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Chapitre 41-6.

Slygry Ravhuff, Chapitre 41-6.

J'aimerais beaucoup que vous participiez TOUTES en COMMENTAIRES à CHAQUE chapitres !

Que vous interagissiez avec les personnages, etc.

Pour vraiment montrer que mon histoire vous plaît.

Ce n'est pas si compliqué ! 😂

S'il vous plaît !

--

Un portier m'ouvrit la porte, et je lui fis un sourire :

-Bonjour.

Surpris, il me répondit, mal à l'aise :

-Euh... Mh... Bonjour. Souriait-il, timidement.

Personne ne lui dit bonjour dans cette famille ?

Ce n'est pas un porte-manteau, c'est un portier !

Je rentrais à l'intérieur du manoir... et...

Wow !

L'intérieur est magnifique.

Mais je le jure, que je ne le dirais jamais, aux Malton.

Ce serait trahir mes propos.

Une femme de ménage arriva et débarrassa Helen de son manteau, et voulu prendre le mien, mais je l'arrêta :

-Je peux mettre moi-même, mon propre manteau, sur un porte-manteau. Merci beaucoup. Souriais-je.

-Oh, excusez-moi... mais, êtes-vous sûre ? Demandait-elle, inquiète.

-Oui, bien sûr, où est-ce que je le mets ?

-Venez. Suivez-moi.

C'était une femme âgée, assez ronde et petite, avec une robe de travail bleue habillée, d'un tablier blanc.

Elle avait un visage très coquet, et non pas morne, comme j'aurais imaginé, que tous les hôtes de cette maison en auraient un.

Nous arrivâmes vers un petit placard, ou devrais-je dire, « dressing », vu la taille du placard à manteaux.

-Êtes-vous une invitée ? Me demandait-elle, curieuse.

-Je-

-Oh, excusez-moi, je n'aurais jamais dû vous demandez cela ! S'il vous plaît, ne le dites pas à Monsieur Mal-

-Hey... Riais-je. Restez calme. Ce manoir est ma nouvelle maison, pendant les vacances. Jusqu'à mes dix sept ans... Disais-je, tristement.

-Oh, bonne chance alors, euh... bienvenue ! Se reprit-elle.

-Je ne me pense pas la bienvenue, mais j'ai besoin de beaucoup de chances, dans tous les cas. Souriais-je.

-Vous savez... Monsieur Malton, ne va pas appréciez, si vous aidez les hôtes de maisons...

-Je me fiche de ce qu'il peut penser de moi, ou pire, de ce qu'il peut me faire.
Je n'ai pas vécue dans une grande maison, non, moi, j'ai vécue avec une famille qui s'aime et qui est aimante.
Où tout le monde riait à chaque petit-déjeuners, à chaque déjeuners, et à chaque dîners.
Et qui ne traitait aucune personnes comme des esclaves.
Mes parents faisaient le ménage ensembles.
Ils cuisinaient aussi ensembles, et je les aidais.
Mes parents étaient aimables, même, avec le poissonnier du quartier ou, la vendeuse de la petite épicerie, du coin de rue. Disais-je, nostalgique. Alors je me fiche de ce qu'ils peuvent tous penser de moi.
Je ne resterais pas très longtemps, en plus.

-Je vous adore. Cela fait tellement de bien de voir une personne civilisée. Riait la femme de ménage. Oh, comptez-vous partir bientôt ? Mais les vacances commencent, tout juste ?

-M'enfuir, est le seul échappatoire. Souriais-je, gentiment.

-Vous allez leur faire vivre un calvaire... Riait-elle. Mais... Monsieur Malton est dangereux, alors s'il vous plaît mademoiselle, faites attention. M'avertissait-elle.

-Appelez moi ... . Et vous, comment vous appelez-vous ?

-Berty. Répondait-elle. Mais est-ce que cela vous dérange, si on joue le jeu, devant les Malton... je... je ne veux pas me faire renvoyer.

-Rassurez-vous, il n'y a aucun problèmes. Rassurais-je, en lui faisant un clin d'oeil.

Helen arriva vers nous, et demanda à Berty :

-Pouvez-vous, lui montrer sa chambre ? Demandait-elle, froidement.

Je découvris une toute nouvelle personnalité d'Helen, ce qui me figea un peu.

Était-elle obligée, pour faire bonne figure, au nom de son mari ?

C'est tellement désolant, et ridicule, à la fois...

-Oui, Madame Malton. Obéissait Berty, en baissant la tête. Venez Mademoiselle, je vais vous montrez votre chambre. Disait-elle, en se retournant vers moi.

Helen nous regardait partir, et je me mis à souffler :

-Tu es courageuse.

Elle se retourna vers moi, en riant, légèrement :

-Merci.

Nous arrivâmes devant une porte pas très joviale, et elle m'ouvrit la porte.

Bordel, c'est quoi, cela ?

Une chambre absolument très grande, avec des cadenas à la fenêtre.

Et très poussiéreuse, sans oublier les insectes, qui se faufilaient de partout.

Oh mon dieu, je vais avoir une crise cardiaque, qu'est-ce que c'est triste !

Berty en voyant ma mine déconfite, dit embêtée :

-Je suis désolée, Monsieur Malton m'a dit que ce serait votre chambre.

-Ce n'est pas une chambre ça, c'est une prison ! Disais-je, hallucinée. Monsieur Malton... votre compte en banque va perdre toute sa valeur.

Une idée me frappait, et malicieusement, je demandais à Berty :

-Est-ce que le chauffeur pourrait m'amener deux pots de peinture, et de la tapisserie brodée rouge, en cachette ?
Et dites-lui que c'est une requête de ma part, Berty. Souriais-je.
S'il vous plaît.
Ah, et des draps de la même couleur, que la tapisserie.
Le rouge est ma couleur préférée.
Puis un système de cadenas et de verrous, pour ma porte.

-Mais, si Monsieur Malton, l'apprend...

-Je dirais que j'ai fais avec les moyens du bord. Ou que j'ai forcée le chauffeur. Riais-je.

Elle rit un peu avec moi et, envoya la requête au chauffeur.

Monsieur Malton n'étant toujours pas revenu, et heureusement.

Quelqu'un toqua à ma porte, c'était Berty et le chauffeur.

-Entrez, entrez. Disais-je, chaleureusement.

-J'ai pensée qu'une petite aide ne vous serait pas inutile... Proposait Berty, en se reculant, laissant voir deux autres femmes de ménages beaucoup plus jeunes, l'air sympathique.

-Oh... merci beaucoup ! M'exclamais-je, heureuse.

-Je m'appelle Lily, enchantée Madame.

-Et moi, je m'appelle Rose. Ravie de faire votre connaissance.

-Oh non, pas autant de politesse. Appelez-moi ... .
Et vous devez avoir six ans de plus que moi... alors tutoyez-moi. Et comme nous vivons, dans ce même calvaire ! Soufflais-je, tristement.

Les deux filles me sourirent, et Berty posa ce que le chauffeur avait ramené.

Il y'avait dix fois plus de choses, que je ne l'avais demandé.

Le porte-monnaie de Monsieur Malton, va en prendre un petit coup.

-Merci beaucoup ... ? Je ne connais même pas votre nom. Plaisantais-je, en voulant remercier le chauffeur.

-Alfred, Mademoiselle, je m'appelle Alfred. Souriait-il, poliment.

-Alors merci beaucoup, Alfred.

-Je vous en prie.

Lily, Rose, Alfred et Berty étant tous rentrés dans ma chambre, je fermais la porte.

-Alors je voudrais tous savoir, en quoi, vous êtes doués, pour pouvoir m'aider ?

-Je peux tout nettoyer. Souriait Lily.

-Mhhh. Moi, je peux tout dépoussiérer. Ajoutait Rose.

-Je peux ranger. Riait Berty. Mon boulot, en fait !

-Et moi, je peux vous aidez à bouger des meubles, et à installer le système de
« cadenas-verrous » à votre porte. Proposait Alfred.

-Et moi, bien sûr, je vais repeindre, et redécorer, et installer mes affaires. Disais-je, en réfléchissant. Vous savez que c'est assez dangereux ce que l'on fait, alors je voudrais qu'aucun de vous ne sorte d'ici, ou bien fasse trop de bruit.
Quelqu'un a une idée, de quand Monsieur Malton revient ?
Et qui sait les autres activités, des habitants de ce manoir ?

