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Chapitre 27

— Comment va-t-il ?

Le Medicomage ferma la porte de la chambre dans son dos et regarda les deux jeunes gens plantés devant lui.

— Il a de graves blessures, répondit-il. Plusieurs côtes cassées, notamment. Il va lui falloir beaucoup de repos, même si j'ai pu réduire les fractures grâce à la magie. Je ne vous demanderai pas comment c'est arrivé, mais sachez que si vous me le dites, je suis tenu au secret médical.

Hermione hocha la tête, renifla, puis demanda si elle pouvait aller le voir. Le Medicomage opina et la jeune femme disparut dans la chambre de Lucius.

— C'est qui, pour lui ? demanda alors le médecin.
— Au départ, une poulette égarée, et à présent, sa fiancée... répondit Drago, les bras croisés, inquiet.
— Elle est jeune...
— Oui...
— Me trompé-je ou est-ce Hermione Granger ?
— C'est elle, répondit le Serpentard. Elle vit ici depuis trois mois, maintenant. Mon père l'a trouvée sur le Chemin de Traverse, errant sans but...

Le Medicomage hocha lentement la tête.

— Nous sommes tous au courant de ce qu'elle a été contrainte de faire pour protéger sa famille, dit-il alors. Si vous pouvez le lui dire, Monsieur Malefoy, sachez que nous savons qui a réellement débarrassé le monde sorcier de Voldemort...

Malefoy esquissa un rictus puis hocha la tête et indiqua au Medicomage de demander à Sedia de le payer en partant. Il se tourna ensuite vers la porte fermée des appartements de son père, ferma les yeux, et s'enferma chez lui.

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Assise au bord du vaste lit de Lucius, Hermione était silencieuse. Sa main dans la sienne, posée sur son genou, elle observait l'homme inconscient. Il avait été tabassé, battu tellement violemment qu'il en avait quatre côtes cassées et des hématomes un peu partout. Heureusement, ses bourreaux avaient épargné son visage...
On toqua soudain contre la porte et Sedia entra presque timidement avec un plateau sur la tête.

— Je vous apporte votre petit-déjeuner, dit-elle.
— Petit-déjeuner ? Mais quelle heure est-il ?
— Sept heures... Vous avez passé toute la nuit auprès de Maître Lucius...

Hermione se redressa en inspirant et se frotta le visage.

— Vous devriez aller dormir un peu, dit alors l'Elfe de Maison en posant le plateau sur un guéridon.
— Non, ça va aller, je vais descendre prendre l'air un moment... Où est Drago ?
— Encore couché, répondit l'Elfe.

Hermione hocha la tête. Elle regarda le plateau de Sedia, puis secoua la tête et poussa l'Elfe dans le couloir.

— Tu as raison, dit-elle en fermant la porte. Je vais aller me reposer un peu... Merci, Sedia. Tu peux veiller sur le Maître un moment ?
— Bien entendu, Hermione Granger.

Sedia disparut alors avec le plateau et Hermione se mordit la joue. Elle regarda la porte de sa chambre, fermée, puis celle de Malefoy, fermée aussi. Elle opta finalement pour la chambre du Serpentard, se glissa à l'intérieur et s'approcha du lit.

— Hermione... ? souffla le blond en se retournant. C'est mon père... ?
— Non... Je peux ? J'ai besoin d'un peu de réconfort...

Malefoy haussa les sourcils puis se décala sous les couvertures en les ouvrant. La jeune femme retira sa robe de sorcière et ses bottines puis se glissa sous les lourdes couvertures en Damas et se cala contre le Serpentard.

— Ça va aller, dit alors Malefoy en lui caressant l'épaule. Il va s'en sortir, il a connu pire, tu sais ?
— Je n'en doute pas, mais j'ai peur quand même... répondit Hermione à voix basse. Il est puissant, il est craint, et pourtant, des apprentis Mangemorts ont réussi à l'enlever, dans sa propre maison, et à le rouer de coups...

Malefoy fronça les sourcils et se décala légèrement. Hermione garda la tête baissée.

— Tu penses qu'il aurait tout mis en scène ? demanda le blond, soudain horrifié.
— Je ne sais pas, répondit la jeune femme en s'allongeant sur le dos. Je suis peut-être perturbée et trop fatiguée pour penser rationnellement, mais quelque chose cloche, il y a un truc qui fausse l'équation, mais j'ignore ce que c'est...

Malefoy resta silencieux puis souffla par le nez et la reprit contre lui en jetant un coup d'œil sur le réveil. Il leva les yeux au plafond puis ferma les paupières et ne tarda pas à se rendormir.

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Hermione, malgré les demandes répétées de Sedia et de Malefoy, passa le reste de la journée et la nuit suivante auprès de Lucius. Assise dans un fauteuil tiré près du lit, elle réfléchissait à la demande de l'homme, concernant leur future vie commune. Serait-elle assez forte pour supporter de vivre avec un ancien Mange mort d'une telle envergure, même s'il avait vraisemblablement mis tout ce pan de sa vie derrière lui ? Si elle l'épousait, qu'est-ce qui allait encore se passer ? Est-ce qu'elle allait se faire agresser en allant sur le Chemin de Traverse faire de simples emplettes ? Est-ce qu'elle allait se faire cracher au visage pour oser porter le nom des Malefoy ?
On toqua doucement contre la porte et Hermione leva la tête en sortant de ses pensées.

— Drago... C'est déjà le matin ? Oh, Merlin...
— Va te coucher, je vais rester là, dit le blond en contournant le lit.
— Non, je...
— Ce n'était pas une proposition.

Hermione baissa le nez puis hocha la tête et quitta la chambre en silence, se passant une main sur le visage. Elle se rendit ensuite dans sa chambre et à peine était-elle allongée sur son lit qu'elle sombra dans un profond sommeil.

Dans la chambre de Lucius, Drago, lui, était partagé. La veille, avec la Gryffondor, ils avaient émis l'hypothèse que l'enlèvement de l'homme blond et son passage à tabac avait été une mise en scène, mais qui aurait l'esprit suffisamment tordu pour s'infliger à lui-même des blessures qui pourraient le tuer ?

Mon père a déjà fait des choses étranges, dans sa vie, mais de là à faire ça ?

Drago s'assit dans le fauteuil laissé par Hermione, pensif.

Qui d'autre aurait pu s'en prendre à lui ? se demanda-t-il en regardant son père toujours inconscient.

Une pensée traversa l'esprit de Malefoy, mais il la refoula d'un vif mouvement de tête. Non, c'était impossible que sa propre mère s'en prenne à son ex-mari. Pourquoi ferait-elle une telle chose ? Elle avait demandé le divorce, elle ! Il l'aurait mise dehors avec pertes et fracas, cela aurait été compréhensible, inadmissible, mais compréhensible, mais pour le coup non, Narcissa avait elle-même quitté le Manoir, elle avait elle-même demandé un Magicoavocat de lui fournir des papiers de cession de mariage...

— Je dois quand même en être sûr.

Malefoy quitta la chambre de son père et descendit dans la cuisine prévenir Sedia qu'il s'absentait quelques heures et qu'Hermione dormait dans sa chambre. L'Elfe de Maison lui demanda où il allait, mais le Serpentard ne répondit pas et transplana quelques secondes plus tard.

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Transplaner à Londres était facile, il suffisait de reparaître dans un endroit où les Moldus ne pourraient pas assister à l'apparition et Malefoy choisit le fond d'une ruelle nauséabonde. Le plus compliqué, cependant, allait être de retrouver Narcissa Black dans cette ville tentaculaire, et Malefoy junior n'avait aucune idée de l'endroit où sa mère avait bien pu s'installer. Il ne l'avait pas revue depuis trois mois, il savait seulement qu'elle était venue au Manoir quelques jours en arrière et qu'elle en avait été chassée par Hermione plutôt durement.

Décidant d'utiliser ses pouvoirs pour ne pas perdre de temps, Malefoy utilisa le sortilège de la Pointe et ne se repérant que lorsque les Moldus ne pouvaient pas le voir. Il n'avait aucune envie de devoir gérer une crise de panique en plein milieu de Londres, pas maintenant alors que son père était dans le coma.

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La journée était bien avancée quand le fils Malefoy finit par repérer sa mère dans une boutique de quincaillerie, un panier sur un bras. Elle était seule, habillée comme une Moldue et elle semblait choisir des éléments de visserie.

— Mère ?

Narcissa eut un violent sursaut et se retourna vivement en portant sa main à sa taille. Elle se détendit quand elle reconnut son fils qui fronça les sourcils.

— Vous craignez quelque chose pour être aussi tendue ? demanda Malefoy en s'approchant. Que faites-vous ici, je vous cherche depuis ce matin...
— Ce que je fais ? Ce que je veux, fils, répondit Narcissa un peu sèchement. Depuis que ton père a signé ces maudits papiers, je suis obligée de travailler pour vivre et...
— Depuis qu'il a signé les papiers ? répéta Malefoy, surpris. Mère, vous vous fichez de moi, n'est-ce pas ? Vous lui avez mis ces papiers sous le nez sans lui laisser une seule chance !
— Une chance de quoi ? De me prouver qu'il avait changé ?
— Il a changé, affirma Malefoy. La preuve en est Hermione, elle...
— La pute ?

Malefoy sentit le sang se retirer de son visage. Il saisit brusquement sa mère par le bras et la poussa vers le fond du magasin heureusement désert. Seul un vendeur les regarda de travers, mais Malefoy l'ignora.

— Redites encore une fois cela, Mère, et je vous assure que vous allez le regretter ! siffla alors le blond. Hermione n'a pas eu le choix !
— On a toujours le choix ! répliqua la femme blonde en se libérant de la poigne de son fils. Elle a juste préféré la solution de facilité !

Malefoy ferma les yeux et serra les mâchoires.

— Père est dans le coma, lâcha-t-il alors.

Narcissa se figea et regarda son fils.

— Je te demande pardon ? demanda-t-elle. Vous l'avez retrouvé ?
— Oui... J'ai utilisé quelques contacts de mon ancienne vie et nous l'avons retrouvé et ramené à la maison, mais il a été tabassé et il est dans le coma. Je suis ici pour vous demander si vous avez quelque chose à voir avec tout ça.

Narcissa pâlit.

— Quelque chose... ? Es-tu en train d'insinuer que moi, ta propre mère, j'aurais organisé l'enlèvement de ton père ? Et pourquoi aurais-je fait une telle chose, je te prie ?

Malefoy haussa un sourcil et croisa les bras.

— Parce que vous l'avez mauvaise, dit-il. Vous avez divorcé de Père en pensant qu'il serait plus bas que terre après ça et qu'il vous supplierait de revenir, mais il n'en est rien ! Au contraire ! Il s'est entiché d'une jeune sorcière qui a touché le fond malgré elle et ça, vous ne le supportez pas, je me trompe ? Vous êtes ignoble, mère !

Les mâchoires serrées, Narcissa avait le poing crispé sur l'anse de son panier. Elle resta silencieuse un moment avant de fermer les yeux et de souffler.

— Je me contrefiche de ce que fait ton père avec cette... fille, dit-elle, mauvaise.
— Ah oui ? Alors pourquoi être allée la voir, l'autre jour ?
— Pour la soutenir !
— Bien sûr... Je vous connais, Mère, et vous n'avez rien à faire des états d'âmes des autres personnes. Vous êtes égoïste, et comme votre plan, c'est-à-dire, divorcer de père et tout le toutim, n'a pas fonctionné, vous vous êtes rabattue sur la pire chose à faire : laisser croire à une jeune femme qui remonte à peine la pente, que sa présence dans la vie d'un ancien Mangemort réformé, risque de lui coûter la vie !

Malefoy montra alors les dents.

— Vous me dégoûtez ! siffla-t-il. Je vous savais capable de beaucoup de choses, mais pas de ça ! Hermione a souffert, et même si j'ai du mal à l'admettre, vivre au Manoir avec père et moi l'aide à sortir la tête de l'eau... Vous devriez avoir honte.

Narcissa détourna la tête. Soudain, son fils transplana et la femme recula de plusieurs pas, surprise, en se protégeant de son bras. Quand elle rouvrit les yeux, son panier avait volé en éclats et son contenu avec. Serrant les lèvres, Narcissa tourna les talons et quitta la boutique en ignorant les regards abasourdis des clients de la boutique.

D'un pas large, la femme traversa le quartier et s'engouffra dans une bouche de métro. Elle se dirigea vers la station la plus proche et s'enfila dans une galerie de maintenance sombre et humide. Ses bottines claquèrent sur le béton nu et elle resserra son gilet de laine autour d'elle. Elle fit quelques pas dans le noir, s'aidant de sa baguette magique pour y voir clair, et soudain, elle s'arrêta de marcher et inspira.

Conundrum, dit-elle.

Devant elle, une porte en fer apparut et s'ouvrit en silence. Narcissa enjamba le seuil et se retrouva alors dans une vaste pièce éclairée.

— Qu'est-ce que tu fais ici ? demanda aussitôt une femme en s'approchant d'elle. On avait dit que tu ne devais pas revenir avant que ça soit terminé.
— Mon fils m'a confrontée, dit Narcissa en déposant son gilet sur une patère. Et je n'ai pas réussi à nier.
— Mince... ! Bon, on passe au plan B.
— Plan B ? Non ! Imelda !

Narcissa suivit la femme dans une autre pièce, et l'arrêta en lui prenant le bras.

— Imelda, attend, je peux encore le raisonner, je peux encore lui faire croire que je n'y suis pour rien, il m'a prise par surprise, je n'étais pas dans le truc, je pourrais...
— Tu ? Cela fait des mois que tu dois faire partir cette Née-Moldue de ton manoir ! répliqua Imelda. Si ton cher Lucius s'acoquine avec elle, tu peux dire adieu à ton héritage !
— Non, non, non, attends, je t'en prie... Tu ne vas quand même pas la tuer !
— Et pourquoi pas ? C'est une Née-Moldue, elle nous a volé notre magie, elle n'a rien à faire sur cette Terre, et encore moins dans les bras d'un Sang-Pur !

Imelda se tut brusquement, fronça les sourcils et ajouta :

— Dans les bras de nombreux Sang-Pur, je devrais dire !

Narcissa se mordit la lèvre et suivit Imelda dans une troisième pièce où se trouvaient trois autres femmes en train de discuter.

— Elle a échoué, lâcha simplement Imelda.
— Quoi ? Mais enfin, Narcissa ! s'exclama une rousse un peu enrobée qui gisait dans une causeuse, un verre de vin à la main. Bon sang, ce n'était pourtant pas compliqué !
— Je sais, je sais ! répliqua Narcissa en passant une main dans ses cheveux. Mais cette petite punaise est en plus coriace qu'une... punaise. Elle a mon fils dans sa poche et...

Narcissa serra les lèvres et s'assit au bout d'un canapé. Une autre femme lui tendit un verre de vin, avant de soupirer.

— Bon, puisque faire disparaître ton mari n'a pas fonctionné, il faut passer à autre chose, dit-elle. Imelda ?
— Le plan B consiste à faire disparaitre la Née-Moldue, une fois cela fait, Malefoy père sera effondré et Narcissa pourra retourner chez elle et reprendre sa vie comme elle était avant. Le seul souci que nous avons, est que son fils s'est lui aussi entiché de cette fille.
— Mon fils a un ami, marmonna Narcissa. Il ne s'est pas entiché de Granger, il la protège !
— C'est encore pire, car comme tu as eu la bonne idée de ne pas démentir ses accusations, il va renforcer son attention sur cette fille et nous n'allons plus pouvoir l'approcher. Surya, tu as une idée ?

