Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

10 - Mon Premier Bébé

- - - - - PDV Emilie - - - - -

Je remarquais immédiatement Myriam se crisper à côté de moi. Ah non ! Cette séance, c'est toutes les 3 ! Je rouvrais un œil, alors que la tête de Daryl passa à travers l'encadrure de la porte.

Emilie : - Daryl, sors !

Il essaya de bredouiller, mais je le coupais immédiatement.

Emilie : Daryl. Tu prends tes clics et tes clacs, et tu vas manger tacos avec ton frère. Allez, zou !

Mina : - ALLEZ, ZOU, TONTON !

Ça, c'est mon petit chat !

Emilie : - Reste pas planté là j'ai ma voiture, Nana sera plus que ravie de faire un tour en décapotable !

Je l'entendis se plaindre 'des gonzesses', avant de partir pour rejoindre Matt. Mon adorable mari ne cessait de me regarder à travers la vitre, quand Daryl lui expliqua la situation, son sourire s'agrandit et il me fit un clin d'œil avant de m'envoyer un baiser de loin. Il allait avancer pour venir me voir, quand je secouais la tête pour lui signifier de nous laisser tranquille, et il fit mine d'être déçu avant de partir avec Daryl.

Emilie : - Les filles, ce que je vous propose ce soir, c'est une soirée entre filles, sans mâle.

Myriam : - Excuse-moi, Mushu, mais la dernière fois que tu m'as dit ça, on s'est retrouvées à Vegas, et tu connais la suite.

Mina : - C'est quoi, Vegas ?

Myriam : - C'est un endroit mal. Très mal.

Je ris en me souvenant que pour moi, c'était l'endroit le plus drôle et déphasé de l'univers.

Emilie : - Nan, mais tu me prends pour quoi ? J'ai mes deux bébés avec moi.

Myriam : - Ah non, je préfère prévenir, parce que les plans Very Bad Trip, t'es la pro, toi !

Mina : - Maman c'est une pro ?

Emilie : - Oui mon chat, apparemment. On habite en Floride, n'est-ce pas ? Alors on peut profiter de Disney...

Mina : - OUAIIIIIIIIS !

Emilie : - On se calme ! Du Disney village pour aller manger au Trex ?

Mina : - ENCORE PLUS CIOUL ! LE TREX, LE TREX !

Je me penchais vers ma sœur pour lui chuchoter à l'oreille.

Emilie : - Ils font des cocktails à TOMBER PAR TERRE. Littéralement. Je crois que t'as besoin de te détendre, alors on fait au moins 1h de Yoga, et après on file se changer, ok ! Parce qu'en plus, tu portes ma tenue de rechange de sport, et ça me stresse.

Myriam : - Pourquoi ?

Emilie : - Le charmant bébé que je porte me donne très soif, mais ce sauvage appuie sur ma vessie, alors il peut m'arriver... De vouloir me sentir un peu plus fraîche.

Myriam : - Hyper glamour.

Emilie : - Ouais, bah excuse-moi. Faire un enfant, c'est pas juste niq...

Mina se retourna vers moi pour entendre la fin de ma phrase, alors que Myriam se bidonna à côté de moi.

Emilie : - C'est pas niquel.

Myriam : - Ta phrase n'a aucun sens.

Emilie : - Oui, elle en a.

J'appuyais volontairement sur chaque syllabe pour qu'elle n'en rajoute pas. Et puis je l'ai finalement fait taire avec ma séance de Yoga, qui je suppose, l'a bien détendue et reposée, puisqu'elle n'a pas osé me retenir tête. Même Nana était plus concentrée que d'habitude.

A la fin de notre petite séance, nous sommes toutes les trois parties au plus vite en se disant qu'on se doucherait à la maison. Myriam m'aidant à fermer le peu de choses qu'avait laissées Matt et puis nous sommes rentrés à la maison.

Emilie : - T'as des devoirs pour demain, Nana ?

Mina : - Maiiiiis y a pas école demain !

Emilie : - Comment ça, y a pas école ?

Mina : - Bah c'est Thanksgiving, pardi.

Myriam et moi avons baissé les yeux en même temps, c'était pas vraiment le moment pour toutes les deux de devoir prendre des vacances. Moi, j'étais bloquée avec Matt toute la journée à la salle et elle avait ses dossiers chronophages, mais je décidais de relativiser.

Emilie : - Ça va aller, on a demain pour préparer ça, et vendredi c'est le jour J. Tu sais quoi, demain je m'arrangerai pour pas aller au boulot, comme ça je fais toutes les courses nécessaires, et vendredi je préparerai avec Matt et tu n'auras qu'à bosser à la maison, comme ça, ça fera au moins plaisir à Daryl que tu sois là, ok ?

Myriam : - Je m'en veux de te laisser tout préparer dans ton état...

Emilie : - Oh, je suis enceinte, pas cancéreuse. Ça va le faire ! Si j'ai quoique ce soit, Daryl sera peut-être à la maison, et il sera plus que ravi de tenir mes courses toute la journée ! Ça le sortira ce vieux ronchon ! Allez on pense pas à tout ça je gère, ce soir c'est DÉTENTE.

Je me garais devant la maison, sortit Mina qui était bloquée par la sécurité enfant, et nous sommes allées nous doucher et nous changer. Mina et moi étions les premières, alors je m'assis devant la dinette de celle-ci et jouait un peu avec elle pour l'occuper. Soudain, le rire de Myriam nous interrompit et avant même que je ne dise quoi que ce soit, elle répliqua :

Myriam : - C'est en story !

Emilie : - Je prendrais ma revanche !

Nous sommes finalement sorties et je dois bien avouer que Myriam était superbe. Presque arrivées devant le restaurant, je la détaillais de haut en bas. Elle portait une robe noire qui remontait légèrement au niveau de ses hanches avec des cuissardes sublimes. Je préparais mon appareil photo avant de l'appeler.

Emilie : - ZAZOU ! Tu sais que t'es belle, poupée ?

Elle se retourna en rigolant et je la pris en photo à ce moment-là, et puis finalement bonne perdante elle se laissa prendre en photo, en prenant la pause.

Une fois devant le restaurant j'envoyais un dernier snap aux garçons et puis nous sommes rentrées. Mina était ravie, je crois bien que c'est son restaurant préféré.

Myriam : - Ah oui, je vois pourquoi ça ne me disait rien.

Emilie : - Oui, je suppose que ce n'est pas les restaurants que vous fréquentez avec Daryl... Pas encore.

Elle soupira devant moi, et j'autorisai Nana à aller jouer dans les jeux, le temps que les plats arrivent, étant donné qu'elle prenait toujours la même chose. Je pris la main de ma sœur dans la mienne.

Emilie : - Hé...

Elle essuya une larme au coin de ses yeux avant de me regarder droit dans les yeux.

Myriam : - C'est bête, on s'est réconciliés, mais ça me reste en tête... On s'est engueulés avec Daryl. Encore. Sauf que cette fois-ci, c'était bien plus violent que les autres fois... Il m'a dit que je serai un danger pour nos enfants, et qu'il n'en voulait même pas avec moi. Je sais pas, il m'a coupé le souffle. Il s'est excusé bien sûr, prétextant que c'était sous le coup de la colère, mais j'ai eu tellement mal...

Emilie : - Whaou... Je pensais que ça vous ferait du bien, ces deux jours...

Myriam : - Je le pensais aussi et ça l'a été, mais après... J'ai apprécié qu'à moitié, parce que cette phrase tournait en boucle dans ma tête et j'avais l'impression que chacune de ses caresses n'étaient simplement que des excuses.

Emilie : - Non, mon Zazou, pense pas ça. Il t'aime vraiment, mais je pense qu'il ne trouve pas vraiment sa place dans ta vie. Il faut que tu lui laisses du temps pour s'habituer à tout ça, nous on a appris à prendre ce que tu pouvais nous donner en temps, et on chérit chaque moment que tu nous offres, mais on parle de ton mari... Tu sais à quel point les garçons ont besoin d'attention, il fallait se douter que Daryl s'inquiéterait pour toi à chaque seconde. Matt, j'ai dû le trainer en Nouvelle Orléans, parce que pour lui c'était un monstre de laisser sa chouquette à la maison.

