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22 | 'PARADISE'

Tweek était réellement inquiet. Anxiété, stress, angoisse, toutes ces émotions se mélangeaient dans le fond de son estomac. Il ne se sentait vraiment pas bien.

Tout ça à cause de Kenny.

Il en était presque persuadé, quelque chose clochait. Ça n'avait d'abord été qu'une simple intuition qui s'était rapidement transformée en paranoïa. Dès qu'il voyait le blond qu'il aimait sourire à Butters ou lui parler, c'était plus fort que lui, il ne pouvait pas s'empêcher de s'imaginer les pires choses possibles. Il n'avait plus aucune confiance en Kenny bien qu'il ne l'admette pas encore.

Aujourd'hui encore, son amoureux avait déclaré qu'il devait s'occuper de Karen. Si c'était juste une excuse, Tweek ne le savait pas, mais il s'apprêtait bien à en avoir le cœur net.

C'était d'un pas mal assuré, mordant fermement un des cordons de son sweatshirt kaki sous le coup de l'anxiété, qu'il se rendait chez les McCormick. Il voulait apprendre la vérité. L'hypothèse que Kenny lui mente, à lui, que Kenny le trompe, était omniprésente dans son esprit. Et plus il y pensait, plus ça lui paraissait plausible.

Malgré tout, même si cette théorie se révélait réelle, il ne s'en remettrait pas. Ça serait bien trop dur pour lui.

Il prit une grande inspiration, se retenant de se tirer les cheveux, et il s'arrêta sur le perron, devant la porte délabrée de la pauvre maison. L'hésitation était à son comble. Devait il toquer ou non ?

S'il toquait, le blond ne serait pas surpris en plein acte d'adultère. Mais s'il entrait sans frapper, ce serait vraiment irrespectueux.

Après quelques instants en silence, se demandant ce qu'il était sensé faire, la panique le prenant tout entier, il décida de contourner la maison. Il arriva doucement devant la fenêtre de la chambre du McCormick. Si quelqu'un le voyait, ils auraient tous les droits de penser qu'il était mal intentionné.

Le cœur battant la chamade, Tweek leva le regard pour regarder à travers les rideaux troués. Et ce qu'il vit le détruit totalement. Il avait l'impression qu'on venait de broyer son cœur et qu'il avait éclaté en morceaux. Il avait mal.

Sur son lit, Kenny était occupé à embrasser Léopold en dessous de lui.

Tweek ne savait pas s'il était sensé réagir. Pour l'instant, il était trop choqué.

Depuis combien de temps ça durait ?

Depuis combien de temps le garçon qui disait être amoureux de lui lui mentait ?

Il avait l'impression que l'adolescent venait de lui planter un couteau dans le dos et le remuait lentement dans la plaie pour le faire encore plus souffrir.

Et alors le déclic. Les larmes s'emparèrent du blondinet, dévalant son visage, sans fin, gouttant le long de son menton. Il se leva brusquement, et marcha d'un pas vif vers la porte d'entrée, qu'il ouvrit rapidement. Ses émotions bataillaient en lui. Il était tiraillé entre la colère, le dégoût et la tristesse.

Ignorant Karen qui était allongée sur le sol à regarder la télé, il se dirigea immédiatement vers la chambre de l'adolescent.

ESPÈCE D'ENCULÉ ! hurla-t-il en ouvrant la porte.

En l'entendant, Kenny sursauta et tomba de son lit, horrifié.

SALE CONNARD ! C'EST QUOI TON PROBLÈME !?

— Tweek ? bredouilla le blond, Mais qu'est ce que tu fiches ici ?

PUTAIN MAIS TU ME DÉGOÛTES ! T'ES DÉGUEULASSE MCWHOREMICK ! ESPÈCE DE MENTEUR, D'ENFOIRÉ, DE CONNARD, DE SALOPARD !

L'intéressé se leva rapidement, paniqué, et il s'approcha de Tweek pour essayer désespérément de le calmer. Il ne réussit qu'à se prendre une gifle phénoménale en toute réponse. Du sang commença à couler dans sa bouche, et il remarqua horrifié que si Tweek voulait le tuer, il le pourrait en seulement quelques instants. C'était terrifiant de se dire qu'il avait éveillé la fureur d'un garçon qui faisait de la boxe depuis presque dix ans.

VA CREVER KENNY ! DEPUIS QUAND ÇA DURE ?! POURQUOI TU ME MENS C'EST QUOI TON PUTAIN DE PROBLÈME ?!

Butters avait quant à lui décidé de se cacher en position fœtale derrière le lit. Tweek en colère, c'était vraiment quelque chose d'assez effrayant, surtout qu'il hurlait vraiment fort. Il n'aurait vraiment pas aimé être à la place de Kenny en ce moment.

Tweek calme toi je suis désolé–

— FERME TA GUEULE ! TU N'AS AUCUN DROIT DE ME DIRE DE ME CALMER TU M'ENTENDS ?!! T'ES DÉSOLÉ DE RIEN DU TOUT ! T'AS JOUÉ AU SALAUD ET SI TU ÉTAIS DÉSOLÉ TU NE M'AURAIS PAS MENTI !

— Tweek je voulais pas te faire de mal–

— EN QUOI TU VOULAIS NE PAS ME FAIRE DE MAL ?! TU T'ENTENDS PARLER DES FOIS ?! C'EST QUOI TON PROBLÈME !?

Il ne lui laissa même pas le temps de lui répondre. De toute façon, il n'attendait pas de réponses de sa part. Kenny avait voulu jouer avec lui, il allait se prendre le karma en pleine face. De toutes ses forces, il donna le coup de pied le plus puissant qu'il puisse juste dans les parties sensibles du garçon qui l'avait trompé. Et quand Tweek y mettait toute sa force, ça faisait vraiment mal.

Le McCormick tomba au sol, se recroquevillant sur lui-même, essayant vainement de faire partir cette douleur qui lui paraissait insurmontable. Les larmes commençant à brouiller sa vue, il regarda son premier amour quitter la pièce d'un pas rapide sans même lui jeter un autre regard.

Putain, murmura-t-il entre ses dents, sa voix se cassant tellement il avait mal.

Tweek essuya rageusement les larmes qui roulaient le long de ses joues alors qu'il avançait sur le trottoir. Il avait envie d'oublier Kenny. Il voulait l'oublier. Il avait besoin de faire quelque chose pour y remédier.

Ces derniers temps, Stanley était plus préoccupé par Kyle pour essayer de faire attention à lui. Après tout, ils ne s'aimaient pas réellement, le blond ne pouvait pas lui en vouloir de s'inquiéter pour le garçon qu'il aimait (même s'il n'admettait pas encore cette dernière chose, ce qui commençait vraiment à taper sur les nerfs de l'adolescent).

Alors, sans même savoir pourquoi, ses jambes l'avaient porté jusque devant chez les Tucker.

Je suis vraiment en train de faire ça ? Mais quel abruti, souffla-t-il pour lui-même en secouant la tête.

Il s'approcha et toqua à la porte. Quelques instants plus tard seulement, Ruby vint lui ouvrir.

Craig est dans sa chambre, déclara-t-elle simplement avant d'enfiler son manteau et de sortir de chez elle.

Tweek hocha la tête et grimpa les escaliers presque quatre à quatre. Sa tête était trop embrumée par Kenny et par cette envie désespérante de l'oublier, rien qu'un instant, qu'il en oubliait même que Craig avait déjà un petit ami. Pour être totalement honnête, c'était le cadet de ses soucis pour l'instant.

Il entra dans la chambre de Craig sans dire un mot et resta silencieux, le regardant. Le brun en question était allongé sur son lit, et il leva les yeux de son téléphone, médusé de voir le garçon qu'il avait toujours aimé se tenir dans sa chambre, en pleurs.

Tweek est ce que ça va ?

Le blond se contenta de secouer la tête de gauche à droite, essayant de retenir ses larmes le plus possible.

Qu'est ce qu'il se passe ?

— Je, commença-t-il, les lèvres tremblantes, Je préfère ne pas en parler. S'il te plaît Craig fait moi tout oublier.

