Ce monde si cruel avec chacun, si impitoyable envers les plus faibles, si ironique avec les plus forts. Le monde fait croire aux forts qu'ils le sont alors qu'en faite ils ne sont pas plus forts que els plus faibles, c'est juste un masque. Dans le fond on est tous les mêmes mais avec une histoire différente et un façon de pensée et de voir les choses différament. L'authenticité est dans chacun. La différence est dans l'air. La liberté est dans l'espace. Les secondes défilent a toute vitesse. Les minutes sont juste devant. Les heures courent devant. Les jours se passent sans compter. Les semaines défilent a vive allure. Les mois passent a grande vitesse. Les années passent sans le savoir. La vie défile comme une tempête. La vie est un tempête. Une tempête de problèmes, de solitude, d'amour, de désespoir, de malchance, de chance, de soif de gloire, de soif de pouvoir, d'impuissance, de soif de puissance, d'espoir, d'amitié, de trahison, de vérité, de mensonges, de dure réalité, d'acceptation, d'assumation, de mauvaise confiance, de bonne confiance, de changement, de tournats bons, de tournants mauvais, de déprime, de bonheur, de liberté, de paix, de guerre. Durant notre vie, on est en guerre avec nous même. On est en guerre entre ce qu'on veut réellement et ce qu'on veut superferciellement. On est en guerre avec ce qu'on est et ce qu eles autres veulent qu'on soit. On est guerre entre les bons et mauvais choix. On est guerre entre ce qu'on doit faire et ce qu'on veut faire. On est en guerre avec ce qu'on resent et ce qu'on croit ressentir. On est guerre entre notre cerveau et notre coeur. On est en guerre entre écouter son cerveau ou son coeur. On est en guerre avec son coeur et sa dignité. On est en guerre entre notre fierté et notre esprit. On est en guerre avec les autres et nous même tout au courant de notre. Il ne se passe pas une seule seconde sans qu'on soit en guerre avec quelque chose a l'intérieur de nous. Le coeur a ses raisons. Le cerveau a les siennes. La fierté a les siennes mais toujours des mauvaises, rare sont que les raisons de la fierté soient bonnes. L'esprit a ses contradictions. L'instinct a les siens. L'âme a les siens. Chaque choses ont leurs raisons et leurs contradictions. Chaque choses ont leurs défauts et leurs qualités. Chaque choses ont le pouvoir de réunir ou de briser. Chaque choses peuvent être détruite ou rassembler. Chaques choses peuvent être décomposer ou recoller. Chaques ont un début et une fin. Chaques choses un combat a surmonter. Chaques choses sont une guerre déclaré. Chaques choses ont le mérite d'être vécue et d'en apprendre la leçon. Chaques choses ont leurs leçons. Chaques choses apprennt quelques choses. Chaques choses doivent être surmonté avec le plaisir. Chaques choses doivent être surmonté et non survolé. Chacune de ces choses forment le monde dans lequel on vit. Je m'endors de nouveau avec la petite sur mon ventre. Je crois qu'elle adore sentir mon enfant. Il doit y avoir un conctact entre les deux. Je me sens bien comme ça. Je sens son coeur battre. Je sens sa respiration sur mon ventre. Je sens son petit corps bouger dans son sommeil. Je sens sa chaleur se propager par mon ventre réchauffe mon bébé et moi. Sa chaleur est réjouissante et rassurante. C'est une magnifique sensation. Je sens mon bébé donner un petit coup de pied. Louisa bouge un peu. Elle l'a sentie aussi. Elle bouge ces mains sur mon ventre comme pour faire des caresses a mon bébé. Ils ont l'air d'avoir une alchimie d'enfant entre eux indescristible et indéfesable.

