02
Notre héroïne se baladait les mains dans les poches te regardait le sol. Elle n’avait pas vraiment envie de marchée dans une merde de chien. De plus, elle avait de nouvelle chaussure. Même si Cupidon vivait en elle, notre héroïne restait comme humaine, et le dégoût de savoir que les chaussures que tu mets pour la première fois, sont déjà sales parce que tu viens de marchée dans un caca de chien, elle le ressentait aussi. Notre héroïne et ses yeux magnifiques, ne devraient pas regardés le sol, ils devraient plutôt regardée droit devant eux. Elle avait le regard qu’il fallait, pour faire tombée les hommes, mais elle ne voulait pas. Elle n’avait jamais rien demandée à l’amour, juste de faire battre d’autres cœurs que le sien. Sans amour, elle vivait bien, elle y croyait. Elle y croyait tellement qu’elle c’était fondue dans ce mensonge. Elle vivait de l’amour des autres, en acceptant pas le faite que quelqu’un puisse un jour l’aimer. Elle avait un nom, cette jeune âme qui réunissait les cœurs. Carys. Son prénom lui convenait vraiment, venant du gallois de ‘Caru’ qui signifie amour. Ce prénom lui convenait à merveille. Elle le portait à ravir aussi, même si personne ne savait vraiment comment elle s’appelle. Elle ne restait pas forcément dans l’ombre, mais elle ne baigne pas non plus sous la lumière des projecteurs ou du soleil. Elle baignait sous la lumière de l’amour, mais seulement sous celle-là, et sous aucune autre. Le bonheur se mélangeait avec. Jamais, un seul des couples, de tous les individus qu’elle avait réunie, n’avait pensée se séparé de l’autre. Elle n’avait jamais échoué. Carys se rendait à nouveau dans le parc. Elle espérait revoir les amoureux ensembles. Elle n’avait pas croisée leur route. Ils s’aimaient et elle n’avait pas vraiment besoin de plus. Elle croisait les doigts pour voir le résultat de tout ce qu’elle avait accompli. Elle n’avait pas grand-chose à faire dans la vie. Elle vivait comme au jour le jour. Carys songeait à la prochaine personne à qui elle va apportée l’amour. La bonne personne à ses yeux. Carys avait réunit tellement de personnes, qu’elle devait être fière, mais elle n’avait aucune fierté à faire ce qu’elle faisait. Elle fulminait de savoir, si un jour, son travail allait échouer. Jamais cela n’était encore arrivé, mais si un jour cela arriverait, Carys n’aurait plus aucune raison de croire en l’amour, même pour les autres. Elle ne c’était jamais trompée, et elle ne comptait se trompée maintenant. Carys écoutait les battements de son cœur. Ils étaient réguliers, comme toujours, c’était un bon signe alors. Carys savourait déjà sa victoire. Elle sentait l’odeur de l’amour emplir ses narines. Elle avait gagnée, encore une fois. L’amour avait à nouveau triomphé, et réunit deux êtres par l’intermédiaire de Carys. Elle n’était pas non plus, la spécialisée en amour, au niveau des conseils, mais pour réunir deux personnes, les deux bonnes personnes, elle était Cupidon. Elle collectionnait les réussites, comme une célébrité collectionne, pas pour toute, les trophées. Elle avance lentement. Elle n’a pas la démarche la plus rapide qui soit. Carys était comme même têtue. Elle ne se laissait pas vraiment faire. Elle laissait l’amour faire son petit bout de chemin, elle faisait juste accélérée le rythme, elle donnait un petit coup de pouce à l’amour, qui faut le dire en avait bien besoin. Carys écoutait le bruit de ses talons sur le sol. Elle n’avait pas de hauts talons, mais ces bottes claquaient comme même sur le sol. Elle n’était pas prétentieuse, ni même arrogante. Elle avait son caractère, et refusait toute preuve que quiconque aurait bien voulue lui accordée. Elle se contentait comme remerciement par les couples, de leurs sourires et de leurs amours qui se montraient. Elle avait juste besoin de les voir s’aimés, pour être satisfaite de ce qu’elle a fait. Carys ne souriait pas souvent. Ni ne riait. Elle avait sourie, lorsqu’elle était jeune. Elle avait même tellement sourire, qu’elle avait comme épuisée son stock. Elle avait ses petites pensées à elle, ses manières et ses tiques. Ces manies auraient pu dérangés pas mal de personnes, mais il faudrait déjà qu’elle côtoie ces personnes. Elle replaçait souvent une mèche derrière son oreille, ou elle regarde souvent ces pieds. Elle avait aussi, comme petit défaut, sa tête qui révélait souvent une mine blasée. Elle avait beau être heureuse pour tous ces couples, elle ne sourirait comme même pas, et encore moins comme si sa vie en dépendait. Carys s’éloignait de plus en plus de son chez elle. Elle aimait sortir de chez elle. Elle avait une raison. Ce n’est pas en restant assise sur son canapé qu’elle verra l’amour, le vrai montré le bout de son nez. À la télévision, l’amour n’est pas comme le vrai. Carys souriait, intérieurement. Elle repensait à ces deux adolescents. Elle imaginait leur vie future, leur couple tenir face aux années. Elle baignait dans le bonheur, d’avoir encore réussit, en même pas quatre jours, quelque chose qui aurait pu paraître impossible. Carys arrivait devant l’entrée du parc. Elle se rendait au même endroit où elle se trouvait la veille. Elle y arrivait rapidement. Le banc n’était pas vraiment très loin de l’entrée par laquelle elle passait. Il y avait plusieurs entrées au parc, comme à peu près pour tous les parcs britanniques dont elle en a la connaissance. Carys pensait à bientôt déménagée. Elle avait déjà fait du bon travail ici, elle en aurait toujours à faire certes, mais on avait peut-être besoin d’elle autre part. On avait besoin d’elle partout. Partout l’amour appelait à l’aide, et il n’y avait que Carys pour l’aider. Elle avait sauvée déjà pas mal de vie, pas mal d’âme perdue. L’amour avait sauvée ces personnes, Carys fut présente pour donnée un coup de pouce à cet amour, et donc à sauvée ces personnes. Pourtant, comme on pourrait croire avec les clichés, ce n’était pas les filles qu’elle avait le plus sauvée, mais des garçons. Tout croit qu’il y a plus de personnes féminines qui meurent et qui se suicident que de garçons, mais non. Elle avait sauvée plus d’hommes que de femmes. Comme si les femmes n’avaient pas eues besoin d’elle pour se sauvée elle-même. Carys entendait le chant des oiseaux. Elle avait envie d’être un oiseau. Pour la simple raison, qu’elle pourrait volée et voyagée, qu’elle pourrait l’amour dans toutes les cultures, de plusieurs manières différentes. Carys se rendait sur le banc. Elle s’assit, doucement. Elle ne cherchait pas à s’affalée sur le banc. Elle aimait s’assoir, correctement, toujours droite, toujours comme si elle était bien élevée. Elle regardait les nuages, soufflés par le vent d’automne. Les fines brises de vent froid venaient lui procurer des frissons. Il n’y avait plus de papillons en cette saison. Alors, Carys les imaginait.
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