Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

11





—CHAPTER ELEVEN—






.⋆
⋆✹⋆
.⋆









—LES GRYFFONDORS SAVAIENT FAIRE LA FÊTE —même si contrairement à ce que tout le monde pensait, les fêtes chez les Serdaigles étaient plutôt cool.

La fête avait terminé particulièrement tard, et Adelaide c'était endormi sur le canapé de la salle commune des rouges et or alors que tout le monde rangeait. C'était vers les coups de trois heures du matin. Elle n'avait pas pu se l'empêcher alors que Dorcas lui racontait son dernier rencard, bafouillant tout les trois mots à cause de l'alcool. Adelaide aussi avait bu et danser, mais chez Dorcas, tout était toujours amplifié de ce côté là.

La soirée avait été incroyable —incroyable du genre Marlene dansant sur les épaules de Sirius à deux heures du matin. Et lorsque que la musique avait coupé, Ezra et Soren avaient pris le relais avec leurs instruments pendant que Rita chantait. Pour résumer, elle avait passé une bonne soirée accompagnée de ses amis, de musique et d'alcool. (Et d'un paquet de pognon).

Ses bénéfices la suivait même dans ses rêves. Et alors qu'elle rêvait d'une baignoire de Gallions, Adelaide sentit quelque chose, juste à côté d'elle. Et en tendant la main elle toucha une cape, sûrement du velours, brodée soigneusement. C'était doux, comme son rêve. Et c'était McGonagall qui l'attrapa par son pull pour la faire se relever.





« Combien de fois vous
ai-je dit de ne plus entrer
ici. Seule les Gryffondors
ont   accès   à cette salle.

« Je suis quasiment sûr
d'être choixpeauflou. »

« Dehors enfin !
Par Merlin ! »





Adelaide se releva avant d'embrasser la joue de McGonagall. Cette dernière avait à peine ouvert la bouche que la serdaigle était hors de la pièce. La blonde dépoussiérait son uniforme en se dirigeant vers ses dortoir pour se débarbouiller.

Aujourd'hui, elle allait se rendre en divination, chose qu'elle n'avait pas faite depuis la première année. Depuis, elle passait ses cours à dormir contre une des fenêtres ou bien dans une salle vide. Paraît-il qu'il y avait une salle qui exhaussé les souhaits, elle demanderait sûrement un lit bien chaud. D'après Adelaide Eastwood, les cours divination n'était qu'un ramassis de connerie. Tout l'inverse de Jasper qui lui y croyait plus que qu'à l'affirmation que le ciel était bleu.

Enfin, elle passa par la petite trappe en grommelant. Merlin savait à qu'elle point elle avait hâte d'arrêter la matière après les BUSE. Mais pour l'instant, étant donné qu'elle avait déjà raté les premiers cours de la journée, elle allait devoir passer deux heures entre Victoria et Grund à écouter des sottises sur l'avenir et les prophéties. Monsieur Flitwick avait de la chance qu'elle ait un tant soit peu de sympathie pour lui et qu'elle ne voulait pas finir dans son collimateur pour une fois. Il était petit mais pas débile.

Alors elle s'accrocha, même si en soit ce n'était pas possible de comprendre quatre ans de cours. Pas que ça la dérangeait de ne pas comprendre, ce n'était pas un problème. Sauf quand il s'agissait de lire l'avenir dans l'emblème de l'Angleterre : le thé.

Elle fixait Victoria et Grund s'affairait à la tâche. Rien d'interessant. Jusqu'à ce que Grund ne se tourne vers elle pour lui montrer le contenu de son verre. Seule une petite croix y était dessinée.





« Moi je vois rien. Ça
veut dire quoi toi ? »
questionna Victoria, les
yeux par dessus l'épaule
de Grund





Adelaide jeta un coup d'oeil à son livre et grimaça. Il allait flipper du genre tachycardie et malaise.





«  Alors ? »  fit
Grund en la fixant


«    Rien     de     grave
ne    t'inquiète.   pas.
Seulement Épreuves
et     Souffrance.      »





Il ne fallait pas être devin pour savoir que Grund allait faire une syncope. Il déglutit bruyamment. Ça n'allait pas du côté du garçon. Elle avait envie de rire, c'était ridicule de se mettre dans un tel état pour du thé. Mais prise de compassion elle tenta quand même de le rassurer. Il paraissait au bord de la crise.





« Non mais t'inquiète,   regarde
moi j'ai    le gland     " somme
d'argent inattendu" —oh cool
et   le sinistros, "mort" .    »





En moins de temps qu'il fallait pour le dire, Sibylle Trelawney, la professeure de divination était déjà juste à côté d'elle, sa tasse en main.





« Par merlin. » souffla la
dame en tombant sur le côté




.⋆
⋆✹⋆
.⋆





LA CHAISE DE BUREAU DE MONSIEUR FLITWICK ÉTAIT SANS ÉTONNEMENT EXTRÊMEMENT HAUTE. Après que Poppy ai récupéré la professeure de divination, Adelaide avait su grâce au préfet de sa maison que le directeur de la maison des bleus et bronzes l'attendait dans les plus brefs délais pour un léger entretien. Un entretien plus que désastreux. Mais à croire que sa vie ne rimait qu'à ça en ce moment.

Confusion. C'est ce qu'elle avait ressenti en entrant dans le bureau, Jasper assis sur une chaise juste à côté.





« Mademoiselle. Excusez   sa
présence, j'enchaîne   avec un
entretien   avec lui  à  cause de
sa  stupide  manie  à  créer une
explosion  à chaque  sortilège.
Enfin,  ce  n'est  pas  le sujet. »
commença le professeur de sortilège


«  J'imagine que la raison de
cet entretien est sûrement le
petit incident en divination.
Incident qui n'est d'ailleurs
absolument pas de ma faute. »


« Mademoiselle Wood
qu'avait vous  pu  faire
pour la mettre dans un
état pareil. »


«  C'est  Eastwood. »
corrigea Jasper « East
comme est et Wood
comme forêt.


« Oh c'est vous ! »
s'écria le professeur





Il connaissait évidemment Adelaide pour ses nombreux problèmes d'orthographes aperçu sur ses copies et ses légers problèmes de discipline. Beaucoup plus pour la première raison. Flidwick n'avait jamais vraiment su comment elle avait atterri dans sa maison pour tout dire. Et il n'avait jamais vraiment su comment réagir, lui qui était à moitié gobelin donc extrêmement intelligent n'arrivait tout simplement pas à comprendre comme des fautes aussi simple à éviter pouvait encore être réalisé.





« Vos parents doivent être
particulièrement en colère
en  ce  moment,  vous  êtes
beaucoup   trop dans les
histoires. » fit-il  de  sa  petite
voix aiguë


« Bah  en  faite  ils s'en
foutent  un peu. Avec
respect évidemment. »


« Ça   c'est vrai. »
admis     Jasper      en
triturant son cardigan





« Enfin —le cours
de   divination.    »


« Rien de grave. Seulement des
sottises et une légère frayeur.
Madame Sibylle s'est évanouie
en apercevant   le   contenu de
mon verre : un   sinistros.   »





La bouche de Flitwick s'ouvrît sans qu'un mot en sorte. À travers sa moustache elle pouvait tout de même voir à quel point il était blême.





« Vous savez monsieur, j'y
crois pas à tous ces trucs. »


« Oui, exactement. Ce   ne
sont que des   sottises, des
idioties. Il ne vous arrivera
rien. D'ailleurs vous pouvez
vaguez à vos occupations. »


« Des idioties. » répéta
Jasper    en     grommelant
« Quand une prophétie
causera    la    mort de
quelqu'un ce   sera des
idioties tiens. »




.⋆
⋆✹⋆
.⋆





JASPER AVAIT RAISON. Quelqu'un allait mourrir, et c'était Bertha. Cette fouineuse avait raconté à qui veuille bien l'entendre ce qu'avait formé les feuilles de thé dans le verre de Adelaide. Maintenant, tout le monde lui lançait des regards pleins de pitié ou d'effroi.

Regulus s'était évidemment moqué d'elle vérifiant le pouls de la blonde à chaque fois qu'il l'apercevait comme pour vérifier qu'elle soit toujours vivante. Blague qu'Adelaide trouvait de mauvais goût évidemment.

Mais ce n'était pas le pire; Jasper avait décidé de se pavanait avec un collier porte bonheur pour éviter la mort : le sinistros pouvait annoncer sa mort comme celle de quelqu'un autour d'elle. En soit quelque chose de pas vraiment choquant étant donné qu'ils étaient en pleine guerre. Alors elle tira Jasper par le bras et ils s'essayèrent en face de Bertha pendant le déjeuner deux jours plus tard.

La brune sourit en apercevant Jasper, il lui sourit en retour. Et Adelaide tirait la gueule, chose qui arrivait assez peu pour que Bertha perde toute joie sur le visage.





« Tu peux m'expliquer pour qu'elle
raison absolument toute   l'école
parle de moi ? Tu sais quoi, déjà
comme tu as eu l'info en première
—c'est Victoria ? Non c'est   cette
saletée   de Grund !   » débita t-elle


« Non c'est Jasper. »
répondit simplement la
gryffondor


«       Greenger !
T'es sérieux ! »


« Bah quoi, tu m'as
jamais dit que c'était
un secret. »





Elle ferma les yeux quelques secondes pour rester calme. Ça allait passer.

Adelaide n'avait jamais été populaire. La seule raison pour laquelle quelques personnes la connaissait était son petit business. Ça ne l'avait jamais dérangé. Et à cause d'un foutu cour de divination, elle passait d'inconnu à en danger de mort / bientôt morte.

De toute façon les gens allaient bien un moment arrêter de la regarder comme si elle avait la tête de vous-savez-qui tatouez sur le visage. Il y aurait d'autres ragots, d'autres histoires sur lesquelles se concentrer.

Et au pire des cas, ils resteraient toujours l'option que Auden lui avait servie dans une lettre trois jours après son entretien avec Bertha—d'après sa meilleure amie, elle pourrait toujours casser la gueule à coup de tour de magie de tout ce qui l'approchait ou la regardait. Option peu réaliste mais elle s'empêcha de l'exprimer à sa meilleure amie.

Sauf que une semaine plus tard, pour la première fois depuis la création de l'école, tout était calme. Trop calme. Aucun problème de coeur, de conflit ou bien n'importe quoi susceptible d'attirer l'attention, du côté des élèves comme des professeurs. Et les tueries des mangemorts n'avaient pas recommencé depuis quelques temps. C'était certes suspect mais beaucoup s'en réjouissait.

Et comme Auden, professionnelle des plans en tout genre l'avait suggéré dans une lettre arrivée milieu de semaine, si il n'y avait aucun ragot, alors il fallait tout simplement le créer.

Alors pendant l'intercours, la serdaigle avait poussé chaque personne dans le couloir, évitait un piège de ce bigleux de James Potter et monté des dizaines de marches. Elle en avait plus qu'assez de cette histoire de sinistros et Bertha et Jasper allait —et ça même si elle devait les menacer de mort— régler cette histoire une bonne fois pour toute.





« Okay, maintenant vous allez
m'aider à étouffer l'affaire. »
fit Adelaide en attrapant Jasper et
Bertha par leur écharpe








.⋆
⋆✹⋆
.⋆





AUTHOR'S NOTE —.'-

je suis de retour !!!

j'espère ce chapitre vous aura plu !

love and peace

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro