Tom Malton ?

-Horrible.

-

-Tom Malton ?

-Égoïste.

-

-Et pour finir, que penses-tu de Tom Malton ?

-Ce n'est qu'un faux-cul, qui ne mérite pas la vie.

-

Aïe.

Tom.

Je le chercha des yeux dans la salle, et je le vis partir.

Je courais vers lui, pendant que tous les élèves restaient paralysés, devant l'écran.

Les élèves qui avaient répondu, ne pouvaient rien savoir de nous.

Sachant que c'était Des' qui les avait interrogés, et qu'elle leur avait dit que quelqu'un la payait pour faire cela.

-Tom ! M'exclamais-je, en m'arrêtant dans un couloir vide.

Il continua de marcher jusqu'aux toilettes, et je rentra.
Il sanglotait contre un lavabo.

-Tom. Disais-je.

-Qu'est-ce que tu me veux, Witch ?! S'énervait-il, se retournant vers moi, en arrêtant de pleurer.

-Ça va ? M'inquiétais-je.

-Oui, je pète le feu, là ! S'exclamait-il, sarcastiquement.

Je lui tendis mes bras.

-Quoi ? Tu crois vraiment que je vais venir pleurer dans tes bras... ?

-Tu n'as personne d'autre à cet instant précis, qui veut t'apporter du réconfort.

-Je ne ferais jamais ça.

-Puisque tu es têtu. Soufflais-je, en m'approchant de lui, le prenant dans mes bras.

-Lâche-moi.

-Détends-toi.

Il souffla, et me prit dans ses bras.

Je sentis des larmes couler dans mon cou, mais je ne dis rien.

On restas au moins deux heures, comme cela.
Je suis de nature patiente.

Il séchait ses larmes, et me regarda.

-Merci. Sourit-il, calmement.

-Je t'en prie, mais tu ferais mieux d'aller dormir.

-Tu as raison, mais je vais rester quelques minutes de plus, ici.

-D'accord... Bonne nuit, Tom.

-Bonne nuit... Wanda.

Je souris, et partie.
Merde, la lettre !
J'activa l'oreillette.

-Ben, coupe les caméras, s'il te plaît !

-Pas de problème !

-Merci !

-Je t'en prie !

Je couru dans la salle informatique, mis des gants que je trouvais dans la salle, par chance, et fis la lettre.

J'écris :

-Bonjour Tom, j'espère que tu as passé une bonne soirée au Bal de Pâques ! Bonne journée à toi ! x.

Je me dépêcha de finir, et courais à son dortoir, pour la poser sur sa table de nuit, jeta les gants dans une poubelle.
Je partis dans mon dortoir en vitesse.

Mais je croisa Ben, Suzy, Louis et Des'.

-Mission réussite. Merci à vous, tous. Souriais-je.

-Yeah ! S'exclamèrent-ils.

-Bonne nuit tout le monde ! M'exclamais-je, en souriant.

-Bonne nuit ! S'exclamèrent-ils, en souriant aussi.

Je partis vers mon dortoir, me changea, et m'écroula dans mon lit.

Je pris mon portable, et regarda si Jason avait envoyé de nouveaux messages, à Scarlett.
Et la réponse était oui.
Et ils datent de ce soir.

-

-C'est Wanda, Scarlett. J.

-Qu'est-ce qu'elle a fait ? S.

-Pourquoi as-tu toujours raison ? J.

-Sur quoi ? S.

-Sur sa beauté. J.

-Oh... elle est venue au Bal de Pâques ? S.

-Oui... seule. Étonnant, non ? J.

-Elle doit avoir ses raisons. S.

-J'essayais de lui trouver un garçon, en lui demandant le genre de garçon qu'elle aimait. J.

-Haha, et alors ? S.

-Elle m'a dit : Intelligent, grand, arrogant, yeux bleus, protecteur, et des cheveux châtains... J.

-Elle est amoureuse de toi, la petite. S.

-Je crois que c'est plus compliqué que cela, Scarlett... J.

-Elle t'as dit autre chose ? S.

-Que je n'arriverais jamais à lui trouver un garçon, parce qu'elle aime les hommes mûrs. J.

-D'accord, elle t'aime, définitivement. S.

-J'ai cru que j'allais l'embrasser, elle a prit une crise de panique, et a fait tomber son verre. Elle a voulu partir en courant, mais je l'ai rattrapé parce que je voulais lui demander quelque chose. J.

-Qu'est-ce que tu lui a demandé ? S.

-La dernière fois, j'avais remarqué qu'elle portait la bague serpent que j'avais offerte, à Blodwyn... J.

-Oh oui, j'étais venue avec toi pour l'acheter. Elle est extrêmement chère. S.

-Elle ne m'a pas répondu. On aurait dit qu'elle souffrait quand j'avais serré sa main... J.

-En même temps, si tu as mis toute ta force. S.

-Pas physiquement Scarlett... mentalement. J.

-Oh merde... Et alors, la bague ? S.

-Elle la portait ce soir, elle m'a dit qu'on lui avait offerte... Elle a voulu partir parce qu'elle m'a dit qu'elle était en retard. Elle ne m'a pas dit pour quoi, mais je l'ai rattrapé encore une fois, et je l'ai un peu menacé... J.

-C'est-à-dire ? S.

-Que, si elle m'avait menti, je le découvrirais... J.

-Jason... S.

-Elle s'est énervée. Elle a enlevée la bague, et l'a posée sur une barrière. Et elle a dit qu'elle savait ce que j'avais fait, et que si je l'approchais une nouvelle fois, elle ne s'empêcherait pas de le répéter. J.

-Quoi ?! S.

-Je lui ai demandé, et elle m'a dit : Blodwyn Heitsburg, vous connaissez ?! ... J.

-Oh merde ! S.

-Bordel... Scarlett. Je l'ai giflé ! J.

-Non... Jason... Tu n'as pas pu... l'a giflé... S.

-Si... J.

-Tu avais promit, depuis la mort de Blodwyn, que tu ne le ferais plus ! S.

-Je suis désolé, Scarlett... J.

-Continue. S.

-Elle m'a dit que je n'avais pas changé... Elle avait l'air terrorisée de moi. Je lui fait peur... J.

-Comprends-la. S.

-Non, Scarlett... Elle avait vraiment peur de moi... Elle m'a traitée de monstre. J.

-Oh... Jason. S.

-Wanda me fait penser à Blodwyn. J.

-N'y pense pas, Jason. Sois fort. S.

-Blodwyn me manque tellement. J. »

-

Il n'y avait plus de messages.

J'ai perdue, Jason.

J'ai l'impression de ne plus avoir de cœur.

Mais je l'aime tellement..., je crois...

Je m'endormis.

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J'espère que vous aimez ce Chapitre !

Je veux 20 commentaires sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂

Bonne journée ou bonne soirée à toutes !

x.

LeaDream

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