J'ouvris les yeux.
J'ouvris les yeux.
Tout n'était que sombre et clair,
Mais aussi nette et flou à la fois.
Les couleurs étaient entre le pâle et le vif
Je reconnu tout de même l'endroit
Bon sang, pourquoi j'étais là ?
Me trouvant dans ce couloir gris,
Devant cette porte rouge bordeaux au numéro "508".
Ma classe était là, sans l'être,
A coté de cette ouverture fermée
Attendant d'entrée dans la salle.
Aussi étrange qu'il soit,
Je n'entendais rien.
C'était un pure magnifique silence.
Finalement, j'entrai
Tout semblait à la fois dans l'ordre et dans le désordre.
Les tables disparaissaient et réapparaissaient.
Les chaises laissaient place à des bancs quelques fois.
D'un seul coup, mon cœur loupa un battement.
Ma respiration se coupa.
Mon corps se figea.
Mes pupilles se bloquèrent sur tes iris marron.
Tu étais la !
Immobile, droit debout au milieu de la salle.
Les mains dans les poches d'un jean noir.
Le sourire au lèvres de ton visage.
Je ne saurais si j'avais laissé apparaître mon propre sourire.
Mais une chose était sur,
Mon cœur se remplissait de bonheur et d'une douce chaleur.
L'idée d'accourir vers toi était le seule mouvement que je voulu faire.
Malheureusement, mes membres ne pouvaient bouger,
Comme si je fus attacher par des chaines.
Alors je tentai de te parler.
Le son de ma voie ne vint jamais à toi.
Alors nous nous regardons ainsi sans geste.
Sans que l'un et l'autre bouge.
Tu semblais à l'aise dans cette chemise bleu clair,
Où les manches étaient retrousser au niveaux de tes coudes.
Pourtant, tu détestait ce genre de vêtement.
Tu étais magnifique, splendide, éblouissant !
Je regardais chaque détail de ton apparence.
Tu avais toujours les cheveux marron aussi magnifique.
Mon cœur battait tellement fort,
Que je croyais qu'il allait briser ma cache thoracique.
Soudainement, tu t'assis sur une chaise.
D'un signe de main, tu m'invitas.
Je pus enfin bouger et m'asseoir à coté de toi.
Nous nous remettons à nous regarder dans les yeux.
Sans se parler, sans se toucher
Ne serait-ce qu'un mot.
Ne serait-ce tenir la main.
Silencieusement, des larmes se mirent à couler.
Mon âme commença à avoir mal.
Mon être entier refusait de bouger,
Par peur que tu disparaisse.
Je ne voulais pas que tu parte.
C'est alors que j'entendis ta belle voie.
"Pourquoi tu pleures ?"
M'as-tu dit, je te répondis,
"Parce que ce n'est qu'un rêve."
J'ouvris les yeux.
Encore un peu endormi,
Mes yeux fouillèrent la chambre du regard.
Espérant, te trouver mais il y avait que du noir.
Alors je me mis prononcer ton nom.
Ce fut que le silence qui me répondit.
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