La femme rousse grimaça puis haussa les épaules.

— Je peux retenter de prendre la place de la petite Elfe de Maison, dit-elle. La dernière fois, je n'ai pas pu faire grand-chose et la discussion n'est pas vraiment partie dans le sens que je voulais, mais notre Née-Moldue est perturbée en ce moment et je pourrais peut-être la pousser à réfléchir sur le sort d'une nouvelle Madame Malefoy qui aurait un tel bagage qu'elle...

Narcissa fronça les sourcils sans comprendre et Surya lui expliqua que quelques jours en arrière, elle s'était fait passer pour Sedia en utilisant un charme qu'elle avait elle-même créé et qui permettait de copier l'apparence et la voix d'une créature magique. Cela ne fonctionnant pas sur les Humains, Surya avait dû innover et avait donc pris la place de la seule créature qui travaillait au service de Lucius Malefoy. Elle aurait préféré prendre la place de Drago, pour ainsi être sûre que la Née-Moldue l'écoute, mais elle n'avait pas eu le choix.

Sceptique, Narcissa ne répondit rien et Imelda autorisa Surya à faire ainsi. L'ex-Madame Malefoy songea alors à son arrivée dans ce groupe si select de sorcières. C'était peu après avoir quitté le manoir, les papiers signés du divorce, en main. L'Avocat qu'elle avait choisi pour cela lui avait assuré qu'elle aurait une grande partie de la fortune de son mari, mais la loi Moldue était ainsi faite, pas la loi sorcière, surtout si c'était l'épouse qui initiait la séparation. Narcissa, toute fière d'avoir réussi à faire signer Lucius, était donc retournée voir son avocat qui lui avait annoncé la nouvelle : elle était désormais divorcée, et donc libre, mais aussi à la rue et sans un sou comme le stipulait le contrat de mariage qu'elle avait avec Lucius.
Autant dire que l'annonce eut beaucoup de mal à passer, et Narcissa ayant beaucoup d'amis dans Londres, elle avait réussi à trouver refuge chez une copine sorcière qui lui avait donné un peu d'argent et autorisé à squatter l'un de ses appartements en banlieue de Londres.
Narcissa avait rencontré Imelda quelques semaines après son divorce, alors qu'elle lisait les petites annonces sur la devanture d'une agence pour l'emploi, notant dans un calepin les coordonnées qu'elle désirait. Imelda s'était alors approchée d'elle, mine de rien, et elles avaient commencé à discuter, un peu comme quand vous commencer à taper la causette avec la caissière du supermarché, ou avec cette femme, au rayon fruits et légumes...

Comment cela s'était fait, elle l'ignorait, mais en un rien de temps, Narcissa s'était retrouvée chez Imelda, présentée à Surya et Karine, toutes trois victimes de divorces en leur défaveur et remontées contre leurs époux qui les avaient laissées sans rien. Nelly les avait rejointes quelque temps après, elle aussi victime d'un divorce malheureux...

Aujourd'hui, Narcissa en était rendue à faire son possible pour pousser Hermione Granger hors de la vie de Lucius, mais toutes ses tentatives échouaient et elle doutait même que la Gryffondor se soit rendu compte de quoi que ce soit, car hormis l'enlèvement de l'homme blond, les faits avaient été très subtils, des lettres, des notes, des phrases discrètement lâchées au milieu d'une conversation, avec Sedia notamment, ou des tableaux ou encore certains marchands sur le Chemin de Traverse...
Avec un soupir, Narcissa écouta ses amies mettre en place la prochaine phase du plan « Faire payer à Lucius Malefoy d'avoir laissé sa femme sans rien », et qui consistait à devenir, selon Imelda, encore plus agressives envers Hermione. Cependant, Narcissa, toute aigrie et remontée qu'elle était contre son mari, et par extension, contre Hermione, n'avait jamais eu dans l'idée de lui faire le moindre mal... et elle n'était pas bien sûre d'aimer la tournure que prenaient les choses.

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