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Chapitre 41-4.

Slygry Ravhuff, Chapitre 41-4.

Cinq mois plus tard.

Tom n'avait plus insulté Lionne, et même elle n'avait pas comprit, mais était plutôt heureuse de cela.

Je me retrouvais pour le dîner de la veille du départ dans nos maisons, pour les deux mois à venir, jusqu'à la prochaine rentrée.
Cette école était devenue comme ma maison.
Pour les deux mois de vacances d'été à venir, je n'avais nulle part où aller.
Et je ne pensais guère que les parents de Lionne m'accueilleraient deux mois de suite, alors je ferais vite de trouver une famille chez qui habiter, ou je ne sais quoi.
À moins qu'on m'en ait attribué une...

-Tu dors les yeux ouverts ? Plaisantait Lionne.

-Non, je suppose qu'elle médite. Disait Evanna, calmement.

-Ou alors elle est stupéfiée. Disait Matthew, effrayé.

-N'importe quoi, vous trois ! Riais-je, en secouant ma tête.

Ont riaient de bon cœurs ensembles, et Evanna prit la parole :

-Tu vas faire quoi, pendant les deux mois, à venir ? Me demandait-elle.

-Je dois d'abord me trouver un endroit où vivre. Riais-je, embêtée.

-Imagine que tu te retrouves avec une horrible famille.

-Ne parle pas de malheur, Matthew ! S'exclamait Evanna, en engueulant ce dernier.

Je riais silencieusement, et nous continuâmes de parler pendant quelques minutes, le temps de finir le repas.

--

Le lendemain, je préparais mes valises, et me changeais pour ce dernier dîner finalisant cette année.

-Ne serait-ce pas notre chère et tendre ... ? Demandait Monsieur Malton, arrivant de nulle part, et ne devant certainement pas être là.

Mes muscles se tendirent, et j'eus des frissons.
Je haïssais la présence de cet homme, plus que tout au monde.
J'avais pu, à plusieurs reprises, faire sa connaissance et comprendre, quel horrible type d'homme c'est.
Alors, comprenez donc que je le hais plus que tout.

-Qu'est-ce que vous me voulez, Monsieur Malton ? Demandais-je, en appuyant sur son nom, pour l'énerver.

-C'est... juste une petite visite de courtoisie. Disait-il, arrogamment.

-Ah oui ? Une visite ? Et en quel honneur ? Vous n'êtes personne ici, Monsieur. Répondais-je, méchamment.

Je sentais quelque chose de pointu attraper la manche de mon uniforme, c'était sa canne en cristaux avec un serpent.
Ah oui, parce que « Monsieur » a une canne.
Elle ne vous fait pas penser à quelqu'un cette canne ?
Oui, oui.
C'est de l'abus, je confirme.
Je me croirais dans Harry Potter, et Jason Malton dans le rôle de Lucius Malfoy, c'est vraiment du grand n'importe quoi !
Il y'avait vraiment trop de ressemblances, ses yeux bleus, son air fier, hautain, et arrogant, en n'oubliant pas son fils, qui était aussi arrogant que lui.
Je me mis à rire mentalement, en énumérant les ressemblances.

-Sache, petite sotte, que je suis quelqu'un ici, et que je pourrais te faire renvoyer d'un claquement de doigts. Menaçait-il, en approchant son visage du mien, un peu trop près.

Je le repoussais en poussant son torse, avec mon bras.
Et comme je n'avais aucune autres réparties, je lançais fièrement :

-Vous me faites pensez à quelqu'un, Monsieur Malton.

-Ah oui ? Et puis-je savoir à qui vous fais-je donc penser, Mademoiselle ... ? Questionnait-il, de son air hautain.

-Avez-vous déjà vu les films Harry Potter, ou même lu les livres ? Demandais-je, curieusement.

-Hum... ou... p...Pensez-vous une seconde que j'ai pu lire de telles idioties ?! Demandait-il, prit de court.

Mais oui c'est cela, c'est cela.
Je suis sûre qu'il les a dévorés à un tel point que J.K Rowling écrit merveilleusement bien.
Il avait juste trop de fierté, le pauvre homme.
Ai-je vraiment de la pitié pour lui ?
N'importe quoi !

-Et bien au cas où... vous me faites pensez à Lucius Malfoy, vous savez, l'homme arrogant ayant un fils arrogant mais plus sentimental que son père, évidemment, mais Draco n'a pas eu le choix, c'est assez triste... Souriais-je, tristement.

-Où voulez-vous en venir, Mademoiselle ... ? S'impatienta-t-il, en me regardant.

-Que votre fils deviendra un Mangemort comme vous, que vous êtes un Mangemort, et que vous lui ressemblez vraiment, c'est vrai vous avez tout de lui ! ; La richesse, l'arrogance, la méchanceté, la fierté, la lâcheté, vous êtes strict et menaçant, vous vous croyez au dessus de tout le monde à cause de votre fortune, vous avez même des yeux bleus ! M'exclamais-je, sarcastiquement. Il ne manquerait plus que vous ayez un manoir ! M'exclamais-je, innocemment, devant mes amis qui me regardaient gênés.

Monsieur Malton qui s'était penché vers moi pour écouter mes propos, regardait mes amis, et me regardait l'air d'avoir été prit la main dans le sac.
Je regardais la tête de mes amis, et compris.

-Oh non ! Vous avez un manoir aussi ! Disais-je, en explosant de rire, moqueuse.

-Cessez-cela, et venez en aux faits ! S'énervait-il, en me fixant de ses yeux bleus.

-Si j'en conclus, vous êtes un type horrible, et vous deviendrez un criminel, si ce n'est pas déjà fait. Je suis même sûr que vous tapez votre fils et votre fe-

Je ne pu pas finir que je reçue une claque, de ce dernier.
Je restais choquée, la  bouche demi-ouverte.
Lui, ne laissait transparaître aucune émotions et se retourna pour partir, mais il s'arrêta, et prit la parole :

-Vous aurez d'ailleurs l'occasion de voir mon manoir, bientôt. Disait-il, arrogamment, puis reprit sa marche pour fuir du directeur qui se dirigeait d'ailleurs, vers lui.

-Hey ... , tu vas bien ? S'inquiétait Lionne.

-Cet homme est fou ! S'exclama Matthew.

-J'ai de la pommade, si tu veux. Proposait Evanna.

-Oui je vais très bien, merci Evanna pour ta pommade. Comment cela se fait que tu en aies sur toi ? Demandais-je, en souriant, et en lui prenant des mains.

-J'en ai toujours sur moi, au cas où un proche viendrait à se faire mal. Expliquait-elle, en souriant, doucement.

La chose qui ne me laissait indifférente, était la dernière phrase, qu'il avait prononcé :

« -Vous aurez d'ailleurs l'occasion de voir mon manoir bientôt. »

Qu'est-ce qu'il voulait dire, par là ?
Je remontais dans les dortoirs, mais le directeur me rattrapa en chemin, voulant me voir dans son bureau.
Alors, nous prîmes le chemin ensembles, jusqu'à celui-ci.

-Assieds-toi donc. Proposait-il, d'un ton neutre.

-Merci, Monsieur Gamb. Disais-je, en m'asseyant.

Un silence se fit quand je m'assis, alors je pris la parole, inquiète, devant l'air grave du directeur :

-Monsieur... ? De quoi vouliez-vous me parlez ?

Il soufflait, et questionnait :

-Monsieur Malton ne t'as pas fait mal ?

-Non, pas du tout, merci. Souriais-je, en le regardant.

-Il peut être un peu brute quelque fo-

-Quelque fois ? Cet homme est une horrible personne, Monsieur ! M'exclamais-je, en le coupant.

-Je le sais très bien ...  .
Mais Monsieur Malton est malheureusement, un homme qui a beaucoup de pouvoirs, pas plus que moi, mais il en a quand même assez, pour arriver à me virer.

-Je me croirais dans Harry Potter. Soufflais-je, sans faire exprès.

-Je pense que je pourrais facilement deviner à quel personnage Monsieur Malton, te fait penser. Ricanait le directeur.

-Lucius Malfoy. Disaient-ont, en même temps.

Je riais un peu avec Monsieur Gamb, et me calma.

-Mais Monsieur, excusez-moi, mais... ce n'est pas pour parler de Monsieur Malton que vous m'avez appelé ?

-En partie... si. Disait-il, en prenant un air grave.

-Oh, et sans être impolie, pourrais-je vous demandez de quoi vouliez-vous parler, à son sujet ?

-Hum... Hésitait-il, embêté, se murmurant des choses. Tu le sais, tu n'as pas de maison pour toutes les vacances à venir, jusqu'à tes dix sept ans.

-Oui ? Demandais-je, plus qu'inquiète.

-Le Ministère de l'Éducation, a choisi une famille, pour t'accueillir.

-Oh mais c'est super ! Merci beaucoup de leur avoir fait passer ma lettre, vraiment merci beau-

-Ta famille sera les Malton. Disait-il, rapidement, gêné.

-Pardon ?

-Ne me le refais pas répéter... Disait-il , peiné.

-Je préfère vivre dans la rue et mourir de faim plutôt que de les avoir à un mètre de moi, Monsieur ! Je suis désolée, mais je refuse ! Criais-je, surprise.

-Ce n'est plus à moi de gérer tout cela... Si il y a quoi que ce soit que je puisse faire pour toi...

-Me virer ! M'exclamais-je, en partant au quart de tour du bureau, sous les appels du directeur pour que je revienne, et courant jusqu'au jardin.

Je m'arrêta de respirer deux secondes et reprenais ma respiration qui était, elle, saccadée.
Ce n'est qu'un cauchemar, tu vas te réveiller.
Je me mis à sangloter.
Qui sait ce que cet homme fou, serait capable de me faire ?
Me frapper comme il l'avait fait ?
Je ne veux pas jouer la fille forte, quand il m'a giflé, j'ai voulu pleurer et m'enfuir, j'ai voulu crier.
Mais je n'ai rien dis, rien fais.
Pourquoi est-ce que je réagis, comme cela ?
J'ai pu avoir un oeil sur les Malton cette année, j'ai pu tendre l'oreille sur les conversations entre le père et le fils.

J'ai aussi entendue d'horribles rumeurs, qui couraient sur eux.
Personne ne les connais aussi bien dans l'école à part moi, et Monsieur Gamb.
Cet homme est un sans-cœur, et j'espère qu'il le sait.
Je pleurais silencieusement, en regardant la Lune...
Ma vie d'avant me manque, tellement.

Il fallait bien que je craque, à un moment de l'année.
Les larmes n'arrêtèrent pas de couler, et je sentis deux bras m'entourer.

-Je t'ai malencontreusement suivis Gamb et Toi, excuse-moi. Chuchotait Evanna.

Je m'arrêtais de pleurer, ne voulant pas jouer la lâche, devant mon amie.

-Ne fais pas la forte avec moi... Tu peux pleurer autant de larmes que tu veux.

-Je... je ne veux pas... Je ne peux pas, Evanna...

-Shh.. ça va aller... Disait-elle, en tapotant mon dos pour me consoler.

-Non, Evanna. R... rien ne va aller. J'ai jusqu'à demain matin sept heures. Il faut que je parte. Décidais-je, ignorant mes larmes.

-Et tu décevrais ta famille, tes amis ? Penses-y. La nuit porte conseil. Bonne nuit. Disait-elle, en me faisant un câlin.

-Bonne nuit, Evanna. Souriais-je, à moitié.

Evanna repartit se coucher.
Je m'assis sur une marche, et regardais la Lune encore une fois.
C'était la pleine Lune ce soir.
Les larmes recommencèrent à couler.
Je ne veux pas aller en Enfer.
Je ne peux juste pas vivre pendant deux mois avec ces gens.
S'il vous plaît, non.
Je ne suis qu'une fille de la campagne...
Eux ?
Ils sont cruels, froids, hypocrites, égoïstes, et... violents.
Je passais la moitié de la nuit à pleurer et à penser.

