-Chut ne dis rien, sa va passer, sa ira mieux si tu te t'enferme dans le silence. Crois moi. C'est pour ton bien. Il ne penser pas à ces actes. Ce n'étais pas volontaire. Il te demandera pardon qu'on il aura compris, je te promet. Fait moi confiance, je suis ta seule et véritable  amie. Les autres cherchent simplement à t'enfoncée.

Me disait cette voix dans ma tête. Je pensais jamais qu'elle me détruirais intérieurement à m'en rendre malade comme sa. Maman pardon de ne jamais mettre confier à toi j'avais trop peur que tu me regarde comme tu l'as fait quand tu as su pour ma décadence il y a si longtemps. Papa, sèche tes larmes, je voulais pas, je te promet, tu est la prunelle de ms yeux, je t'en prie, calme toi sa va aller, fait moi confiance . Si je ne vous ai jamais rien dit c'était pour vous protéger et simplement pour vous protéger rien d'autre.
J'irais décrocher chacune des étoiles pour ma famille mais croyais moi, je n'ai jamais voulus tous sa. Jamais que sa aille aussi loin.
Oui papa je suis parti dans votre dos, je vls pas vous inquiétez, je voulais juste que tout s'arrange tout en vous protègent.
Prendre le train, avec mes tunes, attendre et partir au schmit. Puis tu m'as appeler, paniquer et inquiète comme un père qui s'inquiète pour sa cher. Quand je t'ai dis ou j'étais tu as tout de suite pris le volant pour venir me consoler et m'aider.
Devant le commissariat, tu étais la avec maman et mon ami pour me soutenir. J'étais déjà en larme avant même de pousser cette porte, la porte derrière la quelle la vérité aller être dévoiler. J'ai regarder mon ami, il ma fait signe d'y aller, y s'avait lire dans mes yeux tout ce que les autres en était incapable. Et puis nous sommes rentrer. Un policier ma prise en charge, il m'a écouté et à tout pris en note.
-Mois d'octobre, il était 22h50 environ, nous étions seul les autres était partie, il m'as attraper par les bras, à commencer par me forcer à l'embrasser, j'ai tenter de le repoussé mais en vain. Il a commencer à me toucher les partie intime et quand il a vu que je ne me laisser pas faire il a commencer à s'énerver à me mettre un coup de coude et de point dans la poitrine et puis à ce moment là j'ai réussi à le repousser et à partir en courant.
(c'était la fin d'une adolescence normal et le début d'un long combat)

Puis tu est rentrer papa, le policier m'a dit de recommencer et tu as écouter, toi qui en savais si peu de ce qui c'était passée mtn tu sais tout. Puis maman et mon ami sont rentrer et nous avons parler tous ensemble. J'étais paniquée, je regarder vos réaction à chacun et puis c'est là que j'ai compris que sa aller etre le pire passage de ma vie et qu'il allait être dur et long. Mon ami m'a pris la mains et ma certifier que sa allait bien ce passer. Après avoir déposer cette plainte nous sommes sortie, je suis partie avec mon ami et vous, vous êtes partie de votre côté, direction le lycee pour vous et moi je suis partie chez mon ami pour parler un peu. Il étais si fière de moi mais j'ai si peur aujourd'hui autant qu'hier et que demain. Aujourd'hui j'ai su parler. 9mois. Il m'aura fallut 9mois avant d'y arriver. 9mois de long silence. De souffrance jamais dévoiler. 9mois de renfermement. 9 long mois...

Aujourd'hui, je pleure encore certaines nuit, j'en fais des cauchemars chaque nuit. J'y pense à longueur de temps. Mais je me dis que sa va passer, qu'on va s'en sortir tous ensemble. Mains dans la mains. Je ferme les yeux, les cacher font effet, je m'endors songeuse. Une nuit de plus avec les larmes au yeux, encore une nuit sans issu. Une nuit de plus ou je laisse mon sors entre les mains des cachets et de Morphée.

#Butterfly

Voici mon histoire, ce qui pourrais être considérer comme une tentative de viole.