0.7.9 Chapitre 9 #IAmLost
Je leur fait la bise. Je m'asseois à côté de Perrie. On est devenue encore plus proche qu'avant. Le fait qu'elle est enceinte et que je l'aide nous a rapproché. Je la soutient dans cette épreuve. L'avion décolle et nous voilà partie pour plusieurs mois.
*Ellipse des plusieurs mois de tournée*
Perrie va bientôt accouché. Les menaces de "Anonymous" n'ont pas cessé. J'ai reçues des papier avec inscrit dessus "Ce n'est pas parce que tu es partie que je en vais rien te faire", "Je ne suis pas si loin", "Quand tu reviendras attend-toi a tout", "Même a distance, je peux te détruire", "Continue a avoir peur, je peux attaquer a tout moment", "Ta souffrance me rempli de bonheur, continue de souffrir", "Souris la vie, oui sauf la tienne", "Je ne te lacherais jamais", "Tu ne seras jamais en sécurité, nul part", "J'attend avec plaisir, le jour où tu mourras", "Ta mort, tu l'a mérites", "N'oublie jamais, je suis partout", "Je te suis partout où tu vas", "Je sais le moindre de tes mouvements", "La paix, tu ne la trouveras jamais et encore moins la liberté", "Je suis partout", "Arrête de sourire, c'est pas bien de mentir", "Tu as mal au ventre? Tant mieux tu mérites pire" et tout des phrases dans le même registre. J'ai toujours mal au ventre. J'ai été chez le médecin qui m'a dit d'aller chez mon gynécologue qui bien sûr se trouve en France. Je vais donc en France parce que aujourd"hui j'ai rendez-vous avec lui pour un examen dont je n'ai pas trop envie. J'ai interdit aux filles surtout à Perrie de m'accompagner, je préfère être seule. J'arrive à Paris, j'ai pris le train. Je sors du train avec ma petite valise ocntenant quelque vêtements. Je passe les contrôles et me dirige directement vers mon hôtel. Je prends les clé que la recptionniste m'a donné après avoir dit qui j'étais. Je prends l'ascenseur, j'entred ans ma chabre et y dépose ma valise. Je sors directement de l'hôtel. Ja marche dans les rues de Paris comme autre fois. Dans souvenirs refont surface dans mon esprit. Je retiens les larmes et entre dans le parc. Dans le parc, j'entre dans la fôret et me rend jusqu'a mon endroit. Il y fait si fraît, c'est si paisible. Je m'y sens tellement bien. Le problème c'est qu'on est plus en été et que l'hiver est dans plus d'un mois. Perrie doit accoucher en novembre et demain on est le 1er novembre. Elle doit accoucher le 15 novembre donc ca va encore, je serais rentrer a temps. Ce lieu est si paisble, il calme mon âme en quelque seconde. La vie y parait si facile. Ce lieu semble si loin du monde, si loin du mal mais qui en faite est si proche. Je m'asseois sur le tronc d'arbre. Je fixe l'eau ruisselante du ruisseau avec quelque petits poissons nageant dedans complétement libre avec juste la peur d'un prédateur. Je suis un peu comme eux. Faible, impuissante, menacé par un prédateur, jamais en sécurité, demandeuse de liberté comme eux. Je suis faux-cul avec moi, je me dits que je vais bien mais c'est le contraire. Je me ments a moi même. Je dits que je vais bien aux autres, que je vais bien aus autres mais c'ets tout le contraire au fond je vais bien, j'ai mal, très mal mais je le cache et montre mon plus beau sourire. C'est pas bien de mentir mais combien de fois on a déjà sourit alors qu'on allait pas bien? Le nombre de fois qu'on a pleuré seule après une journée de larme retenue. Je me suis habitué a dire que je vais bien mais je ne vais pas bien. Je vais encore moins bien depuis que Harry a essayé de m'embrasser avant que je sorte de sa voiture. Je n'en peux plus de ne pas pouvoir le voir. Je croyais que ca allait être facile c'est totu le contraire, plus le temps passe plus je souffre. Je croyais que j'aurais su faire sans lui mais c'est de plus en plus difficile. Cet endroit m'apaise et me permet de me remettre en question, de faire le vide dans ma tête, de faire le tri entre ce que je sais et ce dont je n'ai pas de réponses. J'ai encore beaucoup de question sans réponses, encore beaucoup d'incertitudes dans ma vie. Je suis au bord du précipice. Marie ne m'aurait jamais aller si loin dans ma perte, elle m'aurait relevé mais elle n'est plus là pour le faire. Ca fait plusieurs mois qu'elle est partie dans le monde du dessus. C'est toujours dure de parler d'elle au passé. Je me sens si nule. Je me sens si faible. Je me sens si inutile. Je me sens