Myriam : - Je vais y réfléchir. Ah bah sympa !

Emilie : - Je lui en parlerai demain, t'inquiètes pas. Non, non, c'est pas contre toi, c'est qu'il est attaché à sa frite et l'idée de la laisser à quelqu'un d'autre, il s'en veut. Et je pense que Daryl doit s'en vouloir d'un côté de pas pouvoir t'offrir ce qui te manque. Parce que concrètement, vous pouvez vous acheter ce que vous voulez, mais Daryl ne peut rien faire contre ton amour pour ton travail.

La serveuse nous interrompit pour commander, laissant Myriam pensante. Elle sortit son téléphone et me le tendit en souriant. Daryl lui avait répondu un petit message. 'C'est la plus belle ma femme...'

Emilie : - Tu vois ! Je pense pas que ce soit alarmant, maintenant faut quand même régler la situation.

Mina : - Maman ! Maman ! T'as commandé ?

Emilie : - Oui, mon chat.

Puis elle disparut en courant en direction des jeux.

Myriam : - Ouais, je suis d'accord, j'en peux plus de rester dans l'incertitude, de me dire toute la journée au bureau à quel point je vais en baver le soir en rentrant, mais tu sais que parfois, je rentre pas trop tard, mais pour éviter que le lendemain je me mange dans la tête que c'est pas si difficile de finir tôt, je reste dans ma voiture devant le garage à potasser des dossiers sans importance. C'est plus possible.

Emilie : - Matt me l'avait dit ouais... Il t'a surpris un jour et je lui ai dit que je m'en occupais.

Myriam : - Ouais fallait s'en douter... Bon, toi, ta moitié, elle t'a répondu ?

Je déverrouillais mon téléphone pour voir que Matt m'avait répondu avec snap. OH MON DIEU. Je le montrais à Myriam qui explosa de rire.

Myriam : - Si avec tout ça; on les retrouve pas morts sur le canapé, j'abandonne.

Je la suivis dans son fou rire et nous avons passé une excellente soirée. Quand on est rentrées, Daryl et Matt nous attendaient avachis sur le canapé, Daryl sur SON fauteuil entre la vie et la mort. Et ma fille fit exactement ce que je voulais faire, c'est crier et sauter sur son père qui sembla mourir un petit peu.

Mina : - PAPA !

Il prit un moment pour respirer, même si je me doute que tout ce gras devait lui boucher les voies respiratoires.

Matt : - Alors, c'était comment, chouquette ?

Mina : - Trooooop bon ! Et je me suis fait un copain ! C'est mon amoureux !

Matt avala sa salive de travers et toussa de toutes ses forces. Respire mon amour, ça va passer. T'inquiètes, elle a que 4 ans !

Myriam partit se coucher en caressant l'épaule de Daryl qui ne mit pas longtemps à la suivre.

Emilie : - Matt, tu veux bien aller coucher Mina, j'ai besoin de m'assoir une seconde.

Il fronça les sourcils mais s'exécuta. Quelques minutes plus tard, le lit grinça à l'étage. Bah voilà, déjà eux, c'est réglé momentanément. Je m'assis une seconde, me concentrant sur les petits gargouillis que je sentais au creux de mon ventre. Je penchais la tête en arrière profitant des premières sensations de mon bébé qui bouge.

Matt : - Tout va bien ?

Emilie : - Parfaitement bien. Il commence à bouger...

Matt : - C'est vrai ?

Il se précipita vers moi pour toucher mon ventre, mais ne sentit rien du tout.

Emilie : - Il est trop petit encore, c'est normal.

Il me prit dans ses bras avant de m'embrasser tendrement.

Matt : - Je te l'ai pas dit, mais tu étais sublime ce soir...

