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0.7.14 Chapitre 14 #IAmLost

Je ne sais pas si il suffira de brisé ce fil uniquement mais beaucoup sera fait. Il n'y aura presque plus rien à faire. Ce fil est symbole de la vie, tant qu'il existe au dessus de nous, on vit. Si il disparaît comme maintenant au fur et à mesure, la vie meurt. Si il se brise, la vie sera comme même là. Le fil se brisera sur nous, nous éfflueura et nous changeras. La vie est faite de ce qu'elle est faite. Il n'y a rien pour la remplacé. Il n'y a rien pour la décrire totalement, il n'y a que des mots qui ne sont que des mots. Des mots aussi riches, pauvres, attirants, détruscteurs les un que les autres. Chaques mots peuvent détruire. Chaques mots peuvent blessés. Chaques mots peuvent faire sourire. Chaques mots peuvent faire rire. Chaques mots peuvent à être à se suicidé. Il faut faire attention à ce qu'on dit parce qu'une fois que c'est dit, il n'y a pas de retour en arrière. Les mots sortent de la bouche comme un fleuve mais ne sachant jamais jusqu'où ils peuvent, jusqu'où ils peuvent blessés, se perde dans la mer avec les millions de poissons grands comme petits. Ils se noient avec eux, ne sachant pas respirés meurent sans intêret pour la personne qui parle mais sont un requin pour l'autre. Un vague de chaleur s'empare de moi comme un lion sur un buffle affaibli. Juste une dernière chance, je me dits dans ma tête, une dernière chance de vivre. Je sens mon corps se dérobé de moi. Je me sens partir rejoindre Leila, Marie et Steve ainsi que tout mes animaux de compagnies. Je ne vois plus que du noir comme toujours mais là c'est du vrai noir. Tu dors bleuffant, déboussolant et attirant. Je plonge dedans comme une inconnue avide de curiosité. Je plonge dedans comme une imbécile. Je ne sais même pas où je vais tellement qu'il fait. Un trou sans fond. Un tunnel sans fin. Un chemin m'amenant à une mort certaine, m'amenant à la mort avec stupidité. Je meurs à petit feux, ne sachant pas comment réagir. Me laissant partir. Ne me battant pas pour restée. Je pars sans dire au revoir à qui que se soit. Je pars sans dire mes sentiments à Harry. Je pars sans savoir où je vais. Je pars pour le monde du dessus. Je pars en laissant derrière moi ma fille de quelques heures. Elle sera sans père ni mère, orpheline. Je ne veux pas ça pour elle, mais je meurs, je ne sais plus me battre, je suis vide comme un estomac d'affamé. Je suis vide de tout, de coeur, d'âme, d'esprit, de pensée, de vertige, de sourire, de rire, de larme, de mémoire. Je n'ai plus rien, plus rien pour me retenir sur terre. Plus rien pour m'accrochée et faire demi-tour même si c'est interdit. Ma vie défile devant mes yeux. Je me vois petite souriante, heureuse, naïve. Je me revois avec Leila et Marie, un trio inséparable. Je nous vois grandir à grande vitesse, une vie défilant devant mes yeux, une vie en accéléré, ma vie. Je ne vois plus que ça, des bons moments ainsi que des mauvais envahir mes yeux s'emburent. Je vois de moins en moins. Serais-ce la fin? La fin d'une vie regrettée, d'une vie détruite mais souriante, d'une vie sans amour, d'une vie gâchée, d'une vie utilisée inutilement, d'une vie capricieuse et envieuse, d'une vie jalousie, d'une vie jalousée, d'une vie méritée, d'une vie désastreuse, d'une vie à qui pourrait tou sourire mais dont tout lui crache à la figure, d'une vie pleine de rebondissements, d'une vie ayant connue le véritable amour sans pouvoir le touché, d'une vie rêvée mais dans le plus beau des cauchemars. Je ne vois plus l'utilité de sourire quand tout va mal au lieu de hurler sa douleur au monde. Sourire et écrire c'est crié au monde que l'on va mal mais il ne reçoit pas notre appel. Il préfère ne pas le prendre en considération, faire comme si il n'avait rien entendu. Il reçoit l'appel mais le mets en absence. Je flotte dans les airs, je suis dans les nuages. Nuages noirs et sombres, aveugleants, absorbants, attirants, intouchables, indétestables même si il m'emporte vers une mort certaine. Une lumière aveugleante me pique les yeux par son arrivé soudaine et sa force. Ma vue s'éclairci, je vois de mieux en mieux. Je retrouve une vue normale, coloré avec des millions de tâches de toute les couleurs un peu partout comme un arc-en ciel dessiné par un enfant. J'entends des voix. Je retourves ma vue. Je vois des lampes, cela me fait clignée des yeux parce que je ne suis pas encore habituée à la lumière très flagrante pour mes yeux. La lumière est apparue, elle a giclée comme une éclaboussure. Je m'en sors pas trop mal après pour reprendre ma vue. Je ne suis donc pas morte, enfin pas encore parce qu'il y aura bien un beau jour pas si beau pour moi où je partirais rejoindre les anges. Je ne serais plus la même à ce moment-là. J'espère que je l'aurais retrouvé. Je ne sais pas si j'y arriverais, je l'espère de tout coeur. Le visage de Perrie au dessus du mien, me redonne le sourire et me fait aussi pouffée de rire. Elle se vexe un peu et me boude dessus comme une enfant de quatre ans, c'est plus mignon que vexant ou que stupide. Ce n'est même pas médiocre parce que la connaissant elle en est tout à fait capable. Elle est elle et personne ne la changera jamais. Même pas le monde, même pas l'amour, même pas le déchirure de son coeur. Elle est celle que j'aime comme une soeur. C'est la soeur que la vie ne m'a pas donnée. J'ai dits ça pour Marie, Leila et la vie me les a enlevées j'espère que Perrie ne partira pas. Sans elle je ne suis qu'un trou noir sans fond, un précipice de larme, une foutaine de souffrance, un vaisseau de douleur, un châtiment divin, une destruction du monde, une psychopathe pyromane. Je suis comme je suis, sans les autres je ne suis plus rien. Le problème c'est quand on montre aux autres qu'on ne sais point vivre sans eux, on leur donne le fait qu'on est comme acquis. Je ne veux pas qu'elle croit ça même si elle ne me fera jamais de mal. Elle m'en a déjà fait mais je ne sais pas l'impression que j'ai. Je serais toujours lui pardonnée, même si elle dépasse les bornes, même si elle me détruit ou autre, je ne saurais jamais me l'interdire, c'est mon coeur qui le décide. Je souries et essaye de la prendre dans mes bras malgré que je sois dans le lit mais même de dos elle m'a vue et elle s'est avancée. Je peux pas la haïr à certain moment pour sa follie. Je suis en manque de câlin. Un sacré manque qui fait un trou dans mon coeur. J'aimerais bien qu'il se bouche et pour de bon cette fois-ci.


