Chapitre 41-11.
Bonjour ou Bonsoir tout le monde !
Comment allez-vous ?
LISEZ, S'IL VOUS PLAÎT ! 😊
LES VOTES NE SONT PAS IMPORTANTS.
JE VEUX JUSTE QUE VOUS COMMENTIEZ TOUTES, CELLES QUI VOTENT !
JE NE CONNAIS RIEN DE VOS IMPRESSIONS, ET CELA ME PERTURBE UN PEU !
Je suis désolée d'avoir écrit en majuscule, mais personne n'allait lire ma note ! 😊
Ce Chapitre fait 3974 Mots ! 😊
Bonne chance et bonne lecture à toutes !
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Slygry Ravhuff, Chapitre 41-11.
-Je comprends. Pourquoi l'as-tu tant détesté cette rose, mis à part la perte d'un être chère ?
-On m'en a... envoyé des centaines... même des milliers, il y a un temps.
-Pourquoi... ? Demandait-il, si doucement, et silencieusement.
-Pour me souhaiter une bonne mort. Confiais-je, une larme perlant sur ma joue.
-Quoi... ? Pourquoi... ? S'énervait-il.
-Les gens ont des mystères que seule, une personne sur des millions, peut le découvrir, Tom. Souriais-je, pendant que des larmes coulèrent lentement.
Il se levait, et vint me prendre dans ses bras.
-Mais, la blanche reste ma préférée. Riais-je, légèrement. Cela me fait bizarre que Tom Malton, qui était mon ennemi il y a quelques heures encore, me serre dans ses bras. Riais-je, gentiment.
-Merci de m'avoir expliqué tout cela.
Cela me fait bizarre aussi de serrer ... ..., celle qui était, il y a quelques heures aussi, mon ennemie. Confiait-il, en souriant. Je pense offrir un bouquet de roses rouges, à Lionne.
-Une seule rose lui suffira. Elle est simple, comme fille. Souriais-je, en pensant à Lionne, gentiment.
-Et toi ?
-Quoi, moi ?
-Si je t'offre des roses jaunes, tu n'en voudras qu'une seule, ou plusieurs ?
-Tu n'as qu'à compter combien de mondanités tu m'as faite, et avec ce nombre, tu prends le même nombre de roses à offrir.
C'est toujours plus facile, et charmant. Riais-je, amusée.
En tout cas, si je vois des roses jaunes dans ma chambre, je sais de qui elles viendront.
Si tu veux, tu pourras mes les offrir pour mon anniversaire. C'est le 31 Juillet.
-Je n'oublierais jamais cette date. Imagine que quelqu'un t'offre un bouquet, avec toutes les sortes de roses ?
-Je dois t'offrir un cadeau, ton anniversaire est déjà passé... Constatais-je, en le regardant.
J'en pleurerais, incorrigiblement fan, de roses. Riais-je.
Ce doit être tellement... éblouissant. Magnifique.
-Offre moi ce que tu veux, tu n'es même pas obligée. Cette personne aura beaucoup de choses à te faire passer, en tout cas. Riait-il.
-Si, je le suis. Tu n'as pas tord... Soufflais-je.
Tom soufflait tendrement, car son amie était vraiment têtue au sujet de l'anniversaire, de ce dernier.
Il prit la parole, tendrement :
-On vas dans ta chambre ? Elle est beaucoup plus joyeuse que la mienne.
-Ah oui ?
-La mienne est entièrement noire. Faute de goût de ma part. Expliquait-il, en riant, doucement. Je rajouterais bien du vert, ou une des ses couleurs apaisantes, à ma décoration. Disait-il, en me regardant.
-Le vert t'irait bien. J'en suis sûre.
-Comment peux-tu en être sûre ?
-Tu me fais penser à quelqu'un de fictif.
-Ah oui ? Qui ? Demandait-il, curieux.
-Je ne sais pas si cela va te plaire mais, as-tu déjà lu Harry Potter ?
Merlin, pardonnez-moi d'être une fabulatrice d'Harry Potter, et de son univers.
-Des centaines de fois. Mon père me les lisait tous. Il les a dans toutes les collections. Riait-il, gentiment.
C'est un secret, n'ose même pas en parler.
Ni que c'est moi qui te l'ai dit, s'il te plaît !
-Je le savais... ne t'inquiète pas pour cela. Riais-je, légèrement.
-Merci beaucoup, qu'est-ce que tu savais ?
-Sais-tu pourquoi ton père m'a giflé à l'école ?
-Non... pas vraiment. Il ronchonnait des choses à lui-même, quand j'étais allé lui parler de quelque chose d'important, juste après. Qu'est-ce que tu lui as dit ?
-Je lui avais demandée si il avait lu, ou si il connaissait le monde d'Harry Potter, il m'a demandé pourquoi aurait-il lu de telles sottises ? Riais-je.
L'univers de J.K Rowling est loin d'être fait de sottises, c'est un merveilleux monde.
Les personnages, le sont.
Ils le sont tous.
Même les plus méchants.
-Il t'a giflé, parce que tu lui avais demandé si il connaissait Harry Potter ?
-Il m'a giflé parce que je lui ai dit qu'il me faisait penser à quelqu'un, dans Harry Potter.
-Je pense que je saurais deviné. Riait Tom, légèrement.
-Le directeur lui aussi, avait deviné quand, il avait voulu me parler.
-Tu pensais à Lucius Malfoy, c'est cela ? J'adore ce personnage...
-J'aime, et j'admire tellement les Malfoy's... Disais-je, rêveuse.
Ce serait merveilleux de parler aux personnages juste... une fois. Une seule.
Ce sont des horribles personnages, mais d'une manière, je les trouve... touchants.
Lucius est terrifié par Voldemort, comme tout le monde, mais il a un... je ne sais quoi.
Il n'est pas un type si mal, au fond.
Son fils Draco, est... extraordinaire.
Il est mentalement courageux pour pouvoir suivre son père, devenir comme son père, faire des choses qu'il ne veut pas faire, être obligé à tuer, juste pour rendre son père, fier de lui, et à un moment, il a craqué.
Il n'en pouvait plus.
Narcissa, elle, est loin d'être horrible.
Elle veut protéger son enfant plus que tout, elle a protégée Harry Potter d'une certaine manière à la fin, elle n'est que sous l'emprise de son mari et de Voldemort, et en plus de cela, elle a une sœur démoniaque.
-Je ne te ferais pas penser à Draco Malfoy, par hasard ?
-Exactement. Et... ta mère, à Narcissa. Vous me faites penser aux Malfoy's, alors, c'est un peu un honneur, mais... dire que j'aime beaucoup les Malfoy's, serait à dire que j'apprécie ton père...
-Ce qui n'est pas du tout le cas. Finissait Tom. Nous ne sommes pas ces personnages, alors tu peux m'harceler et me répéter à quel point tu aimes Lucius Malfoy, et sa famille. Riait-il.
Je riais, pensive.
J'avais surtout peur, que... quelqu'un entende notre conversation.
Que cette personne puisse me rabaisser, avec mes confidences.
-C'est pour cela que tu m'as dit que le vert, m'irait bien ? Demandait Tom.
-Exactement.
-C'est assez drôle parce que, Lucius Malfoy déteste le rouge, parce que c'est la couleur des Gryffondors. Mais en vrai, pour mon père, c'est sa deuxième couleur préférée, après le vert.
-Ah oui ? Moi, c'est d'abord le rouge, et après le vert.
-Je comprends pourquoi, vous vous haïssez tellement, en fin de compte.
-Pourquoi ?
-C'est mon secret.
-Me le diras-tu, un jour, Tom ?
-Bien sûr, ... .
-Promis ? Demandais-je, en riant, tendrement.
-Promis ! S'exclamait-il, en riant, tendrement, aussi.
On montas les escaliers, pour rejoindre ma chambre.
Je fermais la porte derrière moi, et Tom s'installait sur mon lit.
-C'est ta famille ? Demandait-il, en détaillant le cadre.
Je pris panique d'un coup.
Il faut que je jette ce cadre.
Je m'avançais rapidement en prenant le cadre, j'ouvris ma fenêtre, et le lançais malencontreusement sur la voiture de Monsieur Malton.
Cette fois-ci, c'était un accident !
-Mon père va en avoir marre de recevoir des cadeaux empoisonnés sur sa voiture. Dit Tom, en explosant de rire.
-Je n'ai pas fais exprès, je voulais le lancer autre part. Mais, ne compte pas sur moi, pour m'excuser.
-Offre lui des roses jaunes. Disait Tom, sérieux.
Je le regardais droit dans les yeux, et j'explosais de rire avec lui.
-Moi ? Offrir des roses, à ton père ? Non mais, tu me vois ?
-Désolé, j'étais obligé. Sourit Tom, en riant, doucement.
Je lui souriais, et il reprit la parole :
-Reparle-moi de vos conversations, sur les garçons. Je suis sûr qu'il y'en a un, que tu aimes.
-Quel genre de garçon es-tu, pour vouloir parler de cela ?
-Je n'ai personne, avec qui parler ici. Je suis seul. Alors... je fais avec.
-Tu n'es plus seul Tom. Je suis là.
Il me fit un sourire, compatissant.
-Donc, qui est-ce que tu aimes ?
-Mais. Riais-je. Tu ne le diras, à personne ?
-Je te le promets.
-J'aime... Matthew.
Tom faillit s'étouffer avec sa salive, et j'entendis un bruit, derrière la porte, puis, des pas, et... plus rien.
-Tu as entendu ? Demandais-je, inquiète.
-Non, quoi ?
-Non, rien... J'ai crue entendre quelqu'un.
-Oh... Ne t'inquiète pas.
Il n'y a personne qui vient du côté de ce couloir, sauf moi, et les femmes de ménage.
Et sinon, tu aimes vraiment, Matthew ? Demandait-il, choqué.
-Non, imbécile ! M'exclamais-je, en explosant de rire, devant sa mine ahurie. Je plaisantais. Mon cœur n'a pas la capacité d'aimer quelqu'un.
-Je suis sûr que si.
-Je t'assure que non.
-Si tu le dis.
-Matthew est comme mon... grand frère... que je n'ai jamais eu. Il est mon meilleur ami. Et Evanna et lui s'aiment mais ils ne veulent pas se l'avouer, pensant que d'un côté, l'autre ne l'aime pas. Et comme je suis la confidente des deux, c'est assez comique.
Tom parut blessé, quand il entendit le mot « meilleur ami ».
-Tom ?
-Non, non... rien.
-Tu n'as réellement jamais eu quelqu'un, à part tes bourreaux de services à l'école, qui te servent d'amis ?
-Aussi bizarre que cela puisse paraître, j'ai beaucoup d'amis... pour la fortune de mon père. Mais Louis est vraiment un bon ami, et fiable de plus. Mais, je suis fils unique, alors...
-Je veux bien être ta sœur. Riais-je, bêtement.
Tom me regardait, touché.
Il caressait ma joue, et une larme tomba de son œil droit.
-Ce serait le plus beau cadeau, que je n'aurais jamais eu.
Il me fit pleurer, et je le pris dans mes bras.
Je hais voir les gens pleurer, même les personnes méchantes, ou celles qui m'ont déjà blessées.
-Pourquoi est-ce que tu pleures ?
-Les gens qui pleurent, me font pleurer. Et on a tous les deux besoin de réconfort.
-Est-ce que je suis un lâche ? Demandait-il, en murmurant.
-Non, tu as un cœur, Tom. Ne confonds pas.
-C'est fou comme, de la haine à l'amitié, il n'y a qu'un pas.
-C'est plutôt de la haine à l'amour, il n'y a qu'un pas, mais cela marche aussi. Souriais-je, tendrement.
-L'amitié, c'est de l'amour, n'est-ce pas ?
-Oui...
-Alors, tu as un cœur avec la capacité d'aimer ....
Il me prit dans ses bras, et demandait :
-Tu as refait la salle de bain, aussi ?
-Oui, j'ai tout refais avec beaucoup d'aide.
-Puis-je, te l'emprunter ? J'ai besoin de me rincer le visage, avant le dîner... s'il te plaît.
-Il n'y a aucun problèmes. Répondais-je, gentiment.
Il se levait, entra dans la salle de bain, et ferma la porte.
Je suis sûre d'avoir entendue quelqu'un, derrière la porte...
Je m'avançais doucement vers la porte, et l'ouvrit.
Il n'y avait pas un chat à l'horizon, je baissa la tête pour réfléchir, mais je m'arrêtais sur quelque chose.
Trois roses... jaunes.
Elles étaient piétinées...
Qui a pu faire cela, à de si jolies roses ?
Aurais-je énervée, quelqu'un ?
Ou est-ce que, quelqu'un voulait s'excuser ?
Je ne voulais pas que Tom les voit, alors je les pris vite, en faisant attention aux échardes des roses, et les mirent sous mon lit.
-... ! Depuis quand as-tu, un poisson ?
-Euh... parce que, j'ai un poisson ? Disais-je, en ne comprenant pas, et toquant à la porte de la salle de bain.
-Entre.
J'entrais, et vis un bocal à côté du lavabo, accueillant un... magnifique poisson.
C'était un poisson combattant rouge, noir, vert, et bleu, et jaune...
Je n'avais qu'un bout de papier à côté.
« Lily »
Je dépliais le bout de papier plié en deux , et le lis.
« Je ne savais pas comment te remercier de ce petit-déjeuner, alors je suis partie faire des courses, et comme je sais que ta couleur préférée est le rouge, et que tu as un faible pour le vert et le bleu, ainsi que le jaune, je ne pouvais pas résister.
Tu ne seras jamais seule comme cela.
Occupes-en toi comme il le faut, c'est tout ce que je te demande.
Et choisis-lui un nom... fier.
Les combattants sont souvent des poissons fiers.
À toute à l'heure. L. x »
-Lily.
-Qui est-ce ?
-Une des femmes de ménages, elle doit avoir la vingtaine.
-Oh, et pourquoi est-ce qu'elle t'as offert, ce magnifique poisson ?
-Pour me remercier du petit-déjeuner, que je lui ai offert à elle, et à presque tout le monde, même le cuisinier. Riais-je, gentiment.
-Heureusement, que mon père ne le sait pas.
Je souris, et réfléchissais :
-Un nom fier...
-Pardon ?
-Il faut que je lui trouve un nom fier...
-Jason ? Plaisantait Tom, et je riais à cette blague.
Je réfléchissais encore un peu, et trouva, en m'exclamant :
-Malfoy ! M'exclamais-je, en regardant Tom, gentiment. Mon beau, toi tu t'appelleras Malfoy ! Disais-je, en me retournant vers le poisson.
-C'est vrai que pour un nom fier, tu as très bien trouvée. Je n'y avais même pas pensé.
Je prenais le bocal, et sortis de la salle de bain avec Tom.
Je posais le bocal de Malfoy, sur le rebord intérieur de la fenêtre qui, comme je l'avais précisée, était très épais, et grand.
Je donnais à manger à Malfoy.
Lily avait pensée à tout.
Quelqu'un toquait à ma porte.
-Si cette personne se prénomme Malton, autre que Tom, qu'il n'entre pas ! M'exclamais-je.
-C'est Berty.
-Entrez !
Berty entrait, et ne comprit pas en voyant Tom, et un poisson.
-J'ai fais la paix avec Tom, je suis son amie maintenant. Et le poisson, c'est Lily qui me l'a offert, c'est un combattant s'appelant Malfoy. Expliquais-je, rapidement, en souriant.
Tom parut vexé de ma réponse.
-Oh, d'accord. Sourit-elle. Mademoiselle ! Dit-elle, horrifiée, en voyant mon visage. Qui a pu... ?
-Je vous laisse deviner.
-Il faut vite soigner cela !
-Mais non, Berty... Soufflais-je.
Elle me traînait jusqu'à mon lit, et m'ordonna de m'asseoir, comme une mère poule, puis alla chercher quelque chose.
Tom demandait, tristement :
-Pourquoi tu lui as dit que tu étais mon amie, et pas-
-Et pas ta « sœur » ?
-Oui... ?
-Parce que... Soufflais-je, en le regardant.
C'est complètement ridicule de dire cela, sachant que ce matin tu étais encore mon ennemi. Les gens jugeront cela trop rapide, ou qu'on prépare quelque chose.
-Nous n'avons fait la Paix, que depuis ce matin... ?
-Oui...
-Wow. Comment avons-nous pu devenir aussi proche, en quelques heures ?
-Je te sortirais bien l'expression « Les contraires s'attirent. », mais nous avons quelques points en communs. Riais-je, doucement.
-Tu habites dans une petite maison. J'habite dans un énorme manoir. Tu viens d'Irlande, je viens d'Angleterre... Souriait-il. Je crois que tu peux sortir l'expression. Plaisantait-il, en me faisant un clin d'oeil.
-Alors nous sommes devenus si proches en quelques heures, parce que les contraires s'attirent. Riais-je.
Tom me souriait et vint me prendre dans ses bras, puis Berty revint.
-Cela risque de piquer un peu, Mademoiselle.
-J'ai eu l'habitude.
Elle me désinfectait.
-Bordel, cela pique !
Tom rit, et me sourit.
-Tu es une battante, ce n'est pas de l'alcool qui va te mettre K.O, si ? Questionnait Tom.
Je lui répondis par un petit sourire, et je tirais la langue, ce qu'il me rendit.
Berty m'étalait de la pommade, sur tout mon visage.
-Berty... Râlais-je. Il ne m'a pas frappée, de l'autre côté.
-Non mais, il vous a mit une claque, hier soir. Et c'était encore, un peu rouge.
-Je... je ne vous l'avait pas dit ! Comment l'avez-vous, su ?
-Cela se voit, Mademoiselle... et vous ne vous êtes pas infligée cette claque toute seule.
-Pourquoi il t'as mit une claque ? Demandait Tom, en fronçant les sourcils.
-Tu te poses réellement la question ? C'est parce que je l'ai contrarié, dans la salle à manger.
-Ce n'est pas une raison pour te mettre une claque !
-Ne t'en fais pas Tom. Je vais bien.
Berty finissait de me soigner.
-Voulez-vous que je vous maquille ?
-Pourquoi donc... ?
-C'est-à-dire que, le cuisinier et ses apprentis veulent vous inviter à dîner, pour vous remercier du petit-déjeuner de ce matin.
-Ah oui ?
-Oui, il a préparé le dîner pour les Malton directement après ce matin, comme cela, il pouvait embauché un remplaçant, et d'autres apprentis qui s'occuperait du dîner de ce soir, pour la famille Malton. Lily et Rose y seront, et moi aussi.
C'est en dehors du manoir. À vrai dire, c'est dans l'ancien restaurant du cuisinier, et... c'est assez, classique, voire, luxueux. Riait-elle.
-Attendez quoi ? Elle va au restaurant pendant que je pataugerais dans mon assiette, en dînant avec mes parents qui ne se parlent jamais ?
-Essayes de t'en enfuir à un moment, ou à un autre. Plaisantais-je, pas sérieuse.
Il me sourit.
-Alors, oui Berty je veux bien que vous me maquillez, mais vous n'allez pas pouvoir vous préparez...
-Ne vous en faites pas, j'appelle du renfort.
Du renfort ?
Dix minutes après, je vis une vingtaine de femmes qui travaillaient ici.
Oh mon dieu...
-Allez vas-t'en toi, ouste ! Dit Berty, en chassant Tom.
-Hey ! Boudait-il.
-On se revoit bientôt, ne fais pas ton enfant. Riais-je.
-Vraiment ?
-Vraiment.
Puis il sortit en hochant la tête, perdu dans ses pensées.
Berty ferma les cadenas de ma porte.
Une femme de ménage donna à manger à Malfoy, mon poisson, je... préciserais toujours.
Je n'avais pas aperçue Lily et Rose, jusqu'à maintenant.
-Bouh ! S'exclamèrent Lily et Rose.
-Ah ! Criais-je, surprise.
Elles rirent, et je leur souris gentiment.
-Vous devriez aller vous préparez. Ordonnais-je.
-Les femmes qu'ont as appelées sont là pour cela, elles vont nous préparer Toi, Moi, Berty, et Rose. M'expliquait Lily, en me souriant.
-Oh ! M'exclamais-je, heureuse et soulagée, qu'elles puissent se préparer.
Berty me lançait dans la douche, et j'en sortis aussi rapidement en sous-vêtements, assez honteuse.
-Tu n'as pas du tout à être complexée de ton corps. Tu es ravissante. Souriait Berty. Hein les filles, qui voudraient le même corps ?
Toutes les filles qui étaient dans la pièce crièrent des «Moi ! Elle est magnifique ! Elle est sublime ! »
J'en avais versé ma larme.
Même si cela était, très, embarrassant.
Toute ma vie, on m'avait insulté d'énorme fille, de grosse, tout cela n'était que mensonge... ?
Et les robes volèrent, les maquillages voltigèrent de partout, les élastiques à cheveux sautèrent, et les chaussures volèrent elles, aussi.
