Quand les murs s'épongent
J'ai l'impression de vivre dans un nuage
Perpétuel, moite et aqueux.
Un brouillard gris
Qui refroidit mon cœur,
Mouille mes yeux,
Pleure sur ma peau.
J'attends que le soleil perce les pierres ternes
Pour redonner un peu de baume
A mon âme qui s'endort,
Qui cauchemarde sous la brume,
Qui rêve d'infortune.
Demain j'irai retrouver le soleil
Aux pieds de mes dragons de pouzzolane.
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Écriture automatique FeuFoLex, LesColombes.
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