01
Elle ne gaspillait pas souvent sa salive. Elle ne parlait pas beaucoup. Elle n’était pas non plus d’humeur bavarde aujourd’hui. Elle souriait aux personnes qui l’entouraient, mais elle était comme un peu à l’écart, dans son esprit. Elle soudoyait du regard, un jeune homme qui regardait du coin de l’œil la fille à côté d’elle. Elle aussi faisait de même. Notre héroïne n’en pouvait plus de voir ses deux âmes qui étaient destinés à être ensembles, ne faire que se regarder. Ils avaient tout les deux peurs de faire le premier pas. Elle voulait qu’ils fassent quelque chose, qu’ils agissent enfin pour leur propre intérêt. Cela faisait le quatrième jour, que le garçon revenait parce que la jeune fille allait toujours sur ce banc, à une certaine heure. Elle avait assez de les voir se jeter des regards, mais en rien faire de plus. Elle n’avait pas envie de les poussée à bout. Ils devaient comme même faire le premier pas. Elle ne sera pas toujours là pour qu’ils le fassent, ce premier pas. Notre héroïne n’en pouvait plus. Elle se tortillait sur son banc, voulant attirée l’attention du garçon sur elle. Elle ne voulait pas l’attirée à lui, mais juste qu’il voit qu’elle lui fait signe d’allée, enfin, parlée à la fille qui est à côté de lui. Il revenait pour cette fille, tous les jours. Juste pour voir ses yeux, ca garçon défiait l’autorité de ses parents. Notre héroïne le savait, elle savait tout, sans même connaître vraiment les individus qu’elle avait en face d’elle. C’était le pouvoir de l’amour, qui faisait qu’elle connaissait cela. Elle espérait qu’il fasse enfin le premier pas. La fille à côté de lui, ne voulait pas faire le premier pas, trouvant que c’est aux garçons de faire les premiers pas et non la gente féminine. Si cela continuait, leur amour attendrait encore et encore, et finirait peut-être par se rompre. Notre héroïne ne se trompait jamais. Elle avait toujours raison sur l’amour. Elle ne c’était jamais trompée, et n’était pas vraiment prête à se trompée pour la première fois. Elle c’était démenée pour plusieurs couples, jusqu’à même prendre de tes gros et grands risques, mais elle avait toujours réussie à arrivée à ses fins. Les deux âmes finissaient pas finir ensembles, et a formées un très beau couple, qui risque de durée, éternellement. Elle croyait en ses deux personnes, qui ne se connaissaient pourtant pas, mais qui allait formée un couple, auquel notre héroïne sera très attachée. Ils sont jeunes, plus jeunes qu’elle, même. Ils avaient vraiment la vie devant eux, en plein milieu de leur adolescence. Ils n’avaient pas vraiment beaucoup à perdre. Ils croyaient en l’amour, eux. Ils croyaient en l’amour plus pour eux que pour toutes les autres personnes de la terre. Ils n’étaient pas égoïstes, mais ils savaient que le vrai amour les attendait quelque part sur cette terre. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que le vrai amour, était à côté. Ils étaient pour l’autre, le réel amour, la bonne personne. Ils sont pourtant si jeunes, mais ils savent comme même que la bonne personne, on peut la rencontrée, n’importe quand et n’importe où, qu’importe l’âge qu’on pourrait avoir. Notre héroïne se démenait pour que le garçon aille vers la fille, parce que ce n’est pas la jeune fille va allée vers lui, notre héroïne en est sûre et certaine. Notre héroïne qui pour la dernier couple qu’elle avait réunit, avait presque affrontée le monde entier, ne voulait pas encore recommencée cela une nouvelle fois. Elle était de nature romantique, elle aimait les belles choses, elle avait toujours réussie à trouvée les belles choses qui puissent se trouvée dans n’importe quel objet ou lieu ou même être vivant. Elle savait trouvée la beauté dans tout, en un seul regard. Elle avait donc une facilité incomparable à voir le vrai amour, dans un seul regard. Elle sentait lorsque deux cœurs ne devaient devenir qu’un, lorsqu’un amour sera enfin réciproque. Elle ne s’accordait pas l’amour d’une quelconque personne vivant sur terre. Elle ne s’attachait à personne, elle ne voulait pas s’attachée à quelqu’un. L’amour ne lui était en aucun cas droit, dans sa tête. Elle reniait tout ce qui se rapportait à l’amour, par vis-à-vis d’elle. Notre héroïne avait envie de voir ses individus, inconnus et étrangers, s’embrassés. Ils étaient destinés à finir ensembles, personne ne pouvait vraiment le confirmée, mais si elle le disait, si elle le voyait, c’est que forcément cela allait se finir comme ça. Elle n’allait pas le présent gâchée une idylle qui finira comme même par existée. L’amour sera beaucoup plus fort, et dura plus longtemps entre eux, s’ils commençaient déjà à se connaître. C’était écrit, déjà depuis leur naissance, ils allaient être l’un pour l’autre, la bonne personne, le réel amour, comme on le dit si souvent. Notre héroïne avait consacrée énormément de temps, à écrire ses mots, à tracées les lignes et les limites de la vie, pour que toutes ses personnes qui devaient finir ensembles, le soient le plus rapidement possible. Notre héroïne espérait que l’amour ferait toujours battre, à jamais, les deux cœurs de ces deux individus. Notre petite bout de peau, parce qu’elle est vraiment petite en taille, et a encore une part de son âme d’enfant dans sa tête, aimait voir l’amour triomphée sur tout. Étant petite, elle en avait inventée des histoires d’amour avec ses poupées. Elle avait été une de ces petites filles comblées, presque toujours souriante. Tout ce dont elle n’avait pas eue le droit, c’était à l’amour. L’amour d’une mère qui a toujours été absente. L’amour d’un père, qui même présent, faisait comme si elle n’existait pas. Sa mère était morte sur la table d’accouchement. Le père avait toujours été trop occupé à pleuré la mort de sa femme, et puis à en trouvé une autre, que de s’occupé de sa petite fille, qui arrivait à être heureuse, toute seule, comme si c’était un miracle de la nature. Cupidon était sûrement en elle. Elle n’avait pas le droit à l’amour de quelqu’un. Dans sa tête, il n’existait pas la « bonne personne » dans ce monde pour elle. Cette personne avait due être morte depuis des années. Elle errait dans ce monde, comme un être fragile, comme une poupée que l’on trimbalait, mais elle réunissait deux cœurs. Elle avait comme un arc et des flèches invisibles, et qu’elle tirait sur deux personnes pour qu’ils se prouvent qu’ils sont bien faits l’un pour l’autre. Elle avait l’œil pour remarquer avec telle ou telle personne, celle qu’elle croisait pour la première fois, avait besoin. Elle était Cupidon d’aujourd’hui, parmi nous, elle erre et fait son travail, en s’accordant aucun mérite et aucun amour. Elle n’avait jamais sue que quelqu’un sur terre pouvait arrivée à l’aimée, elle ne le savait pas et n’en avait aucunement l’envie de la savoir. Elle se portait très bien sans amour, et elle se disait qu’elle n’en avait pas besoin. Si dans le passé, elle avait sue vivre sans amour, en réunissant des couples, elle saura encore le faire maintenant. Notre petite héroïne, aux cheveux courts et blonds, avait une jolie minette. Ce n’était pas la gente masculine qui allait contredire, mais elle était constamment seule, ou entrain de construire un couple, alors elle était quelque peu accessible. De plus, si elle ne croyait pas en l’amour, elle ne remarquerait pas les regards que les garçons ont sur elle. Elle fixait l’adolescent, il était plutôt mignon, mais il n’était pas pour elle. Personne n’était pour elle, du moins c’est ce qu’elle pensait. L’amour n’avait jamais de réelle définition, elle était différente pour tout le monde, autant pour ses deux adolescents qui en avait une à peu près similaire, mais nettement différente de celle qu’avait notre héroïne. Notre héroïne et ses cheveux que beaucoup de filles aimeraient avoir. Elle avait ce petit sourire, qui pouvait facilement s’agrandir et devenir éblouissant. Elle avait toujours eue ce petit plus, qui faisait que l’on pouvait, si elle acceptait, aimer facilement. Notre petit bout de peau faisait toujours aussi bien son travail, elle avait attirée l’attention du jeune homme, après une vingtaine de minutes à essayée, elle n’abandonnait jamais, et avait réussie à qu’il intercepte ce qu’elle voulait lui dire. En un regard, il avait comprit qu’il devait aller voir cette fille, lui parlée. Il avait comme même désobéis à ces parents, juste pour voir son visage, il fallait bien qu’il aille lui parlé un jour ou l’autre. Elle lui en avait donnée le courage, en un regard. L’effet Cupidon qui est en elle, allait encore faire un miracle. L’amour des autres faisait battre son cœur encore et encore. En ne voyant pas les autres s‘aimés, s’aimés de la bonne manière, c’était comme si on avait mit les battements de son cœur sur pause. Elle avait réussie ce qu’il fallait qu’elle fasse, ce que le petit Cupidon qui logeait en elle, devait faire. Ils s’étaient à peine parlé, que l’amour avait déjà fait des siennes. Et ce fut, deux adolescents amoureux qui s’embrassaient pour la première fois, sans vraiment se connaître, qui avait déjà leur chemin tout tracé ensembles, qui s’offrait devant les yeux de notre héroïne. Encore une fois, elle avait accomplie sa tâche, et avait fait des étincelles. Un feu d’artifice complet pour les deux amoureux.
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