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❥ Chapitre XXV

HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LES DROITS D'AUTEUR. TOUT PLAGIAT, REPRISE D'IDÉES SANS EN INFORMER L'AUTEUR, SERA SANCTIONNÉ PAR LA LOI ⚠️

- - - - - - PDV Neyla - - - - -

Évidemment, je n'ai pas eu mon mot à dire. Me voilà traînée dans les rues de New York vêtue simplement de mes sous-vêtements. Si je claque pas d'une balle dans la tête, le froid aura raison de moi !

Taïlys : - Balancez-moi ça dans le coffre !

Je suis expédiée dans les bras d'un gorille. Je grogne.

Neyla : - Le "ça", il t'emmerde ! Et...

Je me fige quand je sens une main dégueulasse attraper l'une de mes fesses. Je me retourne vivement et ma main part toute seule pour s'écraser contre la joue de ce type. Revers de la cuillère, il me rend un crochet que je me prends direct dans la machoire. Je m'éclate sur le sol en grognant.

? : - Salope !

Taïlys : - Eh oh, vas-y mollo Djud ! C'est le prix que j'ai promis, je te rappelle !

Je fronce aussitôt les sourcils.

Neyla : - Pardon ? Le prix ?

Pour simple réponse, elle se met à rire comme une hyène. Elle se hisse sur sa moto et démarre sans faire plus de manière, alors qu'on me chope par les cheveux pour me relever. On me balance dans le coffre d'une Berline comme si j'étais un vulgaire sac de pommes de terre. Puis noir complet quand on referme la voiture. Bordel, j'ai froid et peur. Où est-ce qu'on m'emmène ?!

* * * * *

J'ai l'impression qu'on a roulé pendant des heures bordel ! Je crois même que je me suis assoupie, ou bien c'est le froid qui m'a finalement figée. Parce que lorsque j'ouvre les yeux, je suis dans un hangar encore plus froid que la température extérieur. Je tremble, de la fumée sort même d'entre mes lèvres. Je suis sûre qu'on est en Alaska tiens !

Je frissonne, comme un petit animal apeuré. Je regarde de part et d'autre, voulant me lever. Mais qu'elle n'est pas ma surprise lorsque je me rends compte que mes bras sont solidement attachées dans mon dos, mes cuisses aussi ainsi que mes chevilles. Impossible de bouger ne serait-ce que le petit orteil !

Taïlys : - Ah ben enfin ! J'ai cru qu'on allait devoir te réveiller en t'aspergeant d'eau !

Neyla : - Putain, mais t'es vraiment pas bien ! Je suis où ?!

Taïlys : - Oh, tu as les lèvres bleues. Tu as froid hein ? T'en fais pas, la température va vite monter pour ton cul.

Tous mes muscles sont endoloris par le froid. Je grogne et la fixe méchamment. Elle se met à rire puis tire une autre chaise qu'elle plante devant moi. Elle monte son pied sur l'assise et tend une main vers moi, son index et majeur tendu vers mon front, comme si elle mimait un flingue.

Taïlys : - J'aurais pu tirer une balle entre ces deux beaux yeux bleus, mais... Ça aurait été bien trop facile, tu ne crois pas ? Autant s'amuser un peu... Et puis, vois-tu, j'ai promis aux gars qu'ils auront une petite récompense.

Neyla : - Si c'est moi la "récompense", tu peux te le carrer au cul, Taïlys !

Taïlys : - Ouuuuh, mais c'est mordrait la petite ! Non seulement tu seras la récompense, mais tes fringues aussi. Fallait pas te mettre en travers de mon chemin et de ma relation avec Matt !

Mes fringues ?! Oula, mais j'en ai déjà plus ! Elle va quand même pas... Bordel non mais elle est givrée ma parole !

Neyla : - C'est toi qui as brisé ta relation avec Matt, j'ai rien fait !

Taïlys : - Oh mais regardez-la, cette petite Sainte Nitouche ! Il a suffit que tu trémousses ton petit cul devant Matt et il a craqué ! Si tu l'avais pas approché, c'est moi qui serais dans ses draps à m'occuper de lui !

Neyla : - Va te faire foutre, t'avais qu'à te calmer sur la coke !

Sans même le voir venir, je me prends un coup au visage. Puis un second.

Taïlys : - Ferme ta gueule, ça vaut mieux pour toi !

Je lui crache du sang au visage. Elle ricane à nouveau comme une folle avant de reculer.

Taïlys : - Détachez-la. Qu'on en finisse. J'ai un latino à rejoindre moi...

Je me tortille sur la chaise alors qu'on détache les liens de mes jambes et de mes bras. Mais on me laisse les poignets liés, solidement attachés au bas de mon dos. Génial, sans mes mains ça va pas être de la tarte !

Neyla : - Ne me touchez pas !

Djud : - Oh on est fairplay, on va te gagner à la loyale.

Je le fusille du regard.

Neyla : - Même pas en rêve !

Le voilà qui se bidonne à son tour avec ses acolytes. Deux masses de muscles viennent chacune m'agripper le bras pour me guider à travers un couloir glauque et humide. Mes pieds nus évitent comme je peux les détritus au sol. Merde, on est où ? Dans une déchetterie ?!

