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Chapitre 42-11.

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C'est un Chapitre de 5706 Mots !

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Slygry Ravhuff, Chapitre 42-11.

Quelqu'un toqua à la porte de la salle de bain, je renifla, me passa un coup d'eau sur le visage, pour remettre mon maquillage, et sortit, l'air de rien.

Mais il a fallu que ce soit Lionne.

-B...Wanda... ? S'inquiétait-elle, en essayant de vouloir me prendre dans ses bras.

-Non, Lionne... S'il te plaît. N'essaie pas de compliquer les choses.

-Tu ne sais pas à quel point tu me manques, Wanda.

-Je te jure... que c'est mieux comme cela.

-D'accord...Disait-elle, blessée.

Je partis, mais elle m'interpella :

-Wanda...

-Oui... ?

-Malgré tout cela, je serais toujours là pour toi. Je te le promets.

-Merci Lionne...

Elle me fit un signe de tête, compatissante, et je lui rendis, puis partis rejoindre mon équipe.

-Ont vas quand même faire quelque chose ce mois-ci. Annonçais-je.

-T'es complètement folle, Wanda ! Il y a les flics partout ! S'exclamait Ben.

-Un truc rapide. Et discret. Expliquais-je.

-Ont t'écoutent. Disait Louis.

-Ont vas s'attaquer à son uniforme d'école.

-Comment ?

-Qui sait colorer les vêtements en vert ? Demandais-je.

-Moi ! S'exclamait Suzy, en levant la main.

-Parfait. Souriais-je.

-Alors c'est ça ton plan ? Colorer son uniforme en vert ? Riait Louis.

-Et j'ai besoin de deux autres idées.

-J'ai toujours rêvé d'écrire sur le visage de quelqu'un avec un marqueur noir ? Proposait Ben.

-Super ! Riait Suzy.

-Plus qu'une autre. Annonçait Des'.

-Oh bordel, je sais ! Vous voyez Bredwick, l'ennemi de Tom ? Demandait Louis.

-Oui ? Demandais-je, curieuse.

-Colorons ses cheveux en verts.

-Et en quoi, cela touche Tom ? Et, comment être sûrs qu'il se lave les cheveux ?

-J'ai compris, Louis. Sourit Des'. Je lance dans la foulée qu'ils sont assortis, et tout le monde se fout de leurs gueules, c'est cela ? Riait Des'.  Et pour être sûr qu'il se lave les cheveux, je pense que Louis a une idée.

-Exactement. Sourit Louis.

-Je vous aimes pour avoir de si belles idées. Souriais-je.

-Ont t'aiment aussi. Sourit Louis, en faisant un clin d'oeil.

-Exactement, ont t'aiment ! S'exclamait Suzy, en riant.

-Je confirme. Sourit Ben.

-C'est vrai, t'es la meilleure ! Confirmait Des', en me faisant un clin d'oeil, et en souriant, elle aussi.

-C'est partis ! M'exclamais-je.


- -

Nous nous dirigions vers la grande salle, et Louis partit vers Tom.

-Je suis sûr que tu n'es pas capable de renverser un truc sur les cheveux de Bredwick. Rit-il.

-Je vais le faire avec plaisir. Sourit Tom, arrogamment.

Tom s'approcha avec son plat de spaghettis sur Bredwick, et le renversa sur ses cheveux.

-Bordel, espèce de connard ! Tu me le revaudras Malton !

Tom partit en courant avec Louis, en riant arrogamment.


- -

-Je m'occupe de mettre la couleur verte, dans le flacon de shampoing de Bredwick avec Ben. SouriaitLouis.

-Et Suzy et Des' s'occupent de colorer la tenue de Tom pendant que je vais écrire le message. Souriais-je.

-Non, poulette ! Cette fois, ont te laissent pas seule ! S'exclamait Suzy. Tu viens avec nous!

-D'accord, d'accord ! Riais-je.

-À toute à l'heure, de tout façon, ont as tous nos talkies-walkies. Annonçait Louis, en faisant un clin d'oeil.

-Je coupe les caméras ! S'exclamait Ben, en souriant.

-D'accord,à toute à l'heure ! S'exclamait Suzy, en souriant, elle aussi.

- -

Nous nous dirigions discrètement jusqu'au dortoir de Tom, et Des' attendait dehors, pour faire le guet.

-Alors ! Où est ce fichu costume ? S'exclamait Suzy, en fouillant les placards.

Je cherchais dans lesplacards avec elle, et je lui lança une chaussette dessus.


-Ah ! Prends-ça ! Criait Suzy, en me lançant un caleçon.

Je tomba sur les fesses en voulant l'éviter, et ont rigolas ensembles.

-Je l'ai trouvé ! S'exclamait Suzy, en dansant avec l'uniforme dans les mains.


-Viens, Des' nous attend ! Riais-je, pour la danse qu'elle venait de faire.


Ont se dépêchas de sortir pour rejoindre Des', et de se faufiler dans la laverie.
Il n'y a personne, super !


