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7 - Harmonie Endiablée

- - - - - PDV Myriam - - - - -

Ce matin, je me réveille la bouche pâteuse, de la bave séchée au coin des lèvres. Une feuille de papier est restée coller à ma joue, ce fichu dossier va finir par avoir ma peau un jour !

J'ai du mal à émerger, nous avons mangé tard hier soir, et j'ai finis par me replonger dans le travail alors que les autres étaient encore en train de jouer avec Mina. Cette petite a vraiment une énergie débordante, comme sa mère !

Je suis en train de somnoler, lorsqu'un troupeau d'éléphants est en train de dévaler l'escalier. Je tourne la tête, découvrant Emilie courant à droite et à gauche, décoiffée comme si elle sortait de discothèque, essoufflée comme si elle avait couru un marathon.

Myriam : - Il y a peut-être un souci ?

Elle lâche un cri de stupeur en lâchant le livre qu'elle tenait en main.

Emilie : - Bordel, Zazou ! Qu'est-ce que tu fous là ?!

Myriam : - Je me fais un café...

Je désigne la cafetière comme si elle était l'objet du crime. Ma sœur fouette l'air avec sa main, avant de poursuivre sa course effrénée.

Myriam : - Mais qu'est-ce que tu fais ?

Emilie : - J'ai zappé de mettre mon réveil, du coup, j'ai pas pris ma douche, les affaires d'école de Nana ne sont pas prêtes et JE SUIS EN RETARD !

Myriam : - Oulaaaa, doucement ! Ce sont les hormones ou quoi ?!

Emilie : - Très drôle, Myriam, très drôle !

Myriam : - T'as un truc de prévu à la salle, c'est ça ?

Emilie : - Oui, Matt y est déjà, il va m'en vouloir A MORT de pas être là, je lui ai dit que je l'aiderai à faire l'ouverture, on a plein de cours à donner ce matin !

Myriam : - Eh, respire deux secondes, tu veux ?

Emilie : - Nan nan, pas possible. PAS POSSIBLE !

Mina : - Mamaaaaaaaaan, je mets quoi comme vêtement ?

Emilie : - Crotte de bique, j'ai aussi oublié de faire ça ! Oh, mais où est-ce que j'avais la tête hier soir ?!

Myriam : - Certainement posée sur le torse de ton Matt, ou encore...

Emilie : - Pschut, je veux rien entendre de plus !

J'attrape son poignet lorsqu'elle passe à toute vitesse devant moi, manquant de lui arracher tout le bras. Je dépose la tasse de café entre ses mains avant qu'elle ait le temps de râler.

Myriam : - Prends un bon petit dej, file à la douche et rejoins Matt.

Emilie : - Mais je...

Myriam : - Et moi, je m'occupe d'emmener Mina à l'école. C'est bon ?

Emilie : - Je...

Je ne lui laisse pas le temps de répliquer que je suis déjà sur les marches de l'escalier, soulevant la petite qui était en train d'assister à la scène.

Emilie : - Merci Zazou... Tu ferai une maman superbe...

Myriam : - Ouais... Dis ça à Daryl !

Je ricane nerveusement, emmenant Mina dans sa chambre afin de la préparer pour l'école. Je manque de trébucher sur une montagne de peluches.

Myriam : - Mais ?! Il y a eu une tornade ici ?!

Mina : - La tornade Ortegaaaaa !

Myriam : - Ça, c'est ton papa et tonton. Là, sérieusement, qu'est-ce qu'il s'est passé ?!

Mina : - Ben... J'ai voulu faire comme maman...

Myriam : - Maman était en train de préparer tes affaires, pas mettre le bazar partout ! Tu me promets de ranger ce soir ? Pour l'instant, nous n'avons pas le temps, tu vas finir par être en retard toi aussi !

Je jette un œil à l'horloge. Il nous reste 15 minutes, va falloir mettre les bouchées doubles !

Je tente tant bien que mal d'accéder à l'armoire. Heureusement, je n'ai pas besoin de chercher très loin, j'aperçois une petite robe bleue et blanche à dentelle qui ira parfaitement bien avec les petites ballerines blanches que je vois dans le tiroir à chaussures !