si impuissante. La puissance est un sentiment que l'humain a besoin d'avoir et sa plus grande peur c'est de sentir l'impuissance. L'impuisse est un sentiment qu'on n'accepte pas de sentir, on ne peut pas assumer qu'on soit impuissant parce qu'on a besoin de se sentir puissant et meilleur que tout. On a besoin d'être le plus puissant. Le précipe s'approche de moi et un jour je tomberais dedans. Je ne serais plus de ce monde. Le trio de meilleures amies inséparables serotn toutes les trois dans le ciel à protéger ceux qu'elles aiment. La nature a encore plus d'effets sur moi que la dernière fois, peut-être que c'est parce que je vais encore moisn bien. Je n'ai toujours pas fait le deuil de Marie ni le redeuil de Leila. J'ai peur de ce que va me dire mon gynécologue. Je suis a mon endroit favoris sur terre où je suis sûr que personne ne viendra me dérangé. Je me levais, il était temps que j'aille chez le gynécologue. J'entre dans l'établissement du gynécologue et m'asseoisd dans la salle d'attende. J'y attend quelque minutes et puis le gynécologue me prends. Il m'examine. C'est assez gênant chez le gynécologue. Je n'aime pas ça. Je n'aime pas m'exposer à poil devant un homme qui n'est pas mon copain et que ne le sera jamais qui doit examiner mes entrailles. Je ne supporte pas ça mais je me dits que je ne suis pas la seule. Je ne lui ais pas dits que j'étais Amélie Barnid pour lui c'est la première fois qu'il m'examine alors que pour moi non surtout que j'ai déjà été enceinte mais j'ai préférée avorter.
*Flash-back*
Je sors en larme de chez le gynécologue avec Marie qui me soutient. Je suis enceinte de mon ex. Elle ne veut pas que je le garde. Je ne veux pas non plus, je suis trop jeune pour ça. Je ne veux pas garder un enfant de lui en plus. Je sors du cabinet et après demain je vais devoir revenir pour avorter. Le sur lendemain j'ai avorter. Je n'ai rien dit à mon ex. Je ne pouvais pas le revoir. Marie était là et m'a aider à me relever. Si j'avais su que la veille où j'ai appris que j'étais enceinte, elle avait avorter elle aussi de son ex petit ami qui l'a violait. J'aurais pu la sauver mais je ne lui ais rien demander. Je sais qu'elle n'allait pas bien mais je ne lui demandait jamais pourquoi. J'avais peur de la blessé. Je n'osait pas lui demander. J'avais peur de sa réponse. Je pense qu'elle savait que j'avais peur de ça.
*Fin du flash-back*
Je suis sur cette table avec mon gynécologue que je connais mais pour qui je suis une inconnue. Il m'examine et me dit de me rabillé. Je me rabille en vitesse. Je m'asseois à la chaise en face du bureau. Il note plusieurs choses sur des feuilles. Puis relève la tête et me regarde avec un air super sérieux qui rivalise avec ceux des professeurs.
-Tu as un petit copain...? me demanda-t-il
-Euh...non...pourquoi...?
-Tu est enceinte...comment tu as faites...?
-J'ai du être bourré a une soirée et j'ai du oublier...
-D'accord vous le voulez...?
-Pourquoi...?
-Parce que vous ne pouvez plus avorter...vous êtes a 4 mois presque et demi...
-Ah...
-Vous êtes d'ici..?
-Non d'Angletterre. Je prends des vacances ici... mentis-je, de toute façon c'est tout ce que j'ai a faire.
-D'accord...vous avez un gynécologue là-bas...?
-A Wolverhampton d'où je viens mais pas à Londres la où je vis maintenant..
-D'accord, je vais vous conseillez une personne à Londres...
-C'est qui...?
-C'est le gynécologue de Perrie Edwards...
-Ah...d'accord...je lui demanderais...
-Pourquoi...?
-Parce que je suis sa styliste...vous ne m'avez pas reconnue...?
-Non
-Ah...d'accord
-Je peux avoir un autographe...?
-Oui...
Il me tend une feuille et un bic, je lui signe un autographe. Je sors de son cabinet après un léger aurevoir. Je sors dans Paris. Je cours jusqu'au parc. Je retourne à l'endroit où je vais d'habitude. Je cries un bon coup. Je repars dans l'autre sens pour prendre mon train et retourner à Londres. Durant le trajet du train jusqu'à la maison des filles, des filles me demandaient des photos et des autographes et certaines me disaient aussi que je suis belle, que je suis un exemple pour elle, qu'elle m'adore, que je fais du bon boulot, qu'elle adore mon goût pour la mode. Je les remerciais à chaque fois. J'arrive à la maison des filles. Jeleur dit que je suis rentré. Elles me sautent dessus.
-Alors? Alors? Alors? me demanda Perrie
-Alors quoi?
-Que t'a dit ton gynécologue?!? me dit Perrie encore une fois avant de se calmer pour que je réponde.
-Je dois aller voir le tien...
-Et..? Pourquoi...?
-Parce que j'étais dans la rue, je me suis faite violée et je suis enceinte de mon violeur.
J'avais dit ça avec tellement de froideur que je ne savais même plus si c'était moi qui avais bien dit ça. C'était tellement froid que sa en était blessant.
-Tu-tu t'es faite violée...
-Oui.
Je l'ai encore dit sur un ton froid. Si je continues comme ça elle va pleurer. En faite c'est déjà fait, elle pleure maintenant par ma faute.
-Tu ne peux pas avorter...? me demanda doucement Jade pour que j'évite d'être froide avec elle.
-Non je suis presque à 4 mois et demi...
-Ah...d'accord...
-Désolé Perrie...je ne me suis pas reconnue avec le ton sur lequel je t'ai parler...ne m'en veux pas...mais je suis un peu sur les nerfs avec ça...surtout que pendant tout ce temps j'avais encore mes règles...je ne voulais pas te blesser...
Elle se réfugia dans mes bras. Je la serre fort dans mes bras. Je pleure avec elle.
-Je ne t'en veux pas...je te comprends...moi aussi j'ai été comme ça quand je l'ai apprise...tu peux demander aux filles...je l'ais toutes remballées comme des merdes...surtout que je l'ai appris le jour où Zayn rompu avec moi...je te comprends....ne t'inquiète pas...
-Merci...mais il faudrait peut-être pas se desserer un peu parce que nos enfants doivent être un comprésé surtout le tien...
-Ah...oui... me dit-elle en s'éloigant de moi et en séchant ses larmes d'un revers de manches.
-Je peux te demander quelque chose...? lui dis-je
-Oui...
-Quand tu l'as appris tu voulais avorter réellement...?
-Non. Non je ne voulais pas, je voulais le garder. Ca m'arrangeait en quelque sorte que je puisse plus avorter.
-Je te comprends...je ne veux pas avorter non plus alors que je n'avais rien demandé a ces gens là et qu'ils m'ont violée mais je ne veux pas non plus avorter...je ne sais pas pourquoi je devrais mais non peut-être que j'ai envie d'avoir un enfant...
-Moi aussi... me dit-elle en me regardant pour la première fois dans les yeux depuis que j'ai été froide avec elle.
On se fait un calîn et puis un calîn groupé avec les autres filles. Nous nous mettons devant la télévision avec du pop-corn. Je m'affalle sur le divan, Perrie a tout le canapé pour elel toute seule puisqu'elle va bientôt accouché et Jade, Jesy et Leight-Anne se sers sur l'autre canapé. Notre après-midi ce passe comme ça à rigoler, à se raconter nos vies, notre enfance, notre adolescence, nos délires, nos galères, nos fous rires. Ce fut un moment merveilleux. A un moment je m'éloignais pour prendre un rendez-vous chez le gynécologue de Perrie qui est en faite une gynécologue. J'ai un rendez-vous la semaine prochaine. On mange le repas du soir et rigolons autour d'un chocolat chaud sur la terrasse de la chambre de Perrie. Il est tard et on part ce coucher. J'aide Perrie à se coucher sur son lit et m'apprête a partir quand on me tiens le bras. Je me retourna et vit Perrie me faire des yeux de chien battues.
-Tu veux bien dormir avec moi s'il te plaît...? me demanda-t-elle toujours son air de chien battue plaqué sur son visage et qui laisse après apparaitre un magnifique sourire.
-Oui, je vais cherché mes affaires et je te rejoinds.
Je sors de sa cahmbre et entre dans la mienne. Mon chat qui est venue habiter avec moi chez les filles est allongé sur mon lit. Je me mets en pyjama et rejoinds Perrie. Je m'allonge à côtés d'elle et joue avec ses cheveux. Elle rigole a mes blagues. Je la détends, elle s'endors suivie par moi de très près. Je me réveille par des cris. Je tourne la tête et vois Perrie qui cries. L'aide a se relever et remarque qu'elle se tient le ventre. Les filles entrent affollées elles aussi par les cries de Perrie. Elle regarde Perrie et puis me regarde.
-Elle va accouché! crie Jade
-Je vais appeller une ambulance! cries Leight
-Leight non il est trop tard, il sera plus rapide de l'ammener en voiture nous même mais il faut les prévenir qu'elle va arriver.
-D'accord.
On entre dans la voiture toujours toutes les cinq en pyjama. Nous entrons dans l'hôpital qui avait prévu un brancard parce Leight les avait appeller dans la voiture. Quelques heures plus tard nous étions dans la chambre de Perrie ne compagnie de sa magnifique fille dont je suis la marraine. Née un 2 Novembre au lieu d'un 12 Novembre. Elle se prénomme Louisa. Un joli prénom pour une jolie fille. C'est Perrie qui a choisi le nom. Elle voulait savoir quel nom je voudrais que se prénomme son enfant. Je du lui dire des noms de garçons comme de filles parce qu'elle ne m'avait pas dit si c'était une fille ou un garçon. Comme prénom de fille j'avais dit Louise et elle le transforma en Louisa. Comme ma grand-mère. La grand-mère que j'ai du côté de ma mère s'appellait Louisa, elle morte d'un cancer des poumons quand j'avais 7 ans. Je n'ai plus aucun grand-parents du côtés de ma mère comme celui de mon père. Ils sont tous morts. J'ai pleuré a leur enterrement comme presque chaque petite fille qui perds un de ses grand-parents. Le premier fut le père de mon père quand j'avais 5 ans, crise cardiaque. La deuxième fut la mère de ma mère a mes 7 ans, cancer des poumons. La troisième fut la mère de mon père a mes 8 ans, tué par des adolescents qui voulaient de l'argent alors qu'elle n'en avait pas. Le dernier fut le père de ma mère a mes 9 ans, d'un cancer de l'estomac et du pancréas. Ils sont tous morts a la mauvaise époque de ma vie, l'enfance. Quand on est enfant on croit aux rêves, à la vie en rose, on est si naïf mais j'ai très vite perdue ma naïveté avec leur morts. J'ai très vite compris comment est le monde réel. J'aime bien le prénom Louise c'est comme un hommage a ma grand-mère. Si j'ai une fille, je pense que je vais l'appeller Louise. Perrie c'est endormie avec son petite fille sur elle. Les filles sont parties dormir à la maison me disant de rester pour Perrie. Je reste pour elle bien sûr, je ne vais plus jamais la laisser tomber parce que quand je suis partie c'est comme si je l'avais abandonner et quand je suis revenue c'est comme si je l'avais trahie en me faisant passer pour quelqu'un d'autre au près d'elle. Je ne vais plus jamais l'abandonner surtout dans un moment comme celui-ci. Le bébé se met à pleurer, je le prends dans mes bras et lui donne son biberon a boire. Perrie ne veux pas alletter. Je m'asseois sur le mini canapé qui est installer dans la chambre pour que les visiteurs puissent s'asseoir qui me sers plutôt de lit que de siège. Je prends un mini oreiller et une petite couverture pour bébé parce qu'elle c'est rendormie. Je m'allonge et l'installe sur mon ventre. Peut-être qu'elle sentira le bébé qui est dans mon ventre. Je m'allonge entièrement, pose ma tête sur ma veste qui me fait office de coussin. Je m'endors, rejoindre le pays des rêves. Le pays des rêves si innnocent, si rêveur, si parfait mais si iréelle.
Je me réveille. La mumière du jour me saute aux yeux. Je cligne des yeux pour m'habituer à la luminosité. Je regarde la petite qui dort toujours sur moi puis je regarde Perrie qui est réveillé et qui me regarde aussi. Elle pose son portable sur la table de chevet. Je me relève doucement pour ne pas réveillé la petite qui est si mignonne quand elle dort.
-Vous êtes si mignonne... me dit Perrie
-Ha...merci...
-J'ai pris des photos... me dit-elle avec un grand sourire plaqué sur les lèvres.
Je suis contente, elle sourit pour de vrai, ce n'est plus hypocrite. Je peux croire qu'elle va bien.
-...quoi..? demandais-je
-J'ai pris des photos...
-Oh..Non!
-Si, c'est trop mignon...Peut-être que je vais les mettre sur Twitter...
-Non! Je t'interdis!
-Ne t'inquiète pas c'était pour rire...ou pas...
-Oh non! S'il te plaît pas ça! Je t'en prie! Je t'en supplie!
-Tu ne sais même pas à quoi tu ressembles...
-Oui mais même non!
-Je vais les faire dévellopper et les mettre dans un album pour la petite...
-Oui c'est une meilleure idée...
-Je vais faire ça! dit-elle avec un grand sourire
-Ou sinon ça va?
-Oui très bien et toi?
-Oui super a par que j'ai mal au ventre...
-Elle te fait mal..
-Non pas ta fille mais l'enfant à l'intérieur de mon ventre oui...
-Ha...d'accord t'inquiète pas pour ça moi aussi j'ai eu mal aux ventre jusqu'a mes 5 mois...
-Sa me rassure...j'ai encore au moins un demi mois à souffrir...
