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Partie 40

Précédemment

Je me réveille avec un mal de crane atroce, c'est vrai que sa fait quelques jours que je ne me nourris pas assez et que je ne dors que très peu.

Je fouille dans mon sac, prend mon téléphone et une cigarette. Sur la terrasse, je cherche le premier vol pour demain matin, je rentre auprès des miens.

Pourquoi rester ? En France, j'aurai la belle vie, j'ai énormément d'argent, mon bonheur, je l'achèterai.

Après confirmation de mon vol, mon téléphone sonne, c'est Alvina, j'hésite mais réponds.

Elle : Maya ma chérie ça va ?

Moi : Que veut-tu ? J'ai rempli la part du marché, je ne devrais plus recevoir d'appel de ta part.

Elle : Hélas, moi j'ai échoué... Ecoute, je suis sincèrement désolé, je ne pensais pas que mon fils allait réagir ainsi.

Moi : Ce n'est pas ton putain de fils, quand es que tu vas le comprendre ? Et tu sais quoi ? Je n'en ai rien à foutre de sa gueule maintenant, il m'a tourné le dos, bah je lui crache à la figure maintenant. Je le raye de mes souvenirs, demain je rentre en France.

Elle : Quoi ? Mais non, tu es une vrai battante, une femme qui n'abandonne pas face à la première difficulté.

Moi : Première difficulté ? Tu oublie tous ce que j'ai traversé pour le retrouver, je suis fatiguée de me battre sans cesse pour des personnes qui ne se soucient pas de moi... Salut Alvina, ce soir, ce numéro ne sera plus actif, n'essaye pas de me retrouver...

Je raccroche sans lui laisser le temps de finir, j'envoi un message à Lunis en lui disant que demain je rentre en France, je lui envoi un message avec mon numéro de téléphone une fois arrivée. Après cela, je casse ma puce, met mon réveil pour demain très tôt et je m'endors.

Une sonnerie me réveille, sa ne peut pas être mon téléphone puisque j'ai cassé la puce, j'allume la lampe de chevet et me rend compte que c'est le téléphone fixe de ma chambre qui sonne, il y a noté réception.

Je décroche très énervée, il ne m'appel jamais est c'est dans la nuit qu'on me dérange, je ne prends même pas la peine de répondre en Anglais.

Moi : ALLO ?

Au bout du fil, un réceptionniste en panique, avec un Français très approximatif.

Lui : Madame, je suis sincèrement désolé pour ce dérangement, mais il y a un homme qui vous réclame, il est très énervé et insistant, je n'ai pas eu le choix de vous appeler. J'appelle la sécurité ?

Moi : Maintenant que vous m'avez réveillé ? Je ne vais pas faire le boulot à votre place. J'arrive, dites-lui de ne pas bouger.

C'est du grand Lunis, il agresse tout le monde pour avoir ce qu'il souhaite, je vais tellement l'agresser qu'il va rentrer directement au Brésil.

Je descends en pyjama shorty et en pantoufle, hôtel de luxe ? J'an ai rien à foutre il ne fallait pas me réveiller.

Une fois en bas, je ne vois personne, le hall est vide, je vais à la réception, l'agent me montre du doigt, un homme assis, presque allonger sur le canapé, dos à moi.

Moi : LUNIS T'ES SERIEUX A ME REVEILLER CONNARD. JE T'AI DIS QUE JE T'ENVOI UN MESSAGE QUAND JE SUIS EN FRANCE, POURQUOI TU ES VENU ?

La personne se retourne, ce n'est pas Lunis mais mon frère, je le regarde stupéfaite mais surtout avec dégout, qu'est ce qu'il fou dans mon hôtel ? Il veut m'humilier une fois de plus ?

Je tourne les talons en direction de l'ascenseur mais c'est sans compter sur lui qui me retient par le poignet.

Moi : LACHE-MOI

Lui : Maya, ma sœur, je suis désolée.

Il me regarde dans les yeux, avec pitié. A cette instant, la terre à arrêter de tourner, les gens autour de moi ont disparus, mon cœur, dure comme un roc à fondu, la pression est redescendue, plus rien ni personne n'existe à ce moment, excepté lui, mon frère jumeau.

Je lui saute dans les bras et pleure comme un nouveau-né, mes larmes coulent à flots, mon cœur se resserre à chaque battement. Mon frère comme j'avais mal sans toi, comme la vie était dure.

Lui : Je suis désolé ma sœur, arrête de pleurer, je suis la maintenant, je ne te quitterai plus.

C'est bizarre, mais c'est la première personne que je crois sur parole.

Je me recule, lui prend la main et nous montons dans ma chambre.

Une fois à l'intérieur, je m'assoie sur le canapé dans le petit salon, il s'assoie en face de moi. Je le regarde en souriant, mes larmes coulent.

Lui : Arrête stp.

Je ne peux retenir mes émotions, mes larmes se redoublent quand je vois des larmes couler sur son magnifique visage.

Moi : C'est toi arrête, je ne vais jamais m'arrêter si tu pleure aussi.

Il rigole, je me jette dans ces bras, je ne veut pas le lâcher, j'ai trop peur que ce soit un rêve et qu'à mon réveille il y a personne.

Je l'attrape donc de toutes mes forces, et commence à lui raconter mon parcours, sans qu'il m'est demander quoi que ce soit.

Je finis mon récit, plusieurs heures après, je vois que le soleil commence à se lever.

Je le tire par le bras et l'emmène sur le balcon, j'allume une clope et le regarde, il n'a pas dit un mot depuis que j'ai fini.

Il se lève et me met une maxi gifle, ma tête fait un tour à 90°, je me lève et le pousse de toutes mes forces.

Moi : T'ES SERIEUX ? POURQUOI TU ME GIFLE ?

Lui : C'est toi qui es sérieuse ? tu a quoi dans la tête ? je ne pense pas qu'on t'est éduquer comme cela...

Moi : DE QUOI TU PARLE LA ?

Lui : JE PARLE DE TA VIE MAYA, TA PUTAIN DE VIE. COMMENT TU A GACHER TON POTENTIEL POUR FAIRE DES GRANDES ETUDES, POUR ETRE UNE GRANDE FEMME COMME NOTRE PERE A TOUJOURS VOULU QUE TU SOIT

Moi : NE PARLE PAS DE LUI. TU NE LE CONNAIT PAS ET SI J'AI FAIT TOUS SA C'ETAIT POUR VOUS.

Lui : Pour nous ? Tu a fait la pute dans un bar pour nous ? Non, ne met pas t'es choix sur la faute des gens.

Moi : Quoi ? Sayai tu a vécu toutes ta vie comme un riche, tu peux donc te permettre de donner des leçons de morale ? Monsieur sait manier le Français à la perfection donc il sait ce que j'ai vécu ? Va donc te faire foutre, tu ne comprends rien.

Je m'assoie sur le transat et fume ma clope en lui tournant le dos, ses putains de larmes ne veulent pas arrêter de couler.

Lui : Si Maya, je comprends que tu a arrêter de vivre dès l'instant que tu as sus mon existence, tu as compris à ce moment la le manque de considération des parents à ton égard, qu'à cause de sa, tu a été en échec scolaire, toi qui est surdouer. Encore adolescente, tu as dû prendre la place de nos sœurs qui ont refait leurs vies. Pour cela, tu as assumé un foyer comme un homme, tu as travaillé dure pour offrir à nos parents la vie qu'ils méritaient... et sa ma sœur, je t'en remercie. C'était à moi de tenir ce rôle, mais je n'étais pas là pour vous.

Moi : Tu ne pouvais pas le savoir.

Lui : Bien sur que si, j'ai appris le Français, pour pouvoir te comprendre le jour où tu reviendrai, j'ai toujours su que tu n'abandonnerai pas. Mais à part ça, je n'ai rien fait de plus, j'ai honte, honte de ne pas avoir tout fait pour te retrouver alors que j'en ai les moyens financiers. Toi, tu as tous obtenu seule, tu t'est battu contre la terre entière et le pire, tu as abandonner l'homme de ta vie ainsi que sa fille, ta fille pour moi.

Moi : Et je ne regrette pas ce choix, maintenant tu es la, n'oubli pas que tu es ma moitié, mon jumeau, tu es la personne la plus importante pour moi. Tu es heureux dans ta vie ?

Lui : Oui

Moi : Alors je le suis aussi, ton bonheur fait le mien.

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