Slygry Ravhuff, Chapitre 41-9.

-Qui vous a donné la permission de toucher à mon piano ?! S'énervait, Monsieur Malton.

Je pris une respiration, et me retourna, énervée, en séchant mes quelques larmes, puis répondis doucement, ne voulant pas créer de conflits, comme hier :

-On ne vous a jamais dit, qu'il ne fallait surtout pas stopper quelqu'un, dans son morceau ?

-Partez. Partez d'ici, et vous aussi. Disait-il, plus calmement, avec toujours une pointe d'énervement, en me regardant, et en regardant Berty.

Berty partit de la pièce, le plus rapidement, possible, de peur de se faire virer.

-Je comptais partir d'ici, en finissant ce morceau. Disais-je, toujours assise.

Malicieusement, je finis les deux dernières notes, et me leva.

-Vous torturerez quelqu'un, en jouant comme cela. Vous n'avez aucune émotions, en jouant. Vous n'êtes qu'un... robot.

-Alors nous devrions jouer pareillement. Si je n'ai aucune émotions, alors vous, comment pouvez-vous jouer en étant autre chose, qu'un robot ?

-Partez. Ordonnait-il froidement, presque, en... m'implorant ?

-Serait-ce, de la souffrance ? Demandais-je ironiquement, en marchant jusqu'à lui.

Il allait lever sa main vers moi, mais la descendait, aussitôt.

-J'aurais vraiment cru que vous auriez finis votre boulot, en me frappant sur l'autre partie, du visage. Vous me décevez.

Il soufflait un grand coup, et cria en faisant un geste avec son bras, pour me chasser :

-Partez !

-Oh, Monsieur Malton s'énerve. Alors, c'est vraiment le seul sentiment que vous possédez ? La colère ?

Et là ce n'était pas une gifle.

Il m'avait littéralement frapper au visage, l'autre partie, comme je l'avais dis.

Et il m'avait littéralement poussé, par terre, vers la sortie.

-Qu'est-ce que vous ne comprenez pas, dans l'ordre « Partez. » ? S'énervait-il, encore plus.

-Vous n'êtes qu'un putain de monstre égoïste qui n'a pas de cœur.

Et comme une conne, je me mis à pleurer devant lui.
Il ne dit rien, me regardant simplement, il allait rétorquer, mais je le stoppa :

-Et bordel, si vous osez dire ne serait-ce, qu'un putain de mot !
Je suis peut-être une incapable stupide, bonne à rien, et tout ce que je devrais mériter serait de mourir, et bien malheureusement pour nous deux, ce matin, je respirais encore, même en ayant taper une crise de nerfs, hier !
Malheureusement, pour nous deux, je ne suis pas morte dans mon sommeil, et vous savez quoi ?
C'est bien dommage pour moi, parce que je n'ai plus rien dans cette putain de vie de merde, qu'est la mienne !
Et je m'en fous de parler mal, en ce moment-même, parce que je suis complètement détruite, alors cela ne sert à rien d'en rajouter !
Je sais déjà que je devrais mourir, ne pensez-vous pas que des gens avant vous, me l'ont dit mille fois, ou que quelqu'un m'ait déjà frappé ou même que j'ai déjà essayée plusieurs fois de mourir, mais des personnes qui, oui, monsieur, m'aimaient et me protégeaient, ce qui n'est plus le cas depuis un an, me sauvaient à chaque fois !
Et putain, je sais que vous êtes en train de jubiler dans votre tête, à entendre exactement les mots, que vous voulez !
Parce que vous aimez, voir les gens, souffrir !
Et merde, je vous hais vous, et votre famille ! Criais-je, à bout de souffle, puis je courais dehors, ayant plus que besoin d'air.

Je courais vers un espèce de labyrinthe fait de haies, et m'assis sur un banc qui se trouvait à l'intérieur, en pleurs et ravagée.

Je me mis à crier, de toutes mes forces, en frappant dans le banc.

Et une personne complètement inattendue, vint discrètement, vers moi.

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Re Bonjour ou Bonsoir tout le monde !

Vous allez toujours aussi bien ?

Vos réactions ?

Je suis dans le Ferry, alors je poste, avant que la 4G ne parte !

Bonne journée ou bonne soirée à toutes !

x.

LeaDream