❥ Chapitre XIII
HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LES DROITS D'AUTEUR. TOUT PLAGIAT, REPRISE D'IDÉES SANS EN INFORMER L'AUTEUR, SERA SANCTIONNÉ PAR LA LOI ⚠️
- - - - - PDV Neyla - - - - -
L'eau chaude déferle sur mon corps et mes muscles se détendent. Mes yeux se rouvrent net quand j'entends la voix de Matt. Je tourne la tête vers lui et l'aperçois derrière la paroi de douche. Sa paume est à plat dessus et son regard est rivé sur moi. Ses yeux noisette ont d'ailleurs pris une teinte plus sombre.
J'enroule instinctivement mes bras autour de ma poitrine. J'ai du mal avec mon corps, encore plus avec ces bleus. Je n'ai pas besoin de précisions sur la phrase de Matt. Il ne bouge pas, reste hors de la douche, et pourtant, un désir irrépressible qu'il me rejoigne me prend.
Je mords ma lèvre, puis après quelques minutes d'hésitation, je le rejoins près de la paroi de verre. Ses yeux ne quittent pas une seule fois les miens alors que je suis nue devant lui. Matt n'est pas comme tous les autres, il respecte les femmes, ça se voit.
J'agrippe l'ourlet de son t-shirt et le passe par-dessus sa tête pour l'en débarrasser. Son torse sculpté dans le marbre m'apparait. Aussi bien taillé que son frère... Je sens mes joues s'empourprer et je me mords instinctivement la lèvre inférieure à nouveau.
Matt : - Neyla...
Neyla : - Viens, Matt...
Je recule dans la cabine de douche, tandis que ses pupilles sont devenues noires. Il n'y a plus une seule once de noisette. D'un geste lent et calculé, il desserre sa ceinture et ouvre le bouton de son pantalon. Je ne quitte pas une seule seconde ce spectacle du regard, il faudrait être nonne pour ne pas en profiter ! Mon cœur bat la chamade alors qu'il baisse ses vêtements jusqu'à ses chevilles, s'en débarrassant d'un coup de pied de maître. Mais mes yeux restent rivés sur sa virilité fièrement tendue et imposante.
Je recule sous le pommeau de douche, pendant qu'il entre dans la douche. Je relève les yeux vers lui et son corps massif se positionne juste en face du mien. A cet instant, je me sens minuscule, mais une douce chaleur se répand en moi alors que ses larges mains se posent sur ma taille. J'en frissonne de plaisir.
Automatiquement je ferme les yeux, profitant du contact de sa peau sur la mienne. Je sens soudainement Matt se rapprocher, ses lèvres se posant dans mon cou. Je lâche un soupir de plaisir, il s'agit de ma zone érogène, je deviens folle en l'espace de quelques secondes quand c'est comme ça. Je me love contre lui, mes seins se plaquant contre son torse d'acier, mon bas-ventre entrant en contact avec son muscle sensible qui est bien étiré. Plus de doutes possibles, je suis attirée par cet homme comme un insecte par la lumière.
Ses délicieux baisers suivent une ligne imaginaire jusqu'à mon oreille et je perçois un léger grognement de sa part, alors que ses mains remontent sur mes flancs, parsemant ma peau d'une chair de poule.
Matt : - J'ai envie de toi... Vraiment... Est-ce que tu es sûre ?
Sa voix rauque s'insinue en moi dans un doux murmure. Je gémis légèrement avant d'opiner du chef.
Neyla : - Oui Matt, je t'en prie... Efface-moi ce qu'il a fait...
Je rouvre les yeux pour croiser son regard intense. C'est à cet instant que je prends toute la mesure de ce qu'il va se passer. Je n'ai plus personne de mon côté, il n'est pas question que je retourne auprès de Corentin après ce qu'il m'a fait, mais Matt... Et Taïlys ?
Mais face à un regard si profond comme me lance le motard à cet instant, aucun mot ne sort et ma raison disparait totalement. La main chaude du latino remonte le long de ma joue et attrape ma mâchoire pour m'attirer à lui. Je vibre presque à son contact. Son souffle répercute sur mon visage tellement nous sommes près. Ce parfum masculin, mon Dieu...