Vers six heures du matin, je partis prendre mon petit-déjeuner, le moral au plus bas.
Je fus contente de voir Matthew, Evanna et Lionne qui m'attendaient à notre table, il me restait une heure, à laquelle je pouvais profiter de mes amis, au maximum.
Parce que... soyons honnêtes.
Les Malton ne me laisseront jamais sortir de leur demeure.

... Oui, j'ai décidée d'y aller.

Je pris place à ma chaise habituelle, et mangeais un petit peu.
J'avais pris un jus de fruits, une pomme et un yaourt.
Rien de plus normal.
Nous sommes le 25 Juin, au faite.

- ... , mange plus, je suis sûr qu'ils vont te priver de manger, les Malton. Disait Matthew.

Comment sait-il, que je vais chez les Malton ?
Je regardais Evanna, puis Lionne, et enfin, Matthew.

-Je... je suis désolé, Evanna nous l'a dit. S'excusait Matthew, en souriant, gentiment.

-Ce n'est pas grave, ce n'est pas le scoop du monde, non plus. Souriais-je, embarrassée.

-Un peu quand même. Souriait Matthew, en me souriant, compréhensif.

Je lui rendis son sourire, et finis par prendre des œufs, du bacon et des pancakes, avec un autre jus de fruits.
Je finissais rapidement et courus me laver et me changer, puis prendre mes bagages.
Je descendis, et attendis mes amis qui étaient remontés chercher leurs affaires.
Pendant ce temps-là, le directeur vint vers moi.

-Alors, tu y vas finalement ? Questionnait-il.

-Je suis bien obligée. Je suis désolée de vous avoir criée dessus hier... Soufflais-je.

-Oh, ne t'inquiètes pas pour cela, ce n'est pas très grave. Je te pardonne. Disait-il, gentiment. Je te souhaite de passer de bonnes vacances, et je te souhaite aussi... bonne chance. Me souriait-il.

-Merci, passez de bonnes vacances aussi, Monsieur Gamb.

-Appelle-moi Michael. Ricanait-il, bienveillamment.

-Alors, passez de bonnes vacances, Michael. Souriais-je, de toutes mes dents.

-Merci. Disait-il, en me souriant de retour, et il se mit à se diriger vers son bureau.

Quelques minutes après, mes amis arrivèrent, et ont continuaient à parler dans le hall, tout en marchant jusqu'au jardin.
Le père d'Evanna était déjà là, alors je la serra dans mes bras de toutes mes forces.

-Merci pour tout, Evanna. Disais-je, en lâchant une petite larme.

-C'est normal. Sois forte, promis ? Me demandait-elle, en me regardant.

-Promis. Souriais-je.

Elle fit un câlin à Matthew et Lionne.
Evanna se dirigea vers son père, et en se retournant vers nous, elle nous fit de grands signes, et criait :

-À dans deux mois !

-À dans deux mois ! Criaient-ont, aussi.

Puis vint le tour de Lionne, un homme qui, je suppose, était son parrain, était arrivé.
Il me semblait tellement gentil.

-Courage. Me chuchotait-elle, gentiment, en me serrant dans ses bras.

-Merci. Souriais-je, en versant une larme.

Elle nous fit de grands signes de loin, et cria, elle aussi :

-On se revoit dans deux mois !

-On se revoit dans deux mois ! Dirent Matthew et Moi, en la saluant.

Vingt minutes après, c'était les parents de Matthew qui arrivèrent, et je me sentais de plus en plus seule.

Comme vraiment abandonnée.

Je le regardais lascivement et tristement, une pointe au cœur, et l'envie de vomir me prit.

Il m'adressait un sourire triste avec un regard compatissant.

Il me prit dans ses bras fortement, pour me consoler de mes larmes, qui avaient commencées à couler.
Mes émotions qui avaient prit le dessus, je me mis à exploser en larmes, dans ses bras.

-Ne me laisse pas... ne... ne m'abandonne pas, Matt. S'il te plaît... Suppliais-je, en pleurant.

-Je suis désolé ... . Je suis désolé, c'est moi, le fautif...