Je me réveille avec toujours la petite sur moi mais réveillé aujourd'hui. Elle carresse mon ventre a l'aide de se petite main. L'enfant a l'intérieur de moi lui répond par des petits coups de pieds. Ils communiquent ensembe. C'est trop mignon. J'en fonds tellement c'est mignon. Ils ont l'air de bien s'entendre en plus. C'est trop mignon des bébés qui communiquent ensemble. Je suis assez sensible en ce qui concerne les enfants, les bébés et les bébés animaux. Je suis sensible a tout ce qui est mignon. Je suis sensible aux malheurs de ceux que j'aime. Je n'ai pas l'air d'être si sensible mais je le suis, c'est juste un masque. La fierté et la force ne sont que des masques qui cachent la personne intérieur de chacun. Elles sont comme des apparences, trompeuses. Tout est trompeur chez quelqu'un. Ne jamais se fier aux apparences, a la fierté, a la force de chacun. Il peut paraître si faible et être si fort a l'intérieur. Il peut paraître si fort et être si faible a l'intérieur. Il peut être beau et au fond mauvais ou d'autres défauts. Il peut être moche et au fond être bon, avoir de bonnes qualitées. Il peut paraître parfait mais ne pas l'être du tout. Il peut paraître pas du tout parfait et l'être. L'apparence n'est rien. L'apparence c'est juste un masque. L'apparence ne vaut rien. L'apparence ne devrait pas autant compter dans ce monde. On a peur, c'est pourquoi on se fie a l'apparence. On a peur de l'autre. On a peur qu'il soit meilleur que nous. On a peur de ce quo'n pourrait découvrir. On a peur de connaitre. On a peur de souffrir. On a peur d'apprendre et de découvrir. Découvrir c'est aussi grandir. On a peur de grandir. On a peur d'être face a la vie. On a peur de s'empiller des problèmes au point de ne plus savoir où donner de la tête pour les résoudre. On a peur de faire des erreurs. On a peur de connaître la mort trop tôt. On a peur de ne plus savoir où on en est. On a peur de ne plus savoir qui on est. On a peur de changer. On a peur de devenir quelqu'un d'horrible tellement que certaines personnes le deviennent. On a peur de ne plus être celui qu'on est au départ. On a peur de ne plus être reconnu par les personnes qui nous aimes. On a peur de l'avenir. On a peur de où on pourrait être dans le futur. On a peur de ce a quoi on pourrait ressembler plus tard. On a peur de savoir avec qui on sera dans les événements a suivre. On a peur de se retrouver seul un jour. On a peur de tout. On a peur de tout et n'importe quoi. On peur de la vie et de ce qu'elle nous réserve. On a peur de ne pas avoir assez profiter de la vie. On a peur de faire des erreurs alors on en fait. On a peur du bonheur. On a peur du malheur. On a peur d'en connaitre un et puis l'autre. On a peur d'arriver au mauvais moment. On a peur de se tromper su rles personnes que l'on côtois. On a peur de l'existance de chacun autour de nous. On a peur de ce que pourrait vivre les personnes que nous aimons. On a peur de la mort. On a peur que les personnes qu'on aime parte trop vite. On a peur qu'on nous abandonne. On a peur d'être rejeté. On a peur de l'inconnu. On a peur d'être juger. On a peur de ne pas plaire aux autres. On a peur de ne jamais être a la hauteur. On a peur du mérite. On a peur de la solitude. On a peur de l'impuissance. On a peur de ne pas être assez bien pour les autres. On a peur de ne pas être ce que les autres veulent. On a peur d'être tout en bas de l'échelle On a peur que la vie change du tout au tout. On a peur du changement. On a peur de devoir se séparé des autres. On a peur d'apprendre ce qu'est réellement la vie. On a peur de connaitre des horreurs. On a peur de ce qu epense les autres de nous. On a peur d'être un lache alors qu'on l'est naturellement. On a peur de comment pourrais être les personnes qui nous entoure réellement. Je suis dans cette peur constante. J'ai peur de ne jamais être a la hauteur. J'ai peur des pensées de Harry a mon égard. J'aimerais savoir ce qu'il pense de moi et en même temps je préférais ne pas le savoir. Une partie de moi est sûre d'elle, de ses choix, de ses sentiments, de ses erreurs et les assumes complétement, de son importance dans ce monde, de ses gestes, de ses paroles, de son importance en moi, elle n'a peur de rien, elle affronte tout comme ça, elle ne fonce pourtant pas droit dans le mur, elle saita qui faire confiance, elle sait ce qu'elle veut devenir, elle sait qu'elle a sa place dans ce monde, elle sait que l'amour est a sa porte, elle sait que le bonheur est enfuie au fond d'elle même, elle sait que rien n'arrive sans raison, elle sait que la souffrance st là pour nous faire grandir et nous apprendre des milliers de choses aussi utiles qu'inutiles, elle sait que si on rencontre quelqu'un c'est qu'on doit le rencontrer, que dans une autre vie, dans un autre contexte on aurait rencontrer cette personne. L'autre partie a peur de tout ce qui bouge, de tout ce qui est immobile, de tout ce qui est réelle, de tout ce qui est iréelle, de tout ce qui est visible, de tout ce qui est invisible, elle ne s'assume, elle ne sait rien, elle est n'ose pas faire face, elle n'ose pas s'exprimer, elle n'ose pas montrer sa douleru et la renfouler au fond d'elle même, elle ne sait pas qui elle est; elle ne sait pas qu'elle son importance dans ec monde ainsi que dans moi, elle ne sait pas que si on rencontre quelqu'un dans notre vie, on l'aurait aussi rencontrer dans une autre vie, elle ne sait pas ce qu'elle mérite, elle ne sait pas si elle est a la hauteur, elle ne sait pas ce qu'elle doit faire pour se transformer en l'autre partie, elle ne sait pas que la différence est une richesse, elle ne sait rien de la vie parce qu'elle a peur de ce qu'elle pourrait apprende, elle a peur de connaitre l'extérieur, elle a peur de la vie, elle a peur de ce que je suis, elle a peur d'elle même. Je suis divisé en deux parties, l'une fière et sûre d'elle et l'autre peureuse et incomprise. Je suis partager entre ces deux personnalitées. Je suis les deux a la fois. Par moment la fière prend le dessus et a d'autre c'est la peureuse. La fière ose prendre des risques aux puérils de sa vie alors que la peureuse n'ose rien entreprendre de peur de ne plus avoir de lendemain. Perrie se réveille. Je me lève et lui donne la petite et pars sans rien ajouter. Je prends mon sac en passant et quitte cet hôpital puant le détachant et les médicaments sous le regard surpris de ma réaction de Perrie. Je préfère ne rien lui dire de ce que je compte faire. La fière a pris emprise sur mon coeur. Je n'ai peur de rien. La vie, je la croque a pleine dents et rien de ne me fera changer d'avis. La fière est inchangeable niveau personnalité. Elle est comme elle et sa rien ni personne ne pourra la changer. Elle authentique, unique, irremplaçable, c'est une partie de