Elle rigole a ma remarque. Elle est heureuse, heureuse pour de vraie, heureuse pour de vraie depuis si longtemps. Ca fait plaisir de la revoir comme ça après tout ce qu'elle a traversé. La petite se réveille et je la donne a sa maman. Elles sont si mignonnes toute les deux que je prends aussi de photos sauf que Perrie ne sait pas mais je peux moi aussi la faire marcher parce que moi aussi j'ai pris des photos d'elles entrain de dormir paissiblement avant que la petite se réveille. J'ai de quoi me protégermaintenant du fait qu'elle mettra sur Twitter ou autre. Je pourrais aussi les mettre dans l'album de la petite. Je remarque enfin que je suis toujours en pyjama. Je prends ma veste et dit aurevoir à Perrie pour aller acheter des cadeaux pour la petite et aussi pour retourner m'habiller. J'appelle Jade pour qu'elle vienne me chercher parce que prendre le bus en pyjama c'est pas trop ça. Elle vient à l'hôpital et reste avec Perrie et Louisa et offre quelque cadeaux à la petite en passant. Je fais des photos de ça et pars. Je sais conduire, j'ai eu mon permis quand je suis partie à l'étranger. Je l'ai passé dans un autre pays mais il est valide ici. Je n'ai pas encore de voiture mais une chose à la fois, c'est déjà ça que j'ai mon permis et je ne suis pas encore assez riche pour acheter une voiture enfin si mais pas la plus chère et je n'ai pas le temps pour ça et aussi ça ne m'intéresse pas encore. J'ai tout mon temps pour acheter une voiture, j'ai toute ma vie alors de toute façon vaut mieux tard que jamais. Je sors de la voiture et entre dans la maison, j'entre dans ma chambre et me change en vêtement de jour. Je mets mon pyjama au bac à linge pour le laver.
(Tenue Emilie: http://www.polyvore.com/tenue_37/set?id=117933301 )
Je pars direction les magasins pour bébé. Durant ma matinée et début d'après midi de shopping pour bébé, je rencontre quelque fan qui me demandent des autographes, photos et autres, je leur acoord avec plaisirs et retourne à mon shopping. Quand j'ai terminé mes achats, je retourne à la maison chercher quelque chose qui m'est très chère et qui ne s'achète pas en magasin. Je retourne à l'hôpital. J'entre dans la chambre et trouve Zayn tout seul a parler ou plutôt se dsputer avec Perrie. Perrie en larme qui crie avec la petite dans les bras. Je dépose tout mes sacs et tire Zayn par le bras vers l'extérieur de la chambre. Arrivé hords de la chambre avec beaucoup de complications parce qu'il s'agitait beaucoup je ferme la porte et le regarde droit dans les yeux avant de lui dire
-Range ta fierté. je le dis assez froidement, c'est directe.
-Quoi?!? dit-il encore enervé
-Déjà calme-toi et puis je t'explique puisque tu n'as pas l'air de comprendre..
Il se calme après 15 minutes et je reprends la parole.
-Tu es calmé maintenant?
-Oui, explique-moi s'il te plaît.
-Range cette fierté que tu as en toi...
-Je ne vois pas trop ce que tu veux dire par là...
-Tu l'aimes ca se voit a un point imaginable. Dis-lui et retourne avec elle. Elle est plus heureuse avec toi a ces côtés. Range cette fierté et va lui dire. Sa se voit que tu es mal tout aussi. Désolé mais moi je ne suis pas aveugle, je le vois. Mets ta dignité de côté et va lui dire, va la demander en mariage tant que tu y es. Mais s'il te plaît faits quelque chose. Dits-lui au lieu de rester les bras croisé a cause de ta fierté. Mets la pour une fois dans ta vie de côté. C'est pour elle. C'est pour toi. C'est pour vous. C'est pour Louisa. Je t'en prie faits pas de conneries et dits lui, embrasse-là si tu veux aussi. Ta fierté et ta dignité ne te sevrent a rien pour cette histoire a par vous détruire tout les deux. Faits-le c'est tout ce que tu peux faire.
-Pourquoi ce n'est pas à elle de m'appeller?
-Parce qu'elle aussi, elle ne le fait pas par fierté. Sa la détruit aussi mais sa fierté l'en empêche encore plus. Elle hésite chaque soir, chaque seconde a t'appeller. Mais au dernier moment sa fierté prend le dessus. Fait-le. Elle vient d'accoucher de votre enfant et tu dois être là pour elle et pour Louisa. Ta dignité ne te sers a rien alors envois là valsé juste le temps de lui dire que tu l'aime comme un fou, plus que l'infine et autre. Reconquérit-la.
-Pourquoi tu es la seule à me comprendre...? me dit-il en sautant dans mes bras et en pleurant ce qui manque de me faire tomber.
-Je ne sais pas...mais faits le...fait tout pour la reconquérire...J'en ai assez de la voir sourire pour de faux ou avec une partie de faux parce que tu es la dernière partie qui manque a son sourire pour être tout a fait vrai et parfait...
-Merci...mais non
-Quoi mais non?!?