-Monsieur Malton arrive généralement vers huit heures du soir, si cela a été urgent.
Madame Malton peint, jusqu'à neuf heures du soir.
Et Tom est en fait, partit avec son père. Informait Berty.

-D'accord, il est déjà midi, alors au boulot ! M'exclamais-je.

Tout le monde se mit au travail rapidement.

La première heure, Lily et Rose avaient tout nettoyées, et dépoussiérées toute la chambre, mais elles restaient quand même, au cas où.

--

13h00 !

J'avais repeins les murs d'un rouge bordeaux, mais clair, comme la peinture était vieille, avec l'aide de tout le monde.

Nous avions mis la tapisserie brodée bordeaux par dessus, cela faisait comme des lignes qui se rejoignaient et à la ligne d'intersection, il y'avait comme des boutons en tissus, dorés.

J'avais poncée le bois de la porte de l'intérieur avec Alfred, et je l'avais ensuite vernie.

--

14h00 !

Berty nous avait discrètement amené un petit repas, qu'on mangeait tous ensembles.

Une fois le ventre plein, Berty m'aidait à monter l'énorme bibliothèque qu'Alfred m'avait achetée, et à ranger tous mes livres, qui étaient dans mes bagages.

Je ris en voyant qu'Alfred avait acheté un nouveau lit baldaquin en bois et un matelas, prétendant que ce matelas et ce lit devaient être remplis de monstruosités.

Non, pas dans ce sens-là !

Monter le lit n'a pas été de tout repos !

Lily et Rose avaient fait mon lit avec toutes sortes de coussins blancs, et rouges.

--

16h00 !

Berty m'aidait toujours à déplacer des meubles, pour tous les jeter.

Je vis une étrange porte se reliant avec ma chambre, et par surprise, c'était une salle de bain abandonnée.

Oh mon dieu, on vas être en retard.

Lily et Rose accéléraient le pas, et la nettoyait.

Berty fit appel à plusieurs autres hôtes de maisons de ce manoir, c'était la folie, haha !

Alfred était partit acheter « une nouvelle salle de bain », comme il l'avait dit.

D'autres personnes arrivèrent avec des tuyaux, des vitres, un miroir... et un lavabo... ?

C'est quoi ce bordel, là ?

Alfred avait remplacé les deux portes en bois.
Il avait même installé le système de cadenas-verrous à ma porte de chambre, et à celle de la salle de bain.

J'avais mis de grands rideaux épais, et en soie, pour la fenêtre de ma chambre pour cacher les cadenas, que j'avais craquée avec une pince qu'Alfred avait, aussi, acheté.

--

18h00 !

La salle de bain était remise à neuve, une douche luxueuse, avec comme sol de douche des pierres beiges, des serviettes de bain jaunes et vertes, un miroir entouré de doré, je soupçonnais que ce soit de... l'or... ?

Le lavabo était enfoncé dans une plateforme en pierre qui tenait entre deux murs.

Et il y'avait tout pleins de soins, shampoings, maquillages, ustensiles pour les cheveux, comme des élastiques, des pinces, puis autre que les ustensiles pour les cheveux, il y'avait aussi une brosse à dents, etc.

Même un radiateur, et un sèche-cheveux !

Je crois que je vais pleurer.

Pour toutes ces personnes aimantes dans ce manoir, mais qui se font traiter comme des chiens, par les... Malton.

-Je crois que le compte en banque de Monsieur Malton a été vidé ! Riais-je, en mettant une peluche de lion, qui me tient à cœur sur mon nouveau lit.

Des personnes qui m'aidaient, rirent avec moi, et firent d'autres blagues à ce sujet.

--

19h00 !

Je déroulais mon tapis aux couleurs, dorés et rouges.

Berty avait déplacée une nouvelle table de nuit, en bois, à côté de mon lit.

Je plaçais une lampe à huile dessus.

Lily avec d'autres garçons placèrent un lustre en cristal, au milieu du plafond.

Je rangeais mes bagages sous mon lit, n'ayant aucune envie de ranger mes vêtements dans ma chambre.

Je n'aimerais certainement pas qu'un pervers, fouine dans mes sous-vêtements.