Tout le monde avaient finis au bout de deux heures, et merci beaucoup, il y avait des femmes de ménages pour nettoyer tous les mascaras qui avaient saupoudrés le sol, et le vernis de même, car il y a eu des petites casses, entre temps.
Ont m'avaient enfermées dans la salle de bain et enlever le miroir, pour que je ne me vois pas, et que personne ne me voit.
J'avais même les yeux bandés, si vous voulez savoir.
NDA : Je n'aime pas trop utiliser Polyvore, mais je me sentais obligée de vous montrez un exemple de la tenue de la fille mystère !
Quelqu'un vint me chercher quelques minutes après.
-...Tu es magnifique... Me complimenta Scarlett, celle qui avait gérée les préparatifs, de Lily, Berty, Rose, et Moi.
-Je t'en serais éternellement reconnaissante, d'avoir rendue la vie de Lily, Berty, et Rose, plus amusante, avec ses deux heures.
-C'était un plaisir !
-Je ne vois rien, où sont les autres ?
-Je t'emmène en bas, tout le monde t'attend.
-Attends... tout le monde... ?
-Toutes les femmes de ménage, oui, et Lily, Berty, et Rose, qui sont ravissantes.
-Où est Tom ? M'inquiétais-je.
-Avec sa mère en bas, comme on sait que vous êtes très proches, comme des frères et sœurs désormais... alors ont lui a bandés les yeux, à lui aussi. Rit-elle. Lily, Berty et Rose ont aussi un bandeau.
-Comment savez-vous que je suis proche avec Tom à ce point ?
-Berty n'est pas dupe. Vous savez, personne ne critiquera votre relation même, si, j'ai entendue qu'entre vous c'était la guerre, il n'y a pas si longtemps. C'est vos vies, pas les nôtres. Alors, n'essayez pas de vous cachez, pour être amis.
-Je... Merci beaucoup. Souriais-je, plus qu'heureuse.
-Je vous en prie.
Je réfléchis un instant et pris la parole, inquiète :
-Ne me dites pas qu'il y a Monsieur Malton. Par pitié.
-Non, il ne vient jamais à cette heure-ci, ou alors prions pour qu'il ait du retard dans son travail...
Je soufflais,
et Scarlett me demandait :
-Prête ?
-Prête. Disais-je, en soufflant un bon coup, stressée.
Elle prit mon bras et je l'a suivis du mieux que je pus.
J'entendis plusieurs femmes dont je reconnaissais la voix qui criaient.
« On veut voir ... ! »
Je ricanais, elles sont toutes adorables avec moi.
Sauf que, je ne suis personne...
-1...2... 3. Comptait Scarlett, pour me dire quand, exactement, j'allais arriver aux escaliers.
Elle enleva mon bandeau, et Lily, Berty et Rose avaient toujours les yeux bandés, mais elles étaient magnifiques.
Merci mon dieu, pas de Monsieur Malton à l'horizon.
Toutes les femmes criaient des compliments.
Pour une fois, personne ne me criait dessus, pour m'insulter.
Je descendais lentement, je ne voulais surtout pas tomber avec cette énorme robe.
Elle a l'air magnifique.
Et là, je vis la personne qu'il ne fallait pas que je vois.
Monsieur Malton.
Il ne comprenait strictement rien à ce qu'il se passait, mais il ne disait rien.
La jeune fille ne savait pas à quel point elle était magnifique du haut de ses quatorze ans...
Elle ne savait pas que pour Jason Malton, le temps s'était arrêté une demi-seconde, et qu'il l'admirait.
Il haït cette petite sotte, mais... mon dieu, qu'est-ce qu'elle est éblouissante.
L'homme était perdu.
Il s'insulta mentalement pour l'a regarder ainsi, et penser qu'elle est magnifique.
Mais il resta tapi dans l'ombre pour l'observer plus longtemps, et pour comprendre ce qu'il se passait dans son manoir.
On me remit mon bandeau, car j'avais vue quatre miroirs pour Lily, Berty, Rose, et Moi.
Scarlett m'avançait vers un miroir, ainsi que les trois autres filles.
-Vous pouvez enlever votre bandeau. Murmurait Scarlett, à nous quatre.
J'enlevais mon bandeau, et... une larme roula sur ma joue.
Je m'approchais un peu plus du miroir pour me détailler, et quand Lily me vit, elle restait éblouie.
-Vous êtes magnifiques. Complimentais-je, en souriant, gentiment.
-C'est vous qui êtes magnifique, oui ! S'exclamait Berty, en plaisantant.
-Berty a raison. Souriait Rose.
-Plus que raison. Sourit Lily, tendrement.
Lily avait une robe longue, et en dentelle verte qui allait parfaitement avec ses yeux bleus, et ses cheveux roux.
Et ma très chère Berty, portait une robe bleue marine se mariant avec ses yeux marrons foncés et ses cheveux marrons foncés, voire, noirs.
Rose avait une robe longue en coton de couleur corail, qui allait parfaitement avec ses yeux marrons clairs et ses cheveux de la même couleur, que ses yeux.
Quant à moi, je portais une longue robe rouge foncé mais pas trop, avec une fine ceinture argenté entourant ma taille.
Cette robe avait des bretelles rouges, et des manches en soie transparente, mais avec des brins de tissus rouges aussi.
Sans oublier, l'énorme jupon de cette robe rouge, qui était pleins de tissus de même couleur.
Il y'avait comme des bois de cerfs, rouges, mais les bois étant des perles rouges à la place, et le bandeau étant décorés de fausses roses rouges, tout autour, tenant sur ma tête, mais ce n'était pas ridicule !
Sans oublier les chaussures à talon, en dentelles noires !
Le maquillage rouge arborait finement, et naturellement mes yeux, ainsi qu'un rouge à lèvre noires, arborant, lui, mes lèvres.
J'avais du vernis noir sur les ongles de mes mains, ainsi que du rouge, sur les ongles de mes pieds.
Et pour finir, mes cheveux étaient coiffés en une longue et épaisse tresse coiffée, décoiffée, un bandeau en couronne de feuilles argentées, décorant la tresse.
Je souriais et cherchais Tom dans la foule, je le trouva avec sa mère.
-Vous êtes ravissante. Me complimenta Helen.
-Merci beaucoup, Madame Malton. Souriais-je, poliment.
-Elle est là ? S'impatientait Tom.
-Doucement, Tom Malton. Dis-je, en le taquinant.
-Enlève moi ce bandeau. Ordonnait-il, impatient.
Je riais, et enlevais son bandeau, en me cachant derrière lui.
Il s'agitait dans tous les sens.
-Où est-elle ?!
-Hm. Hm. Toussais-je.
Il se retourna, et j'eus peur qu'il tombe à cause du regard, qu'il me lançait.
-Tu es... magnifique, éblouissante, superbe, belle, incroyable, époustouflante... parfaite ? Dit-il, en me faisant tourner sur moi-même, pour mieux me détailler.
-Merci beaucoup ? Hésitais-je.
Il me regarda, et je lui dis, tendrement :
-Tom, au sujet de notre conversation de toute à l'heure, je ne veux pas cacher notre amitié.
Il me prit dans ses bras tendrement, et me dit à l'oreille, de sa voix normal :
-De la haine à l'amour, il n'y a qu'un pas c'est ça ?
-Oui...?
-Je pense ne jamais avoir dit ça dans toute ma vie, et je le réservais pour... tu sais qui. Mais... Je t'aime, ma sœur.
-Je t'aime aussi Tom. Souriais-je, une larme coulant sur ma joue.
Il me serra contre lui, et se retira.
-Je suis le seul homme sur cette Terre a pouvoir serrer, une si gentille et jolie fille, dans mes bras, et à l'a complimenter comme cela, avec Matthew. Alors je m'en vante. Et si un seul homme porte la main sur toi à cette soirée, il en perdra la tête, je te le promets. Riait-il, malicieusement.
Et à ce moment-même, quelqu'un partit en furie, de cette salle, en entendant leur conversation, allant tout détruire, dans son bureau.
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Re Bonjour ou Bonsoir tout le monde !
Comment allez-vous ?
Comme j'ai 26 commentaires sur l'autre chapitre ( Chapitre 41 ! 10 ! 😊 ) , je poste !
Et je suis revenue à l'hôtel pour aller à la voiture, pour partir à Florence, donc j'ai du réseau pour quelques minutes !
Je veux 20 commentaires sur ce Chapitre, s'il vous plaît ! 😂
Bonne journée ou bonne soirée à toutes !
x.
LeaDream
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