-Je ne vais pas lui dire. Je suis avec Jennifer maintenant. Tu lui diras que j'aimerais comme même voir de temps en temps notre fille. Qu'elle ne la garde pas pour elle. Ne lui dit pas qu'elle me manque et que je l'aime toujours s'il te plaît. Je ne veux pas qu'elle le sache pour qu'elle ait plus facile a tourner la page. J'aime Jennifer et je suis avec elle et heureux.
-Oui "heureux" mais pas amoureux alors qu'avec Perrie c'est heureux pour de vrai et amoureux comme un fou.
-Ne lui dits pas. Je ne veux pas qu'elle le sache. Je suis bien avec Jennifer et ça personne ne le changera. Perrie et moi c'est du passé et il faudra si faire.
-Ne faits pas ça.
-Si
-Range cette fierté, je t'en prie
-Non. J'aime Jennifer et je suis bien avec elle. J'aime toujours Perrie je l'avoue mais je suis heureux avec Jennifer. Ma fierté est peut-être trop grande mais pour certaine chose il faut mettre un point d'arrêt et le couple Zerrie est du passé.
Il part comme ça sans me laisser dire quoique ce soit pour détruire sa fierté et lui faire dire a Perrie qu'il l'aime toujours. Un jour j'y arriverais, un jour. Peut-être que le temps y arrivera avant moi. Je l'espère parce que je ne sais pas combien de temps je vais mettre avant de lui faire dire ces 3 mots: "Je t'aime" à Perrie. Pourquoi autant de fierté? Pourquoi autant de dignité? Pourtant aussi têtu? J'avoue que j'ai de le fierté en moi mais je ne laisserais jamais tomber Perrie a cause d'elle. Je rentre dans la chambre et découvre Perrie en pleure avec la petite dans es bras aussi en pleure. Je fais un bisous sur le front de Perrie et remet quelque mèches de cheveux en place. La petite se calme imidéatement comme sa maman. Ma présence doit rassuré Perrie qui a comme effet de rassuré la petite. C'est l'effet indescristible entre une maman et son enfant. La maman est triste, le bébé est triste. La maman est énervé, le bébé est énervé. La maman est calme, le bébé est calme. C'est dommage que ca part en grandissant mais l'instinct de protection remplace. L'instinct de protection c'est quand quelqu'un que tu aimes pleure, tu pleures avec elle parce que tu ne supportes pas qu'elle pleure ou tu la réconforte. J'ai un instinct de protection avec Perrie et la petite Louise manitenant. Je suis comme relier a Perrie. On partage une alchimie d'amitié. C'est un peu comme la soeur que je n'ai jamais eu. C'est un peu comme la soeur qu'on m'a enlevé. C'est un peu comme la première et la deuxième fausse soeur qu'on m'a enlevé. Marie et Leila étaient comme mes soeurs, sont comme mes soeurs, resterons comme même soeurs même si elles ne sont plus de ce monde. Je suis prête a tout perdre pour Perrie, pour Louisa, pour Jade, pour Jesy, pour Leight-Anne pour les derniers personnes qui sont encore là et qui n'on pas encore rejoinds le ciel. Louisa est ma petite protéger. Je vais la proteger du monde extérieur tout en la laissant libre. Je vais lui faire découvrir la réalité de la vie dès le début pour qu'elle soit mieux préparer pour son avenir et contre la vie. Je ne cherche pas a la lacé au milieu de tout mais a la prévenir. Je ne veux pas qu'elle fasse comme moi. Je ne suis pas un bon exemple. J'ai faits tellement d'erreurs que j'assume mais que je regrette en même temps. Mon ancienne vie ne me manque pas. Je sais me débrouiller seule. J'avance dans ma quête lentement. Je ne crains pas d'avancer lentement mais de m'arrêter. Je ne suis pas seule. Rien n'est possible en étant seule. On ne peut pas avancer en étant seule. Il faut des personnes pour nous relever, pour nous pardonner, pour nous aider tel est la vie impossible a réussir en étant seule mais tellement injuste a te rendre seule a beaucoup moment de ta vie et parfois jusqu'a la fin de ta vie. Je prends un sac et le pose sur le lit de Perrie et ainsi suive les autres sous le regard intérrogateur de Perrie. Je les pose avec un grand sourire. Je dépose un bisous sur le front de Louisa et lui sourit.
-Tout ça c'est pour Louisa. dis-je a Perrie
-Tu es folle...
-Je sais mais j'ai bien le droit de faire des cadeaux a ma fieule
-Oui mais là c'est abusé...
-T'inquiète c'est rien ca me fait plaisir.
-Merci tu es trop gentille
-Je suis gentille qu'avec les personnes que j'aime surtout avec ceux qui m'on sauvé quand j'étais au bord du gouffre... dis-je avec les larmes aux yeux mais que je retiens pour ne pas pleurer devant Perrie et Louisa.
