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Untitled part 8


TaeHyung m'ouvrit. Il me laissa entrer et je retirai mes chaussures. Il m'avait déjà sortit une bière. Je m'asseyais sur son canapé et il s'asseyait en face, par terre derrière sa table basse. Il but quelques gorgées de sa bouteille et il me regarda. Je bus aussi et je soupirai. Je ne savais pas quoi lui dire...

_ « Bon... Tu veux qu'on discute ? Me demanda-t-il.

_ ... Ouais mais... Tu veux me dire quelque chose ?

_ Moi ? Non. Je t'ai tout dit. Tu sais très bien ce que je ressens, donc je n'ai plus rien à dire.

_ Mais tu veux quoi ? Lui demandai-je.

_ C'est simple... Mais pourtant compliqué. C'est toi que je veux, JungKook. Et toi ? Tu veux quoi ? Si t'es ici, à m'écouter, c'est que tu veux quelque chose, non ? Demanda-t-il, hésitant.

_ ... Je n'en sais rien... Avouai-je en regardant ma bière.

_ Dis-moi ce que tu penses, s'il te plait... Parle...

_ Je... Je ne sais pas... Je ne sais pas quoi faire... »

J'étais vraiment perdu. Qu'est-ce que j'allais faire de ma vie ? Jamais je n'aurais cru que cette situation durerait aussi longtemps. Et maintenant, un mec m'aimait. Quelqu'un m'aimait et je l'appréciais. Il se leva et vint s'asseoir à côté de moi. Il était de biais, et il me regardait.

_ « Tu fais exprès d'être vulnérable comme ça... ? Souffla-t-il en se rapprochant de moi. Ca me donne envie de t'embrasser... »

J'eus un frisson quand ses doigts caressèrent ma nuque. Il jouait avec mes cheveux en s'approchant de plus en plus. Je ne le regardais pas, et je ne devais pas tourner le visage, sinon nos lèvres allaient se rencontrer. Je déglutis et... Je rentrai mon cou dans mes épaules quand il attrapa mon piercing, à l'oreille, entre ses dents. Ce qu'il faisait me troublait. Pourquoi je le laissais me mordiller le lobe ? Il continua et j'eus pour réflexe d'attraper mon piercing à la lèvre entre mes dents. Je fermai les yeux en fronçant les sourcils car maintenant, il glissait sa langue sur toute mon oreille. Je commençai à soupirer et la chose dans mon pantalon réagissait. Comment résister à ses doigts qui jouaient avec mes cheveux dans ma nuque et sa langue à mon oreille ? C'était un vrai supplice. Je serrai les dents pour ne pas trop bander. Je serrai de plus en plus ma bouteille entre mes mains car je voulais gémir un bon coup ! Mais je ne pouvais pas ! Bon sang... C'était trop bon. Je retirai ma main droite de ma bouteille et... J'attrapai sa cuisse. Je posai ma main dessus et je resserrai mes doigts sur son jean. Je commençai alors à gémir. Malgré ma peur qui commençait à arriver, je remontai ma main doucement. Mais je n'allais pas trop haut. Lui, il fit descendre sa langue dans mon cou. Je continuai à gémir et il commença à aspirer ma peau pour me laisser des traces.

_ « Aaaah... » Gémis-je.

Il descendit sa main de ma nuque pour aller se glisser sous mon t-shirt. Il me caressa la taille et il la glissa dans mon dos pour me caresser le creux des reins. Il dévora mon cou, au niveau de la pomme d'Adam. J'avais la tête en arrière pour lui laisser l'accès. Il posa alors sa main sur ma cuisse.

**********

De quoi ils voulaient me parler ? Je les suivis dans le parc, sans vraiment savoir à quoi m'attendre. Je tenais fermement mon sac de peur qu'ils me le volent. Ok, face à cinq types, je n'avais aucune chance s'ils voulaient me piquer mon fric mais... J'allais tout faire pour me défendre. Je m'arrêtai près d'un arbre et ils m'encerclèrent. Ils avaient leurs mains dans leurs poches et ils avaient des petits sourires. Je reculai contre l'arbre en me demandant ce qu'ils voulaient.

_ « ... Je ne vous donnerai pas mon argent, leur dis-je en tremblant.

_ Ce n'est pas ton fric qu'on veut. Aah... T'es vraiment mignon ! »

Il m'attrapa au niveau des joues et me serra assez fort. Ça me fit mal donc je retirai sa main. Je baissai le regard car je n'aimais pas être violent. Je n'aimais pas les ennuis, j'étais un garçon sans problèmes, qui voulait être transparent jusqu'à la fin de mes études. Mais, ils ne voulaient pas me laisser tranquille, apparemment. Le blond qui m'avait attrapé les joues me poussa contre l'arbre. J'étais un peu effrayé et je sentis un autre attraper mon sac et me le prendre des bras.

_ « Yah !! Rends-le-moi !! » Criai-je en voulant le reprendre.

Mais le blond me poussa violemment contre le tronc. Je ne dis plus rien, car j'avais peur qu'il me frappe. Je baissai les yeux et... Je vis ses doigts détacher ma cravate.

_ « Qu... Qu'est-ce que... Tu fais ? Lui demandai-je en tenant son poignet.

_ Laisse-toi faire, ça ira vite si tu es sage... Me souffla-t-il en allant à mon oreille.

_ A... Arrête !

_ Tiens-le. » Ordonna-t-il à un grand brun.

Le type vint m'attraper les bras par derrière. Il me les tint dans mon dos pour ne plus que je bouge, mais... Je ne comptais pas me laisser faire. Je fus paniqué en voyant ma cravate dans ses mains et... Ses doigts détacher les premiers boutons de ma chemise.

_ « Yah !! Hurlai-je. Qu'est-ce que tu fous ?!! Lâche-moi !! Lâchez-moi !!

_ Fais-le taire ! Lui dit un de ses potes.

_ Oui. »

J'essayai de tout faire pour qu'il me lâche les bras mais il avait plus de force que moi. C'était impossible pour moi de bouger ! Le blond passa ma cravate dans ma bouche et l'attacha derrière ma tête. Je commençai vraiment à avoir peur... Je ne voulais pas pleurer devant ces types mais... J'étais effrayé. Mon seul moyen était de les frapper avec mes jambes. Je donnai un puissant coup de pied dans le tibia du blond. Il hurla de douleur et me frappa violemment dans l'estomac. Je me tordis en deux mais l'autre ne me lâchait pas les bras. Le temps que je reprenne mes esprits, j'étais à moitié allongé par terre. Le brun qui me tenait les bras était assis derrière moi, ses jambes de chaque côté de moi. Je regardai les autres, en me demandant ce qu'ils comptaient faire maintenant. Le blond détacha la ceinture de son pantalon et les trois autres firent pareil. Non... Non... Pitié... Une première larme coula. J'étais impuissant face à ce que j'allais subir. Mais... Pourquoi moi ?

_ « Déshabillez-le, ordonna le blond aux trois autres.

_ Avec plaisir ! »

Ils se mirent à genoux et ils ouvrirent ma chemise en l'arrachant. Je pleurai de plus en plus en fermant les yeux. Je ne voulais pas... Je ne pouvais pas voir ce qui allait se passer ! Puis celui qui me tenait les bras me faisait vraiment mal. Je sentis mes chaussures et mon pantalon me quitter. J'ouvris les yeux pour savoir s'ils allaient vraiment oser le faire... Je serrai les dents en pleurant et le blond retira mon boxer. Je voulais mourir... Ce n'était pas possible... Pourquoi moi ?! Qu'est-ce que j'avais fait pour subir ça ?! Pitié... Pourquoi personne ne passait par là ?! Je sentis mes jambes se lever d'un coup. Deux des autres mecs me tenaient les chevilles en l'air. C'était vraiment une position horriblement douloureuse ! Je fermai à nouveau les yeux car je ne voulais plus rien voir... Je me disais que comme ça je ne sentirais rien... Je n'aurais aucun souvenir, ni aucune douleur. Mais...