J'entends soudainement du brouhaha. Au fil des pas que l'on fait, je commence à reconnaître ces sons. Des acclamations. Des sifflements. Et... des coups. Je reste attentive mais nous avançons toujours en silence, seuls les bruits de nos pas résonnent dans ce tunnel. Après être passés par une pénombre, nous débouchons dans une immense salle. J'écarquille les yeux, ça grouille de mecs et certainement pas des enfants de cœur !

Taïlys se retourne tout à coup et me regarde, sourire armé à la commissure de ses lèvres. Elle écarte les bras et les lève au-dessus de sa tête.

Taïlys : - Bienvenue au repère Escobar. César n'est pas là, je te l'aurais bien présenté, mais... Il n'y a que ses hommes ! Et ils sont déjà chauds bouillants !

Je frissonne de dégoût face à tous les regards salaces que je croise. Je continue de marcher, étant toujours soutenue par les deux gorilles. Je relève la tête quand on monte un petit escalier qui mène à une estrade. On surplombe tout le monde et de là, je vois enfin d'où proviennent les bruits de coups. Un ring de boxe est au milieu de cette horde d'hommes.

Je sursaute lorsque la voix de la dégénérée résonne dans un micro.

Taïlys : - Messiiiiieurs, bonsoir ! Navrée du retard, nous avons dû chercher votre petit lot, comme promis !

Elle se fait acclamer de toute part. L'un des gorilles me lâche alors que l'autre m'amène jusqu'à la rambarde qui délimite l'estrade.

Taïlys : - Je vous l'avais dit : une belle blonde aux formes généreuses.

Je me tortille sur moi-même. Plus gênant, tu meurs !

Taïlys : - Les combats de ce soir vont vous défouler, mais surtout : ils vous donneront accès à trois lots. J'ai vu que vous vous êtes déjà échauffés, donc pas la peine de faire plus de manière...

La camée se rapproche de moi, venant claquer la bretelle de mon soutien-gorge.

Taïlys : - Le gagnant de la première manche remportera ce soutif.

J'écarquille les yeux.

Neyla : - Mais ça va pas ?!

Elle ricane avant d'attraper mon menton entre ses doigts manucurés.

Taïlys : - Je te l'ai dit : on va s'amuser !

Elle ne me laisse aucun répit et donne le feu vert. Deux mecs avancent sur le ring, poings levés. Les acclamations fusent en combo avec leurs coups. Ah putain, ils font pas semblant ! Aucun d'eux ne semble vouloir abandonner. Les minutes défilent, jusqu'à ce que le coup fatal soit donné. Je me prends de plein fouet le regard acéré du gagnant, tandis que Taïlys avance vers moi.

Taïlys : - On a un gagnant...

Je me débats comme je peux, mais elle baisse les bretelles de mon soutien-gorge, avant de glisser ses mains dans mon dos pour dégrafer ma lingerie. Un de ses gars me libère les mains que je plaque aussitôt sur mes seins quand elle m'arrache mon soutif. Elle le lance dans la foule qui finit par le donner au "gagnant".

Neyla : - Tu vas me le payer !!!

Taïlys : - Oh ça ne fait que commencer, ma jolie. Le second lot est plus... dentelé...

Elle baisse le regard sur mon tanga, rictus aux lèvres. Non mais elle veut vraiment me foutre à poil au milieu de tous ces chiens ?!



- - - - - PDV Matt - - - - -

J'ouvre péniblement les yeux. Putain de merde, je me rappelle pas avoir bu tant que ça hier soir, j'ai un mal de crâne affreux ! Je me redresse dans le lit, pressant ma tempe.

Matt : - Putain...

Je tourne la tête. La place de Neyla est vide. Je grogne, me levant doucement.

Matt : - Princesse ?

Je me traine péniblement jusqu'au salon. Je scanne le reste de l'appartement du regard. Vide. Je fronce les sourcils.

Matt : - Neyla ? T'es où ?

Je me dirige vers la salle de bain. Pièce vide. Pareil pour les toilettes. Je vérifie même les armoires.

Matt : - Princesse, c'est pas drôle, tu...

Tout en regagnant le salon, mon regard se dirige sur la porte d'entrée fracassée. Un mauvais pressentiment me gagne.

Matt : - Non, PUTAIN !

Je prends de suite mon portable et compose le numéro de mon frère qui décroche.

Daryl : - Fais pas chier Saku'. Tu laisses ton joli petit cul ici, je termine avec Matt et je t'accompagne. Pas de conneries.... Ouais hermano ?

Encore cette Sakura. Décidément !

Matt : - Daryl, rassure-moi sur un truc : t'as bien mis la puce dans la boucle d'oreilles de Neyla, comme je t'ai demandé ?

Daryl : - Bien sûr, pourquoi ?

Matt : - Trace-la. Je viens de me réveiller, ma porte est défoncée.

Daryl : - Et Neyla ?

Matt : - Absente. J'ai un mauvais pressentiment.

Daryl : - Passe-moi me prendre avec ta bécane, le temps que t'arrives, j'aurais le signal.


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