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01





—CHAPTER ONE—






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—IL FAISAIT BEAU DEHORS ET ELLE SE SENTAIT LÉGÈRE. Sa queue-de-cheval blonde virevoltait énergiquement alors que les couloirs se vidaient à vue d'œil. Si elle n'accélérai pas la cadence, elle allait sûrement arriver en retard en botanique —pas sûr que Madame Pomona l'accepterait vu ses notes plus que douteuses.

Enfin, elle venait tout juste d'arriver dans le parc et heureusement cette dernière venait de croiser une des élèves les plus studieuses de serdaigle —Adelaide n'était donc pas vraiment en retard.

Elle souffla en remettant en place son bandeau blanc.

En entrant dans la serre, l'odeur de plusieurs fleurs lui caresserais les narines. Elle fixa quelques secondes l'affiche interdisant de cueillir quelconque fleur en lettre rouge puis elle en piqua une au hasard, petite et bleu qu'elle rangea derrière son oreille. Dans la salle, des dizaines de plantes en tout genre étaient empilées, et les élèves étaient déjà devant les tables. Au fond de la classe, une touffe brune reposait sur un sac —c'était l'une des dernières places.

Elle posa son sac remplie de pin's colorée sur la table, le brun sursautant.





« Salut. »


« Y'a quelqu'un ici. »


« Je ne vois personne.
T'es tout seul, et moi
aussi. »


« Me fais pas chier. »


« Bon, tu t'appelles
comment ? »





Il l'ignora alors elle attrapa la plume du brun. Il essaya de la récupérer mais elle venait tout juste de la tirer de son côté.





« R.A.B. » lit-elle en
caressant la gravure
du bout des doigts
« Richard ? »





Il récupéra sa plume en feignant l'ignorance. Se disait-il peut-être qu'avec un peu de temps, la blonde cesserait de l'importuner.





« Je peut t'appeler
Dick du coup parce
que c'est le dimin- »


« Appelle moi une
fois Dick et je t'e- »
commença t-il avant
de se faire couper par
la professeure





Adelaide sourit. Madame Pomona venait tout juste de commencer son cours et la plupart des élèves avaient déjà les yeux sur leur livre de botanique, page cinquante-sept. Et maintenant, ils devaient tous commencer leur travail sur l'Arbrisseau autofertilisant; le brun s'affairait déjà alors qu'elle le regardait, la tête sur la table.

Il posa sa plume, tournant la tête vers son binôme.





« Tu   ne   fais pas le
travail ? » demanda t-il


« Oula, pour les yeux de
Madame Pomona il   ne
faudrait mieux pas. Mais
j'ose espérer   que   dans
un     élan      d'altruisme,
tu me laisseras te voler
quelque        phrase.  »


« Tu peut toujours
crever. Cinq ou six
fois. » lâcha t-il en
sortant une feuille
de parchemin


« T'es bien un
serpentard. »


« Et toi, vu la quantité de
travail fourni, absolument
pas une   vraie serdaigle. »


« Vois-tu,     pour      moi     les
personnes   travaillant sont
ceux   qui    ne   peuvent pas
tricher. Et je   vois vraiment
pas        en     quoi l'étude
d'Arbrisseau autofertilisant
me servira après ce cours. »


« Sûrement pour le
prochain cours. »


« Non,    puis   ce
que tu m'aideras
encore une fois,
hein   Richard. »





Il lui envoya un sort informulée qui la fit chuter, tapant alors les plantes autour.





« Demoiselle
Eastwood ! »
s'écria Pomona





Adelaide s'excusa en se relevant, lançant un regard noir au brun à ses côtés, lui tout sourire. Elle s'apprêta à rétorquer mais se résigna en apercevant un porte-clé accroché à son sac en cuir.





« T'es allé à Paris ! »


« D'après toi ? »
dit-il, un léger rictus
peint sur les lèvres





Il devait bien avouer qu'elle l'amusait un peu, vraiment un peu. Elle était complètement euphorique, et hyperactif. Il l'observait tripoter le petit objet métallique représentant la fameuse dame de fer parisienne. Les yeux de la blonde étaient émerveillés et elle venait tout juste de sortir un genre de petit appareil photo.





« J'ai toujours rêvé
d'aller     en France.
C'était    comment ? »
s'exclama t-elle en tirant
sur son bras


« Laisse-moi travailler. »


« Allez ! Dit-moi, c'est
vrai que la nourriture
là-bas est exquise ? »





Ça avait toujours été l'un de ses rêves, Paris. Un rêve malheureusement inaccessible, sa famille ne roulait pas sur l'or. Petite, elle était la seule de sa classe de moldue à ne pas aller en classe verte  —vous savez ces genres de voyage scolaire qu'organisées les moldue pour découvrir la nature.

Étant donné qu'ils nageaient entre les lettres d'huissiers, un voyage n'était pas quelque chose d'indispensable (mais les partis de poker de son beau-père si, allait savoir pourquoi).

Revenons en au fait, elle voulait découvrir Paris au moins autant que le brun voulait pourvoir travailler sans qu'une tornade blonde sentant la vanille bredouille il-ne-sait-quoi à sa gauche.





« Si j'y réponds,
t'arrêtes    enfin
de       parler ? »


« Ça   peut   être
une possibilité,
Richard. »


« Oui, c'est bon. »


« C'est tout ? Je m'attendais
minimum à un top trois des
meilleurs        pâtisseries.   »





Il ne pu s'empêcher de sourire en levant les yeux au ciel. Voyager pendant ces vacances était quelque chose basique pour le brun, surtout à Paris. Elle lui posa des centaines de questions, il réussit à éviter certaines grâce à un sortir de mutisme, lancé cinq minutes avant la fin du cours.




« J'ai passé     un   plutôt
bon  cours, outre    ces
derrières minute réduite
au silence. C'était cruel
de ta part.»


«    C'était     surtout
plus que nécessaire. »


« Mais bon, tu as été d'assez
bonne compagnie au début,
alors pour te remercier, je
t'offre cette petite fleur. »
fit Adelaide en lui tendant
la petite fleur bleue





Le brun la prit en pouffant.





« Sinon,    moi    c'est
Adelaide ! »    s'écria
t-elle sortant de la serre





Et en récupérant son sac, il remarqua qu'à la place de son porte-clé était maintenant accroché un petit bracelet de perle rose et bleue, et qu'un petit désolé écrit sur un bout de parchemin traîné sur la table.







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LA PLUPART DES JOUEURS DE L'ÉQUIPE ÉTAIENT STRESSÉS —c'était compréhensible, chaque match contre l'équipe de serpentard se concluait presque tout le temps par une défaite pour leur équipe. Alors le capitaine était sur les nerfs, l'attrapeur serait son balais si fortement que ses jointures étaient blanches. Même le publique étaient nerveux, tous une grimace peinte sur le visage. Même si ils savaient qu'ils allaient sûrement être spectateur de la défaite cuisante des serdaigle, il priait pour que ça ne soit pas un massacre total.

En bref, absolument tout le monde —les animateurs Alice et Frank inclus— étaient certains d'une chose : la fête allait ce soir se dérouler dans la salle commune de serpentard.

Tous sauf deux personnes : Adelaide Eastwood, batteuse de l'équipe de serdaigle et Jasper Greenger, élève de cinquième année à Gryffondor et accessoirement, un des seules vrais amis de la blonde. Il l'avait aidé à peaufiner sa stratégie, et elle ce dont elle était sur, c'était qu'il était sûrement le plus stratège de Poudlard, toutes années confondues.

Alors elle le savait, elle allait gagnait ce match  —si elle le perdait, elle comptait se défenestrer dans les plus brefs délais pour être sûr que sa mort fasse plus parler que la victoire de ses saletés de serpents.

(C'était la colère qui parlait, Adelaide était contre toute forme de stéréotypes.)

En entrant sur le terrain, elle aperçu, au loin, le garçon du cours de botanique. Voilà une semaine qu'elle ne l'avait pas vu. Elle lui sourit. Il fronça les sourcils.

Et elle lui envoya un cognard lorsque le match commença. Il l'évita de justesse.

Le match battait son plein, et serpentard menait, au grand désarroi de tout le monde ; les serpentard n'était pas la maison la plus aimée de toute l'école. De plus, les verts et argents jouaient de manière particulièrement sauvage, nombreux sont ceux envoyés chez Madame Pomfresh après chaque match contre eux. Sa stratégie n'était pas si efficace que ça.





« Nouveau but pour
Serpentard ! »   s'écria
Alice Fortescue, l'une des
animatrices



« Merde ! »  jura
Adelaide, sa batte
en main



« Les serdaigles ont intérêt
à attraper  le vif  d'or  si  ils
veulent avoir une chance de
gagner ce match ! » commenta
Frank Londubat, le deuxième
animateur


« C'est  vrai.  Surtout  que
les       Serpentards       ont
prouvés    avec   le   match
contre   les     Gryffondors
qui a eu lieu en novembre,
même   avec   une   défaite,
qu'ils   sont     une    équipe 
plus     que      redoutable. »
ajouta Alice





Au loin, elle aperçu une tunique floquée Black  —c'était donc le frère de sirius black ?— fonçait vers une lueur dorée, rapidement suivie par l'attrapeur des bleus et bronzes. Black allait attrapé le vif d'or et ils gagneraient ce match.





« Foutu pour foutu. »
marmona    la    blonde


« Eastwood ! Qu'est
-ce tu fais ! » hurla le
capitaine de son équipe





Elle l'ignora et abandonna son rôle de batteuse, laissant alors le reste de l'équipe seulement protégée des cognard par un seul batteur, de piètre qualité.





« Il se pourrait bien
qu'Eastwood,   batteuse
de serdaigle, ai décidée
d'abandonner son rôle ! »
hurla Frank, maintenant
debout à cause d'un surplus
d'euphorie





Elle fonças vers le brun, sa batte en main, et assena un énorme coup au cognard passant juste devant elle. Elle voyait au ralenti le cognard tapait l'attrapeur de serpentard juste avant qu'il n'attrape le vif d'or.





« Oui   et   elle   ava—
Serdaigle  remporte
le match en attrapant
le vif d'or ! »





Elle n'eu à peine le temps de souffler qu'elle fut frappée par un cognard à son tour —foutu karma.

Adelaide chuta mais elle se rattrapa au dernier moment sur son balais (au grand désarroi de tout les serpentard).

Elle allait sûrement devoir faire attention à sa nourriture durant les prochains jours pour ne pas risquait un mauvais coup.

Puis après que tout le monde l'ai acclamé, et qu'elle s'était faite frappé au bras par Davey son capitaine et qu'il l'avait menacé de ne plus recommencer ces bêtises, elle s'approcha du brun se massant l'épaule, toujours sur son balais.





« Je n'ai pas frappé
trop fort, Black ? »


« Je suis plus costaud
que   ça, Eastwood. »
répondit le   jeune homme



« Regulus !» hurla
Rosier, joueur dans
l'équipe du brun


« J'arrive ! »




Il se tourna vers la blonde, un rictus aux lèvres.





« Alors tu  ne
t'appelles  pas
Richard ? »

« Déçu ? »
rétorqua t-il


«Un peu. Enfin j'y vais,
bon     rétablissement,
Reg' ! » ricana t-elle en
rejoignant son     équipe





Regulus fit de même, et en approchant son équipe, des insultes à l'égard de la blonde fusait dans tout les sens, mais celle qui revenait le plus était sûrement  sale sang-de-bourbe.

Et il était la le problème de Regulus, cette "sale sang-de-bourbe", elle ne le dégoûtait pas tant que ça. Pas autant qu'elle le devrait.

Il était définitivement dans la merde.






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AUTHOR'S NOTE —.'-

voilà le premier chapitre !

j'espère que ce chapitre vous a plu

avec mes salutations les plus distinguées
Al-

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