Ma respiration se coupe net et un son fébrile m'échappe lorsque Matt s'empare presque férocement de mes lèvres. Mon cerveau se remplit de sensations enivrantes, mon cœur palpite dans ma poitrine comme si je venais de courir un marathon. Je me laisse aller dans ses bras, nos deux corps collés l'un à l'autre. Mes petites mains remontent le long de son torse et j'ai tout le loisir de caresser ses abdos parfaits qui se contractent sous mon contact.
Je crois bien qu'aucun homme ne m'a embrassée comme Matt est en train de le faire. Mes jambes sont prises de fourmillements, mon ventre se contracte dans tous les sens. Son torse se presse contre moi avec une telle fermeté que je suis obligée de reculer, sans que le latino ne me lâche pour autant. Il s'empare de ma taille pour me soulever d'une facilité déconcertante, me plaquant contre la paroi de la douche. Le contraste froid avec ma peau brûlante m'arrache un léger gémissement alors que notre baiser devient plus féroce. Matt entrouvre mes lèvres de sa langue avant d'aller chercher sa jumelle pour entamer un ballet des plus langoureux.
Une large main attrape fermement ma cuisse pour l'écarter, laissant les hanches de Matt se presser contre mon entrejambe qui frétille déjà d'impatience. Je deviens complètement folle en sentant son membre contre ma fente brûlante et trempée. Je n'entends que les battements frénétiques de mon cœur et je finis par fondre lorsque l'autre main du motard remonte sur moi, empoignant un de mes seins. Je gémis contre ses lèvres, mon corps se réchauffant de plus en plus. Ses doigts viennent titiller mon téton qui pointe dores et déjà de désir, des spasmes me parcourant. Bordel, c'est la première fois que je ressens ça !
Je sens la respiration de Matt qui s'accélère, son torse se soulevant avec frénésie. Je l'entends soupirer alors qu'il recule de moi. Mes pommettes doivent être rouge écrevisse, je suis fébrile de la tête aux pieds. Son regard fiévreux me déstabilise totalement, mais je me sens belle face à ses yeux.
Matt : - Laisse-moi te montrer ce que c'est, un vrai homme.
Je succombe totalement. Je hoche la tête et refonds sur ses lèvres, pendant que ses mains glissent sous mes cuisses et me soulève de terre. Instinctivement mes jambes s'entrelacent autour de lui comme du lierre à un arbre. Sa virilité palpite contre ma féminité. Son gland frotte sur ma vulve brûlante avant de glisser plus bas et de s'emparer de moi. Je lâche un cri de plaisir tandis que Matt pousse un râle rauque. Il s'arrête une fois qu'il est entièrement dans mon fourreau, sa langue s'enroulant autour de la mienne.
Nos corps sont soudés et il commence à me posséder de lents va-et-viens, avant d'accélérer. Ma poitrine danse dans tous les sens alors que mon intérieur aspire son membre imposant, ma chair intime s'écartant à chacun de ses passages. Toute la peur que je ressentais s'est envolée, je suis dans les bras d'un homme qui prend soin de moi, qui prend soin de mon corps et qui surtout, ne me fait aucun mal. Au contraire, il me fait un bien fou et ma voix qui s'élève dans la pièce en est la preuve.
Nos regards s'accrochent alors que ses doigts pressent la peau de mes cuisses. Nos souffles se mélangent, nos bassins claquent l'un contre l'autre et nos corps s'emboitent à merveille. Tout semble avoir été façonné pour que ce moment arrive. Mes mains glissent derrière sa nuque et tirent sur la base de ses cheveux bruns. Je bascule la tête en arrière, enivrée par le plaisir, mes lèvres restant entrouvertes pour permettre à mes gémissements d'être parfaitement audibles.