Emilie: S'il te plaît, arrête de me tirée la tronche, tu me manques déjà...

Elle ne résiste pas et saute presque dans mes bras comme un affamé sur un cookie, comme un lion sur un buffle. Je l'adore, je ne sais pas ce que je ferais sans elle. Non vraiment pas, peut-être rien, surement je ne serais déjà plus en vie. Je serais déjà partie rejoindre les anges et je n'aurais plus à souffrir maintenant. Elle me compresse, limite elle m'étouffe, on dirait qu'elle essaye de me tuée. Je ne la laisse pas faire et la compresse aussi. Elle me lâche très vite après. Je lui décoche un sourire, un scotché, très pétillent, très vrai, très joyeux, très presque joli. Je ne m'aime pas et encore moins mon sourire. Je ne sais pas quoi dire pour me décrire à par poubelle et autre mot du genre, limite language et insulte deuxième primaire, les pires qu'on puisse donner.

Perrie: Toi aussi, tu m'as manquée. Je me suis inquiétée pour toi. Tu t'étais évanouie, coma même! Comment t'as faits ton coup?

C'est à ce moment-là que le médecin entre dans la pièce.

Médecin: Trop d'émotions, de sentiments, de pertubartions et autres cela a déclenchée en elle une stress et le cerveau à décliné pour se mettre comme en veille ce qui a causé le coma imprévisible et court. Tu réagis vite, c'est bien.

Emilie: Merci.

Perrie: Elle sortitra dans combien de temps?

Médecin: Elle doit restée plus ou moins une semaine.

Leigh-Anne: Elle ne sera pas sortit avant?

Médecin: Malheureusement non. On doit vérifié l'état de l'enfant et le sien. On doit les gardés en observation et tant qu'elle ne sera pas sortie l'enfant ne sortira pas non plus.

Emilie: D'accord.

*Côté de Harry*

Je ne sais pas quoi faire sans elle. Encore un peu j'allais embrassé une autre fille qu'elle. Je ne suis pas normale, j'aime une fille mais j'en embrasse une autre, je deviens fou sans elle. Elle est mon monde mais elle est si absente. Je ne sais pas quoi dire pour me réconforté. Les garçons essayent depuis je ne sais combien de temps mais rien n'y change. Je suis toujours accroché à mon cellulaire pour voir si il y a un message ou un appel venant d'elle. La fille que j'ai voulue embrassé, Emilie, elle me faisait trop pensé à elle et je n'ai pas su résisté. Elle est enceinte en plus et elle a même accouchée. Personne ne sait qui est son copain et le père de l'enfant. Heureusement que personne ne sait pour le baiser raté à par nous. Je ne veux pas avoir de problème, on peut me comprendre je m'écroule déjà dessous. Je ne sais pas où elle est, si elle va bien, si elle est en sécurité, toute ses peurs me rongent. Je ne le fais pas paraître mais cela fait très mal. Une absence dans mon coeur insurmontable. Elle a fait un trou dans mon coeur. Je ne sais que faire pour le reboucher à par la retrouvée. J'entame des recherches après elle depuis plusieurs mois, un an il y a peu. Personne ne la encore revue. Je ne sais vraiment pas où elle pourrait se trouvée. Je ne cherche qu'à savoir si elle a bien, si elle est heureuse, si elle m'a oubliée, si elle est avec quelqu'un d'autre cela m'importe peu. Je veux qu'elle soit heureuse même si cela n'a aucun rapport avec moi, même si je ne fais plus partis de sa vie, même si je ne suis qu'une trace de son passé. Je ne sais que faire pour la retrouvée, si elle revient ce que je doute fort de plus en plus, je ferais tout pour la comblée, pour le reconquérir. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir juste pour la prunelle de ses yeux, juste pour un sourire sur son visage. Niall aussi est mal, Emilie l'a envoyée baladée. Elle l'a embrassée et puis elle est partie. Ce n'est pas très sage de sa part de faire des coups comme ça à Niall mais maintenant il a ouvert les yeux et sait qu'il ne l'aime pas, que ce n'était qu'une impression, une illusion, le contraire des sentiments que j'ai envers Amélie. C'est fou comme l'amour peut rendre fou et accro. Elle est comme dans l'air, le pollen, on la voit mais elle est si innacessible qu'on en meurt de ne pas pouvoir la touchée, elle est comme la lave elle brûle. Je l'aime, enfin serais-ça l'amour que je crois connaître depuis des années, un sentiment qui n'est plus le même, tout à fait différent. Un sentiment nouvau je dirais. On ne vit pas dans un monde où on décide quand on dort, j'aimerais bien pour pouvoir rêvé d'elle, pour la revoir, pour la sentir près de moi, pour refaire vivre mon coeur, mon réchauffé mon âme. Je ne sais pas ce qu'elle a put me faire pour que je me sente comme ça mais c'est tellement puissant que cela en devient indescristible. C'est machinalement parlant, cette phrase me fai pensé à des personnes qui ne savent ce que ces mots veulent dire. Je le sais vraiment comme d'autres mais beaucoup ne savent pas. Ils l'ignorent. Ils torquent ce qu'ils ont de plus beau pour des mensonges et c'est plus tard qu'ils s'en morderont les doigts. J'ai de l'assurance et tout ce qui en suis comme la confiance, le fierté et autre mais avec elle je perds tout ça, c'est magique, insencé, incompréhensible, automathique. Je ne sais rien y faire c'est comme mes sentiments envers elle. J'aurais beau toujours les cachés un jour, ils éclateront et je serais enfin libre. Je ne sais que faire pour la retrouvée, j'ai déjà tout essayée mais rien n'arrive à point. Elle est introuvable comme effacée de la surface de la terre, je ne l'espère pas, c'est mon monde, mon pilier sans elle je ne suis plus rien. Je suis encore là parce que j'ai l'espoir de la retrouvée. J'espère qu'elle n'entend rien de tout ce qui se passe dans le monde médiatique et de la célébrité, elle ne m'aimerais plus et serais déchirée enfin si elle m'aime déjà au départ. Elle me la dit mais je ne sais pas si je dois continué d'y croire, je perds espoir, ce qui n'est pas naturel chez moi. Elle me fait perdre la tête en un regard, me déboussole en un sourire, me coupe le souffle en un rire, m'envois au paradis en un mot. C'est un ange, mon ange même si elle n'a pas d'ailes. Elle n'en a pas besoin. Elle brille comme une étoile sans avoir besoin de s'illuminer, elle s'envole sans avoir besoin d'ailes, elle s'ouvre comme une fleur sans se fannée. Elle est ma vie, mon boulversement. Je n'ai pas sue la gardée. Je suis un incapable sur ce niveau-là mais je saurais la reprendre, je m'en faits la promesse. Je me le jure même si je déteste juré. Ma mère sait pour nous, elle sait tout, je luiais tout dit. Je ne savais pas resté sans lui dire et elle m'a conseillée. C'est la meilleure des mamans et c'est la mienne, j'ai beaucoup de chance que je trouve que je ne mérites pas. J'ai beaucoup de choses dont je ne devrais pas avoir droit, je ne sais même pas gardée la fille que j'aime, je ne vois pas pourquoi j'aurais le droit à tout ce que j'ai. Je suis sous un arbre, dans la fôret dans laquelle j'ai entendu hurlé Emilie la dernière fois. Un pincement au coeur, je me rapelles de ce moment et du fait que je tourne le dos à Amélie, j'espère qu'elle ne l'apprendra jamais ou par moi-même. Je ne vais pas lui dire et un jour la vérité éclatera et je me sentirais encore plus comme un incapable, ce que je suis sans problème. Je n'ai aucun scrupule à m'insulter, je suis comme ça à vouloir entendre tout ce que les autres ont à dire sur moi même si cela me fait du mal. Je sais qu'il y aura toujours quelqu'un pour me critiquer mais j'ai besoin de savoir et j'en pleure. Les Haters même si je les détestes, je ne sais pas si je serais le même sans leurs critiques, elles me forgent mais me détruisent, elles sont comme Amélie. Un jour, je la retourverais, je m'en faits la promesse et cela je la tiendrais coûte que coûte, peut importe les conséquences, je risquerais ma vie pour elle, je veux bien mourir en sachant qu'elle m'aura pardonnée, que je l'aurais retrouvée et en sachant si elle m'aime toujours ou non. Je ne saurais pas mourir sans savoir ça. Elle est peut-être morte ce qui me donnera cette sensation d'impuissance et d'inconnu. Je ne saurais jamais à ce moment-là toute les choses que je voulais savoir. La vie est un cadeau qu'il faut savoir débalée avec justesse et douceur pour ne pas le cassé, ou l'amoché, c'est un cadeau précieux. Un cadeau que personne ne te prendra, il te le volera pour que tu perdes la vie mais jamais il ne pourra se l'approprié. Elle est injuste avec moi, je trouvais mais en me rappellant tout, c'est moi qui est injuste avec elle.

*Côté de Amélie*

Je vais enfin quittée l'hôpitale après plusieurs jours dans cette boîte étouffante toute blanche, je vais enfin m'echappée. Je prends ma valise. Leight-Anne prend a petite. Fanny, un si beau nom pour elle. Leight-Anne à bien choisie, je trouve. Elle a de bon goût en la matière, je suis sûre qu'elle fera une très bonne maman, j'a hâte qu'elle le devienne. Elle n'est pas enceinte mais je ne serais pas contre cette idée. Les Mixers ne s'en sortirais pas avec Perrie et maintenant Leight se serait beaucoup mais on ne choisit pas la nature, c'est elle qui métrise ça.

***

Je n'ai pas plus que ça de cette fiction, je suis désolée. Peut-être qu'un jour, il y aura plus, qui sait?

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