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《- Tous ça ? Dis-je plus qu'outré.

- Oui, me répondit Minho en rangeant bien les papiers qu'il avait amené, tous ça.... Il marqua une pause... Le maître, non le patron est en congé maladie, alors c'est son assistant qui est "À la tête" de toute l'industrie. Alors forcément il refile le sale boulot.

- J'vais aller le voir et lui faire une prise de catch !! 》

Les anecdotes de son travail me passionnait toujours mais en même temps, je ne pouvais pas m'empêcher de me demander si j'allais pas un jour porter plainte contre son patron ou les conditions de travail des employés. Je suis peut être excessif, mais parfois c'est clairement de l'exploitation, de mon point de vu.

Aujourd'hui, on avait décidé d'aller faire quelques magasins. C'était le week end, il faisait plutôt doux, toutes les conditions étaient réunis pour profiter d'une belle après-midi.

De mon côté, j'avais pratiquement finis la production de plusieurs sons, et j'étais prêt à les soumettre à une maison de disque ou autre, ou juste les présenter par moi même, de mon côté sur des plate-formes indépendantes tel Spotify ou Youtube. Si je pouvais me faire un nom dans le milieu, ça m'arrangerait. Comme toutes personnes soumettant leurs projets allez-vous me dire. Qui ne veut pas se faire un nom dans le domaine qu'il désire ?

Donc une fois avoir prit un déjeuner, s'être vêtu et s'être assuré que tout était éteint, parce que la dernière fois qu'on était sortit, le four tournait encore, heureusement qu'on était pas sortit très longtemps, on décampait.

On avait passé une très belle après-midi, ça faisait par ailleurs quelques semaines que je n'avais pas mis un pied dehors et je dois bien l'avouer, que cela faisait du bien. Si il n'y avait pas autant d'humain sur terre, je profiterai de l'ambiance extérieur plus souvent. Malheureusement, on est en surpopulation. Alors je reste chez moi.

Avant de rentré, on s'était assis au bord de plage avec une boisson. Le soleil se couchait, sous nos yeux, donnant à l'océan un reflet jaune-orangé magnifique. C'est fou de se dire que l'océan est de nature transparente, et que par conséquent c'est le ciel d'un bleu si pur, qui donne sa couleur à l'océan.
La nature est pleine de surprise.

Je vais toujours trop loin dans mes réflexions...

《- On a passé un bon moment tu ne trouves pas ? Me demanda Minho près de moi.

- Mmh, je baille un bon coup avant de continuer, on devrait se faire cela plus souvent.

- Il faut que je trouve le.. Du... Oui du temps, mais ce serait génial.

- On rentre ? Tout commence à se rafraîchir. 》

Un léger vent frais marin s'était en effet levé. De plus, il était déjà très tard, et connaissant Minho, il allait s'avancer dans son travail pendant deux bonnes heures encore. Alors, évitons la nuit blanche et rentrons plus tôt.

Minho me proposa de monter sur son dos pour rentrer, une proposition que j'acceptais avec plaisir, je n'avais pas vraiment envie de marcher alors pourquoi pas. Et c'est ainsi qu'on reprit paisiblement le chemin de notre maison.

Sur le dos de mon partenaire, j'observais les alentours, les rues de notre chère ville s'illuminer petit à petit. C'était agréable, et apaisant. Les centres-villes étaient toujours agréable a admirer, ce qui me permettait également de me perdre dans des nuages de pensées. 

Mais durant ma contemplation, Minho s'arrêta brusquement, et semblait réfléchir. Je pose ma tête sur épaule et le regarde tendrement avant de rétorquer :

《- Que se passe-t-il capitaine ?

- J'ai un doute, par quel chemin passe-t-on habituellement ? 》

Je pense que mon visage reflétait vraiment une surprise accrue, parce que je le vis détourner les yeux, gêné de cette question qu'il avait paradoxalement évoquée sans une once d'hésitation.

Après quelques battements de cils incertain, je levais la main pour lui indiquer le chemin à prendre. Il hocha la tête et sourit avant de me répondre.

《- Merci, j'avais oublié. 》

Tout pouvait être anodin, et je pense que tout autre personne aurait rit ou l'aurait taquiné. Et c'est vrai, cela arrive a tous, même les meilleurs, d'oublier des choses aussi futiles que cela. Mais, personnellement, je craignais. J'avais une crainte au plus profond de moi, et cet incident n'avait pas aidé à l'atténuer. Du moins, cet incident me confirmais que quelque chose ne tournais pas rond depuis un moment, et que cette atmosphère que je ressentais était bel et bien réelle. 

Toutes fois, Je comptais bien le questionner, j'avais besoin de le questionner.

Lorsque l'on pouvait enfin apercevoir notre bâtiment ou résidait notre appartement, notre résidence quoi, on fut -pas tellement surpris- d'y voir les révolutionnaires en plein plan à l'entrée.

Bien entendu qu'ils allaient nous arrêter pour tenir un discours révolutionnaire. A votre-avis, d'où tiennent-ils leur surnom ? 

《- MINHOO! Cria l'un des révolutionnaires, tu vas bien ??

- Oui, nickel et vous ? 

- Tout vas bien merci ! Bon, je sais qu'on te le demande souvent, surtout en ce moment, mais il faudrait que tu nous rejoignes, avec toi à nos côtés on sera connu dans toute la ville !

- NON DANS TOUTE LA PLANETE !

- On dit sur toute la planète.

- ah bon ?