Le plaisir accroit en flèche, les lèvres de Matt déviant vers ma poitrine qui se dresse vers lui. Sa bouche embrasse mes tétons à tour de rôle avant que sa langue ne prenne la relève, mon corps se cambrant en arrière sans que je ne le contrôle. Mes doigts glissent dans ses cheveux et tirent dessus au fur et à mesure des minutes qui s'écoulent.
Neyla : - Matt... Oui... Continue...
Je commence à trembler, délicieusement, m'accrochant éperdument à cet homme qui est en train de me faire vivre quelque chose que je n'ai pas ressenti depuis des années. Cette attraction... Cette sensation d'être unique et importante...
L'orgasme approche de plus en plus. Mes parois internes se referment sur son membre et j'entends Matt grogner. Sa virilité semble grandir et je sens parfaitement sa veine saillante pulser en moi. Mais mon corps ne répond plus de rien et toutes mes barrières s'abaissent quand mon plaisir atteint son paroxysme. Je jouis puissamment tout en scandant le nom du latino qui lui, s'abandonne en moi en me remplissant de son fluide chaud.
Il n'y a plus que le bruit de nos respirations effrénées qui résonne, ainsi que l'eau qui coule toujours sur nous. J'ai d'ailleurs l'impression de prendre une douche glacée tant ma peau est brûlante. Ma poitrine se soulève et s'abaisse rapidement, frôlant à chaque fois le torse de Matt. Il sourit légèrement en me regardant. Il ne m'a toujours pas lâchée, mes jambes sont encore nouées autour de lui. Nous nous fixons en silence avant qu'il ne vienne m'embrasser tendrement et doucement. Ce baiser est comme rempli de promesses silencieuses.
Matt : - Princesse...
Je pose un index sur ses lèvres charnues et ne peux m'empêcher de sourire béatement.
Neyla : - Si tu sors une vanne, je t'arrache la langue, Matt.
Il finit par ricaner avant de sortir de moi. Je pousse un léger gémissement, desserrant mes cuisses de son bassin. Il me dépose au sol sans me lâcher, son bras toujours enroulé autour de ma taille. Il continue de m'embrasser, de cueillir délicatement mes lèvres, tout en me savonnant. Ses mains sont les bienvenues sur moi, je me sens bien.
* * * * *
Enroulée dans une serviette bien trop douce pour être un simple linge, mon regard croise celui de Matt qui sort de la cabine, une serviette nouée autour de son bassin qui me laisse tout de même le loisir d'observer ses abdos et cette ligne de poils qui dévient vers le sud. Je relève difficilement les yeux vers le latino qui semble scanner mon corps. Il me rejoint et se place derrière moi. Ses mains caressent la peau de mes bras, mais il a perdu son sourire.
Matt : - Comment peut-on faire ça à une femme... Je comprendrais jamais les hommes comme ça...
Sa voix n'est qu'un murmure. Je ne sais pas s'il me parle indirectement ou s'il est perdu dans ses pensées. Tout ce que je constate, c'est que ma peau réagit encore à son contact. Ce mec est un Dieu, dans tous les sens du terme.
Ses lèvres se posent soudainement sur mon épaule et je ferme les yeux en soupirant d'aise. Voilà bien longtemps qu'on ne m'avait plus chouchoutée de la sorte.
Matt : - Tu retournes pas là-bas, hein.
Je rouvre les paupières et croise son regard noisette dans le miroir.
Neyla : - Je n'en ai pas envie. J'ai pris quelques affaires de rechange. Je pense aller chez Lyse, ou bien j'irais au bar, je dors souvent là-bas. Les clients seront contents d'avoir une nocturne.
Je vois soudainement ses sourcils se froncer.
Matt : - Non Neyla, tu vas pas là-bas. Et si Corentin y est ? Et tu vas pas déranger ta pote en plein milieu de la nuit, il doit être quatre heures du matin ! Tu vas venir chez moi. Et c'est pas négociable, princesse.
Neyla : - Que, quoi ? Non Matt, je...
Il me pivote soudainement vers moi et me vole un baiser dans lequel je me perds avec plaisir.
Matt : - Non négociable, j'ai dit.
Je ne trouve rien à redire. Aller chez lui ? Et sa copine ? Déjà que j'ai couché avec lui, si elle le sait je vais me faire lapider sur la place publique !
Matt : - Je te laisse te rhabiller. Je dois parler à mon frère avant qu'on parte.
Je n'ai pas le temps d'ajouter quelque chose qu'il a récupéré sa boule de vêtements et est sorti de la salle de bains. Je soupire, déjà en manque de ses mains sur moi. Bordel Neyla, qu'est-ce que tu fous...
- - - - - PDV Matt - - - - -
Mes pulsions ont pris le dessus, j'en pouvais plus de lutter. Ce n'est pas comme si j'avais trompé Taïlys puisque j'ai dit que j'avais besoin de temps pour réfléchir. Et la réponse à mes interrogations est toute trouvée : je ne l'aime plus. Plus comme elle l'espère en tout cas.
M'être perdu dans ces abysses de plaisir avec Neyla... J'avais jamais ressenti une telle alchimie entre une femme et moi. C'était comme... un rêve qui prenait forme. Son petit corps meurtri est un véritable joyau. Corentin n'est pas capable d'en prendre soin ? Je le ferais sans hésiter à sa place !
Je remets mes vêtements après m'être négligemment essuyé les cheveux. La tignasse encore humide, je m'éclipse de la chambre, n'entendant d'ailleurs plus les bases qui pulsaient pourtant encore tout à l'heure. Je descends, retrouvant Daryl et ses hommes dans le grand salon, en pleine réunion.
Je fronce les sourcils et m'avance. Certains des gars me regardent furtivement, faisant tout de même tourner la tête de leur patron vers moi.
Daryl : - Matt, je pensais que vous aviez décollé.
Matt : - Nan. Pourquoi t'as congédié tout le monde, il se passe quoi ?
Daryl : - Boulot frérot, on a pas le choix. Mais tu sais que je te mêle pas aux histoires du cartel.
Matt : - Et je veux pas savoir. Fais juste gaffe à toi. Mais c'est rien de suicidaire ?
Daryl : - Tu me connais. Une nouvelle venue rejoint nos rangs au QG, y'a eu un souci dans une des filières, on a tenté de détruire une cinquantaine de mes effectifs. Je vais pas rester sans rien faire.
Il claque des doigts, faisant bouger une dizaine de ses gars qui se ruent à l'extérieur. J'entends des bagnoles qui arrivent à blinde dans la cour et je fronce aussitôt les sourcils.
Matt : - Je vais bouger avec Neyla. Tu gères Corentin ou je m'en charge ?
Daryl arque un sourcil et se rapproche de moi.
Daryl : - Vous avez pas joué aux cartes là-haut. C'est pas à moi que tu vas mentir. Une belle créature comme elle...
Je grogne et serre les poings, ce qui a le don de faire ricaner mon frère.
Daryl : - Tout doux, hermano. Ce que je veux dire, c'est que si tu tiens à cette nana, même si je m'occupe du cas de son ex, tu vas quand même vouloir rajouter ton grain de sel. On est comme ça chez les Ortega.
Il me donne une tape sur l'épaule, avant de me tourner le dos.
Daryl : - Mais fais gaffe à toi Matt, joue pas avec deux gonzesses. Si tu les as pas dans le même lit en même temps, ça risque de faire des conflits.
Matt : - Putain, t'es con Daryl !
Cet idiot se bidonne avant de s'éclipser avec le reste de ses gars. Je sens soudainement une petite main se poser sur mon épaule. Je reconnais ce contact. Je me tourne et souris légèrement à Neyla qui s'est rhabillée, portant d'ailleurs ma veste en cuir.
Matt : - Tiens, je me disais bien que je l'avais oubliée quelque part, elle...
Je souris en coin alors que la belle blonde glousse adorablement.
Neyla : - Désolé, j'avais un peu froid et j'ai pas pensé à prendre une veste.
Matt : - T'inquiètes princesse, j'ai encore trop chaud, j'en ai pas besoin. Viens, allons à nos bécanes.
