Dimanche matin, dernière journée officielle de congé, ensuite bonjour l'enfer. Bon j'exagère surement. Ou pas, je n'ai absolument pas envie de retourner à l'école en sachant avec certitude que tout le monde va me détester. Pourquoi? parce que c.est toujours comme ça, depuis tout jeune. je n'ai jamais eu de vrais amis sur qui compter, j'ai jamais eu de pyjama party n'y de nuit blanche. Enfin oui j'ai déjà eu des nuits blanches, mais pas dans un contexte récréatif disons.

je me torture l'esprit juste à imaginer tout les scénario les plus catastrophiques qui pourrait m'arriver. Je doit me calmer. je me dirige vers mon bureau de travail, ouvre le tiroir et prend mes écouteurs avec mon téléphone. je parcours ma playlist au moins cinq fois sans vraiment trouver une chanson qui me plairait en ce moment. Je décide donc d'opter pour un de mes classiques, In the end de Black Veil Brides. La voix d'Andy black me calma instantanément. je monte le volume tapant le rythme sur ma cuisse en m'allongeant dans mon lit. je n'entent pas du tout ma mère qui entre dans ma chambre (je ne sais pas si elle à cogner donc je ne peux pas lui reprocher) les poings sur les hanches. je retire mes écouteurs et la regarde dans les yeux.

- Oui maman, désolé je ne t'ai pas entendu.

- Ça je le sais très bien, tu n'entend rien avec cette foutu musique rock.

je m'assis en tailleur sur mon lit

- Tu voulais me parler?

-Oui en fait, les voisins d'en face sont dans le salon, il sont venus se présenter et j'aimerais que tu t'habille et que tu descende pour les saluer poliment. 

- Est ce que c'est vraiment obligatoire? 

- Ils m'on bien présenter leur fils, alors je voudrais faire de même.

-Attend quoi, ils sont la toute la petite famille en bas?

-Oui, et il t'attende.

-Heu ok. c'est bon je me dépêche.

-Merci mon chou.

-arrête de m'appeler comme ça, je déteste ça.

-D'accord, mais je t'ai porter 9 mois, avec tout les sacrifices que ça implique. Pas de café, pas d'alcool, pas trop de cochonneries, les vomissement, une envie d'uriner constante, les chevilles enflées, les vergetures, les boutons, les envies meurtrières, les envies de cornichons trempés dans le beurre de cacahuètes. Je continus? Alors je t'appelle comme je veux, compris?

-Ok avec tout ces arguments je ne peux rien dire.

- Parfait, aller grouille toi maintenant.

elle quitta ma chambre avec un sourire étamper dans le visage et moi avec une moue boudeuse parce qu'elle à encore réussis à avoir ce qu'elle voulais. Un vrai esclave. Je ne suis pas très fier de moi, mais je ne peux pas me risquer de lui tenir tête. Elle a un de ces fichu caractère. Je retira mon haut et mon jogging pour prendre un chandail manche longue noir et des jeans noir. je jeta un regard vite fait dans le miroir. En approuvant moi-même mon allure, je sort de ma chambre en traînant les pieds. je descend les escaliers sans n'emmêler les pieds. j'entend alors des éclats de rires. je soupire fortement comme si je voulais leur faire comprendre à distance que je ne voulais pas me trouver dans ce salon.

j'arrive finalement au salon et resta sans voix, l'aire à complètement quitter mes poumons. je me mit à trembler un peu, humectant mes lèvres et je ne pouvais n'empêcher de fixer cette créature. Il fait environ 1m80, cheveux brun clair, yeux bleu, mais pas n'importe quel bleu, bleu indescriptible. Un corps assez imposant, sans avoir l'aire d'une machine de guerre. Il me sourit mal à l'aise, et je le comprend. Un inconnus te fixe comme si il allait lui sauter dessus, ça fait toujours peur. Ma tante ce racla la gorge pour capter mon attention et je détourna vite le regard en fixant mes pieds.

-Mat, voici nos nouveau voisins, les Millers. Il habite la grande maison juste en face et...

-Oui je sais, je.. maman me l'a dit tout à l'heure. 

la femme qui ce trouvait à droite du salon sur le canapé me sourit et prit la parole.

-Tu est bien joli mon garçon.

je lui répondit en bredouillant faiblement un merci toujours en fixant mes pieds.

-Mathias ? dis ma mère.

-Oui?

-Peux-tu faire le tour de la maison à ce monsieur si présent?