Sur ces doux mots, il me prit dans ses bras et m'emmena à l'étage dans notre chambre.

* * * * *

Le lendemain, je me réveillais brusquement, encore prise de nausées horribles, mais je n'eus pas le temps de m'apitoyer sur mon sort, parce que Nana toquait déjà à ma porte.

Mina : - MAMAN, je mets quoi ?

Je sortis de la chambre pour aller la doucher, mais au moment de brosser ses cheveux, il fallait que je lève le bras, et ce simple geste me donnait encore plus envie de vomir, alors avant de devoir redoucher complètement Nana, j'appelais Matt à la rescousse.

Emilie : - Tu peux sécher les cheveux de ta fille ? Je vais lui vomir dessus si je continue !

Il acquiesça avec plaisir, alors que je m'assis dans le couloir directement sur le marbre frais pour me calmer. J'avais laissé la porte légèrement entrouverte, et quand mes nausées se sont calmées et que j'ai pu me concentrer sur autre chose, j'entendis Mina rire et son père lui crier à travers le bruit du sèche-cheveux.

Matt : - Tu vois, regarde, je peux même le faire les yeux fermés !

Et son rire redoubla. Je repensais au tout début, quand on se demandait si on allait être des bons parents... Je crois qu'on a pas mal géré, au final.

Matt : - Ça va, tu veux que j'emmène chouquette avec moi ? Je peux très bien, ça me dérange pas.

Emilie : - Comme tu veux, moi je vais faire des courses avec Daryl.

Matt : - Oui, je la prends avec moi alors, vas-y mollo, d'accord ?

Emilie : - T'inquiètes pas, je vais demander à Daryl de m'accompagner.

Matt : - Bon, ça me rassure alors.

Il sourit, puis m'embrassa avant de partir avec Mina.

Je pris une douche rapidement avant de descendre pour prendre mon petit déjeuner.

Emilie : - Salut toi ! On est ensemble, aujourd'hui.

Daryl se retourna vers moi et me fit couler un café. Il semblait content aujourd'hui, même si un fond de tristesse persistait dans ses yeux.

Daryl : - Oh, t'arrives...

Emilie : - Oh non non. Pas de reproches dès le matin, je suis pas Myriam et j'ai pas sa patience. Je vais faire des courses pour Thanksgiving, tu m'accompagnes ?

Daryl : - Ouais, ça me sortira un peu. Je parie que Myriam avait oublié... ?

Emilie : - Ça vaaaa, moi aussi j'avais oublié, c'est Nana qui me l'a dit hier, donc on redescend.

Daryl : - J'avais presque oublié à quel point tu lui ressembles pas du tout.

Je lui souris machiavéliquement, et nous sommes partis tous les deux. Il se dirigea vers ma voiture et l'ouvrit côté conducteur.

Emilie : - Ah ouais, donc je conduis pas ?

Daryl : - T'es enceinte non ?

Emilie : - Mais pourquoi vous croyez tous que je suis en sucre ! Déjà je bois pas, je fume pas, je bois plus de café décent, alors si en plus je peux pas conduire, je vais m'ennuyer pendant les 5 prochains mois.

Daryl : - Tu finiras avec une cirrhose ou un truc dégueulasse dans le genre, toi.

Emilie : - Nan je crois pas. Je crois que je vous enterrais tous.

Daryl : - Vu comment t'es casse couille et tenace, c'est bien possible. Après tout, on t'a presque tranché la gorge, et t'es là à côté de moi.

Je souris, c'était notre méthode de communication avec Daryl. On s'appréciait, mais en se détestant, tellement plus marrant. Une fois dans le magasin, je le forçai à pousser le caddie.

Daryl : - Fais chier. Je suis le mec, putain. Pourquoi je pousse un putain de caddie ?

Emilie : - Parce que moi ça me soule, déjà, et qu'en plus quand c'est lourd, j'ai la mauvaise habitude de pousser avec mon ventre et mon petit bébé de 4 mois n'est pas DU TOUT prêt à ce que je pousse.

Il me lança un regard noir avant que je rentre dans le vif du sujet.

Emilie : - Il faut vraiment que vous trouviez un terrain d'entente avec Myriam, non ?

Il baissa les yeux, évitant mon regard avant de me répondre.

Daryl : - Je le sais, mais j'ai l'impression qu'elle est tellement loin en ce moment... Parfois elle me regarde, on discute, mais je vois dans ses yeux qu'elle pense au boulot et ça me rend dingue. Je me dis, mais en fait elle veut pas être avec moi ? C'est son boulot qu'elle veut et j'ai l'impression de l'empêcher de faire ce qu'elle aime, alors que c'est pas du tout ce que je veux. Je sais plus trop quel bout prendre...

Emilie : - Moi je crois qu'il faudrait que tu la laisses venir. Fais lui confiance et redescend la pression, parce que je suis désolé de te le dire Daryl, mais là, je sais pas où vous allez, mais ce qui est sûr, c'est que c'est pas la bonne direction.

Daryl : - Je sais, putain. Ça me rend fou. Et quand je vous vois, toi et Matt...

Emilie : - Non non non. Ne vous comparez pas à nous, parce que c'est différent. Déjà, je ne suis pas ma sœur, et j'avais décidé que je ne voulais plus me mettre en danger pour un boulot, dans tous les sens du terme. Je voulais une vie zen et tranquille. Nana, elle était pas prévue, je prenais pas de contraception parce que je voulais pas, question de choix, alors on calculait mes cycles, mais étant deux bonnes grosses billes en Maths, on s'est plantés une fois avec Matt et je suis tombée enceinte. Sinon, qui sait si on aurait des enfants, nous aussi. Après, j'ai passé 2 ans à galérer, à pleurer, à déprimer parce que j'arrivais pas à tomber enceinte après ma fausse couche, qui m'a aussi fait un mal de chien, mais tu vois tout ça, ça nous a rapproché. Mais parce qu'on l'a choisi. Le bébé que j'ai perdu, ça aurait pu nous séparer, mais on a décidé de sortir de ça ensemble comme on l'a toujours fait. Myriam aime son travail, ok, et ? Tu aimes le tien toi ? T'aimes bien être le chef et commander des trucs, mais est-ce que tu quitterai ça pour elle ?

Daryl : - Ouais, je pense que...

Emilie : - Penser n'est pas suffisant. Vous êtes dans la même situation tous les deux, et vous vous rejetez la faute comme des enfants. Ça va finir quand ? Vos petits moments à deux, vous ne les apprécierez jamais si vous ne crevez pas l'abcès... Il faut que l'un des deux lâche un peu de leste, mais pour ça mon gars, faut que t'arrêtes de lui balancer des trucs genre qu'elle serait dangereuse pour ses enfants, c'est ultra violent. C'est pas parce qu'on porte le bébé pendant 9 mois qu'il arrive avec le mode d'emploi, on est comme vous, on improvise; alors tu peux pas la sous-estimer comme ça gratuitement. T'as le droit d'avoir ton point de vue, mais tu lui balances pas ça cash comme ça. T'es narvalo, toi.

Il bredouilla, pas fier de lui, mais je le coupais encore une fois dans son élan.

Emilie : - Je m'en fous que tu te sois excusé. Les paroles, c'est comme des coups de poignards, ça reste. Et puis alors là, votre abcès je peux te dire que tu lui as rajouté un peu de pue avec ça. Faut que tu relativises et accepte les moments qu'elle t'offre, et si tu trouves que c'est pas assez, au lieu de te morfondre comme un vieux con, tu bouges ton cul et tu lui apportes le déjeuner au boulot. Ça te coûte quoi ? 

A suivre...

- - - - - - - - - - - - - - - - - -

[Si vous vous accaparez certaines de nos photos, merci de nous demander la permission. On bosse dur sur le montage de certaines, respectez le travail des autres, vous seriez adorables ! Idem pour des idées provenant de notre histoire... ❤️]

XOXO ❤️

Myriam & Emilie ❤️

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro