0.2.1 Chapitre 1 #IAmOnlyHappyWithYou
Je me réveille assez chamboulée. J'ai très peu dormi. Aujourd'hui c'est le jour de mon départ du cocon familiale. Je suis heureuse mais j'ai aussi un peu peur. Je ne connais personne a Londres. Je sais très bien parler anglais mais j'ai peur qu'il me rejette. Au premier abord j'ai l'air d'une fille insoucieuse d'elle même mais je suis plus sérieuse qu'autre chose. Je ne fais pas attention aux autres mais quand on vous lâche dans un nouveau pays, dans une nouvelle ville inconnu encore pour vous et que les autres ne vous laisse pas vous adapter et vous faire une vie, ce ne sera pas très facile. J'ai l'estomac noué. Il me torture de l'intérieur. Ma peur est plus que visage. Je me lève enfin de mon lit. Je me dirige vers ma garde-robe et en prend quelque vêtement. Sa va me faire drôle de quitter la campagne pour la ville. J'entre dans la salle de bain après avoir pris des vêtements. Je me lave les cheveux et le corps. Je ressors et m'essuies. Je me sèche les cheveux. Je m'habille et ne me maquille même pas. (ma tenue: http://www.polyvore.com/tenue/set?id=118475321 ) On est en été. J'ai finis mes examens et je les ai réussis avec une mention très bien. Je pars chercher du travail à Londres. Si je dits mon nom de famille a tout le monde, je trouverais du travail facilement. Je n'aime pas trop cette vie. Durant toute ma vie, l'argent a été présent. On m'a utilisé et poignardé le coeur pour de l'argent. Ma famille a beaucoup enduré. On a entendu des insultes et des insultes. On a essuyé des moqueries. Les moqueries de la récré on été pour moi présente pendant plusieurs années. Je n'ai qu'une meilleure amie que je vais devoir délaissée pour la magnifique ville de Londres. Elle est arrivé comme un tournant de la vie. Invisible. Je ne l'ai pas vue arrivé et elle a chamboulé ma vie. Elle était nouvelle dans l'école. Elle savait qui j'étais mais elle s'en foutais. Elle voulait juste me connaitre. Elle m'a ouvert les yeux sur le monde. Elle m'a montré qu'il n'est pas si horrible. Elle ma montré c'est que si on vit c'est qu'il y a des bonnes raisons dans l'existence de vivre. Elle est la plus belle rencontre de ma vie. Je sors de la salle de bain. Je prends ma valise en passant. Je descends les 4 étages qui me séparent du rez-de chaussée. C'est pas pratique parfois de vivre dans le grenier alors qu'il a plusieurs dizaines de chambres a chaque étages de libre. Je ne regrette comme même pas mon choix. Dans ma chambre c'est isoler. Je ne risques pas d'être dérangé aussi. J'ai la paix. J'arrive enfin au rez-de chaussée. Je pose ma valise devant la porte d'entrée et pars prendre mon petit-déjeuner. Je fais la bise a mes parents, mon frère et ma soeur. Je prends un pomme verte posée dans un plateau sur le comptoir de la cuisine. Je la croque. Je la finie. Je vais partir enfin. Je vais quitter cet étoufflement familiale. Vivre dans la richesse c'est être protéger de tout et cela est assez étouffant. Je fais la bise a ma soeur de 13 ans et a mon frère de 8 ans. Je suis la plus veille. Je ne devais pas être la plus veille puisque j'avais un frère mais il est mort quand j'avais 3 ans. Je fais aussi la bise a mon père qui ne va pas pouvoir m'accompagner a l'aéroport puisqu'il doit aller travailler. Ma mère prends ces clés de voiture. Je prends ma valise et sors de la maison dans laquelle je vis depuis ma naissance. Je ne l'ai jamais quitté. J'entre dans la voiture ouverte a distance par ma mère quelques secondes plus tôt. Toute ma famille sauf ma mère est sur la palier de la porte a me faire au revoir de la main. Mon père a les larmes aux yeux. Ma soeur essaye de me sourire. Mon petit frère lui ne cache rien et pleure comme une madeleine. Je leur fais signe aussi pendant que ma mère démarre la voiture après avoir posé ma valise dans le coffre de sa voiture. Elle conduit sur le long chantier qui mène a notre maison. On est assez éloigné des voisins. Ils doivent bien être a 2 kilomètres au moins.Ce n'est pas très dérangeant parce que ce ne sont que des personnes âgées. Ils sont ronchons en plus. Ils ne donnent pas trop envie d'en apprendre plus sur eux. Je pose ma tête sur la vitre passager de la voiture. Le silence bat son plein dans la voiture. Aucune de nous deux n'osent parler et ce n'est pas trop si mal. Comme on est éloigné de la ville et que l'aéroport est a l'autre bout de la ville, la route est longue. Je commence a sombrer dans le sommeil. Ma mère qui n'aime pas la musique d'aujourd'hui, écoute des anciennes musiques. Elle écoute du classique et qui pour moi est a dormir debout. Je sens qu'on me pousse légèrement. J'entre ouvre les yeux et vois ma mère qui m'annonce qu'on est arrivé. Je me redresse et sors de la voiture. Après quelque étirements un petit baillement, je pars chercher ma valise dans le coffre. Ma valise tiré, mon sac a main sur l'épaule me voilà partir vers Londres. Une ville pleine de surprise. J'entre dans l'aéroport. Ma mère me suit. Au moment de se quitter parce que je vais passer les portes, je la vois pleuré. Elle me sert dans ses bras comme jamais elle ne l'a fait. IL faut vivre non pas pour se faire remarqué mais pour que son absence se fait ressentir. Je sers aussi l'étreinte.
Maman: Tu vas me manquer ma chérie...
Moi: Toi aussi maman...je dois partir...je n'ai pas envie de rater mon avion...
Maman: Oui ma chérie...Bisous
Elle me fait un léger bisous sur la joue. Je me retourne et passe les portes. Elle me fait signe. Je lui retourne son signe. Je continues ma route avec cette fois-ci que mon sac à main. Je passe tout les contrôles. J'attends sur une des nombreuses chaises qu'on dise qu'on peut embarqué. Je vais quitter le soleil du sud de la France pour le soleil et la pluie de Londres. Les hauts-parleurs de l'aéroport résonnent et indiquent aux passagers de mon avion de bien vouloir passé les portes pour entré dans l'avion. Je passe aussitôt les portes. J'entre dans l'avion et m'assoies a ma place. Je sors les écouteurs de mon sac. J'inspire un grand coups et prends mon baladeur. J'y insère les écouteurs. J'enfourre les écouteurs dans mes oreilles. Je ne mets pas ma musique parce qu'on n'a pas le droit avant de décoller. J'attache ma ceinture. Sa me fait mal de ne pas voir ma meilleure amie mais je lui ai interdis de venir me vois a l'aéroport. Je n'avais pas envie de pleuré. Je vois que d'autres personnes entre et s'assoies les unes après les autres. Le commandant de bord nous dit que nous allons décoller et qu'on doit bien attacher nos ceintures. Je suis une habitué des avions. Je n'ais donc pas du tout peur. L'avion par vers la piste de décollage. Entre temps j'ai vue un autre avion se posé sur la macadam. L'avion va bientôt aller en ligne droite. L'avion fait rugir es moteurs et s'engage sur la ligne droite. Il roule vite et s'envole dans les airs. Je vais découvrir enfin Londres. Une ville que je rêves de découvrir depuis que je suis toute petite et dont je n'y suis jamais allé. Pour moi elle est pleine de mystère. Je comptes bien les découvrir.
*Il y a 67 pages sur World pour cette histoire en comptant le prologue et le chapitre 1 avec*
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