— Heh ? fut tout ce que l'adolescent fut capable de lâcher, confus.

Prends moi. Fais moi mal. Fais tout ce que tu veux avec moi mais je t'en supplie baise moi.

Craig resta bouche bée, n'arrivant pas vraiment à y croire. Ça devait être un rêve, il n'y voyait pas d'autres explications. Pourquoi est ce que Tweek viendrait le voir lui alors qu'il avait déjà un petit ami ?

L'adolescent s'agenouilla et prit ses mains dans les siennes.

Je suis vraiment désolé de te demander ça mais je t'en supplie. Tu es le seul qui puisse me faire du bien, j'en suis presque sûr.

Le brun réalisa que c'était impossible que ce ne soit que dans son imagination. La bosse qui s'était formée dans son pantalon, elle, était bien réelle.

Okay, soupira-t-il en se levant pour aller fermer la porte de sa chambre à clé.

Il ne se souvenait pas avoir été aussi nerveux durant toute son existence. Il en tremblait presque, c'était pour dire. Son cœur battait la chamade, résonnant jusque dans ses oreilles. Il avait l'impression qu'il allait sortir de sa poitrine. Il essaya de se calmer un peu. Il n'allait réussir à rien du tout s'il restait dans cette condition.

Calme toi calme toi calme toi, pensa-t-il.

Après quelques instants, il se retourna et sourit légèrement au blond qui le regardait d'un air mal assuré. Il vint l'allonger sur son lit doucement rien que pour l'embrasser ensuite tendrement. Et dieu savait à quel point c'était bon. Il ne s'était jamais senti aussi vivant auparavant. C'était tellement différent de Kyle, tellement différent de tous les autres garçons qu'il avait embrassé avant. Tout simplement parcequ'il aimait celui qu'il embrassait. Et ça faisait une énorme différence.

Tweek se sentait bizarre. Il se sentait comme étrangement attiré par les lèvres du Tucker. Comme addict. Il ne voulait pas les lâcher. Contrairement à Stan, contrairement à Kenny, elles étaient parfaites et paraissaient complètement se mélanger avec les siennes. Ce léger goût de cola et de glace à la fraise, le blond en raffolait plus que tout. Il appréciait tellement le moment qu'un léger gémissement s'échappa de ses lèvres. Craig en profita pour passer sa langue dans la bouche du plus jeune. Tweek croyait que ça n'aurait pas pu être mieux, et bien il se trompait. Il avait déjà l'impression d'être aux anges, rien qu'avec ce baiser.

Il sentit les fins doigts glacés de Craig se faufiler sous son sweatshirt, faisant frémir le blond au contact. Ils caressaient chaque partie du torse de Tweek, chaque trace de ses légers abdominaux, chaque courbe de son corps, comme pour mémoriser parfaitement la forme qu'il avait sans même le regarder. Il adorait ça.

Craig finit par couper leur baiser torride, et l'adolescent en dessous de lui geint en ne sentant plus ses lèvres sur les siennes. Le Tucker sourit légèrement et il retira le sweatshirt de Tweek rapidement. Ses yeux vert serpent scannèrent chaque morceau de peau blanche du garçon, chaque courbe, chaque grain de beauté.

Tellement beau, souffla-t-il en commençant à laisser des baisers sur son torse, remontant doucement vers le creux de sa nuque.

Le blond laissa sa tête reposer sur l'oreiller alors qu'il soupirait de plaisir, frissonnant légèrement au contact. Il en voulait déjà tellement plus, mais Craig avait l'air de vouloir prendre son temps avec lui.

Tweek commença quand même à s'impatienter légèrement, sa virilité tellement dure que ça commençait presque à lui faire mal, et il retira le t-shirt que le Tucker portait. Ses yeux s'attardèrent sur ses abdominaux bien formés et il posa ses mains sur ses pectoraux, caressant son corps doucement d'un air émerveillé. Ses mains descendirent ensuite vers sa ceinture, qu'il retira facilement, et il baissa son pantalon avant de garder son regard fixé sur la bosse qui était formée dans son caleçon. Il se mordilla la lèvre, se sentant vraiment attiré, mais il finit par se faire repousser sur le lit plutôt violemment.

Il cligna des yeux, éberlué, avant de relever le regard vers le brun qui le fixait avec cet air de prédateur, cet air qui mettait Tweek dans tous ses états.

Tu m'as dit que je pouvais faire tout ce que je voulais avec toi, murmura-t-il d'une voix basse contre son oreille, Alors tu vas arrêter tout de suite de prendre ce genre d'initiatives. Je sais pas comment tu fais avec Stan ou avec Kenny, mais avec moi c'est moi qui mène et c'est point barre.

Sentir son souffle contre sa nuque et ses paroles, ça rendait Tweek encore plus excité qu'il ne l'était déjà. Il se tortilla un peu sous son emprise et finit par hocher la tête en gémissant presque silencieusement un « oui daddy ». Craig resta d'ailleurs complètement figé au surnom, ses joues passant immédiatement au cramoisi. Il n'arrivait pas à croire ce qu'il avait entendu.

Qu'est ce que tu viens de dire ?

— Oui daddy, répéta le blond sans le quitter du regard.

Le Tucker sourit, se léchant rapidement les lèvres. Il aimait trop ce garçon, c'était définitif. Il plaqua ses lèvres sur les siennes à nouveau, plus fougueusement, et alors que Tweek passait ses mains autour de sa nuque, gémissant dans sa bouche, il en profita pour retirer son pantalon et son caleçon. Il coupa ensuite leur baiser pour regarder le corps nu de l'adolescent qu'il aimait. Ses yeux divaguèrent de ses pieds, ses jambes vers ses cuisses et son entrejambe.

T'es magnifique, chuchota-t-il en souriant.

Ça eut le don de faire rougir légèrement le garçon en dessous de lui, qui commença à jouer légèrement à jouer avec ses doigts. Le Tucker retira ensuite son propre caleçon et se pencha à nouveau pour réembrasser le blond, pressant leurs érections l'une contre l'autre. Ils gémirent tous les deux, Tweek était déjà en sueur. Il avait tellement envie de plus. Craig le faisait attendre exprès, il en était presque sûr.

Ce dernier finit par couper leur baiser pour pouvoir commencer à faire des suçons dans sa nuque.

A-aah Craig, gémit Tweek doucement.

Le cœur du brun fit un bond dans sa poitrine. Ce n'était pas Kyle qui gémissait son nom. C'était bel et bien Tweek. Et ça le rendait plus qu'heureux. Il se releva légèrement, s'asseyant pour commencer à préparer le blond, mais ce dernier lui claqua la main avant qu'il ait pu toucher quoi que ce soit.

Heh– désolé tu veux pas aller plus loin ? Je devrais te demander ton avis avant de faire ce genre de choses pardon–

— Je veux faire ce genre de choses idiot. Mais je ne veux pas que tu me prépares.

— Quoi ? Mais tu es au courant que ça va te faire mal sinon ?

— C'est le but. Je veux que tu me fasses mal Craig. Je veux que tu me fasses crier le plus vite que tu puisses, le plus fort possible. Je veux atteindre les étoiles, je veux que t'y ailles le plus violemment possible avec moi. S'il te plaît fais moi mal j'attends que ça.

Le Tucker rougit, un sourire prenant place sur son visage. Il était vraiment une perle rare, et son amour pour lui ne faisait que grandir au fur et à mesure qu'il en apprenait sur le blond.

Un peu maso alors ... souffla-t-il en plaçant ses mains sur les hanches du plus jeune.

Il se plaça à son entrée, et quand le blond ne s'y attendait pas, il le pénétra entièrement et plutôt violemment. Et bordel qu'est ce que Tweek avait mal. Il avait tellement mal. Mais au fond il adorait ça. Il cria immédiatement le nom du Tucker, sa voix déjà tremblante de plaisir. Il était en sueur, déjà haletant, et le brun n'avait même pas commencé à faire des va-et-vient. Alors qu'il essayait déjà de se calmer tant bien que mal, Craig se retira presque entièrement pour le pénétrer une nouvelle fois encore plus fort, touchant immédiatement la prostate de Tweek, qui sans même s'en douter le moindre instant, jouit immédiatement entre leurs ventres, gémissant le plus fort qu'il puisse. Quand il se rendit compte qu'il avait déjà éjaculé, il commença à s'excuser.

Désolé je voulais pas– pas maintenant enfin– c'est juste trop bon je suis désolé, désolé, ça fait trop longtemps que j'ai pas– tu m'a tellement excité– enfin je suis désolé ! Pardon je voulais pas–

Craig resta surpris par la rapidité des évènements, et il toucha la semence de Tweek en souriant.

Tu veux que je te punisse hein ?

— Oui. Oui punis moi daddy fais tout ce que tu veux avec moi je suis entièrement à toi, répondit l'adolescent rapidement, ses yeux se mettant à briller.

Craig sourit un peu plus, et il le retourna pour le mettre à quatre pattes avant de le pénétrer une nouvelle fois. Tweek cria presque immédiatement de plaisir. Il s'en fichait d'être bruyant, il voulait juste faire savoir au brun qu'il était en train d'adorer ce qu'il lui faisait.

Tellement bon putain, souffla d'ailleurs le Tucker en baissant un peu la tête, accélérant ses mouvements.

Tweek avait perdu le contrôle de lui-même. Il ne faisait que gémir bruyamment, criant par instants. Ses jambes tremblaient par moments, son corps entier pris par une chaleur qu'il n'avait jamais réussi à ressentir auparavant. Il voyait trouble, ayant l'impression que le brun réussissait à aller encore plus fort, encore plus profond en lui à chaque instant. Il ne se souvenait pas de la dernière fois où il s'était senti aussi bien. Peut être simplement parceque c'était la première fois.

CRAIG !! cria-t-il quand le brun toucha une nouvelle fois ce point sensible.

Il était dans tous ses états. Craig le rendait complètement fou. Il touchait à chaque fois sa prostate, toujours plus fort. Le Tucker avait toujours envie de plus, de lui donner encore plus de plaisir, d'aller plus loin en lui, et il n'avait aucune idée d'à quel point le blond était en train d'aimer ça. D'à quel point il se sentait bien, d'à quel point il avait envie de lui, d'à quel point il avait envie de lui hurler qu'il l'aimait. En tout cas, Tweek le savait, il allait bientôt venir. Il sentait son orgasme approcher, il avait même l'impression de voir des étoiles. Des étoiles que ni Stanley ni Kenny n'avaient réussi à le faire voir.

A-AH CRAIG !!! Je vais- aaanh daddy !

Craig avait bien compris qu'il avait besoin de jouir, pourtant, il retourna le blond et il posa sa main sur le bout de son membre dur. Il sentit déjà du pré-sperme sur sa main, et il empêcha Tweek de jouir. Il continua de donner des coups de bassin puissants, faisant gémir encore plus l'adolescent qui commençait presque à avoir mal tellement il avait envie de venir.

Craig je t'en supplie ! Laisse moi venir je t'en supplie daddy !

— Pas encore. T'es puni, je te rappelle. C'est pas toi qui voulait avoir mal ?

Craaaaaaig ! gémit le blond en fermant les yeux.

Pour avoir mal il commençait vraiment à avoir mal, et bien évidemment qu'il aimait ça. Mais il avait vraiment besoin de jouir, il n'en pouvait plus de recevoir autant de plaisir il avait l'impression qu'il allait mourir tellement il se sentait bien, si c'était vraiment possible. Craig se pencha pour l'embrasser, toujours en continuant ses va-et-vient à l'intérieur de ... De son amant ? Il pouvait dire ça ?

Putain moi aussi j'ai envie de jouir ... gémit le brun en donnant un coup de hanches encore plus puissant que les précédents.

AAAH ! CRAAIG PUTAIN ! cria le blond comme simple réponse, avant d'essayer désespérément d'arrêter son orgasme, Fais ce que tu veux avec moi !!

Craig gémit bruyamment à son tour. Bordel qu'est ce qu'il aimait ça. Il aimait que Tweek le supplie de la sorte, lui dise qu'il pouvait tout faire avec lui. Il aimait que le blond soit complètement fou de lui. Il aimait Tweek. En attendant, l'adolescent avait la tête qui tournait tellement il se sentait bien, son corps entier tremblait en non-stop depuis un bon moment déjà, il voyait flou, seulement des points lumineux devant ses yeux, il avait vraiment mal de ne pas pouvoir venir. Et puis Craig retira son emprise de sa virilité tout en donnant un violent coup de bassin. Tweek se déversa presque instantanément, tremblant encore plus. Il jouit longuement, tellement pris par le plaisir qu'il ne fit pas attention aux mots qui sortaient de sa bouche alors que le brun continuait ses va-et-vient. Il n'arrivait ni à contrôler ses émotions, ni à contrôler les mots qu'il prononçait. Ça sortait tout seul, il n'y faisait même pas attention.

CRAAAAAIG !! JE T'AIME PUTAIN AANH JE T'AIME TELLEMENT CRAIG ! JE T'AIME !!

C'en fut trop pour le brun qui atteint son orgasme en même temps, venant à l'intérieur du blond qui continuait de gémir et de trembler. Le Tucker se retira de lui, haletant, et il réalisa les mots que Tweek avait utilisé.

Je t'aime.

Il venait de lui dire je t'aime. Son cœur battait tellement vite. Il n'arrivait pas à y croire, c'était trop beau pour être vrai. Il se sentit redevenir dur, et il jura sous son souffle.

Encore.

Le Tucker tourna la tête surpris vers le plus jeune qui tremblait toujours de plaisir, essayant de retirer un peu du sperme qui recouvrait son estomac.

Hein ?

— T'es dur. Ça veut dire que tu peux continuer pas vrai ?

Le garçon hocha la tête en silence, n'en croyant même pas ses oreilles.

Tu ... Tu m'as fait me sentir tellement bien Craig. Je veux que tu recommences. Je veux que tu me fasses à nouveau voir des étoiles. J'ai l'impression d'être au paradis avec toi. J'ai jamais ressenti ça avant. Alors s'il te plaît daddy ... Encore.

Le Tucker sentit tout son visage tourner au rouge, et il finit par acquiescer. Ils discuteraient de tout cela plus tard. Pour l'instant, le brun était juste avec le garçon qu'il avait toujours aimé, et ce dernier lui disait justement qu'il l'aimait et qu'il avait envie de lui. Les discussions sérieuses, elles pouvaient bien attendre qu'ils soient tous les deux redescendus de leur petit nuage.

~par où je commence ?
Le lemon. Je pense que j'ai pas mal d'explications à vous donner (ahah ...)
C'est que mon troisième (et croyez moi ça fait vraiment pas assez d'expérience pour que le résultat reste potable ;-;) alors désolée pour ça, surtout que– j'ai pas fait ça vraiment uhm– je ne trouve pas mes mots. Argh, aidez moi là. Si j'avais pu éviter, je l'aurais évité croyez-moi (à moins que vous vouliez du lemon. ¿? Et puis même, sérieusement je ne pensais pas que ça aurait été très bien écrit même si je voulais vraiment en faire). La seule raison pour laquelle je l'ai écrit en entier, c'était pour le 'je t'aime'. Oui, je ne pouvais pas juste caser ça directement, donc j'ai tout enchaîné.
Le je t'aime.
Je ne vais pas en parler là, ils en parlent au prochain chapitre. Je vous en reparlerai là aussi si besoin, mais j'ai déjà pas mal de choses à raconter ici.

Tweek a enfin découvert que Kenny le trompait. J'avoue que j'attendais ce moment depuis l'instant où j'ai écrit le chapitre six uhuhuh. Un bon pas en avant !
(Le pas en avant c'est surtout le creek ici faut que je réalise).

Donc oui, le prochain chapitre est encore du creek, mais ça devrait vous plaire aussi. Enfin je l'espère.

Encore désolée pour ce lemon erm *tousse* inapproprié ? *Tousse*
Désolée pour ça.
Sinon je vous dis à ce soir les louloutes~

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