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Chapitre 42-12.

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Slygry Ravhuff, Chapitre 42-12.

Mercredi 5 Avril.

-Réveille toi, ont vas être en retard pour les cours ! S'exclamait Iris, en me secouant.

-Dis-leur que je suis malade. Râlais-je.

-Qu'est-ce que tu as faire deplus important à faire pour vouloir foutre en l'air ton année scolaire ? Demandait Iris, en penchant sa tête vers la droite, ses mains sur ses hanches.

-Dormir. Je ne me sens pas bien.

-Je te rappelle qu'il y a bientôt un bal pour Pâques, et si tu veux te trouver quelqu'un, il faut t'y prendre à l'avance.

-C'est dans onze jours, Pâques ! Soufflais-je, en mettant mon coussin sur ma tête.

-Tu sais très bien comment ils fonctionnent ici. Riait-elle.

-Je ne suis allé à aucun de leurs bals, et ce n'est pas demain la veille, que j'irais ! Et... je ne veux pas de cavaliers.

-Tu peux très bien y aller avec un ami, garçon.

-Non...

-Je sais à quoi tu penses, Wanda.

-Et à quoi je pense, d'après toi ? Disais-je, en enlevant le coussin de sur ma tête.

-Ont sait toutes les deux, la vraie raison de pourquoi tu ne veux pas y aller.

-Tu ne connais pas tout de l'histoire Iris...

J'avais parlé de comment je connaissais Jason à Iris, j'avais même presque tout raconté.
Sauf, qui j'étais avant.
Je lui fait amplement confiance, sinon, je n'aurais rien dis.

-J'en sais déjà assez pour connaître la raison de ton refus.

-Alors dis-la moi.

-Parce que si tu y vas, tu te sentiras mal vis-à-vis de J. Et si tu n'y va pas, tu pourras alors profiter de ta soirée, à sombrer dans le noir, dans ton lit. Sans que personne ne vienne t'embêter.

-Tu es douée. M'énervais-je, en m'avouant vaincue.

-Je suis plutôt logique, en faite.

-Je ne veux quand même pas me lever, dis à notre professeur de Chimie que je t'ai vomi dessus, et c'est donc pourquoi tu es en retard, et que je ne viendrais pas.

-Brillant.

Je lui souris, et elle partit, mais elle revint.

-Ne pleure pas trop...

-Je ne te promets rien. Riais-je, doucement.

Elle hocha la tête, et partit rapidement.

J'attendis que tout le monde parte du dortoir, pris mon portable, et m'installa confortablement dans mon lit.
C'est parti pour de la lecture...
J'alla dans les messages, et reprenais là où je m'étais arrêtée.

«

-Tom m'a dit qu'ils avaient transférés Blodwyn... et que l'infirmière n'était pas en droit de dire, où. J.

-Oh... S.

-Je vais les frapper. J.

-Calme toi, Jason. Espérons que le transfert ne dure pas longtemps... S.

-Ils me l'enlèvent, Scarlett... Déjà qu'elle n'est plus là, il l'a balade partout. Ce n'est pas un jouet. J.

-Ne t'inquiètes pas, Jason. S.

-Trop tard. J.

-Ne me dis pas que tu es entrain de chercher où ils l'ont placés ? S.

-Personne n'enlève ma lumière. J.

-Tu es si adorable. S.

-Je n'ai pas cinq ans, Scarlett. J.

-Cela veut dire qu'à cinq ans, tu étais adorable ?

-Tu sais déjà à quoi je ressemblais à cinq ans.

-C'est vrai que tu étais adorable. S.

-J'ai toujours raison. J.

-Tu étais un vieux débris, et maintenant tu deviens un narcissique agaçant ? S.

-Je plaisante. Tu étais beaucoup mieux que moi à cinq ans. J.

-Pervers va. S.

-J'ai dis à cinq ans, plus maintenant. J.

-Abruti va ! S.