Je riais mentalement à cette pensée.

Plusieurs personnes se mirent à se dépêcher, à achever leurs tâches.

Je plaçais les derniers cadres sur les murs de ma chambre.
Il y'avait un cadre avec un grand lion, d'ailleurs.

Un dernier coup de balai, et j'ouvrais mes fenêtres pour aérer.

Lily et Rose, m'interrompirent :

-Nous voudrions t'offrir un cadeau de bienvenue. Disaient-elles.

-Ah bon ?

-Oui, tiens.

Elle me donnèrent deux grandes boîtes rouges.

J'ouvris et... des larmes commencèrent, à couler.

Dans la première se trouvaient une parure de bijoux en argent, avec tous une pierre verte, incrustée dedans.

C'est ridicule de pleurer pour cela, mais...
Je crois bien que ce sont les deux seuls cadeaux, que j'ai reçue dans ma vie.

Et la seconde était un album photo vide, vert clair.

Je relevais la tête, les yeux remplis de larmes :

-Je ne sais pas quoi dire. Merci beaucoup. Les remerciais-je, en les prenant dans mes bras.

-On s'était absentées discrètement. Riait Rose, gentiment.

-Prend autant de photos de tes années de cours. Avec tes amis surtout.
Comme cela, quand tu reviendras... ici.
Tu auras pleins de souvenirs nichés, dans cet album. Expliquait Lily, en souriant légèrement.

J'hochais de la tête doucement, séchais mes larmes.
Je rangeais l'album photo dans ma table de nuit, et allais cacher la parure, dans une des mes valises.

--

19h50 !

J'avais réunie toutes les personnes qui m'avaient aidé, et je me mis debout, sur mon lit, prête à faire un petit discours, rapidement :

-On ne se connait pas, mais vous avez tous voulu m'aidez.
La raison ? Elle m'échappe.
Vous avez été tous amicaux avec moi, et vous avez fait un énorme, et très bon travail, dans ces deux pièces.
En arrivant ici, je pensais que j'allais dormir dans un placard.
Que j'allais me renfrogner dans ma tête, et ne jamais parler, ni rire.
Que j'allais pleurer, parce que... ils sont cruels, et vous savez tous de qui je parle.
À part Helen, qui joue le jeu, pour honorer son mari.
Au fond, cette femme a un réel cœur.
Mais, elle est comme, esclave, de son mari.
Alors, s'il vous plaît, ne la haïssez pas.
Ce n'est en aucun cas, un ordre, juste un conseil.
Alors, si vous voulez y réfléchir.
Enfin,
Tout le monde ici est esclave, Alfred... comme Lily, Berty, Rose.
Tout le monde.
Alors comme je ne sais pas comment vous remerciez,
Je vais faire un carnage, dans l'esprit honorable, des Malton.
Je vais tout ruiner.
Pour vous remerciez.
Et vous vengez de toutes ces années.
Encore une fois,
Merci beaucoup de me donner tout ce courage !

Tout le monde applaudissait, et disait quelques mots de remerciements, puis courut retourner à leurs services, me laissant seule.

Je plaçais sur ma table de nuit, deux cadres photos que j'avais oubliée dans mes bagages, le premier avec une photo de ma famille avec moi, et le second avec Evanna, Matthew, Lionne et Moi.

Je fermais ma porte avec les cadenas, et m'assis sur le bord de la fenêtre, qui était assez grand.

--

20h00 !

J'observais la vue, et vis une limousine noire se garer à l'entrée.

Je stressais comme pas possible, j'espère, au moins, que Tom sait que je suis là.

Pas que nous soyons franchement amis, nous sommes plus ennemis, mais je préfère qu'il en ait été informé, voyez-vous.

Si il n'en a pas été informé, je trouverais toujours une répartie... j'espère, du moins.

Je prenais un de mes livres si précieux, c'était un livre que mon père m'avait offert, sur les créatures mythiques, c'était ma branche, toutes les choses magiques et mythiques, si le vous voulez.

Et on me demande pourquoi je rapporte certaines choses ou personnes de mon univers, à Harry Potter ?
Haha !

Étant complètement plongée dans ma lecture, quelqu'un qui toqua à la porte, m'interrompit.

-Qui est-ce ? M'exclamais-je, de ma place.