Elle pointa du menton le mec assis sur le petit sofa une place près de ma tante.

-Je. hum non, bah en fait, il il.. c'est pas nécessaire, on s'en fiche pas mal non et ..

elle me coupa aussitôt.

- Mathias, politesse 101?

je lui répondis embêter

-Ok ok c'est bon, si c'est si important qu'il sache ou sont les chiottes.

Et évidement il à fallut que ce soit le seul moment que monsieur décide d'ouvrir sa grande gueule.

-Justement, j'ai une envie assez pressante. Tu pourrais m'aider?

je le fixa dans les yeux, les joues rouges sang et la rage monta en moi. Son petit sourire agaçant je lui mettrait bien la ou je penses. je roula les yeux.

-Aller suis moi.

-Merci beaucoup mon chéri.

je l'a fixa avec un regard meurtrier juste pour qu'elle comprenne que la vengeance sera violente.

Il se leva enfin de son trône et il passa devant moi toujours avec son petit sourire chiant. Il me fit signe du bras de passer devant.

-Après toi.

-C'est bon, joue pas la comédie avec moi, pas besoin de faire la révérence.

-Ouh un bon sens de la répartit en plus.

- De quoi en plus? en plus de quoi?

-Rien, où elle sont tes chiottes?

-Dehors, derrière le petit buisson au fond de la cours.

il me décocha un autre sourire et il ricana légèrement.

-T'es drôle.

-T'es con.

-Oh oh, doudou avec les insultes, on ce connais pas encore.

-J'ai pas l'intention de te connaître plus non plus.

- tu ne sais pas ce que tu manques.

je le regarda les sourcils froncer plus qu'agacer. 

-Si justement, les toilettes sont au bout du couloir à ta gauche.

- Merci.

Il passa devant moi pour ce diriger vers la salle de bain, ce retourna et me souri  avant de fermer la porte. je respirait à nouveau en soupirant. Non mais qu'est ce qu'il est chiant. Il se prend clairement pour un prince, il est enfant unique, habite une putain de grosse baraque, donc il est sans aucun contredit un gosse de riche. Voilà monsieur, tu es officiellement sur ma liste de non-fréquentation. De toute façons tu ne pourrais pas faire parti de celle de mes fréquentations, je n'ai personnes. Et tu es surement le mec le plus fendant, arrogant et narcissique. Alors toutes les filles sont sur ton cas j'en suis sure. Oh oui, tu es ce mec la ,donc tu es un ennemi, un danger. Aussitôt que tu auras l'occasion, tu fera comme tout les autres cons. 

la porte de la salle de bain s'ouvrit me sortant de ma bulle. Il avance nonchalamment vers moi toujours avec son petit sourire. 

- T'a autre chose à montrer que la salle de bain?

- Le salon, car tu y retournera. Maintenant.

-Quoi, t'a pas de trucs à me montrer dans ta maison?

- Comme?

- Comme ta chambre par exemple.

-Heu non, encore moins ma chambre. C'est privé.

- t'es pas du genre à avoir des amis?

-De quoi tu te mêle?

- tu es toujours sur la défensive, tu es emo, tu es timide et te ne me regarde pas dans les yeux. T'a l'aire d'un mec qui ne l'a pas eu facile. En regardant ton style, c'est évident que tu as souffert d'intimidation.

- Faut pas ce fier au apparence.

- Tu vois, encore.

je commençait vraiment à m'énerver.

-Quoi encore?

-tu es sure la défensive.

je recula un peu, fixant le sol ne sachant pas quoi dire parce qu'il a eu tout bon. Il a lu en moi comme dans un livre ouvert.

- Comm..comment tu as deviner?

- T'es yeux, il parlent beaucoup.

- T'es vraiment bizarre.

-Non, je suis observateur.

-Et énervant.

Il me sourit en riant.

- Ça c'est ton opinion Mathias.

-Toi c'est quoi?

-Quoi moi?

-Ton prénom imbécile, dis-je en soupirant d'agacement.

-Moi, c'est Maxime....

il me tend la main, la paume bien ouverte. je la fixa sans savoir trop comment réagir, je n'aime pas trop les contacts physique, j'ai toujours peur que ces simples touchés peuvent me blesser. je la saisi en hésitant. Il me sourit et déclara : 

- Enchanté Mathias.

-De même Maxime.

voilà un autre chapite. Comment vous trouvez l'histoire? Est-ce que c'est bien expliquer?

xx vos commentaires et idées ou faveurs sont les bienvenus^^