n a t h a n i e l.
NathanielFritz : « J'ai rêvé de nous hier soir, maintenant tu es mort. »
(( FRITZ NATHANIEL. ))
25 ANS â CHASSEUR POUR L'ÃGLISE.
ORIGINAIRE D'ALLEMAGNE.
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PARFUM doux qui le suit, mélange tendre de vanille et de fleurs hivernales. Jamais bien trop entêtant mais toujours présent. La force de ses remparts repose sur une langue acérée et un cÅur complètement détaché de ceux qui l'entoure. Ãgoïste à souhait, désintéressé du malheur des autres, il vous le dira et redira, il n'est pas celui qui viendra vous sauver juste par altruisme. Il faudra vraiment être proche de lui pour que son cul s'active sans arrière-pensées. Le sourire de l'enfant malicieux aux lèvres, il est le beau serpent caché derrière les broussailles qui, en attendant sagement, l'air fourbe, le moment opportun de sauter sur sa proie et dieu seul sait combien son venin est néfaste. Il est le garçon qui se plonge dans la pénombre. Celui qui vous saute dessus, s'agrippe et ne vous lâche que lorsque l'envie lui vient, NATHANIEL est sans doute le démon de ces vies, celui qui entre et sort, laissant le chaos après une tempête. Une certaine noirceur au fin fond de son coeur, alimenté d'une rancÅur, il use plusieurs de ses coups bas et fourberies pour parvenir à ses fins. Très loin de la pureté, il se laisse parfois tomber dans des draps qui ne sont siens - et pourtant, malgré l'obscurité de son coeur, son âme, elle, reste pure, ou presque.
Que dit-il ? Lorsque curieusement, on lui demande quel est son métier ? Répondra t-il alors d'un rire, franc, son regard flottera contre le votre et il dira : « Je chasse. » Qu'il soit enclin à vous en dire plus, à vous murmurer à l'oreille qu'il s'agit de démons, créatures mystiques, qui le prendrait au sérieux ? Vous répondrez « Vous êtes fou. » et il acquiescera.
De la, il prendra un plaisir silencieux à se moquer de vous et de votre ignorance. L'église ne l'aime pas comme lui n'aime pas l'église et pourtant, le boulot reste le boulot. Il acceptera une affaire sans broncher, la refusera s'il la juge trop inutile.
« Il faut exterminer ce sac à merde, une balle ne suffira pas. Si tu vides le chargeur, Dieu te pardonneras. »
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