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« Chapitre 1 : Izuku »

P.D.V Izuku.

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Katchan avait attrapé mon pull d'une manière si brutale et si puissante que j'en avais ressenti la chaleur de sa paume sur mon uniforme scolaire. Je n'avais pas pris conscience de ce qu'il m'arrivait. Mon ennemi me regardait, de ses opposants yeux rougeâtres. Je tremblais, mais je n'osais appeler à l'aide. Nous étions tous les deux coincés dans un coin du lycée que nul individu ne fréquentait. Katsuki connaissait bien l'établissement, cela m'inquiétait. J'étais soulevé par la force de celui-ci ; mes pieds ne touchaient plus le sol pierreux.

« Espèce de petit enfoiré, ça t'amuse de pourrir ma vie avec tes rêves débiles ?

Il serra mon pull puis chopa mon cou. Il me coupa presque la respiration. Je tentai de le raisonner, pour que je puisse me défaire de son emprise.

--- J-je ne voulais pas te faire penser c-cela... t-tu sais... être un super-héros, c'est m-mon rêve depuis tout petit...
--- Je m'en branle.

Sa voix me glaça le sang et il encercla ma gorge de ses deux mains brûlantes.

--- T'es qu'un p'tit con qui sait pas contrôler son foutu Alter. Pourtant, tu racontes des sottises sur celui-ci. Depuis l'début, t'en as un, mais t'as jamais assumé que t'étais faible et qu'tu savais pas t'en servir.

Je ne contestai plus ; il m'étranglait le cou. Je le suppliai de me lâcher en tonitruant.

--- Tu sers à rien, t'es inutile et tu ne fais que perdre ton temps dans cette académie. T'y as pas ta place compris ? T'es qu'une merde ! C'est rentré dans ta tête, ça, j'espère ?!

Il souffla d'impatience et enfin me lâcha.

--- J'te refais la misère si tu oses pénétrer dans la classe cet après-midi. J'veux plus jamais te revoir dans cette école. Tu ferais mieux de prendre tes valises et partir.
--- N-non, Katchan... je... j'ai envie de réaliser mon rêve...

Il rigola avec moquerie. Je baissai la tête.

--- Mais en plus d'être con tu es sourd ? J't'ai dit que tu servais à rien et que tu perdais ton temps. Juste un conseil : dégage. Dégage de cette école, de ma vue et de ma vie.
--- M-mais... pleurai-je.
--- La ferme. T'es casse-couilles à chialer comme un bébé.

Je pleurai, silencieusement après réflexion. Mon corps tentait de se remettre de ses émotions, mais je sentis mon cœur se déchirer presque. Le comportement de l'explosif me brisait.

--- C'est une raison en plus de ton exclusion dans ce lycée, avoua-t-il, méchamment. T'as pas les compétences. J'vais pas te le répéter un milliard de fois encore, Deku. »


* * *

« Deku, viens jouer avec nous ! On fait un action et vérité, me dit Tsuyu.

Toutes les filles de ma classe jouaient à ce jeu, mais je refusais. Je n'avais aucunement l'envie de me divertir, je préférais me mettre dans un coin de la salle en attendant que le temps se passe. Actuellement, monsieur Aizawa nous avait offert une heure de congé, car notre examen avait été réussi par tout le monde. Katsuki s'était abstenu de se jeter sur moi. J'ai été raisonnable, j'ai été parvenu à limiter mon Alter. Je n'ai brisé que mon index et mon pouce gauche. J'ai été soigné, maintenant nous sommes libres de nous amuser.

Or, j'étais épuisé, et mentalement fracassé. Katsuki m'avait traumatisé. Cet homme était réellement froissant quand il s'y mettait ; mais j'avais l'habitude depuis le temps.

--- Midoriya, protesta Mina, tu vas bien t'amuser ! C'est plus marrant quand on est beaucoup. Bon, si tu ne veux pas dans ce cas... Ochaco, c'est à toi. Ton action c'est de faire un câlin à Deku !

Ochaco me regarda de loin, avec de petits yeux. Elle sembla nerveuse. Elle tortilla quelques mèches de son épaisse chevelure, puis vint m'enlacer après s'être jetée sur moi grâce à son Zéro Gravité.

--- Ochaco...?

C'était une action. Et j'étais censé être gêné.
Mais je n'avais jamais connu telle douceur. C'était agréable. Même ma mère n'était pas aussi apaisante. Elle me prenait longuement dans ses bras auparavant, pourtant, à côté d'Ochaco, ce n'était pas aussi relaxant.

Ma collègue avait installé ses jambes sur ma chaise, autour de mes cuisses, sur lesquelles est posé son postérieur. Elle me pressa contre elle, sa tête sur une de mes épaules, moi contre sa poitrine - cela pouvait être embarrassant, je l'accorde.
Ochaco sentait bon ; un parfum de vanille se dégageait de sa peau pour venir embaumer mes narines. Ses cheveux chatouillaient mon front, et c'était franchement plaisant. Tandis que ses petits bras entouraient ma taille tranquillement, mes mains passèrent autour de ses hanches afin que notre câlin soit plus savoureux. Nous étions positionnés comme des amoureux. Mais... pour une fois que j'étais calme et que je ne baragouinais pas devant elle, rien d'autre ne pouvait gâcher ce moment. J'aimais bien. La situation était paradisiaque ! Les adjectifs positifs, il y en aurait tellement pour décrire le délice que je vivais.
Ochaco était si douce...

Le geste dura une petite minute, longue pour certains mais trop courte pour moi.

--- Hé euh doucement hein ! fit Mina au bout d'un moment.
--- D-Deku, c'est bon, tu peux me lâcher-
--- N-non je... euh... je... balbutiai-je avec l'envie de la garder dans mes bras.
--- Désolée Mina, mais tu devras attendre un peu pour que je recommence, répondit Ochaco, je vais rester ici.
--- Bon d'accord, on vous laisse ensemble alors.

Je vis Mina tapoter l'épaule de Toru, qui sembla intéressée par la situation ; même si je ne voyais guère son visage et ses émotions.

--- D-Deku, je p-peux me mettre face à toi ?

J'abandonnai complètement le jeu. J'autorisai ma brunette à faire ce qu'elle souhaitait réaliser. Ochaco installa une chaise juste à côté de moi. Puis elle se tourna vers ma direction, je me mis en face de ses magnifiques yeux. Et nous reprîmes.

--- T'as l'air d'aimer mes câlins, c'est gentil.
--- A-ah oui. C'est vraiment apaisant. Désolé, tu peux me repousser aussi si tu n'aimes pas ça.
--- Ne t'inquiète pas, Deku, j'adore les câlins ! Je t'en ferai autant que tu le désireras. Même dans dix ans tu pourras m'appeler pour que je t'en fasse.

Dans dix ans, je compte me marier avec toi, Ochaco.

--- Tu penses à quoi, Deku ?

J'ai dû le penser un peu fort, mais je ne l'ai pas dit ! C'est déjà ça.

--- Tu penses qu'on va se marier ? rit-elle.
--- Euh, mince... tu as entendu... Je suis désolé ! P-p-p-pardon !!!
--- Cela me semble envisageable, Deku.
--- Quoi ?!

Une voix plus virile vrilla dans mes oreilles et je levai la tête, Ochaco suivit mon mouvement. Katchan nous fixait, de ses yeux perçants, il nous regardait mal.
Je me mis à trembloter, dans les bras de ma coéquipière, qui parut choquée de mon attitude et de celle de Katsu'. Je tentai en vain d'échapper les fusillades visuelles de mon harceleur. Les bras d'Ochaco étaient si confortables en revanche. Ils me rassuraient presque contre l'affreuse apparition de mon rival.

--- Deku... tu es... amoureux ?

Je levai un sourcil, perplexe.

--- E-euh, et alors ? dis-je. Tu... tu en as quelque chose à faire ? C'est... je croyais que j'étais inintéressant pour toi...
--- Ah non mais c'est toujours le cas, mon pauvre nerd, murmura-t-il entre deux souffles agacés.

Ochaco fronça les sourcils puis se blottit contre mon torse en balançant un regard meurtrier à Bakugo. Je la laissai faire, sans l'en empêcher. J'affichai une tête triste.

--- Pourquoi mes relations amoureuses t'intéressent, Katchan...?
--- Avoir des relations amoureuses, toi ?

Il explosa de rire avant de me persifler.

--- T'es un mec archi nul, t'es inférieur à moi et tu essayes d'avoir des petites copines ? J'hallucine ! Quelle ironie, c'est une blague j'espère !
--- Bakugo arrête ! répliqua Ochaco. Deku est un garçon super gentil, il est parfait et comparé à toi il est beaucoup plus attentionné !
--- J'ai jamais vu une fille aussi hypocrite. T'es amoureuse d'une tête de brocoli, mais quelle blague ! Pouahaha ! Pitoyable ! Deku n'est qu'une merde, un p'tit con que je bute en moins de deux coups ! Un vulgaire caillou sur mon chemin trop parfait. J'suis meilleur comparé à cette sous-merde !

Ochaco tenta en vain de l'arrêter ; je me mis à pleurer de rage.

--- Il ferait même mieux de s'jeter une balle dans la tête ! Ça fera des vacances à tout le monde, notamment à moi ! J'l'ai jamais apprécié, j'ai toujours souhaité qu'il crève. »

Je lâchai ma copine avant de me réfugier autre part que devant ce fils de pute.

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