moi. Je marche dans les rues de Londres avec mon idée répété dans ma tête occupant toute mes pensées. Je sais où je dois aller. Je sais ce que je dois faire. Je sais ce qui pourrais m'arriver mais je vais prendre le risque. le courage est en moi et infini. Je suis celle que je suis et rien n'y changera. Je suis déterminé et rein ne me stoppera. Je me répète cette phrase dans ma tête "Suis ton coeur, ta destination est quelque part, mais n'oublie pas, il n'y a que toi qui peut t'arrêter." avec l'autre me disant ce que je vais m'apprêter a faire. Nul n'est parfait alors pourquoi devrais-je l'être? Rien n'est parfait pour la simple explication que rien ne peut être parfait parce que tout peut être encore meuilleur. Ma vie ne se résume pas a souffrir du malheur des autres mais a faire battre des coeurs en particulier celui qui m'appartiendra et dont le mien lui appartiendra. Je suis là pour rythmé l'existance de ceux qui m'aime et non pour les voir souffrir et ne rien faire pour arrangé leurs cas. Je ne vis pas pour effacer des sourires sur des visages mais pour en faire apparaître. Mon existance n'est pas là pour faire jolie mais pour rajouté de la claireté a ce monde obscur. Mon âme hère sur cette terre pour rendre des mondes plus beau et non plus moches. La raison de mon existance est de rendre le bonheur présent dans la vie des personnes que j'aime. Je suis là pour une seule raison appellé partage. Le partage du bonheur. Le partage de l'amour. Le partage de l'amitié. La confiance est l'une des bases du partage. Je partage mon sourire pour rendre le monde plus beau. Il faut sourire a la vie et elle te sourira. Telle est la recette du bonheur parfois trompeuse. Même si en souriant a la vie, rien ne se passe meux ce n'est pas la peine de baisser les bras. Même si il y a un surplus de douleur, les larmes ne seront pas une preuve de faiblesse. Il est bon de se vider de la douleur accumulé depuis un certain temps. Les larmes ne sont qu'un message de prévention pour ceux qui nous entoure pour leur dire qu'on ne va pas bien. La fierté nous fait préféré pleuré tout seul quand public. Je préfère pleuré seule dans mon coin quand public mais parfois c'est mieux d'en parler, de s'exprimer, de le clamer au monde entier. La douleur a toujurs besoin d'être évacuer et le meilleur moyen que la vie a créer, c'est les larmes. Ces larmes si innofensives, innocentes et si médiocres face a la réelle douleur. Les larmes ne sont que des gouttes d'eau salées provenant de l'orage a l'intérieur de toi. Dans mon coeur c'est la rage, la fierté, le dégoût, la colère, la tristesse, la cascade de larmes qui l'occupent. Aucun autre sentiment ne c'est emparé de moi. Je sais ce qu je vais faire n'est pas correct mais c'est le seul moyen de voir comment ma vie pourrais tourner. Je vais d'abord faire un petit détour. Personne ne sait l'dée que j'ai en tête. Les passants ne se doutent pas que je vais lettre ma vi en jeu. Je ne suis qu'un pion qui va s'échapper de son rôle et provoqué le monde. Je vais provoqué le monde, lui montré que je peux faire autant de mal que je pourrais faire du bien. Personne ne va comprendre ce que je vais faire ni même moi a ce moment là mais je sais mon but. Je sais le but qui se cache derrière. Je vais provoqué mon propre monde, le détasbilisé. Je vais faire une erreur surement mais c'est le seul moyen d'en apprendre plus sur mon monde et sur qui le contrôle encore. Je ne veux pas lui faire du mal mais je suis sûre que c'est un pas en avant dans la découvrte de l'inconnu pour moi. Je n'y suis pas obligé mais c'est l'un des meilleurs moyens. Je ne sais pas qui est contre et qui est avec moi. Je ne sais si j'ai faits des bonnes rencontres. Ce que je sais c'est que ces mauvaises rencontres vont m'apprendre que ce n'était qu'une erreur pour m'apprendre la vie. Les mauvaises rencontres ne sont que des erreurs pour apprendre ce qu'est la vie et que rien n'est fini. On peut une fois tomber dans la drogue et l'acool mais pas deux fois. Nos désirs les plus profonds doivent être un jour combler. Chacun de nos désirs ont le droit a leur existance et ont leurs raisons. Si tu désires la fortune c'est que tu est SDF ou inexistant. On désire tous l'argent mais l'argent en faits pas le bonheur mais il ne fait pas le malheur mais pourtant on peut être heureux sans argent. On peut être pauvre et heureux ou riche et malheureux. Le bonheur n'arrive pas a celui qui l'attend assis. Il faut se battre et se découvrir pour connaitre le bonheur. Le bonheur quand on est enfantin est différent que celui quand on sera adulte. Le bonheur n'est pas compliqué et n'est pas a cherché très loin. Le bonheur se trouve dans les choses et les moments les plus simples de la vie. Vivre est une clé du bonheur. Il ne faut pas se morfondre pour connaître le bonheur mais croquer la vie a pleine dent. L'inconnu est infini mais pas indécouvrable. L'inconnu mérite de ne plus l'être. Quand on est enfant nos amis nous ressemble et quand on grandi plus. Nos amis de notre enfance le sont parce qu'on n'aime pas être jugé mais les amis de notre majorité sont différents pour qu'il nous juge et nous dise ce qu'il en va pas. Dans notre enfance l'ignorence est le bonheur. Dans notre majorité la connaisance est notre enrichissement personnelle. Personne n'est pareil. Personne est identique. Personne ne se ressemble. Mais au fond on est tous pareil, juste notre personnalité nous distingue. Je ne suis pas comme toi, tu n'es pas comme moi, simple a comprendre. Je ne veux ressembler a personne parce que je suis celle que je suis, unique, authentique et inchangeable. Si on me recopie c'est pas grave, juste que cette personne gache sa vie. La vie est trop courte pour être quelqu'un qu'on est pas. La vie est trop courte pour être la deuxième version de quelqu'un d'autre alors autant mieux être la première version de soi-même. Leila était ma jumelle mais au fond on était différente. Je comprends pourquoi on nous demandait si on était soeurs mais a chaque fois on répondait non parce qu'on était encore enseveli dans le secret notre naissance. Les parents de Leila étaient des amis du lycée a mes parents. Ca maman ne pouvait pas avoir d'enfant alors qu'elle le souhaite au plus profond de son âme. Ma mère a accouché de jumelle. Mes parents leur ont donné l'une de leurs filles. Je ne trouve pas sa acceptable qu'on donne un de ses enfants. Plus tard la maman de Leila a adopté deux enfants. Leila croyait que c'était ses frères parce qu'elle avait juste un ans. Ses parents lui on fait croire. A moi aussi ils ont essayé mais je n'ai pas marché dans leur plans. Je sais ce qui ce cachait derrière tous ca parce qu'un jour j'ai découvert les certificats d'adoptions de ses deux frères. Je ne leur ai jamais raconter ma découverte.