-Hahaha, à toute à l'heure au bureau. J. »

Je riais doucement en lisant les messages.
Il semblait aller bien.

«

-Je suis rentré au manoir, et toutes les personnes qui travaillent dans mon manoir, ont l'air heureux. Qu'est-ce qui m'échappe encore ? C'est mon manoir, et je ne suis jamais au courant de rien. J.

-Personne ne t'aime dans ce manoir. S.

-Je le sais bien mais, j'aimerais bien savoir ce qu'il se passe de temps en temps. J.

-Je sais juste qu'aujourd'hui, sera le plus beau jour que tu n'ai eu depuis un mois. S.

-Comment cela... ? J.

-Tu le sauras bien assez tôt. S. »

Ces messages dataient du jour où j'étais revenu de l'hôpital...

«

-C'est plus beau jour de ma vie, Scarlett. J.

-Alors, tu as pu l'a voir, si tu me dis cela. S.

-Elle est toujours aussi... J.

-Belle, arrogante, charmante, sensible, adorable... ? S.

-Plus que cela... parfaite. J.

Je souriais tendrement en lisant ce message.
Il n'est pas là, mais il arrive à rendre mon cœur, heureux !

-Je suis tellement heureuse pour elle, qu'elle se soit réveillée, et pour toi, que tu puisses la revoir. S.

-Il y a une chose qui m'a contrarié par contre... J.

-Cela me semblait impossible que tu n'ai pas été contrarié de quelque chose. S.

-Elle était habillée tout en blanc, et tout était transparent... Quelle idée de faire une bataille d'eau, habillée comme cela ! J.

-Tu es tellement jaloux, Jason. S.

-J'assume amplement de l'être. Je ne veux pas que mes employés l'a regardent ou qu'ils soient déconcentrés. J.

-Tu ne veux pas qu'elle déconcentre tes employés ou qu'elle te déconcentre, toi ?S.

-Je... J.

-Tu es un homme oui, haha ! Espèce de pervers ! S.

-N'importe quoi. Je ne me permettrais pas de regarder. J.

-Oui, oui, c'est ça. S.

-Je le jure solennellement. J.

-Tu rates quelque chose, elle est magnifique. S.

-Rrr, arrêtes de m'embrouiller ! Elle me fait déjà assez tourner la tête comme cela. J.


-Alors, elle te déconcentre, toi. S.

-Non ! J.

-Ou alors, elle déconcentre peut-être autre chose. S.

-Oh mon dieu, arrêtes de parler, tu m'embarrasses. J.

-Jason Malton ? Embarrassé ?! C'est la première fois que tu l'es ! J'adore cette petite ! S.

-Oh mon dieu... à toute à l'heure, quand tu seras calmée, Scarlett. S.

-Je ne sais pas qui de nous deux, a le plus besoin de se calmer. S.

-Je te hais. J. »

Qu'est-ce que je suis actuellement en train de lire ?!
Je ne sais pas si je dois être flattée ou embarrassée ?!
Je me mis à exploser de rire toute seule, dans le dortoir.
Ça à l'air d'être tellement embarrassant pour lui !
J'essaya de calmer mon fou rire, et continua de lire :

«

-Scarlett... J.

-Il y a quelque chose qui t'as dérangé dans la conversation avec elle, mais je t'ai tellement embarrassé que tu as oublié de me le dire ? S.

-Il faudrait vraiment m'expliquer comment tu fais cela. J.

-Je te connais par cœur, Ja'.S.

-J'ai tendance à l'oublier. J.

-Tu n'oublies jamais rien pourtant. S.

-Arrête de jouer sur les mots. J.

-D'accord grincheux, raconte-moi. S.

-Tu en as d'autres en réserve des surnoms comme cela ? J.

-Qui sait. S.

-C'est tellement stupide... je pense que je ne vais pas te le dire. J.

-Je ne rigolerais pas, dis-moi. S.

-Je lui ai commandé d'aller se changer ce matin... et elle m'a sortit que j'avais peut-être quinze années de plus qu'elle, je n'étais pas son père. J.