-Hey... en quoi peux-tu être fautif, Matt ? Demandais-je calmement, le regardant, les larmes aux yeux.

-Te rappelles-tu d'hier ?

-Hum... oui...

Si tu veux parler de Monsieur Malton, qui m'avait giflé, et que j'ai pleuré toute la nuit, alors oui, je m'en souviens très bien.
Matthew continuait :

-J'avais dis « -Imagine que tu te retrouves avec une horrible famille. » Et Evanna m'avait engueulé en me disant de ne pas parler de malheur... et tu te retrouves avec les Malton, comme famille d'accueil, jusqu'à tes dix sept ans. Chuchotait-il, en baissant la tête.

-Matthew... Ricanais-je, légèrement. Ce n'est pas du tout de ta faute... c'est une pure coïncidence. Le rassurais-je, en le serrant dans mes bras.

-Alors, tu me pardonnes ? Questionnait-il, doucement.

-Bien sûr, que je te pardonne ! Souriais-je, en le regardant.

Il soufflait, rassuré.
Il me resserra dans ses bras pour me réconforter, et quelques larmes prirent le dessus, encore une fois.

-Ne pleure pas ... . Tout va bien se passer, d'accord ? Murmurait-il.

-Non, Matthew... Pleurais-je, dans ses bras.

-Oh, vous allez me faire pleurer. Disait une voix froide, et arrogante.

Cette voix.
Il me tirait par l'épaule pour me séparer de Matthew.
Et c'était bien, la personne, à laquelle je pensais.
Malheureusement pour moi.
Je levais mon regard encore remplis de larmes, vers Monsieur Malton.
Quelle honte.
Je m'attendais à ce qu'il fasse une remarque là-dessus, mais il me lança un regard avec une pointe de... de... je ne saurais même pas dire.
Mais il y'avait une émotion.
Je dois rêver.
Monsieur Malton, n'a pas d'émotions.

-Vous ne pouvez pas... m'empêchez, de dire au revoir à mon meilleur ami. Lâchais-je, et cette pointe dans son regard disparaissait.

-J'en ai tout les droits. À moins que vous préfériez dormir dehors. Proposait-il, fièrement.

-Si vous saviez... Je préférerais mourir, plutôt que de rester avec vous, même pas une minute. Répondais-je, arrogamment.

Il ne disait rien, m'observant mystérieusement, mais se reprit :

-Montez dans la limousine noire, là-bas. Quand vous aurez fini vos amourettes.

-Ce n'est que mon meilleur ami ! M'énervais-je.

-C'est cela... Disait-il, froidement, en partant vers la limousine.

Je me retournais vers Matthew, et il me serra une dernière fois dans ses bras.

-Bonne chance. Me disait-il, doucement, en me faisant un bisous sur le front, étant plus grand de taille que moi.

-Merci beaucoup. Passe de bonnes vacances, Matthew. Souriais-je.

-Et toi... Essaye d'en passer de bonnes. Souriait-il, gentiment.

Je lui faisais un bisous sur la joue et il partit, en me faisant de grands signes.

-À dans deux mois ... ! Criait-il.

-À dans deux mois, Matthew ! Criais-je, en faisant de grands signes, aussi.

Puis, il rentra à l'intérieur de la voiture, de ses parents.
Je cherchais la limousine des Malton, du regard, et soufflais.
Ils ne seraient pas partis, sans moi, quand même ?
Qu'est-ce que je dis moi ?
Bien sûr que Jason Malton, et son fils, auraient osés !
Je me frappais mentalement à mes pensées, et tournais dans toute l'allée pour chercher la limousine, mais rien.
Je vais péter un câble.
Mais... vraiment.

Une femme arrivait vers moi à l'allure, chaleureuse et froide, en même temps.
Elle s'avançait vers moi, et demandait :

-Êtes-vous ... ?
Je suis désolée mon mari a eut un empêchement de dernière minute avec son travail, alors il a dû rentrer avec Tom, et repartir aussi vite avec lui.
Mais il m'a dit qu'une élève, vivrait avec nous, pour les vacances. Me souriait-elle, doucement.

-Oh d'accord. Vous devez être, Madame Malton ?

Elle est si douce et gentille, tout le contraire de son mari, et de son fils.

-Oui. Venez avec moi. Me souriait-elle, en acquiesçant.

Je la suivis, en faisant connaissance avec elle.

-Je ne pense pas que mon mari trouverait cela correct, mais vous pouvez m'appelez Helen, quand nous sommes toutes les deux.

-Vous êtes sûre ? Et vous, vous pouvez me tutoyez si vous voulez. Je suis beaucoup plus jeune que vous.

-Oui, il n'y a aucun problèmes à cela. Je le ferais. Quand je ne serais quand vot... ta compagnie. Tu pourras me tutoyer aussi, si tu le souhaites. Se reprenait-elle, en souriant.

-Merci. Je vous tutoierais petit à petit... si, j'y arrive. Disais-je, tout en marchant.

Nous marchons silencieusement jusqu'à une limousine...
Mon dieu, combien en ont-ils... ?
J'étais terrifiée à l'idée d'aller dans ce manoir, mais merci, la mère est vraiment douce et gentille.

Nous rentrions dans la limousine, et le trajet se fit en silence.
Quelque chose dans l'air fit qu'Helen ne m'avait plus adressée la parole...

Peut-être par peur que le chauffeur, le répète ?
Ou peut-être, n'était-ce que mon air morne, qui l'avait rendue muette ?

Les gouttes de pluie tapaient sur les vitres.
Je les regardais dévaler, sur la vitre, en face de moi, admirant la vue par la même occasion, le coude contre la portière, en tenant ma tête.
Si personne n'aurait été avec moi dans la limousine, je pense que deux tonnes de larmes, auraient coulées.
Mon cœur battait si vite, à la peur d'y aller.
Je voulais sauter par la portière, et croyez-le, j'en serais capable un jour ou l'autre, mais ce n'était pas le bon moment.
Je promets que dès que mes pieds entreront dans ma chambre d'accueil, je viderais ma valise pour trouver papier et crayon, afin de créer un plan d'échappatoire.

J'aimerais tellement qu'Evanna soit là.
Evanna, tu ne sais pas à quel point, tu me manques.

Une larme coula sur ma joue, je tournais la tête pour voir si Helen ne l'avait pas vu, mais par malchance, elle l'a vit.
Son regard était troublé, sachant sûrement déjà pourquoi, cette larme.
Je lui souris honteuse.
Je pris mes lunettes de soleil, et Helen me demanda :

-As-tu mal aux yeux ?

-Oui, je ne supporte pas trop la lumière. Elle me fait pleurer. Alors, ne vous inquiétez pas. Souriais-je, en mettant mes lunettes de soleil.

Elle me sourit rassurée.
Mensonge.

-Oh tu veux peut-être que... je monte, à l'avant ?
Je pourrais demander au chauffeur de mettre les vitres en mode nuit, et tu pourras reposer tes yeux. Proposait-elle, gentiment, mais pas dupe.

-Vous pouvez faire, cela ? Ce serait très gentil, merci beaucoup.

-Il n'y a pas de quoi. Souriait-elle. Chauffeur ! S'exclamait-elle. Stoppez la voiture, je monte à l'avant, et mettez les vitres en mode nuit, s'il vous plaît. Demandait-elle. Nous ne sommes plus qu'à deux heures du manoir. M'informait-elle, en se retournant vers moi.

-D'accord, merci. Souriais-je.

La limousine s'arrêtait et Helen s'aventura à l'avant, et d'un coup, des espèces de tissus noirs sortirent du haut des vitres et les recouvraient aussitôt, me plongeant dans un noir absolu.

Et des larmes coulèrent toutes seules sur mes joues, silencieusement.
Je ne sais même pas dans quoi je m'embarquais.
Et mes yeux fatigués par la tristesse, se fermèrent doucement.
Et mon esprit divagua alors, aux Pays des Merveilles.

--

Bonjour ou Bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

Que pensez-vous de ce Chapitre ?

J'espère que vous avez aimer ce Chapitre !

Bonne journée ou bonne soirée à toutes !

x.

LeaDream

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