*FLASH-BACK*

On jouait a cache-cache comme des gamines de 6 ans. L'ignorence était en moi comme chaque enfant. Je en connaissais pas encore l'existance de la mort. je croyais comme une onconsciente a la vie éternelle. Marie devait nous trouver. A cette époque j'étais très petite. Je me suis cachée sous le lit des parents de Leila. Il y avait des boîtes en dessous. A cette âge là on ne connait pas les conséquences des gestes. La curiosité a pris le dessus sur moi et j'ai ouvers l'une des trois boîtes. Il n'y avait que des photos. J'ouvris la deuxième et découvris des millions de lettres. C'était les lettres que les parents de Leila s'envoyait durant leur adolescence en cachette pour ne pas que leurs parents apprennent leurs liaisons. J'en lu certaine mais je m'arrêtais vite. La curiosité m'attira vers la troisième boîte plus vielle. Je l'ouvris et tomba sur des photos, des bijoux, l'acte de naissance de Leila et les certificats d'adoptions de ses frères Gregory et Paul. J'appris que Gregory venait d'un orphelinat de Marseille et qu'il est né a Marseille, qu'il n'avait pas de père a la naissance et que sa mère est morte a l'accouchement. J'appris que Paul est né a Lyon et qu'il était dans un orphelina a Marseille avec Gregory, que ses parents sont morts dans un accident de voiture juste après sa naissance alors qu'il n'avait que 3 mois. J'ai ressenti un peu de pitié pour eux mais l'innocence ne m'avait pas montrer a quel point c'était une grand douleur. Ils s'étaient connu tout les deux a l'oprhelinat et tout les deux se sont suicidés le lendemain de la mort de Leila et de ses parents. Au fond de la boîte je n'avais pas qu'il y avait encore un fond qui cachait l'acte d'adoption de Leila. Je refermais les boîtes. Je me rendis compte que Gregory et Paul était conscient qu'ils se sont fait adopté mais pas Leila sont j'ignorais l'adoption.

*FIN DU FLASH-BACK*

Je me rappelle de toute mon enfance. Tout les souvenirs de mon enfance refonds surface dans mon esprit. Des bons comme des mauvais. Des qui font du bien et d'autres du mal. Je me souviens du jour où j'ai appris la mort de mon grand-parent puis dans autres ainsi que celui de Leila. Mes yeux s'embuèrent. Les larmes montent mais je refuse qu'elles s'échappent de mes yeux. Je suis forte. Je ne dois pas pleuré. Ce n'est pas le moment pour pleuré. "Les larmes font parties du passé, ne les laisses pas gaché ton présent". Cette phrase résonne dans ma tête comme un ordre. Cette phrase prononcé par Marie a la mort de ma soeur jumelle. Je me rappelle de cette phrase de Leila "Je suis enfant et alors? J'ai aussi le droit de vivre comme chaque être humain. La vie je dois encore l'apprendre.". Elle m'avait dites cette phrase une semaine avant sa mort. Elle était mature. Elle connaissait une partie de la vie. Elle n'a jamais été aussi ignorente que moi et encore moins durant son enfance. Elle était ce genre de fille qui aurait pu devenir présidente d'un pays entier et le sauver. Elle avait de l'ambition dans son regard depuis que je la connais. Depuis notre enfance, elle était plus attentive et observatrice que moi. Elle avait ce don de vous faire sourire juste parce que sa petite frimousse a elle débodait d'un visage plein de joir de vivre. On avait beau se ressemble jamais je n'aurais été comme elle. Elle avait ce don et pas moi. Son visage aroborait un sourire plein d'enthousiasme. C'est le dernier visage que j'ai d'elle et dont je me souviens. C'est la dernière fois que je l'ai vue. Jamais je l'ai vue pleuré. Toujours forte. Toujours prête a protéger chaque personen chère a ses yeux. Toujours prête a aider peut importe comment tu es. Je ne suis pas comme elle. Je me fous de l'apparence que tu peux avoir. Du moment que tu es bien avec moi, je le suis avec toi. Je ne cherche pas la perfection dans ce monde parce qu'elle n'existe pas. On peut trouver quleque chose parfait mais jamais il pourra être vivant. Un texte peut être parfait mais il n'est pas vivant même si il peut te faire sentir vivant. Une chanson peut être parfaite mais elle n'est pas vivante même si tu le sens au fond de toi qu'elle a quelque chose de vivant. Ce n'est qu'un sentiment qui fait croire que c'est vivent alors que c'est juste réelle mais pas vivant. Chacun peut sentir ce sentient différament. Un texte peut absorber et une fille et en dégoûter une autre. Une chanson peut animer l'imagination d'un garçon et répulser un autre. Tout dépend des goûts et des personnes. C'est ce qui forme l'une des bases de nos différences. Pense ce que tu veux de moi mais rien ne me changera. Si tu n'es pas bien avec moi, je ne peux pas l'être avec toi. Je peux faire un effort pour que tu te sentes mieux avec moi mais si tu n'en faits pas un non plus jamais sa ne pourras fonctionner. De la haine a l'amour, il n'y a qu'un pas. De la haine a l'amitié, il n'y a qu'un pas. De l'amour a la haine, il n'y a qu'un pas. De l'amitié a la haine, il n'y a qu'un pas. C'est tellement merveilleux de voir deux inconnus devenir des meilleurs amis que c'est triste de voir deux meilleurs amis devenir des étrangers. Chaque sourire a sa signification. Le sourire exprime tellement de chose chez une personne. Certaine personne arrive a savoir ta personnalité a travers ton sourire. Ces personnes sont importantes dans ce monde et dans te vie parce que se sont elles qui vont être une partie de toi dans le futur. Ces personens seront le faire sur toi mais pas sur tout le monde parce que ces personnes te complètes et souent te comprenne. Ces personnes ont une partie d'eux-mêmes identiques a toi. Ils souffrent et toi aussi d'un même sentiment et c'est ce qui vous relie. Ces personnes se rencontrent trsè bien durant l'enfance et durant l'adolescence que comme dans la majorité. Plus tu la rencontre vite, plus il te sera difficile de la garder. Les événements de la vie vont vous séparé et il faudra bien s'accrocher a l'autre pour ne pas vous quitter. J'en suis un exemple, je ne me suis pas assez accrocher a Leila et a Marie et les voilà six pieds sous terre. Plus jamais je pourrais leur dire que je les aime et qu'elles sont capitales dans ma vie. Plus jamais je n'en aurais l'occasion et c'est ce qui me désole le plus au fond. Leurs pertes m'anéanti mais aussi m'apprend que la vie n'est qu'injustice. Je dois m'accrocher vers ce que je dois m'accrocher et rien d'autre qui n'en vaut pas la peine. "Les larmes sont juste une image de la douleur concentré dans le coeur d'une personne." Cette phrase inscrite dans le journal de Marie, encré dans ma mémoire tel la mort dans la vie de la personne décédée. J'ai son journal dans le fond de l'un de mes tiroirs. Je n'ai pas eu le courage de lire plus que la première page. Elle a mise son journal dans mon sac dans lequel j'avais prévu de mettre tout ce qui m'est utile dans ma nouvelle vie. Elle me connait, elle savait que sa allait être celui-là et pas un autre. Durant notre journée shopping, on n'a pas parlé une seconde de notre plan. On la concocté dans notre coin, dans mon grenier qui servait de chambre d'amie jusqu'a ce qu'on l'utilise comme chambre pour moi. Je n'aimais pas mon ancienne chambre et je dormais tout le temps dans le grenier pour finir mes parents m'on fait déménager de hcambre a mon plus grand plaisir. Mes parents jamais présents ou presque ne se sont jamais douté qu'on allaient fugué et que la plan de notre fugue était dans un tiroir dans mon journal intime. Juste avant de partir, je l'avais mise dans mon sac avec mon journal pour être sûre que si on fouille ma chambre personne ne le voit. Marie voulait faire de la littérature mais ses parents non. Elle avait un don pour ça. Elle avait toujours les bons comme Leila. Leila deveait être sa soeur jumelle a elle, pas a moi. Une université de lettre, de philosophie et de littérature devait acceuillir Marie avec beaucoup de plaisir mais ne la jamais vue et était désolé de perdre une future élève qui aurait pu être la Victor Hugo de nos jours, la Jean de la Fontaine des temps modernes. Je marches vers ce lieu dont je me suis procuré l'adresse sur internet. Je me la suis répétée pendant des heures pour ne pas l'oublier. J'arrive dans la rue de cette maisond ans laquelle je vais faire irruption et surement tout chamboulé du tout au tout. Je vais boulversé le train-train quotidien de plusieurs personnes de bon matin. J'espère juste qu'ils sont réveillé. J'arrive devant la maison gigantesque. Je monte les marches menant a la porte, souffle un petit coup, prend mon courage une dernière fois et sonne a la porte. Personne ne vient ouvrir. Je resonne une deuxième fois et là une personne m'ouvre. C'est la personne que je cherchait. Elle était assez surprise de ma présence. Elle n'eut pas le temps de l'être plus que je l'embrassa. Un brève baiser que l'autre personne n'a pas voulu arrêter et la transformer en une seconde en un fougueux et langoureux baiser. Juste après celui-ci, je me rends compte qu'il a une main dans mes cheveux et l'autre sur ma hanche et que moi j'ai les deux mains autour de son coup. Je me détache de lui précipitament et pars comme une voleuse sans explication laissant le pauvre malheureux sans réponse et boulversé. Je cours en direction de la maison des filles. Je ne sais pas si je vais pouvoir me regarder dans la glace après ce que je viens de faire. Je l'ai faits pour provoquer "Anonymous", pour savoir si elle est près d'eux. J'ai embrassé Niall pour soumettre "Anonymous" a mon contrôle, pour lui montrer qu'il en peut pas tout contrôler dans ma vie et que je suis encore maître de ma vie, de mon existance et de mes choix. J'arrive a la maison des filles, leur dits bonjour sauf a Perrie qui est l'hôpitale et surement morte d'inquiétude. Jade voulait me retenir mais je partie en extrème vitesses dans ma salle de bain pour me rincer le visage et me convaincre qu'il n'y a pas de monstre en moi. Je me dégoûte d'avoir pensée de faire une chose pareille. La seule chose qui me poussait a la faire c'est de provoquer "Anonymous". J'espère que je l'ai provoqué pour ce que je viens de faire ou sinon j'aurais faits ça pour rien et en plus j'aurais faits du mal a Niall. Mon égo en a pris un coup pour ma sécurité. Ma sécurité est plus importante que mon égo. Ce n'est pas mon égo qui me fait tenir en vie. Ma sécurité est plus importe que mon égo. Ma vie est plus importante que mon égo. Maintenant je vais savoir si "Anonymous" est proche d'eux. Si "Anonymous" sait que les garçons connaissent son extistance et son pouvoir sur moi. Ils savent que quelqu'un me veut du mal pas qui mais quelqu'un. Ils savent son existance sans même "Anonymous" le sache. Il suffit que "Anonymous" fasse une seule erreur et sa lui sera fatale. Je m'asperge le visage plusieurs fois d'eau. Je relève la tête pour me regarder dans la glace. Mon mascara a couler et j'ai une mine affreuse. Je ressemble a ce que je suis un monstre. Je suis un monstre dans un corps de femme. Une diablesse dans un corps d'humaine. Je me déshabille et prends une bonne douche pour me changer les idées. Je sors de la douche et m'essuie avec délicatesse au niveau de mon ventre. J'enroule une serviettte dans mes cheveux avant de me sécher. Je finie de m'essuie et déroule la serviette de mes cheveux. Je me sèche les cheveux, me maquille et finie par l'habillage.

(Tenue Emilie: http://www.polyvore.com/tenue_38/set?id=118016521 )

Juste après ceci je me brosse les dents. Je n'ai pas très faim alors je ne prends rien a manger. Je repars a l'hôpitale pour comme même donner une explication a Perrie. J'espère qu'elle va me comprenndre. J'espère que je n'ais pas trop faits de mal. Je marche en direction de la porte d'entrée. Jesy me stoppe en me retenant par le poignet. Je me retourne et la vois avec une pomme dans l'autre main. Je la regarde dans les yeux et comprends directement que la pomme verte est pour moi. Elle me la tend et je la prends. Je mets le fruit dans mon sac et repars vers la sortie. J'ouvre la porte et y trouve Niall qui s'appretait a sonner. Il tourne la tête vers moi et plante ses yeux dans les miens. Il approche son corps du mien. Je recule d'un pas. Il continue d'avancer et moi je continue de reculer. Après quatre pas vers l'arrière j'avance et le pousse légérement pour sortir. Je ne lui adresse pas un regard, pas un mots, pas une once d'importance envers lui et continue ma route. Je l'ignore. Il doit être mal a cause de moi mais je dois l'ignorer. Il ne doit pas comprendre beaucoup. Je l'embrasse et puis il vient et je l'ignore. Je marche jusqu'a l'hôpitale. J'arrive et entre directement dans la chambre de Perrie pas le temps de faire un petit tour. J'entre dans sa chambre. Elle est dans son lit avec Louisa qui dort dans son lit de bébé. Je m'assoies sur mon "lit" et regarde Perrie.

-Je suis désolée d'être partie sans rien te dire mais j'ai eue une idée pour provoquer "Anonymous" alors j'ai du partir au plus vite pour la mettre a éxécution.

-D'accord. C'était quoi ton idée...?

-Embrasser Niall pour voir si "Anonymous" était près d'eux.

-D'accord...j'ai une lettre pour toi..."Anonymous" a très vite réagi...sa fait une heure que je l'ai reçue..

-Tu l'as lue...?

-Non je ne préfères pas...

-D'accord...

Elle me donne la lettre. Je m'asseois sur le bord de son lit. J'ouvre la lettre et en fait la lecture a haute voix en chuchotant pour que personne d'autre ne l'entende. Je lis "Sa te plais de jouer avec les sentiments des autres? A ce que je vois oui. Niall était assez bizarre et j'ai su directement ce que tu lui as faits puisque je lui ai demander et qu'il me l'a dit. Sa te plais de faire le mal autour de toi? A ce que je vois oui. Tu es toujours la même. Tu es toujours cette petite fille arogante et méprisante envers les autres. Tu es toujours cette petite fille qui faits du mal autour d'elle et qui adore ça. Tu es toujours cette fille qui faits sa victime alors que c'est elle la responsable et la tueuse. Je ne vois pas pourquoi tu vis. Tu faits du mal a Niall pourquoi? Il ne t'a rien fait. En passant tu faits du mal a Harry. Faire du mal autour de toi c'est ce que tu faits de mieux. C'est d'ailleurs la seule chose que tu sais faire a par jouer la victime. J'ai un lien très fort avec l'un des membres. Fait attention a chacun des tes gestes. Le monde est petit et le tien va bientôt s'éffondrer. Si tu veux me provoquer viens au parc où tu as rencontré mon accolite sous l'arbre ce soir a 23h40 précise et tu verras mon vrai visage. Ne pose pas de lapin et je ne t'en poserais pas un. Je viendrais en personne avec le papa de ton enfant. Profite de ton monde tant qu'il est pas encore brisé par moi. "Anonymous".". Je remis la lettre écrite a la main dans son envellope et regarde Perrie. Elle est choqué parce qu'elle vient d'entendre. Elle ne savait pas que le père de mon enfant était l'un de ses accolites. Elle ne savait pas qu'il y avait eu quelque chose entre Harry et moi.

-Tu vas y aller..?

-Je pense...je devrais...? la questionnais-je

-Oui mais faits attention...n'y va pas seule...je ne savais qu'elle était proche d'un des garçons...

-Mon hypotèse est confirmer...je pensais qu'elle était proche d'eux et maintenant j'en suis sûre..

-Fait attention a toi comme même...

-Je ferais attention en t'inquiète pas pour moi...je suis grande...je sais me défendre...

-J'espère que ce n'est pas un piège...

-Moi aussi...je vais devenir folle avec cette histoire...

-Je te comprends...ne le deviens pas s'il te plaît...

Je lui souris en guise de réponse et elle me le rendit. On parle et chouchoute Louisa durant tout l'après-midi et la soirée. Pour finir j'ai comme même mangé cette pomme verte. L'heure fut venu du rendez-vous. Perrie est endormie et Louisa aussi j'en profite pour sortir en silence e déposant avant de partir un bisou sur leur front a chacune. Je sors de la chambre et me dirige au parc. Arrivé au lieu du rendez-vous, je me faufile entre les branches et m'asseois sur l'herbe en dessous de cet arbre. Une présence ce fait sentir. Je sais que je ne suis pas seule. On me prend par les épaules. Je me débat mais rien n'y fait. Deux personne sont sr moi. Une femme et un homme. La femme m'asperge d'un liquide en plein visage et s'en va en courant. Sa silhouette, je la connais mais je ne sais pas dire qui sa pourrais être dans le noir de presque minuit. L'autre individu me donne une gifle et s'en va. Je sens mon esprit vaciller. Je me sen sombrer quelque part. Je ne me contrôle plus. Je ne suis plus la même. Je produits des actes sans être moi. C'est mon corps mais pas moi a l'intérieur. Je sens quo'n me pose un foulard sur la bouche. Je tombe au sol immédiatement et entre dans un profond sommeil. Je sens qu'on me balade sur un brancard. On m'a attaché les pieds, les mains et le ventre. Mon esprit est en éveille comme mes sens mais pas mon corps. Je n'étais plus constente de mes actes et on m'enmène vers un endroit inconnu. Je sais que les gens dans la rue m'ont pris pour une folle. Je n'étais pas moi. Je vais bien mais je ne me contrôlais plus. C'est surement le produit dont "Anonymous" m'a aspergé que je me suis changé en folle. Dans ma tête une phrase qui veut tout dire pour moi se répète. "Je ne suis pas folle, ma follie n'est pas celle-ci c'est une autre follie dont je suis faite pas celle-ci" Je ne succombe dans un sommeil profond.

Je cligne des yeux pour m'habituer a la lumière qui a frapper mes iris par sa grandeur. Je me retrouve dans une pièce toute blanche. Une femme entre dans ma chambre. Elle porte une blouse blanche. On se croirait dans un hôpitale psychatrique. Je ne suis pas folle pourtant. Je suis encore moi. Je ne sais pas ce que je faits là. Je ne sais pas où je suis et encore mois où j'en suis avec moi même. J'aimerais savoir pourquoi je suis ici et aussi où je suis.