- Haha, non merci, répondit poliment mon mari alors que je les regardais blasé, je ne rejoindrais pas une organisation qui lutte contre mon travail. 》

Il est vrai, que ces jeunes révolutionnaires, je dis jeune mais j'ai clairement le même âge, manifestent contre toutes les mesures prises afin de faciliter l'oublie de quelqu'un, lorsqu'il décède. Et je ne peux nier que d'un côté, je suis d'accord avec eux. Néanmoins, la société de Minho fait partie, et est une des plus grande organisation, permettant d'enlever toutes traces d'une personne, après son décès.
Et dieu sait que c'est un travail compliqué, lorsque tu sais qu'une personne peut avoir laissé des traces partout, ou peut être initialement membre d'une organisation illégale, par exemple. En découle alors toutes les recherches, puis après le fait de se rendre sur place pour devoir tout effacer, et s'assurer que tout le monde garde un équilibre... C'est un travail fatiguant et conséquent. 

Minho à vraiment du courage de faire ce métier. Surtout avec ses employeurs.

《- Et toi Han ? Tu veux bien nous rejoindre dans notre cause ?

- Non merci

- Arrêtez de les soudoyer tous les jours les gars.

- Mais Seungmin tu comprends pas, on arrivera jamais à faire lever le mouvement dans ces conditions !

- Je pense déjà que si on bougeait de cette résidence, on aurait plus de poids...

- Jeong-in a raison.

- Oh non, j'ai pas envie

- c'est a cause de la flemme comme celle de Taehyung qu'on ne pourra pas accomplir notre but final !

- J'ai pas la flemme, affirma le dit-Taehyung, on est au croisement d'une des résidences les plus peuplés et les plus riches de notre ville, y'a pas besoin d'aller très loin pour voir des gens. 》

Ils respiraient la bonne humeur tout de même, malgré leur dispute, c'était très drôle, on voyait que ce n'était qu'une prise de tête aléatoire, et ainsi, dans cinq minutes, tout ira bien.

On prit congés des révolutionnaires afin de rentrer chez nous. Je descendis du dos de Minho et on prit les escaliers en direction de notre appartement au troisième étage.

C'était sans compter que Minho connaissait littéralement TOUT le monde. Ou alors, c'était moi qui ne connaissait personne. Enfin bref, dès lors que l'on croisait quelqu'un, aka des voisins, il s'arrêtait pour discuter. Et ironie du sort, on venait de croiser des voisins ! Les deux hommes qui descendait, initialement rapidement les escaliers s'arrêtèrent afin de parler a Minho. Il me firent un bref bonjour, mais je n'avais aucunement envie de les côtoyer, je ne les connaissais même pas.

《- Oui tout vas bien de notre côté, affirma les voisins, les affaires roules bien.

- Je suis ravi de l'entendre. 》

Après quelques ragots, on pouvait enfin avancer, par moment je me demandais sincèrement si on arriverait à rentrer. Mais piqué d'une certaine curiosité, je me permis de demander alors a Minho quelques informations supplémentaire sur les deux précédents individus. 

《- c'était qui ? des voisins ?

- Oui, les voisins du dessus, tu sais ceux qui font une tonne de bruit et que tu méprises pour ça.》

Cette fois-ci c'est à mon tour de m'arrêter, plus que choqué de cette nouvelle, comment ça, c'était eux qui provoquait tous ce remu ménages, a longueur de journées et de nuits. Si j'avais su je ne les auraient pas aussi bien regardé, et je les auraient dévisagé. 

《- T'aurai jamais dû me le dire, et donc répondre à ma question ! Maintenant, comme je connais leur visage, j'aurai l'impression de vivre dans leur appartement dès qu'ils se feront remarquer !! Je te jure ils font trop de bruits, et-

- Tu sais qu'ils sont certainement pas sortis du bâtiment et qu'ils t'ont, par conséquent, certainement entendu puisque le couloir raisonne ? 》

Par réflexe, je couvrais ma bouche avec ma main droite alors que Minho riait suite à ma stupidité, où alors comme il l'aurait dit, à mon manque d'attention.

Enfin soit, avec tous cela, on avait enfin pu mettre les pieds dans notre appartement. On se sépara rapidement, alors qu'il allait vers la cuisine afin de faire quelque chose rapidement, je m'empressais d'aller prendre une douche et de m'enrober dans une couverture, au fond du canapé.

Minho déposa quelques en-cas sur la table basse, puisqu'on avait déjà mangé au restaurant. Il avait prit sa douche et s'était changé entre-temps, afin de travailler dans de bonnes conditions.

J'allais faire de même, travailler de mon côté. Mais j'allais d'abord procéder à une enquête. Je n'avais pas oublié.

《- Dis moi, tout vas bien en ce moment ? Tu as l'air fortement-

- Tout vas bien Hannie, je suis juste fatigué par le travail. Il y a... toujours des période comme ça... ne t'en fais pas ?

- Oui mais de la à en oublier le chemin pour rentrer... Tu me fais très peur en ce moment tu sais. Même ta façon de parler à changé, tu n'es plus aussi assuré qu'avant.

- Et la, ai-je perdu mon assurance ? 》

Il s'approche de moi en éloignant d'un seul coup son PC portable et vient me chatouiller sans scrupules. Je ne pouvais pas m'empêcher de rire aux éclats. De suite à sa torture, il vient me câliner. On restait très proche à partir de ce moment là. 

J'avais éteint mon ordinateur pour fermer mes yeux et profiter de sa présence pour laisser mes pensées vagabonder. Lui travaillait encore. Je ne riais pas lorsque je lui ai dis qu'il me faisait peur, c'est probablement parce que je tiens à lui, mais le fait qu'il se cloître dans un silence était terrifiant...

Purée... Il avait le don de changer de sujet.

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