-Qu'est-ce qui t'as dérangé ? S.


-Qu'elle pense que je suis si vieux, qu'elle me dit la phrase « Vous n'êtes pas mon père !». J.

-Tu t'es senti rejeté... Tu n'es pas vieux, Jason. C'est elle qui est jeune. Et puis, elle t'as sûrement dit cela, sous le coup de la colère. S.

-C'est surtout qu'elle pense que j'ai l'âge d'être son père qui m'a... blessé. J.

-Ce n'est pas tout le monde qui fait un enfant à quinze ans, elle était énervée. S.

-Scarlett... tu ne comprends pas. Je n'ai aucune chances de pouvoir, un jour, être avec elle, si elle me compare à son père. J.

-Jason... réveille toi. Qui t'as dit que, elle, elle t'aimait... ? S.

-Je... je serais dans mon bureau, si tu me cherches. J.

-Pardonne moi Jason, je ne voulais pas être méchante. S.

-Non, non. Tu as raison. C'est moi, qui rêve trop, et qui retombe de mon nuage juste après. J.

-J'amène du whisky avec deux verres... ? S.

-Je t'en supplie, oui, s'il te plaît. J. »

Jason...
Si tu savais à quel point je t'aime, bordel de merde.
Quelques larmes coulaient sur mes joues, mais je continua de lire.

«

-Tu avais l'air de sourire quand je t'ai aperçu, pourquoi ? S.

-Je suis passé devant sa chambre, et je l'ai entendu chanter. J.

-C'est cela qui t'as fait afficher un sourire radieux ? S.

-Oui. C'est stupide, non ? J.

-C'est plutôt adorable. S.

-Oh, ne recommence pas. J.

-Je n'ai rien dit. Mais tu es adorable, et il n'y a que moi qui ai le privilège de voir à quel point tu es adorable. S.

-Je suppose que je dois te dire merci. J.

-Tu viens de le faire. S.

-Brillante. J. »

Je souris instinctivement.
Je me leva et alla chercher un verre d'eau dans la salle de bain.
J'en bu une gorgée, et posa le verre d'eau sur ma table de nuit, puis continua de lire.

«

-J'ai entendu quelqu'un crier dans ton bureau, et un bruit sourd. Est-ce que tout va bien ? S.

-Pourquoi il faut toujours qu'elle essaye de me provoquer, bordel ?! J.

-Ah, alors je suppose que c'est toi. S.

-Oui, désolé, j'ai renversé une bouteille de whisky. J.

-Renversé ? Tu ne l'as pas plutôt lancé contre ton mur ? S.

-C'est pareil, ne joue pas sur les mots ! Pas maintenant du moins ! J.

-Pose toi sur ton fauteuil, calme toi, ferme les yeux, respire, rouvre les yeux, et explique moi. S.

-Elle s'est habillée avec une robe rouge énormément décolletée, et courte pour me faire passer le message qu'elle faisait ce qu'elle voulait de sa vie, et que je n'avais pas à lui donner d'ordres ! J.

-Une tenue si simple qui veut signifier une si longue phrase. S.

-Ne plaisante pas ! Elle a dragué tous les serveurs ! Ils n'arrêtaient pas de l'a regarder ! Enfin, ils regardaient plus ses seins, qu'autre chose ! Et bordel de merde, Scarlett... J.

-Je suis toujours là. S.

-Le dernier serveur l'a draguait ouvertement ! Je lui aurais fait bouffer mon poing dans sa gueule à celui-là, si Helen n'aurait pas été là ! J.

-Tu m'as l'air plus blessé qu'énervé Jason... tes messages m'en donnent l'impression. S.

-Parce qu'elle a dit une chose affreuse Scarlett... Et je ne sais même pas, si j'arrive à respirer. J.

-Tu m'inquiètes... qu'est-ce qu'elle a dit ? S.

-Elle a dit qu'elle voulait bien aller chez lui, et ce n'est pas pour jouer au Monopoly, qu'elle trouvait que les relations de plus de sept ans de différences d'âge... stupides, mais je ne pense pas qu'elle visait en disant cela, elle le disait sincèrement... Et elle lui a dit qu'il serait l'exception, et que ce serait le seul homme âgé qui aurait le plaisir de l'a toucher ! Bordel de merde ! J.

-Je comprends que tu sois en colère, je l'aurais été, à ta place. S.

-Je me suis emporté juste après, j'ai crié. Et elle s'est enfuit dans le jardin. Et elle m'a apprit qu'elle avait tout fait en sorte qu'il l'a drague, comme tous les autres serveurs. Elle a fait exprès... Qu'est-ce qui ne va pas chez elle ?! J.

-Tout. Comme toi. S.

-Elle s'est traité de grosse et de moche, bordel ! Je vais l'a posé devant un miroir, un de ces jours ! Puis je suis partis, mais pas complètement, j'ai frappé dans un banc. J'ai voulu voir si elle était encore là, parce que je ne l'a voyais pas sortir. Et je l'ai trouvé, allongée sur le sol. Elle s'était endormie. Pourquoi est-elle si adorable... ? Mais j'ai vu que son maquillage avait coulé. Pourquoi n'arrête-t-elle donc pas de pleurer ? J.

-C'est toi qui l'a fait pleurer. Tu as fait quoi après ? S.


-Oui, mais je ne veux pas l'a faire pleurer, je veux l'a faire rire. Je l'ai porté jusqu'à sa chambre, je l'ai allongé sur son lit, et je lui ai enlevé sa robe et ses talons, puis j'ai mis sa couette sur elle, et je suis partis. J.

-Quel gentleman. À sa place, j'aurais eu peur, si j'aurais su que c'était toi qui m'avait enlevé ma robe. S.

-Tu as vraiment l'esprit tordu. J.

-Tu n'as même pas regardé ? S.

-Je ne suis pas comme cela, j'ai du respect. J.

-Tu sais tout hommes normaux ne l'auraient même pas quittés des yeux ? S.

-Je ne suis pas normal. J.

-Tu es différent, cela est sûr. S.

-C'est toujours bien d'être différent. J. »

Je suis désolée pour le jeu de provocation, Jason.

«

-Pourquoi il faut toujours que j'entende une critique sur moi, quand je prends l'air dans mon jardin ? J.

-Ah ? S.

-« Je suis sûre que tout est mort chez un des hommes. », « Si Monsieur Malton t'entendrait », ou encore « Pauvre Helen... ». J.

-Hahahahaha, c'est tellement drôle ! Elles n'ont pas tord, en plus ! S.

-Pourquoi dis-tu qu'elles n'ont pas tort ? J.

-Tu m'as toujours dit que tu n'aimais pas faire cela avec Helen. S.

-J'ai le temps de m'endormir trois fois avec elle ! J.

-Ah oui, c'est vrai, excusez-moi ! Jason Malton est un étalon sauvage, et est parfait dans tous les domaines ! S.

-Tu ne peux le savoir. J.

-Vu ce que tu dis, j'en suis sûre. S.

-Quand tu arrêteras de parler de «sexe » avec moi, fais-moi un signe. J.

-Tant que je ne te parle pas de mon point de vue avec Mark, je n'arrêterais jamais. S.

-Encore heureux, je n'aimerais pas connaître tes exploits avec ton mari. J.

-Promis, je ne le ferais pas. S.

-Tant mieux. J.

-Tu avais d'autres choses sur lesquelles te plaindre ? S.

-Du coup, je suis allée voir à ma piscine, et deux des filles qui travaillaient ici, se baignaient. Blodwyn sera toujours aussi gentille... Et j'ai d'ailleurs entendu que l'une d'elles avaient des problèmes avec sa famille et son copain, du nom d'Alan, je crois. Je m'en chargerais, si j'y repense...

