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0.2.17 Chapitre 17 #IAmOnlyHappyWithYou

C'est...Niall. Cela fait je ne sais combien d'appel qu'il me passe. Je ne réponds pas et enfui mon cellulaire dans la couverture pour etouffé le bruit. Je ne veux pas entendre sa voix même si j'essaye de me la remémorée. Mon cerveau refuse. Je suis sans coeur envers lui. Je n'ai aucune pitié. Il me pardonne en quelques sortes et je l'envois boulé. Je n'ai aucune tacte avec lui. Sa présence me fait sourire, me manque et je le nies. Monstre, voilà ce que je suis. Il m'appelle après ce que j'ai dit. Il veut mettre les choses au clair, je pense. Je ne veux pas, je ne peux pas. Mon âme est trop fragile. Si il m'appelle c'est qu'il n'a pas de sentiments, je le savais. Je n'ai pas été aveugle de pensée qu'il puisse m'aimé. Je suis assez anxieuse sur mon avenir. Je ne sais pas si je vais le vivre avec ou sans sa présence. Je dois m'y faire. Je dois faire ma vie sans lui comme si je ne l'avais jamais rencontré, comme avant. Le plus malheureux la dedans c'est que je vais devoir faire comme si il n'existait pas alors que mon coeur ne bat que pour lui. L'âme dégoûtée d'elle-même, j'inspecte mes mains pour m'occupée. Dans le noir se n'est pas trop ça. J'allume ma lampe de chevet, au passage je fais tombée mon cellulaire. Je saute dessus presque comme un tigre de zoo sur un gros morceaux de steak. Je tiends à mon téléphone. Ce n'est pas la première fois qu'il tombe. L'écran est fissuré. Mon téléphone est cassé, il ne marche plus. Maintenant, je suis bonne pour allée en rachetée un nouveau. Je suis une vrai maladroite. Je devrais apprendre à prendre soin de mes affaires. Je suis la pro pour faire tomber mes téléphones. Depuis que j'ai 12 ans, l'âge où j'ai reçues mon premier téléphone, j'en ai cassée au moins une dizaine. A 18 ans, je peux en rajoutée un sur la longue liste de téléphone cassé. Je pose mon portable sur la table de chevet. Maintenant je n'aurais plus la tentation de répondre à Niall. C'est bien en quelques sortes même si j'aurais pu juste l'éteindre mais c'est le vie. J'irais en racheté un demain. En espérant que je ne vais pas le cassé en route. J'ai des économies, je vais payée un nouveau téléphone avec. Je ne vais pas prendre le plus chère parce qu'il ne va pas duré longtemps, je le sens. Je me redresse et me tiens sur mes coudes. Je regarde ma chambre, magnifique, simple, comme moi sauf pour magnifique. Je ne m'aime pas ce n'est pas compliqué. La vie est injuste, elle donne tout à une personne et rien à une autre. Personne ne se retourne vers moi dans la rue, aucun garçon, il y a du bons et du mauvais. Le bon c'est que je ne suis pas mal à l'aise mais aussi que je ne suis pas prise pour une je ne sais quoi par les autres. le mauvais c'est que cela me donne l'impression qu'aucun homme ne m'aime, que je vais devoir vivre avec chat. Je ne veux pas finir seule. Trop de solitude dans ma vie que pour en rajouté. Je sors de mon lit, je sors ensuite de ma chambre pour finir par allée dans la cuisine prendre un verre d'eau. La gorge sèche, l'eau y déouline comme un torrent. Ma gorge rassaisié me fait moins mal. Je m'assoies sur une chaise du comptoir. Je pose les coudes sur la table etprends ma tête entre mes mains. Je vais devoir expliqué tout à Ashley sur le retournement de situation dans mon rapprochement avec Niall. Elle va me tuée, je le sens. Elle va me tuée avec les mots. Les coups superficiels face à la force des mots. Je me suis déjà bien rendue compte que les mots font plus de mal que de bien, que les mots font plus mal que les coups. Je l'ai appris. Je m'en suis déchirée moi-même. Je me détruite dans l'espoir que cela ce finisse. Me répété chaque phrase prononcée par les autres, soulignée dans ma tête les plus blessant et les dire et redire dans mon crâne. La souffrance, les insultes, le harcelement même en primaire cela fait déjà mal au coeur. Je ne connaissais pas le mot "suicide" ni "sucidaire", je n'en connaissais pas la signification pourtant je l'étais. A 7 ans, je voulais déjà quittée ce monde. A 7 ans, mon coeur en a bavé. Ce n'était que des enfants qui disaient ça mais cela qu'importe l'âge qu'ont les personens qui le disent et l'âge que tu peux avoir, certains mots font mal. Le coeur sérré, j'inspire de l'oxygène pour respiré. Je me calme, mon pouls bat plus fort que lors d'une crise cardiaque. Je me sens que je vais m'évanouir. Mourir? Non, ce n'est pas encore le moment. La vie est encore devant moi. Ou non? C'est trop de questions. Mon être a du mal a respiré. Je ne suis pas asmathique pourtant. "Je vivais au jour le jour jusqu'à ce que tu arrives, Niall, jusqu'à ce que tu fasses irruption dans ma vie. Tu l'as changé, tu m'as changé. Amoureuse et stupide voilà ce que je suis. Motre, voilà ce que je voudrais être. Espoir, voilà ce qui me tient encore debout. Amour, voilà se qui me retient sur terre. Les mots en sont que des mots mais je n'ai qu'un seul rêve entendre un "Je t'aime" de ta bouche pour moi. Un "Je t'aime" sincère comme les enfants. Un vrai "Je t'aime" et non un faux. Un simple "Je t'aime" qui changera ma vie à jamais. " J'aimerais tellement lui dire ça. Entendre sa voix me dire ses paroles si insignifiante. Ces paroles n'étant que de simples mots mais bien plus pour mon coeur. Mon coeur, j'aimerais pouvoir l'appellé comme ça. Il me manque à un point dingue. Je ne sais pas décrire mes sentiments pour lui juste qu'ils sont forts, très forts et que ce sont des sentiments amoureux. Je l'aime plus que je m'aime ce qui n'est pas très compliqué en soi. Je l'aime plus que le monde, je l'aime plus que mon propre monde. C'est mon monde. Je voudrais bien vivre ma vie avec lui. Je ne dirais pas non sauf maintenant. Je pars en vrille ce n'est pas possible. Je ne suis plus moi-même. Je perds la tête dans les deux sens du terme. Je ne me sens plus ni moi, ni mon corps, ni mes jambes. Je pars dans un monde noir, dans l'évanouissement. Je ne réagis pas, je suis prise d'un vertige. Je m'envole vers l'arrière et je m'étale. Je ne réagis toujours pas. Je restes sur le sol sans savoir bougée ni rien dire. J'ailerais criée de douleur. Les poumons en manguent d'air, j'inspire de grande boufée d'air la bouche ouvert mais cela ne fait rien. Je vois Mia qui cours vers moi. Je ne sais rien lui. Les yeux ouvert, je vois l'inquiètude de Mia dans son visage mais surtout dans son regard. Elle ne comprend rien à ce qui se passe autant que moi. Elle m'appelle mais sa voix s'emplifie en un coup puis se déteriore. Je n'entends presque plus rien, je ne sens plus rien, je vois presque que du noir. Je sens un liquide se glissé dans mes cheveux. C'est chaud, foncé, allure rougeâtre. Cela provient de ma tête. Je perds du sang. Ma tête à reçu un trop gros choque. Je vois noire dans le vrai sesn du terme. La vie obscure sans gêne et sans pitié, ma vue sombre et noire entre comme dans le gouffre de la mort, comme dans le monde des entre deux, comme si je mourrais, comme si je partais pour le monde des rêves illimités. Le rêve illimité c'est la mort. Il n'y aura aucune fin. La tête qui tourne dans les dernières secondes de ma conscience. Noir, le noir complet. Est-ce la mort ou la vie? Est-ce le rêve ou le cauchemar? Je suis une princesse baignant dans une marre d'inconscience et de questions. Je nage dans l'espoir. Je m'enfonce dans le gouffre de la peur. Je plonge le tête baissée dans la vie, je n'affrontes plus rien de face. Je suis ctte princesse qui n'en ai pas une mais qu'on lui répète qu'elle en est une. Je suis cette princesse détruit, échorché mais avec le coeur toujorus solide, toujours en place, ceci n'est qu'une apparence. Je suis cette princesse forte et fragile. Solide, fragile, consciente, inconsciente, épérante, forte, détruit, amochée, fissurée, faussement heureuse, banie, rejettée, souriante, rieuse, rêveuse, abîmée, soumise, insouciante, enfantine, mature, détruite, échorchée, fissurée de l'intérieur, différente, soucieuse, amicale, gentille, stupide, conne, déboussolée, désiquilibrée, folle, déspérante, apeurée voilà ce que je suis. Voilà ce qui est entrain de mourir. On né en espèce en voie de disparition, on meurt, plus de nous, plus rien, une espèce en moins sur terre. Nous sommes que des espèces, que des jouets, que des poupées dans les yeux du monde, dans le regard des plus puissants, agorants et affreux. Ce fut peut-être mes dernières pensées. Je n'en ai aucune idée. Je plonge dans un trou noir comme une aveugle. Je ne sens plus rien, je suis tellement désiquilibrée que je ne comprends plus rien, que je ne sais plus réfléchir, que je ne sais prendre conscience de rien. Vais-je mourir comme ça? Je n'en ai aucune idée. Je vais mourir sans connaître le bonheur, la joie, la vie tout simplement. Je vais mourir en ne connaissait que les larmes et une infime partie que peut être le bonheur. Le bonheur se mensonge que la vie à inventée pour nous donnés de l'espoir dans ce monde infecté jusqu'aux plus profond de lui par le mal, dans ce monde démuni de tout espoir. Je m'envole pour le monde de l'inconscience, cela ne va pas beaucoup changé à la réalité.

Je suis dans un hôpital, je sens cette odeur infecte de la javel, du vinaigre et des médicaments et aussi l'odeur inodorante mais qu'on sent par le coeur, l'odeur de la maladie. Cette odeur expolsant les narines, les poumons et le coeur en milles morceaux parce qu'on plaint ces personnes qui sentent cette odeur tout les jours. Je sens que si je meurs, Niall aura comme ma mort sur la conscience. J'aimerais pouvoir lui dire "Ce n'est pas de ta faute, si la vie a décidée qu'elle me quittais, si je suis dans un coma artificiel branchée à je ne sais combien de tube, si la mort à décidée de te délecté de moi. C'est qu'il y a une raison. Que notre histoire n'en valait pas la peine d'être vécue. Si je suis morte c'est que je n'avais plus rien a prouvée ni à faire dans ce monde. Si je vis c'est que j'ai encore ma place. Ange, ne pleure pas, tes yeux sont fait pour contenir des étoiles brillantes, étincellantes non pour laisser coulé des larmes. Ton sourire est fait pour apparaître non pour trembler. Je t'aime sache-le. J'aurais due te le dire avant; te l'avouée mais je ne l'ai pas faits. J'aurais due le faire tant qu'il était encore temps, tant que j'en avais encore l'occasion. Je me suis protégée, cachée par ma peur. Ne m'en veux pas c'est ma façon d'être.". Je cherches des mots qui pourraient mieux convenir. A quoi bon, je ne sais pas pas parlée, je ne sais pas bougée, je sais juste sentir et entendre. Je vais peut-être mourir sans savoir lui dire ces mots. Je vais peut-être mourir en étant plongée dans le coma. Je vais avoir préparée mes phrases, alignée des mots pour qu'à la fin je meurs sans pouvoir m'exprimer. J'aurais due, maintenant c'est devenu une obsession, un devoir, un regret aussi. Je m'en veux terriblement de ne pas lui avoir dit en face. Je mourais peut-être sans qu'il sache de moi-même que je l'aime sans savoir si tout ces sentiments plus forts les un que les autres sont réciproques. Je mourais peut-être sans savoir si il m'aime. Cela me désole, me frustre, m'abasourdie, m'acheve, m'affaibli. Cette odeur de dégoût de moi se mélangeant à celle de l'hôpital emplit mes narines arrive dans ma bouche me donnant un goût abominable. Je ne peux même pas boire ou ouvrir ma bouche. J'ai beau essayée, rien ne bouge d'un milimètre. J'entends les médecins et infirmières se pressés dans le couloir par qu'il y a un patient ou une patiente qui a quelques choses. Ils disent des noms à la va-vite, incompréhensible. Je ne comprends pas parce qu'ils sont dans le couloir, ils courent et c'est des noms assez bizarres pour moi. Je ne voulais pas faire médecine. Je ne ferais pas médecine même si mes parents ne seraient pas contre l'idée. Je fais ce qui me plaît et non ce que mes parents veulent. Cela me rappelle que je ne leur ai encore envoyée aucun message ni même appeller. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis ici non plus. Je suis terrorisée au fond de moi mais je dois avoir un visage serein dans mon lit d'hôpital blanc dans une chambre blanche. J'ai l'impression d'être dans un hôpital psychatrique. Je suis peut-être folle mais pas bonne pour l'asile. Je commences à le devenir enfin je perds plutôt la tête avec cette histoire. J'aimerais me cachée sous ma couverture pour ne rien voir, pour ne rien me souvenir, pour m'enfermée mais j'ai les yeux fermés et mon être inbougeable. Je sais que la chambre est blanche dans tout les hôpitaux, généralement mais je parie que celui-ci est comme tout les autres. Je ne vois pas en quoi le blanc devrait calmer ou autre, moi il me donne plus envie de vomir et me rend folle avec tout ce blanc. Je veux bien le blanc dans un mariage mais dans un hôpital sa donne un air lugubre, sobre, un air de mort pesant dans l'atmosphère comme dans chaque hôpitaux mais cela ne donne pas du tout un air joyeux contrairement dans les mariages. Le blanc pour moi symbolise la liberté ou le mariage pas la mort. Le noir est pour la mort. J'aime bien le noir mais c'est une mode. Le blanc est la couleur de la liberté, des nuages. Nuages là où vole les oiseaux, à leur hauteur, oiseau libre. Je me comprends, je suis dans ma bulle, il n'y a pas moyen plus que moi, je crois. Ce n'est pas possible d'être plus dans mon monde que moi. Je suis différente, le monde l'a bien remarqué en me le fait payé mais je m'en fous. La vie trop courte pour être quelqu'un d'autre, pour ne pas profité, pour ne pas avoir de souvenirs. La vie trop courte pour s'attarder sur le passé, les regrets. Dans mes yeux se lient l'avenir et l'espoir non le passé et les regrets. J'avoue que je vis dans le regret de ne pas avoir dit à Niall, je m'y attarde. Une personne entre dans ma chambre, je me tends immédiatement comme intérrompue dans un rêve. Mes muscles sont comme tirés de tout les côtés, tendue, je le suis. Je ne sais pas qui c'est. La personne n'a encore rien dit mais je sais qu'au bruit de pas, je connais très bien cette personne. Je la porte dans mon coeur. C'est ou bien Mia ou bien Ashley ou bien Niall ou bien quelqu'un de ma famille. Ma famille qu'est-ce qu'elle me manque. J'aimerais faire un câlin à mon père même si il n'est pas trop câlin. J'aimerais posée ma tête sur ma mère comme quand j'étais petit quand je regardais la télévision ou que j'étais pas bien, la tête sur ses genoux, sur ses cuisses ou encore sur sa pointrine. J'aimerais faire notre accolade de soeur avec ma petit soeur. J'aimerais tirée les joues de mon petit frère pour l'embêté et puis le soulevé pour faire l'avion en tournant. Tellement de choses que j'aimerais faire une fois, une dernière fois avant de mourir. Tellement de choses dont je n'aurais peut-être plus l'occasion de faire. cela me donne l'impression de n'avoir jamais fais assez alors qu'ils ont tout fait pour moi, ils n'ont rien eu en retour c'est ce que je ressens. je ressens le beosin de rendre l'appareil au personnes que j'aime. Egoïste, je me sens comme ça dans l'histoire. Je prends mais donne rien en retour. Niall me donne le bonheur en un sourire et je ne lui fais pas le plaisir d'être heureux ne serais-ce qu'une fois même si il n'a pas besoin de moi pour l'être. Je suis pas fière de moi. Je n'ai pas de quoi me vantée. La personne n'a rien dit j'aimerais tant savoir qui c'est. J'en meurs d'envie pas dans le vrai sens de mourir même si c'est un peu le cas. Le coeur ralentissant tout le temps, je m'échappe de mon corps, mon âme se détache de moi pour allé dans la ciel tandis que mon esprit part mais erre dans l'espace, dans l'air. Le mystère, c'est un mystère. Un inconnu pour mes yeux mais non pour mon coeur. Je ne vois pas avec les yeux mais avec le coeur, je sais donc que cette personne le remplit sans le voir; Mon coeur revit en étant en sa présence. La personne est assise sur une chaise à côté de moi, pas un mot, pas un geste mais je sais qu'il me regarde avec intention depuis tout à l'heure. Je me sens fixée, observée avec beaucoup d'intention. Un regard pesant qui commence à me mettre mal à l'aise. Ouvrir les yeux, pourquoi ils s'ouvrent pas? C'est pas compliqué, ouvrir, non mon corps ne m'obéit pas. Il en fait qu'à sa tête. Mon système nerveux sans aucune réaction. Mon système dans le cerveau qui me permet de bougée est comme mort. J'ai oubliée son nom. Je ne veux pas me rappelée non plus ce n'est pas le plus important pour le moment. Je me suis souvient juste du système cérébrale et nerveux. Nerveux c'est pour les nerfs mais cérébrale je ne sais même plus c'est peut-être le truc qui contrôle le corps pour qu'il bouge. Je voudrais tant que Niall soit là quand j'ouvrirais les yeux, si un jour je les ré ouvrent. Je ne vais pas dire que je n'ai jamais rien fait de mal mais je ne suis pas la pire non plus. Ce sont les meilleurs qui partent plus vite mais je ne suis pas si bien que ça pour mourir à 18 ans. Je ne vaus pas tant que ça. La personne aprt comme ça, j'entends un gloussement comme pour retenir un sanglot ou une larme. Il y a au moins une personne que je ne sais pas qui c'est dont je j'ai la certitude qu'il ou qu'elle m'aime. J'attends espérant que cette personne revienne mais rien pas un bruit a par des pas dans le couloir. Cette personne a fait revivre mon coeur maintenant qu'il est partit, il meurt. Cette sensation affreuse de vouloir courir après il ou elle mais de ne rien pouvoir faire. La sensation de vouloir faire bouger les choses mais qu'on en a pas le pouvoir. Je me sens nulle et faible, je n'ai rien faits pour que les choses bougent dans le bon sens. Le sourire de Niall me fait envie, caché dans mes souvenirs les plus profond, j'essaye qu'il revient à la surface. Je travaille ma mémoire alors que ma tête est ailleurs. Aucun souvenir ne me revient, pas un sourire, pas un visage. Je suis comme sans mémoire, sans souvenir comme morte. Après tout quand on meurt on ne se souvient de rien. On créé des souvenirs pour que la mort nous les effaces. Je me souviens juste d'un Niall, d'une Ashley, d'une Mia mais pas de leur visage. Je me souviens de ma famille mais pas de leur visage. Je n'ai qu'en souvenir leurs prénoms. Niall celui que j'aime, Ashley celle qui m'a sauvée la vie il y a des années, Mia ma colocataire folle, Luke le petit ami de Mia, Venise ma petite soeur, Lola ma mère, Patrick mon père, mathieu mon petit fère. Je ne me souviens que d'eux. Le reste de ma vie, tout ce qui date d'avant que je partes de la maison familliale, je me souviens de rien à par un particielle souvenir. Deux filles que j'aime dont je me souviens de rien. Je sais juste qu'elles sont mortes puisque je suis sur leurs tombes. je n'ai aucun nom. Les personnes changent, les souvenirs restent dans mon cas même les souvenirs ne restent pas. Je ne voulais pas. J'aimerais me souvenir de ma vie, de chaque moment que j'ai apssé sur terre mais rien ne me vient. Je n'ai plus de mémoire, plus de souvenir, plus rien, un vide totale en moi qui créé un manque dans mon coeur. Vide voilà comme je suis. Vide de tout. Je ne suis plsu rien sans mes souvenirs. Je sais qu'une partie de moi, au fond de moi, connait la vérité, connait tout, n'a perdue aucun élément de ma vie. Une partie de moi existe encore, caché par celle qui a tout oublié. Je sais que je me souviens de leurs visages mais cela ne me revient pas encore. Je ne me souviens pas non plus pourquoi je suis ici. Je me souviens que de prénoms s'en mêlant dans ma tête. La tête vide et ailleurs, je me creuse la tête pour me souvenir de quelques choses mais rien ne me vient. L'esprit à l'air c'est comme ça que je suis. J'attends encore et encore que la personne revienne mais rien ne se passe a par des alertes pour dire que quelqu'un meurt et qu'il faut le réanimer. J'entends des voix, des larmes, des rires, des alertes, des pas, des pas rapides aussi, des pas de personne errante, des pas de personnes faisant les cents pas devant la porte de la chambre d'un malade. Moi sur un matelas, dans un lit d'hôpital, j'entends tout, ressens tout mais ne vois rien. Je sais maintenant comment vivent les aveugles, ce n'est pas facile. La vie est déjà dure alors pour eux c'est bien plus qu'un calvère. Il y a un bon côté c'est qu'on ne voit pas les personnes qu'on aime pleuré, on ne voit pas l'inquiétude ou la peur sur leurs visages, on le ressent voilà ce qui est désavantageux. Malade dans ma tête, folle dans mon coeur, saine d'espritn je vies toujours vide de mémoire. La tristesse m'envahit au plus profond de mon être paralysé, immobile, inquiet, peureux, fragile, faible. Elle prend aussi possession de mon coeur. Mon coeur voilà comment j'aimerais appeller Niall. Mon coeur, le mien, qui ne ressemble plus à un coeur. Châtiment, c'est un châtiment. dépendante, je suis dépendante de Niall alors que je me souviens même de ce à quoi il pourrait ressembler. Vaniteuse, voilà comment est lavie avec moi. Elle me donne tout et reprend tout. La porte s'ouvre, mes muscles se tendent, je ne fais pourtant rien, cela se produit tout seul comme un automatisme. Je ne contrôle plus mes muscles. Je ne contrôles plus rien sauf mes pensées. La personne s'assoies au même endroit que le précédent visiteur inconnu. Elle pose sa main sur la mienne et me regarde fixement comme pour voir si il y a ne serais-ce qu'un minuscule trait de mon visage qui bouge. Elle n'est pas prête de voir quelque chose surtout si déjà moi je n'arrive pas à contrôlée mes muscles alors les traits de mon visage ne feront rien. Mes muscles se détendent quand je sens cette main sur la mienne. Une main rassurante qui caresse ma peau avec son pouce. Une main féminine douce, rassurante, calme. Tout ce qu'il me faut pour le moment. De la sérénité aussi. Je lis tout dans cette personne rien qu'à sa main. Je sens dans l'air comment est la personne mais je sens aussi son inquiétude, sa peur et sa tristesse qu'elle essaye de cachée. Petite fille mature, grande et adulte voilà ce qu'elle est. Elle me dit quelque chose mais je ne sais pas lui donnée un nom. Je sais que je la connais pas son nom, aucun nom ne me revient, aucun visage n'apparaît dans ma tête même pas ceux de ma famille que j'ai côtoyée toute mon existence. Je ne sais rien, je connaissais mais ne me souviens de rien. Tout les moments de ma vie avant ce matin où je suis partie de la maison ne me revient. Je me souviens pourtant de tout ce que j'ai appris à l'école. Je me souviens du nom de mon dernier prof. Je me souviens que j'avais un travail mais plus en quoi il consiste. Je me souviens que je devais commencée la semaine prochaine. Je devais aussi allée chercher une personne quelque part. Rien de plus, rien de moins, ma tête dit non aux autres souvenirs qui ne reviendront peut-être jamais en tout cas pas de si tôt. Je meurs dans ma tête. Mon coeur ralentit peit à petit. Mon cerveau se perd peu à peu dans le mirage des perdus, des personnes qui meurent, des personne qui ne savent rien faire pour guérir. J'aimerais tant ne serais-ce qu'ouvrir la bouche ou bougée mon petit doigt. L'envie de vivre, d'être libre, de courir dans les champs, de me roulée dans la neige, de nagée dans l'eau, de sautée partout, de vivre dans une sérénité et une liberté indéfinissable, dansée sous la pluie, sourire à la vie, séchée les larmes invisibles de chaques passants, parcourir le monde, regardée le monde se détruire pendant que moi je vies avant sue tout se finisse, marchée dans la rue profitant de l'air encore respirable, chantée à tue-tête comme si j'étais seule sur cette terre, jouée comme une enfant, profitée de la vie, vivre simplement, fredonnée un nouvel air, une nouvelle symphonie. Toutes ses envies se perdent en un coup dans mon coeur suivies par des milliers d'autres. Même dans mes yeux fermés doivent brillés des étoiles. Des papillons possédant mon ventre depuis des heures s'envolent dedans et puis disparaissent comme si ils n'avaient jamais existés, comme des humains. Je veux sentir l'air de dehors, l'air de la nature, l'air d'un parc à chaque saison, l'air d'une fôret, l'air de la mer, l'air autre que suffoquant. La personne prend la parole. Je l'écoute, l'oreille attentive.
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