Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 41-17.

LISEZ, TRÈS IMPORTANT VRAIMENT !

N'allez pas à la fin du Chapitre pour ne pas tout gâcher le mystère !

C'est le chapitre le plus important de l'histoire, alors j'aimerais que vous n'alliez pas à la fin même si vous pouvez être tentées.

J'ai galérée à écrire ce chapitre alors s'il vous plaît, n'y allez pas ! 😂

Je m'excuse si il y a des fautes, mais Wattpad et Open Office ne sont pas amis ! 😂

Ce chapitre fait 6567 mots !

Bonne lecture à toutes !

Slygry Ravhuff, Chapitre 41, 17.


La lumière du jour me réveilla...
J'ouvris mes yeux doucement, et je me retrouva dans... ma chambre ?
Je constatais que mes talons étaient posés au sol, et que j'étais en sous-vêtements.
Puis je vis ma robe qui était pliée sur ma table de nuit.
Oh putain qui m'a vu en sous-vêtements...
J'espère que c'est Berty ou Lily, ce serait plus correct.

Je me dirigea vers la salle de bain, et me démaquilla, puis pris une douche tonifiante.

Et je m'habilla légèrement, puis descendis quelque minutes pour prendre mon petit-déjeuner.
Je remonta pour me laver les dents, et regarda par la fenêtre, le magnifique temps qu'il faisait.
Il devait être sept heures du matin.
J'eus une idée en apercevant Berty dehors, et j'ouvris ma fenêtre pour crier :

-Berty ?!

-Oui Mademoiselle ?


-Appelez le nettoyeur de piscine qui est en congé juste pour aujourd'hui, s'il vous plaît !


-D'accord Mademoiselle !


Deux heures après, la piscine était complètement remise à neuf, et j'enfila un maillot de bain noir, avec une tunique par dessus, et mon chapeau de paille.

Je mis du maquillage waterproof, il n'y a que cela de bien pour ne pas ressembler à un thon en allant te baigner dès 9h du matin.

Et bien sûr, je me mis du vernis aux pieds et aux mains, puis ayant enfin finis, j'enfila mes tongs.

NDA : Ce sera l'avant dernier Polyvore parce que je n'aime vraiment pas cela ! 😂

Je m'occupais de Malfoy, mon cher poisson, avant, et descendis.

Je me dirigea vers la piscine, énorme en y pensant, il y'avait même une petite cascade, si cela n'est pas le paradis, qu'on me coupe la tête !


Je mis un peu de musique douce, et j'enleva mon chapeau et ma tunique lentement, pas confiante.

Puis retira mes tongs.


-Je t'envie. Disait une voix derrière moi. Explique moi pourquoi à quinze ans, je n'avais pas un corps avec des seins assez gros et avec un ventre plat ? Ricanait-elle.


Je sursauta, et me retournais.


-Lily,tu es magnifique aussi. Chaque personne est magnifique à sa façon.


-Tu veux faire baver tous les hommes de ce manoir. Plaisantait-elle.


-Je suis sûr que tout est mort chez un des hommes. Dit Rose en apparaissant devant nous, en explosant de rire.


-Si Monsieur Malton t'entendrait. Sourit Lily.


-Pauvre Helen... Chuchotais-je.


Il y eut un silence, et nous explosèrent de rire, toutes les trois.


-Au faite, vous avez des petits copains ? Demandais-je.


-Moi non, mais Lily... Sourit Rose, malicieusement.


-N'importe quoi... Rougit Lily.


-Tu peux me faire confiance. Disais-je calmement.


-Si mes parents l'apprennent...


-Ne t'inquiètes pas.


-Je suis avec un garçon s'appelant Alan, mais ma famille ne veut même pas que j'ai de petit copains, mon père veut me choisir un époux.


-Et tu l'aimes vraiment ? Demandais-je.


-Cela fait trois années que je le fréquente en secret...


-Chapeau. Disais-je, en admiration.


Un silence se fit, mais je pris la parole :


-Venez vous baignez !


-Mais nous ne sommes même pas en maillot de bain. Répliqua Rose.


-Allez vous changer, je vous attends. Souriais-je.


Puis elles partirent et revinrent quelques minutes après.


-Vous êtes toutes les deux ravissantes. Complimentais-je.


-Merci. Dirent-elles en choeur.


Lily se mouilla la nuque, et fit un plongeon dans la piscine, suivie deRose.

Je ricanais doucement.

Le soleil n'était pas encore là, et merci pour cela !

Le temps était vraiment très agréable.


-Je vois que tu m'as oublié.


Je me retourna et vis Tom, les bras croisés, en maillot de bain.


-N'importe quoi ! M'exclamais-je en riant. Je pensais que tu avais mieux à faire.


-La preuve que non. Dit-il en désignant son maillot de bain, arrogamment.


-Oh, alors, excusez-moi, Monsieur Malton. Plaisantais-je.


Il me prit dans ses bras tendrement, et me fit un bisous sur le front.


-Qui vous a donnez la permission de vous baignez dans mon manoir ?! S'exclama une voix derrière nous, qui s'adressa à Lily et Rose.


Je vous laisse devinez qui c'est...

Toujours dans les bras de Tom, je pris la parole :


-C'est moi.


Il se retourna, parce qu'il nous avait pas vu avant.

Il regarda les bras de Tom autour de moi, et mes bras autour de Tom, et il souffla, mécontent.

Qu'est-ce qu'il y a encore ?!

Puis il me regarda de haut en bas, et commença à partir en jurant et murmurant des choses incompréhensibles.

Mais il s'arrêta, et se retourna :


-Ce soir, nous sommes invités à un gala, alors Tom et... vous. Dit-il en me regardant. Soyez prêts pour 20h, ce soir.


-D'accord... Disais-je en hochant de la tête.


Monsieur Malton me regarda une dernière fois, et s'en alla.

Tom me prit sur ses épaules.





-Non, Tom lâche moi ! M'exclamais-je en tapant son torse avec mes pieds.


-Ah oui, tu es sûre ?


-Oui !


Puis il me lança dans la piscine en riant.

Et il me rejoignait quelques minutes après dans la piscine.

Il me prit dans ses bras, et je nageais avec lui en même temps.

Des perles d'eau coulaient de ses cheveux, et je souris doucement.


-Pourquoi souris-tu ?


-Je me rends compte que j'ai de la chance de t'avoir...


Il resserra l'étreinte, et me chuchota :


-Je t'aime.


-Je t'aime aussi Tom.


Lily et Rose firent une bombe ensembles et nous éclaboussèrent.

Ellesrevinrent à la surface et rigolèrent.


-Hey ! M'exclamais-je avec Tom en rigolant avec Lily et Rose.


- -


14h.


Après la session piscine, et que j'eus mangée avec Tom, Lily, Berty et Rose, j'étais allée prendre une bonne douche chaude, et avais enfilé des sous-vêtements, puis j'avais attendu Berty, Lily et Rose, puis quelques autres filles pour qu'elles me préparent.


Elles me bandèrent les yeux pour la deuxième fois depuis que je suis dans ce manoir, et le temps passa.


19h.


Oh merci mon dieu, c'est fini !


-Nous sommes dans les temps ? Demandais-je, stressée.


-C'est ton premier gala ? Questionnait Scarlett.


-Évidemment. Je suis de la campagne. Riais-je.


-Si tu es bien accompagnée, tu n'auras aucune raisons de stresser.


-J'y vais avec les Malton, Scarlett... Ricanais-je. Je compte bien rester toute la soirée avec Tom, au moins je ne risque rien ! J'ai l'impression que cette soirée va être magique ou bien spéciale. Ou les deux !


-Exactement, princesse. Ah oui ? Alors j'espère qu'elle le sera. Tu ne peux pas te voir,mais oh mon dieu... Tu es plus que magnifique, plus que l'autre fois encore.


-Merci beaucoup pour tout. Souriais-je.


-Je t'en prie ! Prête ?


-Prête ! M'exclamais-je.


Elle prit ma main, et je me laissa guider.

Je l'arrêta deux minutes dans ma chambre, et lui demanda :


-Tu peux nourrir Malfoy, mon poisson s'il te plaît ? Je ne veux pas m'inquiéter dans la soirée.


-Pas de soucis ! Dit-elle, et j'entendis le bruit de ses pas, et d'une boîte se faisant secouer.


-Merci beaucoup !


-De rien !


Puis Scarlett reprit ma main et me guida jusqu'aux escaliers, mais je lui demanda en marchant :


-Mais au faite... tu fais quoi comme travail dans le manoir ?


-Tu ne me croirais certainement pas.


-Dis-le moi !


-Garde du corps.


-Sérieusement ? Je t'admire pour rester la moitié de ton temps avec Monsieur Malton. Tu es courageuse. Riais-je doucement.


-Ce n'est pas si terrible.


-Ah oui... ?


-À vrai dire... c'est comme un membre de la famille et c'est pareil pour moi de son côté. Rit-elle. Ont se connaît depuis qu'ont est enfants.


-Wow. Et tu n'as jamais été...


-Intéressée par lui ? Non, à vrai dire, il est plus comme un frère pour moi. Dès son plus jeune âge, il a eu une vie compliquée. Et puis il est bien trop intéressé par... Se stoppait-elle. Helen.


-Oh...

Bordel, qu'est-ce que j'ai depuis que je me suis réveillée à l'hôpital ?


-Quelle est cette mine déconfite ? Plaisantait-elle.


-Comment cela « une vie compliquée »... ? Demandais-je en évitant la question de justesse.


Je me sens... différente.


-Je ne peux rien te dire !


Scarlett se stoppa, et je me stoppa aussi du coup.


-Nous y sommes ? Demandais-je.


-Nous y sommes. Dit-elle en enlevant mon bandeau.


Je souris en voyant Tom le dos tourné, mais je pus très bien distinguer qu'il portait un costume de soirée bleu très élégant.


-Très élégant ce Tom Malton, ma parole ! M'exclamais-je du haut desescaliers.


Il se retourna, et lâcha :


-Oh putain.


-Voyons Tom,ce n'est pas correct de dire de telles insultes. Dit Helen en arrivant dans la pièce centrale sans m'avoir vu.


Puis elle suivit le regard de Tom et s'exclama :


-Oh mon dieu !


-Je suis si horrible que cela ? Demandais-je.


-Qui est la fille qui t'as préparé ? Que je lui donne un million de livres sterling ! S'exclama Tom.


Je m'empressa de descendre, en faisant attention tout de même.

Tom courra et revint avec un grand miroir.

Puis il me prit le bras et me plaça devant.

Je riais, et regardais le miroir...

NDA : Dernier Polyvore de toute ma vie ! 😂

-Je... C'est... Moi... ?


-C'est toi. Sourit Tom, en enroulant ses bras autour de ma taille par derrière, et en posant sa tête sur mon épaule droite.


Je me retourna vers lui, émue, et lui fis un bisous sur la joue puis le serra dans mes bras.


-Vous êtes radieuse. Me sourit Helen.


-Merci beaucoup Helen.


-Je vous en prie.


Je fis un tour dans la cuisine pour trouver  Berty, Lily et Rose, et elles me complimentèrent toutes et me firent la bise.

Et nous partions tous en direction de la limousine, Scarlett qui devait nous protéger y compris.


-Vous êtes très élégante Mademoiselle. Complimentait Alfred.


-Merci beaucoup Alfred !


Et nous arrivions vers 20h.

Tout le monde sortit de la limousine, Alfred y comprit.

Mais Scarlett me retint par le bras, et je me rassis.


-Oui ?


-J'ai trouvé cela dans ta chambre, vers ton poisson, et j'ai pensé que cela aurait pu être magnifique avec ta tenue. Suggérait-elle en sortant une boîte en cuir noire, de taille moyenne.


Je pris la boîte et fronçais les sourcils.
Je l'ouvris.
Oh putain.
C'était un collier avec... de l'émeraude, de l'or blanc...et des diamants incrustés... ?
Le pendentif était un serpent.


-Ce n'est pas à moi ! Je ne peux pas ! Ce collier doit coûter une fortune Scarlett !


-On a qu'une vie.


-Mais...


-Mets-le. Tu feras des heureux.


-Comment le sais-tu ?


-Je sais tout sur tout... ! S'exclamait-elle. dans la famille Malton. Chuchotait-elle très silencieusement et doucement, mais je l'entendue quand même.


Qu'est-ce que Scarlett a voulu dire...?


-D'accord... aide-moi, s'il te plaît.


Scarlett me sourit et mit mon collier.


-Merci Scarlett !


-De rien !


-Au faite, où est Monsieur Malton ? Questionnais-je.


-Il est venu beaucoup plus tôt que vous tous, pour régler quelque chose. M'expliquait-elle.


-Oh d'accord...


-Allez, sortons!


Je soufflais, et sortis de la limousine.

Alfred alla garer la voiture, il devait rester à la soirée, parce que le gala se passait beaucoup trop loin du manoir.

Je m'accrocha à Tom telle une enfant apeurée, et il me sourit en retour.


-Ne me lâche pas, je t'en supplie Tom.


-Ne stresse pas. Tu es avec moi. À part si les amis de mon père m'accostent et m'expliquent la vie. Là, par contre, tu peux prendre tes jambes à ton cou et t'enfuir. Me taquinait-il.


-Je vais faire mon entrée seule ?


-Non, tu seras avec Scarlett. Je suis obligé de faire la mienne avec... ma mère. Soufflait-il, agacé.


-Et si je te perds dans la foule ? Stressais-je.


-Je ne peux rien te promettre, appelle moi si tu es perdue, d'accord ?


-D'accord.


-Je sais que tu fais des crises de panique assez vite. Mais si tu en fais une, cours aux toilettes, et rafraîchis un peu ton visage. Et surtout, concentre toi sur ta respiration. C'est le plus important. Tu me le promets ?


-Je te le promets.


Tom lâcha ma main, et je me sentis seule.

Complètement seule dans une foule d'inconnus, merci, il y'avait Scarlett.

Tom fit son entrée avec sa mère, et ce fut mon tour avec Scarlett.

Je pense à quoi pour éviter le regard des gens ?

Merde, c'est trop tard, je suis déjà sur le grand escalier !

Je descendis calmement mais pas trop, et je respirais aussi.

Bordel, il y a encore pleins de marches, je pense à quoi ?

À Tom et à ses blagues ?

Non, un truc vraiment drôle !

Je sais !

J'ai juste à les imaginer tous nus !

Je me mis à rire silencieusement, et le stresse passa un peu.

Il faut qu'il disparaisse complètement.

J'ai qu'à imaginer Jason Malton être gentil ?

Hahaha, c'est tellement hilarant !

J'avais finis de descendre les marches, et des flashs m'aveuglèrent.

Je reçue des mauvais regards de la part de certaines pétasses.

Je cherchais autour de Moi, mais je ne vis pas la moindre trace d'un des Malton, heureusement que j'ai toujours Scarlett.

Merde, elle est où ?

Ok, ne panique pas.

Nesurtout pas paniquer.

Il ne faut pas niquer.

Putain, je suis vraiment désespérante.

Je me faufila dans la foule, essayant de trouver de l'air.

Après vingt minutes de recherches intensives, j'aperçue un panneau avec écrit « Toilets » et j'y courue.

Je poussa la porte des toilettes des dames, et me posa sur un lavabo.

Respire.

Respire.

Respire.

Il faut que j'appelle Tom.

Merde, plus de batterie.

Bordel, c'est le chaos dans ma tête.

Ne savant pas quoi faire, je restais là pendant encore quelques minutes, quand un groupe de pétasses entrèrent, me dévisageant.


-Hahaha regardez-là ce n'est qu'une gamine ! Disait une fille portant une robe rose fuchsia.


-Tu veux qu'ont appellent ta maman peut-être ?


-Ou ton papounet chéri ? Rit une autre.


-Vous pouvez toujours essayez, mon père s'appelle Jason Malton.


Dans quel merde me suis-je foutue encore ?


-Je connais par cœur Jason Malton, il n'a pas de fille. Mais cela reste un bon coup.


Elles commencent à me les casser ces pouffiasses là.


-Sa couleur préférée ? Demandais-je.


-Je m'en fous ! Elle connait la taille de son engin c'est déjà bien ! Rit une autre, complètement défoncée.


Respire.
Respire.
Respire.
Elles essayent de t'énerver.
Et... cela marche ?
Bordel non !
Et puis je m'en fous complètement de ce qu'elles me disent ?!


-Cela reste mon père.


-Bon,vas-y Stacy, appelle-le. Qu'ont rigolent un coup !


La certaine Stacy aux talons jaunes composa un numéro de téléphone, et quelqu'un répondit.
Putain, il a vraiment trompé Helen ?!
Et... bordel !
Bordel, je vais les butter ces pouffiasses !


-Oui, Jasouuuuuuuu, il y a quelqu'un qui prétend être ta fille.


-...


-Bah je sais pas, elle est trop laide pour être ta fille en plus, hihihihihihihihihihi ! Et trop grosse !


-...


-Viens dans les toilettes, tu verras par toi-même mon chou !


Comment il a pu toucher l'État ENTIER de la Silicon Valley à lui tout seul?!
Cette blague est clichée mais je m'en fous !
Monsieur Malton arriva rapidement dans les toilettes, et dès que je le vis j'eus un élan de courage, je courra vers lui et le prit dans mes bras.


-Père !


-Comment osez-!


-Jouez le jeu, jouez le jeu ! Chuchotais-je.


-Alors Jasou, c'est vraiment ta fille ? Non, hein. Regarde là, c'est une gamine sans cerveau, sans goût vestimentaire, grosse, et laide. Et ce collier est hyper horrible !


-Tu dis cela parce que le collier a coûté 220 000 livres ? Ou parce que tu m'harcèles tous les jours, parce que cela fait deux ans que tu veux m'épouser, alors que je ne t'ai jamais parlé...? Ah si, excuse-moi, je t'ai juste dis « Bonjour » un matin, dans un café. Dit-il froidement, mais je reconnus une pointe d'arrogance et de malice.


Il gère vraiment bien la situation.
Les copines de la fille rirent derrière elle.
Et je fis un sourire en coin me retenant de rire.
Je n'avais pas encore pris conscience que j'étais encore dans les bras de Monsieur Malton.
Rouge de honte, je m'écarta.
Il me regarda furtivement, et reposa ses yeux sur les pétasses.

-Mesdemoiselles, si cela ne vous dérange pas, j'ai mieux à faire que de discuter avec vous. Et arrêtez de vous attaquer à plus important ou plus jeune que vous, la jalousie tue. Ma fille, je t'en prie. Dit-il en me faisant passer.


Et à peine sortis des toilettes, il reprit son vrai visage.


-Je ne sais pas ce qui m'a empêché de vous gifler. Comment avez-vous osez sauter dans mes bras... ?


-Je ne contrôle pas mon cerveau et mes gestes en même temps.


-Ne recommencez plus.


-Même si votre manoir brûle et que je n'ai pas d'autres choix ?


-Je vous laisserai dans les flammes. Dit-il malicieusement.


-Ce n'est pas putement correct...


-Votre langage. Mon manoir ne brûlera pas.


Je continuais de suivre Monsieur Malton, de peur de me perdre une seconde fois dans la soirée, et il s'approcha vers quelques hommes...

Je pense que ce sont des hommes d'affaires.


-Bonjour messieurs. Salua-t-il.


-Jason, cela fait longtemps ! Qui est cette délicieuse jeune fille ? Demanda un homme assez vieux.


-Je suis sa nièce. Disais-je en leur serrant la main.


Du coin de l'oeil, je vis Monsieur Malton rouler des yeux, avec une pointe d'amusement dans son regard.
Sa fille, sa nièce ? Quoi après ?
Je ris mentalement.


-Vous êtes... ravissante. Complimenta un homme assez louche.


Je lui souris, ne voulant pas répondre.


-Allons ! Arrêtes de draguer tout ce qui bouge ! Engueula le vieil homme à l'homme qui m'avait complimenté.


Et ils partirent dans une conversation particulièrement ennuyante.


-Moi, je dis qu'il faudrait raser toute la faune et la flore de ce pays ! Cela ne sert à rien ! S'exclama l'homme louche.


Espèce de connard.
J'intervins :


-Sans faune il n'y aurait plus de viandes, d'oeufs, de miel, de yaourts, de lait ou pleins d'autre choses. Et en rasant toute la flore, la Terre cesserait de vivre. Et nous n'aurions plus d'air.


-Vous n'y connaissez rien, taisez vous. Vous n'êtes qu'une femme. Les femmes n'ont pas à donner leur avis.


Choquée, je ne dis rien.


-Et puis ont en parlent des campagnes ? Les villes sont cent fois mieux !


-Je suis née dans une campagne. Et sachez que c'est beaucoup plus sain. Répliquais-je, énervée.


-Vous êtes encore là, vous ? Vous n'avez que douze ans, pourquoi parlez-vous donc ? Retournez vivre avec vos inutiles vaches. Jason, tu feras attention à cette petite, il faut l'a dresser au bâtonnet, et l'a priver de manger. Elle ne veut que ton argent et ton-


Je le gifla.
Je n'oserais jamais profiter de quelqu'un.
Etce qui me blessa encore plus, c'est que Monsieur Malton ne fit rien.
Non, mais à quoi m'attendais-je... ?
Je partis vers les toilettes, énervée.
Mais un bras m'attrapa.
Malheureusement ou heureusement ce n'était pas Monsieur Malton.
C'était encore cet homme louche, il prit mon bras très fortement et m'emmena jusqu'aux toilettes, puis me plaqua contre le mur.
Non.
Non.
Non.


-Personne ne m'a résisté jusqu'à aujourd'hui. Un bon coup de rein et tu seras vite calmée. C'est la première fois que je dé vierge une fille en plus.


Les larmes coulaient à flots sur mes joues, que je ne vis absolumentrien.

NDA : Excusez-moi pour les mots trop violents !

-Jason ne comprend pas comment dresser une femme. Peu importe que cela soit de la famille ou non, il aurait dû te faire ce que je vais te faire maintenant. Cela t'aurait peut-être calmée avant cela. Il aurait dû te violer tous les matins, tous les jours, et tous les soirs ! Et te priver de manger ! Parce que, la vache tu es sacrément grosse, mais tu as de sacrés seins ! Dit-il en s'approchant.


-Monsieur Malton... S'il vous plaît...


-Oh, alors ce n'est pas ton oncle ? Riait-il amèrement.


Et comme si le Ciel m'avait entendu, quelqu'un d'autre prit la parole :


-Non, je ne suis pas son oncle.


L'homme fut prit de court quand il se fit projeter contre le sol par Monsieur Malton.


-Ont est amis hein, Jason... Tu sais très bien que cette fille a besoin de se faire calmer.


Je ne comptais même plus les coups de poings qu'il lui mettait, mais je n'aurais pas voulue être à sa place.
Je ne l'avais jamais vu aussi énervé.
Oh mon dieu, il va le tuer si il continu.
Le vieil homme de toute à l'heure avait ramené ses gardes du corps, et leur chuchota, j'avais entendu : « Appelez la police et dites-leur que je paye pour qu'ils le tuent. Maintenant. Je veux qu'il meurt maintenant. Et qu'ils mettent l'information à la télé dans deux heures. »

Les gardes du corps prirent l'homme louche, et l'emmenèrent.


-Je suis désolé pour cet incident Mademoiselle. Et désolé Jason. Dit-il sincèrement en quittant les toilettes.


Monsieur Malton me regarda essoufflé et inquiet, mais je me mis à courir jusque dehors.

Tom vit la jeune fille et ne comprit pas, alors, il demanda à son père, qui était aussi sortit voulant l'a rattraper.
Tom était furieux et courra après elle.
Mais Monsieur Malton n'alla pas l'a voir pensant que son fils était beaucoup mieux que lui-même.
Je sortais dehors pour pleurer un bon coup, et je vis Tom qui arriva,puis il me prit dans ses bras.
Il m'embrassa sur la joue, sur l'autre, et sur le front, pour me réconforter.
Puis il me serra fortement dans ses bras musclés.


-Tout va bien. Je suis là.


-Merci d'être là.


Un silence agréable se fit, et Tom prit la parole :


-Je t'aime.


-Je t'aime aussi Tom. Dis-je en mettant en nichant ma tête dans le creux de son cou.


Ont restaient plusieurs minutes comme cela, sans bouger.

Et Monsieur Malton décida qu'il fallait que tout le monde rentre, car il allait être 22h, et qu'il était énervé.

Je montais dans la limousine et restais dans les bras de Tom.


- -


22h.


Nous arrivions au manoir, et nous rentrions.


-Tom... ? Demandais-je.


-Oui ?


-Tu peux dormir avec moi s'il te plaît ?


-Je serais toujours là pour toi, alors je suis d'accord.


-Merci.


Je lui souris, et nous montâmes dans la chambre.
J'allais me doucher, me démaquiller et me brosser les dents, puis je mis des sous-vêtements plus confortables pour la nuit.
J'ouvris la porte et interpella Tom :

-Est-ce que tu aurais un sweat-shirt à me prêter pour cette nuit ?

-Oui. Rit-il tendrement. Je reviens.

Il revint et me donna son sweat-shirt qu'il mettait presque tout le temps, par chance, il m'arriva aux cuisses.


Je sortis de la salle de bain pour laisser la place à Tom de se doucher.

Tom de son côté, s'inquiéta un peu pour sa meilleure amie, mais était ravi de pouvoir re dormir avec elle, comme il avait fait à l'hôpital.

Il prit une douche, se lava les dents, et enfila un boxer propre.


Je me glissais sous la couette en attendant que Tom finisse.
Il sortit deux secondes après.
Il me sourit, et ferma la porte de la salle de bain, et ferma les volets, puis nourrit Malfoy le poisson pour m'éviter que je le fasse.
Tom en profita pour fermer la porte de la chambre correctement.


-J'ai froid. Fis-je, fatiguée.


Tom vint se glisser sous la couette avec moi,net je me blottis contre lui, pendant qu'il caressait mes cheveux.


-Bonne nuit Tom... Je t'aime. Disais-je tendrement en lui faisant un bisous sur la joue.


-Bonne nuit ... , je t'aime aussi. Disait-il aussi tendrement que moi, puis il me fit un bisous sur le front.

Et nous nous endormions dans les bras l'un de l'autre...


- -

Minuit.


Je me réveilla dans le début de la nuit, n'arrivant plus à dormir.
Tom ronfla doucement.
Je souris tendrement en le regardant dormir.
Je sortis de ma chambre doucement,sans le réveiller.
Je descendis les escaliers, tranquillement, et alla me faire un thé à la cuisine.
J'entendis une mélodie venant du salon, ce qui m'intrigua, alors, mon thé dans la main, je marchais jusqu'au salon.
Monsieur Malton était en train de jouer au piano.
Il jouait une mélodie que je connaissais très bien.
Berty ne mentait pas quand elle disait que c'était un très bon pianiste.
Je le regardais jouer pendant tout ce temps, et il finissait son morceau.
J'applaudissais doucement, et il releva la tête, surpris.


-Que faites-vous là ? Demandait-il.


-Je n'arrive pas à trouver le sommeil. Expliquais-je, en m'avançant.


Il me regarda de haut en bas avant de secouer la tête.


-C'est une habitude chez vous de vous promenez en petite tenue chez des inconnus ?


-Tom est comme mon frère. Je m'entends bien avec Helen, votre femme. Alors, je ne suis pas chez des inconnus.


-Ce qui veut dire que je suis un inconnu... Dit-il en baissant la tête.


-C'est vrai que c'est mon genre de sauter dans les bras d'un inconnu et de le faire passer pour mon père. Plaisantais-je.


Monsieur Malton alluma la télé pour me montrer les nouvelles.
L'homme louche était mort.
Tant mieux.


-Il ne méritait que cela. Disais-je.


Puis il coupa la télé.


-Merci beaucoup. Ajoutais-je.


-Pourquoi... ?


-C'était vous pour la mort mon ancien agresseur,non ? Et là, vous m'avez sauver d'un autre sombre moment auquel je n'aurais pu survivre. Alors merci beaucoup.


-Comment savez-vous ?


-Cela me semble logique... Répondais-je en m'asseyant, à ses côtés, au piano. C'était une très bonne idée de cadeau d'anniversaire.


Un silence se fit...


-Pourquoi ? Demandais-je.


-Il n'avait pas à vous faire cela.


-Le vrai Monsieur Malton n'aurait pas payé pour tuer mon agresseur, ne m'aurait pas rattrapé quand je me suis plantée ce couteau, n'aurait même pas versé une larme à ce moment.


-Ne serait pas aller en Turquie pour vous cherchez une rose noire... Continuait-il, le regard dans le vide.


-Oh,je ne savais pas pour cela... Merci beaucoup... Le vrai Monsieur Malton ne me poserait pas dix milles questions par jour, ne me dirait pas de me changer, non, au contraire, il critiquerait mon corps et mon visage. Et il ne m'aurait pas sauvé d'un deuxième agresseur. Pourquoi... ?


-Cela a commencé quand j'étais petit.
Mon père m'a toujours rejeté, toujours battu.
Il m'a élevé à la dur.
Comme un militaire.
Ma mère, elle, ne faisait rien, elle ne me prêtait guère attention.
Alors, j'ai voulu rendre fiers mes parents en réussissant à devenir ce qui je suis aujourd'hui.
Une riche ordure...
Mais dès que je suis né, j'ai appris à n'avoir aucune émotions, aucune pitié.
J'ai perdu toute mon enfance, et mon adolescence à cause d'eux.
Je ne pouvais pas avoir ma première cuite, mon premier baiser comme tous les autres garçons, à mon époque c'était à 13 ans.
Je ne pouvais même pas sortir de chez moi quand je n'avais pas classe.
Je ne pouvais pas avoir d'amis non plus.
Je devais apprendre à vivre seul.
J'ai étudié tous les soirs, toutes les nuits pour eux.
J'ai pu sauter plusieurs classes grâce ou à cause de cela.
Et quand j'ai eu mon diplôme à 15 ans, du coup, ils ne sont même pas venus, et ont coupés les ponts avec moi sans aucunes raisons...
Alors j'ai commencé à travailler très jeune.
J'ai rencontré Helen, et... elle est tombée enceinte.
Elle m'aimait à la folie, mais moi j'étais un peu réservé quant à mes sentiments pour elle.
Je ne pouvais pas l'abandonner, je ne pouvais pas reculer.
J'avais des principes.
À cet époque c'était un malheur d'être enceinte à 15 ans, et ça l'est toujours !
Mais j'en suis content après tout.
C'est surtout grâce à ses parents qui nous ont pas mal aidés.
Et dix ans après,vers mes 25 ans, j'apprenais qu'ils étaient morts.
Je m'en fichais un peu...
Quand Tom est né...
Ah...Tom. Sourit-il.
Ce garçon est un génie.
Je lui lisais souvent des histoires.

-Comme Harry Potter ? Souriais-je malicieusement.

-Comme Harry Potter. Soufflait-il en me regardant.

-Je me suis toujours plus occupé de lui, qu'Helen l'a fait.
Mais, un jour tout a disjoncté dans ma tête.
J'ai perdu toute une moitié de vie à cause de mes parents.
J'ai appris que mes parents n'étaient en faite, pas mes vrais parents.
Mais c'était trop tard,pour rencontrer les vrais, parce qu'ils étaient morts deux ans avant que je l'apprenne.
Alors, je me suis renfermé.
Ce que je ne voulais pas qui arrive, arriva.
J'ai traité mon fils, comme mon faux père m'a traité.
Non, je ne l'ai jamais frappé comme mon père le faisait pour moi... Et je ne voulais pas non plus te frapper.
Mais... je le traitais d'incapable.
Je lui ai appris qu'il ne fallait se fier à personne, et qu'il fallait rabaisser les gens.
Il était devenu comme moi...
Une horrible personne.
Et je m'en veux toujours autant à vrai dire...
Je n'ai jamais trompé Helen, même avec ce que vous avez pu apprendre.
Et... je... je suis désolé pour tout ce que j'ai pu vous faire... depuis le début. Dit-il doucement, une larme coulant sur sa joue.
J'ai su que vous alliez habitez dans mon manoir...

Il n'a jamais eu de vie depuis qu'il est né, il n'a jamais profiter de la vie, il n'a jamais été libre de choisir pour lui.
Il a dû se forcer de rester pour aider Helen dans sa grossesse et pour ne pas que Tom naisse sans père.
Je pense qu'après tout ce temps, lâcher tout cela à quelqu'un doit être dur mentalement.
Et je disais qu'il n'avait pas de cœur... ?
Je le regardais,attristée, sans aucune pointe de haine.

-Et...
Vous étiez agaçante, arrogante, de fort caractère...
Mais aussi...
Fragile, détruite, et...forte.
Cela m'a rendu fou de vous voir rire avec Tom...
Je n'avais pas ris avec lui depuis si longtemps, et vous, vous parveniez à le prendre dans vos bras, à rire avec lui,
À faire de lui, quelqu'un d'extraordinaire.
Vous avez fait toutes ces choses que je n'ai pas pu faire.
Mais... mais maintenant je vous remercie pour tout.
Je sais que vous me haïssez.
C'est à cause de moi que vous vous êtes planté ce couteau en plein cœur... Dit-il, relevant la tête vers moi, les yeux remplis de larmes et de remords.


Inconsciemment, je pris sa main.
Je m'en fous complètement de mes actes à ce moment-là.


-Mais...
Je ne savais pas que je vous faisais du mal pour repousser quelque chose depuis le début.
J'espérais que vous partiez de ce manoir, en me comportant comme d'habitude.
Parce que je voulais repousser tout cela.
J'étais énervé parce que...
J'avais réussis à fermer tout ce qu'il y'avait de bien en moi, j'avais réussis à ne plus avoir de cœur, à ne plus aimer.
Mais il a fallut que vous arriviez dans ce collège, et qu'en plus je vous héberge.
J'ai payé la police, parce que votre agresseur n'avait pas à vous toucher,
Personne n'avait à vous touchez et à vous faire du mal.
Je vous ai rattrapé, parce que je ne voulais pas vous partiez.
J'ai versé une larme parce que tout était de ma faute, et parce que je ne voulais pas vous... te perdre.

Quoi...?
Je...

-Je te posais des questions sur qui j'étais à tes yeux, parce que cela m'importait.
Le premier soir où tu es venue,et que tu as sortis ton discours, je me suis énervé, parce que tu avais raison du début à la fin.
Il y'avait le piano aussi...
Je n'avais plus entendu cette mélodie jusqu'à ce jour dernier.
Tu joues tellement... bien.
J'avais arrêté d'en jouer quand j'ai disjoncté.
J'ai entendu ta conversation avec Tom sur les roses, à vrai dire, j'ai tout entendu...
J'ai même entendu quand tu as dis que tu aimais Matthew...
C'était moi les roses jaunes, pour m'excuser de t'avoir fait du mal deux fois avant ce moment... Soufflait-il, une larme coulant sur sa joue.
J'ai même entendu quand tu as dis à Tom que tu l'aimais le soir, avant ton agression, et j'ai tout renversé dans mon bureau.
Je t'ai pris pour une fille sans cœur à aimer deux garçons.
Mais j'ai réalisé que Tom n'était que pour toi, un frère.
Et Matthew, un meilleur ami.
Je suis même content de savoir que Tom aime quelqu'un à son âge, il n'a pas eu la chance que j'ai eu.
Tu... étais magnifique dans ta robe rouge.
Tu l'étais aussi ce soir.
Même plus.
Tu ne peux pas savoir à quel point j'étais heureux de revoir ton visage hier,
Je me suis retenu de te prendre dans mes bras.
Je te disais de te changer parce que je ne voulais pas que quelqu'un d'autre te voit.
Je ne voulais pas que quelqu'un voit la perle rare que tu es.
Et parce que, j'aurais sûrement viré la personne qui t'aurais trop regardé de près. Rit-il doucement en regardant le sol.


C'est la première fois que je le vois rire...
Qu'il est aussi paisible avec lui-même.
Et qu'il me parle si calmement.
Je... Non...
Je viens de comprendre pourquoi je suis comme cela.
Mon cœur ne doit pas.
Il faut que je continue à me retenir d'ouvrir mon cœur.





-Et quand tu as voulu me provoquer hier soir...
Quand tu as dit au serveur que tu trouvais cela ridicule une relation avecune différence d'âge...
Je n'arrivais plus à respirer normalement.
C'est moi qui t'ai porté jusqu'à ta chambre hier soir...
Et qui t'ai défais de ta robe.
Je promets que je n'ai rien vu.
Enfin... je n'ai plutôt rien regardé par respect.
Je ne me permettrais jamais, d'ailleurs.
C'est moi qui t'ai acheté ce collier, et il a vraiment coûter 220 000 livres sterling, mais je m'en fous, ce n'est qu'un détail.
Quand tu m'as demandé si tu pouvais sauter dans mes bras, si un jour mon manoir est en feu.
Je ne te laisserais jamais dans les flammes.
Et s'il te plaît, si tu as l'occasion de sauter dans mes bras...
Fais-le.
Je suis désolé de ne pas t'avoir défendu ce soir...
Et je t'ai défendu devant l'homme dans les toilettes, parce qu'à partir de ce soir, je me suis fais la promesse que personne ne te toucherait.
Et que je ne voulais pas que tu partes une deuxième fois. Dit-il en pleurant doucement.


Par réflexe, je me mis à essuyer ses larmes.
Bordel...


-Je pensais que c'était juste à cause du fait que je n'arrivais pas à parler à mon fils, que j'étais énervé quand je te voyais rire avec lui, lui dire que tu l'aimais, et le prendre dans tes bras.
Et qu'il soit toujours là pour toi.
Alors que moi je ne pouvais pas.
Mais non...
C'était aussi à cause du fait que je soit jaloux.
Même quand je t'ai vu partir le soir de ton agression, de la fenêtre de mon bureau, juste après que j'ai tout détruis, je t'ai vu prendre Tom dans tes bras, et je sais que tu as vu que j'étais énervé, vu que je suis partis en remettant mon rideau.
Je suis jaloux.
Et je ne t'insulte pas de grosse ou de laide,parce que tu es toutsimplement aussi magnifique que ton corps l'est.
Je le sais parce que je t'ai vu en maillot de bain, si tu te le demandes.

Il y eut un silence et je pris la parole, pensant que c'était lui, la personne sur un million qui pouvait découvrir mon passé :


-Dès que j'ai commencée à aller à l'école, mes professeurs m'insultaient d'incapable, les élèves me frappaient et m'insultaient de toutes les insultes de la sorte.
Et mes parents n'ont jamais fait quelque chose pour cela.
Des personnes m'envoyaient des roses noires pour me souhaiter une bonne mort parce que j'avais blessée quelqu'un.
Et ce quelqu'un était mon grand-frère, James.
Je lui ai ruiné la vie.
J... j'étais dans la voiture avec sa copine... le soir où il voulait l'a demandé en mariage... et... il y a eu un accident.
Elle n'est pas morte mais... à cause de moi ! Explosais-je en larmes, et Jason mit sa main sur mon dos.
À cause de moi, elle est dans un fauteuil roulant, et elle a quitté James parce que... qu'elle m'a dit qu'elle ne voulait pas sortir avec lui parce qu'il a une sœur complètement folle... elle a dit que j'avais fait... exprès parce que j'étais jalouse qu'elle m'ai volé mon grand-frère.
Alors que non !
Elle a fait courir la rumeur dans toute la ville, je suis même allée au poste de police, heureusement que j'avais un bon avocat ! M'énervais-je.
Mais maintenant, j'espère qu'il va mieux. Soufflais-je.
Cela a duré jusqu'à ce que je rentre à Slygry Ravhuff, et puis après, plus rien.
Et j'ai dû quitter l'Irlande et ma famille pour aller ici.
Et malgré tout, je ne regrette rien.


Jason me regarda tendrement, et je demandais, inquiète de la réponse :


-Et pour les roses... ?


-La rose blanche, comme tu l'as expliqué à Tom, signifie le premier amour, l'amour secret depuis longtemps... Tu... Dit-il en soufflant pour reprendre du courage. Tu es la première personne dont je suis réellement tombé follement amoureux. Et c'était aussi pour ma reconnaissance envers toi pour Tom, et pour te souhaiter un bon rétablissement. Et la rose noire, c'est complètement ridicule de dire ça...
est parce que... je t'aimerais jusqu'à après la mort.


Je ne pus rien dire,abasourdie, peut-être contente...ou... perdue ? Qu'il se leva, et me posa sur le piano.
Il me regardait, et prit doucement mon visage avec ses mains, tout en caressant mes joues.
Et ses lèvres rencontrèrent tendrement les miennes.

-Monsieur Malton... ce n'est pas correct.

-C'est putement correct.

Je pris peur et courra jusque dehors, Monsieur Malton me courra après et prit mon bras pour me faire retourner vers lui, et il me rapprocha vers lui avec son autre bras sur mon dos.


-Je ne contrôle pas mon cerveau et mes gestes en même temps. Répliquait-il tendrement.


Il m'embrassa amoureusement, tout en resserrant la pression qu'il exerçait sur mon dos avec son bras gauche.
J'ouvris la bouche pour reprendre mon souffle, et il en profita pour nouer sa langue à la mienne.
Le baiser devenait de plus en plus fort et intense en émotions.
Nos larmes se mêlaient au baiser.
Nous nous arrêtions, sans qu'il ne me lâche.
L'homme ne dit rien, ayant peur que la jeune fille ne ressente rien pour lui.
Je compris pourquoi Jason ne dit rien.
Bordel !
J'ouvre mon cœur !

-Je vous aime Jason Malton. Soufflais-je.


-Je vous aime Blodwyn Heitsburg. Soufflait-il, son front contre le mien.

- - - - - - - - - - -

Bonjour ou bonsoir tout le monde ! 😌

Comment allez-vous ? 😊

Je me suis couchée à 5h du matin pour pouvoir corriger ce chapitre pour que je le poste absolument aujourd'hui pour vous ! 😊😅😴

Vos réactions ? 😍❤️

J'espère que ce chapitre vous a plu comme il m'a plu de l'écrire ! 😊

Je m'en remets pas d'avoir écrit ce chapitre, j'ai trop pleuré en l'écrivant ! 😂😰

Je vous lance au défi d'écrire 100 commentaires ! 😂😅

Je posterais le prochain chapitre dans le début de la nuit sûrement ! 😊

Bonne journée ou bonne soirée à toutes ! 😊

x.

LeaDream

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro