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Chapitre 21

Les yeux écarquillés, Serephina les observaient tous les trois comme s'ils étaient devenus fous. Comment est-ce qu'ils pouvaient savoir ça ? Ce collier appartenait à sa mère, qu’ils ne connaissaient pas. Enfin… normalement.

Des trois Gryffondor, Ron était semblait qui semblait le plus choqué par le fait que Serephina porte ce collier. Il ne l'avait pas revu depuis tellement d'années… Il paraissait même sur le point de s'évanouir.

La rouquine, qui jouait avec son pendentif, ne comprenait rien à sa réaction.

Il appartient à une personne morte ou quoi ?

À vrai dire, ce ne serait pas si étonnant que ça. Elle ne connaissait pas l'histoire de sa naissance, mais elle se doutait que son père ait laissé sa génitrice vivante.

— Qu'est-ce que tu veux dire par là ? À qui il appartient ?

— Suis-moi.

Sans faire attention à son cri de protestation, Ron l'attrapa par le poignet et partit en courant, obligeant la jeune fille à lui courir après. Harry et Hermione étaient sur leurs talons. Plusieurs fois, Serephina faillit trébucher à cause du rouquin, qui lui-même semblait avoir l'air d'avoir du mal à ne pas tomber tant ses jambes tremblaient.

Il s'arrêta brusquement en arrivant devant les Trois Balais, où ses parents le regardaient arriver en fronçant les sourcils, sans comprendre pourquoi leur fils était si pressé, lui qui d'ordinaire était un paresseux.

Les yeux d'Arthur se posèrent sur la jeune fille rousse qu'il traînait par la main et il soupira. Voilà qu'il recommençait.

Seulement, Molly vit ce que personne n’avait vu jusque-là. Une ressemblance frappante entre son fils et l’adolescente qu’il tirait derrière lui. Elle serra la main de son mari, pleine d’espoir.

Quand Ron s’arrêta devant eux, il était essoufflé d’avoir couru plus de cinq cent mètres. Dès qu’il se mit à l’arrêt, Serephina dégagea son poignet de son étreinte et le fusilla du regard.

— Non mais c’est quoi ton problème, Ron ?

Hermione et Harry les rejoignirent au moment où la rouquine se tournait vers les parents Weasley. Une ride se creusa entre ses sourcils quand elle les vit. Une impression de déjà vu s’imprima en elle alors qu’elle était certaine de les rencontrer pour la première fois. Elle les avait peut-être déjà aperçut le peu de fois où elle était sortie du manoir Malfoy ou dans la Gazette des sorciers.

— C’est elle ! cria Ron à ses parents.

Serephina leva les yeux au ciel. Ce type était complètement timbré.

— Ron, intervint Hermione. Ralentis, elle ne doit rien comprendre.

Mais elle était la seule à faire encore attention à la jeune fille. Ron regardait ses parents, les yeux livides et brillants de larmes naissantes. En soupirant, Arthur posa une main sur l’épaule de son fils.

— Arrête. Elle est morte.

— Elle a son collier !

Le désarroi se lisait de plus en plus sur le visage de Serephina. Elle ne comprenait absolument pas pourquoi la vue de son collier provoquait un tel remue-ménage. Ce n’était qu’un bijou. Même s’il avait une signification particulière pour elle, il ne pouvait pas en avoir pour eux… à moins que… non. Elle se refusait à cette possibilité.

Après ce qui semblait être une révélation de la part du rouquin, sa mère fixa de nouveau Serephina, les yeux embués.

― Quelqu’un peut m’expliquer c’est quoi, votre putain de problème ? Laissez mon collier tranquille.

― D’où est-ce que tu tiens ce bijou ? lui demanda Molly.

Elle la fusilla du regard, ne sachant las si elle devait répondre ou non. Tout comme son fils, elle semblait avoir vu un fantôme depuis que ses yeux s’étaient posés sur le lion. Elle décida de le faire. Peut-être qu’il appartenait qu’ils connaissaient bien, ce qui expliquerait leurs réactions étranges.

― Il appartient à ma mère.

Ce n’était pas un mensonge à proprement parler. Il était vraiment à sa mère, mais pas à celle qu’ils croyaient. Dans leur tête, c’était une soi-disant sœur à la mère de Blaise Zabini qui l’avait mise au monde. Et là, ils ne comprenaient sûrement pas pourquoi une fille dont toute la famille était allée à Serpentard possédait un pendentif de l’emblème de Gryffondor.

Quand ils entendirent sa réponse, les jambes de Molly flanchèrent et son mari dut la rattraper pour ne pas qu’elle s’effondre par terre. Haussant un sourcil, Serephina regarda la scène, stupéfaite.

― Ma petite fille, s’extasia Molly.

La rouquine recula d’un pas. La mère de Ron avait perdu les pédales. Elle ne pouvait pas être sa fille. Jamais son père n’aurait couché avec quelqu’un qu’il considérait comme traitre à son sang.

― Qu’est-ce que vous racontez comme conneries ? C’est impossible.

― Tu n’es pas une Zabini, jeune fille, intervint Arthur. Tu es notre fille et tu as été enlevée par les Malfoy pour le compte de Voldemort quand tu avais trois ans. 

C’était tellement absurde qu’elle ne put s’empêcher de rire.

― Vous vous foutez de moi ? Vous devez confondre avec quelqu’un d’autre.

Pourtant, elle ne se souvenait pas de sa vie avant ses trois ans et dans ses cauchemars, un homme l’enlevait à ses parents.

― Si. On était parti dîner chez des amis et on t’avait laissée chez nous parce que tu avais été insupportable depuis que tu étais levée. Quand on est rentrés, tu avais disparu. 

C’était exactement le scenario qui se déroulait dans ses mauvais rêves. Elle secoua la tête et se tourna vers Harry et Hermione, qui la regardait d’un air désolé. Ils avaient l’air d’accord avec le délire de la famille Weasley. 

― Au départ, il n’y avait pas de jumeaux dans la famille Weasley. Il y avait des triplés, dit Hermione d’une petite voix.

― Fred, Georges, et la dernière-née, Serephina, termina Ron.

Elle secoua encore la tête. Ils disaient n’importe quoi. Ils lui mentaient. Elle était la fille de Voldemort. Elle recula de quelques pas, toujours en secouant la tête.

― C’est n’importe quoi, marmonna-t-elle avant de transplaner.

Ils sont tous complètement fous.

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