Je la vois rougir. C'est tellement adorable sur elle. J'emmêle mes doigts aux siens et la guide jusqu'à dehors. Je fronce aussitôt les sourcils lorsque j'aperçois les gars de Daryl aider d'autres types qui ont l'air plutôt mal au point. Je reconnais plusieurs de ses fidèles, il déconnait pas quand il disait qu'on avait voulu liquider quelques membres du cartel !
Je tire Neyla jusqu'à moi et enroule un bras autour de ses épaules, tandis que son regard se perd sur les corps qui sont sortis des bagnoles. Certains sont sans vie, d'autres en sale état.
Neyla : - Mais... C'est quoi ce délire ? Il fait quoi ton frère ?
Matt : - Je préfère pas que tu saches, princesse. Il gère, t'en fais pas.
Mon regard tombe sur la silhouette de mon frère qui est penché côté passager d'un van. Il extrait une personne, blottie dans ses bras. Bien différente des autres puisqu'il s'agit d'une femme à la chevelure marron. Une femme dans ses effectifs... Encore une poule je présume, et celle-ci est à deux doigts de la mort vu tout le sang qu'elle a sur elle !
J'accélère le pas, nous faisant rejoindre nos bécanes qui sont plus loin que cette débandade, fort heureusement. J'enfile mon casque, la belle blonde fait pareil, et nous n'attendons plus avant de faire vrombir nos moteurs et de quitter la propriété de Daryl.
* * * * *
Nous garons nos motos sur le trottoir, devant mon appart. J'invite Neyla à me suivre, ouvrant la porte de mon chez moi.
Matt : - Bienvenue dans mon humble demeure, princesse.
Je m'efface pour la laisser passer, avant de la suivre et fermer la porte à double tour. Je pose mon casque sur l'étagère, Neyla faisant pareil. Mais je vois son regard qui furète partout et cela m'arrache un petit ricanement.
Matt : - Tu la croiseras pas ici. Elle n'a jamais habité avec moi, et de toute manière, c'est terminé entre elle et moi. Ça n'allait plus. Tu veux boire quelque chose ?
J'aperçois un léger rictus, avant qu'elle ne baille en guise de réponse.
Matt : - Je vois... Princesse est bien fatiguée. Ma chambre est au fond.
Neyla : - La princesse peut se contenter du canapé...
Matt : - Ça va pas non. File dans le lit !
Elle glousse et se défait de ma veste qu'elle pose sur un des accoudoirs du canapé, retirant ses chaussures avant d'avancer vers ma chambre d'une démarche chaloupée. Je grogne et reste quelques instants en cuisine pour boire un bon verre d'eau, mais j'entends soudainement sa petite voix. J'hésite à bouger, si ça se trouve j'ai... Non, elle m'appelle encore.
Je la rejoins dans la chambre et l'interroge du regard. Elle a laissé la petite lampe de chevet allumée, son regard est rivé sur moi.
Matt : - Neyla ?
Neyla : - Tu es certain que Corentin connait pas ton adresse ? Il peut pas débarquer dans la nuit ?
Sa voix est tremblante, elle a peur, ça s'entend.
Matt : - Non princesse, il se pointerait jamais ici. Ce serait suicidaire, je t'assure.
Neyla : - Mais tu le connais pas... C'est un fou furieux.
Elle frictionne un bout de couette entre ses fins doigts, se cachant presque derrière.
Matt : - Tu veux que je dorme avec toi ?
Elle ne bouge pas, avant de finalement hocher la tête timidement. Je souris légèrement, allant éteindre les lumières de l'appart, puis je reviens vers elle, retirant mes vêtements pour ne rester qu'en caleçon, me glissant ensuite sous les draps à ses côtés. Elle se retourne et vient se blottir contre mon torse. Je la sens tremblante au début, avant qu'elle ne se calme. Ses petites paumes sont sur mes pecs et je sens sa respiration devenir plus faible.
Matt : - Dors, princesse. Je veille sur toi.
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