-La femme de ménage ! Lançait Berty, à travers la porte, d'un ton joyeux.

Je souris, et allais ouvrir.
Elle entra, puis je refermais directement.

-Pourquoi êtes-vous venue me voir, Berty ? Demandais-je, en lui souriant.

-Hm... Monsieur Malton, m'a demandé de vous dire que le repas allait bientôt être prêt, qu'il... fallait que vous descendiez.

Je comptais ouvrir ma porte, pour descendre, mais Berty intervenu :

-Si, Monsieur Malton, vous voit comme cela...

Je fronçais les sourcils, en regardant ma tenue :

-Quoi ?

-Vous êtes en jean, et en sweat...

Je riais, et répondis :

-Je ne vais pas à un gala, ne me dites pas qu'ils mangent en costumes, quand même ? Et Helen, en robe longue ?

Berty se retint de rire, et je riais :

-Non... sérieusement ?

-O... oui.

-Il faut que je vois cela ! M'exclamais-je.

-Évitez de rire... si vous y arrivez. Monsieur Malton, s'énerve vite.

-Oh, ne vous inquiétez pas, il m'a fait part de ses dons de... colère. Disais-je, plus doucement, le regard figé, me souvenant du soir, où il m'avait giflée.

-Excusez-moi ? S'inquiétait Berty.

-J'ai... sous-entendue que j'étais sûre qu'il frappait son fils et sa femme, enfin... je n'avais pas finis ma phrase, qu'il m'avait giflée en plein dîner, à mon école.

-Oh... ma pauvre enfant. S'attristait-elle.

-Oui... Murmurais-je, nostalgiquement.
Enfin ! M'exclamais-je, en secouant ma tête.
Je vais très bien... et je descends, en jean et en sweat-shirt ! Disais-je, confiante.

J'ouvris la porte, et me retourna vers Berty :

-Venez. Je dirais que je ne vous ai pas écoutez, au sujet du code vestimentaire. Souriais-je, gentiment.

-Merci beaucoup. Disait Berty, en sortant de ma chambre avec moi, et en descendant.

Je l'a suivie jusqu'à la salle à manger.

Qui mange dans une salle à manger ?

Je riais mentalement, et m'avançais lentement.

Légèrement stressée, je ne le cacherais pas.
Je soufflais, un bon coup, et m'avançais... enfin, Berty, m'avait poussé un peu, oui...

Elle va me le payer !

Je me retrouvais plantée à l'entrée de la salle à manger, dans une entrée discrètement parlant, pas discutable, vu que Berty m'avait poussé, et que j'avais répliquée en criant.
Trois regards étaient maintenant fixés, sur moi.

Je me demandais ce que j'allais dire... :

-Bonjour, bonjour, alors moi, je suis juste une touriste de passage visitant votre manoir, dont une femme de ménage qui m'a poussée parce que je voulais demander un autographe à ce fameux Monsieur Malton, mais j'avais un peu peur.

Ou,

-Bonjour, je suis un fantôme, alors ne me regardez pas, ou je vous ferais manger la poussière, et viendrais couper vos si jolis cheveux, dans la nuit.

Mais tout ce que j'ai réussie à sortir, était :

-Wow, j'ai l'impression d'être à un gala ! M'exclamais-je, ironiquement.

-Qu'est-ce que tu viens faire, ici ... ? Questionnait Tom, surprit.

-Rassure-toi Tom, je me le demande, depuis que je suis arrivée.

-Que-

-Elle passera ses deux mois de vacances, ici, jusqu'à ses dix sept ans, Tom. Expliquait son père, froidement.

-Mais-

Monsieur Malton allait riposter, mais je pris la parole, arrogamment :

-Il n'y a pas de « mais », Tom.

La serveuse qui était entrain de préparer du thé, se retint de rire, avec une autre serveuse qui l'aidait.

Monsieur Malton essayait de se calmer, puis je pris la parole, toujours debout.

-J'aime beaucoup ma nouvelle chambre au fait, Monsieur Malton, merci beaucoup. Souriais-je, faussement.
La femme de ménage, enfin, une des centaines d'entre elles ici, m'a dit que je devais descendre pour manger, où puis-je m'asseoir ?

-Par terre. Riait Tom.

J'ai explosée :

-Vous savez... je m'adresse à vous, trois... vous deux, surtout. Disais-je, en regardant Monsieur Malton, et Tom.
Je sais que vous allez me faire vivre un Enfer, je suis déjà au courant, ne vous inquiétez pas pour moi, les murs parlent, pas seulement ici.
Mais que ce soit clair, au moins, je ne m'habillerais jamais hautement classée pour un dîner, je ne me mettrais jamais par terre, tant pis si il faut que je meurs de faim, et de soif.
Hm... même si j'ai eu un avant-goût des coups. Disais-je, silencieusement, Monsieur Malton évitait mon regard, et je repris.
Au fait, merci pour cette jolie claque, Monsieur Malton, c'était très... communicatif.
Et... malheureusement, pour vous tous, personne ne peut entrer dans ma chambre pour venir me frapper, m'insulter, ou m'humilier, me parler, ou je ne sais quoi d'autre.
Donc, sur ce, bon gala, et à jamais, je l'espère, sans vous le cachez, je préférerais mourir dans un sommeil profond, que côtoyez un de vous. Finissais-je, en me retournant, pour partir.

-Tu ne tiendras jamais dans cette pièce, pleine de poussières. Ripostait Tom, froidement.

Je riais amèrement, et lançais :

-Tu as bien tenu depuis ta naissance avec une mère merveilleuse, et un père... Soufflais-je, ne finissant pas ma phrase.

J'avais évité le regard de Monsieur Malton depuis le début de mon « discours », sauf au moment où j'ai citée la claque.

Mais pour rire, mon regard se tournait vers lui, j'eus faillis avoir un sursaut en voyant toute cette colère.

Je pris lentement le pas pour rejoindre ma chambre.
Mais une fois disparue de leur champ de visions, je me mis à courir en grandes enjambées, jusqu'à ma chambre, ayant peur que quelqu'un me court après, après toutes les monstruosités que j'avais sortie de ma bouche.

Merde alors, qu'est-ce que j'ai dis ?

J'ai jouée la courageuse, et la forte, dès le début.

Je m'excuserais auprès d'Helen, dès que je la verrais.

Perdue dans mes pensées, quelqu'un m'attrapa le bras.

-Bordel-

Je n'eus pas pu finir ma phrase, que je reçus une énorme claque, sur la joue droite.

J'en perdis mes mots sur le coup, dévisageant... Monsieur Malton.

-Sache, petite sotte, qu'ici...tu n'as aucun droits, tu ne fais en aucun cas, tout ce que tu veux.
Je comprends mieux pourquoi ta famille t'as abandonnée, pourquoi garder une fille qui ne fera rien de sa vie, et qui en plus de cela, est insolente ?
Alors, tu me feras le plaisir, petite sotte, de te taire.
Aucun humains ne t'aime sur cette Terre, et... tu n'es personne.
Ce serait un plaisir pour moi... que tu ne puisses pas te réveiller, dans ton sommeil.

Par malchance une larme roula lentement sur ma joue, et je poussais Jason, pour répondre.

-Il y a quelque chose que vous ne connaîtrez jamais, Monsieur Malton, et pour cela, je suis une bien meilleure personne, que vous ! Criais-je, en courant jusqu'à ma chambre, où Monsieur Malton me courait après, mais étant plus rapide, je fonçais et ferma ma porte, avec tous les cadenas.

Je courais jusqu'à mon lit, et tomba sur celui-ci, les larmes explosant tour à tour, sur mes joues.

Premier jour ici, et les larmes me ravageaient, et ma respiration me torturait déjà.

J'étais en rage, et en pleurs, j'ouvris ma fenêtre, pris un vase, et le lança sur la voiture, de Monsieur Malton.

N'ayant plus de respiration, plusieurs sanglots bruyants prirent places, avec mes larmes.

-Bordel, ce monstre est un sans-coeur ! C'est l'Amour, avec un putain de grand A, qu'il ne connaîtra jamais ! Murmurais-je, silencieusement, en me laissant tomber par terre.

Et je m'endormis, rêvant à ce moment-même, de ne jamais me réveiller.

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Bonne journée ou bonne soirée à toutes !

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LeaDream

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