-Ce serait très généreux et gentil de ta part. S.

-J'ai vu Blodwyn en maillot de bain, et Tom l'était aussi... Et ils se sont fait un câlin... J.

-Retiens-toi d'aller tuer ton fils, je t'en supplie. S.

-Ne t'inquiètes pas pour cela... J.

-Donc tu as pu voir son corps en maillot de bain ! S.

-Arrêtes avec cela ! Cela devient gênant ! J.

-Donc tu l'as fait. S.

-Pas vraiment. J.

-Pas vraiment... ? S.

-Bon, d'accord, j'ai regardé son corps, et alors ? Elle est magnifique, il n'y a rien à dire de plus, bordel ! J.

-Je voulais que tu t'en aperçoives, ne t'énerve pas. S.

-Je ne suis pas énervé, c'est Tom qui m'agace ! Il peut l'a serrer dans ses bras quand il veut, où il veut, peu importe comment ils sont habillés ! J.

-Ta jalousie en serait presque triste. Mais cela reste adorable. S.

-Hm... Et je leur ai dit de se préparer pour le gala de ce soir. J.

-Je viendrais. S.


-C'est un peu ton boulot, Scar'. J.

-Tu m'as comprise ! S.

-Je te comprends toujours, mais cela me fait rire de t'embêter. J. »


D'accord... j'en apprends un peu trop sur Jason.
Je riais doucement.
Il est adorable.

«

-Je t'ai laissé une boîte avec un collier, fais-y très attention, et donne-lui, mais ne dis pas que cela vient de moi. J.

-Reçu 5 sur 5, chef ! S.

-Merci. J.

-Je t'en prie, c'est un plaisir. S.

-Tout est une partie de plaisir pour toi. J. »

Ce collier !

«

-Cela a été une soirée riche en émotions... J.

-Raconte-moi tout, comme je n'étais pas toujours avec toi ! S.

-Elle est tellement belle... Ce serait tellement magnifique de vivre avec une fille comme cela, de se réveiller chaque matins avec elle... et elle portait le collier que je lui ai offert, merci beaucoup ! J.

-Tes rêves sont si beaux... on dirait une petite fille qui fait une crise d'hystérie, c'est adorable. Et je t'en prie pour le collier, je n'ai fais que le lui donner. S.

-Des garces l'ont énervées dans les toilettes... et elle s'est fait passer pour ma fille, ce qui était plutôt comique. Mais la chose la plus belle dans tout cela ? Elle a sauté dans mes bras, pour jouer le jeu. Et... je lui ai dit que si mon manoir brûlerai, je la laisserais dans les flammes... ce n'était pas très fair-play. J.

-Il faut que tu joues ton jeu, alors je n'ai rien à dire sur l'histoire du manoir qui brûle. S.

-Elle m'a sortit une phrase que j'ai bien apprécié... J.

-C'était quoi ? S.

-« Ce n'est pas putement correct. » J.

-Je l'aime bien aussi. S.

-Et puis après elle s'est faite passer pour ma nièce... Cette fille m'épatera toujours ! Et puis, il y a eu ce gars, un associé du propriétaire du château, où a eu lieu le gala. Il ne disait que des conneries, et il a dit d'horribles choses, bordel ! Et elle est partit en courant, mais il l'a poussé dans les toilettes, et si je n'aurais pas été là, à tout entendre... il l'aurait... Bordel, je ne veux même pas y penser. Je l'ai frappé... j'avais tellement envie de le tuer ! J.

-Il n'y a qu'à elle, que ce genre de choses arrivent... S.

-Et... elle est partit en pleurs dehors, j'ai voulu la rattraper en sortant, mais Tom est venu me demander ce qu'il se passait... et je l'ai laissé y aller... Je ne suis pas, lui... Il est beaucoup mieux que moi, pour elle. J.

-Tu n'est pas une horrible personne comme tu le penses, Jason... Arrêtes de penser que ton fils est toujours meilleur que toi, en tout ! S.

-Et c'est pour cela qu'ont est partis du gala... J.

-Je comprends mieux. S.

-Et là, je suis juste en train de bouillir intérieurement. J.

-Parce que Tom dort avec Blodwyn, actuellement ? S.

-Oui... J.

-Dis-toi qu'elle est en sécurité avec lui. S.

-J'ai besoin de me calmer. J.

-Alors, va jouer du piano. S.

-Cela fait des lustres que je ne l'ai pas touché, Scarlett... depuis... J.

-C'est fini maintenant, non ? S.

-Tu as raison. J.

-J'aime beaucoup la façon dont cette fille t'as changé depuis qu'elle est là. S.

-Et moi... je l'aime juste... tellement. J. »

J'explosa en larmes quand je lu la dernière phrase.
Je l'aime tellement, bordel... !

«

-Bdordel de mzrde Sdcarlett, je ploeure de joiae ! J.

-Pardon ? S.

-Je suis désolé, mais je suis tellement heureux, que je n'arrive pas à écrire, Scarlett !

-Comment cela ? Que me vaut toute cette joie de votre part, Jason Malton ? S.

-Elle est descendue vers minuit... seulement vêtue d'un sweat-shirt vert, certes... je lui ai montré les infos comme quoi son agresseur était mort. Et... elle m'a demandé pourquoi je faisais toutes sortes de choses pour elle. Et je lui ai tout dit de mon passé... Elle ne m'a pas jugé, une seule fois. Elle m'a même consolé... Puis, elle aussi, elle s'est confié à moi, de son passé... Si je retrouve la garce qui lui a fait du mal... J.

-Continue de me raconter ! S.

-Je l'ai consolé... Et elle m'a demandé pourquoi lui ai-je offert deux roses... surtout une blanche, et une noire. Je lui ai tout dit, Scarlett. Tout. À quel point je l'aimais aussi. Elle m'a simplement regardé. Mais j'ai tenté le tout pour le tout, et je l'ai embrassé. Elle ma dit que ce n'était pas correct, mais je lui ai dit « C'est putement correct. »... J.

-Oh mon dieu, Jason ! Je vais faire une crise cardiaque, tellement je suis heureuse pour toi ! S.

-Elle s'est enfuit, en courant, je l'ai rattrapé tellement vite, qu'elle n'avait même pas franchi les escaliers pour aller au jardin. J.

-Tu ferais un marathon pour cette fille ! S.

-Et bordel ! Je l'ai embrassé, mais vraiment ! Et c'était tellement mieux qu'un feu d'artifices ! Et elle m'a dit qu'elle m'aimait ! Et j'en ai les larmes aux yeux encore ! Je suis l'homme le plus heureux sur Terre ! Ont est restés ensembles à parler, presque toute la nuit, ont arrêtaient pas de s'embrasser... ! Et puis elle s'est endormit, et elle était tellement paisible, et je ne pouvais pas la reconduire à sa chambre, vu qu'il y'avait Tom, et les serveuses étaient déjà présentes. Donc, je l'ai embrassé une dernière fois, et je suis partis dans ma chambre, ne voulant pas me faire repérer par Helen... J.

-L'amour te rend tellement enfantin... C'est ce que je viens de découvrir. S.

-Vu que... J.

-Vu que tu n'as jamais réellement aimé Helen. S.

-Il n'y a que Blodwyn que j'aimerais réellement, toute ma vie. J. »

Ce n'était pas des larmes qui se versaient sur mes joues.
C'était une fontaine...

«

-Elle n'a pas arrêté de me faire des sous-entendus au petit-déjeuner... et je n'ai même pas réagis. Je ne suis qu'un con. J.

-Qu'est-ce qui t'effraie ? S.

-Que Helen l'apprenne. Et que... je réalise que... Blodwyn a déjà une vie. Je ne veux pas lui gâcher. J.

-C'est le manque de confiance en toi qui t'effraie, Jason. S.

-J'espère que je ne l'ai pas blessé. Elle est partie en courant, en renversant sa tasse de thé. J.

-Je crois savoir pourquoi. S.

-Pourquoi ? J.

-Elle a dû réaliser que tu as été son premier baiser, hier. S.

-Oh, je sais que ces genre de choses sont importantes pour elle... Comment le sais-tu, qu'elle n'avait jamais embrassé quelqu'un avant ? J.

-Elle est jeune, et avec tous les problèmes qu'elle a dû avoir, elle n'a pas dû se concentrer sur une relation amoureuse. S.

-Je me sens tellement désolé, et désolé aussi d'avoir fuit avec ma limousine, au lieu d'aller lui parler, d'aller la consoler, la prendre dans mes bras. J.

-Tu n'as pas à l'être. S.

-J'ai tellement peur de la heurter, elle est si fragile, et je l'aime tellement. J. »

Alors, il s'en est voulu...
C'est pour cela qu'il ne voulait pas me parler... il était effrayé de me faire du mal, parce qu'il n'a pas confiance en lui.
Bordel Jason... Je t'aime.

«

-Je n'arrive pas à lui parler... J.

-C'est pourtant si simple après, Jason... S.

-J'ai peur, Scarlett. J.

-Pourquoi ? S.

-Je n'ai jamais été amoureux, avant cela.

-Ont est Lundi... n'attends pas trop. S.

-Je te le promets. J. »

Il voulait me parler, en fin de compte...

«

-Alors ? Tu lui a parlé ? S.

-Non... Je n'ai pas le courage. J.

-Ont est Mardi, Jason... Tu me l'as promis hier. S.

-C'est plus fort que moi... J.

-Elle ne va pas se vexer, si tu lui dis quelque chose. S.

-Je suis désolé, j'essaierais de lui parler demain. J. »

Bordel...

«

-Je ne peux pas, Scarlett... J.

-Tu blesses cette pauvre jeune fille... Elle doit penser que tu l'as prise pour une conne... ou que tu joues avec elle. S.

-Je ne veux tellement pas qu'elle pense cela de moi. J.

-Alors, va la voir. S.

-J'irais demain. J.

-Ne remets pas au lendemain, ce que tu peux faire aujourd'hui. S.

-J'irais lui parler demain, je te le promets. J. »

Cela a dû être tellement difficile pour lui...

«

-Elle m'a banni de sa vie Scarlett... comme cela... en quelques jours, elle l'a dit au petit-déjeuner. J.

-Elle doit se sentir tellement blessée, comprends-la. S.

-Je ne peux plus lui parler... J. »

Jason...

«

-Je lui ai parlé pendant deux minutes avant de dîner... Je l'ai embrassé, je lui ai dis que je l'aimais, et je me suis excusé. Je lui ai dis que dans deux jours, ont pourraient parler, elle et moi. Je lui ai même promis. Et elle m'a dit qu'elle m'aimait aussi. Mais j'ai mentis pour la promesse... J.

-Bordel, Jason... ! S.

-Helen a parlé des vacances d'un mois, qu'ont partaient dans deux jours... Et... j'ai dû tellement la briser à ce moment-là... Elle est partie en courant dans le jardin... Et... bordel, je n'arrive plus à respirer. J.

-Respire Jason... Respire. S.

-Elle pense que ce ne sont que des mensonges pour moi... J.

-Tu aurais dû lui prouver le contraire, en ne lui mentant pas. Elle est si jeune et fragile, comme tu le dis si bien ! S.

-Je l'aime tellement... ! J. »

Je t'aime tellement aussi, Jason... !

«

-Elle avait l'air tellement détruite ce matin, à cause d'hier. J.

-Tu ne sais pas tout, Jason. S.

-Comment cela ? J.

-Tom est venue la voir sur la terrasse hier soir, vers minuit. Il s'est retourné contre elle, pour je ne sais quelle raison. J'ai tout entendu de leur engueulade. Il lui a souhaité de mourir. Il en veut tellement pour qu'elle gâche tout. S.

-Oh... merde. Est-ce que tu penses qu'il a... ? J.

-Je le pense. J'en suis même tellement sûre. S.

-Il n'avait pas à lui dire ça ! J. »

Qu'il a quoi... ?

«

-Scarlett... je panique ! Blodwyn est partie faire des courses avec Alfred, mais il n'y a plus aucune affaires dans sa chambre, j'ai... même trouvé le bouquet avec une rose blanche et une rose noire que je lui avais offert pendant qu'elle était dans le comma, dans sa chambre d'hôpital. Il est complètement détruit. Et le bouquet de roses jaunes que Tom lui avait offert, il est détruit aussi. Des femmes de ménages m'ont alertés que la machine à thé avait été détruite, et j'ai voulu prendre l'air, et j'ai vu le banc, détruit, lui aussi. Elle va faire une connerie, Scarlett ! J.

-Ne panique pas, Jason. Elle ne va pas aller bien loin. S.

-J'espère tellement que tu aies raison. J. »

Oh non... pas ce moment.

«

-Scarlett... je... je ne peux pas vivre cela une deuxième fois, je ne peux pas vivre cela. Si elle me quitte une deuxième fois, je ne pourrais pas continuer à vivre. J.

-Ne t'inquiètes pas, Jason. Alfred est partit avec une patrouille pour la chercher. S.

-J'ai tellement peur. J. »

Non... non... non.

«

-Alfred... vient... de venir me voir... J.

-Oh non... Jason... S.

-Ils... l'ont retrouvés en bas d'une falaise... morte... sur... le... coup... J.

-Je suis tellement désolée, Jason. S.

-Où ai-je mis mon flingue ?! J.

-Non, Jason... s'il te plaît... Pense à elle. Elle ne voudrait certainement pas cela. S.

-Mais, moi, je le veux ! Je vais me foutre une putain de balle dans le crâne, et tout le monde me foutra la paix ! J.

-Non... ne... fais... pas...ça... S.

-Sans ma lumière, je ne pourrais pas vivre. J. »

Flashback !

L'homme, complètement détruit, trouva son arme dans une des nombreuses commodes de son bureau.
Il était ravagé.
Et tout ce qu'il voulait à ce moment-là, c'était de la rejoindre.
Il chargea son flingue, les larmes coulant sur ses joues, rougissant ses yeux bleus, que la jeune fille aimait tant.

Il commença à porter l'arme sur lui, mais quelqu'un arriva en courant, lui arrachant l'arme des mains, et l'a lançant de l'autre côté de la pièce.

Scarlett le prit dans ses bras, et il la serra contre lui, détruit.
Ses larmes de douleur n'arrêtaient de couler, pendant que Scarlett le consola.

-Je l'aime tellement... Sanglotait l'homme, difficilement.

-Elle t'aimait aussi... Jason... Disait Scarlett, en soufflant, tristement.

-Ne parle pas au passé... je ne veux pas la perdre...

-Elle est morte Jason... tu ne peux plus la sauver...

-Je l'aimerais toujours. Promit Jason, en pleurant, dans les bras de Scarlett.

Les pleurs de l'homme ne faisaient que s'amplifier.
Il avait perdu pour de bon, tout ce qui le maintenait en vie.
Toute sa vie, il avait cherché la fille qui pourrait faire battre son cœur, et le changer.
Il l'avait trouvé.
Il l'avait aimé.
Mais il l'avait aussi perdu, ce jour-là.
Il continuerait de réaliser sa promesse.
Il lui avait promit de l'aimer jusqu'à plus loin que la mort.

Fin du Flashback !

Les larmes ne cessèrent de couler.
Je n'ai fais que le faire souffrir...
Je suis horrible.
Je suis tellement désolée pour tout, Jason.

Je t'aime tellement.

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x.

LeaDream

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