*Flash-Back*
Je n'ai qu'une envie c'est de mourir. Je veux partir de ce monde. Trop de douleur m'empêhce de rester sur cette terre. Je suis si faible maintenant que Leila est partie. Je suis seule. J'ai Marie mais pour combien de temps? Je suis sûr qu'elle est aussi faible que moi mais elle se montre forte. Elle ne veut pas montrer ces faiblesses pour qu'on la détruise plus. Il ne faut jamais montrer ces faiblesses aux autres parce qu'ils finiront par nous enfoncer grâce a elle. Elle forte, elle est plus forte que moi. Je ne sais pas quoi faire. Je suis certaine qu'elle a la même idée que moi, mourir. Le suicide est si proche de moi. Le sol est vide devant mes pieds. Je suis sur le bord d'une falaise. Je m'apprête a sauter pour atterir sur les rochers ou dans la mer. La fin de ma vie est juste devant moi. Ma vie touche a sa fin. La mort me tends grand les bras, elle n'attend plus que m'acceuillir. Une voiture se gare a quelques mètres mais c'est pas grave. J'avance encore plus près du bord. Mes orteils sont dans le vide. Je suis sur le point de sauter qu'on me tire vers l'arrière. Le bord de la falaise s'éloigne de moi. On me retourne et je découvre Perrie qui me tient fermemant le bras. Les filles sont juste derrière elle. Elles se rapprochent de moi et font un calîn groupé. Je fonds en larmes dans le calîn. Je n'ai jamais pleuré devant quelqu'un a par Marie et Leila. Devant elles ne j'ai jamais pleuré. Je n'avais jamais pleuré peut-être par fierté. Elles m'ont sauvé la vie. Elles m'ont empêché de sauter mais aussi de ne plus retenter. Elles ont été là pour moi après avec Marie et m'ont sauvé pour de bon même si je voulais encore mourir après. Je n'ai plus jamais tenté a se point là de mourir. Je me suis mutilé et gratter mais jamais jusqu'au point de mourir. Je restais en vie pour Marie et pour les filles. Je ne voulais pas les abandonner.
*Fin du Flash-Back*
Je retiens toujours mes larmes. Je ne vais pas pleurer et encore moins maintenant. Il ne faut jamais montrer ses faiblesses même si je les montre a Perrie. Je ne dois plus les montrer et faire croire que je vais bien et que je suis forte. Je suis forte dans ma tête mais pas dans mon coeur. Je suis faible intérieurement mais forte a l'extérieur. Le monde nous fait être fort a l'extérieur mais si faible intérieurement. Il faut être comme ça ou le monde ne t'accepte pas et tu te fais piétiner. Quand on est faible, on se fait piéter et écrasé comme une feuille morte en automne. Le monde tourne comme ça, les plus faibles se font détruires et les plus forts règnent mais tous ceci est une injustice. Il ne faut jamais oublier que la roue tourne. Il ne faut jamais oublier qu'un jour les derniers seront les premiers. Si ce n'est pas encore le cas, ton tour viendra plus tard. Le monde oblige a être fort a l'extérieur mais faible a l'intérieur. C'est dure de paraitre fort alors qu'on ne l'est pas mais c'est la dure réalité, on ne peur rien y changer. C'est dure de s'avouer que le monde dans lequel on vit est si cruel quand on est plus enfant. Enfant on croit que le monde est si beau que tout est rose mais c'est tout le croire le monde est injuste, noir et cruel. Je retires tout ce qu'il y a des sacs et montre tout a Perrie qui regarde tout avec des gros yeux.
-Merci franchement merci. Merci pour tout, merci d'être là, merci d'être toujours là. Quand je t'ai bue au bord de cette falaise j'ai crue que mon monde allait s'éffondrer mais non tu es comme même rester, tu n'as plus réessayer. Merci de reconstruire mon monde et de rester même si rien n'est facile. Tu as voulue mourir et te voilà plus forte. Merci pour tout ce que tu faits pour moi.
-De rien c'est tout a fait normale, c'est naturel avec toi tout ça.
-Merci. Je ne saurais jamais te dire assez merci durant le reste de ma vie et depuis ma naissance non plus. Je suis contente de te voir toujours a côté de moi a essayé de sourire pour de vraie pour te montrer forte et pour moi. Je sais que tu es mal mais tu ne le montres pas pour ne pas me déranger. Je ne suis pas aussi forte, tu es comme un exemple de force dans ce monde
-Merci mais j'ai un tout dernier cadeau qui me tiens vraiment a coeur. Il est très important pour moi. Il a beaucoup de valeur a mes yeux. je serais heureuse si Louisa pouvait l'avoir.
-D'accord...tu peux je suis sûre qu'elle sera heureuse.
Je sors de mon sac a main, une peluche. Cette peluche, c'est l'une de mes peluches de naissance donner par ma grand-mère Louise. Louisa mérite de l'avoir.
-C'est beaucoup trop. Garde-le pour toi.
-Non, je t'assure, je lui donne. C'est un cadeau et un cadeau ca ne se refuse pas. C'est l'une des plus belles choses qu'on peut me faire pour le moment.
Je donne la peluche qui est un chat gris avec du blanc et une petite barbichette blanche et des yeux bleues avec aussi des moustaches a Louisa qui le prend dans ses petits bras qui ne sont pas encore fort pour la retenir ce qui fait que la peluche glisse sur Perrie. La petite Louise s'endort juste parès avec la peluche près de ses jambes. Je la remonte au niveau de son visage et prends une photo, c'est juste trop mignon. Elle est trop mignonne. Elle a les yeux, les lèvres de sa maman et les oreilles, les cheveux de son papa. C'est un vrai mélange des deux mais plus tard elle se rapprochera d'un des deux. Je ressemble plus a ma maman qu'a mon père. Leila ressemblait plus a mon père qu'a ma mère. Je n'ai jamais faits la ressemblance. Je ne m'en suis jamais douter. Mon père l'a préfère a moi, c'est dure de se dire ça. Ma mère aussi préfère Leila. C'est difficile a accepter que ses parents préfère ta soeur a toi. Comme c'est dure d'accepter que ses parents préfère son frère a soi. Je l'accepte comme même. Mais si je meurs avant j'espère qu'ils se rendront compte que j'étais encore là et qu'ils pouvaient profiter que je sois encore là avant que je partes vers d'autres cieux. Je vais un jour rejoindre Leila et Marie mais dans combien de temps. Je ne vis pas dans la peur de mourir, je vis dans la peur de voir les personnes que j'aime partir avant moi. Je ne veux qu'aucun parte, j'en ai déjà vue assez partir. Mes grands-parents du côté de ma mère, les grands-parents du côté de mon père, Leila, Marie, je ne veux plus que quelqu'un d'autre meurt. La vie est tellement injuste qu'elle nous enlève les personnes a qui on tients énormément. Chaque personne finisse par partir un jour mais il y a toujours cette personne qu'on ne voudra jamais voir partir avec d'autre mais c'est surtout elle. Elle ne fait pas partie de la famille mais c'est dans le courant de la vie qu'on la connait, qu'on l'aime, qu'on ne souhaite jamais la voir partir que se soit vers la mort comme vers l'abandon. C'est cette personne qui occuppe vos pensées 24 heures sur 24, qui fait battre votre coeur, qui vous fait sourire pour de vraie a longueur de temps, qui ne souhaite jamais que vous partiez, qui ne vous abandonnera jamais, qui fera tout pour vous, qui rythme vos rires, qui fait étincellé dans étoiles dans vos yeux, qui vous heureuse de la première seconde a la dernière, que rien que sa présence vous suffit, Qui vousmanque dès la première seconde où il est abscent. C'est cette personne dont vous êtes amoureuse, c'est cette personne qu'on appelle l'amour de la vie. Je sais qui est cette personne au fond de mon coeur. Je le sais dans ma tête mais ça me fait tellement souffrir que je me refuse de croire que c'est l'amour de ma vie. Ma tête veut l'oublier mais mon coeur veux lui appartenir. J'aimerais tant le revoir. Loin des yeux près du coeur. Il est dans mon coeur et n'y resortera jamais. Mon coeur lui appartient sans qu'il le sache. Il ne sait pas qu'Emilie Daren n'est autre qu'Amélie Barnid. Il ne le sait pas et c'est mieux comme ça mais ça fait mal au coeur. Je ne sais pas si son coeur m'appartient mais j'aimerais qu'il m'appartienne. Il me manque, j'aimerais pouvoir lui dire mais c'est encore trop tôt. Je n'ai pas encore réussis, je ne peux pas l'appeller. Il vit sa vie pendant que je vis la mienne. J'aimerais qu'il me réconforte mais c'est impossible. Je ne dois pas succomber a la tentation de l'appeller, je dois résister. La route est encore longue et il est au bout, je dois aller jusqu'au bout pour le rejoindre mais je n'y suis pas encore, il faut laisser le temps faire. J'ai peur que maintenant que je suis partie, il va m'oublier et passer a autre a force de m'attendre alors que moi non. Je serais anéantie, irrécupérable totalement, complétement. Je ne serais pas m'en remettre. Le suicide m'attendra les bras grands ouverts. La falaise depuis laquelle j'ai voulu sauté, me reverra sauté depuis elle. J'y resoterais. Je ne le ferais peut-être pas pour Perrie et Louisa mais je ne peux rien promettre. Mon monde s'éffrondra au moment où il me rejeterra. Je ne serais plus moi-même. Alors a quoi sa sert de continuer si on n'est plus la même personne?
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