Mon âme venait de sortir de mon corps. Le cinquième, celui qui m'avait tenu les bras pendant tout ce temps, se déshabilla. J'étais par terre, dans la terre et l'herbe, nu, et vide. J'étais sur le ventre et on me redressa en m'attrapant par les bras. Je restai à genoux et mon visage et le haut de mon torse restaient au sol. Il me tenait les bras dans mon dos, à m'en arracher la peau. La douleur était horrible...

_ « MinGyu ! Fais-le couiner pour moi !

_ ... J'ai une idée... »

Une douleur bien plus atroce me prit au niveau des côtes. Ca me brûlait ! Ca... C'était insoutenable ! Ca piquait vraiment et je tremblai en gémissant !

_ « Voilà ! » Cria le brun.

Il lâcha mes bras et je m'écroulai par terre en pleurant. Je ne voulais pas voir ce que j'avais aux côtes car j'avais peur. J'allais mourir ? Mais de toute façon, pourquoi continuer à vivre ?

_ « Tu crois que c'est fini ? Me dit un type de taille moyenne qui venait de se rhabiller. Dernier petit cadeau ! »

Il me donna un puissant coup de poing là où mes côtes me brûlaient. Je n'hurlai même pas car j'avais l'impression d'être mort.

_ « Allez ! A demain en cours ! »

Ils partirent en rigolant. Je restai allongé par terre, pendant de très longues minutes.

Je ne savais pas si j'étais conscient ou non mais... Je ne pouvais pas rester ici. J'allai toucher mes côtes avec ma main. Et merde... Du sang et en grande quantité. J'essayai quand même de me redresser. J'arrivai à me mettre sur mes coudes. Je cherchai mes vêtements. Je vis mon pantalon et un tissu blanc, qui devait être ma chemise. Je me mis à quatre pattes et je marchai jusqu'à mes affaires. Putain !... Pourquoi ils m'avaient fait ça ?! Je me remis à pleurer en allant à mes affaires. J'attrapai ma chemise, que je mis doucement, en tremblant. Je pris mon pantalon et je le mis en restant assis par terre. Est-ce que j'allais avoir la force de me relever ? Je m'aidai avec un arbre. Je me mis debout mais mes jambes allaient me lâcher d'un moment à l'autre. J'attrapai ma veste d'uniforme du lycée et je la mis. Je devais cacher la tâche de sang qui apparaissait. Je laissai mon sac et je me mis en route.

Mes parents étaient en voyage pour un tournage. J'attendis d'être à l'étage et dans ma salle de bain pour me déshabiller. Que font les gens qui viennent de se faire violer ? Ils se suicident dans la douche ? Ils se lavent tranquille et reprennent leur vie ? Mais est-ce que je voulais vraiment mourir ? Es-ce que je voulais me priver de peut-être trouver le bonheur un jour ? Je n'étais pas en état pour réfléchir à tout ça... Je devais soigner ma blessure.

**********

_ « Je ne peux pas... Dis-je d'une voix tremblante, en laissant une larme couler sur ma joue.

_ JungKook... ? »

Il arrêta toutes ses caresses et ses baisers. Il me regarda, en remontant sa main dans ma nuque. Je baissai la tête en laissant couler plusieurs larmes de peur. Mais je me sentais surtout con. Avoir peur de faire l'amour... Il caressa ma nuque avec douceur et colla son front contre ma tête.

_ « Ne pleure pas... Ce n'est pas grave. Mais, je ne veux pas te forcer. Si tu n'y arrives pas, ce n'est rien, JungKook. Mais arrête de pleurer. »

Après ses mots, il m'attrapa contre lui. Je fus contraint de pleurer dans son cou parfumé. Je fermai les yeux.





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