Myriam : - Tu as un dressing plus rempli que le mien...

Mina : - J'adore les chaussures, moi !

Myriam : - Eh bien, tu n'es pas une fille pour rien !

Mina : - Je peux m'habiller comme une grande ?

Myriam : - Vas-y, je dois aller voir tonton.

Elle me sourit malicieusement, avant que je ne quitte la pièce. Je pénètre dans notre chambre conjugale, découvrant le lit défait et percevant le bruit de la douche. Je me change rapidement, tente de refaire mon chignon afin qu'il soit plus présentable, puis ouvre silencieusement la porte de la salle de bains.

Daryl est sous les trombes d'eau qui déferlent sur lui, le visage levé vers le pommeau de douche. Je mate sans vergogne son corps sculpté dans le marbre qui n'a pas bougé depuis toutes ces années passées à mes côtés. Il ne prend pas un pet de gras, qu'importe ce qu'il mange !

Je me mords la lèvre, ayant une envie folle de le rejoindre, mais Mina en a décidé autrement.

Mina : - Marraineeeeeeeee, j'ai finis ! Il faut me coiffer !

Je soupire en souriant. Je regarde une dernière fois le corps de mon mari avant de m'éclipser sans un bruit, rejoignant la petite teigne qui me sert de filleule.

Après avoir réussi à dompter la chevelure de cette petite grenouille, je la suis à la cuisine où elle saute dans les bras de sa mère qui s'est enfin calmée.

Emilie : - Eh bien, tu es toute belle !

Mina : - C'est marraine qui a tout fait !

Emilie : - Elle assure !

Ma sœur me dédie un clin d'œil avant de reposer la petite au sol.

Emilie : - Tiens, c'est un petit pain au chocolat comme tu les aimes, tu mangeras sur la route, tu vas être en retard sinon.

Mina : - D'accord !

Nana attrape son sac et court jusqu'à la porte d'entrée.

Mina : - Allez, je veux aller voir mes copains !

Myriam : - J'arrive, j'arrive !

Je récupère mes clefs de voiture, rejoignant la petite, avant qu'Emilie ne m'interpelle.

Emilie : - Est-ce que tout va bien ?

Myriam : - Pourquoi ça n'irait pas ?

Emilie : - Tu... Entre Daryl et toi, je voulais dire...

Myriam : - J'en parlerai bien, mais je n'ai pas trop le temps...

Je referme la porte derrière moi avant de devoir avoir une ultime discussion avec ma sœur. Non, ça ne va pas avec Daryl, je ne pensais pas que notre vie allait prendre une tournure de la sorte !

Mina : - Tu boudes ?

Myriam : - Pas du tout, ma chérie, allez, grimpe !

Je l'installe à l'arrière de la voiture familiale que Matt et Emilie se sont acheté. Elle est très encombrante, mais je l'adore !

Je me glisse derrière le volant et fais cap vers l'école, accompagnée d'une vraie pipelette qui me raconte son rêve de la nuit dernière, rempli de fées et de dragons qui crachent de l'eau.

* * * * *

Je constate que j'ai oublié le dossier du procès à la maison, alors que je viens d'arriver au travail. Je finis par reprendre la direction de la villa, me maudissant intérieurement. C'est pas possible de ne pas avoir de tête comme ça ! Heureusement qu'elle est accrochée au reste de mon corps, je l'oublierai tout le temps sinon !

Je passe la porte, ayant prévu d'attraper mon dossier et de retourner à la voiture, mais je me retrouve happée par le regard noisette de Daryl. Il est assis sur l'un des tabourets du bar, les bras croisés sur le comptoir, mon dossier devant lui.

Daryl : - T'as ptetre oublié quelque chose ?

Myriam : - Ça.

Je pointe les feuilles du doigts, mais il ne baisse pas le regard pour autant.

Daryl : - Merci, j'ai vu.

Je déglutis. Ce regard, je le connais. On va encore se prendre la tête !

Daryl : - J'ai encore dormi seul. Vais-je espérer retrouver ma femme un jour ?

Myriam : - Je suis désolée, je me suis endormie très vite, et...

Daryl : - Non, Myriam, tu ne t'es pas "endormie", tu es tombée de fatigue ! Tu travailles trop, j'arrête pas de te le dire !

Myriam : - Tu sais que ce dossier est important pour moi, c'est l'un des plus gros que j'ai eu à gérer depuis le début de ma carrière !

Daryl : - Peut-être, mais tu délaisses complètement ta vie pour te focaliser sur des gens que tu connais ni d'Adam, ni d'Eve !

Myriam : - J'ai toujours été méticuleuse dans mon travail, tu le sais.

Daryl : - Ouais, au point d'ignorer ton mari ?

Myriam : - Je ne t'ignore pas !

Daryl : - Ah ouais ? Quand est-ce que l'on s'est endormis bras dans les bras pour la dernière fois ? Ou même que l'on ait échangé un plaisir charnel ? Ou ne serait-ce qu'un fou rire ?! On fait plus rien ensemble, Myriam, c'est vraiment ça le mariage pour toi ?! L'amour ne dure donc que 3 ans, et passé ce délai, on devient des étrangers ?!

Myriam : - Pourquoi est-ce que tu rejettes toujours la faute sur moi ?! Quand je fais des efforts, que je rentre plus tôt à la maison pour être avec toi, tu n'es pas là, et quand je t'appelle, tu me dis que tu es en train de régler une affaire importante !

Daryl : - Tu sais que mon monde est différent du tien, mais au grand jamais je te ferai passer au second plan !

Myriam : - C'est pas l'impression que j'ai ces derniers temps !

Daryl : - Tu te fiches de moi ?! Est-ce que tu as vu la manière dont tu me parles en ce moment ? Tu es sans cesse sur la défensive !

Myriam : - Mais parce que tu cherches toujours les prises de tête !

Daryl : - Je ne cherche rien du tout, j'essaye de savoir ce qu'il se passe dans la tête de ma femme, nuance !

Myriam : - J'ai un travail qui demande de l'attention, et...

Daryl : - Et moi aussi, j'ai besoin d'attention, comme tu dis !

La voix de Daryl s'est haussée. Une boule s'est formée dans ma gorge, nous ne nous étions jamais confrontés aussi longtemps depuis que j'ai repris le travail.

Myriam : - Je suis désolée. Je ferai des efforts pour...

Daryl : - Tu te répètes, Myriam, tu n'arrêtes pas de me dire ça à chaque nouvelle dispute, et c'est toujours pareil ! Je retrouve la femme que j'ai épousée pendant une journée, et après, tu redeviens cette acharnée du travail !

Myriam : - C'est ce dossier qui...

Daryl : - Ce dossier tu es dessus depuis DES MOIS !

Myriam : - C'EST LE PLUS GROS CLIENT QUE J'AI EU JUSQU'À PRÉSENT !

Daryl : - ET QUAND EST-CE QUE JE RETROUVERAI LA MYRIAM DOUCE ET ATTENTIONNÉE, HEIN ?! TU PEUX ME LE DIRE ?!

Myriam : - QUAND TOI AUSSI, TU AURAS RALENTI LA CADENCE SUR TES FAMEUSES "AFFAIRES" !

Nous nous regardons en chien de faïence, des éclairs sortant des yeux. Le torse de Daryl se lève et s'abaisse rapidement, preuve qu'il est très remonté.

Il finit par se lever et se dirige vers moi, le dossier à la main. Il me le colle à la poitrine, attendant que je l'attrape.

Daryl : - Prends-ça, et retourne dans ta tour de verre. Je présume que tu dormiras de nouveau là-bas.

Myriam : - Pourquoi tu réagis comme ça ?

Il ferme les yeux quelques instants et les rouvrent, étant devenus larmoyant.

Daryl : - Parce que je commence à saturer, Myriam. J'ai besoin de retrouver ma femme, j'ai l'impression qu'elle file de plus en plus, au fur et à mesure que le temps passe.

Myriam : - Pourtant, je suis toujours là, tu le vois bien, non ?

Daryl : - Mais ce n'est plus comme avant. Et je t'interdis de me dire que c'est parce que les années passent, et que notre couple commence à se connaître par cœur. T'étais pas comme ça au début, ni durant les deux premières années qui ont suivi notre mariage.

Myriam : - Daryl... Je ne m'en rends pas forcément compte, être avocate, ça demande de faire des sacrifices sur la vie de famille, et...

Daryl : - Parlons-en, oui. Comment vois-tu notre avenir exactement ? Matt et Emilie ont déjà eu une petite fille, et s'apprêtent à avoir un second enfant. Et nous, dans tout ça, où est-ce qu'on en est ?

Myriam : - Pour le moment nous ne sommes pas prêts pour être parents, nous sommes tous les deux pris par notre travail, et...

Daryl : - En un claquement de doigts, je peux décider de rester à la maison, avec toi. Mais serai-tu prête à faire les mêmes concessions ?

Je reste silencieuse, l'observant sans ciller. Il finit par souffler péniblement et par reculer de quelques pas.

Daryl : - Tu vois. C'est de ça dont je parle. Tu fais passer ton travail avant moi, et je sais pas si je pourrai tenir encore longtemps comme ça.

Myriam : - Daryl, je...

Daryl : - Non, c'est bon, j'en ai assez eu pour aujourd'hui. Va travailler, t'attends que ça de toute manière !

Il me tourne le dos, prenant la direction de l'étage.

Daryl : - Oh, au fait, si je veux organiser un week-end en amoureux pour ton anniversaire d'ici quelques mois, faut que je te prévienne combien de temps à l'avance ? Ou est-ce que je devrai passer par Nancy ? Ce sera peut-être plus simple pour avoir ton emploi du temps, vu que je ne te vois presque plus !

Il disparait sur l'escalier, me laissant debout, droite comme un i. J'essuie nerveusement une larme qui menaçait de perler sur ma joue d'un revers de la main et fonce ver la porte d'entrée. Peut-être que mon travail prend la plupart de mon temps, mais au moins, quand je croule sous les dossiers, je ne pense pas aux problèmes dans mon couple !

Je me glisse derrière le volant, tournant la clef sur le contact. Mais cette boite de ferraille refuse de redémarrer. C'est bien ma veine, tiens ! Matt a pris sa voiture, Emilie la mienne, et si celle-là refuse de démarrer... Il ne reste plus que celle de Daryl. Génial !

Je peste entre mes dents, sortant furieusement de la voiture. J'entends simplement le rire narquois de Daryl.

Daryl : - A priori, même les bagnoles ont décide de te faire la gueule pour être compatissantes envers moi !

Je lève les yeux, le trouvant accoudé au muret de la terrasse. Je préfère ne rien répondre, le fusille du regard, et tourne les talons.

Daryl : - Je t'emmène ?

Myriam : - Nan, j'vais prendre le bus.

Daryl : - Myriam, sérieusement, t'as plus mis les pieds dans un transport en commun depuis quand ? Fais pas l'idiote, viens, je te conduis.

Myriam : - Non merci !

Je fulmine. Mes talons claquent sur le macadam, certains passants me dévisagent et je me fais violence pour ne pas leur aboyer dessus.

Tout à coup, je perçois un ronronnement caractéristique, et une Lambo rouge flamboyante s'arrête à ma hauteur. Je continue de marcher, obligeant le conducteur à me suivre lentement.

Daryl : - Myriam... Monte.

Myriam : - Non. J'ai eu assez de reproches dans la gueule, ça me suffit.

Daryl : - Tu vas me laisser niquer mon essence en te suivant à cette allure ? Alors soit tu cours, soit tu montes.

Myriam : - Ni l'un, ni l'autre. Je ne t'ai pas demandé de me suivre.

Daryl : - Un mari digne de ce nom ne laisse pas sa femme habillée en mini-jupe se trimballer dans les rues comme ça.

Myriam : - Ouais, mais à priori, mon mari ne voit plus sa femme en moi.

Daryl : - J'ai pas dit ça !

Je tourne à peine la tête vers lui, découvrant que son visage s'est adoucit.

Daryl : - S'il te plait, monte. J'aime pas me donner en spectacle comme ça. Pas pour des disputes futiles, en tout cas.

Un sourire niais apparait sur ses lèvres, m'arrachant un gloussement. Ce petit con a toujours la phrase pour me faire rire !

Daryl : - Allez, viens.

Je soupire, jurant à voix haute, mais finis par contourner son engin de la mort et de m'installer à ses côtés. Je sens son regard peser sur moi, mais je ne lui fais pas le plaisir de plonger mes prunelles dans les siennes.

Myriam : - Je ne veux pas entendre un seul reproche sortir de cette bouche, amène-moi simplement au boulot s'il te plait.

Daryl fait gronder le moteur et démarre en trombe, s'insérant dans la circulation. Il demeure silencieux, pour mon plus grand bonheur. Je n'aime pas me disputer avec lui, j'ai à chaque fois l'impression que l'on m'arrache une partie du cœur !

Mais alors que nous sommes bientôt arrivés, le bad boy braque violemment à droite et s'insère dans une ruelle qui mène vers les bois situés non loin de notre résidence.

Myriam : - C'est pas par là du tout, au cas où.

Daryl : - T'inquiètes, ta tour de verre, personne peut la louper. Mais je te laisse pas partir toute la journée alors qu'on s'est crêpés le chignon.

Myriam : - Daryl, j'ai dit que je voulais plus de reproches, j'ai compris le message !

Il fronce soudainement les sourcils.

Daryl : - Est-ce que j'ai dit quelque chose, là ?!

Myriam : - Non, mais je sens que tu t'apprêtes à le faire !

Il s'arrête tout à coup sur un chemin de terre sinueux, cachant la moitié de son bolide dans les fourrées, puis il s'extirpe de l'habitacle.

Je balance ma tête en arrière, abandonnant mes affaires et sortant à mon tour de la voiture. Je rejoins difficilement Daryl devant la voiture, c'est vraiment pas pratique les escarpins à talons hauts sur de la terre et de l'herbe !

Myriam : - Daryl, sérieux, je...

Il se tourne vivement vers moi, attrapant mon visage en coupe et capturant mes lèvres entre les siennes. Sa langue vient se joindre à la mienne, l'entrainant dans un ballet endiablé. Je m'accroche à son cou, lui rendant passionnément son baiser qui vient de faire fondre toutes mes neurones.

A bout de souffle, il s'écarte légèrement de mon visage, posant son front contre le mien.

Daryl : - Je suis désolé, trésor, j'aime pas quand on se prend la tête comme ça. Mais alors pas du tout !

Il refond sur ma bouche, me poussant contre la carrosserie de la voiture. Mes doigts fripons entreprennent de déboutonner sa chemise, me laissant retrouver la douceur de ses abdominaux que j'ai pu mater tout à l'heure sous la douche.

Daryl : - Ça, c'est la Myriam que j'aime.

Je m'affaire à défaire la boucle de sa ceinture, envoyant son pantalon et son boxer au sol. Daryl me soulève, se positionnant entre mes cuisses, me bloquant entre son corps brûlant et la carrosserie froide de la Lambo.

Ma jupe est rapidement relevée a une hauteur outrageante, les boutons de mon chemisier sautent et je suis débarrassée de ma lingerie. Je retrouve mon homme qui me possède immédiatement, m'arrachant des cris de plaisir.

C'est nous tout craché. On se dispute, on se réconcilie avec une partie de jambes en l'air, et c'est reparti !

A suivre...

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[Si vous vous accaparez certaines de nos photos, merci de nous demander la permission. On bosse dur sur le montage de certaines, respectez le travail des autres, vous seriez adorables ! Idem pour des idées provenant de notre histoire... ❤️]

XOXO ❤️

Myriam & Emilie ❤️

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