Chapitre 41-12.
À PROPOS DU CHAPITRE, LISEZ VRAIMENT, C'EST TRÈS IMPORTANT ! :
-N'allez pas voter avant de lire par pitié, cela gâcherai tout le mystère de ce chapitre, même si votre conscience le veut, n'y allez pas, cela vous gâcherai tout le chapitre. Et j'y ai passé beaucoup de temps dessus !
-Je suis désolée si quelques scènes ( violences ) vous ont choquées à la fin de ce chapitre malgré qu'il n'y ai pas grand chose, on ne sait jamais.
-Lisez ce chapitre avec votre musique la plus triste. Sinon, si vous ne savez pas vous pouvez passer en boucle "Young And Beautiful, de Lana Del Rey" et si vous ne pouvez pas écouter, vous n'avez qu'à l'a chanter... Ce qui risque d'être compliqué ! 😂
Bonne lecture à toutes !
Slygry Ravhuff, Chapitre 41-12.
Le vent frais fouetta mon visage, dès que je sortis du manoir en compagnie des filles et de Tom.
-Tu ne peux pas partir en me laissant comme ça, avec mes deux parents. C'est injuste. Boudait Tom.
-Alors viens.
-Je ne peux pas...
Je lui souris tristement, et le serra dans mes bras.
Mon regard se dirigea en haut du manoir, je vis Monsieur Malton, nous regarder.
Comment c'est possible d'enlacer quelqu'un, avec ce regard percutant, devant soi ?
Je le vis partir de devant la fenêtre, remettant son rideau, d'un geste énervé.
Bon débarras !
Je me retira de l'étreinte, et regardais Tom.
-Tu reviens vite, d'accord ?
-Je te le promets. Souriais-je, doucement.
-À ce soir alors.
-À toute à l'heure. Répondais-je.
Il me souriait et rentra dans le manoir, en m'adressant un dernier regard et un salut de la main, que je lui répondis par un salut de la main aussi.
Alfred vint nous chercher, en limousine.
J'essayais de stocker toute ma robe dans la limousine, ce qui était vraiment comique.
Berty s'était moquée de moi, et je lui avais tirée la langue, pour plaisanter.
Le trajet se fit assez long, et à la vue de tous, mon entrée était spectaculaire, d'après certaines personnes.
Le cuisinier m'accueillait, avec grand plaisir, avec un grand sourire aussi, et me fit m'installer, à une énorme table, au milieu pour tout le monde.
Je m'assis doucement, j'étais entre Lily, et Berty.
Le dîner se fit joviale et conviviale, avec toutes sortes de personnes, me remerciant pour le petit-déjeuner de ce matin.
Je n'arrive toujours pas, malgré tout, à croire que cela s'est passé, tout ce matin, que je suis devenue aussi proche, de Tom.
À vrai dire... nous étions des ennemis-amis, sans trop faire d'horribles choses.
Mais on ne se rend pas vraiment compte de la relation que l'on a avec la personne, jusqu'à lui en avoir parler.
Je suis heureuse que cette guerre entre nous, soit finit.
C'est fou à quel point il est attentif, compréhensif, et adorablement gentil, en vrai.
22h00 !
Deux heures étaient passées, et tout le monde s'amusaient, mais moi, j'étais seule, au fond de la salle, assise, regardant les personnes joyeuses.
J'ai besoin du sourire, et des blagues de Tom.
01h00 !
Trois heures après, un garçon s'approcha de moi, empestant l'alcool.
Oh mon dieu.
-Hey, poupée.
-Qu'est-ce que vous me voulez ?
-Oh rien.
-Ah oui ?
-Oui, juste...parler. Disait-il, vicieusement.
Des pensées noires étaient dans la tête du garçon, mais la jeune fille ne pouvait, le savoir.
Le jeune apprenti était en effet, un gars sympathique qui cuisinait chez les Malton depuis deux ans, je ne sais pas pourquoi je m'inquiétais.
Ont avaient discutés brièvement.
-Ont vas dehors ? Proposa-t-il.
-Oui, pourquoi pas. Souriais-je.
Je le suivais dehors, et rapidement, il me saisit et me plaqua contre le mur.
-Lâchez-moi ! Criais-je.
-Ils n'entendront rien, poupée. Avec la musique...
-Que voulez-vous ? J'ai beaucoup d'argent.
-Je m'en fous de l'argent, c'est toi que je veux. Enfin, plutôt ton corps.
-S'il vous plaît... lâchez-moi... Suppliais-je, faiblement, n'arrivant plus à respirer.
Il arracha mon décolleté et regarda le peu de mes seins, qu'il voyait.
Bordel, ne suis-je qu'une prostituée ?
Enfin, les prostituées se font payer.
Oh mon dieu, réveille toi, tu es en train de te faire abuser !
L'homme me bloqua plus encore sur le mur, sans que je ne puisse me débattre.
S'il vous plaît... que quelqu'un... m'aide.
Je continuais de crier.
Il me frappa au visage sans s'arrêter, et me donna un énorme coup de poing dans le ventre, puis un autre.
Et il me plaqua à terre, et me cracha dessus plusieurs fois, sur le visage.
Il toucha mes seins à travers ma robe, et non pas... directement.
Il caressa mon ventre, par la robe, et non pas en touchant ma peau, merci mon dieu, descendant plus bas à chaque fois.
-Tu en as envie, hein... petite pute. Cracha-t-il vicieusement, en s'arrêtant au bas de mon ventre.
S'il vous plaît, non...
J'avais envie de mourir.
Et j'entendis une voiture, et des pas.
Merci, mon dieu.
Et cette voix.
-... ! Bordel, lâche là, espèce de connard ! Criait Tom, en lui foutant un énorme coup de poing. Alfred, appelez la police !
-Tom... qu... qu'est-ce que tu fais là ? Demandais-je, la voix inaudible, toujours sur le sol de la rue.
Trois personnes, ainsi que le cuisinier sortirent.
Et Lily, Berty... et Rose me virent.
Les alarmes de police ne mirent pas longtemps, à se faire entendre.
Lily et Tom m'aidaient à monter dans la limousine pour rejoindre les policiers, au poste de police.
Pour faire un... rapport.
Je ne ressentais aucunes émotions... à part... l'envie de mourir.
Tom m'aidait à sortir de la voiture, et à marcher.
Plusieurs policiers me dévisagèrent, sans aucunes traces d'amertume.
Ils pensaient bien, de ce qui m'était arrivée.
Un policier m'installa sur une chaise, doucement, et Tom s'assit, puis le policier s'installa en face de nous, devant son ordinateur.
Il nous regarda gentiment.
-Pouvez-vous me résumer les faits, s'il vous plaît, Mademoiselle ... ?
-Suis-je... vraiment... obligée ?
-Hélas, c'est la procédure... je suis désolé... Allez-y, doucement.
-Vers une heure du matin, il est venu vers moi, déjà soûl... Je lui ai demandé ce qu'il voulait, et il m'a juste dit qu'il voulait parler...
-Pourquoi ne l'avez-vous pas rejeté ?
-Je pense, malheureusement, que je suis une de ces personnes, qui ont trop de gentillesse... et qui pense, qu'il y a du bon, en tout le monde...
-Je vois... continuez.
-Il s'était assit, et nous avions parlés pendant... trente minutes. Puis il m'avait proposé d'aller prendre l'air... j'avais accepté... Et... il m'avait saisit puis plaquer au mur... Il a commencé à arracher mon décolleté et... Il n'a rien fait, merci mon dieu, il avait juste regardé mes seins. Racontais-je, en faisant une line de dégoût. Pas que ce soit bien, mais, il aurait pu me faire... pire. Expliquais-je. Il m'avait frappé plusieurs fois au visage, d'ailleurs, je suppose que cela se voit... Et il m'avait donné deux énormes coups de poings, dans le ventre.
-Vous n'avez pas mal ? S'inquiétait-il.
-Il faut aller à l'hôpital. S'énervait Tom.
-Après Tom, après. Dis-je, doucement. J'ai extrêmement mal, officier. Mais je suis courageuse, je suppose, enfin, j'ai eu l'habitude, et je veux en finir vite, avec toute cette histoire. Soufflais-je.
-Je suis désolé... continuez.
Tom prit ma main, et l'a caressa tendrement.
-Il m'a lancé par terre,il m'a craché au visage, plusieurs fois. Il a commencé à toucher... mes seins... mais pas directement, juste par le tissu de ma robe.
Le poing de l'autre main de Tom se serra, par colère.
-Il a... caressé mon ventre, toujours par le tissu de ma robe... descendant, de plus en plus bas.
Tom se leva, ne pouvant plus écouter ce que je racontais.
-Et grâce à Tom Malton, il n'a rien pu faire d'autre. Disais-je, en explosant en larmes, fatiguée de ma vie.
-Vous êtes forte pour une jeune femme de quatorze ans. Dit l'officier en imprimant, quelque chose, et allant voir un autre policier.
Tom me prit dans ses bras.
-J'avais réussis à m'échapper du manoir pour pouvoir te rejoindre. J'ai sentis... quelque chose dans l'air. Et merci, j'ai eu raison... M'expliquait-il. Si ce salaud t'aurait fait... autre chose... je... je serais devenu incontrôlable. Je l'aurais tué.
-Ne dis pas cela dans un poste de police. Souriais-je, tendrement.
Il souffla et me serra plus fort.
-Aïe...
-Putain, ce connard t'as cassé quelque chose... Grondait-il.
-Ça va aller, Tom...
-Il a abîmé ton si joli visage... Murmurait-il, une larme perlant au coin de son œil.
J'essuyais ses larmes qui coulaient, doucement.
Il me fit pleurer aussi.
Alors nous nous séchions mutuellement nos larmes, dans un poste de police...
À trois heures du matin, c'est assez comique !
Le policier revint vers nous, et prit la parole :
-Cette ordure... va être mit en garde à vue. Et il va y rester, en prison. La police n'aime pas ça, les abusions, dans le quartier.
-Merci beaucoup... merci officier. Souriais-je.
-Ce n'est que mon boulot. Maintenant, allez vite à l'hôpital. Sourit-il. Et j'espère ne jamais avoir à vous re interroger, pour autre chose... Dit-il, gentiment.
-Au revoir, Monsieur.
-Au revoir, Mademoiselle.
Ont se serras la main, Tom lui serra la main aussi, et je partis avec Tom, qui, m'aidait, à marcher.
-Tom... je sais marcher...
-Je ne te laisserais pas marcher seule, jusqu'à que tu ais fait des radios, à l'hôpital.
Nous prîmes tous les quatre la route, avec Alfred, comme chauffeur.
J'entrais dans l'hôpital avec Tom, et une infirmière nous recevaient rapidement.
-Bonjour, alors, expliquez-moi. Demandait-elle, gentiment.
-Ont m'as agressé cette nuit, et mon agresseur m'a frappé deux fois, au ventre... Et j'ai mal depuis.
-D'accord... Allez-vous bien ?
-Mentalement vous voulez dire ?
Faites-moi disparaître, de ce monde.
Tuez-moi.
Je veux partir !
Je finissais ma phrase :
-Pas... vraiment.
-D'accord, donc je vais vous faire passez des radios, par contre Monsieur Malton, vous devrez rester ici, elle ne devra rester qu'en culotte pour la radio. Alors, attendez votre petite copine, ici.
-Ce n'est pas ma petite copine... elle est comme... ma sœur. Sourit-il. Et il n'y a pas de problèmes, je comprends. ..., je t'attends ici.
Je lui souris, suivit l'infirmière jusqu'à une salle, me déshabilla dans une cabine, et passa plusieurs radios...
Une fois finis,
je me rhabilla, et re suivis l'infirmière jusqu'au bureau où Tom m'attend.
Et je m'assis, puis Tom prit tendrement ma main.
-Alors ? Demandait-il.
L'infirmière regardait les radios, et releva la tête.
-Malheureusement... vous avez deux côtés cassées.
-Elle va avoir besoin d'une opération ? S'inquiétait Tom.
-Non, juste d'une pommade et de beaucoup de repos, il faudra veiller à ne faire aucunes activités sportives, ou aucune choses trop dures pour vos côtes, pendant deux mois. Et nous nous reverrons dans deux mois, pour faire le compte-rendu. Expliquait l'infirmière, en souriant.
Tom soufflait rassuré, que ce ne soit pas aussi grave, qu'il aurait pu imaginer.
-Pour payer... c'est où... ? Questionnait Tom, gentiment.
-Le paiement sera long, alors je vous fais la consultation, et les radios gratuites. Votre meilleure amie, a besoin de repos, très rapidement. Expliquait-elle, à Tom. Si cela s'aggrave, appelez-moi. Dit-elle, gentiment, en tournant sa tête vers moi, en me donnant une carte de visite, avec son numéro de portable, dessus.
-Merci beaucoup. Sourit Tom. Mais je ne peux accepter votre aide gratuitement. Tom tendit cinquante livres sterling, et l'infirmière le remercia.
-Merci, Monsieur Malton. Souriait l'infirmière, en prenant l'argent.
-Je vous en prie, mais c'est normal. Souriait-il, gentiment.
-Je n'oublierais pas de vous appelez, sic cela s'aggrave. Souriais-je.
-À dans deux mois, Mademoiselle .... Dit l'infirmière, en me serrant la main.
-À dans deux mois, Madame. Souriais-je, en lui serrant la main.
Tom lui serra la main en retour, ainsi qu'elle, et ont sortis de l'hôpital pour retourner à la limousine.
Je n'étais déjà pas, discrète, avec ma robe...
Ont arrivas dans une pharmacie.
Tom descendait, et revenait quelques minutes, après avec dix tubes de pommade.
-Tu es fou. Riais-je.
-Au moins, ont est sûrs que tu n'en manqueras pas. Rit-il, légèrement. J'ai pris dix autres tubes pour ton visage. Sourit-il.
-Merci beaucoup. Souriais-je.
-Ce n'est pas mon argent. Dit-il, en me faisant un clin d'oeil.
-Je ne vous donnerais jamais quinze et quatorze ans, vous deux. Souffla Berty. Vous en faite dix-sept.
Tom avait eu quinze ans, le 5 Juin passé.
-C'est une mauvaise chose ? Questionnait Tom.
-Non, pas du tout. Souriait Berty.
Tom, qui était à côté de moi, me prit dans ses bras, me fit un bisou sur le front, et mit son menton sur ma tête.
Et ma tête se réfugia dans le creux, de son cou.
Je suis dans un cauchemar.
Je veux mourir...
Je me mis à exploser en larmes contre lui, et je m'accrochais à sa veste de costume, et Tom me serra plus fort.
Nous étions revenus au manoir, et Berty courra presque jusqu'au manoir, pour se changer, avec Lily et Rose, car elles voulaient nous préparer quelque chose, à manger.
04h00 !
Ma robe était complètement déchirée de partout, je me sentais sale, mon visage me piquait, mes côtes me faisaient mal...
Tom me tenait contre lui pour marcher jusqu'au manoir, et nous entrions, mais un cri enragé arriva vers nous.
-COMMENT OSEZ-VOUS, ARRIVEZ À CETTE HEURE-CI, DANS MON MAN-Criait Monsieur Malton, mais il se coupa, en nous voyant. Que s'est-il passé... ? Questionnait-il, plus calmement.
-Tom... tu n'as pas interêt à lui raconter. Cela lui fera une autre raison, de m'insulter... Me plaignais-je, en pleurs.
-Je... je suis obligé, .... C'était quelqu'un, de son personnel.
-Comment cela ? Demandait Monsieur Malton, ne comprenant rien.
-Non... Tom... S'il te plaît...
Tom m'amena à la salle à manger, puis, me posa délicatement.
-Berty et les filles, vont prendre soin, de toi. Je reviens.
-Tu vas lui dire, n'est-ce pas... ?
-Je... je suis obligé, ....
-Tu ne comprends pas que ton père veut, ma mort ! Il veut me tuer par les mots, putain ! Pleurais-je.
-S'il te plaît... ne dis pas cela... Suppliait Tom, qui refusait d'entendre que son père n'était rien d'autre, qu'une horrible personne.
Ce père, qui, un temps, l'avait bordé étant plus jeune, et, lui avait lu des livres, le soir, pour l'endormir.
-Tu ne veux juste pas l'entendre, Tom... Pleurais-je.
Il se retourna, et marcha en direction du salon.
Berty m'amena un thé vert bien chaud, avec des pancakes.
Il faut que je le fasse.
-Berty, pouvez-vous m'amenez un couteau, pour que j'étale comme il le faut, le miel, sur mes pancakes, s'il vous plaît ?
-Je peux le faire moi-même, si vous voulez...
-Non, c'est gentil, merci beaucoup. Souriais-je.
Berty repartait en cuisine.
Elle revenait tout de suite, en me donnant le couteau.
-Merci beaucoup. Disais-je, en souriant, poliment.
-Je vous en prie ! S'exclamait-elle, en souriant, poliment, aussi.
J'entendis des cris, depuis le salon :
«
-IL A FAIT QUOI ? Criait Monsieur Malton, à son fils.
-NE ME LE FAIS PAS RÉPETER !
-COMMENT PEUT-ON FAIRE ÇA À UNE JEUNE FILLE, DE QUATORZE ANS ? Criait Monsieur Malton, en s'énervant.
-PARCE QUE SI LA FILLE EN QUESTION, AURAIT ÉTÉ PLUS ÂGÉE, CELA AURAIT ÉTÉ MOINS GRAVE ?
-CE N'EST PAS CE QUE J'AI DIS, TOM !
-QUI EST, CET HOMME ? Reprenait Monsieur Malton, avec toujours une pointe d'animosité dans la voix.
-CELUI QUI ÉTAIT LÀ DEPUIS DEUX ANS, IL N'Y EN A QU'UN... TU N'AS QU'À PAS EMBAUCHER DES PERVERS COMME APPRENTIS, EN CUISINE ! AS-TU VU CE QU'IL LUI A FAIT ?! ELLE EST COMPLÈTEMENT DÉTRUITE... JE NE VEUX PAS L'A PERDRE !
-ARRÊTES, TU VAS ME FAIRE VOMIR AVEC VOTRE AMOUR. CELA NE TE DÉRANGE PAS QU'ELLE SORTE AVEC QUELQU'UN D'AUTRE, EN ÉTANT AVEC TOI ?
-JE NE L'AIME PAS DANS LE SENS OU TU PENSES, ELLE EST COMME MA SOEUR. QUE TU LE VEUILLES OU NON ! ET ELLE N'A PERSONNE.
-MATTHEW, CELA NE TE DIT RIEN ?
-C'EST SON MEILLEUR AMI. ET PUIS QU'EST-CE QUE CELA PEUT TE FAIRE ? TU VEUX QU'ELLE MEURT, ELLE ME L'A ELLE-MÊME DIT !
»
Ils avaient baissés le son de leurs voix, et Berty m'amena un couteau.
Il faut que je parte.
Personne ne m'aime !
Je. Ne. Suis. Personne !
Il le faut !
-Lily ? Rose ? Est-ce que vous pouvez aller nourrir, Malfoy ? S'il vous plaît ? Demandais-je, gentiment.
-Ont se chargent de Malfoy, ne t'inquiètes pas. Disait Lily, en souriant, gentiment.
-Pas de problème ! S'exclamait Rose, en souriant, gentiment, aussi.
-Berty, pouvez-vous aller me chercher plus de miel, et un autre thé, s'il vous plaît ? Questionnais-je, poliment.
-J'arrive tout de suite, Mademoiselle. Sourit-elle, gentiment.
Monsieur Malton, ainsi que Tom, arrivèrent.
Oh non...
Ils continuaient à s'engueuler.
Je me levais, et pris silencieusement, le couteau.
-Vous... personne ne me tuera, à part, moi-même ! Criais-je, complètement perdue, et détruite, à Jason Malton.
Ils s'arrêtèrent de s'engueuler, et me fixaient.
Puis Tom vit le couteau, entre ma main droite.
Il se mit à pleurer.
-S'il te plaît .... Pose ce couteau... ne... m'abandonne pas... pense à ta famille... à Evanna, Matthew... Lionne. Dit-il, doucement, en s'approchant.
-Ne t'approche pas, Tom. C'est déjà assez dur. Pleurais-je. Ma famille n'existe plus ! Criais-je, en pleurs.
-Posez cela. Ordonnait Monsieur Malton.
-Vous en serez tellement triste, si je le pose...
-Pose ce couteau... Pleurait Tom.
-Vous n'oseriez même pas. Dit Jason, froidement.
-Dis à Evanna, Matthew et Lionne, que je les aimes...
-Non... S'il te plaît... non... ! Je t'aime ! Criait Tom, en pleurant.
-Je t'aime, Tom ! Criais-je, avant d'enfoncer le couteau aussi près de mon cœur, que je le pus.
Un cri de rage, se fit entendre, quelqu'un qui souffrait le martyr, comme si, il ressentait exactement la même douleur, que je m'étais infligée.
Tom.
Le garçon tomba sur les genoux, détruit.
Je tomba lentement, mais quelqu'un courra, et me rattrapa.
Je ne pus ouvrir qu'une fois les yeux, pour me rendre compte, que c'était des yeux bleus.
Différents de ceux de Tom.
Et des cheveux marrons.
-... !
-Mon...sieur... Mal... ton... ?
-Ne ferme pas les yeux. Réveille toi. Ordonnait-il, blessé.
-Ja... son...
-Petite sotte... Réveille toi...
Et plus rien.
Le noir complet.
Et je vue ma vie défiler.
Et je sentis ma respiration se couper.
Mais avant cela... quelqu'un avait touché ma joue, et quelque chose de mouillé... telle une larme, tomba sur celle-ci.
Et je quitta ce monde.
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Bonjour ou Bonsoir tout le monde !
Comment allez-vous ?
Je poste à 1 heures du matin, oui, oui ! 😅
Vos... ressentis... ?
Je suis désolée, pour ce que j'ai fais, par avance.
Je veux 50 commentaires sur ce Chapitre, j'ai pu en avoir 83 en tout au dernier chapitre, s'il vous plaît ! 😂
x.
LeaDream
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