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Amoureux de la mort

La mort si attirante vous apparaît repoussante, je l'aime au point de non retour, je souhaite son éternel amour ! Ne vous effrayez pas, ne riez pas vous me lisant sans mon accord ou vous mon psychiatre, car toutes ses figures d'amants ne sont-elles pas obscurcies par l'ange noir ?

Trouverez-vous les vampires séduisants s'ils ne se nourrissaient pas de sang ? Belles suceuses de sang, nous caressant de leurs doigts carmins le long de notre moelle épineuse, en image d'Épinal ou séduisants mignons mordeurs, enfonçant leurs canines tels des félins en s'amusant avec nous. Sanglantes figures, polymorphes, pensez-vous les aimer si elles ne se mettent à ne plus tuer, se nourrir du fluide vitale, en cessant d'agir en parasite ?

Immortalité par le suicide, mortalité par l'ambiante moralité !

J'aime la mort, est-ce un crime ?

La rouge corde tressée autour de ma gorge me caressa d'une si plaisante manière, j'avais accroché un crocher de boucher pour m'y suspendre, m'envoler loin de ce monde misérable, ça n'a pas accroché.. Des atomes crochus ont fait que ça n'a pas fonctionné, ils ont défoncés la porte pour me décrocher, puis la corde se montra de mauvaise qualité. On meurt pour un rien, pourtant je suis encore en vie.. J'avais pourtant tout répété, tant répété, pour la première fois de ma vie, je me sentais vivant, plus de répétitions je m'amenais à une brutale interruption du programme.

De la dignité, est-ce trop demandé ?

Ils me préfèrent tous mort intellectuellement, publiquement que définitivement. Où est la beauté, la gloire à se trouver avec des patients violents parfois des criminels enfermés ? Où est le salut dans un asile pareil ?J'irais mieux en voyant pire ou grâce à leur contact, entendre en permanence des: « Comment allez-vous aujourd'hui ? »,« Parlez-moi de votre enfance. » et  « Avez-vous conscience d'aller mal, d'avoir besoin d'aide et d'être malade ? Vous savez la conscience, c'est le premier pas vers la guérison. »

J'ai raté mes études médicales pour terminer englué dans cette science molle m'absorbant de plus en plus, si je ne pense plus un jour être un raté, ils arriveront à me le faire croire.

Excusez-moi, je vous en prie, excusez-moi d'avoir vécu, pardon d'être toujours en vie.

Grâce à leurs services, leurs maltraitances, ne vous en souciez plus, je pourrais crever d'une maladie physique car ils auront jugés dangereux de me laisser seul dans ma chambre pour y chercher un coll roulé en plein hiver, en me contraignant à porter seulement des maillots ou des chemises.

Non je n'y suis guère, pourtant je sens arriver cette guerre.

Je suis un névrosé, un maniaco-dépressif, un paranoïaque, un possesseur de maladies mentales, psychophobe par dessus le marché, quelqu'un n'ayant pas réussi à s'y adapter. Je suis un déviant, un suicidaire de plus dans ce système en créant à tous vas, un désabusé, un abusé, l'espoir à mon passage se meure. Tout mon amour à la mort.

Tard dans la nuit, dans mes draps à vivre ma difficile insomnie, en songeant à elle en voulant provoquer parfois sa visite, je m'endors bienheureux, je sens ses bras d'ivoires osseux me serrer, ses coudes appuyer sur ma cage thoracique.

Elle me murmure : « Chéri, ris d'eux, bientôt je te saisirais vraiment en t'étreignant comme une folle sans perdre de ma superbe. Je caresserais sans attentes, sans dégoût tes cheveux couverts de sueur, tu m'offriras ta chaleur, je t'envelopperais telle une mère puis je te couvrirais de mille baisers, telle l'amante que tu aurais rêver de posséder. Tremblant, tu me demanderas amusé de cesser mon jeu, de t'achever entièrement, je jugerais s'il faut te laisser longtemps ou non agoniser. Ton esprit s'éteindra en frissonnant de dernières pensées, vacillante flamme dont l'éclat froid dans ma main j'avalerai goulûment, tu retrouveras l'état eu quand à peine achevé en fœtus tu baignais dans ton liquide amniotique. Tu me remercieras et me maudiras tout à la fois, car mon amour je ne le donne qu'une fois. Je t'ai apparu dédaigneuse, indifférente, lointaine, tu sentiras des regrets de l'époque où ta compagnie je n'ai pas cherché. Pour terminer, tu m'accepteras sans vraiment décider. »

Ah, mon amour, je ne te mérite pas. Est-ce pour cela que tu m'as refusé la froideur si douce de tes bras ?

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