-Il faut chercher le flacon de couleur verte. Annonçais-je.

-Il est juste là ! Souriait Des', en prenant le flacon, qui était sur une machine à laver.

Suzy mit l'uniforme dans la machine, et Des' mit la couleur, puis je mis en route la machine.

On entendit quelqu'un entrer.

-Merde ! M'exclamais-je, en me cachant sous un banc avec les filles.

-Les filles ? Vous êtes là ? Murmurait Louis.

-Bordel, vous nous avez fait peur ! M'exclamais-je, en sortant de ma cachette.

-Désolé ! Riait Ben, avec Louis.

-Plus qu'à attendre. Soufflait Suzy, en s'asseyant sur le banc.

Ont s'asseyaient tous.
Et un silence se fit.

-Vous venez d'où ? Demandais-je.

-Je suis d'ici. Ma mère est anglaise, mais mon père est afro-américain, d'où ma couleur. Riait Louis.

Tout le monde ria, et Suzy prit la parole :

-Je suis née en Australie, à Sydney. Mais mon père est Anglais, ce qui m'a amené ici. Et du coup, ma mère est Australienne. J'ai aussi des origines françaises de ma grand-mère.

-Et moi, je suis né en Irlande, pas loin de Cork. Mais, j'ai dû venir ici pour le boulot de mon père. Sourit Ben.

Des' ne dit rien, et je pris la parole :

-Et toi, Des' ?

-Je pense avoir du sang Français et Anglais... Ma tante ne me l'a pas vraiment dit.

Je la regarda tristement, et elle reprit la parole :

-Mes parents ne sont pas morts, je crois. Ils ont juste trouvés cela compliqué d'élever une fille à seize ans, c'est ce qu'ils m'ont racontés. Je ne les connais pas... Et plus tard, ma tante m'a adopté. Mais je pense, qu'en faite, mes parents sont morts quand j'avais neuf mois.

Je l'ai pris dans mes bras avec Suzy.

-Comment peux-tu en être sûre ? Demandait Ben, doucement.


-Des souvenirs... parfois. Et peut-être mon certificat de naissance, que j'ai trouvé il y a un an.

-Putain, je suis tellement désolée Des'... Soufflais-je, tristement.

-Ce n'est rien... Sourit-elle, les larmes aux yeux.

Je lui souriait, compatissante.

-Et toi, miss ? Me demandait Louis.

-Je suis née à Brooklyn. Je n'en sais pas vraiment sur les origines de mes parents.


-Tu ne leurs a jamais demandé ? S'étonna Ben.

-Ils ne m'ont pas vraiment répondu.

-C'est étonnant. Disait Louis, en fronçant les sourcils.

C'est vrai que cela est bizarre... en y pensant...

-Et vous avez des frères et sœurs ? Demandais-je, en changeant de sujet.

-J'ai un petit-frère de sept ans ans du nom de Barry, et un autre de neuf ans, s'appelant Andrew. Sourit Suzy.

-J'ai un grand-frère de vingt ans, du nom de Tony ! S'exclamait Ben.

-J'ai une grande-sœur de vingt trois ans du nom d'Iris, et un grand-frère de vingt ans qui s'appelle Anthony. Informait Louis, en faisant un clin d'oeil.

-Et moi, j'ai un demi-frère de vingt six ans qui s'appelle Sebastian. Sourit Des'. Il me manque.

-Ils doivent être aussi supers que vous tous ! Souriais-je.

-À ton tour. Sourit Ben, en me faisant un clin d'oeil.

-Si je sais compter, j'ai une grande-sœur qui vient d'avoir dix-sept ans qui s'appelle Wihem, et un frère qui à dix-neuf ans s'appelant James. Souriais-je.

-Ils doivent être aussi incroyables que tu l'es. Sourit Louis, en me regardant.

-Je ne sais pas si je suis incroyable, mais eux, ils le sont. Souriais-je, gentiment.

-Voyons, tu es incroyable ! Riait Ben.

-Merci beaucoup, Ben ! Riais-je, gentiment.

Des' nous prit par surprise, en nous renversant une bassine d'eau dessus.

-Hey ! S'exclamait Ben, en l'arrosant avec le spray pour les vêtements.

Des' criait pendant que Ben l'a poursuivit, Suzy me lança de l'eau dessus, et je courrais après elle en lui lançant du savon.



Flashback.


Cela partit vite en carnage, Lily jetait de la terre sur moi avec la pelle, et je décida de l'arroser d'eau en rigolant.


-Tu as osé ! S'exclama Lily, outrée, et riant aux larmes.


Et innocemment, Rose nous propulsa par terre, parce qu'elle était aller chercher le tuyau d'arrosage qui avait une bonne pression.
Je regardais Lily malicieusement,et elle me fit un clin d'oeil.
Puis Rose, fière d'elle, ne vit pas quand Lily et moi tombèrent sur elle, la plaquant au sol.
Et pour se défaire de notre emprise, elle nous jeta de la terre en plein visage, puis courra en riant.

-Hey ! M'exclamais-je, m'étant fait avoir.

Fin du Flashback.





Non... plus de Flashback.


Flashback.


-Il faut l'a rattraper !

-Qu'on lui coupe la tête ! Riais-je, avec Lily.

Nous continuâmes de courir après elle, et puis, peine perdue pour Rose, elle ne pouvait plus s'enfuir.
Alors, je pris le tuyau et l'éclaboussa.


Fin du Flashback !

Je ne veux plus me souvenir !

Flashback !


Et au loin, je vis une piscine.
Depuis quand ils ont une piscine ?

-On fait la Paix ? Disais-je, en tendant ma main à Rose.

-On fait la Paix. Confirmait-elle, en me souriant.

Puis, toutes les trois, nous marchèrent vers la piscine.
Et pendant que je discutais avec les filles, je poussa Rose et Lily à la flotte, en explosant de rire.

-Non mais ! S'exclama Lily. Ma petite dame,comment pouvez-vous vous permettre cela ? C'est une mutinerie !

Je riais aux larmes, et proposait ma main à Rose pour l'aider à remonter.
Mais elle exerça une pression sur mon bras, et me tira à l'avant, ce qui me fis tomber.

-Vendetta ! S'exclamait Rose.

Je souris, et sortis de la piscine pour me changer et mettre un short blanc à la place de ma salopette à cause de la chaleur, et je continua le jardinage.
Les filles me rejoignirent, quelques minutes après.

-La piscine est pleine de boue. Constatait Lily.

-Les Malton n'ont personne pour la nettoyer ?

-Si, mais il est en congé.

-Alors, Jason Malton le fera lui-même.

Et j'entendis des explosions de rires derrière moi, pendant que je plantais une rose rouge.
Ne comprenant pas, je me retourna :

-Qu'est-ce qu'il y a ?

-Imagine-tu Monsieur Malton nettoyer la piscine ? Ricanait Lily.

-C'est vrai que sur le coup, je n'y ai pas vraiment pensé. Riais-je, doucement.

Nous continuâmes de rire avec quelque anecdotes sur les Malton, et nous avions finis de tout planter.
Puis je reçue de la boue dans les cheveux ce qui m'alerta, et je vis Lily et Rose se foutre de ma gueule pour parler poliment.
Je les regardais choqué, et elles continuèrent de me lancer de la terre et de l'herbe, puis malheureusement, elles prirent le tuyau, et elles eurent l'idée de mettre de l'herbe et un peu de terre dedans, ce qui me fit propulser de deux bonds en arrière.
Je riais, m'en foutant complètement que j'étais, maintenant, pire que toute à l'heure.
Même si je sortais d'un comma, je m'amusais.
Plus doucement, que d'habitude, évidemment.

-Qui vous a permis de planter des roses dans mon jardin ?! S'exclama une voix, froide. Vous n'êtes que trois serveuses.

Ah...
Je riais mentalement, car il ne m'avait pas reconnu.
Lily allait riposter, mais je l'en empêchais.

Fin du Flashback !

Non, bordel... !

Flashback !


-Et votre piscine aussi, est... remplie de boue. Riais-je, malicieusement.

-Comment osez-vous me parler de la sorte...?!

-J'aurais pensé que vous seriez content de me revoir. Provoquais-je, arrogamment.

Fin du Flashback.

Je ne veux plus penser à Blodwyn.

Flashback.




-Pardon ?!


-Oh mais cessez de crier, c'est agaçant ! Est-ce que vous vous entendez ?

-Vous êtes viré. Partez sur le champ. M'ordonnait-il.

-Je viens juste de rentrer, et vous me virez ? Ce n'est pas très fair-play comme attitude de votre part... Souriais-je, malicieusement.

Stop, je n'en peux plus de ces Flashback...




-Partez ! S'exclamait-il.

-Attendez deux minutes. Dis-je, en faisant des grands signes de bras.

Je me dirigeais vers l'arrosoir,et me nettoya le visage, puis en marchant jusqu'à Monsieur Malton je baissa la tête, et entre temps j'échangeais un regard malicieux avec Lily, qui elle, se retenait de rire avec Rose.

-Je peux au moins aller chercher mes affaires ? Demandais-je, toujours la tête baissée.

Bordel, stop !
Je veux juste tout oublier.

-...Oui. Soufflait-il, agacé.

-Merci Monsieur Malton ! Disais-je, en relevant la tête vers lui.

-Mais...?! Une lueur de surprise s'empara de son regard. Vous... Qu'est-ce que... Tom m'a dit que... Murmurait-il, et il ne dit plus rien pendant quelques secondes, comme paralysé.

-Votre pire cauchemar est revenue hanter votre manoir. Dis-je, en serrant les dents.

-Comment cela se fait-il... ?

Cela ne me fait que souffrir !
Je ne veux pas me rappeler !

-Tout le monde me dit miraculeuse alors. Souriais-je, en coin. Je suis même plus connue que vous maintenant, mais dans le monde de la Paix par contre, pas dans le monde des mangeurs de livres... je parle de la monnaie anglaise, bien sûr. Précisais-je.


Il secoua la tête, énervé et désespéré de mon attitude.
Monsieur Malton souffla, mais discrètement, je pu déceler un lueur de malice dans son regard.

-Entre autre, c'est grâce à Tom que je me suis réveillée.

-Oh, alors pour cela, je devrais le prendre pour un sauveur ? Dit-il, en reprenant son air froid d'un coup.

S'il vous plaît, arrêtez.
Arrêtez de me rappeler ma vie d'avant.

«

-Vous n'arriverez jamais à la cheville de votre fils. Répliquais-je, calmement mais provocante dans mon ton.

-Pourquoi êtes-vous donc trempée de la tête aux pieds ainsi ? Questionnait-il, en me regardant de haut en bas, ignorant totalement ce que je venais de lui dire.

Ou peut-être que l'homme n'avait rien à dire parce qu'il savait que la jeune fille, avait raison.

-Le jardinage est un peu partit... en carnage. Expliquais-je, en me retournant vers Lily et Rose qui souriaient innocemment. Je me suis permise de planter les roses qui m'ont étés offertes durant mon séjour à l'hôpital. Et je compte en mettre quelques unes dans le manoir, et j'ai décidé de garder deux bouquets dans ma chambre.

-Faites comme bon vous semble. Tant que cela n'empeste pas. Et n'osez pas mettre de roses rouges ou de roses de couleurs roses dans mon manoir.

-Je les ai toutes mises dans le jardin, celles-là.



Je ne veux que l'oublier.
Arrêtez de tout me rappeler.
Arrêtez de me rappeler lui que j'aime tant.
Je n'en peux plus.
S'il vous plaît !

Il ne dit rien, et me regarda froidement en me demandant :

-Lesquelles comptez vous gardez dans votre chambre ?

Je trouvais cette question étrange, mais je répondis tout de même :

-Le bouquet de roses jaunes de votre fils.

Non !
Bordel !
Stop !



Une lueur noire, fit place dans ses yeux pour remplacer la lueur de curiosité.

-Et... un autre. C'est un bouquet avec une rose blanche et une autre rose, noire.

-Oh... Murmurait-il, calmement.

Bordel... non !
Plus de Flasback.
Et ses pensées noires du passé partirent.
La jeune fille se sentit libérer, et heureuse d'avoir réussit à tout oublier.
Ben me lança de l'eau, et je lui lança du savon, en riant aux larmes.
Ben poursuivit Suzy et Des', en riant.
J'en profita pour lancer de l'eau sur Louis.

-Oh ! Viens-là toi ! Riait Louis, en me courant après.


Je riais, et me cacha derrière une étagère.
Il me prit par la taille, par surprise, et me sourit.

-Tu ne peux plus bouger, maintenant. Rit-il.

Il me regarda dans les yeux, profondément, et prit la parole :

-Wanda... je...

-Non, Louis... Disais-je, apeurée, en partant vers les autres.

-Mais, Wanda !

Je partis vers les autres.

-La machine est prête ! M'exclamais-je.

Je l'ouvris et pris le costume.


-Aussi vert que vert. Riais-je.

Ils rirent.
Je partis en courant pour le remettre dans le placard de Tom avec Suzy et Des'.
Ne me dites pas que Louis m'aime... ?
Je ne pense pas, que je ne pourrais le supporter.

Ont rejoignis les autres, et j'annonça :

-Ben, je viens avec toi pour ce soir.

-Pas de problème, je t'attendrais à minuit ! Sourit-il.

-À demain tout le monde ! M'exclamais-je, en souriant.


-À demain ! S'exclamaient tout le monde, en souriant, aussi.




Puis, je partis me coucher habillée, vers 20h.


- -

Minuit.


Je sortis discrètement de mon lit, pour rejoindre Ben.

-Hey, j'ai coupé toutes les caméras ! Saluait-il.

-Hey, d'accord ! Répondis-je, en souriant.

Ont entras dans le dortoir, très discrètement.

Ben sortit son marqueur noir, et se tourna vers moi.

-J'écris quoi ?

-Tout ce que tu veux. Riais-je, doucement.

Quelques secondes après, Ben se retourna vers moi, content.
Je regarda Tom, et ria.
Il avait toute sorte d'insultes sur le visage, il avait même dessiné... un pénis !
J'essaya de me retenir de rire, en voyant ce qu'il y'avait marqué en dessous du dessin.
C'était marqué « Le tien ».
Nous partîmes, mais je me stoppa.

-Passe moi le marqueur, s'il te plaît.

-Tiens. Sourit-il.

Je m'avança lentement vers Tom, et dessina un petit cœur vers le cou...
Je ne sais même pas pourquoi j'ai fais cela, mais je le voulais.
Je le regarda, il dormait paisiblement.
Je me retins de pleurer, et partis en courant avec Ben.
À un couloir, je m'arrêta contre un mur, pour reprendre ma respiration, et des larmes se mirent à couler...

-Hey... Wanda... tu vas bien... ? S'inquiétait-il.


-Non... Ben... Pleurais-je.


Il me prit dans ses bras, et me caressa le dos pour me réconforter.

Après quelques minutes comme cela, je me calma.


-Ça va aller, princesse... ? Demandait-il, doucement.


-Oui... ne t'inquiètes pas. Merci.


-Je t'en prie. Les amis servent bien à réconforter les proches, qui sont tristes dans leur vies. Sourit-il. Je serais toujours là pour toi, je te le promets.


-Tu ne peux pas savoir à quel point je te remercie, Ben.


-Je le sais, maintenant. Plaisantait-il.

Je riais doucement, et nous nous conduisions dans la salle informatique pour que j'écrive le mot.

Ce que je fis.

J'écris : Bonjour Tom, tu ne m'auras jamais. Bonne journée à toi ! x.

-Pourquoi tu te fais passer pour quelqu'un qui est seul contre lui ? Demandait Ben.


-Je ne veux pas vous impliquez en cas de problèmes.

Ben souffla en souriant, et refis un lettre qui disait : Bonjour Tom, tu ne nous auras jamais. Bonne journée à toi ! x.

Je souffla en riant, et nous discutions un peu.

-Qu'as-tu prévu de faire pour les trois prochains mois ? Demandait Ben, gentiment.


-Je sais juste que j'aurais besoin de vous, tous. Comme à chaque fois. Mais j'ai bien une idée pour les deux derniers mois...


-Dis-moi ! S'exclamait-il.


-C'est un secret ! M'exclamais-je, en riant.


Un silence agréable se fit, et je pris la parole :

-Mais j'aurais besoin de vos talents à toi et Suzy ! M'exclamais-je, en souriant.

-C'est surtout Suzy qui est talentueuse. Dit-il, admiratif.

-Qu'attends-tu pour lui dire ? Questionnais-je.

-Lui dire quoi ? S'étonnait-il.

-Que tu l'aimes ! M'exclamais-je en riant, gentiment.

-C'est si évident que ça... ?

-Je ne sais pas si pour d'autres c'est évident, mais pour moi ça l'est !

-Elle ne m'aime pas !

-Et moi je suis sûre que si, elle se comporte maladroitement avec toi. Et elle rougit quand tu lui parles.

-Alors, j'ai des chances ? Demandait-il, en me regardant, heureux.

-Tu as toutes tes chances !

-Merci, Wanda.

-Je t'en prie.

Ont partaient de la salle informatique.
Nous arrivions à mon dortoir.

-Tu me le promets que tu avoueras tes sentiments à Suzy, que tu as envers elle ? Demandais-je.

-Je te le promets, Wanda. Sourit-il, en me faisant un clin d'oeil.

-D'accord. J'ai hâte d'être à demain. Riais-je.

-Moi aussi. Rit-il.

-Merci beaucoup, Ben.

Il me prit dans ses bras.

-Merci beaucoup à toi, Wanda. Souriait-il.

-Bonne nuit, Ben !

-Bonne nuit, Wanda !


Il partit jusqu'à son dortoir, et je rentra dans le mien pour me changer et sauter dans mon lit, fatiguée.

- -

Lundi 6 Mars.

Un bruit de sonnerie se fit entendre, et cela me surpris en plein sommeil, je me débattais dans ma couette, encore sonnée.
Et je tomba de mon lit, sur les fesses.

-Bordel, c'est quoi ça ?! M'énervais-je.


-Je ne sais pas, quelqu'un qui a dû oublier son portable, mais cela t'as surprise, on dirait. Deux fois dans la même nuit, c'est un record. Riait une fille de mon dortoir, en me voyant par terre.

Deux fois... ?
Je riais, et me présenta :

-Je ne t'ai jamais parlé... Enchantée. Wanda.

-Iris. Enchantée de même. Tu n'es pas un peu la célébrité de cette école, depuis ton arrivée ?

-Si... Merci que cela s'est dissipé un mois après... Je crois que j'aurais explosé. Souriais-je, arrogamment.

-Haha, oui. Je pense comprendre... Mais dis-moi... j'ai une question un peu indiscrète...?

-Oui vas-y... ?

-Tu te souviens avoir tombé cette nuit... ? C'est moi, qui t'ai aidé à te remettre dans ton lit.

-Oh... non, je ne me rappelle rien. Merci beaucoup... mais... pourquoi suis-je tombée... ?

Elle regarda aux alentours, et s'assit sur mon lit, pendant que je restais assise par terre.

-Les filles ont eu le sommeil tellement lourd qu'elle ne t'ont pas entendus... Mais on aurait dit que... tu criais à la mort...

-Oh... ? Mais pourtant... je ne me souviens de rien-

Oh.

Flashback.


Une ombre me regardait au loin, et elle se retourna.

Je courrais de toutes mesforces pour l'a rattraper, mais je faisais du sur place sur l'autoroute.

Cette ombre s'avança au milieu de la route, pendant que je m'époumonais :

-N'allez pas sur la route, vous allez vous faire écraser !

L'ombre se retourna vers mon cri, et se fit percuter par un camion.
Je m'évanouissais sur la route, tremblante.

- -

Je me réveilla près de l'ombre.
Et ce que je vis, m'horrifia.
Jason.
Le corps ensanglanté, sans vie, sur la route.
C'était lui, l'ombre.
Je pleura, en le prenant dans mes bras.

-Non...Tu ne peux pas me faire ça... ne me quitte pas, Jason... Je t'en supplie. S'il... te plaît... Je t'aime...

-C'est de ta faute. Tu l'as tué. Fit une voix derrière moi, froide.

Tom.
Je me retourna et vis Tom, Helen, Berty, Rose, Lili, et Scarlett.

-Vous avez tué mon mari. Fit Helen, horrifiée.

-Comment as-tu pu faire cela à mon meilleur ami... Tu me dégoûtes. Personne ne veut plus te voir. Wanda. S'énerva Scarlett, les larmes aux yeux. Il ne t'as jamais aimé en plus, tous ces messages n'étaient que faux. Il aimait Helen, et il l'a toujours aimé. Elle est même enceinte, et elle va garder le manoir, et toute sa richesse.

Ce n'est pas possible.
Cela ne peut pas arriver.

-Ou Scarlett devrait-elle dire... Blodwyn...? Riait Lily, cruellement. Après tout, tu es morte.

-Je ne vous croyais pas comme cela... être capable d'une telle chose... Comment se sent-on après avoir le sang d'une personne sur les mains... ? Demandait Berty, avec un regard maléfique.

Je regardais mes mains, et elles étaient bien en sang.
Je me retournais vers le corps de Jason, qui continuait de perler sur le sol...
Non...je... je n'ai pas pu le tuer...
Pas la personne que j'aime le plus au monde.

-Tu l'as tué. Tu n'es qu'une assassin. Disait Rose, froidement.

Tom me donna un couteau.

-Tu l'as bien fait une fois, tu peux le refaire. Tu ne mérites que cela.

Je ne voulais pas, mais je ne contrôlais plus mon corps.
Mes mains prirent le couteau, et l'enfonça profondément dans le cœur.
Les sanglots s'arrêtèrent, comme ma respiration.
Et je tomba sur le sol, a côté de Jason.
Je lui pris la main, et partis le rejoindre.

- -

-NON ! Criais-je, horrifiée, en me réveillant, et tomba du lit.

Mon corps était en sueur, et les larmes avaient ravagées mon visage.
La peur me noua l'estomac, j'étais comme paralysée.
Je n'arrivais plus à bouger, mais je sentis des bras m'aider à me relever.

La personne me prit dans ses bras.


-C'est fini... c'est fini. Chuchotait-elle.


-Jason... Jason... Jason... Répétais-je, apeurée.

-Shh... C'est fini. Dit-elle, en me serrant dans ses bras, me caressant le dos pour m'apaiser. Rendors-toi... Ce n'était qu'un horrible cauchemar.

-Reste avec moi, le temps que je m'endorme... s'il te plaît. Disais-je, les sanglots torturant ma gorge.

-Je resterais avec toi. Je te le promets.

-Merci... Promis ?

-Promis.


- -

Fin du Flashback.


Ma gorge se noua, et les larmes menacèrent.

-Je ne te force pas à en parler. Je sais que cela a dû être très dur.

-Tu... n'as pas idée à quel point... Et je pense devoir aller vérifier que...

-Que ce « Jason » va bien... ?

-Ne répète pas que je t'ai parlé de ce prénom... s'il te plaît. Soufflais-je, en la regardant.

-Je ne suis pas comme cela. Et même, cela ne me regarde pas. C'est juste que cela m'a inquiété de te voir comme cela cette nuit... Je ne pouvais pas te laisser dans cet état.

-Merci beaucoup... Je te remercie tellement.

-Quoi qu'il en soit, j'espère que ton Jason, va bien.

Cela me provoqua une sensation de bonheur quand elle me dit « ton ».
Parce qu'au fond... c'est tout ce que je souhaite bordel...

-Et ce Jason... est-ce que c'est... Commençait-elle.

-C'est plus compliqué que tu ne le penses. Soufflais-je.

-Je ne m'en mêlerais pas. Promis. Puis... tu as un peu de chance si c'est à l'homme auquel je pense.

-En quoi j'ai de la chance... ?

-Il est plutôt pas mal ! S'exclamait-elle, en levant les bras en l'air.

J'explosa de rire avec elle.

-Tu es complètement barge, toi. Souriais-je. Je t'aime bien.

-C'est réciproque ! Bon, je ne vais pas t'embêter avec mes histoires de garçons, file te doucher !

Je partis en riant jusqu'à la douche pour me laver, et puis sortis, et mis un jean blanc, avec ma veste en cuir rouge, et un débardeur blanc aussi.
Le rouge à lèvres d'hier m'avait bien plu, alors je le remis en me maquillant.

Je trouva quelque chose dans ma trousse de toilette...
Une bague... la bague qu'il m'avait offert ce soir... où... nous nous sommes embrassés.
C'était une bague en argent avec un serpent autour, avec des yeux verts émeraudes.

Je souffla un bon coup, et la mit.

Je sortis de la salle de bain, et Iris ne manqua pas de me faire une remarque :

-Tout en beauté. Et beaucoup plus heureuse que cette nuit. J'en suis ravie.

Je lui souris.
Ont entendit un énorme raffut dehors, et ont décidas de courir vers ces cris.

Tom et Bredwick.

Côté à côte.

Tom avec son costume vert.
Et Bredwick avec ses cheveux verts.
J'aurais tout donné pour avoir un appareil photo à ce moment-là.

Je vis Louis... , Ben, Suzy et Des', dans la foulée.

-Regardez qui est assorti à qui ! S'exclamait Des'. Tom Malton est passé chez le tatoueur pour le visage, on dirait bien ! Riait-elle.

Je courra dans mon dortoir pour prendre la lettre, et courra jusqu'au dortoir de Tom pour mettre le mot sur son lit.

Quelques policiers étaient encore là, et en sortant du dortoir de Tom, je vis Monsieur Malton parler avec l'un des officiers.
Je me demanda vraiment quel lien il a, avec cette école.

Il semblait concentré dans sa conversation, et j'en profita pour le regarder.

Ses yeux bleus me manquent tellement...
Il continua de parler à ce policier, mais son regard partit dans une autre direction.
Il me regarda en continuant de parler avec lui.
Son regard passait plusieurs fois sur moi, et des fois il regarda l'officier droit dans les yeux.
Il semblait... déstabilisé.
Je l'étais aussi.
Il ne devait pas comprendre pourquoi je sortais du dortoir de son fils, et c'est ce que je réalisa.
Mais je réalisa autre chose aussi...

Bordel, il est vivant, et il a l'air d'aller très bien.

Mais une autre chose encore, venait de se réaliser dans ma tête.


Plus je le regarde, plus je tombe profondément amoureuse de lui...


- -

Je chassa mes pensées d'amour quelques secondes, et je repartis en direction de la foule.

Je m'étais mis à côté d'iris, en regardant tout ce chahut, et je croisa les bras.

-Alors... il va bien ton ami...? Demandait Iris.


Je lui fis un sourire radieux, et elle hocha la tête, satisfaite de ma réponse.


-Je crois que c'est la meilleure réponse qu'on m'ai donné de toute ma vie. Plaisantait-elle.



Je riais, et fis un clin d'oeil à mon groupe de l'autre côté.
En faisant mine de les applaudir.
Et Ben me fit un pouce en l'air, en me faisant un clin d'oeil.
Je riais, et lui rendis son geste.

La foulée se dispersa, et je pû enfin voir Tom.
Son regard croisa le mien, et je ne sais quelle émotion a pu lui passer par la tête.

-Tu veux ma photo peut-être ? S'énervait-il, froidement.

-Que si tu signes la photo. Plaisantais-je.

Il roula des yeux.

-J'ai bien l'air d'un con maintenant... Soufflait-il.

-Ne compte pas sur moi pour te contredire. Souriais-je, en lui faisant un clin d'oeil.

-J'en ai marre de tout ça. Soufflait-il, énervé.

-Monsieur Malton Junior se fait harceler ?

-Ce n'est pas si drôle. Mon... père à d'énormes problèmes maintenant.

-Pourquoi en parles-tu à moi ?

-T'es la seule qui soit dans cette pièce. Et je n'aime pas spécialement parler aux murs. Puis je men fous, j'aurais pu parler à la concierge, ça n'aurait pas fait grandes différences.

-Merci du compliment.

-Tu m'as compris.

-Au faite, est-ce que je peux savoir pourquoi ton père est toujours dans l'école ?

-Peut-être parce qu'il en est propriétaire.

-Vraiment ? Cela m'étonne.

-Enfin... Soufflait-il. Il reste ici, parce qu'il veut mettre fin à ce groupe de « vilains » qui se mettent en travers de nos chemins. Il m'a dit qu'il les amènerait directement en prison.

-Tu n'as pas l'air d'aimer son choix. Fis-je.

-C'est un peu brusque. Des élèves de mon âge ne peuvent pas aller en prison... c'est beaucoup trop abusé.

-Mais même quand il n'y avait pas les policiers, il était là.

-C'est parce qu'il continue d'espérer à quelque chose... mais je ne sais pas quoi.

-Que tout les élèves lui obéissent ? Plaisantais-je.

Il me sourit.

-Je le vois souvent partir dans le bureau du directeur, et y rester de longues heures. Ils parlent sûrement, affaires.


La colère bouillait en moi.
Et moi je suis sûre du contraire, bizarrement.
Monsieur Gamb va m'entendre.

-D'accord. Merci pour toutes ces informations, et d'avoir pu parler comme des élèves civilisés, Malton.

-Au plaisir, Witch.

-Au revoir.

-Au revoir. Sourit-il.


- -

Pour une fois qu'il était agréable.
Passons aux choses sérieuses, maintenant.
Je pressa le pas, mais quelqu'un m'interpella.
Je me retourna en soufflant.
Et cela me surpris de voir que cela était Monsieur Malton.

-Je vois que vous m'avez écouter. Sage décision.

-Cela n'est pas grâce à vous.

L'homme se sentit un peu blessé, mais il pensa que la jeune fille avait juste beaucoup de fierté.
Comme lui.

-Je vous en prie quand même.


-Bon, d'accord, vous étiez peut-être dans les cinq pour cents sur cents pour cents.

-Alors cela me va.

Un silence se fit.

-Excusez-moi, je suis pressée, vouliez-vous quelque chose Monsieur Malton ?

Je crois que même en changeant ma voix, je ne pourrais jamais changer la manière dont je l'appelais.

-Qu'est-ce que vous faisiez vers le dortoir de mon fils ?

-Il n'est pas qu'à votre fils... Mon ami, Louis Cordice, avait oublié un bouquin pour les cours, et je lui ai proposé mon aide, d'aller le chercher dans sondortoir. Et il a accepté.

-Vous êtes amie avec Louis Cordice... ? Réfléchissait-il.

Merde, je crois que j'ai trop parlé.

-Disons... que je m'entends bien avec lui.

-Oh... je vois.

Il pointa son regard vers ma main.
La main où je portais ma bague.
Il fronça les sourcils, réfléchissant.
Je m'inquiéta, alors mon esprit, ne pu s'empêcher de poser une question :

-Est-ce que vous allez bien, Monsieur Malton ?

-Et vous, Mademoiselle Witch ? Dit-il, en ne me répondant pas.

-Très bien, merci. Mais vous ?

-Très bien, merci.


-Parfait. Souriais-je, rassurée.

-Parfait. Répondit-il.

Je lui souris, et m'en alla jusqu'au bureau de Monsieur Gamb.
Je toqua.


-Entrez ! S'exclamait-il, chaleureusement.

J'ouvra la porte, et la ferma à clé aussitôt.

-Pourquoi ne me l'avez-vous pas dit ? M'énervais-je.

-De... Oh. Qui t'en a parlé ?

-Tom m'a vaguement dit que Ja... que Monsieur Malton venait vous voir. Et je sais, que cela n'était pas pour les affaires.

-C'est vrai, Wanda. Il vient se confier à moi.

-Pourquoi... ? Demandais-je, attristée.

-Parce que cela fait depuis que tu es morte, qu'il essaye de te retrouver. Il espère. Et quand il sent, qu'il y'est presque. Il abandonne. Il est complètement perdu. Et je pense que c'est la personne la plus triste en ce moment-même. Alors, un peu de soutien de ma part, cela ne peut lui faire du mal. Il à l'âge d'être mon fils...

-Il vient de me dire qu'il allait très bien...

-Pourquoi lui as-tu demandé cela, Wanda ?

-J'ai... j'ai fais un cauchemar.

-Alors, tu as cru que cela était réel. Les cauchemars sont les pires.


Je me mis à trembler de peur.
Michael Gamb le vit, alors il alla préparer du thé vert, et il m'apporta une couette, que je me mis sur les épaules.
Il me donna ma tasse de thé.

-Merci beaucoup.

-Alors, Wanda... Comment cela se passe ton année depuis le début ?

-Très bien. J'ai beaucoup d'amis. Honnêtes, en plus de cela. Souriais-je, heureuse.

-Pas... de petits-amis ? Plaisantait-il.


Sa phrase ne me blessa pas.
Mais dès qu'on me parlait d'amour, je pensais tout de suite à Jason...

-Ah... Soufflait-il, malicieusement. Vous êtes pareils, en fin de compte. Vous pensez chacun à l'autre, quand je parle de ce sujet.

Je souris, les papillons envahissant mon estomac.

-Quand je pense à lui, je suis heureuse.

-Il l'est aussi. Je ne vous souhaites que je le bonheur, à vous deux, chacun de votre côté.

-Je l'aime. Je sais que cela ne pourra jamais marcher. Mais je l'aime, et je ne veux que son bonheur ! Souriais-je, tendrement, des larmes de joies aux yeux, les yeux brillants.

-Vous êtes uniques, vous deux ! Riait Michael.

- - - - - - - - - - -

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Bonne journée ou bonne soirée à toutes !

x.

LeaDream

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